ExtraitDu Bulletin De La Société Archéologique Du Finistère. - Villiers Du Terrage, Viscount / Livres en langue étrangère. Format: Broché ; 20,99 € Comme neuf. Voir le produit. Vendez le
Reminder of your requestDownloading format TextView 1 to 557 on 557Number of pages 557Full noticeTitle Bulletin de la Société archéologique du GersAuthor Société archéologique, historique, littéraire et scientifique du Gers. Auteur du textePublisher AuchPublication date 1924Relationship textType printed serialLanguage frenchLanguage FrenchFormat Nombre total de vues 10373Description 1924Description 1924 A25.Description Collection numérique Arts de la marionnetteDescription Collection numérique Fonds régional Midi-PyrénéesRights Consultable en ligneRights Public domainIdentifier ark/12148/bpt6k57014508Source Société archéologique du GersProvenance Bibliothèque nationale de FranceOnline date 19/01/2011The text displayed may contain some errors. The text of this document has been generated automatically by an optical character recognition OCR program. The estimated recognition rate for this document is 100%.BULLETIN DE LA SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS XXVme ANNÉE. — 1er Trimestre 1924 AUCH IMPRIMERIE BREVETÉE P. COCHARAUX 18, RUE DE LORRAINE, 18 1924 BULLETIN DE LA DU GERS XXVme ANNÉE. — 1er Trimestre 1924 AUCH IMPRIMERIE BREVETÉE F. COCHARAUX 18, RUE DE LORRAINE, 18 1924 SOMMAIRE Pages. Liste des membres de la Société Archéologique du Gers 5 Membres du bureau pour 1924 13 L'église de Lialores, par M Pierre ROULEAU 15 Un apôtre jacobin Pierre-Nicolas Ghantreau, par M. G. BRÉGAIL suite 29 Condom ville double Essai topographique, par M. Z. BAQUÉ .... 58 La descendance d'Antoine-Gabriel Dessus, par M. C. BARRIÈREFLAVY BARRIÈREFLAVY Note. — Visite de Mgr de Maupeou, archevêque d'Audi, à l'église de Villefranche-d'Astarac 92 Fondation d'une chapelle dans l'église de Notre-Dame de Bezolles 16 octobre 1513, par M. l'abbé M. D'AYRENX 93 Séance du 14 janvier 1924 97 Séance du 4 février 1924 98 Séance du 10 mars 1924 99 LISTE DES MEMBRES DE LA SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS Ader, entrepreneur de messageries, Auch. Amade. notaire, Masseube. Amiel Albert, 30, rue Jean-Jaurès, Brest Finistère. Amiot, $, ingénieur des mines en retraite, 4, rue Weber, Paris-XVIe. Antras comte d', î, capitaine au 2e hussards, Tarbes. Arcan Louis, propriétaire, Montiron. Archives départementales du Gers. Ardit, ij, architecte, Auch. Arlat Henri, Puycasquier. Arrivets Noël, Auch. Arrivets l'abbé, 41, rue du TapisVert, Auch Astuguevielle, institutr, Jegun-Lézian. Aubas, ^J, directeur honoraire de cours complémentaire, 8, rue Voltaire, Auch. Audoin Albert, rue du Sénéchal, Auch. Aylies Ch., $?, Barran et 42, avenue Georges V, Paris-VIIIe. Ayrenx l'abbé d', curé de Tasque, par Plaisance. Baillère Maurice, château d'Ariens, Plaisance-du-Gers. Banio, profr au Collège de Lectoure. Baqué, &$, , j, instituteur-adjoint Vic-Fezenzac. Barada J., Auch. Barailhé Jean,notaire, St-Sauvy, par Aubiet. Barbé Joseph, à Auch. Baron Henri, chef des services vétérinaires, Hanoï Tonkin. Baron, professeur, 41, rue des BellesFeuilles, Paris-XVIe. Barré l'abbé, curé de Montaut-lesCréneaux. Barriac, Ingénieur des Travaux Publics, Fleurance. Barriac, pharmacien, Fleurance. Barrière-Flavy, 14, boulev. d'Aréole, Toulouse. Barris Paul, Montesquiou. Barthe, •ff, J , notaire, Auch. Barthe, maire de Béraut, par Condom. Barthélémy, député du Gers, 11, rue Soufflot, Paris-Ve. Bastard, conducteur des Ponts et Chaussées, Mézin Lot-et-Garonne. Batz baron de, château de Mirepoix, par Sainte-Christie. Baudéan Léon, instituteur, St-Puy. Bauduer Mme Marie, rue EugènePelletan, Auch. Bedat, château de la Flourette,Mirande. Bedout, propre à La Plaine, Cazaubon. Bénac l'abbé de, curé de Castelnausur-1'Auvignon. Bénétrix Paul,f I, bibliothécaire de la ville d'Auch. Bénétrix Louis-Joseph, propriétaire, 1 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Bentéjac docteur Henri, Montréal. Bérard Mme, professeur agrégé, Lycée de jeunes filles, Agen. Béraut E., conservateur des Hypothèques, Auch. Bibliothèque de la ville d'Auch. Bibliothèque du Collège de Jeunes Filles d'Auch. Bibliothèque de la ville de Condom. Bibliothèque de la ville de Fleurance. Bibliothèque de la ville de Lectoure. Bivès l'abbé, curé de l'Isle-Bouzon. Blajan l'abbé, curé de Masscube. Blanc, inspecteur des Chemins de Fer du Midi, en retraite, Tarbes. Bompeix, Docteur en Médecine, La Jonchère-Sl-Maurice Hte-Vienne. Bonassies Gabriel, notaire, Agen. Bonassies Félix, rue Dessoles, Auch. Bonnat, f$ I, archiviste du Lot-etGaronne, Agen. Bonnet Jules, à Auch. Boé Paul, J, 24, rue des Boulangers, Paris. Boubée de, 1, rue Viala, Auch. Boue Clément, inspecteur en retraite, Mouchan. Bouquet Théodore, I, Auch. Bourdel Clément, §, professeur d'agriculture, Condom. Bourgade Mme, Auch. Bourgeat l'abbé, curé de St-Mézard. Boussès Antoine, receveur de l'Enregistrement, Biarritz. Boussès Pierre, juge de paix, Agen. Boutan Auguste, ingénieur civil, à Lyon. Boutan André, 47, cours de Vincennes, Paris-XXe. Boyer B., Il 1, §, 5, rue de Rigny, Paris-8°. Branet Alphonse, Auch. Brégail G., €$ I, professeur au Lycée, Auch. Bressolles, §, propriétaire, Mirepoix, par Sainte-Christie. Breuils J., $f, J, minotier, Pavie. Saint - Georges , par Lagraulet. Brives de, avocat, Isle-Jourdain. Broca comte Joseph de >{JJ<, Auch. Septe Mlle Marie-Louise, rue Dessolles, Auch. Setzes, instituteur à Cézan, par La Sauvetat. Sexe, instituteur, Castillon-de-Batz. Solon René, Auch. Soulès abbé, curé de Saint-OrensPouy-Petit, par Condom. Szelechowski le docteur, $f, Auch. Tallez le chanoine, Auch. Tarrieux, l'Isle-de-Noé. Taste Jean, f, ingénieur des Travaux publics, Lectoure. Taste Mlle, institutrice, Pavie. Telmon, propriétaire, Fleurance. Terrail Albert, pharmacien, Auch. Tharan, instituteur, Isle-de-Noé. Thore François, I, Auch. LISTE DES MEMBRES. 13 Thore Ludovic,charpentier, à Roquefort, par Ste-Christie. Thierny Paul, , ancien archiviste, château de Sautricourt Pas-deCalais. Tortes Louis, négociant, rue Gambelta, Auch. Tournier Théodore, Fleurance. Tournier, instituteur, rue du PontNational, Auch. Trémoulet, receveur principal des Postes et Télégraphes en retraite, Auch. Trilhe le chanoine, Auch. Trilhe, î, industriel, Auch. Trouette Maurice, négociant, Auch. Trouette Albert, avoué, Auch. Trouette Gabriel, chef du service de l'élevage en Algérie, 1 7, pl. Hoche, Alger. Troyes, 12, allées St-Etienne, Toulouse. Vassal-Monviel comte de, , rue Victor-Hugo, Auch. Verdié, ingénieur agronome, directeur des Services agricoles de la Charente-Inférieure, La Rochelle. Yrondelle, principal du Collège de Lectoure. Bureau de fia Société pour l'année 1924. Présidents d'homieur .- M. LE PREFET DU GERS, Mgr DE CARSALADE DU PONT, Q, * G. G. d'Isabelle la Catholique, Évêque de Perpignan. Président M. le Dr DE SARDAC, *fë, Q I. Vice-Présidents MM. MONLAUR, &, $ I, §, BRÉGAIL, Qî. Secrétaires MM. ALPHONSE BRANET, abbé DAUGÉ et CUZIN. Archiviste-Bibliothécaire M. G. BRÉGAIL, QI. Trésorier M. CHAUVELET. 14 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Sociétés qui font échange de leurs Publications AVEC LE BULLETIN DE LA SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS ANNALES DU MIDI, Bibliothèque de l'Université, Toulouse. BULLETIN ARCHÉOLOGIQUE DES TRAVAUX HISTORIQUES DU MINISTÈRE DE L'INSTRUUTION L'INSTRUUTION à Paris. BIBLIOTHÈQUE D'ART EF D'ARCHÉOLOGIE, 16-18, rue Spontini, Paris-XVIe. COMMISSION DES ARTS, Saintes COMITÉ ARCHÉOLOGIQUE DE NOYON. ESCOLE GASTOU-FÉBUS, à Pau. - S. Palay, président, à Gélos, Pau. ESCOLO DERAS PIRÉNÉOS, à Saint-Gaudens. REVUE DES ÉTUDES HISTORIQUES, 15 bis, rue Rousselet, Paris-VIIe. REVUE DE GASCOGNE M. l'abbé Dugert, 31, rue de la Fonderie, Toulouse. REVUE MABILLON, Abbaye St-Martin, à Ligugé Vienne. REVUE DES HAUTES-PYRÉNÉES, à Tarbes. SOCIÉTÉ DES LETTRES, SCIENCES ET ARTS, de Pau. SOCIÉTÉ DES ETUDES HISTORIQUES DE COMMINGES, à Saint-Gaudens. SOCIÉTÉ ARIÉGEOISE DES LETTRES, SCIENCES SCIENCES ARTS et SOCIÉTÉ DES ÉTUDES DU COUSERANS, à Saint-Girons. SOCIÉTÉ D'ARCHÉOLOGIE LORRAiNE,àNancy. SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DE BORDEAUX. SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DE LA CHARENTE, à Angoulême. SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU MIDI DE LA FRANCE, à Toulouse. SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DE TARN-ETGARONNE, TARN-ETGARONNE, Montauban. SOCIÉTÉ D'AGRICULTURE, SCIENCES ET ARTS, à Agen. SOCIÉTÉ DES LETTRES ET ARTS DE BAYONNE. SOCIÉTÉ DES ETUDES DU LOT, à Cahors. SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DE CONSTANTINE. SOCIÉTÉ DE BORDA, à Dax. SOCIÉTÉ ACADÉMIQUE DES HAUTES-PYRÉNÉES, à Tarbes. SOCIÉTÉ RAMOND, à Bagnères-de-Bigorre. COMISION DE MONIIMENTOS IIISTÔRICOS DE NAVARRA, Pamplona. SOCIEDAD ARQUEOLOGICA LULIANA, à Palma de Mallorca Espagne. SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS COMMUNICATIONS. L'ÉGLISE DE LIALORES 1 PAR M. PIERRE ROULEAU, I. — HISTORIQUE 2 L'origine de Lialores demeure obscure. La légende rapporte qu'un pieux ermite, nommé Antoine, vivait au IVe siècle en ce lieu, et qu'il y fut enseveli après avoir été martyrisé à Agen par les Ariens. La tombe du martyr devint l'objet d'une grande vénération et un centre de pélerinages encore fréquenté aujourd'hui. De bonne heure, semble-t-il, des religieux bénédictins vinrent s'y établir. On ignore quand fut fondé ce monastère. Dom Estiennot 3 lui accorderait volontiers une haute antiquité, mais ses raisons sont fragiles et contestées. D'autres pensent que le monastère de Lialores fut fondé par l'abbaye de Condom. Mais aucun texte n'autorise à soutenir cette filiation, et le seul fait qui ne paraisse pas douteux, c'est que les moines de Lialores appartenaient à l'Ordre de St-Benoit. 1 Lialores, commune de Condom Gers. 2 Voir, sur le passé de Lialores, le discours prononcé par A. Plieux, en Novembre 1889, lors de la visite pastorale de Mgr Gouzot à Lialores. Semaine religieuse de l'Archidiocèse d'Auch, 23 Nov. 1889, p. 44 et 45 ; et la monographie St-Antoine de Lialores, sa vie, son culte. S. n. d'auteur Auch. Foix 1892. 3 DOM ESTIENNOT Bibliothèque Natle, ms lat. 12751, f° 412 et f° 738 croit reconnaître le monastère de Lialores dans le monasterium St-Antonü » signalé en Aquitaine, en 817, par le concile d'Aix-la-Chapelle. 16 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Comme on l'a dit, ces religieux donnèrent vraisemblablement un grand essor à la dévotion en St-Antoine de Lialores. C'est à eux, sans doute, que nous devons la majeure partie de l'église actuelle, si ce n'est la totalité. Cette église, on le verra, parait avoir été élevée au XIIe siècle, sauf une partie de la façade occidentale portail et clocher qui porte la marque du XIVe siècle. Les moines demeuraient-ils encore à Lialores au XIVe siècle ? Des actes de reconnaissance invitent à le croire, car ils laissent entendre que le monastère existait encore en 1420. Ces actes sont mentionnés dans le procès-verbal dressé en 1671, à la suite de la vérification des reliques. Malheureusement ce procèsverbal n'est pas assez explicite pour que l'interprétation n'en soit pas douteuse. Quoi qu'il en soit, il ne reste rien aujourd'hui de ce monastère. Certains indices donnent à penser que le Chapitre de St-Etienne d'Agen hérita des biens monastiques de Lialores. En 1752, par exemple, un habitant de Castelnau vendait une maison et place vide » en Lialores, qu'il avait acquises du Chapitre de St-Etienne. Par ailleurs ce Chapitre d'Agen fut décimateur de la paroisse de Lialores depuis le XVIe siècle, au moins, jusqu'en 1790 4. A la suite d'un incendie, l'église de Lialores perdit la plus grande partie de ses voûtes. On s'accorde généralement à en attribuer la responsabilité à Montgommery, qui, installé à Condom, fin 1569, pilla nombre d'églises et de monastères des environs. L'édifice aurait été réparé en 1617 et 1783. Mais c'est en 1883 que furent entrepris les travaux de restauration, qui ont donné à cette église sa physionomie actuelle, en lui restituant tout ou partie de son aspect primitif. La restauration, achevée en 1885, fut effectuée par M. Dubarry de la Salle, architecte à Agen. II. — DESCRIPTION L'église de Lialores est bâtie en pierre de moyen appareil régulier. Elle comprend une nef de deux travées séparées par un transept, et deux bas-côtés. Enfin, en regard de la nef et des bas-côtés s'ouvrent un choeur profond à chevet circulaire, et deux absidioles. fig. 1 4 Le premier de ces renseignements, tiré, des minutes de Me de Maleville notaire à La Romieu, m'a été obligeamment communiqué par M. l'abbé Daugré ; et le second par M. l'abbé Marboutin. Je tiens à les en remercier de nouveau ici. 18 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. § 1. Intérieur NEF. — La nef est couverte d'un berceau brisé, porté par des doubleaux. Ce berceau a remplacé, en 1883, le lambris qui abritait la nef depuis la chute des anciennes voûtes.5 Le restaurateur adopta ce berceau brisé, car l'amorce de la première voûte demeurait visible sous cette forme au revers de la façade. De même, c'est le doubleau placé en ce point qui, ayant été conservé, a servi de modèle pour la restauration des autres doubleaux de la nef. Cet arc est à double voussure. La voussure inférieure est de section rectangulaire et ses arêtes sont largement abattues. Les doubleaux retombent sur des colonnes adossées à de massifs piliers carrés. Ces colonnes et leur dosseret s'lélèvent jusqu'à la naissance du berceau, où ils reçoivent les doubleaux sur des chapiteaux en majorité restaurés. Seuls, ont été conservés les quatre chapiteaux de la première travée. Ils sont très sobrement décorés. Leur tailloir, comme le cordon qui court au même niveau tout autour de la nef, est évidé d'un large cavet et orné de grosses perles. Les corbeilles sont garnies de quelques perles, de feuilles ou de crochets. Les bases, plus ou moins restaurées, diffèrent à peine du type attique. Elles sont munies d'un socle aux angles évidés en cavet, et qui repose, avec l'ensemble de la pile, sur un large tambour de 2 m 30 de diamètre, fig. 2 La nef communique avec les bas-côtés par des arcades en plein cintre, à double voussure et à section rectangulaire. Ces arcades reposent sur des colonnes engagées dans les piliers carrés. Les chapiteaux ne diffèrent guère des chapiteaux décrits plus haut, si ce n'est que les tailloirs sont le plus souvent nus et que la corbeille, un peu plus massive, est plus largement décorée. Celle-ci, en effet, dérivée du type corinthien, est ornée de larges feuilles d'eau, d'acanthes, de volutes arrondies en boule. Deux chapiteaux, cependant, s'écartent nettement des autres. A l'un, placé dans la première travée, la corbeille est ornée d'un rang de feuilles palmées, non pas stylisées, comme dans les chapiteaux voisins, mais traitées avec assez de naturel. Le tailloir est semblable aux autres. Si l'on remarque le faible relief de la décoration et le moindre volume de la corbeille, on ne peut douter que ce chapi5 chapi5 berceau, ainsi que toutes les voûtes rétablies en 1883, est construit en briques tubulaires, avec joints simulés. Toutes les indications qui concernent la nestauration de l'édifice sont tirées du dossier Lialores » conservé aux Archives Départementales du Gers, série V. PREMIER TRIMESTRE 1924. 19 teau ait été retouché. Cette retouche fut opérée, sans doute, au XIVe siècle, lorsqu'on construisit le portail. Un autre chapiteau de la nef diffère des précédents. Il mérite de retenir l'attention, car c'est le seul chapiteau historié que possède aujourd'hui cette église. II se trouve dans la travée qui précède le choeur, et il est certainement contemporain des chapiteaux voisins. On y voit deux scènes tirées de l'Ancien Testament Le Péché Originel et le Sacrifice d'Abraham. La corbeille, semi-circulaire, est partagée en deux. D'une part, Satan, sous la forme d'un serpent, enroulé autour d'un arbre, touche de sa tête le visage d'Eve, qui offre à Adam le fruit défendu. Adam, voilant, comme Eve, sa nudité avec le bras gauche, repousse du droit le fruit tentateur. Dans un coin, un personnage représenté de face, nu-tête et vêtu d'une tunique à longues manches, se tient impassible. Est-ce Dieu, qui, après le Péché, paraîtra aux yeux d'Adam et d'Eve ? On peut le croire, car une telle représentation de Dieu ici ne serait pas exceptionnelle... D'autre part, Abraham, tenant d'une main son fils Isaac par les cheveux, et brandissant de l'autre un glaive, ployé un genou et élève son regard vers le ciel. A côté paraissent l'ange qui, étendant la main, arrête le bras d'Abraham, et le bélier qui sera substitué à Isaac. Celui-ci est étendu pieds et mains liés. fig. 3 Tout cela est fort gauche et n'est certainement pas l'oeuvre d'un de ces habiles sculpteurs qui ont fait la gloire de l'école romane toulousaine. Cependant il n'est pas douteux que ce chapiteau se rattache à cette école par son inspiration. Le sculpteur de Lialores copia-t-il l'oeuvre d'un plus habile, ou bien s'inspira-t-il directement de cet Apocalypse de Beatus dont les miniatures ont exercé une si grande influence dans le Sud-Ouest ? Dans son récent et magistral ouvrage consacré à notre Art religieux au XIIe siècle », M. Emile Mâle note que le manuscrit de l'Apocalypse de St-Sever, commence par une brève histoire de la Chute et de la Rédemption, illustrée par des miniatures qui représentent notamment Adam et Eve, le Sacrifice d'Abraham, etc.. M. Mâle a prouvé que le sculpteur de Moissac s'était inspiré d'un manuscrit de l'Apocalypse offrant à peine quelques variantes avec l'Apocalypse de St-Sever. Or, aux chapiteaux du cloître de Moissac, nous retrouvons les deux scènes représentées à Lialores. Celles-ci sont-elles une copie réduite des scènes figurées à Moissac ? Il ne le semble pas, car s'il y a de grandes analogies de composition, la disposition des personnages présente de réelles différences. Ces analogies et ces différences s'expliqueraient mieux par le fait que le modèle utilisé par le 20 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. sculpteur de Lialores était quelque manuscrit dont les miniatures présentaient des variantes avec l'Apocalypse, qui inspira le sculpteur de Moissac 6. La travée médiane de la nef vaut, en dimensions, à peu près le double des autres travées, et constitue le carré du transept. Le premier mouvement, quand on entre dans cette église, c'est de chercher s'il ne reste aucune trace de pendentifs ou de trompes aux quatre piles qui cantonnent le transept. Mais il n'en est rien, et, bien que la chute des voûtes primitives ait endommagé jusqu'aux impostes du berceau actuel, il n'est pas possible de s'y méprendre. Rien n'autorise à croire qu'il y ait eu, à Lialores, une coupole. BAS-COTÉS. — La largeur des bas-côtés dépasse un peu la moitié de la largeur de la nef 7. A chaque travée de la nef correspond une travée de bas-côté. C'est dire que les deux travées de chaque bas-côté sont séparées par les croisillons du transept. Ces croisillons peuvent être regardés comme une longue travée intermédiaire, car ils ne dépassent pas l'alignement des murs latéraux. Nous verrons, cependant que leur voûte diffère des voûtes voisines. Seule, la travée de bas-côté qui précède l'absidiole méridionale a conservé sa voûte d'arêtes primitive. Les autres petites travées ont reçu des voûtes semblables en 1883. Les doubleaux ont été reconstruits en les copiant sur les doubleaux à section carrée de la voûte ancienne. Quant aux supports ils sont formés, d'une part, de colonnes engagées dans les piliers de la nef et, d'autre part, de colonnes adossées aux murs latéraux. Les chapiteaux sont presque tous semblables aux chapiteaux des parties basses de la nef. Un seul en diffère. Sa corbeille présente des tigres ayant deux corps pour une seule tête, et derrière lesquels se tiennent des êtres humains. C'est, comme on sait, un motif décoratif emprunté à l'Orient... Les bases sont également très voisines du type attique. L'une est ornée d'un boudin en cable entre le tore inférieur et le socle, fig. 5. Une seule base s'écarte sensiblement de ce type fig. 4. 6 M. Mâle t'ait remarque', en outré, que ce chapiteau de Moissac nous montre de la scène du sacrifice d'Abraham une particularité singulière Isaac est monté sur un tertre qui semble fait d'une suite de petites vagues reeour bées. Cette étrange façon de dessiner les montagnes avait été adoptée par les miniaturistes du Midi, elle se rencontre, ajoute M. Mâle, dans l'Apocalypse de St-Sever ainsi que dans le beau lectionnaire de l'école de Limoges ». E. MALE. L'Art religieux au XIIe siècle ; p. 20. Ces vagues se retrouvent sur ce chapiteau de Lialores. 7 Nef, largeur 8 m. ; bas-côté, largeur 4m80. EGLISE DE LIALORES. PREMIER TRIMESTRE 1924. 21 La nef reçoit le jour par les baies des bas-côtés. Pour donner un peu plus le clarté, en 1883, on élargit les deux baies qui s'ouvrent dans chaque croisillon. Celles-ci n'étaient pas cependant les plus étroites. En effet, on conserva la baie de la première travée du bas-côté méridional ; cette ouverture, qui remonte certainement à l'origine de l'église, est en plein cintre et fort étroite 0m15 de larg. sur 1m80 de h.. Elle est largement ébrasée à l'intérieur, sans ressauts. La travée correspondante de l'autre bas-côté ne possède pas de baie, car elle a été aménagée pour loger les fonts-baptismaux. Les croisillons du transept, comme on l'a dit plus haut, ne dépassent pas l'alignement des murs latéraux, et constituent aux bas-côtés une travée médiane égalant à peu près les deux petites travées réunies. En 1883, le restaurateur ayant à placer une voûte sur cette travée barlongue, opta pour une voûte en demi-berceau. Il était impossible, en effet, d'y placer une voûte d'arêtes parceque, notamment, le sommet de la grande arcade de la nef dépasse de beaucoup le faîte du mur latéral. Le demi-berceau avait l'avantage de nécessiter cette disposition et de contrebuter efficacement le berceau central. En outre l'on banda sous ce demi-berceau un arc en quart de cercle, qui retomba sur un pilastre engagé au milieu du mur de chaque croisillon. Ce pilastre est semblable aux dosserets voisins auxquels s'appuient les colonnes qui reçoivent les petits doubleaux des voûtes d'arêtes. Que penser de cette disposition ? Les dimensions du croisillon égalant, à bien peu près, les deux petites travées réunies, on est porté à se demander s'il n'y eut pas, à l'origine, une pile de la nef placée en face du pilastre médian qui reçoit aujourd'hui l'arc en quart de cercle. On concevrait aisément qu'après la chute des voûtes on ait sacrifié, de chaque côté de la nef, une de ces piles si encombrantes, afin de gagner du jour et de la place. Car ces piles, si rapprochées, eussent cessé d'être nécessaires le jour où un simple lambris remplaça les voûtes écroulées. Le plan de l'édifice eût été alors le plan basilical, si fréquent à l'époque romane une nef voûtée en berceau, flanquée de bas-côtés voûtés d'arêtes, et terminés par une abside et deux absidioles... Cette restitution imaginaire est tentante mais peu vraisemblable. Le sol de l'édifice ayant été légèrement exhaussé 8, on peut admettre que la base des piles disparues demeure cachée sous le pavé. Notons cependant que la restauration affecta aussi le carrellement, et que ce 8 On peut juger de l'exhaussement du sol par le fait qu'un banc de pierre, situé tout le long du mur du bas-côté méridional, ne s'élève plus guère qu'à 0m25 environ au dessus du sol. 2 22 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. travail aurait pu déceler la présence d'anciennes piles. En tout cas, rien ne permet de penser que la grande arcade n'est pas contemporaine des petites arcades. De plus, le pilastre médian du croisillon ne porte nulle trace de colonne engagée. Or il est peu probable qu'on aurait pris la peine de faire disparaître toute trace de cette colonne, le jour où elle serait devenue sans objet. En somme, si l'on excepte l'arc en quart de cercle 9 bandé sous le demi-berceau de chaque croisillon, tout porte à croire que la disposition présente de l'édifice est conforme à sa disposition initiale. Cette alternance de travées d'inégales dimensions, voûtées tantôt d'arêtes, tantôt d'un demi-berceau, est exceptionnelle. Il est malaisé de découvrir la raison de cette disposition, car les grattages et les nombreux remaniements, dont les parements ont été l'objet en 1883, rendent à peu près vains l'examen des décrochements d'appareil et la recherche des signes lapidaires. Cependant trois hypothèses peuvent être envisagées. La première consiste simplement à admettre que l'architecte roman innova timidement, de manière à donner un peu plus d'espace et de clarté à l'intérieur de l'édifice. La seconde et la troisième hypothèses supposent que l'édifice actuel est demeuré inachevé. L'une incline à rattacher au choeur la travée barlongue qui le réunit au transept, et à unir aux absidioles les travées correspondantes de bas-côtés. Cette restitution présenterait quelque intérêt, car elle nous permettrait de reconnaître à Lialores un nouvel exemple de plan bénédictin 10. Mais cette restitution n'est pas admissible ici. Un regard jeté sur le plan suffit à montrer que le choeur avait, à l'origine, les mêmes dimensions qu'aujourd'hui, car on ne s'expliquerait pas la présence d'une colonne engagée dans un dosseret, à l'entrée actuelle du choeur, si colonne et dosseret n'avaient toujours été destinés à porter l'arc triomphal rétabli depuis 1883. De plus, le sol du choeur et de la nef ne sont pas au même niveau. Quelques marches font passer de l'un à l'autre, et rien n'indique que ces marches aient jamais été placées à l'entrée de la dernière travée de nef. 9 A la rigueur, la présence du pilastre médian ne postulait pas nécessairement la présence d'un arc. Ce pilastre peut s'expliquer au besoin par le désir de roidir le mur latéral en ce point. 10 Rappelons avec M. Lefèvre-Pontalis que le caractère essentiel d'un plan bénédictin consiste dans la longueur du chevet, flanqué de profondes absidioles qui s'ouvrent sur les croisillons et qui communiquent avec le choeur par une ou plusieurs arcades ». Bulletin Monumental. Année 1912, p. 440. PREMIER TRIMESTRE 1924. 23 Reste la dernière hypothèse, à laquelle nous nous arrêtons plus volontiers. La nef de l'édifice n'aurait jamais été construite. Les travaux auraient été interrompus après l'achèvement du choeur, des absidioles et du transept. Ce transept muni de collatéraux ne serait pas, comme on sait, une exception. Nous le retrouvons, par exemple et toutes proportions gardées, à l'abbatiale de Conques. Ce serait trop s'avancer, sans doute, que de voir à Conques le modèle de Lialores. Et cependant cette disposition du transept se retrouve, développée, notamment, à St-Sernin de Toulouse et à St-Jacques de Compostelle 11. Or ces trois édifices méridionaux étaient, comme on sait, des églises de pèlerinage très fréquentées au XIIe siècle. Par ailleurs ces vastes proportions données au transept de Lialores s'accordaient avec la présence de moines. Dans les édifices monastiques, en effet, on donnait souvent de grandes dimensions, non seulement au choeur, mais encore au transept. Choeur et transept étaient alors réservés aux moines. On le voit, cette dernière hypothèse n'est pas sans fondement. Hâtons nous d'ajouter que ce ne peut être autre chose qu'une hypothèse, car, quelle que soit sa vraisemblance, elle est malheureusement invérifiable. CHOEUR ET ABSIDIOLES. — Le choeur s'ouvre sur la nef par un arc triomphal en tiers point à double voussure. Cet arc retombe sur des colonnes engagées dans un épais dosseret. Le plan du choeur comporte une abside en hémicycle précédée de deux travées voûtées en berceau brisé c'est la continuation du berceau de la nef. L'abside est voûtée en cul-de-four. Toutes ces voûtes ont été rétablies en 1883, de même que les arcs. Les chapiteaux sont bruts, depuis leur réfection. Les doubleaux reposent sur des colonnes engagées et non adossées. Elles sont anciennes sauf la colonne médiane engagée dans le mur méridional. Les bases, partiellement restaurées, sont attiques. Jadis une arcature entradossée faisait le tour du choeur. Il n'en reste aujourd'hui que cinq arcades, dans l'abside. Encore faut-il ajouter que les chapiteaux, les colonnettes et les bases, montées sur un stylobate, ont été presque entièrement refaits. Seuls les arcs, en plein cintre, ont conservé leur physionomie primitive. Ils sont simplement profilés à l'aide d'un quart de rond entre deux doubles grains d'orge. 11 La comparaison ne saurait être poussée à l'extrême, car rien n'autorise à penser que le carré du transept ait été, ici, surmonté d'une coupolle ou même d'une tour centrale, comme c'est le cas à Conques, à St-Sernin et dans beaucoup d'églises de l'école auvergnate, où souvent les coupoles sont épaulées par des demiberceaux. 24 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Le choeur est éclairé par trois larges baies placées dans l'abside, au-dessus de l'arcature. Un bandeau mouluré court sous l'appui des fenêtres et fait le tour du choeur. Ces trois fenêtres sont ébrasées intérieurement. Celle du milieu se trouve placée dans l'axe de l'édifice. L'extrados du cintre est orné d'un gros tore accosté d'un plus petit; il est surmonté d'un cordon formé, ici, d'une triple rangée d'oves, et là d'un damier. Les pieds-droits forment un léger ressaut dans lequel, de chaque côté, est logée une colonnette. Ces colonnettes possèdent de petits chapiteaux ornés de palmettes et de volutes, qui ne manquent ni de légèreté ni de grâce. Les tailloirs, ornés de palmettes, sont réunis d'une baie à l'autre par un bandeau à damier. Tout cela a été à peine effleuré par la restauration. Enfin au-dessus des baies et aux impostes de la voûte court un cordon d'oves semblable à celui qui fait le tour de la nef et des bas-côtés. Le choeur est flanqué de deux absidioles, qui s'ouvrent en regard des bas-côtés. Elles sont un peu moins larges cependant que ceux-ci, et à peu près semblables entre elles. Les différences viennent de ce que Pabsidiole septentrionale a été restaurée, alors que l'absidiole méridionale ne l'a pas été, ou peu s'en faut. La restauration de la première a d'ailleurs été inspirée par l'état de la seconde. Il suffira donc de décrire brièvement celle-ci. Elle comporte une courte travée terminée en abside circulaire. Elle est voûtée d'un berceau qui s'achève en cul-defour. Cette voûte est, avec la voûte d'arêtes de la travée, voisine, du bas-côté, la seule voûte primitive. Le restaurateur s'est contenté de la revêtir d'un enduit avec joints simulés, ce qui donne à penser qu'elle est faite en blocage, ainsi que la voûte d'arêtes qui la précède. Un arc doubleau en plein cintre encadre l'entrée de l'absidiole. Il repose sur des chapiteaux ornés de larges feuilles d'eau vigoureusement traitées, qui couronnent des colonnes engagées. Les bases ont été restaurées en partie, mais des griffes y sont encore visibles. Ces griffes, trop mutilées pour être décrites avec sûreté, sont les seules qui paraissent aux bases de cet édifice. Enfin un bandeau porté par de petits modillons fait le tour de l'absidiole sous l'appui des fenêtres. Celles-ci, au nombre de trois, paraissent être les baies primitives. L'une, convertie en niche depuis l'établissement d'une sacristie derrière l'absidiole, est percée dans l'axe de cette absidiole ; les deux autres s'ouvrent dans le mur méridional. PREMIER TRIMESTRE 1924. 25 § 2. Extérieur ' La façade occidentale est partiellement postérieure à l'ensemble de l'édifice. Au centre se trouve le portail percé dans un épais massif de maçonnerie et largement ébrasé vers l'extérieur. Les pied-droits sont pratiqués en ressauts successifs, séparés par des colonnettes. Il y a cinq colonnettes de chaque côté. Chacune est ménagée dans le parement et repose sur un socle monté sur un haut stylobate. Ces colonnettes reçoivent les voussures de l'archivolte sur des chapiteaux ornés de deux rangées de feuillages et de fleurettes. L'archivolte comporte cinq voussures en tiers-point, formées de tores amincis et encadrés de filets et de rainures. Il n'y a pas de tympan. Enfin un cordon de crochets encadre le tout et retombe sur des culots analogues aux chapiteaux des colonnettes. La guirlande de feuillage, qui orne les corbeilles et les culots, continue horizontalement de chaque côté du portail. Les profils de l'archivolte, sa forme, les crochets de feuillage du cordon extérieur, la décoration très caractéristique des chapiteaux, la forme des tailloirs, celle, très mince, des corbeilles, tout ici, jusqu'à l'ensemble du portail, indique une oeuvre du XIVe siècle. Au-dessus et un peu en retrait du portail est placé le clocher. C'est un clocher-mur. Il comporte un étage rectangulaire surmonté d'un pignon plutôt aigu. Les baies campanaires sont percées dans le pignon 2, 2 et 1. Elles sont en tiers points et, sur chaque face, l'arête du parement qui les encadre a été arrondie en baguette et dégagée entre deux gorges. A l'aide de petits chapiteaux taillés également dans le parement, cela donne l'aspect d'un arc porté sur de fines colonnettes. On retrouve sur ces menus chapiteaux les bouquets de. feuillage du portail. Les pentes du pignon sont protégées par un appareillage très soigné, qui déborde sur chaque face sous la forme de dents de scie concourant à la décoration très sobre du pignon. Point de contreforts. Le massif dans lequel est percé le portail en tient partiellement lieu, et la maçonnerie ne diminue guère d'épaisseur qu'au-dessus du niveau très sobre du pignon. A l'angle nord de la façade, se trouve la tourelle de l'escalier, par lequel on accède à une galerie en charpente placée au revers du clocher et au niveau des baies campanaires. Cette tourelle est engagée dans la façade. Elle est circulaire jusqu'à mi-hauteur puis devient pentagonale. Un contrefort l'épaule dans sa partie inférieure. L'escalier, enfin, est moderne et reçoit un peu de jour par d'étroites archères 26 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Les murs latéraux de l'édifice ont été très remaniés en 1883. Les contreforts sont plats et à deux ressauts. Certains ont été complètement refaits, tous ont été restaurés. La corniche est entièrement moderne, ainsi d'ailleurs que toute la partie supérieure des murs. Seule l'absidiole méridionale n'a guère été touchée par la restauration. Un contrefort plat s'élève jusqu'à la corniche, qui a conservé en partie ses modifions ornés de masques, de crochets, d'animaux, etc.. Dans l'angle formé par l'absidiole méridionale et le choeur une petite porte donne aujourd'hui accès dans une sacristie. Cette porte est peutêtre ancienne. Elle est munie d'un linteau droit, porté par deux corbelets. De même, si l'on observe le parement extérieur du choeur auprès du point de jonction de ce parement avec celui de l'absidiole septentrionale, on remarque une petite baie qui est aujourd'hui murée. Cette petite baie en plein cintre est dépourvue de toute mouluration. Elle mesure 0m55 de large sur 1m45 de haut. On a cru voir dans cette baie aveuglée une ancienne porte réservée aux cagots, cette race maudite qui était tenue à l'écart jusque dans les églises. Or cette baie se trouve à environ 0m80 au dessus du sol extérieur, et ses dimensions par trop réduites ne sont pas d'une porte. Ne serait-il pas plus vraisemblable de voir en cette baie une ouverture destinée à permettre aux pèlerins de contempler le tombeau du Saint, sans avoir à pénétrer dans l'église ? Il y a une disposition un peu analogue, quoique différente, à l'église de Monsempron et on sait qu'elle n'est pas exceptionnelle 12. Il y avait autrefois un caveau sous le choeur de Lialores, et c'est là qu'étaient placés les restes du Saint 13 Or, dans beaucoup d'églises, ce caveau appelé confession » possédait une ouverture permettant de voir ou même de toucher le tombeau vénéré. Les pèlerins ne manquaient pas, on le comprend, de se rendre à la confession. Lorsque le choeur était entouré d'un déambulatoire, le vaet-vient des pélerins était possible quoique gênant pendant les cérémonies. Mais quand le choeur ne possédait pas de déambulatoire — et c'est le cas à Lialores — la circulation autour du tombeau était impossible. Comme on le voit, l'existence d'une petite baie ouverte sur 12 M. Brutails, notamment, en a signalé plusieurs exemples en Gironde Les vieilles églises de la Gironde, p. 215. 13 Les reliques de St-Antoine de Lialores sont aujourd'hui conservées dans deux reliquaires. L'un est moderne, l'autre est une boîte octogonale 0,20 de h. en plomb. L'une des faces, munie d'une glace, laisse voir le chef du saint ; deux autres faces sont ornées de dessins gravés au trait, on voit d'une part une main portant une palme, avec la date 1639, et d'autre part un porc. PREMIER TRIMESTRE 1924. 27 l'extérieur de l'église, à hauteur de la confession », était tout à fait justifiée. Le choeur est épaulé par cinq contreforts. Deux d'entre eux sont placés à la naissance de l'abside. Ils sont de faible saillie et ne semblent pas avoir été beaucoup modifiés par la restauration. Il en va autrement des trois contreforts du chevet, qui sont épais et puissants. Le contrefort intermédiaire étant dans l'axe de l'édifice se trouve sous la baie médiane de l'abside. Ce contrefort trapu a été ajouté depuis 1885, parait-il, afin de mieux assurer la stabilité de l'abside. Au même moment, on renforça, en les élargissant, les deux contreforts voisins qui s'élèvent jusqu'à la corniche. Les trois baies de l'abside offrent extérieurement le même aspect qu'à l'intérieur. Colonnettes à jolis chapiteaux ornés de volutes. Au centre, double tore surmonté d'un triple cavet peu évidé et garni d'oves. Aux deux autres baies damiers et oves entre deux cavets. La corniche a été totalement refaite en 1883, ainsi que le sommet des murs. Bien entendu la toiture est entièrement moderne. Le choeur et chaque absidiole ont reçu en 1883 une toiture indépendante, analogue vraisemblablement à celle qu'ils reçurent à l'origine. En revanche, la nef et ses bas-côtés furent converts d'une grande et unique toiture à deux eaux, comme ce fut l'usage en Poitou à l'époque romane. Or l'inclinaison de la toiture est telle que les tuiles de couverture glissent constamment et font douter de la similitude de cette toiture avec la toiture primitive. Pour conclure, il ressort de l'examen de cette église qu'elle fut édifiée en deux campagnes séparées par au moins un siècle. La première campagne vit s'élever le choeur, les absidioles et ce qui forme aujourd'hui la nef et son transept. Alors furent construits également les murs qui limitent les bas-côtés à l'occident. Un décrochement d'appareil, antérieur à la restauration, est visible au point où s'amorce le portail. Il est regrettable que nul document historique ne nous renseigne sur la date de cette première campagne. Nous savons, par ailleurs, combien la persistance des habitudes romanes dans le Midi oblige à une grande prudence quiconque s'efforce de dater un édifice d'aspect roman... Toutefois, à Lialores, ce qui subsiste des anciennes voûtes et ce qu'on sait des voûtes disparues ; la coupe et la forme des supports et des arcades ; la décoration essentiellement romane, le relief vigoureux SOCIETE ARCHEOLOGIQUE DU GERS. et sobre de la sculpture ; le plan de l'édifice lui-même invitent à attribuer cette première campagne de travaux à la seconde moitié du XIIe siècle. Certain chapiteau des parties hautes de la nef, où sont taillés, sans grande adresse, ces crochets de feuillage dont les gothiques firent un si heureux usage, nous ferait songer volontiers à l'extrême fin du XIIe siècle. La seconde campagne ajouta à l'édifice, demeure sans doute inachevé, le portail, le clocher-mur et sa tour d'escalier. Ces additions, on l'a vu, portent nettement la marque du XIVe siècle. Sans doute est-il regrettable que l'édifice actuel ait souffert au cours des siècles, au point de nécessiter une large restauration. Il n'en est pas moins vrai que la restauration ne parait pas avoir défiguré l'édifice, et que celui-ci demeure un des plus intéressants échantillons d'architecture romane du département du Gers. Ses heureuses proportions son homogénéité, la sobriété de ses lignes et l'effet très simple de sa décoration ajoutent encore à l'intérêt archéologique qu'il présente. Ce monument mériterait d'être classé parmi les Monuments historiques. En 1874 un dossier fut formé à cet effet. Malheureusement il s'égara avant d'arriver à Paris, et la demande de classement n'aboutit point. Depuis lors, l'édifice ayant été restauré n'exige que de minimes dépenses d'entretien. Une nouvelle demande de classement n'aurait-elle pas plus de succès ? Et ne serait-il pas désirable que le nombre, plutôt restreint, des monuments historiques du Gers s'accroît d'une unité en faveur de l'église de Lialores ? PREMIER TRIMESTRE 1924. 29 UN APOTRE JACOBIN PIERRE-NICOLAS GHANTREAU PROFESSEUR, JOURNALISTE, AGENT SECRET 1741-1808 PAR M. G. BRÉGAIL Suite. En rentrant du Monserrat, Chantreau est pris du désir d'observer de près cette noblesse frivole en travail de conspiration. Or, le meilleur moyen de la connaître n'est-il pas de se mêler à elle et de vivre son existence ? Sa résolution est bientôt prise il s'efforcera d'y parvenir et imposera silence, pendant quelques jours, à la colère qui l'anime ainsi qu'à la haine méprisante et farouche que lui inspirent les émigrés. Pour réaliser ses desseins, il n'hésitera pas à prendre le masque odieux de la dissimulation, à espionner ceux-mêmes dont il sera l'hôte et à trahir ainsi la confiance qu'ils lui auront étourdiment et imprudemment accordée. Aussi bien, il ne rencontrera point de difficultés. Le coeur ouvert à la joie et à l'espérance, ses compagnons de voyage l'invitent familièrement à partager les amusements et les distractions qu'on leur offre. Un simple panache blanc à son chapeau lui suffira pour entrer dans la société des émigrés de distinction. Ce panache est un signe de reconnaissance. Comme on se trouve en pleine période de carnaval, ils festoyent joyeusement et multiplient les parties de plaisir. Ces circonstances favorisent Chantreau et lui permettent d'assister à un bal chez une dame de marque, véritable reine des émigrés français de Catalogne, et, d'ailleurs, un peu reine par ses attaches sentimentales. C'était la séduisante Louise d'Esparbès de Lussan, comtesse de Polastron, dont on connaît la liaison avec le comte d'Artois. Avant tes événements de 1789, cette gracieuse jeune femme remplissait à Versailles les fonctions de dame du palais. 30 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. C'est là que, admirée, fêtée, adulée, elle devint la favorite du comte d'Artois, qu'elle suivit plus tard dans l'émigration. Elle séjourna successivement en Suisse, en Italie, à Coblentz, à Hamm et en Angleterre où elle mourut. Ses biographes 47 paraissent ignorer qu'elle passa tout au moins quelques jours à Barcelone, au début de l'année 1792, comme cela résulte indubitablement du récit qu'on va lire Le lundi gras, on me mena au bal chez Madame la marquise de Polastron qui a émigré avec son époux, et jouit auprès de M. de Lacy de la plus haute considération. Son Excellence est même aux petits soins pour madame l'émigrée, qui est fort aimable lorsqu'elle oublie les motifs de son voyage et qu'elle cesse de parler politique. Ce qu'elle fait assez volontiers avec un jeune officier de Champagne qui m'a paru, et à madame la marquise aussi, l'émigré le mieux tourné qui soit sorti de France; c'est la tête d'Adonis sur le corps musclé d'Hercule les Catalanes pourront bien le lui souffler. A ce bal, et à celui qui le suivit, on parut faire trêve à la politique pour quelques instants, ou plutôt on dansa en parlant politique et contre-révolution, car cette chimère est sans cesse l'idée favorite des Français qui ont franchi les monts. La femme d'un président de Toulouse qui était une excellente figure, et sa nièce qui l'avait charmante; deux dames de Bordeaux qui faisaient les précieuses et qu'on me dit être les parentes ou les amies d'un commissaire des guerres qui avait émigré avec toutes ses aises, deux demoiselles Bassecour Bassecour étaient de très jolies catalanes, et filles d'un officier des gardes-wallones, une grisette renforcée qui était à la Polastron et peut-être à son mari furent les dulcinées de la fête. Le héros en fut le Lautrec dont je viens de vous entretenir les émigrés s'empressaient autour de lui comme des poussins sous la poule qui les conduit. Il revenait de son voyage de Madrid, que des officiers espagnols m'avaient déjà annoncé n'avoir pas été heureux le comte de Lacy, pour s'en dépêtrer, lui avait permis d'aller à la Cour, où il avait été assez osé, assez peu politique pour solliciter publiquement la levée de deux régiments d'émigrés. Florida Blanca n'eût pas demandé mieux; mais Charles IV et son conseil ont craint les suites de ce rassemblement, et Charles IV a éconduit Lautrec à sa manière, 47 Philippe LAUZUN Un poryrait de Mme de Poltistron — in-8 carré de 70 pages — Auch, 1906, imp. Cocharaux. 48 Vicomte de REISET Les reines de l'émigration comtesses de Polastron et de Balbi. PREMIER TRIMESTRE 1924. 31 c'est-à-dire presque ignominieusement. Eh bien, malgré sa mésaventure, il a eu l'impudence d'assurer en pleine assemblée, qu'il avait obtenu l'objet de sa demande; mais il n'est pas bon menteur, car tout en disant oui, tout en chantant victoire, on voyait le désespoir sur son front; sans doute, il était dans son coeur. Les plus clairvoyants des émigrés n'en furent pas la dupe; mais le commun des martyrs prit l'assurance de cet aventurier pour une vérité, et cent lettres partirent le lendemain pour annoncer à toutes les gentilhommières de la Gascogne que les émigrés étaient enrégimentés qu'on y recevrait tous ceux qui s'y présenteraient, et que s'ils étaient sans moyens, ils recevraient quatre réaux par jour vingt sols. Cette nouvelle qui est de la plus grande fausseté, non'seulement a fait pleuvoir des Gascons en Catalogne, à pied, à cheval, en chaise, en charette, jeunes, vieux nobles, roturiers, riches, pauvres, de toutes les tailles, couleurs et espèces, mais encore, et ce que se proposait ce fourbe Lautrec, elle a fait sur le parti patriote la plus vive impression; elle l'a ulcéré à un tel point qu'il s'est porté à quelques inconsidérations qui auraient pu rompre la bonne harmonie entre les deux nations si de grands intérêts n'en formaient pas la base. Le bal se passa le mieux du monde, les dames bordelaises perdirent de leur raideur, la danse et les soins des jeunes officiers, de maussades qu'elles étaient d'abord, les avaient rendues piquantes et les délices de la société. Elles avaient reçu de la nature tout ce qu'il faut pour les faire; mais l'éducation, qui souvent contrarie cette nature en voulant la façonner, avait défiguré, gâté chez ces dames ces heureux dons dont on ne connaît jamais assez le prix. Pour se donner du ton, elles avaient contracté un rire grimacier toujours déplaisant, au lieu du rire ingénu qui dit tant et plaît toujours ; elles cessèrent donc de grimacer et furent charmantes. On quitta la danse à minuit pour passer dans un salon où l'on avait servi un très joli ambigu, c'était l'élégance parisienne la mieux entendue et du plus grand genre. Les dames catalanes qui n'avaient jamais rien vu que ce qu'elles appellent leur refresco, qui est une très plate collation dont le chocolat fait la base, ces dames se crurent à une féerie. On mangea debout et d'assez bon appétit. On but comme on avait mangé, et des vins français d'abord; car vous savez que dans toutes les tables de l'Europe ils sont en honneur et qu'ils le méritent. Après les premiers morceaux et quelques bouteilles de ci-devant Bourgogne, qu'on nommera encore longtemps ainsi, et qu'on dépêcha presque sans mot dire, on décoiffa les vins généreux, et la gaieté 32 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. française s'empara de la table dans tous ses points cependant la politique ne l'abandonna point, elle semble depuis 1789 en être la compagne inséparable et souvent la maîtrise ; mais elle fut gaie, bruyante, car vous savez que les Français donnent à tout une teinte de leur humeur enjouée qui ne se contriste d'aucun événement ou le tourne au rire. A la première bouteille de Xérès qu'on vida, on convint tout d'une voix de porter une santé aux généreux Français rassemblés à Coblculz. Cette santé collective fut suivie d'une santé particulière et spéciale à M. le comte d'Artois et des vive le brave d'Artois furent répétés avec l'emphase que prêtait aux buveurs l'excellent Malaga qui avait succédé au Xérès et colorait les verres d'une manière si agréable Que de comiques blasphèmes nos hobereaux prononcèrent contre l'assemblée constituante, l'assemblée actuelle, les quarante mille municipalités et contre Louis XVI qui les trahissait. On ne lui pardonnait pas de s'être laissé ramener à Paris, lors de sa fuite vers Montmédy Je me serais plutôt fait tuer disait l'un , que de souffrir un pareil affront; fléchir, dételer sa voiture parce que deux polissons le lui ordonnent ! — Henri IV, disait un autre, s'y serait bien pris autrement; il fut parti à cheval et eût passé sur le ventre à tous les Drouet de la terre. » Si Louis XVI essuya quelques bordées de cette tourbe mécontente, ce fut bien pis quand elle se mit à gloser sur le compte des Jacobins. Les fables les plus absurdes, les calomnies les plus atroces se succédèrent avec une loquacité vraiment comique. C'étaient des scélérats pour lesquels rien n'avait été sacré. Eux seuls avaient fait les malheurs de la France, incendié les châteaux, ameuté les peuples contre les autorités légitimes, profité des biens du clergé et ruiné les finances qu'ils pillaient de cent manières. Ils avaient des espions partout, des assassins dans toutes les cours; ils avaient empoisonné Léopold et conjuré contre toutes les têtes couronnées, qui, justement irritées, voulaient exterminer cette horde de brigands et rétablir en France le prince qu'elle avait avili, le culte des autels qu'elle avait anéanti, et les hommes noblement nés qu'elle avait poursuivis. Leur désespoir était que ces sociétés qui, selon eux, se disent si orgueilleusement et si mal à propos les amis de la Constitution, s'étaient propagées avec une rapidité qui tenait du prodige, et que toute la France ne formait pour ainsi dire qu'un seul et même club. Qu'ils avaient raison de les maudire ces sociétés ! Car les amis de la Constitution sont les seuls, les véritables ennemis des émigrés. Ce sont leurs sociétés qui ont éventé leurs projets, suivi toutes leurs trames, arrêté toutes leurs entreprises. Ah ! sans doute, sans les amis PREMIER TRIMESTRE 1924. 33 de la Constitution notre révolution n'eût été qu'un vain effort, et le Français, forcé de reprendre les chaînes qu'il avait osé briser, eût éprouvé le sort de l'esclave qui a essayé de fuir et n'a pas réussi; on eût doublé le rivet et le poids de ses fers ! Mon ami, l'hommage que je rends ici aux amis de la Constitution est d'autant moins suspect que vous savez que je ne suis d'aucun club, et que dans le silence je me contente de cultiver les lettres et votre amitié ; mais je suis reconnaissant, et quand j'ouvre l'histoire de la Révolution, que je vois les services qu'ont rendus à ma patrie les amis de la constitution dans tous les points de la France; qu'à Marseille, à Bordeaux, à Nantes, etc, etc, je les vois courir dans les manufactures assurer du travail à l'honnête ouvrier découragé par l'aristocratie et la pénurie du numéraire, que les ennemis du bonheur public ont enfoui ou porté en terre étrangère; quand je les vois dans les petites villes telles que Sésanne 49, par exemple, rassurer le journalier, partager avec lui les denrées et dissiper les terreurs qu'on lui a inspirées; quand je les vois partout distribuant le précieux almanach du Père Gérard, instruire le peuple sur ses devoirs, lui dévoiler la vérité, que les fanatismes réunis de la religion et de la noblesse se sont efforcés de couvrir de leurs crêpes lugubres; quand je vois, dis-je, tant de bienfaits, mon coeur, toutes mes facultés sentimentales s'exaltent et je m'empresse de baiser la main dont je les tiens. Dans tout ce brouhaha et les injures que le Malaga inspirait à nos émigrés, il ne fut pas question de Monsieur. Les Français qui sont ici n'ont pas de ce seigneur une idée favorable, et il m'est revenu qu'au-delà du Rhin il était sans nulle considération. Il a fait comme le genevois Necker, dont il a l'hypocrisie sans en avoir le charlatanisme; il a voulu ménager les deux partis et se les est mis à dos. L'affaire de l'infortuné Favras 30 l'a perdu, et dans l'esprit de 49 Sézanne est un chef-lieu de canton de l'arrondissement d'Epernay dans le département de la Marne. 50 Favras Thomas de Malvy marquis de né à Blois en 1744 appartenait à l'armée. En 1789, il voulut jouer un rôle dans la révolution qui se préparait et, à cet effet, il proposa aux ministres divers plans de réformes politiques et financières. Pendant les journées des 5 et 6. octobre, il forma le projet de lever dans l'Est hommes pour s'opposer à la nouvelle constitution; d'entre eux seraient entrés à l'improviste dans Paris, auraient arrêté La Fayette et Bailly puis enlevé le roi et sa famille pour les conduire à Péronne au milieu d'une armée de hommes. Le comte de Provence favorisa la réalisation de ce projet en donnant sa garantie à des banquiers à qui Favras empruntait deux millions. Arrêté par la police municipale Favras lut traduit devant le Châtelet. La cour n'osa pas approuver sa complicité avec lui et l'attitude du comte de Provence pendant le procès révéla sa faiblesse et sa lâcheté. Le conspirateur fut condamné à être pendu 34 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. l'homme à cocarde blanche et dans l'esprit de l'homme aux trois couleurs. J'ai entendu à Paris l'habitant du faubourg Saint-Antoine dire c'est Monsieur qu'il fallait pendre et. non ce pauvre diable de Favras. J'ai entendu les émigrés le maudire de ce qu'il avait abandonné lâchement un gentilhomme qui avait tout risqué pour le servir. Après avoir bu à la santé du roi d'Espagne, qui accordait si généreusement un asile à la noblesse persécutée et promettait de soutenir et de venger la religion et ses ministres, si cruellement outragés, on but à la santé du roi de Suède qui n'est plus, à celle de la vieille czarine, qui ne tardera pas à le suivre, et à tous les monarques qui se portaient fort pour le soutien de leurs droits et avaient juré la perte de ces vils sans-culottes qui ont osé être libres, qui ont osé invoquer les droits de l'homme, tandis que le système de l'Europe est pour le droit de l'épée. Je n'attendis pas pour me retirer la fin des santés; je connaissais mes compatriotes et le vin qu'il buvaient, je craignis que l'orgie, d'abord honnête, ne prît un caractère plus bachique et je filai. La plupart des dames en avaient fait autant, la Polastron seule tint tête aux; buveurs et je sus le lendemain qu'elle s'était grisée par patriotisme ; car les émigrés appellent patriotisme leur projet affreux de brûler leur pays, de détruire la capitale et de bouleverser les lois consenties par la majorité de la nation. Ils appellent patriotisme l'acte criminel d'inviter l'étranger à porter dans nos foyers la guerre et ses horreurs; ils appellent patriotisme leurs menées, leurs trames et leurs complots étrange erreur de l'esprit égaré par l'orgueil offensé. Au lendemain de cette mémorable soirée, Chantreau fait la rencontre inattendue, et combien pénible pour lui, du neveu de son ami, de celui-là même à qui sont adressées ses lettres de Barcelone ». Ce jeune militaire a suivi dans l'émigration son lieutenant-colonel, un cerveau brûlé qui rêve contre-révolution même les yeux ouverts et qui admire comme des héros le comte d'Artois, Condé et MirabeauTonneau. » Cet officier, usant à l'égard de son subordonné de l'ascendant que lui donnait l'âge et le grade, avait faciet faciet en place de Grève. Conduit au supplice le 19 février 1790, 11 mourut très courageusement sans vouloir faire des aveux susceptibles de compromettre la famille royale pour le salut de laquelle il avait risqué sa vie. PREMIER TRIMESTRE 1924. 35 lement persuadé à ce jeune militaire que la situation politique ne permettait plus à un homme d'honneur de servir la France; d'après lui, toutes les autorités légitimes étaient méconnues, la monarchie avilie et le serment exigé des officiers était une formule odieuse, couvrant d'opprobre celui qui le prêtait. Chantreau fait raconter à son jeune compatriote tous les détails de son émigration puis il se fait révéler le plan de contre-révolution des émigrés La cour de Vienne, chargée du principal rôle, selon ce plan, devait amuser Louis XVI, qui ne demandait peut-être pas mieux, ou plutôt l'Assemblée nationale qu'on amuse si aisément, et pendant ce tempslà on faisait filer des troupes vers nos frontières et l'on nous cernait de tous les côtés, de manière à ne pouvoir rien entreprendre. Les ministres, d'accord avec les puissances étrangères, devaient Sous différents prétextes retarder les apprêts de guerre ou les ordonner si gauchement qu'il eut été impossible aux Français d'entrer en campagne lorsque la défense de leurs foyers l'aurait exigé. Alors on répandait un manifeste dans lequel les princes, la noblesse et le clergé, exposaient qu'ils ne voulaient point la guerre ni la destruction de la constitution acceptée par le roi, mais qu'ils exigeaient, et que le retour de l'ordre l'exigeait avec eux, que cette constitution fût redressée dans plusieurs de ses articles. Pendant ces pourparlers, l'empereur, du côté du nord, s'emparait de nos places de guerre, tandis qu'au midi, l'Espagne, le roi de Sardaigne et tout ce qui pouvait armer en Italie, nous tombaient sur les bras. En France, les mécontents qui sont très nombreux, et ceux qui feignent de l'être pour piller, formaient un camp vers le midi; un autre avait lieu en Normandie, et nos côtes étaient attaquées par une flotte russe, aidée de l'Espagne et des Suédois. Dans cette extrémité, le roi aurait paru à l'Assemblée nationale, à laquelle on présumait que tant de forces prêtes à l'accabler auraient fait perdre courage; il lui aurait déclaré qu'il prétendait faire droit au manifeste des princes, que le maintien de la paix l'ordonnait ainsi que l'état malheureux où se trouvait la France, qui ne pouvait résister à l'Europe conjurée contre elle. Sans doute, n'ayant rien de mieux à faire, l'Assemblée aurait paru se rendre à ces raisons et aurait négocié. Alors une diète avait lieu à Ratisbonne, et Kaunitz, au nom de l'empereur et de toutes les puissances réunies présentait les clauses d'une transaction qu'elles s'offraient de garantir, et dont les principales étaient ; 36 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS que la noblesse serait rétablie dans ses titres, le clergé séculier dans ses possessions et le roi dans toutes ses prérogatives. Les monastères et couvents restaient abolis, mais les évêques étaient à la nomination du roi. Le peuple continuait à élire ses pasteurs, qui cependant n'étaient installés qu'avec l'agrément de l'évêque qui était obligé de déclarer ses motifs de non admission. Les chefs des tribunaux étaient aussi choisis par le roi, le peuple ne nommait plus que ses officiers municipaux, et le nombre des municipalités était réduit à quatre par département. Le reste devait subsister à peu près comme il se trouve dans la constitution. Quant à l'Assemblée nationale, elle devait être par session et composée de deux, chambres la haute, où devaient siéger la noblesse et le clergé, et la basse, que devait composer le tiers-état ; cette seconde chambre ne devait se mêler que de voter l'impôt et en examiner l'emploi. Après avoir pris note de ces révélations, Chantreau assure à son jeune ami que ce rêve aristocratique » ne se réalisera pas par suite du changement qui s'est opéré en mars dans le ministère; puis il lui fait comprendre la sottise qu'il a commise en émigrant; enfin, il le détermine à rentrer en France avec lui pour reprendre sa place sous les plis du drapeau tricolore. Mais l'heure du rapatriement n'a pas encore sonné, il reste encore du temps à l'agent de Delessart pour observer les émigrés. D'ailleurs, les fêtes joyeuses du carnaval battent leur plein, les divertissements abondent et, pour se distraire, un Français n'a qu'à regarder autour de lui. Il y a foule sur la Rambla et quelle foule animée, bruyante et variée ! A cette heure, elle s'amuse follement à voir passer des gens déguisés, mais sans masque car il est interdit d'en porter. Chantreau s'intéresse davantage au costume des Espagnols, costume qui ne ressemble en rien, dit-il, aux descriptions qu'on en a faites et qui n'est point tel qu'on le montre au théâtre ou dans les gravures. Les hommes s'habillent à la française comme sous Louis XV, toutefois, l'usage du manteau est plus commun qu'à Paris. Les gens du peuple portent le costume national chapeau à trois cornes et cheveux enveloppés dans un rets de soie à l'extrémité duquel pend un gland qui descend sur l'épaule; gilet court et serré; veste également courte, à petits boutons et dont les manches PREMIER TRIMESTRE 1924. 37 sont attachées par des lacs de rubans d'une couleur différente de la veste; long manteau dans lequel l'Espagnol sait si bien se draper qu'on ne lui voit souvent que les yeux. Ce costume varie quelque peu dans les campagnes. Ainsi les paysans catalans aiment à se coiffer d'un bonnet de laine écarlate; ils portent une casaque longue, toute d'une venue, et des chaussures ressemblant à celles des anciens Grecs. Les femmes, à quelque classe qu'elles appartiennent, risquent de se voir manquer de respect dans la rue si elles s'éloignent du costume national. Mais en voiture ou à la maison elles s'habillent fréquemment à la française; quelquefois même, elles exagèrent nos modes d'une façon comique. Or, rien de plus monotone et d'aussi peu seyant, que leur costume national. Qu'on s'imagine une femme ayant une longue jupe noire qu'on nomme basquina et une grande serviette sur la tête qu'on appelle voile, qui lui couvre la taille et la couvre tout d'une venue et l'on aura une idée exacte du costume espagnol pour les femmes. La jupe est de soie, et pour les grandes parures de moire; le voile, auquel on donne le nom de mantilla est blanc et de mousseline ; il est quelques femmes qui le portent noir. Au lieu du voile, les dames, dans certaines cérémonies, surtout celles d'églises, et il y en a beaucoup, remplacent le voile par le manto; il en diffère en ce qu'il est noir, qu'il a des manches et que par derrière il descend jusqu'à terre. On porte sous la mantilla un juste très avantageux à la taille, que presque toutes les Espagnoles ont céleste et qu'alors elles savent montrer en dépit du maudit voile, que d'abord on choisit très clair, et qu'on sait ensuite arranger, écarter et manier de façon à le rendre favorable, agaçant même par l'air de mystère qu'il force à prendre. Sous la mantilla les dames portent des bonnets à la française. qui leur vont mal, et en hiver, une pelisse qui les rend ridicules et semblables à des mannequins L'on dit qu'une femme est en maja lorsqu'au lieu du bonnet, elle porte un rets de couleur avec un gland, qui tombe vers le milieu du dos. Ce rets, d'abord une simple coiffe, est aujourd'hui un énorme sac, fait de rubans enlacés les uns dans les autres, et rien ne sied si mal aux femmes, qui sûrement ne le garderont pas longtemps parce qu'elles savent se défaire promptement de ce qui ne leur va pas bien, malgré le caprice de la mode et son despotisme. 8 38 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Le matin, quand une femme sort de, chez elle, comme elle est toujours censée aller à l'église, elle a alors à la main un gros chapelet que l'on appelle rosaire, el rosario; il concourt dans l'ajustement avec l'éventail; il est quelquefois d'or, mais toujours chargé de médailles de ce précieux métal, et de petits reliquaires enrichis on le tourne autour du poignet en en laissant pendre la croix et les médailles, ce qui devient un bijou de luxe. Il y a encore un costume particulier adopté par quelques dames et qu'on appelle habito une maladie, la dévotion, l'envie de porter les couleurs de son amant ou quelque autre motif les ont déterminées à faire voeu de porter l'habit de Saint-François ou des Pères de la Merci, très nombreux, et très célèbres en Espagne; alors, vous voyez de jolis petits minois courir les rues avec une jupe de la couleur et de l'étoffe de l'habit des franciscains. Vous les voyez publiquement ceindre le fameux cordon de Saint-François, et cet emblème de macération et d'humilité devient souvent la ceinture de Vénus 51. Mais parmi les divers costumes qui s'offrent au regard de Chantreau il n'en est pas de plus amusants que ceux des pages des ousias ». Un besoin de rire, irrésistible et fou, le secoue tout entier lorsqu'il se trouve en présence de ces grotesques personnages au bizarre accoutrement. Sachez d'abord qu'en Espagne on donne le titre de ousias » à la noblesse de second rang, c'est-à-dire à tous les nobles qui ne sont point grands d'Espagne ». Or, toute dame ainsi titrée, quand elle sort à pied, se fait précéder d'un personnage ridiculement prétentieux qu'elle nomme son page. Chantreau en fait un portrait délicieux et d'un pittoresque achevé Les cheveux plats et la figure de même comme le disait Voltaire on parlant de l'abbé Trublet, une bourse usée, plate, grasse et atta51 atta51 dernières lignes semblent être une réminiscence du madrigal composé par Voltaire au sujet, d'une célèbre amoureuse de la Cour du Régent, Mlle de Louise Anne de Bourbon Coudé qui eut l'idée de se faire peindre par Gobert en habit, de cordelier Frère Ange de Charolais, Dis-nous par quelle aventure Le cordon de saint François Sert à Vénus de ceinture. Voir le recueil Maurepas et, Clairambault. Ce fameux portrait, on ne sait comment est allé échouer au petit musée de la ville de Mirande. PREMIER TRIMESTRE 1924. 39 chée au milieu de la tête; voilà pour le haut. Une rapière pareille à celle de M. Ragotin, un habit sec et presque toujours troué aux coudes, une culotte énorme, des souliers en fort de la halle; voilà pour le reste du corps. Quant à son physique, il a les genoux cagneux et les pieds en dedans. Tel est l'adonis qui précède les ousias »; j'oubliais de vous dire qu'il porte le chapeau sous le bras, qu'il marche au petit pas et en se grattant la tête. Nous n'avons pas de ces visages-là en France, pas même sur les tréteaux de nos bateleurs. De la Rambla si animée par la foule des promeneurs et si vive de couleur locale, Chantreau se trouve poussé par la curiosité au nouveau théâtre. La comédie et l'opéra s'y jouent alternativement. Pour la comédie, le spectacle commence à quatre heures et se termine à sept. L'opéra italien accapare la scène une demi-heure après et y figure jusqu'à neuf heures. Friands de mélodrames et de grosses farces, les gens du peuple assistent de préférence au premier spectacle, tandis que les gens du monde se réservent pour le second. Ce jour-là on donnait La lavandera de Napoles la blanchisseuse de Naples, drame long et décousu où le comique succédait au larmoyant de la manière la plus ridicule ». Pour intermède, on joua Los estudiantes de Salamanca qui n'étaient qu'un tissu de platitudes ». Ce spectacle fournit l'occasion à Chantreau de se livrer à quelques considérations sur le théâtre espagnol. A son avis, ce théâtre est encore dans la barbarie Un récit langoureux, entrecoupé, monotone et prononcé d'un ton aigre, est ce que les comédiens espagnols appellent déclamer l'art de Larive 52 est inconnu chez eux; le comédien tragique y est un automate immobile, une figure insignifiante qui n'a point de bras ou en a qui ne finissent plus; il ne se permet pas un geste, pas une inflexion de voix qui vous indique qu'il sent ce qu'il dit, et il vous récitera cinq cents vers sans remuer autre chose que la langue. Les artistes ne jouissent d'aucune considération et la plu52 plu52 Jean Mauduit dit de était un acteur français né en 1747 à La Rochelle. Sociétaire de la Comédie Française et. professeur de déclamation, il eut son heure de célébrité. Mais éclipsé par Talma, il quitta la scène en 1788 et écrivit quelques ouvrages sur l'art dramatique. Il mourut en 1827. 40 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. part meurent de faim. Sur scène, ils s'affublent de costumes fripés et qui décèlent leur ignorance. Quant à la salle imaginez-vous une grange où des draps de lit forment le théâtre et les coulisses, des bancs échafaudés pour premières loges et quelques lugubres lampes brûlant çà et là » Les pièces dramatiques qu'on y joue sont généralement du plus mauvais goût. On peut les diviser en quatre genres 1° Las comedias de Figuron sortes de farces dans le genre de l' Avocat Patelin » et de M. de Pourceaugnac ». 2° Las comedias heroïcas qui sont des tragi-comédies où tous les personnages sont des princes ou des grands seigneurs. 3° Las comedias de capa y espada; celles-ci tiennent le milieu entre les deux précédentes et les personnages mis en scène appartiennent à la bourgeoisie. L'imbroglio, ajoute Chantreau, y est conduit avec assez d'art et, sans les longueurs dont les auteurs espagnols ne se déferont jamais," le spectateur écouterait avec intérêt. Ce sont des duels, des incendies, des femmes enlevées et réenlevées et surtout des duègnes et des jaloux mis en défaut. Un homme de goût qui aurait la patience de remuer, de trier dans ce fouillis, y trouverait beaucoup à prendre. » 4° L'intermès petite pièce en un acte, sans intrigue, ne comprenant que deux ou trois interlocuteurs et qui est généralement d'une irrésistible gaîté. Malheureusement, l'intermès est fréquemment souillé par des gravelures qui dépassent les bornes de l'honnêteté. On a peine à comprendre, que dans un pays à moines, où les pièces subissent trois censures, l'obscénité et les grosses équivoques viennent effaroucher les oreiles pudibondes. Dans toutes ces pièces, aussi bien dans les comédies héroïques que dans les farces, il y a toujours un personnage nommé el Gracioso qui a pour rôle exclusif de dire des plaisanteries et de provoquer l'hilarité du public. Ses saillies, souvent étrangères au sujet de la pièce, ont pour but de tenir éveillée l'attention des spectateurs en égayant les scènes les plus sérieuses. Dès que la représentation de la comédie est terminée, PREMIER TRIMERTRE 1924. 41 Chantreau prend un nouveau billet de théâtre pour entendre l'opéra. On joue en italien Zémire et Azor. L'orchestre est détestable et de beaucoup inférieur à l'orchestre du spectacle de Monsieur ». Quant aux acteurs, c'est à peine s'ils sont un peu moins mauvais que l'orchestre. Lorsqu'il sort du théâtre, Chantreau se retrouve dans les rues obscures et étroites de Barcelone. Elles sont pavées et très propres, assure-t-il ; un égout collecteur, ingénieusement pratiqué dans l'axe dérobe les ordures à l'odorat et à la vue. Tout en longeant la rue de la Plateria », des souvenirs historiques, relatifs à la Catalogne reviennent à sa mémoire. Deux terribles insurrections ont eu lieu dans ce pays, la première contre la noblesse et la seconde contre Louis XIV et Philippe V qui voulaient enchaîner » les Catalans. Ceuxci, l'escopeta » à la main, réclamèrent les droits de l'homme et défendirent courageusement leur liberté et leurs franchises. Ecrasés par le nombre, ils furent vaincus et désarmés. Depuis ces événements, le fier Catalan, avili, semble n'être plus le même homme. Entièrement livré à ses prêtres, il s'abandonne mornement aux pratiques puériles qu'ils lui inspirent et paraît ne plus se soucier de cette liberté pour laquelle il avait autrefois tant d'enthousiasme ». En l'état actuel, trompé par ses prêtres et par les émigrés, il est plutôt disposé à combattre la révolution française qu'à en favoriser le développement. Il la considère comme une a oeuvre de Satan » et comme l'attentat le plus inouï que des brigands aient pu commettre On comprend toute l'importance que Chantreau accorde à cette première constatation, laquelle lui inspire une profonde tristesse. Mais il en est une autre qui l'irrite les émigrés ne sont pas les seuls détracteurs de la patrie; les ambassadeurs, les agents diplomatiques et les consuls, pourtant rétribués par elle, sont tous des suppôts de l'ancien régime » et ils foulent insolemment aux pieds la constitution à laquelle ils ont juré fidélité. Il faut dire que Chantreau est allé solliciter les bons offices du consul français de Barcelone afin d'obtenir un passeport pour Madrid et qu'il a été éconduit 42 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Monsieur, lui a objecté ce fonctionnaire, vous connaissez sans doute les ordres de M. de Florida Blanca; ils m'imposent la dure nécessité de ne point me mêler d'une affaire dont je me, serais chargé avec le plus grand plaisir avant notre maudite révolution. L'agent secret de Delessart détourne son esprit de ce fâcheux contretemps pour décrire à son ami l'aspect de la grande cité barcelonaise. Il dépeint d'abord les édifices dans la construction desquels on reconnaît la main des Maures par leur constant souci de chercher la fraîcheur et de cacher leurs femmes. Le joli décor des salons et des boudoirs, l'agréable confort des salles à manger, l'arrangement ingénieux et coquet des chambres à coucher, toutes choses si communes en France, paraîtraient une féerie » aux Espagnols dont les appartements très peu meublés sont tous d'une venue. A propos de la chambre à coucher, citons cette malicieuse et indévote observation Non loin du lit est une espèce de petite chapelle où brûle toujours un luminaire en l'honneur du saint qu'a choisi pour protecteur spécial la dame de la maison ou son époux; c'est dans une infinité de maisons el senor san Josef. On lui rend un culte tout particulier et, à certains jours de l'année, il est paré de joyaux, de superbes dentelles, d'une robe magnifique et le luminaire est doublé. C'est surtout quand la dame a obtenu de son mari quelques fantaisies qui formaient l'objet de ses désirs, bienfait qu'elle attribue à une intercession préalable qu'elle a faite au senor san Josef qu'elle s'imagine avoir influencé, la bonne volonté de son époux. Maïs quand celui-ci ne se rend point aux désirs de la dame, alors elle fait retomber sa petite colère sur le saint. Le luminaire est éteint ou réduit à une simple lampe; les manchettes, la belle robe, les joyaux, tout est resserré et l'on boude le pauvre San Josef jusqu'à ce que l'époux ait entendu raison. Dans la plupart des maisons bourgeoises, la bibliothèque est inexistante parce que les femmes ne savent pas lire et les hommes très peu ou n'en ont point envie ». Les érudits qui se piquent de littérature étrangère possèdent des livres dont regorge Paris et Londres on est sûr de trouver chez ces amateurs des Nonotte, des Bergier, des Fréron, des Larcher, PREMIER TRIMESTRE 1924. 43 des Lefranc de Pompignan, des Caraccioli, des Sabatier, l'exjésuite Baruel et toute cette tourbe d'aboyeurs qui ne cessa de nous étourdir sur le compte et du vivant de Voltaire. » Parmi les auteurs anglais, d'Abadie, Smolett et Barrow sont ceux que l'on rencontre le plus fréquemment. Après avoir considéré les habitations particulières, notre voyageur visite les principaux édifices publics de Barcelone c'est-à-dire la Seo » ou cathédrale; l'église Ste Marie, la bourse, le palais du général et la douane. L'architecture gothique de la cathédrale l'enchante; à l'église Ste-Marie, il admire uniquement un tableau de SteThérèze attribué à don Alonso de Mena. Avec la sûreté de jugement d'un connaisseur et le goût délicat d'un artiste, il établit un rapprochement entre ce tableau et une autre oeuvre de l'estimable peintre espagnol un Christ sculpté sur bois et peint, du monastère des Récollets, à Madrid. Le palais du général est sans caractère et ne mérite pas de retenir l'attention ; la bourse lui produit l'effet d'une lourde pile de pierres » ; quant à la douane, sa façade comprend une colonnade trop massive; et les statues qui l'ornent sont nombreuses mais d'une facture médiocre. A l'intérieur, il remarque la profusion des dorures et l'exiguité des bureaux. Chantreau affirme qu'il n'y a pas de douaniers plus sagaces, plus impudents et plus avides que les douaniers espagnols. Rien ne sort intact de leurs mains. D'aucuns prétendent que leurs vexations sont provoquées par la jalousie que leur inspire l'industrie étrangère; mais il est en particulier un article de prohibition qui cause aux voyageurs le plus grand embarras; ce sont les livres. Un véritable monstre, dit-il, monte la garde aux frontière du royaume et ce monstre c'est la superstition. Voici d'ailleurs comment se passe cette vérification Quand vous paraissez à la frontière avec des livres, le douanier, qui n'y connaît rien, mais qui est persuadé que tout ce qui vient de France est oeuvre du démon, contenant hérésie ou quelque complot de révolution, fronce le sourcil à l'aspect du paquet, et l'envoie à M. le Théologal. Celui-ci, qui est le préposé du saint office et n'a pas meilleure opinion de la pacotille que le douanier, ouvre et feuillette le 44 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. livre avec une sainte horreur. Comme ils sait le français à peu près comme nos traducteurs d'aujourd'hui savent l'anglais, c'est-à-dire qu'en ouvrant un livre il entend quelques mots qui lui font deviner les autres, il a recours à une liste où sont inscrits les ouvrages qui se sont attirés l'animadversion de la sainte inquisition ; il compare et repousse ceux qui s'y trouvent notés. Il en a une autre que lui a fait remettre Florida Blanca, qui contient une nomenclature de tous les livres, jusqu'aux moindres brochures, écrits en faveur de notre révolution. C'est l'archevêque d'Auch, dit-on, et l'évêque de Lavour qui l'ont rédigée ; elle forme pour ainsi dire un volume et est d'une exactitude qui m'a surpris; on y a même compris quelques brochures aristocratiques, parce qu'elles donnaient des lumières qu'on ne se soucie pas de faire passer en Espagne. Malheur encore aux livres aux frontispices desquels se trouvent pour ou contre les noms de Voltaire, Rousseau, d'Alembert, Diderot, Boulanger, Marmontel, etc. ! le saint homme, quoiqu'une les ait pas sur sa liste, s'en empare sans miséricorde c'est ainsi que je me souviens d'avoir perdu Les erreurs de Voltaire, ouvrage pesant de l'abbé Nonotte, et que je portais en Espagne par commission, car ce livre n'ai jamais été mien ; un philosophe rougirait qu'on trouvât dans sa bibliothèque un ouvrage où la raison est platement outragée à chaque ligne. J'eus beau protester, vouloir m'expliquer, on ne me rendit que la couverture de mon livre comme il est d'usage en pareil cas, et cette, fois, malgré la main rapace des saints inquisiteurs, je ne fus pas le plus mal partagé. Après cette petite digression, Chantreau fait la description d'un faubourg de Barcelone nommé la Marine ou Barcelonette. C'est, dit-il, une seconde ville séparée de la principale et absolument neuve puisqu'elle fut fondée en 1752 par un excellent gouverneur de la Catalogne, le marquis de la Mina. La Marine est bâtie sur un plan régulier et forme des rues magnifiques qui se coupent à angles droits. On y voit un beau corps de caserne ainsi que l'église Saint-Michel qui est d'une architecture très simple. Un môle remarquable d'élégance et de commodité, se déploie le long de la mer jusqu'au fanal » placé à l'entrée du port. Au sortir de la Marine et en se dirigeant vers la gauche on accède sur une superbe promenade, la Murailla, sorte de rempart duquel on jouit d'un panorama magnifique. Ce rempart se continue par la Rambla, autre promenade qui ressemble beaucoup à nos boulevards du Tem- PREMIER TRIMESTRE 1924. 45 pie, excepté qu'il n'y a pas autant de poussière. » On s'y promène à pied et en carrosse. C'est le rendez-vous du monde sélect et aussi du monde galant. Chantreau qui observe tout et ne néglige aucun détail, donne à son ami quelques renseignements relatifs aux prêtresses de Cythère qu'on y rencontre. Aucune hiérarchie n'existe entre elles, dit-il ; toutes se ressemblent plus ou moins. Il n'en est pas qui soient entretenues, car l'inquisition ne manquerait pas de sévir contre l'homme qui oserait vivre avec une femme illégitime. Cette situation qui les réduit au casuel » a tout au moins l'avantage de leur assurer une plus grande liberté. Toutefois, une sévère discrétion est imposée en public ; ainsi elles ne peuvent point paraître en voiture sans s'exposer à provoquer un scandale et à se faire enfermer sans ménagement à san Fernando, un hospice analogue à la Salpêtrière aussi bien peuplé, mais beaucoup mieux administré. » Ces filles, ajoute-t-il, égalent les nôtres en corruption, mais elles ne sont pas aussi dévergondées; elles sont- beaucoup moins adroites, moins séduisantes, quoique infiniment plus jolies en voici la raison; chez nous, parmi celles du haut parage on trouve des Aspasies, de ces virtuoses enchanteresses qui joignent à la figure les qualités et les talents qui font les charmes de la société, et rendent pour ainsi dire la leur excusable ; mais là, depuis la fille la plus en vogue jusqu'à la malheureuse qui va courir les rues, vous ne trouvez que des automates qui ne savent pas vous dire un mot si vous les tirez du boudoir. Il est vrai que parmi ces automates il est des figures célestes, d'incomparables statues; mais tous les hommes sont-ils des Pygmalions ? Avant de rentrer en France, Chantreau se détermine à faire une excursion vers le camp de Tarragone. Les émigrés y étant très nombreux il comptait recueillir sur eux de nouveaux et utiles renseignements. Leur état d'esprit différait-il de celui constaté chez ceux de Figueras, de Girone et de Barcelone ? Il était intéressant de le savoir. Quant à leur société, Chantreau supposait qu'elle devait être l'image de celle qu'il avait déjà observée dans les villes précitées, où, sur dix- d'entre eux, six au moins étaient sans ressources. La ma- 46 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. jeure partie de ceux-ci était constituée, dit-il, par des cadets de Gascogne qui auparavant mouraient de faim et d'ennui dans leurs retraites campagnardes ainsi que par des officiers ayant fui leurs créanciers beaucoup plus que leur drapeau. Les uns et les autres, abusant des sentiments fraternels qui unissaient tous les émigrés sur la terre étrangère s'efforçaient de vivre aux dépens de ceux que la fortune avait favorisés et au nombre desquels Chantreau compte les ex-parlementaires de Toulouse, de Bordeaux, de Pau, les ex-évêques et les semi-prélats qui les accompagnaient ». Il part donc pour Tarragone en compagnie de deux jeunes émigrés un lieutenant de vaisseau bas-breton et un chevalier de Malte, tous deux également intelligents, cultivés, aimables et très brillants causeurs. Nos voyageurs prennent place dans un carrosse catalan », sorte de voiture très originale, attelée de quatre mules marchant à une allure endiablée et dirigée d'une façon fort singulière au lieu de se placer sur le siège de la voiture ou de monter en selle, leurs conducteurs courent à côté de leurs mules, les excitant continuellement de la voix et semblant lutter avec elles d'ardeur, de vitesse et de légèreté. Elles ont des colliers garnis de nombreuses petites sonnettes dont la musique argentine rompt agréablement le silence et la monotonie des routes qui sont tristes et désertes dans cette région. En ce pittoresque équipage, les voyageurs s'arrêtent, le soir venu, dans une posada » ou auberge pour y prendre gîte. Malheureusement, l'hospitalité qu'on achète manque de confort et d'agrément. Les posadas » qui se trouvent en deçà de Barcelone se ressentent un peu, paraît-il, du voisinage de la France ; on y trouve encore quelques commodités; mais partout ailleurs, on se croit tombé des nues qand on entre dans ces misérables gîtes Figurez vous, en entrant, un vestibule mal abrité, ou plutôt un hangar où les voituriers déchargent leurs marchandises. C'est là qu'ils couchent sur le sol que leur offre la terre. Ils s'y blottissent dans leurs manteaux ou les mantes dont ils garnissent leurs mules. pendant le jour. L'écurie tient à ce hangar ; vient ensuite une pièce PREMIER TRIMESTRE 1924. 47 qu'on appelle la cuisine; c'est la plus apparente de la case et celle où se tient la famille, où chaque voyageur apprête son manger et s'attable ensuite. L'unique batterie de cette cuisine est une ou plusieurs poêles, parce que c'est à la poêle qu'on fait tout en Espagne, au moins dans les auberges. Comme il n'y a qu'un seul ustensile, il n'y a aussi qu'un mode de cuisiner; c'est l'huile qui est la base de toutes les sauces, et la même qui brûle dans les lampes, dont on verse quelquefois quelques gouttes dans les ragoûts lorsqu'on ne veut pas se donner la peine d'aller à la cruche. En hiver, la cuisine devient la chambre à coucher des allants et venants ; un large banc de pierre qui règne le long de la cheminée sert de lit à autant de muletiers qu'il peut en contenir; c'est la bonne place, il faut s'en emparer de bonne heure ou l'assiéger plus tard. Non loin de là sont cependant quelques trous obscurs qu'on nomme chambres, où l'on trouve les plus mauvais et les plus sales grabats qu'on puisse imaginer; un homme de quatre pieds ne peut s'y étendre, et les draps ont à peine l'ampleur de nos serviettes. On paie un pareil lit un real de plata, dix sols, et souvent, tout le coucher ne vaut pas cette somme. Le reste de l'ameublement répond au lit quelques mauvaises chaises où il n'est pas prudent de s'asseoir; une table boiteuse ou qui ne tient à rien; à la cheminée, un Christ auquel il manque presque toujours un bras ou une jambe; et pas un chétif morceau de miroir où l'on puisse se voir la figure. Il est vrai que ce serait un vain luxe pour des gens qui couchent tout habillés et n'ont de toilette à faire qu'à se secouer les oreilles. Dans ces malheureux fours, la porte ne clôt jamais et les fenêtres sont sans châssis, de sorte qu'on y gèle l'hiver et qu'on y étouffe pendant les chaleurs. Pour comble d'incommodité, il n'est sorte de vermine qui n'y fourmille pour s'en garantir, les gens du pays qui sont un peu aisés portent avec eux leur lit lorsqu'ils sont contraints de voyager car dans ces contrées, on ne voyage que comme contraints; à cet effet, on a derrière le carrosse ce qu'on appelle un maleton ; c'est une grande valise qui contient un lit que l'on dresse dans l'endroit le moins sale de la maison, découverte qui est aussi souvent difficile à faire qu'un passage en Asie par le Cap Nord. Quand à la bonne chère de la posada »..., rien, si vous n'apportez rien !... » Dès leur sortie de la posada » les voyageurs furent assaillis par une nuée de mendiants déguenillés et tenaces parmi lesquels on voyait des enfants des deux sexes absolument nus. La caste des mendiants espagnols est la plus dégoûtante 48 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. qui soit au monde, s'écrie Chantreau, parce que lorsqu'on la perd de vue elle dérobe avec plus d'audace qu'elle ne demande avec humilité. » les trois Français échappèrent à leurs sollicitations importunes et remontèrent en carrosse. Chantreau s'amusa beaucoup de l'ardeur juvénile et de la loquacité de ses deux compagnons qui amenèrent la conversation sur le terrain politique. C'était inévitable. Chacun d'eux exposa son plan de contre-révolution. Le breton stigmatisa véhémentement les parisiens qui les premiers avaient levé le rouge étendard de l'insurrection ; il souhaita qu'après le rétablissement de l'ordre, la moderne Babylone fut détruite de fond en comble, que les députés fussent pendus et que le roi établit sa résidence à Nantes, beaucoup plus avantageusement situé que Paris! pour être la capitale du royaume. Moins ardent et plus généreux, le chevalier de Malte ne voulait pas répandre de sang, mais il exigeait la réintégration de la noblesse dans ses privilèges, et celle du clergé séculier dans ses biens. Il ne réclamait rien en faveur du clergé régulier car il trouvait très bien qu'on croquât l'avoir des moines ». L'un et l'autre étaient d'avis que le clergé, la noblesse, les parlements et les corporations avaient rendu la révolution inévitable Ils s'accordaient pour dire que le roi aurait pu la faire tourner à son avantage. Mais pour cela, Louis XVI devait briser sans hésitation avec les courtisans inconsidérés, les prêtres impolitiques et les ministres imprévoyants qui avaient laissé s'écrouler le vieil édifice social Au lieu de heurter l'opinion publique ou de la combattre d'une manière hypocrite, il devait s'identifier avec elle, pour la diriger à son gré, et s'instituer constitutionnellement le premier sans-culotte de France ». Cette conversation animée et qui ne languît pas un seul instant, abrégea les longueurs de la route et fit oublier aux voyageurs les fatigues du voyage en carrosse ainsi que les désagréments des hôtelleries espagnoles. Tarragone, où ils arrivèrent enfin, était à cette époque, une toute petite ville qui ne valait pas la plus infortunée bourgade de France ». Jadis, au temps lointain de la conquête romaine, cité célèbre, elle n'avait conservé de son antique splendeur que les ruines PREMIME TRIMESTRE 1924. d'un palais bâti par Auguste et les vestiges d'un amphithéâtre taillé dans le roc; mais il n'était pas une borne, un banc, une pierre à laver qui ne fut un fragment plus ou moins mutilé d'une colonne, d'une statue, d'une corniche ou d'un chapiteau. La cathédrale, qu'on disait être un ancien temple d'Apollon parut trop moderne à Chantreau pour que cette assertion fut exacte. Il trouva que son architecture gothique était de fort mauvais goût. En outre, elle était obscure et mal proportionnée dans ses principales lignes. On y avait élevé un autel en l'honneur de Ste Thècle, patronne de Tarragone, et d'une infinité de villages de Catalogne. Cette sainte, dit ironiquement Chantreau, était en grande vénéra tion chez les paysans parce qu'elle favorisait les récoltes en leur distribuant à souhait le soleil ou la pluie. A peine les voyageurs furent-ils arrivés sur l'avenue servant de promenade aux Tarragonais que, du plus loin qu'ils ' les aperçurent, une quarantaine d'émigrés se précipitèrent vers eux. Ils entourèrent aussitôt les nouveaux venus, leur firent mille politesses et les accablèrent de questions avec autant d'aisance et de naturel que s'il les avaient connus et attendus depuis longtemps. Toujours escortés par eux, Chantreau et ses compagnons arrivèrent à l'auberge de la Fontaine d'or » où l'on se mit bientôt à table. Avez-vous vu M. de Lautrec que pense-t-il, que fait-il, où est-il, interrogeaient les uns ? — Les régiments d'émigrés sont ils en voie d'organisation du côté de Barcelone; pensez-vous que nous tomberons bientôt sur cette canaille de garde nationale, demandaient les autres ? » Tout à coup, un silence religieux s'établit parmi les convives, lorsque l'un d'eux retira de sa poche, d'un geste grave, une lettre qui lui était adressée de Coblentz par un officier du Royal-Bourgogne. On en écouta la lecture avec une religieuse attention et une vive curiosité. D'après le signataire de la précieuse missive, les princes avaient reçu les meilleures assurances des souverains étrangers et toute l'Europe s'apprêtait à terrasser l'hydre de la révolution; l'émigration devenait chaque jour plus considérable et l'or, le nerf de la guerre, affluait de tous côtés. Dans 50 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. le parti de la révolution, tout au contraire, les défections étaient nombreuses, le numéraire était rare et les assignats perdaient soixante pour cent de leur valeur. Enfin, dans les châteaux dont les hôtes n'avaient point émigré, on feignait pendant le jour d'être du parti de ces drôles qui se disaient la nation, et la nuit on était tout Vienne ». On applaudit avec un grand enthousiasme la lecture des dernières lignes, puis tous les convives se livrèrent à une joie délirante qui se manifesta aussitôt par des embrassades, des toasts bruyants et les cris maintes fois répétés de Vive d'Artois ! Vivent les princes ! Vivent nos généreux frères de Coblentz ! Vive la charmante Antoinette ! » Quelle pouvait être l'attitude d'un ardent jacobin tel que Chantreau clans ce milieu de royalistes fervents, au moment même où ils manifestaient leurs sentiments avec le plus de force ? Chantreau lui-même s'est chargé de nous l'apprendre en toute sincérité et il faut lui savoir gré de cette révélation car son attitude, absolument incompatible avec l'honneur, ne fut point à l'avantage de son caractère Un petit abbé gascon, dit-il, qui était vis-à-vis de moi, remarquant que je ne m'égosillais pas avec le même enthousiasme que ses compagnons, m'apostropha, et d'un ton mielleux Monsieur est patriote sans doute, me dit-il, car il ne partage pas notre joie. Je sentis la force de cette observation et l'impression qu'elle pouvait faire sur la compagnie, avec d'autant plus de raison qu'elle était de la plus exacte vérité. — Je pris un. ton ferme et payant d'impudence Je ne serais pas. ici, lui dis-je, si je n'étais pas patriote dans le sens que tout honnête homme doit l'être, car ceux-là seuls doivent se le dire et se regarder comme de vrais Français, qui désirent le retour de l'ordre et sacrifient tout pour le hâter, et c'est aux amis de la bonne cause donc que je bois, m'écriai-je en prenant mon verre. Je bus, nous bûmes, et en portant cette santé jésuitique, je proférai en chorus les noms de d'Artois, de Condé, et de tous les bariolés d'outre-Rhin, sauf, comme il m'était déjà arrivé à Barcelone, sauf la restriction mentale. Je crois cependant que, malgré cette démonstration d'aristocratie, je n'en imposai point à mon coquin de vis-à-vis On se leva de table et l'officier me conduisit à son club.... Le président de ce club d'émigrés était un gros abbé tou- PREMIER TRIMESTRE 1924. 51 lousain. Il était secondé dans ses fonctions par un ex-président du parlement de Bordeaux que Chantreau désigne simplement par la lettre initiale S... et qui était assurément le président de Spens 53. Chantreau fut présenté aux membres du club comme un voyageur honnêtement intentionné qui, ayant idu bien à Madrid, allait en jouir loin de la malheureuse anarchie qui désolait la France. Ici encore, il reçut un accueil charmant. Questionné par les uns et par les autres, il fut très circonspect et s'efforça de répondre d'une manière insignifiante mais néanmoins dans un sens favorable à la contrerévolution. La remarque importune du petit abbé gascon était encore présente à son esprit et il ne voulait pas se rendre suspect par un geste échappé ou une parole imprudente. Mais le président ouvrit bientôt la séance et du même coup, Chantreau fut délivré de sa contrainte; l'attention des émigrés cessa d'être fixée sur lui et ce fut à son tour d'être tout oreilles. Un officier gascon prit le premier la parole et lut un projet d'adresse destinée à la cour de Madrid et relative à l'organisation des émigrés en régiments. Il affirmait que ceux-ci étaient au nombre de sur le territoire espagnol, qu'ils se chargeraient à eux seuls de couvrir les frontières des Pyrénées et de culbuter les gardes nationales qu'on leur opposerait. D'ailleurs leur nombre serait porté à dès qu'ils auraient franchi la frontière parce que les provinces méridionales attendaient impatiemment les premières démonstrations militaires pour se déclarer contre le parti de la révolution. Outre l'autorisation de constituer les régiments dont il s'agit, l'adresse sollicitait du gouvernement espagnol 53 Durant les dernières années de l'ancien régime il n'existait au Parlement de Bordeaux qu'un seul président dont le nom eût pour initiale la lettre S, c'était M. de Spens, président, de la Tournelle. Il ne saurait donc y avoir confusion dans l'identification du personnage insuffisamment désigné par Chantreau. Cf Etat des cours de l'Europe et des provinces de France pour l'année 1787 par de Laroche-Tilhac. s. n. d. i. — p. 75 — 2e partie. 52 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. des armes et de l'argent. La rédaction en fut approuvée et l'envoi fut décidé pour le lendemain. Cette résolution prise, le président donna lecture d'un papier nouvelle imprimé à Toulouse » et rapportant les troubles provoqués à Paris par la cherté du sucre. Puis une discussion excessivement violente s'engagea entre deux officiers. Le premier prétendait qu'après le triomphe des émigrés on devait abolir l'assemblée nationale et créer des assemblées provinciales. L'autre fils du ci-devant intendant de Montauban » 54, soutenait au contraire que ces administrations seraient pires que l'assemblée nationale; il voulait conserver celle-ci et créer deux autres chambres dont le rôle serait de mettre un frein aux cabales du tiers-état et aux prétentions de la noblesse. » Malheureusement, la discussion s'envenima rapidement et dégénéra en altercation; les deux adversaires, après avoir échangé de mordantes épigrammes, et nombre d'injures, allaient en venir aux mains lorsque le prêtre toulousain et le magistrat bordelais s'interposèrent charitablement pour éviter une rixe. En rentrant à l'auberge de la Fontaine d'or » Chantreau fut accosté par trois ou quatre émigrés qui, joyeux, causaient à voix basse avec beaucoup d'animation. Sa curiosité s'éveilla aussitôt. Ces messieurs venaient-ils d'apprendre d'importantes nouvelles ? Par un coup imprévu, le roi de France avait-il triomphé de la révolution ou bien l'heure, si impatiemment attendue par les émigrés, avait-elle enfin sonné pour eux de prendre les armes et de mettre à la raison les sans-culottes de Roussillon, de Languedoc et de Gascogne ? Quel était donc l'événement grave qui faisait à cette heure tardive l'objet d'une aussi mystérieuse conversation ? Chantreau ne tarda pas à le savoir, car les trois gentilshommes se dirigèrent vers lui Vous venez, me dit l'un d'eux en souriant, du club de l'archevêché;? — Oui, monsieur. — Le président de S... y était sans doute ? — Cela est vrai. — Et voilà mes gens qui partent en chorus d'un 54 M. de Trimond. PREMIER TRIMESTRE 1924. 53 grand éclat de rire. Ah ! parbleu, ajouta le même homme, il peut bien s'amuser à politiquer, il va en avoir sujet; et l'on me raconta, sans que je le demandasse, que la plus jeune de ses demoiselles, fille charmante, était partie la nuit précédente avec un officier de Vermandois qui aurait dû, en loyal chevalier, se contenter de la précieuse proie avec laquelle il fuyait, et ne pas permettre qu'elle emportât à son père mille louis ; que cette action qui n'était point d'un gentilhomme, allait faire beaucoup de tort aux émigrés dans l'esprit des Espagnols, qui tenaient aux moeurs et à la probité. — Je suis fâché de cette aventure, dit un de ces officiers, parce que c'est du numéraire qui va rentrer en France, et une jolie fille grâces, jeunesse et talents, Julie de S... avait tout cela à un degré capable de tourner la tête à tout autre aussi bien qu'à l'heureux mortel avec lequel elle est partie. Je le regrette aussi, lui, car c'est un brave militaire qui est réellement une perte pour la bonne cause; elle l'avait fait émigrer; l'amour va le rendre patriote. — N'en croyez rien, lui répondit en nous quittant un de ses compagnons nous perdons un brave homme et les patriotes n'y gagneront rien; sa belle, qui était la plus jolie aristocrate qui soit sortie des mains de la nature, cesserait de l'aimer s'il osait paraître devant elle avec les couleurs nationales. Je connais le chevalier d'Ax...., il ne fera que traverser la France et il ira à Coblentz manger ses mille louis, festoyer sa belle et combattre pour les princes. Et sur ce, chacun tira de son côté, en réfléchissant sur la belle Julie de S..., et l'impression qu'allait faire sur l'infortuné président l'échappée de sa fille, et plus encore la perte des mille louis qu'elle emportait. » Une aventure galante, un scandale d'amour, telle était donc à cette heure, sur la terre d'exil, la préoccupation d'un groupe d'émigrés. Les appréhensions de Chantreau s'évanouirent et il gagna sa chambre en toute tranquillité d'esprit. Le lendemain, il quitta Tarragone et se dirigea vers Reus, à travers el campo de Tarragona », vaste plaine ayant une étendue de plus de quatre lieues et d'une extrême fertilité. Reus, bien que simple bourgade, dépassait en population beaucoup de villes espagnoles qui s'enorgueillisaient de posséder un siège épiscopal. A son marché du vendredi, on voyait autant d'affluence qu'à la plus célèbre foire de l'Espagne. Le commerce des noisettes récoltées dans la régions y était particulièrement actif. De nombreuses distilleries ou brûleries » d'eau-de-vie avaient été établies. La plus impor- 54 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. tante appartenait à une firme anglaise la casa Harris » qui constituait pour les habitants du canton une vraie maison de banque, car elle achetait les vendanges sur pied. Les eaux-de-vie fabriquées étaient transportées à Salo, petit port situé à deux lieues de Reus, et de là, elles étaient exportées en grande quantité, vers les ports de la Baltique. Les émigrés résidant à Reus étaient non seulement plus nombreux que partout ailleurs mais aussi plus intrigants et plus actifs. Quelques-uns se trouvaient dans le dénuement le plus complet depuis l'application récente du décret ordonnant la mise de leurs biens sous séquestre. Les plus fortunés s'empressaient fraternellement de subvenir aux besoins des plus pauvres mais malgré la bonne volonté des secourants et la circonspection, la frugalité des secourus, cet état de choses ne pouvait durer ». Le jour même de son arrivée à Reus Chantreau fit une rencontre inattendue et qui remplit son coeur de joie en la personne de don Estevan Miro, un garçon charmant, simple lieutenant d'infanterie à l'époque où Chantreau l'avait connu à Madrid. A cette heure, gouverneur de la Louisiane, il avait obtenu du gouvernement royal la permission de venir passer quelques mois à Reus, au sein de sa famille. En se retrouvant, Chantreau et son ami éprouvèrent la joie de deux êtres qui se sont connus, estimés, aimés et qui se rencontrent fortuitement après de longues années de séparation. Contre le voeu de nos émigrés je passai avec lui une demi-journée, et je respirai, car il ne me par la point politique ou très peu. Il était médiocrement affecté de nos affaires; il m'avoua confidentiellement qu'il croyait que nos Français s'étaient très mal adressés lorsqu'ils étaient venus implorer l'assistance du cabinet de Madrid, qui ne pouvait ni ne voulait se faire des affaires avec nous pour rétablir les bancs de paroisses des gentilshommes gascons, périgourdins et autres. Je le crus d'autant plus volontiers qu'il était brigadier des armées du roi et répandu dans ce qu'il y avait de mieux. Une preuve qu'il était instruit, et à laquelle je n'ai fait attention dans la suite que parce qu'elle a été justifiée par l'événement, c'est qu'il me donna à entendre que Florida Blanca serait bientôt débarqué, et c'était dans les premiers jours de mars qu'il me tenait ce discours. » PREMIER TRIMESTRE 1924. 55 Le second jour, Chantreau fut aimablement invité à dîner par un ci-devant commissaire des guerres. Parmi les convives se trouvait un émigré nouveau venu qu'on écouta avec beaucoup d'attention parce qu'il apportait de fraîches nouvelles ; elles se rapportaient principalement à la nouvelle maison du roi que M. de Brissac organisait, disait-il, à la d'Artois et de manière à devenir très utile à la bonne cause ». Le repas terminé, on songeait à se rendre au club de la restauration, quand un événement tragique jeta la consternation parmi les émigrés et les empêcha de se réunir. L'un deux ,un officier, venait d'être tué en duel d'un coup de pistolet au sujet d'un prêt d'argent qu'il refusait de restituer à un de ses camarades. Le corps du malheureux faillit rester sans sépulture, les prêtres prétextant qu'il était mort sans confession, que sa catholicité n'était pas bien prouvée et qu'il n'avait point de bulle de la Cruzada 55». A ce sujet, Chantreau entre dans des détails curieux sur la puérilité et la bizarrerie de certaines pratiques religieuses en usage alors chez les Espagnols. Abandonnant les émigrés au regret d'avoir perdu un des leurs, il partit le troisième jour et, pour feindre la continuation de son voyage à travers l'Espagne, la voiture prit très ostensiblement la route de Cambrilis et de Tortose par laquelle on entre dans le royaume de Valence; mais à un quart de lieue de Reus, elle s'engagea délibérément sur le chemin de Martorel dans la direction de Barcelone. Chantreau était accompagné d'Alexis, le neveu de son ami, jeune militaire émigré dont il a été question plus haut et qu'il 55 Chantreau explique ce qu'il faut entendre par bulle de la Cruzada ». Cette bulle, dit-il en substance est un impôt, que la cour de Rome suggéra en 1509 au roi d'Aragon qui voulait faire la guerre aux Maures d'Afrique. D'après un ordre du Pape, tout fidèle qui prétendait aux saintes indulgences » devait s'en munir, et les prêtres espagnols refusaient impitoyablement les consolations de la religion » à ceux qui n'en étaient point pourvus. Ainsi, ils ne donnaient point, la sépulture religieuse si la bulle n'était pas déposée sur le cercueil au moment de la levée du corps. Le prix en était fixé, tous les ans par le nonce, du pape; il n'était jamais inférieur à deux réaux et demi et jamais supérieur à une piastre, chacun étant taxé selon sa situation de fortune, 56 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. ramenait en France. Toutefois, avant de partir, il voulut lui faire visiter le Monserrat. A leur retour de l'abbaye, ils rencontrèrent un émigré de 25 ans, qui les pria de lui accorder une place dans leur voiture jusqu'à Barcelone. Comme ce jeune Français était aussi loquace qu'expansif, il raconta, sans qu'on le lui demandât, pourquoi il était passé en Espagne et ce qu'il comptait y faire. Il était de l'Isle-Jourdain 56, petite ville fort jolie qui est entre Toulouse et Auch; il y exerçait la profession de chirurgien, qu'il avait étudiée à Paris, et était à la veille d'épouser un bon parti quand le seul frère qu'il eût vint se réfugier chez lui comme curé réfractaire. Il nous assura que patriote jusqu'à ce jour, il fit taire l'intérêt national pour laisser parler des droits plus sacrés. II accueillit son frère et le cacha; il fut découvert, on eut la barbarie de lui ordonner de le chasser de chez lui; le jeune homme s'obstina, on le tourmenta, quelques impudents allèrent même jusqu'à les menacer de la lanterne ; les deux frères eurent peur, surtout l'abbé, qui n'avait pas encore cette intrépidité qui convient à un saint martyr. Un ami, confident de leurs craintes leur apprit que les émigrés d'Espagne allaient se former en régiment, et les décida à partir, le chirurgien pour s'y faire recevoir comme chirurgien-major et l'ex-curé comme aumônier. Il ajouta qu'il avait trouvé beaucoup à rabattre de ce qu'on lui avait dit en France pour le décider à émigrer ; qu'il ne paraissait pas que les régiments s'organisassent de sitôt ; qu'heureusement son frère était placé au Monserrat près de M. l'évêque de Lectoure qui l'avait beaucoup exhorté à prendre patience ; mais qu'il ne voulut pas attendre qu'il fût sans ressource pour rejoindre son pays et sa future, à laquelle il était aussi attaché qu'à son frère. Il nous fit entendre que si la belle apprenait sa fuite en Espagne, elle ne consentirait jamais à l'épouser parce qu'elle était d'une famille de démocrates enragés. Par mes insinuations adroites, mais prudentes, je hâtai le retour de cette brebis égarée qui m'en rendit mille grâces à mon retour en France. Le hasard me le fit rencontrer dans son pays, lorsque je me rendais à Auch; il allait se marier et était réconcilié avec sa future et la municipalité de l'Isle-Jourdain. Le contentement était dans son coeur et une large cocarde tricolore sur son chapeau. — Je suis garde nationale, me dit-il, vive la nation ! Ne dites mot au moins on ne soupçonne point mon voyage. Que je 56 Chef-lieu de canton du département du Gers, sur la Save. PREMIER TRIMESTRE 1924. 57 vous ai d'obligations ! Je veux que vous embrassiez ma future. — Il voulut me retenir et ce ne fut pas sans peine que je me débarrassai de cet honnête jeune homme, dont le bonheur me toucha vivement. » Lorsque les voyageurs furent de retour à Barcelone et qu'ils rentrèrent à leur, auberge de l'Ecu de France » ils trouvèrent les émigrés très affairés et très émus. Sur la dénonciation de l'un d'eux, M. de las Amarillas avait fait saisir chez une mercière française établie à Barcelone une serinette qui jouait l'air du Ça ira » ! Une minutieuse perquisition opérée chez Mme Bonardelle, pour s'assurer qu'elle ne possédait plus d'autres serinettes de ce genre, avait fait découvrir, parmi un lot d'images, deux malheureuses caricatures anglaises relatives à la révolution française ; l'une représentait l'assemblée nationale pétrifiée à la nouvelle de la fuite du roi, avec ce moto moitié anglais, moitié français sacra dieu de King, is escape, is escape; l'autre représentait l'assemblée revivifiée lorsqu'elle apprenait que le roi avait été arrêté et la devise anglaise disait A ha ! Begar de King is retaken, Mons Lewis is retaken ! » En réparation de son attentat à la majesté royale, la pauvre vendeuse d'images fut impitoyablement condamnée par le gouverneur à six cent livres d'amende que, bien entendu, il s'adjugea, selon l'antique usage. à suivre. 58 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. CONDOM, VILLE DOUBLE; Essai topographique, PAR M. Z. BAQUÉ. 1. — Idée directrice. — L'histoire de Condom n'est qu'un long procès. Jamais les habitants ne voulurent reconnaître le pouvoir de leurs abbés, plus tard de leurs évêques. Ils prétendaient descendre d'une colonie de Vascons dont les chefs auraient bâti une grosse tour au confluent de la Baïse et de la Gelle. VIIIe siècle. Les abbés soutenaient que leur monastère était antérieur à la ville, qu'ils avaient appelé les habitants autour d'eux et à l'appui de leur thèse tiraient de leur cartulaire un acte d'après lequel Hugues,fils d'un duc de Gascogne, entrait dans les ordres et apportait au monastère ravagé par les Normands son apanage dont faisait partie le lieu de Condom. Cette donation devint le sujet de tous les procès qui agitèrent agitèrent Condom du XVIe au XVIIIe siècle. Les évêques fondaient leur seigneurie sur cet acte 1; les habitants soucieux de leurs origines réclamaient les privilèges accordés à la nation gasconne par les derniers carolingiens. » 2 Dans le but de mieux asseoir leur autorité, les abbés avaient appelé les comtes de Toulouse au paréage de leur ville. Plus tard, le Roi remplaça le comte 1188. On sait que les paréages ou pariages étaient la situation juridique d'un territoire soumis à plusieurs autorités qui y exerçaient des droits égaux 3. Etudiant dans le Bulletin de la Société archéologique du Gers 2e trimestre 1912 le paréage de Vic-Fezensac, nous avons montré que l'archevêque d'Auch et le comte de Fezen1 Fezen1 fcudistes épluchèrent le document et le rendirent suspect. Sa date fut même mise en doute. Le père du ministre Martignac, avocat de Bordeaux, le déclare un faux » dans un mémoire de 1781. 2 NIEL. Annuaire du. Gers, 1862 p. 41-50. 3 Partage vient de pair. PREMIER TRIMESTRE 1924. 59 sac avaient à l'origine exercé leur souveraineté chacun sur un territoire spécial et que ces territoires furent deux villes distinctes, deux noyaux séparés et fortifiés le castrum fidentiacum et le vicus fidentiacus. Le paréage naquit de l'impossibilité de partager la ville lorsque l'accroissement des deux centres les eut fait se souder l'un à l'autre. Les mêmes effets devant provenir des mêmes causes, nous avons été amenés à supposer que dans la ville de Condom le paréage paréage qui associait les consuls et l'abbé devait avoir été précédé d'une situation plus nette où chaque autorité exerçait son pouvoir dans des lieux distincts. C'est à la lueur de cette idée directrice que nous avons recherché les vestiges du vieux Condom pour en déduire l'étendue primitive et ses développements successifs. 2. — Le Condom actuel. — La coquette ville peut montrer aux touristes des coins charmants, une église chef d'oeuvre de grâce, des promenades délicieuses, un moulin original; elle ne saurait leur laisser l'impression de ville développée selon un plan déterminé. Elle n'a ni rue principale, ni place centrale, ni plan d'extension; il semble qu'elle soit faite de pièces surajoutées et de morceaux sans liaison. Il est relativement aisé grâce aux murs encore debout et aux boulevards qui remplacent les fossés disparus, de relever en totalité l'enceinte extérieure de Condom. Cela fait, on est tout étonné de laisser isolés dans l'intérieur de l'agglomération, loin des murs de ville, sans liaison possible avec eux, des tours nombreuses, des pans de murs appareillés et de massives maisons figurant plutôt des forteresses que des maisons d'habitation. Or, ces vestiges de fortification, nécessairement, doivent avoir un sens; ils doivent faire partie d'un système défensif autre que le système extérieur. Ne nous laissons donc pas influencer par l'idée préconçue d'une enceinte unique et suivons à la trace, pas à pas, les endroits où nous trouverons des restes de tours et les directions prises par les murs appareillés qui leur sont adjacents. 60 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. 3. — Le noyau de la rue Latournerie. — Toutes les petites rues qui s'embranchent dans cette artère principale présentent à quelque cinquante pas de leur origine des traces non douteuses de fortifications. Derrière l'hôtel Dubernet, dans la ruelle des Argentiers, une tour carrée marque une encoignure. Plus au midi, dans la rue des Ursulines, on voit deux tours. Entre les quais et la rue Latournerie, un mur d'enceinte caractéristique, aux pierres appareillées, surplombe les rives de la Baïse. Du côté nord, dans la rue de la Monnaie, est une massive maison antérieure au XIIIe siècle, reste probable d'une belle tour. Du côté est, dans la rue Cadéot, règne tout au long un mur d'enceinte appareillé. Le cours Salvandy, autrement dit les Promenades, fut établi après la Révolution au titre d'atelier de charité. Il occupe la place de l'ancien fossé de la ville, dont la rue Latournerie est l'axe principal. Le Collège utilise la plus massive et la plus vaste des maisons du quartier. Il devait être mieux qu'une tour ou un donjon, un château plutôt, un château très fort et très bien placé. Il flanquait le coin sud-est du quartier en son point le plus vulnérable la ligne de faîte du coteau délimité par la Baïse et le ruisseau de Gelle. Cette forteresse défendait une porte de ville que la tour de la rue du Cadéot flanquait de l'autre côté 4. 4. — Le noyau de la cathédrale et de la rue Gambetta. — Le mur d'enceinte qui borde le boulevard de Gelle est doublé d'un autre mur plus ancien, auqel sont accolées par leur façade nord les maisons de la rue Gambetta, et qui se relie à des tours placées à hauteur des ruelles donnant accès dans la rue principale. Telles sont les tours de la rue Grossoles ancienne loge maçonnique, de la rue Four l'Evêché et de la rue tortueuse qu'on trouve plus au nord. Dans la rue de la Citadelle, le terre-plein de la sous-pré4 sous-pré4 dans cette tour que fut placée, jusqu'au XVIe la cloche de la communauté. PREMIER TRIMESTRE 1924. 61 fecture s'appuie à un ancien mur de ville 5 qui, vraisemblablement, vraisemblablement, retourner par la rue Gaichies. Le long de la rue de la Monnaie, l'enceinte paraît être commune avec le noyau précédent, les deux noyaux devant être accolés. Le vieux mur se prolongeait ensuite à travers le pâté de maisons qui bordent face au nord la rue Gambetta; on en voit des traces dans la rue Bonamy 6. Tel était donc le noyau de la cathédrale et de la Gambetta; il s'étendait de la Caisse d'Epargne à la Loge maçonnique maçonnique de la rue Gaichies à la rue Voltaire. 5. — Le Condom primitif. — Au XIIe siècle, Condom se présente sous forme de deux noyaux ayant chacun quatre portes fortifiées. Dans le noyau de la rue Latournerie, il en est une qui débouche sur les promenades pour donner accès vers Valence; une autre est à l'opposé à hauteur de la rue de la Monnaie; la troisième donne sur les quais rue des Ursulines ; la quatrième débouche de la rue du Collège à hauteur de l'établissement qui lui donne son nom. Dans le noyau de la Cathédrale, on trouve une porte à l'extrémité Est de la rue Gambetta, une autre dans la rue Bonamy à hauteur de la Caisse d'Epargne, une troisième dans la rue Grossoles au coin du terre-plein de la Sous-Préfecture; la quatrième était située entre la place de la volaille et la rue de Barlet. Les noyaux sont distincts mais accolés de manière à se prêter l'un à l'autre un mutuel appui. Celui du nord surplombe la Gelle, celui du sud est protégé par la Baïse; de la sorte, le coteau commun est protégé par une défense naturelle et une fortification d'ordre militaire. Le noyau de la rue 5 Les murs appareillés qui courent vers Ste Ursule sur les rives de la Gelle sont ceux de la Citadelle bâtie au XVIe siècle. 1580. 6 La tour de l'immeuble Donnouevie et celle qui borde au sud la. Petite place Saint Pierre ne sont pas des tours de fortification. La première, dite tour de l'Archevêque était la résidence du clavaire archiépiscopal qui faisait rentrer les revenus dîmes sur les décimateurs de l'archidiacorme condomois; l'autre était la tour du Chapitre où le syndic et le trésorier de la communauté capitulaire réglaient leurs comptes et mettaient en lieu sur leurs livres et leurs revenus. A Vic-Fezensac, on voit deux tours identiques portant lesS mêmes noms et semblablement placées. 62 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Agrandissements successifs PREMIER TRIMESTRE 1924. 63 de Condom Z. BAQUÉ. 64 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Latournerie déborde l'autre par l'ouest et celui-ci déborde le premier du côté est ; ce qui fait que la rue Gaichies, prolongement de la rue Latournerie était protégée par la muraille du noyau de la cathédrale et que, réciproquement, la rue Cadéot, prolongement de la rue Bonamy, était protégée par la muraille du noyau de la rue Latournerie. Chacun des deux centres avait un caractère propre. Le noyau du nord était la ville abbatiale où l'église et le cloître occupaient la moitié de l'espace clos. Le noyau du sud était la cité laïque, une de ces petites républiques indépendantes qui s'intitulaient fièrement proprietatz » communautés propriétaires, qui étaient à elles-mêmes leur premier maître et prêtaient — à l'égard d'un noble possesseur de fief — le serment de vassalité entre les mains d'un seigneur suzerain. La caractère ouvrier du quartier est rappelé par les noms des rues rue des armuriers, rue de la tonnellerie, rue des argentiers, rue de la tournerie...; le caractère seigneurial y est affirmé par le nom de la rue de la Monnaie et l'existence du château-fort. Quartier civil d'un côté, quartier ecclésiastique de l'autre; création concomittante des deux centres dans une dualité qui n'excluait pas l'accord ces caractères sont bien ceux qu'on trouve à Vic dans le castrum fidentiacum et le vicus fidentiacus. Condom et Vic ont bien été à l'origine des villes doubles. Auch et Tarbes sont également dans le même cas 7. 6 — Origines de Condom. — Le Condom du XIIe siècle est celui que nous pouvons saisir avec certitude parce qu'il a laissé des traces encore debout. Mais l'agglomération est bien antérieure. Les Normands l'avaient détruite. Plus tard, enrichie par ses malheurs mêmes, grâce aux libéralités des ducs de Gascogne, elle devint une abbaye puissante et prospère. Ce qui arriva ici, c'est l'histoire commune des villes anciennes du département Auch, Lectoure, Eauze, Vic,... l'abandon de l'ancien emplacement gallo-romain aux bords 7 Bulletin de la Soc. arch. du Gers, 1923, p. 98. 8 L. MAZÉRET. Histoire d'un village. Lauraët. Introduction. PREMIER TRIMESTRE 1924. 65 mêmes de la rivière pour le coteau voisin mieux adapté que la plaine aux nécessités de la défense. Et même remontons plus haut. On a l'habitude, vicieuse à notre avis, d'arrêter à l'époque gallo-romaine toute trace de civilisation antérieure au moyen-âge. Sans doute, les galloromains perfectionnèrent les routes et améliorèrent les agglomérations ; mais il y avait avant eux un pays peuplé, ce qui suppose des routes et des villages. On peut relever tout au long de certaines voies des noms de lieux dont l'origine ne fait pas de doute. M. L. Mazeret a déterminé 8 le trajet d'une de ces voies gauloises reliant Auvillars à Montréal, par Miradoux, Lectoure et Condom — reliant la grande voie Bordeaux-Toulouse de la Table de Peutinger à la Ténarèze courant entre la Garonne et l'Adour. C'était à Condom, la route qui vient de Lectoure. L'habitude du moyen-âge, dictée par des raisons de prudence, était de faire passer les voies de communications en dehors des enceintes, mais au pied de celles-ci. La route gauloise de Lectoure longeait à Condom le boulevard de Gelle et contournait le quartier ecclésiastique pour aboutir au moulin de la Baïse au débouché du boulevard Saint-Jean. On peut supposer que jadis la digue servait de soutènement à un pont la disposition est courante ; nous la retrouvons notamment au moulin de Gelleneuve, sur la Baïse commune de Barran. De plus, comme la voie LectoureMontréal devint un chemin romain », une voie pour les pèlerins de Compostelle, et qu'il était de règle de trouver au cap dou pount » l'hôpital qui servait de gîte d'étape, on peut légitimement supposer qu'au moulin dont les sperstructures sont des murs appareillés, devait se trouver un hôpital pour pèlerins et que le raccoord entre les deux rives de la Baïse était bien là. Et encore, ne faudrait-il pas voir dans cette disposition l'origine des armes de Condom — qui sont de gueules à deux clefs d'argent posées en pal au-dessus d'un pont supportant des tours ? Si ce pont exista, il doit avoir laissé des ruines, lesquelles ne peuvent être que la digue du moulin; les tours qui correspondent au moulin et à l'extrémité du barrage militent en faveur de l'identification, SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGITUE DU GERS. Une autre voie, non moins antique, mais que nous n'avons pas étudiée en détail pour en affirmer le caractère gaulois, c'est la route de Valence qui suit depuis Mirande et Trie les rives de la Baïse. A. Lavergne la donnait pour une voie romaine romaine il se fondait sur l'existence des piles de Biran et d'Artigues placées sur son itinéraire, les noms de Mas commune commune Biran et de Lamazères près de Mirande ainsi que sur de nombreux débris de temples païens relevés çà et là. A l'entrée de Condom, cette voie donnait naissance à une allée qui menait à la Porte de la rue Latournerie aujourd'hui rue Bazax puis se prolongeait sur les berges de la Baïse pour aboutir au moulin. Soudée là à la voie précédante pour traverser le pont — l'antiquité ne se piquait pas de nombreux travaux d'art — elle se continuait sur la rive gauche de la rivière où elle devenait la route de Nérac. Qu'on n'objecte pas le changement de rive cette route n'avait-elle pas déjà passé de la rive gauche sur la rive droite au pied du coteau de Valence ? La soudure des deux voies Auvillars-Montréal et GaronnePyrénées à l'extrémité d'un pont devait suffire à faire de ce pont, au voisinage du confluent de la Baïse et de la Gelle, une de ces muiatio, relai pour les voyageurs ou de ces mansio, gîte d'étapes pour les troupes romaines, qui sont à l'origine de toutes les agglomérations antérieures au moyen-âge. Dès lors, l'étymologie de Condom devient lumineuse. Que l'on se réfère à la mutatio gauloise avant d'être romaine, ou que l'on vise la ville rebâtie après les invasions normandes, nous trouvons dans ce nom propre les racines gauloises condate = le confluent, dunum = le coteau. Condom c'est proprement le coteau du confluent », celui de la Baïse et de la Gelle. L'étymologie courante, peu discutée jusqu'ici, voulait voir aans Condom le mot condominium contracté. Aucune raison ne s'oppose à cela... si ce n'est le fait historique. Con dominium, domination à plusieurs, cela peut se soutenir à partir PREMIER TRIMESTRE 1924. 67 de paréage; mais le paréage des consuls et l'abbé n'apparaît qu'au XIIe siècle; et l'existence antériere des deux noyaux civil et ecclésiastique, exclut toute idée de domination en commun... alors que la ville s'appelait déjà Condom. D'après Hautesse et Ducange, condomina ou condamina, c'est le champ du Seigneur, le lieu de pèlerinage — ce qui expliquerait les nombreuses légendes relatives à la cité. Pour être vraisemblable, cette assertion nous paraît osée. La leçon gauloise Condate dunum, dont on trouve l'équivalent dans le nom de mainte ville de confluent 9 Lug dunum Lyon, Cond rieu, nous semble être l'étymologie plus certaine de Condom. 7. — Seconde enceinte. — Le XIIIe et le XIVe siècles furent pour la Gascogne une époque de prospérité sans pareille, attestée par l'importance des transactions notariées et l'essor prodigieux des villes-champignons connues sous le nom de Bastides. Dans les villes antérieures aux bastides — telles que Condom — l'espace était trop chichement mesuré pour permettre aux habitants devenus plus nombreux de bâtir leurs maisons dans l'enceinte primitive. Des quartiers neufs se bâtirent extra-muros et s'accolèrent aux noyaux primitifs; la crainte des guerres les fit entourer de murs appareillés 10. C'est ainsi qu'à Condom tout un quartier se bâtît entre le Château collège et la route de Lectoure c'est le pâté de maisons que traversent les rues Cadéot, Voltaire, Dutoya. Le nouveau mur d'enceinte et ses fossés protecteurs sont jalonnés par la partie est des promenades — qui n'est pas dans l'axe de la partie ouest, fossés du noyau primitif. La rue Latournerie, elle aussi, se prolongea par la rue Gaichies et un quartier nouveau se souda par le sud au noyau 9 NIEL. Annuaire du Département du Gers. 1862. 10 Pour Condom, la précaution n'était pas superflue. Les Français ayant occupé Condom en 1324, y subirent un siège eu 1330; un nouveau siège les en chassa; les Anglais gardèrent la ville 19 ans; chassés par les bourgeois, ils y rentrèrent encore; Duguesclin enleva la cité en , 1374; les Anglais s'en réemparèrent encore et en restèrent maîtres jusqu'à la fin de la guerre de Cent Ans 1450. SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. épiscopal comme le quartier susdit s'était soudé par le nord au quartier consulaire. Il n'y eut plus dès lors qu'ne agglomération. agglomération. château-fort, toujours en bonne place, en assurait la défense du côté sud. On ménagea une voie de passage entre les deux masses anciennes ainsi se créa cette bizarre place du Lyon d'Or dont l'importance commerciale, continuée par tradition à travers les siècles, s'explique par sa situation topographique elle mettait en communication deux villes distinctes, peut-être rivales, qui continuaient à vivre chacune de sa vie propre. 8. — Les couvents satellites de l'évêché. — C'est au début du XIVe siècle 1327 que le pape Jean XXII érigea en évêché l'abbaye de Condom 11. Les communautés religieuses gravitent normalement autour des centres ecclésiastiques; l'évêvhé exerça sur elles une action attractive dont les effets sont visibles encore aujourd'hui. Dans une vieille ville comme Condom l'espace intérieur ne pouvait suffire à la fondation d'établissements nouveaux ; les communautés s'installent en dehors de la ville mais dans ses abords immédiats. Les Franciscains Cordeliers ou Frères Mineurs annexent leur monastère à la rue Latournerie ; on le voit encore, ruiné, au midi du coude des promenades. A l'opposé, sur la rive droite de la Gelle s'installent les Dominicains Jacobins ou Frères Prêcheurs. Les Carmes ont leur couvent sur la rive gauche de la Baïse dans le quartier de la Bouquerie c'est aujourd'hui le théâtre municipal. Dans le faubourg de Riguepeu s'établissent les Clairistes aux abords de l'église Saint-Michel tandis que les Filles Nobles fondent le Prado 12. L'éperon qui sépare la Baïse de la Gelle fut le lot des Ursulines dont le couvent, bien remanié ,est encore debout. Ajoutons encore à la liste des fondations religieuses 11 L'abbaye bénédictione devînt chapitre lequel, plus tard, se sécularisa XVe siècle. La cathédrale actuelle, bâtie de 1521 à 1531 par les soins de l'évêque Jean Marre, remplace une église primitive dédiée à St Nicolas et dont il reste debout une tour octogonale au coin sud-est du vaisseau actuel. 12 Plus tard elles émigreront à Prouilhan, un demi-kilomètre au delà. PREMIER TRIMESTRE 1924. 69 l'hôpital de la Teste, refuge des pèlerins de Saint-Jean de Compostelle, situé aux abords du moulin et plus tard transféré à Piéta, trois léproseries au Prado, à la Bouquerie, à Sainte-Eulalie. A ces établissements étaient annexées des églises ouvertes au public. C'étaient Saint Barthélemy du Prado, Saint Michel de Riguepeu, Saint Jean de Barlet, Saint Jacques de la Bouquerie, Saint Hilaire ou Sainte Eulalie, La chapelle de Piétà, La chapelle des Pénitents. 9. — La troisième enceinte de Condom. — La plupart de ces églises avaient agrégé autour d'elles un certain nombre de maisons. Au XVe siècle, Condom débordait de sa seconde enceinte. C'était l'époque de la guerre de Cent Ans et des Grandes Compagnies; Condom, dépendant de l'Agenais, était presque à l'extrême limite de la Guyenne; les châteaux gascons » de Massencôme, de Gardès, de Lagardère et du Tauzia marquaient la frontière du pays anglais et du pays français; par son éloignement du centre, Condom était exposé, plus que toute autre ville aux déprédations des pillards et aux coups de main des aventuriers. Le besoin crée l'organe; une troisième enceinte fut établie. Elle engloba les quartiers ecclésiastiques du Prado, des Cordeliers, des Clairistes et aussi les maisons qui s'étaient adossées aux murs anciens. Du côté de la Gelle, les murs appareillés sont presqu'entièrement debout et les fossés comblés et complantés d'arbres sont devenus le boulevard de Gelle. Vers le nord, l'enceinte dessinait un bastion moins avancé que la citadelle qu'on édifia au XVe siècle et qui ne dépassait que de peu l'immeuble de l'école publique de garçons. De la porte Saint Jean à l'extrémité de la rue de ce nom une courtine reliait le bastion au pont-moulin défendu par ses tours. C'est aujourd'hui le boulevard Saint Jean qui sert de foirail aux porcs. Sur les berges de la Baïse, les deux 70 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. enceintes se reconnaissent par place, l'une enveloppant l'autre, depuis le moulin jusqu'à la rue Buzon. Vers le sud, l'enceinte nouvelle décrivit une ligne polygonale entre Saint Michel et le Prado. Des pans de murs se voient çà et là; les fossés comblés forment aujourd'hui un boulevard extérieur qui sert de foirail. Les nombreux jardins qui entourent cette enceinte proviennent sans nul doute du lotissement des enclos ayant dépendu des couvents des Clairistes, des Cordeliers ou des Filles Nobles. 10. — Du XVe siècle à nos jours. — Il semble bien que le XVe siècle ait marqué l'apogée de la prospérité de Condom. Aucun monument important, aucune transformation notable ne sont venus modifier l'aspect accoutumé des lieux 13. Les fossés extérieurs et les fossés primitifs se sont comblés les uns après les autres à Condom comme dans toutes les localités du Sud-Ouest. Les maisons particulières ont remplacé par des façades de pierre les façades anciennes en pans de bois; des auvents assez malencontreux parce qu'ils masquent la cathédrale ont été substitués aux échoppes qui se blotissaient, à Condom, comme ailleurs, entre les contre-forts du monument; mais ce ne sont que des modifications peu importantes, des réparations locatives » pourrait-on dire, en faisant de la ville une entité qui ne meurt pas. La figure de Condom s'est figée au XVe siècle. De la multitude des causes qui ont influé sur cet arrêt de développement, on peut dégager pour les citer d'abord — La fin de la Guerre de Cent Ans qui rend la sécurité aux pays frontières et diminue l'importance des villes; — La ruine de la contrée qui suivit les guerres de religion et la Fronde ; — La suppression de l'évêché; — La centralisation administrative commencée au XVIIIe siècle ; — L'attraction des forces vives du Condomois vers les 13 Citons pour mémoire la construction au quartier Sainte Eulalie de la Citadelle qui ne fut qu'un second bastion établi sur le promontoire d'entre Baïse et Gelle. PREMIER TRIMESTRE 1924. 71 Condom au XIXe siècle. 72 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Centres d'Agen et de Bordeaux, surtout après le développement des chemins de fer. La dépopulation qui, par surcroît, fait en Gascogne une oeuvre de mort ne permet pas pour Condom un relèvement immédiat. Pour de longues années encore, la vie active du centre parait devoir se continuer dans les antiques rues principales dénommées aujourd'hui Latournerie et Gambetta ainsi que dans cette bizarre place du Lyon d'Or qui n'est pas un centre mais qui remplit si bien son rôle de trait d'union entre les centres primitifs. PREMIER TRIMESTRE 1924. 73 LA DESCENDANCE D'ANTOINE-GABRIEL DESSUS, Dit le Capitaine SUS, au XVIIe siècle, PAR M. C. BARRIÈRE-FLAVY. Antoine-Gabriel Dessus, appelé le capitaine Sus, au temps des guerres civiles, appartenait à une ancienne famille de Béarn connue, dit-on, dès le XIIIe siècle. Après avoir guerroyé contre la reine de Navarre, il devint ensuite un de ses plus chauds partisans et se montra, dans la seconde moitié du XVIe siècle, calviniste exalté. Il eut alors pour adversaire implacable dans la lutte, Jacques du Lau, du Bas-Armagnac, chef ligueur et catholique. Gouverneur du château de Mauvezin en Nébouzan, on trouve Dessus combattant à Solomiac, à Samatan, à Gimont, à l'Isle-Jourdain etc... ; et les excès auquels il se livra lors de la prise de la ville épiscopale de St-Bertrand de Comminges, sont trop connus pour les mentionner ici. 1 Il avait épousé par contrat du 28 novembre 1559, Jeanne de Montaut-Bénac, fille de Madeleine d'Andouins, dame d'atour de la reine de Navarre, et devenait ainsi proche parent de la belle Corisande d'Andouins, comtesse de Guiche, belle-fille du comte de Grammont, et l'une des passions du roi Henri de Navarre 2. Un siècle environ plus tard, il s'éleva des contestations entre leurs descendants, au sujet de l'hérédité de la dame de Bénac, qui se terminèrent par une transaction. Antoine-Gabriel Dessus laissa trois enfants Philippe qui continua la descendance; Pierre dont on ne sait rien, et Jacques qui testa le 26 septembre 1585 en faveur de son frère aîné. 3 1 Archs Historiq. de la Gascogne. A. Communay. Les Huguenots dans le Béarn et la Navarre. 1885 p. 58-69-107. — J. Lestrade. Les huguenots en Comminges. 1900. p. 158-176-331. 2 Elle s'appelait Diane d'Andouins, fille de Paul Vte de Liouvigny, sénéchal de Béarn et de Marguerite de Cauna. Elle fut mariée à douze ans à Philibert de Grammont, fils aîné d'Antoine, Comte de Guiche, qui fut tué eu 1580 au siège de La Fère. Elle résidait au château d'Hagetmau et fut la maîtresse du roi de Navarre, de 1583 à 1589. Née en 1555, elle mourut en 1620. Bulletin de la Soc. Arch. du Gers. 1907. Ph. Lauzun, Corisande d'Andouins. 3 Bousigues, not. de l'Isle Jourdain. 74 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. L'époque de la naissance de Philippe Dessus ne nous est pas connue. Sans doute peut-on la placer vers 1560-1561. Il semble dans ce cas qu'il devint fort âgé, s'il est exact que son testament porte la date du 12 juillet 1650. 4 Il mourut apparemment vers cette date, âgé de 90 ans environ. Le testament fut fait à Paris. Philippe Dessus est qualifié de chevalier, gouverneur et lieutenant pour le roi, des villes et citadelles de Vieque et Morenvieque. 5 Il épousa par contrat du 25 février 1596, Espérance de Luxe qui vivait encore en 1650, époque à laquelle elle faisait donation, le 25 décembre, des trois quarts de ses biens, à son fils Charles, s'en réservant toutefois l'usufruit. 6 On la retrouve encore en 1652 ainsi qu'il sera dit plus loin. Les pactes de mariage de Philippe portaient que les mâles succéderaient à l'exclusion des femmes, selon la coutume des lieux où les biens seraient situés. Espérance de Luxe était une des quatre ou cinq filles de Charles, comte de Luxe, baron d'Ostabat, Lantabat et Ste-Livrade, seigneur de Tardets, Ahaxe, Ledeuix, Esquiule et autres, maître de camp d'un régiment d'infanterie, chevalier de l'ordre, capitaine et gouverneur de Mauléon de Soule, mort en 1604, et de dame Claude de Saint-Gelais. Philippe Dessus bénéficia en 1607 d'une importante libéralité 7 de la part de la dame de St-Germier, peut-être sa parente à un degré que nous ne connaissons pas. Voici dans quelles conditions. Le château et la terre de St-Germier, prononce St-Germé, commune du -canton de Cologne, arrondissement de Lombez appartenaient au XVe siècle à Antoinette de Martin, dame de Saint-Germier, sur le compte de laquelle nous ne savons d'ailleurs rien. De son union avec Peyrot de Golard ou Goulard elle n'eut qu'une fille, Clairette, qui fut son héritière et épousa le 4 avril 1456, noble Etienne de Goût. Leur fils Antoine, seigneur de St-Geimier, recevait avec sa mère, en 4 Dorbe, not. de Mauvezin. 5 Il s'agit sans doute ici, de l'ile de Vièques, dans les petites Antilles, près de Porto Rico, longue de 30 kilom. et large de 8. Un extrait mentionné dans l'inventaire du château de St-Germier est daté du 21 août 1666 et revêtu des signatures des notaires Vallin, de Sérignac et de Soye. D'autres actes inventoriés portent des dates qui paraissent fausses, car, on y mentionne notamment un testament de Philippe Dessus en 1666. 6 Souriguere, not. du Touget. 7 A. Communay. Les Huguenots dans le Béarn et la Navarre. 1885. Il n'est mentionné ici que trois filles. PREMIER TRIMESTRE 1924. 75 1469 et en 1499 10 décembre le serment de fidélité des manants et habitants de la terre de St-Germier. Il fut marié à Gabrielle Ysalguier, morte vers 1545. Antoine de Goût laissa au moins un fils, Guyon, seigneur de St-Germier, chevalier de l'ordre, qui se distingua comme capitaine catholique en Béarn, en 1563-1568. Il fut gouverneur de Fezensaguet et confirmé en cette charge en 1568, par Montluc. Le 24 juin 1563, il avait obtenu du roi un brevet lui accordant les droits du tiers et relief de la terre de Faugernon. Il testa une première fois le 21 août 1573, et vraisemblablement aussi, à une époque postérieure. Il avait épousé à une date qui nous échappe, Georgette de Montaignac — ou de Maignaut de Montégut. Nous ne pouvons préciser en effet, le nom patronymique de celle-ci, attendu que les divers titres inventoriés au château de St-Germier, et d'ailleurs perdus, portent en rubrique, tantôt Montanaq ou Montaignac, et tantôt Montégut ou Maignaut. Guyon de Goût comme seigneur de St-Germier, affermait le 13 mai 1565, le bois dit de Bédat, de 30 concades, aux habitants du lieu, sous la rente annuelle de 30 sols de fief et de 4 paires de chapons. Sa veuve eût des démélés avec les consuls et les habitants de la communauté, au commencement du XVIIe siècle. Une sentence arbitrale du Sénéchal de Lectoure trancha le différend le 28 juillet 1601. A cette occasion furent mentionnées les coutumes du lieu de St-Germier portant la date de 1260. Mais le scribe, ou mieux le copiste du XVIIe siècle, a négligé de nous faire connaître le nom du seigneur qui les octroya. Nous savons encore que Guyon de Gout avait obtenu le 30 octobre 1578, le droit d'établir à St-Germier, une justice patibulaire à trois piliers. Enfin, Georgette de Montaignac, veuve de Guyon de Gout et sans enfant, fit donation de tous ses biens, le 18 octobre 1607, à noble Philippe Dessus, qui devint ainsi seigneur et prit le titre de baron de StGermier. Selon les renseignements fournis par les titres du château de St-Germier, Philippe Dessus passa, le 4 mai 1625 une transaction avec les consuls et syndic de ce lieu ; et, le 23 juillet 1639, il s'accordait avec Me Antoine de Lagorée, conseiller et magistrat au Présidial de Toulouse. Il obtenait, à la date du 12 septembre 1642, un arrêt du Parlement, le maintenant en la justice haute, moyenne et basse du lieu de St-Ger- 76 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. mier, et le 29 août 1645, il gagnait encore un procès contre le syndic et les consuls, devant le Parlement. La date précise de la mort de Philippe Dessus ne nous est pas connue. Il laissait, en 1652, quatre enfants. L'aîné et le second, nommés tous deux Jean, le troisième, Charles, qui continua la descendance, et une fille Françoise. 8 Charles Dessus, héritier universel de son père et donataire des trois quarts de la part de sa mère, fut chargé de régler les légitimes de ses deux frères et de sa soeur. Naturellement, le règlement et le partage donnèrent lieu à un différend entre les quatre enfants. Jean, l'aîné, sieur de Lalanne, prétendait que leur père, par contrat de mariage, avait institué les mâles sans distinction aucune ; Charles répondait que le père et la mère avaient le choix entre les mâles. Le cadet Jean et Françoise réclamaient leur légitime, l'évaluation de la succession, et allaient même commencer un procès. On s'adressa donc en premier lieu à un homme de loi à Toulouse, dont l'avis ne parut pas satisfaisant, et l'on se décida à prendre pour arbitres nobles Aymeric de Roquelaure sieur de St-Aubin et Pierre de Montégut sieur de Laligué. Il fut, en conséquence, procédé à l'estimation de la terre de St-Germier et statué sur l'accord intervenu le 2 juin 1651 entre Charles Dessus et G. A. de Cassemajour, sieur de Jasses,, relativement à la place de Sus, à raison de livres. Nous ne connaissons pas la décision des arbitres ; mais les frères et la soeur s'accordèrent enfin le 28 janvier 1652, au château de St-Germier. Charles s'engagea à payer à son frère, le sieur de Lalanne, de ce jour au 27 juillet suivant, la somme de 6000 livres, sous renonciation à tous droits paternels et maternels, et de même à sa soeur Françoise, à raison de un douzième des biens, plus 400 livres d'intérêts arriérés. La dame de Luxe ratifia cet accord. Le même jour, une transaction était encore passée entre Charles et son autre frère Jean, alors lieutenant colonel, qui renonçait à ses prétentions sur l'hérédité paternelle, moyennant la somme de livres, payables dans un an, et avec confirmation d'un précédent accord entre eux passé le 31 août 1651. Charles s'engageait à lui verser en outre 8 Dans l'inventaire des Archives du château est mentionné un factum renfermant les titres destinés à établir les preuves de noblesse de Charles Dessus, dressé par le sieur de Dartigue, sieur de Gausac, conseiller du roi, lieutenant particulier au l'résidial de Condom, commissaire subdélégué par l'Intendant Pellot. La date n'est pas mentionnée. PREMIER TRIMESTRE 1924. 77 livres pour droits paternels, et pour gratification sur la donation à lui faite par sa mère et avec intérêts. Jean Dessus sieur de Lalanne mourut quelques années plus tard, après avoir fait une donation probablement de tous ses biens, en faveur de son frère Charles, le 1er octobre 1660. Jean Dessus, lieutenant-colonel au régiment de Navailles donna quittance à son frère Charles, le 31 mai 1653, de la somme de livres, et acquit, le même jour, la seigneurie d'Aiguebere, de messire Jean-Jacques de Cheverry, baron de Lareulle La Réole seigneur de Saboulies, Ardisas et St-Michel de Lanès, agissant en qualité d'héritier substitué à son neveu Jean-Jacques, fils de son frère Pierre, mort sans postérité, d'une part ; et de Catherine de Boytel, sa femme, fille de Marguerite de Labarthe, veuve de Pierre de Boytel sieur de Belleville et d'Aiguebere, représentée par son procureur Pierre Dupred écuyer de Lombez, habitant de Castillon. La vente comprenait maison seigneuriale, un moulin à vent, la métairie de la Tuilerie, de trois paires de boeufs, un four de tuilerie, une petite métairie basse avec garenne, avec les droits de justice haute, moyenne et basse, droits de fief, agriers, lods et ventes, etc... autre métairie dite du Caselas au terroir de Gimont, terres, bois, prés, vignes, de deux paires; une autre dite Berdoutet, au terroir de Garbic, d'une paire, au fief du Roy et du Prieur de St-Orens d'Auch. Le tout franc et quitte de toutes charges, obits et hypothèques, sauf la taille au roi, le droit de fief et agrier comme dit est. Le prix était fixé à livres 20 sols pièce, dont livres payées comptant, en louis d'argent de 3 livres 10 sols pièce, et autres ; plus livres en obligations des débiteurs solidaires, Charles-Mathieu Dufaur, sieur de Barbazan, Etienne de Sudria avocat du roi au Sénéchal de l'Isle Jourdain, George de Sudria, écuyer, MM. Jean de Panebeuf et Jean François, docteurs et avocats. Enfin livres payables dans un an avec intérêt. Le tout s'élevait à livres, pour être versées à Catherine de Baulac, veuve de Charles de Cheverry d'Ardisas, héritière de noble Arnaud Guilhem de Baulac. L'acquéreur s'engageait à payer dans 15 jours aux vendeurs, la somme de livres 16 sols 6 deniers, en paiement du solde de la dot de la dame de Fources, fille de la dame de Baulac, selon les pactes de mariage du 4 février 1649. Jean Dessus et sa soeur Françoise, s'installèrent et vécurent ensemble au château de St-Germier. SOCIETE ARCHEOLOGIQUE DU GERS. Quelques années plus tard, Jean Dessus entra en conflit grave avec le Sénéchal d'Armagnac Louis d'Astarac, baron de Fontrailles et Vicomte de Cogotois. Ce dernier voulut en effet, en 1661, renouveler les hommages qui lui étaient dûs dans le petit pays de Cogotois, en qualité de Vicomte. Il paraît que le baron d'Aiguebere prit mal la chose, maltraita et fit bâtonner par ses gens, les envoyés du sénéchal. Une bagarre se produisit, où les bordiers Lamothe se signalèrent par leurs violences. C'est pourquoi le baron de Fontrailles envoya aussitôt ses officiers pour procéder à une enquête. Là encore, comme il fallait s'y attendre, une vraie bataille eut lieu. Sous la conduite de Jean Dessus et de sa soeur, une troupe de paysans, armés d'épées et de pistolets chargèrent les officiers du Sénéchal qui, roués de coups, durent s'enfuir plus ou moins grièvement blessés. Bernard Lamothe qui avait déjà pris part à la première rixe, ayant été fortement blessé fut porté au château d'Aiguebere. Le vicomte de Cogotois s'adressa alors au Parlement qui ordonna en premier lieu — 15 septembre 1661 — le transfert de Lamothe au château de Montferran, siège de la Vicomte, la remise de toute la procédure au greffe criminel, et désigna ensuite le conseiller de Guillermin pour informer. 9 Quatre jours après, Jean Dessus et son valet François étaient décrétés de prise de corps. Le sieur d'Aiguebere s'empressa alors de se constituer prisonnier à la Conciergerie et, le 5 octobre 1661, la cour, sur sa requête, le mettait en liberté sous caution. 10 Jean Dessus ne voulut point cependant se soumettre aux injonctions de Fontrailles, qui le poursuivit alors en reconnaissance féodale et pour crime de félonie envers son seigneur. La cour statuant sur cette matière, ordonnait, le 8 mai 1662 une information extraordinaire contre lui, avec injonction formelle de se constituer à la Conciergerie dans trois semaines. La suite du procès nous est inconnue. 11 Le seigneur d'Aiguebere mourut en 1665 et testa au profit de son frère Charles, envers lequel il se trouvait d'ailleurs débiteur. Le 13 juin 1665, la Chambre de l'Edit à Castres rendait un arrêt portant allocation en faveur de Charles Dessus, seigneur de St-Germier, de la terre et seigneurie d'Aiguebere. L'expédition en fut faite le 15 novembre 1666, et Charles était mis en possession de ces biens 9 Archs du Parlement. Fonds de la Tournelle. Vol. 345. 10 Ibid. 11 Ibid. vol. 347. PREMIER TRIMESTRE 1924. 79 par Me Etienne de Sudria, commissaire délégué, le 22 novembre suivant. Charles Dessus fut marié deux fois ; en première noce à Anne d'Hélie de Villarzel en 1652 sans doute le 10 décembre; puis, le 30 août 1664, à Suzanne du Bousquet, fille de Jonathan, seigneur et baron de Verlhac, Villebrumier, etc., et de Catherine de Vicose, au château de Clermont-Cogotois, où elle habitait avec sa tante, Anne de Vicose, épouse de François Du Pin de Lallier, seigneur de Clermont. 12 Suzanne du Bousquet se constituait une somme de livres pour droits paternels et maternels ; sa tante lui donnait livres après son décès et Charles Dessus lui faisait don de livres qui devait faire retour aux enfants s'il y en avait. 13 Il n'y eut qu'un fils, Jacques, né de cette seconde union vers 1666, et dont nous ignorons la destinée. Charles Dessus testa trois fois le 23 décembre 1653 ; le 8 mai 1659 14 ; et le 19 novembre 1666, au château de Clermont. Par ce dernier testament, il révoquait la donation faite au profit de sa femme, depuis la naissance de son fils Jacques. Il léguait aux anciens de l'Eglise Réformée de l'Isle-Jourdain la somme de 300 livres, dont l'intérêt servirait à l'entretien du ministre. II donnait livres à sa femme, en outre des avantages qu'il lui avait faits par contrat de mariage en cas de prédécès du fils ; et, dans le même cas, lui donnait la jouissance entière de tous ses biens sans être tenue de rendre compte. Enfin, au cas où la mère et le fils ne pourraient s'entendre, il donnait à sa femme une pension annuelle de 800 livres avec la moitié du château meublé, la moitié des granges et fénières. 15 Ch. Dessus, baron de St-Germier mourut le 27 juin 1668. Il avait eu deux bâtards reconnus. Un garçon, Ramond et une fille Jeanne, fille de la nommée Jeanne Cestac. Jeanne Dessus fut mariée le 3 septembre 1663 à Daniel Pomies, avec une constitution dotale de livres payable dans 5 ans. Elle reçut une partie de la somme soit 750 livres, dont 300 de la première femme de Charles Dessus et 450 de la seconde. Mais l'acquittement du 12 cf. Notre histoire de la seigneurie et des seigneurs de Clermont. 182 p. 13 Galchat, not. de l'Isle Jourdain. 1658-1665. f° 282 14 Bouseran. not. de Toulouse. Archs Notariales. 15 Gaichat. not. de l'Isle-Jourdain 1665-1669 f° 51. — Témoin de l'acte M Jean de Lux. dr en théologie, curé de St-Germier et noble Pierre Furgolle écuyer, sieur de Fraisse, etc. 16 Dorbe, not. de Mauvezin. 80 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. solde de la dot fit naître une querelle entre Ramond et son beau-frère Pomiès. Le 14 juin 1669, un an après la mort de Charles Dessus, les deux adversaires se rencontrèrent près du bois de Bédat, en vinrent aux mains et Ramond fut tué par Daniel qui luy donna un coup d'épée à travers le corps ». 17 Les ordinaires de St-Germier informèrent aussitôt ; et, par sentence du 8 août, condamnèrent Pomies à mort, à la confiscation de ses biens au profit du seigneur, distrait toutefois le tiers pour sa veuve. Sur l'appel interjeté par lui en la Chambre de l'Edit de Languedoc, le jugement fut simplement confirmé le 13 février 1670, et le meurtrier exécuté ausitot. La veuve Pomiès réclama à la dame de Verlhac, alors veuve aussi, le solde de sa dot avec les intérêts. Enfin, après maintes chicanes, un accord intervint entre les parties, au château de St-Germier, le 24 janvier 1676. C'est pourquoi, en considération de la situation précaire de la veuve Pomies et de ses enfants, la dame de St-Germier lui abandonna en paiement, plusieurs pièces de terre et jardin. 18 Un mois après le décès du seigneur de St-Germier, sa veuve, Suzanne du Bousquet adressa au Sénéchal d'Armagnac, une requête pour qu'il fit procéder au plus tôt, à l'inventaire des biens du défunt. Donc, le 2 août 1668, se conformant à la commission qu'il avait reçue du Sénéchal, Me Pierre Gaichat, notaire de l'Isle-Jourdain, parti à cheval de cette ville à six heures du matin, arriva à neuf heures, au château de St-Germier. L'inventaire commença aussitôt en présence de Me François Maumus, praticien de l'Isle, représentant la dame Dessus. Mais les parents du défunt, assignés pour y assister également, étaient absents c'étaient les sieurs de Luppé, l'un, sieur de Tilhac, l'autre, sieur de Poysentut. Voici quels étaient les biens meubles et immeubles relevés dans l'inventaire retenu par Me Gaichat ... Estant entré dans une chambre dudit chasteau, le notaire fit prester à la dite dame, le serment en tel cas requis... Dans laquelle chambre nous aurions trouvé quinze chezes sans garniture, un peu uzées. Plus deux licts, le bois vieux et fort uzés, à l'entour diceux licts, y ayant de garniman de Vergame gris, jaune et rouge, demy uzés. 17 Gaichat. not. de l'Isle Jourdain 1673-1677. f° 206. 18 ibid. PREMIER TRIMESTRE 1924. 81 Plus, dans lesdicts licts, une meschante couette avec un matelas et deux couissins remplis de plumes avec deux meschantes couvertes, le tout fort vieux et uzé. Plus un chandelier de laton uzé. Plus une table avec son pied uzé. Plus aurions trouvé dans ladite salle, une alimande 19 fort vieilhe et uzée, dans laquelle a esté trouvé un bassin, une aiguière, deux portesiettes, un salinier, le tout destaing uzées. Plus sept cuilhères d'argent fort légères et uzées et de peu de valeur. Plus un chandelier de laton uzé. Plus un autre bassin en auballe destaing fort uzé. Après ce, nous serions entrés dans une autre chambre du costé de Levant joignant la première où aurait esté trouvé deux licts ; le bois desquels est de noguier demy uzés, à l'entour desquels y a de garnimans noirs de raze avec deux couettes fort uzées remplies de plume vieilhe avec deux matelas vieux, deux cuissins remplis de plume vieilhe et les dits cuissins rompeus et uzés, avec deux contrepointes fort uzées. Plus neuf chezes de noguier garnies de raze noire uzée. Plus une table avec son pied uzée, couverte d'un tapis de raze noire. Plus trois chezes de noguier sans estre garnies avec une petite table avec son pied. Plus aurions trouvé dans ladite salle un petit lict de repos de noguier garny de toille fort grossière. Plus un pair de chenets fort petits et uzés. Plus un coffre de baut 20, dans lequel coffre a esté trouvé une robe de drap d'Espaigne noire pour porter le deuilh, toute neufve. Plus une juppe de sarge de Roume 21 noire toute neufve pour porter aussy le deuilh que ladite dame a déclaré avoir faict faire environ quinze jours. Plus une juppe de satin blanc garnie de guipure avec une robe noire de moire à poil uzée que lad. dame a dit luy appartenir. Plus une cassette dans laquelle a esté trouvé de meschantes et vieilhes lettres. 19 La limande — dite aussi l'alimande — était un meuble en bois en forme d'armoire, à quatre ouvrants, deux en haut et deux en bas, séparés par trois tiroirs placés au milieu. La partie supérieure était en retrait, avec deux colonnettes torse, aux extrémités, toujours surmontée d'un couronnement triangulaire orné d'une petite niche au centre et de deux tablettes en pignon aux angles. La limande apparaît au XVIe et XVIIe siècles, remplaçant le coffre ou bahut servant à renfermer le linge et le vestiaire de la famille. Elle faisait partie du mobilier des jeunes filles à marier. Sa dénomination viendrait du nom donné aux planches longues et plates, ayant l'aspect d'une lime plate, et formant les tablettes des armoires, des bibliothèques... selon Nioulet. Revue de Gascogne. Tom. X 1865. p. 428-475. 20 Pour bahut. 21 serge, étoffe de laine légère. 82 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Plus une robe douette de taffetas rayé couleur d'orore et gris, doublée de taffetas bleu. Plus une juppe rayée de thabis 22 incarnat et blanc, le tout uzé. Plus une bouette dans laquelle a esté trouvé la coiffure de deuilh et deux mouchoirs de cou de toille d'olande. Plus un pair de bas noirs d'Angleterre faicts à la broche, un pair de gans de deuilh. Plus a esté trouvé dans la dite chambre un autre coffre baut joignant le premier demy uzé, dans lequel a esté trouvé un meschant cotilhon de ratine rouge. Plus cinq doutzaines de serviettes de poil de lin, uzées. Plus cinq napes aussy de poil de lin, uzées. Plus a esté trouvé dans lad. salle une meschante masle servant de coffre où l'on tient le linge du baron. Plus estant entrés dans une autre chambre du costé aussy de Levant, à laquelle a esté trouvé un coffre fort vieilh et uzé, d'ourmeau, dans lequel a esté trouvé doutze linsuls de poil de lin fort uzés. Plus quatre linsuls neuf de poil de lin asses grossiers. Plus a esté trouvé trois sacs dé toille remplis de graine de lin lesquels sont meschants. Plus estant dans ladite salle a esté trouvé une petite alimande de meschant bois dans laquelle a esté trouvé un pot de gresse doye, une oye salée et un quartier de lard pour la despance de la dite maison. Plus joignant ladite chambre, il y a une petite chambre avec une tour qui la joint dans laquelle n'a esté rien trouvé que deux fauteuils ; mais ladite chambre et tour estant toute desplanchée et partie descouverte menassant ruine s'il n'y est promptement pourveu. Plus estant sortis desdites chambres et allés dans trois chambres quy sont du costé du couchant, dans lesquelles, nous n'aurions trouvé rien; mais lesdites chambres partie de la murailhe quy va sur la cuisine tombée à terre et tout le reste de la dite murailhe s'en va tomber, comme il nous a appareu, s'il n'y est promptement pourveu et les poutres estan hors de mur la murailhe et seroint tombés sans les apuis qu'on y a mis. Après serions dessendeus par un degré de pierre et entrés dans une chambre qui sert de cuisine dans laquelle nous aurions trouvé un pair chenets de fer petits et meschants. Plus une table avec son pied fort meschante et vieilhe. Plus un pendant de feu demy uzé avec deux broches, le tout de fer. Plus une grilhe assés bonne. Plus une poile et un poilon tout vieuz et uzé. Plus une lichefrite meschante, uzée et percée en deux endroicts. 22 ou tabis taffetas ondulé en cylindre. PREMIER TRIMESTRE 1924. 83 Plus une petite tourtière uzée. Plus une chaudière de laton uzée tenant environ trois cruches d'eau. Plus un petit chauderon demy uzé. Plus un eschaufelit uzé. Plus deux métals de fer servant de pots pour la cuisine lun assés grand et l'autre petit. Plus a été trouvé dans lad. cuisine une meschante alimande sans serrure dans laquelle nous avons trouvé une meschante peinte destaing. Plus deux chandeliers de laton uzés. Plus deux autres chandeliers destaing aussy uzés. Plus un autre chauderon vieux et uzé tenant environ une cruche d'eau. Plus un timbre uzé estant de cuivre et les pieds de fer vieux et uze. Plus deux doutzaines dassiettes destaing vieillies et uzées. Plus neuf plats destaing aussy uzés. Plus deux autres chandeliers destaing uzés. Plus deux escuelles destaing uzées. Plus sept assiettes cruses aussy destaing vieilhes. Plus deux cuilhers de fer uzées. Plus une poile de fer aussy uzée. Estant entrés dans une autre chambre, aurions trouvé quarante fais de lin, lequel lin ayant esté arrousé, jugeant y pouvoir avoir quatre vingts ou cent doutzaines ou environ. Après estre sortis de ladite chambre serions allés par le degré où nous estions entrés dans icelles et dessendant par led. degré en bas dans la cave, où estant nous aurions trouvé neuf barriques vieilhes. Plus aurions trouvé dans icelle trois barriques pleines, lune desquelles est en perse depuis quelques jours, lesd. rus estant vieux et uzés. A suite de ce nous serions entrés dans une salle sur le bas servant de grenier par un petit degré, dans laquelle chambre ou grenier nous aurions trouvé environ quatre sacs de geisses. Plus six ou sept sacs d'avoine. Plus dix sacs d'orge ou bailharge. 23 Plus trois sacs de febves. Plus quatre sacs de garroufites. 24 Plus deux saloirs avec leur couverture uzés. Plus une meschante mech pour tuer les pourceaux. Plus une mesure et rostou servant à mesurer. Plus estant entrés dans une autre petite chambre proche led. grenier servant de fournière, dans laquelle a esté trouvé un rusquier servant à faire la lissive, fort uzé. 23 sans doute la paumelle. 24 Espèce dé vesces. 84 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Estant entrés dans la salle basse de lad. maisons aurions trouvé dans icelle un archelict de bois de ciprier presque neuf, le rideau duquel est de burat blanc avec de fouret de laine uzé, avec une couette, matelas et couverte, remply de plume, le tout uzé, avec une pailhasse remplye de pailhe. Plus a esté trouvé dans lad. chambre un autre lict, le bois duquel est presque rompeu et fort vieux, les rideaux de burat blanc où il y a une couette et cuissin remplis de plume vieilhe fort vieux et uzé, ensemble un matelas, une courtepointe aussy uzés. Plus une table en auballe avec son pied uzé, avec son tapis couleur feuille morte fort vieux et uzé. Plus une autre table avec son pied longue, fort vieilhe et uzée et son tapis Vergamine, couleur rouge, bleu et gris, uzé. Plus un lict de repos couvert d'une meschante toille fort vieux et uzé. Plus dix chezes sans garniture, l'une desquelles est rompeue et les autres fort uzées. Plus un pair de chenets petits, partie de laton et l'autre partie de fer. A suite de ce, nous serions entrés dans une autre salle joignant la dite salle basse du costé de Levant, dans laquelle aurions trouvé un lict, le bois duquel est de cerisier demy uzé, avec une couette, un cuissin remplis de plume vieilhe uzé avec un matelas et couverte uzées avec son garniman à l'entour d'icelluy de couleur jaune de cadis sans frange avec sa banne et tapis aussy jaune. Plus doutze petites caquetoires garnies de raze jaune sans frange et uzées. 25 Plus un pair de chenets de fer uzés. Plus estant entrés dans une autre petite chambre joignant la précédente dans laquelle a esté trouvé une alimande à la vieilhe mode presque rompeue où a esté trouvé neuf linsuls destoupe fort uzés. Plus dans un coffre de noguier fort vieilh et uzé dans lequel a esté trouvé six linsuls despaumette demy uzés. Plus dix napes de cuisine fort rompeues et uzées. Plus doutze serviettes de cuisine aussy fort rompeues et uzées. Plus une mech servant à faire du pain, uzée. Plus deux sedas l'un de chabis et l'autre de poil fort uzés. Plus estant entrés dans une autre petite chambre joignant la précédente, auroit esté trouvé un sac de lentilhes. Et estant sortis dud. chasteau et entrés dans la basse cour, nous serions allés dans l'escurie où nous aurions trouvé un cheval gris poil mesle, de petite tailhe et fort vieux, avec sa celle et sa bride, avec deux crèches, l'une fort rompeue et l'autre en bon estat. 25 Caquetoires petit fauteuil de coin de feu, où l'on caquette — causeuse. PREMIER TRIMESTRE 1924. 85 Plus serions entrés dans une grange servant de chay, où auroit esté trouvé trois tonneaux l'un desquels peut tenir environ dix charges de vendange, l'autre huict et l'autre six, l'un desquels est rompeu et uzé, les autres deux en assés bon estat. Plus un entonnoir et doutze rus de barrique fort vieux. Plus trois semals vieilhes. Plus deux pièces de bourde chesne servant de tindous. Après ce, serions ortis dudit chasteau et entrés dans un sol joignant tes fossés de lad. maison, dans lequel a esté trouvé deux gerbières de bled quy nous aurait esté dict par les solatiers en y avoir cent soixante dizaines. Plus trente ditzaines de febves. De là serions allés dans une petite métairie joignant led. sol, bastie à bas estage en bon estat, avec deux escuries, quy servent pour tenir le bestailh de labourage et la demeure du maistre valet et valets, dans laquelle aurions trouvé trois pairs de boeufs quy servent pour le travailh des terres dépendantes dud. chasteau et que ladite dame tient en son propre ; scavoir une paire de boeufs de l'aage de treitze ans poil rouge et les deux autres paires aussy poil rouge et chastaing de l'aage de six à sept ans. Plus aurions trouvé trois arnois aratoires avec leurs ferrures servant au labourage. Plus une charrette uzée et vieilhe. Et de là serions allés dans la garenne proche led. chasteau, laquelle nous aurions trouvé bien plantée des chesnes bien venants et de haute futée de la contenance d'environ trois arpens ; et nous en retournant vers led. chasteau et sortant du jardin, nous serions transportés dans la lue ou il y a de pigeons, laquelle est en assez bon estat. 26 A suite de ce nous serions transportés dans le moulin à vent appartenant à la dite dame en ladite qualité, dans lequel a esté trouvé les mules, belles, arbre et gouvert avec une chaisne de fer pour tourner et mettre les belles à vent sans autre chose comme il nous a esté déclaré par Pierre Daubeze musnier dudit moulin. Et vu l'heure tarde, nous serions retirés dans le chasteau dud. lieu et dressé le présent inventaire en présence de tous ce dessus... Et adveneu le lendemain troisièsme du mois d'aoust mil six cent soixante huict, nous serions transportés en la meterie appelée de Laligué dépendant de l'hérédité de feu Messire Charles Dessus, où estant arrivés aurions trouvé icelle bastie de paroists à bas estaige avec les escuries en asses bon estat, dans laquelle aurions trouvé trois boeufs et trois vaches servant au labourage des terres dépendantes de lad. metterie, lequel bes26 bes26 pour fuie, sorte de petit colombier, 6 86 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. tailh est de l'aage scavoir les deux boeufs de cinq ans et l'autre d'environ trois ans, qui sont lesdits boeufs et vaches par moitié entre la dite dame et Bernard Picard, métayer en ladite mettérie. Plus a esté trouvé à ladite metterie un veau de l'aage d'environ un an et demy et une génisse de l'aage d'un an aussy, par moitié entre ladite dame et ledit Picard. Plus a esté trouvé dans icelle vingt trois brebis portantes, deux bourrets et quatorze aigneaus ou aigneres aussy par moytié entre lad. dame et led. Picard. Plus a esté trouvé dans le sol de lad. metterie une gerbière de bled en y pouvant avoir cent dizaines ou environ comme nous a esté attesté par led. Picard. Et de la en hors, nous serions transportés en compagnie des susd. à la metterie appelée du Carretté, du labourage de deux paires, laquelle metterie est bastie de paroit à haut estaige fort ruinée, dans laquelle a esté trouvé sept testes de bestailh à corne, scavoir trois vaches, deux veaux et deux génisses, led. bestailh aagé scavoir l'une vache de sept ans, l'autre de six et l'autre de cinq ans ; lesd. veaux aagés d'un an et les génisses de cinq à six mois, le tout a partaigé entre lad. dame et Arnaud Larrieu bordier en lad. metterie. Plus a esté trouvé dans lad. metterie quatre pourceaux et deux cochonnes chatrées, aussy par moitié entre lad. dame et led. Arn. Larrieu. Plus aurions trouvé au sol de lad. metterie une gerbière de quarante cinq dizaines de bled comme nous a esté attesté par led. Larrieu. Et de là en hors, nous serions transportés à la tuillerie appelée de StGermié, laquelle a esté trouvée très mal bastie des chevrons et poutres, les murailles fendues en divers endroits quy menacent ruine. Et tout incontinent nous serions portés dans une autre metterie proche et contiguë de lad. tuillerie, bastie lad. metterie de murailles et paroit fort vieilhes et en mauvais estat ensemble tout le reste d'icelle. Et après nous serions portés sur une pièce de bois proche lad. tuilerie lequel nous aurions trouvé partie en bois abougry, partie en tailhis et coupé la présente année, avec d'autres tailhis de deux à trois ans de petits bailliveaux parmy led. tailhis et bois abougry. Plus nous serions transportés sur un autre bois tailhis appelé du Brana de l'aage de deux ans. Plus sur un autre bois appelé du Gripet proche du moulin du pin, coupé la présente année. Plus nous serions transportés à la metterie appelée du Balesta bastie à haut estaige sur de paroist et menassant ruine de tous costés, du labourage de deux paires. Le bestailh de labourage, Louis Berdos, mettayer à lad. metterie 3 déclaré tenir en afanage du sieur Nougarede de Tous. PREMIER TRIMESTRE 1924. Sy a esté trouvé au sol de lad. metterie une gerbière de bled en y pouvant avoir trente dizaines ou environ comme nous a attesté led. Berdos mettayer. De là avant, nous serions transportés sur un bois tailhis appelé à la Barrailhe dépendant de lad. metterie partie de l'aage de trois à quatre ans et l'autre coupé la présente année. Et ce faict, n'aurions peu procéder en autres actes ny à la faction de l'inventaire des titres et documents concernant lad. hérédité a cauze quils sont remis tant en la Cour de Parlement de Toloze, Cour des Aydes, que devant M. de Lucas commissre subdélégué par Monseignr de Pellot Intendant en la Province de Guienne pour la Réformation du domayne de Sa Majesté ; mais lad. dame a promis de les retirer en toute diligence afin que par nous soit procédé à l'inventaire d'iceux. Néanmoings lui aurions remis en son pouvoir tous les susd. meubles en présence des susd. nommés. Et adveneu le vingt deuxième aoust mil six cent soixante huit nous serions transportés dans la maison appelée d'Aiguebere appartenant à lad. hérédité où estant arrivés et entrés dans la salle basse de lad. maison, où auroit esté trouvé six barriques fort meschantes et vieilhes ne pouvant servir presque de rien. Après serions entrés dans une antichambre à côté de lad. salle basse dans laquelle n'a esté rien trouvé. Plus serions montés au haut de lad. maison et entrés dans une salle où aurions trouvé un lict que la femme de Bernard Lamothe bordier en lad. maison quy a dit luy appartenir. Plus une meschante table avec son pied. Et de là avant serions entrés dans une autre salle à costé de la précédente et joignant icelle où n'auroit esté rien trouvé. Comme aussy serions entrés dans une antichambre du costé de couchant à laquelle a esté trouvé un meschant archelict de bois de noguier fort rompeu avec une couette remplie de plume, une contrepointe, deux linsuls, le tout fort rompeu et vieux. De mesme serions entrés dans une autre chambre à costé dicelle où a esté trouvé un archelict de bois de noguier partie, et l'autre partie d'ourmeau et d'autre bois à nous incogneu, avec un garnimant de raze bleu mourant un peu uzé et rompeu, avec les franges de soye, avec sa banne et petit tapis, le tout de raze bleumourant, avec une pailhassere remplie de pailhe, sans couette, cuissin ny contrepointe. Plus estant dessendeus dud. haut dans la cour de lad. maison où n'a estré trouvé que deux rus de barrique fort vieilhes et meschantes. Et de là avant, nous serions allés dans le tinal de lad. maison où nous aurions trouvé deux tinnes fort meschantes et en mauvais estat et fort vieilhes. 88 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Plus aurait esté trouvé dans led. tinal deux tonneaux les deus asses bons et lautre fort vieilh, rompeu et meschant. Plus deux pièces de bois servant de tindous auxd. tinnes et tonneaux. Plus un pressoir fort uzé. Plus une barrique. Et de là avant, serions allés à la fournière à laquelle n'a esté rien trouvé. Plus aurions trouvé dans la bassecour deux foiniers de foin lun servant au labourage et l'autre pour lad. dame. Plus aurions trouvé dans lad. bassecour environ deux cents fagots. Et de là en hors serions sortis de lad. maison et entrés dans le sol et aire dépendant de lad. maison où auroit esté trouvé une pile de bled en y pouvant avoir trente cinq sacs bled ou environ quy est à partaigé entre lad. dame et led. bordier. Plus estant entrés dans les estables de lad. maison dans lesquels auroit esté trouvé deux vaches et une génisse que led. Lamothe a dict tenir en affanaige, l'une du nommé Baron habitant dud. Aiguebere, et l'autre de Jeannot Racolle bordier de la metterie dite du Berdouquet. Sy, nous serions transportés au moulin dépendant dud. Aiguebere lequel nous aurions trouvé fort mal basti et menassant ruine. Et étant montés au haut dud. moulin, nous aurions trouvé icelly en très mauvais estat et prest à tomber s'il n'y est promptement remedié ou auroit esté trouvé un paufer de fer avec une chaisne aussy de fer pour arrester les belles du moulin. Plus les mules dud. moulin en asses bon estat. Plus deux chevilles de la grosseur d'un bras d'un homme de fer servant à tourner led. moulin. Et estant entrés dans le bas dud. moulin, aurions trouvé deux poutres quy soustiennent icelluy moulin rompeus par le millieu apuiés chascun d'une pièce de bois. Et de là avant, nous serions transportés dans la metterie appelée de la Teularie bastie à bas estaige menassant ruine de tous costés ; dans laquelle a esté trouvé deux vaches, un boeuf et une cavalle appartenants à Abraham Lamothe bordier de lad. mettérie comme Peyronne Gensac sa femme nous a déclaré l'une desquelles vaches a un petit veau. Et estant allés au sol et aire de lad. metterie, aurions trouvé une gerbière où il y avoit la quantité de soixante dizaines de bled. De là avant nous serions transportés à la Teularie laquelle aurions trouvée inhabitable, partie à terre et l'autre preste à tomber. De là en hors, nous serions transportés dans la metterie dite du Casalas en la juridiction de Gimont, laquelle nous au ions trouvée bastie à bas estaige de paroits et en fort mauvais estat, du labouraige de deux paires. Le bestailh de labouraige, Domenges Daubeze bordier a déclaré PREMIER TRIMESTRE 1924. tenir en affanaige l'une vache d'un nommé Jeannot et une binne de deux ans aussy dud. Jeannot, comme autre de Me Laffitau prebtre de Sensas, et l'autre a dit luy appartenir. Et estant allés dans le sol et aire de lad. metterie aurions trouvé une gerbière de bled en y pouvant avoir la quantité de quarante deux dizaines de bled. Et de là avant nous serions transportés à la metterie dite du Bedoutet jurisdiction de Garbit laquelle nous aurions trouvée bastie de paroits à bas estaige fort ruinée menassant ruine, du labourage d'un pair comme nous a esté déclaré par Jeannot Racolle bordier de lad. metterie, y ayant trois vaches pour labourer, un petit veau et un autre petit veau, led. veau de l'aage d'environ un an et l'autre de huit à dix mois que led. Racolle a dit luy appartenir. Et estant sortis de lad. metterie, serions entrés dans le sol et aire de lad. mettérie, dans lequel aurions trouvé deux gerbières de bled en y pouvant avoir soixante cinq dizaines de bled. Sy avons trouvé dans une escurie du costé de couchant, la quantité de vingt cinq brebis portantes et de capital que le bordier a dit luy appartenir mais que desd. vingt cinq en avoit esté produit sept quy sont à partaiger entre lad. dame et led. bordier. Et ce fait, nous serions retirés. Un mois plus tard, le 26 septembre, le notaire Gaichat revint au château de St-Germier pour procéder à l'inventaire des titres et documents concernant les seigneurs de la terre de St-Germier, retirés par la veuve de Charles Dessus. Il nous a paru inutile de transcrire in-extenso l'inventaire de ces actes que l'on peut diviser en deux catégories, tout en faisant observer que les rubriques apposées sur les titres sont souvent erronées ou transcrites par le notaire d'une façon tout à fait incompréhensible, avec des erreurs de date. Les documents qui se rapportent aux Dessus et à leurs prédécesseurs en la possession de la terre de St-Germier ont été utilisés pour dresser la généalogie de ces seigneurs ; quant aux autres, ils ne concernent que des ventes, achats, engagements de terres ou procès sans intérêt. L'inventaire mentionne 49 actes ou liasses, au nombre desquels se trouve un livre terrier du lieu de St-Gennier relié couvert de parchemin blanc fait par Depetit agrimanseur de Solomiac, l'année 1643, escript en 174 feuillets papier ». 90 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. A titre documentaire, nous signalons l'existence des pièces suivantes 1er juin 1577. Quittance par Bernard de Montais, seigneur de Boue en Armaignac, mari de Jeanne de Faudoas. 28 juillet 1596. Accord entre Jeanne de Benac, le seigneur Dessus et Guy-Arnaud de Cassemajour. 8 août 1612. Testament de Guillaume-Arnaud de Cassemajour, seigneur de Jassès. 26 mars 1667. Arrêt de la Chambre de Guieme en faveur de Charles Dessus, contre Jeanne de Caumont, marquise de Navailles. 29 janvier 1662. Hommage rendu par Charles Dessus devant Me Daspe, juge mage d'Auch. 8 janvier 1663. Dénombrement des biens nobles par Charles Dessus devant Me Daspe. En ce qui concerne l'administration des biens de la succession de Charles Dessus et en qualité de tutrice de son fils mineur, nous mentionnerons deux actes intéressants, retrouvés dans les minutes du notaire Gaichat de l'Isle-Jourdain, et passés par la veuve du sieur de St-Germier. L'un concerne les réparations à effectuer au château d'Aiguebere, alors en fort mauvais état ; le second consiste en un bail à ferme de la terre de St-Germier qui parait avoir été fort négligée. Le 2 février 1669, sur la requête de la dame Dessus, le Sénéchal de l'Isle ayant désigné comme experts Bertrand Clavé, d'Encausse et Domenge Clavé, de Beaupuy, tous deux maîtres charpentiers, pour faire la visite et relation du château d'Aiguebere, ceux-ci se transportèrent sur les lieux où, de concert avec Etienne Cadours agent de la dame de St-Germier ils procédèrent à l'évaluation des réparations à faire aux bâtiments. A l'entrée du château existait un couvert — qui a servi autrefois de chapelle — et qu'il fallait remettre en état. La muraille de derrière du bâtiment et la toiture du château devaient être refaites en entier. Diverses réparations dans l'intérieur et aux métairies et moulin exigeaient d'être effectuées sans retard. 27 Ce ne fut qu'en 1672, que Suzanne du Bousquet, dame de St-Germier, tutrice de son fils Jacques Dessus, afferma le 8 juillet, à Isaac Lamigne, bourgeois de Mauvezin, la seigneurie de St-Germier, comprenant labourage du château, les métairies de Laligué, Carreté, La27 La27 not. de l'Isle Jourdain. 1665-1669 f° 167 PREMIER TRIMESTRE 1924. 91 bordenave, le moulin à vent, le four de la Tuilerie — à l'exception des terres de la juridiction de l'Isle-Jourdain, pour deux années — à dater de ce jour — moyennant la somme de livres payables 300 livres au 15 septembre prochain ; 700 à la Noël et au mois de mai 1673, enfin à la Noël 1673. La dame se réservait 10 ou 12 corbeilles de raisins pour les vendanges. Le fermier était tenu d'interdire la chasse sur les terres de la seigneurie, et de prendre le nom des contrevenants afin que la dame puisse les poursuivre en justice. Les amendes appliquées à cet effet appartiendraient à la dame. Enfin Suzanne du Bousquet se réservait l'appartement du haut du château, le grenier contigu, la fournière, un tiers de la cave, et la tour du côté de Montagne où elle enfermait son foin. 28 Par tout ce qui précède, il est aisé de constater qu'à la mort de Ch. Dessus, la seigneurie de St-Germier et la terre d'Aiguebere étaient en mauvais état, et les maison et château, délabrés et pauvrement meublés. II en était d'ailleurs à peu près de même dans la majeure partie des terres et des habitations seigneuriales du XVIIe siècle ainsi qu'il est aisé de s'en rendre compte en parcourant les inventaires nombreux de cette époque qui nous ont été conservés. En résumé, l'hérédité en biens fonds de Charles Dessus, seigneur de St-Germier et d'Aiguebere se composait en 1668 des immeubles suivants Le château de St-Germier, avec une métairie dépendante, de trois paires de boeufs ; Une garenne à haute futaie de 3 arpents ; Un moulin à vent ; La métairie de Laligué de trois paires de boeufs et trois vaches ; La métairie du Carreté de deux paires ; La Tuilerie de St-Germé avec métairie contigue ; Un bois taillis dit au Brana ; Un bois taillis dit du Gripet ; La métairie du Balesta, de deux paires. Un bois taillis de la Barrailhe ; La Maison dit château seigneurial d'Aiguebere ; Un moulin ; 28 Gaichat not. de l'Isle Jourdain. 1669-1672. f° 174. 92 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. La métairie de la Tuilerie de deux vaches, un boeuf, une cavalle ; La métairie du Casalas de deux paires de boeufs juridiction de Gimont ; La métairie de Bedoutet, une paire juridiction de Garbic. NOTE. Visite de Mgr de Maupeou, archevêque d'Auch, à l'église de Villefranche-d'Astarac 18 octobre 1707. L'an mil sept cens sept et le dixième du mois d'octobre, jour de lundi, Monseigneur Augustin de Maupeou, Archevêque d'Auch, primat de la Novempopulanie et du royaume de Navarre, conseiller du roy en tous ses conseils et conseiller d'honneur en son grand Conseil, ci-devant évêque de Castres, fit la visite de l'église de Saint-Vincent de Villefranuhe-d'Astarac, au diocèse dudit Auch. Il arriva à dix heures du matin et fut reçu hors la porte de la ville, communément appelée la porte de Débat », venant de Simorre, par maistre Jean Pujos, prêtre, bachelier en théologie, archiprêtre dudit Villefranche, accompagné de maistre Louis Brocas, prêtre et vicaire dudit Villefranche et natif de Sabailhan, audit diocèse, et de maistres Jean Couget, prêtre, bachelier en théologie, et Jean-François Donec, prêtres et natifs coobituaires dudit Villefranche. Le poêle était porté par M. Pierre Beugeles, Jean Lacase, Jean-Pierre Ricaut et Guillaume Desangles, consuls dudit Villefranche. Mon dit seigneur archevêque employa trois heures et demie à faire la visite et à donner le sacrement de confirmation ; il fit un discours d'environ demi-heure d'une manière touchante et patriotique dans lequel il fit voir la nécessité de la visite, les fins de la visite et les dispositions nécessaires pour profiter de la visite qu'il fit avec force exactitude, d'un air si gracieux et honnête que tout le monde en fût très édifié et très content. Eu foi de quoi j'ay signé J. PUJOS archiprêtre 1. 1 Archives du Gers, Etat civil de Villefranche-d'Astarac. PREMIER TRIMESTRE 1924. 93 FONDATION D'UNE CHAPELLE Dans l'Église de Notre-Dame de Bezolles 16 Octobre 1513, PAR M. L'ABBÉ M. D'AYRENX. Nous lisons dans la Monographie de la paroisse de Bezolles » 1 Pons de Lescout était encore curé de Bezolles le 16 octobre 1513, époque où il passa un acte très important concernant l'église de Bezolles et dont nous parlerons lorsqu'il sera question de cette église ». Sans nul doute M. l'abbé Broconat n'a pas eu le loisir de terminer son étude. Il n'aurait pas manqué de reproduire cet acte très important ». C'est pour compléter la monographie et aussi pour satisfaire la légitime curiosité des lecteurs que nous publions une copie authentique de l'acte susmentionné. Le 16 octobre 1513, Antoine I d'Ayrenx, fonde dans l'église de Notre-Dame de Bezolles la chapelle d'Ayrenx encore existante. II fait sculpter ses armes à la clef de voûte de l'entrée de cette chapelle et. graver son nom sur la partie extérieure droite de l'intrados. Acte de donation du terrain pour la fondation de la chapelle In nomine Domini amen. Noverint universi et singuli proesentes pariter et futuri, quod anno ab incarnatione Domini, millesimo quingentesimo decimo tertio, et die décima sexta mensis Octobris, régnante illustrissimo principe et domino nostro, domino Francisco, Dei gratia Francorum rege 2, apud locum de BesoIIa, Auxis dioecesis et comitatus Fezensiaci, in mei notarii publici et testium infra scriptorum proescntia, Existens et constitutus personaliter, videlicet venerabilis et discretus vir dominus Pontius de Stulto, proesbiter, canonicus eccellsia collegiatoe Sancti-Petri de Romelio, Codomiensis dioecesis, et rector ecclescoe parrochialis Beatoe Marioe dicti loci de Besolla, qui gratis, et ex ejus certa 1 Bulletin de la Société Archéologique du Gers, livraison, du 1er trimestre 1923, page 24. 2 Ici on doit noter une erreur. Si la donation est de 1513 Louis XII était roi de France. Si au contraire François I était roi lors de la donation, elle est postérieure au 1er Janvier 1515. Il est à présumer que l'acte passé en 1513 n'a été grossoyé que plus tard et le scribe a écrit le nom de François qui avait commencé commencé régner. Cette erreur n'infirme en rien l'authenticité de la grosse en parchemin portant la marque et la signature du notaire. 94 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. scientia ac spontanea voluntate, non coactus, deceptus per aliquem, seu aliquos, vi, dolo, metu, fraude, nec in aliquo circumventus, per se suosque in futurum successous quoscumque, cum hoc proesenti publiquo instrumento nunc et in perpetuum valituro, et nullo modo revocaturo, dedit, donavit, attribuit et concessit licentiam, congedium et auctoritatem. Provido viro magistro Antonio d'Ayrenxis dicti loci de Besolla habitatoris, ibidem proesenti, ad construendum et oedificandum unam capellam in proedicta ecclesia parrochiali Beatoe Marioe dicti loci de Bezolla et loco communiter vocato A la font batiadera, videlicet una canna per deden la gleisa de tot cayre, ab una que la dite capella ne porte préjudice a la dite gleisa, et que totas auffertas et vots, et totas autros causas se apartengan audit rector et tots drets que sy poyran estre au temps advenir. Plus es estât dit, que si lo dit Anthoni fonda obits et a cappelanias en lad. capella et dona lad. cappel'ania he obits au caperan que lui plasera per sa bita, et de qui enla que la dite capellania ou obits sian a donar audit rector ou a sous souccessours, Promittens que nihilominus dictus dominus rector eidem magistro Anthonio d'Ayrenxis ibidem proesenti, esse et existere bonus et firmus guirens et legitimus defensor, facereque semper sibi et portare bonam et firmam guirentiam et evictionem omnimodam de seipso et de omnibus aliis impeditoribus, petitoribus et pertutbatoribus de mundo proemissorum ratione seu occasione et hoc totum sub expressa hypoteca et obligatione omnium et singulorum bonorum proedictoe ecclesioe parrochialis Beatce Marioe de Besolla ; quorumcumque mobilium et immobilium proesentium et futurorum, cum omni intégra refectione dampnorum, guarantiarum et exponsarum curioe litis et extra ac etiam interesse, subque omni juris et facti remuneratione ad ha necessaria, pariter qualibet et cautela, et renunciavit inde super his jamdictus dominus rector gratis, scien'cer et consulté, specialiter et expresse, exceptioni hujus modi donationis, licensice congedii et auctoritatis per ipum dominum rectorem eidem magistro Anthonio d'Ayrenxis ibidem proesenti non sic factis et non concessis et exceptioni dicti contractus non sic facti et non indicti dictoeque guirentioe et evectionis portare non promissis jurix que dicenti quod deceptis in suis contractibus ultra dimidiam justi proetii subvenitur et exceptioni omnium aliorum et singulorum proemissorum per ipsum non sic ut proemissum est actorum factorum dictorum seu concessorum et aliter omni exceptioni, doli, mali, metus seu fraudis conditioni indebili sine causa et ob causam et generaliter omnibus aliis juribus et legibus canonicis et civilibus quibus mediantibus contra proemissa venire ullo modo, posset aliqua ratione sive causa, aliquo jure sive titulo ullis universis in futurum temporibus, PREMIER TRIMESTRE 1923. 95 Quoe omnia universa et singula tenere servare, complere inviolabiter perpetuo observare proenominatus Pontius de Stulto rector jamdictus, atf et supra sancta quatuor Dei evangelia ejus manu dextra gratis corporaliter tacta, promisit et juravit. De quibus promissis omnibus memoratus magister Anthonius d'Ayrenxis requisivit me notarium infra scriptum ut sibi retinerem publicum instrumentum. Acta fucre proemissa, anno, die, mensec, loco et régnante quibus supra, proesentibus ibidem in proemissis Vitale de Molera, Vitali de Riguali et Joanne de Bonafide, dicti loci de Besolla habitatoribus, testibus ad proemissa vocatis et me Hugone de Rupe, notario publico, loci de Besolla habitatori, qui de proemissis requisitus proesens instrumentum retinui et in meis libris sive protocolis registravi, et deinde in hane publicam forniam, per alium mihi fidelem grossari feci, signoque meo publico et authentico quo aliis utor instrumentis et signavi in fidem et testimonium omnium et singulorum proemissorum. + Marque du notaire De Ruppe not. Cette chapelle devint le lieu de sépulture des membres de la famille du fondateur. En effet, en Décembre 1601 Monseigneur l'archevêque d'Auch autorisa Jean-Raymond d'Ayrenx a être enterré ainsi que sa famille dans la chapelle d'Ayrenx fondée en 1513 par son bisaïeul paternel. Une semblable autorisation est donnée par Jehan Gourcelle, curé de Bezolles, le 25 Avril 1605. 3 Nous terminerons ces quelques notes par une lettre de M. l'abbé Broconat du 30 Juillet 1882. Il nous dit ce qu'est la chapelle à cette époque. Bezolles le 30 Juillet 1882 Il est incontestable qu'il se trouve dans l'Eglise de Bezolles une chapelle dans laquelle la famille d'Ayrenx avait son enfeu ; cette chapelle est celle que l'on rencontre la première à gauche en allant de la porte d'entrée vers le sanctuaire. Elle est clairement marquée par cette inscription qui se lit à l'intrados de l'arcade d'ogive donnant accès dans cette chapelle CHAPELLE DE M. D. AYRENX 3 Originaux en parchemin, archives de la famille d'Ayrenx. SOCIETE ARCHEOLOGIQUE DU GERS. Quant à l'écusson ou aux armoiries, rien d'aussi précis. Cependant, dans l'intérieur de l'église et au dessus de la clef qui ferme l'arcade d'ogive de cette chapelle, on voit un écusson dont les pièces héraldiques sont tellement mutilées qu'il est méconnaissable. Mais après avoir vu le cachet de la famille d'Ayrenx j'ai dit qu'on était fondé à croire que l'écusson aujourd'hui dégradé portait primitivement les armes de la famille. 4 Je vous prie d'agréer BROCONAT, pte curé de Bezolles. 5 4 D'Ayrenx porte d'or à une corneille de sable, becquée et membrée de gueules. 5 Archives de l'abbé d'Ayrenx. PREMIER TRIMESTRE 1924. 97 CHRONIQUE. SÉANCE DU 14 JANVIER 1924. PRESIDENCE DE M. MONLAUE, VICE-PRESIDENT. Est admis à faire partie de la Société M. le Comte DE GALARD-MAGNAS, présenté par MM. l'abbé Bivès et Peuga. M. Léon PERRAN, de l'Isle-Jourdain, offre à la Société un album de photographies très réussies, représentant les monuments et quelques paysages de l'Isle-Jourdain, notamment le clocher de l'église qui s'élève sur l'ancien donjon du château des comtes d'Armagnac. Des remerciements lui sont adressés. M. PIOULLEAU consacre un travail archéologique à l'église de SaintAntoine de Lialores, près Condom. Cette église romane, couverte d'une voûte en berceau, remonte à la seconde moitié du douzième siècle. Elle a trois nefs terminées par leur abside. On remarque à l'intérieur deux beaux chapitaux sculptés représentant la Tentation et le Sacrifice d'Abraham. Le portail et quelques remaniements sont du quatorzième siècle. Il serait vivement à souhaiter que ce monument remarquable soit classé comme monument historique. M. BOMPEIX étudie de Françoise Treinque, qui fut condamnée à mort et exécutée à Auch en 1829. Couturière à BezuesBajon, elle fut convaincue d'avoir empoisonné son père, sa mère et deux de ses frères. Un autre frère et une soeur n'échappèrent que par miracle. La coupable se servait d'arsenic et d'acide nitrique Elle ne montra aucune émotion, ni au moment de la mort de ses victimes, ni pendant les débats de son procès, restant toujour indifférente. 98 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. M. l'abbé I'AYRENS communique l'acte de fondation d'une chapellerie dans l'église de Bezolles, par Antoine d'Ayrens, le 16 octobre 1513. Une chapelle fut construite dans l'église où étaient sculptées les armoiries du fondateur. M. BRANET signale l'impression à Auch, d'une nouvelle traduction de Don Quichotte, due à l'érudit Gascon bien connu par ses nombreux travaux, ,X. de Cardaillac et J. Labarthe. Cette nouvelle édition française, au courant des dernières études cervantistes en France et en Espagne, est destinée à avoir un succès mérité. Le banquet traditionnel aura lieu courant février. SÉANCE DU 4 FÉVRIER 1924. PRESIDENCE DE M. DE SARDAC, PRESIDENT. Est admis à faire partie de la Société M. RANSAU Joseph, présenté par MM. Brégail et Despaux. Dans sa séance de février, tenue sous la présidence de M. de Sardac, la Société, après avoir procédé à l'admission de nouveaux membres, a entendu un certain nombre de communications. M. DESPAUX a donné connaissance d'un registre de procédures de la municipalité d'Auterrive pour les années 1790-1792 ce registre contient d'intéressantes pages relatives entre autres à la prestation du serment civique par l'abbé Lavergen, curé d'Auterrive, en présence de la garde nationale et des fidèles, le 26 janvier 1791. M. DE SARDAC présente une statuette en terre cuite trouvée à Rome par l'abbé Campistron. M. BRÉGAIL donne communication de deux poésies satiriques et gaillardes de l'époque révolutionnaire. La réunion de Mars est fixée au 10 et la date du banquet annuel est arrêtée. PREMIER TRIMESTRE 1924. 99 SÉANCE DU 10 MARS 1924. PRESIDENCE DE M. DE SARDAC, PRESIDENT. Sont admis à faire partie de la Société M. MEILLAN, présenté par MM. Puget et de Sardac ; M. LASSIME, présenté par MM. Rey et de Sardac ; M. BARAILHÉ Jean, notaire, présenté par MM. Despaux et Seillan ; M. MAULÉON, Directeur de la Banque de France Auch, présenté par MM. Dufréchou et Joseph Ortholan ; M. le Docteur PELTIER, Inspecteur départemental du Service de l'Hygiène, présenté par MM. Cuzin et de Sardac ; Mlle TASTE, Institutrice, présentée par MM. Brégail et Cuzin. Il est donné lecture d'une lettre du marquis de Suffren, secrétaire perpétuel de l'Académie des jeux floraux, lettre par laquelle la Société Archéologique est invitée à se faire représenter aux fêtes du sixième centenaire de la fondation de la compagnie du gai savoir » par les septs troubadours. M. SARRIEU, félibre majorai fait hommage à la Société de sa brochure sur Le Docteur Cator, félibre, sa vie et son oeuvre ». M. LACOMME, conservateur du musée d'Auch, présente une curieuse statuette ancienne en bois. M. DE SARDAC analyse l'ouvrage de M. l'abbé Marboutin sur le Prieuré de Paravis », ordre de Fontevrault. Cette plaquette contient l'historique de cet établissement fondé au douzième siècle et sa description archéologique. Poursuivant son étude sur l'histoire révolutionnaire à Touget, M. LAMARQUE s'occupe aujourd'hui des réquisitions opérées en vue des transports pour les besoins de l'armée des Pyrénées occidentales. 100 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. M. BRÉGAIL attire de nouveau l'attention sur Chantreau, ce parisien qui vint rétablir sa santé au Castéra-Verduzan, en 1792 et qui proposa au directoire du département de rédiger un journal destiné à déchristianiser les populations du Gers. Il est donné lecture de quelques fragments de ce journal qui avait pour titre Les Documents de la raison ». Le Gérant COCHARAUX SOMMAIRE Pages Le retour d'exil de L. de Maribon-Montaiit, en 1822, par M. Jean BARADA 101 L'église paroissiale de Saint-Orens-Pouy-Petit et sa porte, par M. l'abbé S. DAUGÉ 107 Le Tountoun, par M. A. BRANET ... 124 La Révolution à Touget, par M. LAMARQUE suite.... 136 Un apôtre jacobin Pierre-Nicolas Chantreau, par M. BRÉGAIL. 144 Notes sur Vic-Fezensac. — L'église pendant la Révolution, par M. BAQUÉ 162 Note. — Guillaume de Humboldt et le choeur d'Auch . . . 168 Notices des prêtres et religieux de Condom pendant la Révolution suite, par M. Joseph GARDÈRE 170 Bibliographie. -Le Prieuré du Paravis, ordre de Fontevrault, par M. l'abbé MARBOUTIN 189 Séance du 7 avril 1924 195 Gravure hors texte M. Fourteau, joueur de Tountoun . . 125 COMMUNICATIONS. Le retour d'exil de L. de Maribon-Montaut en 1822, PAR M. JEAN BARADA. Notre confrère, M. Bénétrix, dans la notice qu'il a consacrée au Conventionnel L. de Maribon-Montaut 1 dit qu'il a cherché cherché aux Archives Départementales du Gers, trace de son retour. Il n'y a rien là qui se rapporte à cette période de la vie de Maribon-Montaut, en effet; mais, grâce à des papiers papiers famille, je crois pouvoir, dans une certaine mesure, préciser cette question. J'ai trouvé dans un dossier, réuni probablement en vue de quelque action judiciaire, des copies de plusieurs lettres au sujet du retour d'exil de Maribon-Montaut. Nous savons, grâce à M. Bénétrix, qu'en 1816, il s'était réfugié en Suisse avec Barbeau-Dubarran, qui mourut à Lausanne Lausanne cette même année et dont il fut l'exécuteur testamentaire. Banni en vertu de l'article 7 de la loi du 12 Janvier 1816, 2 Maribon-Montaut réclama contre la mesure qui l'exilait, 1 Paul BÉNÉTRIX, Les Conventionnels du Gers. Auch, Capin, 1894. 2 Article 7 de la loi du 12 janvier 1816 Ceux des régicides qui, au mépris d'une clémence presque sans bornes, ont voté pour l'acte additionnel ou accepté des fonctions ou emplois de l'usurpateur et qui par là se sont déclarés ennemis irréconciliables de la France et du Gouverneement légitime, sont exclus à perpétuité du royaume et sont tenus d'en sortir dans le délai d'un mois, sous la peine portée par l'art. 33 du Code Pénal; ils ne pourront y jouir d'aucun droit civil, y posséder aucun bien, titre ni pensions à eux concédés à titre gratuit. 7 102 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. car, bien loin d'avoir accepté des fonctions pendant les Cent jours, il s'était montré adversaire irréductible de l'Empereur et avait même dans une circonstance, foulé aux pieds la cocarde tricolore. Il niait, de plus, avoir jamais donné son vote en faveur de l'acte additionnel. Madame de Maribon-Montaut, née Thieux-Lagardère, secondait activement ses démarches et, le n octobre 1821, le Préfet du Gers, 3 recevait du Directeur Général de l'administration départementale et de la police la lettre suivante Le Sr Maribon de Montaut, ancien membre de la Convention, ayant voté la mort du Roi, qui s'est retiré à Genève, a réclamé par l'organe de sa femme, domiciliée dans votre département, un passeport pour y rentrer. Comme il paraît n'être sorti de France que volontairement et non par suite de l'application des dispositions de l'art. 7 de la loi du 12 janvier 1816, l'administration n'a point à prononcer sur sa demande. S'il est vrai, comme il l'assure, qu'il n'ait ni accepté l'acte additionnel ni exercé de fonctions à cette époque, le séjour dans le Royaume ne pourrait en effet, lui être interdit; il n'aura donc qu'à se pourvoir auprès des autorités du pays où il se trouve actuellement, d'un passeport pour traverser la frontière. Toutefois, vous aurez soin, s'il se présente dans votre département, d'en donner avis à M. le Procureur du Roi, afin que ce magistrat puisse examiner s'il n'y a pas lieu d'exercer, en raison de la loi rappelée ci-dessus, des poursuites qui seraient de la compétence de l'Autorité judiciaire. Je vous prie de donner à cet égard, les explications convenables à Madame de Montaut. Exécutant aussitôt les prescriptions de cette lettre, le Préfet la communiqua à Madame de Maribon-Montaut, en lui faisant remarquer que c'était à elle à juger si elle pouvait donner suite à sa demande sans compromettre celui qui en était l'objet. Ce qui lui valut, de cette dame, la réponse suivante; en raison des renseignements curieux qu'elle contient sur les conditions dans lesquelles Maribon-Montaut fut obligé de quitter la France, elle nous a semblé intéressante à reproduire en entier 3 Le Baron de Lascours qui fut préfet du Gers du 7 mars 1817 au 1er septembre 1824, DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 103 Montaut, le 22 octobre 1821. MONSIEUR LE PREFET, Je suis bien sensible à la lettre que vous avez eu la bonté de m'écrire sur la communication que vous a fait M. le Directeur Général de l'Administration l'Administration et de la police. Oui, Monsieur le Préfet, je m'occupe depuis longtemps à faire connaître au Gouvernement paternel de Sa Majesté la position de mon malheureux époux qui languit dans un exil qui ne pouvait sous aucun rapport lui être appliqué. Il s'en faut de beaucoup qu'il soit sorti volontairement; il y fut, au contraire, forcé par un ordre de M. le Préfet d'alors 4 qui le somma à quitter le territoire français. Mon mari eut beau réclamer, lui dire la vérité et toute la vérité de sa cause, il fallut néanmoins prendre un passeport pour l'étranger et il partit d'Auch le premier avril 1816, laissant une épouse désespérée et un jeune enfant qui savait à peine prononcer le nom de son infortuné père. Mon époux, Monsieur le Préfet, n'a ni accepté les actes additionnels n'y rempli des places pendant les Cents-Jours et jamais on ne verra sur aucun registre n'y cahier d'acceptation son nom écrit de sa propre main. La preuve en est certainee par les certificats qui m'ont été délivrés par tous les détenteurs des dits registres qui ont constaté que mon mari ne s'était point présenté et que son nom, par conséquent, n'y figurait point, qu'il était même de notoriété publique qu'il n'avait point rempli des places depuis plus de vingt ans. Bien plus, Monsieur le Préfet, je désirai savoir si le nom de Montaut figurait sur aucun registre; aux Archives du Royaume, j'ai obtenu de Monsieur le Garde Général une déclaration qui atteste que vérification faite sur les registres ouverts pour recevoir les notes sur l'acte additionnel aux Constitutions de l'Empire en date du 22 avril 1815 à la mairie, à la justice de paix et chez le notaire de la ville de Montréal ainsi que dans le canton de Condom, département du Gers, le nom de M. Louis Maribon de Montaut n'est inscrit sur aucun d'eux. Vous voyez, d'après tous ces motifs, Monsieur le Préfet, que mon époux ne peut être compris dans l'article 7 de la loi du 12 janvier 1816. Je vais lui faire part de ce que vous m'avez communiqué et veuillez, je vous en supplie nous continuer vos bontés. Pardon, Monsieur le Préfet, de la longueur de ma lettre, il faut bien que je compte sur votre indulgence pour oser vous faire un si long détail, mais le père bienfaisant de se administrés daignera me le permettre il est tellement accoutumé aux belles actions qu'il n'en laisse jamais échapper une. Heureuse s'il me permet de le révérer toute ma vie et de 4 M. de Brochet de Vérigny qui administra le département du Gers du 20 février 1815 au 23 mars 1815 et fut réintégré après les Cent Jours du mois d'août 1815 au 7 mars 1817. 104 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. l'assurer de ma plus profonde reconnaissance. J'ai l'honneur d'être, avec la plus haute considération, Monsieur le Préfet, votre très humble et très obéissante servante. L. f. MONTAUT, née Thieux-Lagardère. Le Préfet, en même temps, prévenait le Sous-Préfet de Condom 5 qu'il eut à se tenir au courant de la rentrée dans le pays de Maribon-Montaut, et à se mettre en mesure d'en aviser le Procureur du Roi afin d'examiner s'il n'y avait pas lieu à poursuivre l'ex-conventionnel. Le 18 janvier 1822, le ministre de l'Intérieur signalait à Paris la présenece de Maribon-Montaut qui, en compagnie de Descamps, rentré dans les mêmes conditions que lui, se disposait à retourner dans le Gers. Il recommandait au Préfet de l'entourer d'une surveillance de précaution. Le Sous-Préfet, informé de la rentrée de Maribon-Montaut, arrivé à Montréal le 6 au soir ou le 7 février au matin en avisa sur le champ par une lettre confidentielle le Préfet et le Procureur du Roi du tribunal de Condom, et celui-ci consulta le Procureur Général de la Cour d'Agen, son chef direct, sur l'opportunité de poursuites à diriger contre lui. Tous deux, le Procureur Général et le Procureur du Roi, furent d'avis que toute action judiciaire non basée sur une dénonciation prouvée par la haute administration était inutile et, comme celle-ci était dans l'impossibilité de réfuter les assertions de MaribonMontaut, protestant n'avoir accepté aucune fonction pendant les Cent Jours et n'avoir pas adhéré aux actes additionnels, l'affaire demeura classée et en suspens. Au reste, Maribon-Montaut était rentré dans les dispositions 5 Pierre de Moncade, fils de Jean-Paul de Moncadc et de Dorothée Labat de Cieurac, Omigra; en 1812, il fit trève à son royalisme pour solliciter un emploi dans l'administration des Domaines en Westphalie. Rentré en France après la bataille de Leipzig, il rapporta dans son pays, les sentiments de la haine la plus active contre l'Empire. En 1814, il s'était rendu à Bordeaux pour se mettre à la disposition du duc d'Angoulême qui le nomma sous-préfet de Condom. Il était ma lié à Mademoiselle Thieux de Lassère; on peut supposer qu'il existait quelque alliance de ce chef avec Maribon Montaut, dont la femme, nous l'avons vu, était née Thieux Lagardère. Il mourut en 1844 a l'âge de 74 ans, dans son château de Remède, près Montréal.. Il était chevalier de St Louis, ayant servi dans l'armée des Princes pendant l'Emigration. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 105 les plus pacifiques et le sous-préfet de Condom en informait en ces termes le Préfet Condom, le 11 février 1822. M. Maribon-Montaut est venu chez moi ce matin dans un moment où il s'y trouvait sept à huit personnes. Il a exprimé ses sentiments avec beaucoup de franchise et je suis persuadé qu'il sent sa situation. Il m'a promis tout haut, devant les personnes qui se trouvaient chez moi, qu'il donnerait à tous, l'exemple du respect et de la soumission aux lois; que sa conduite et ses sentiments seraient tels, qu'il espérait qu'on n'aurait jamais le moindre reproche à lui faire. Je vous observe que tout cela a été dit d'abondance, en termes qui représentaient un sens plus étendu et sans que mes propos y eussent donné lieu. J'ai saisi cette occasion de le confirmer dans les bonnes dispositions qu'il manifestait; j'ai ajouté qu'il avait beaucoup à faire oublier, beaucoup à réparer et que sa conduite devait être désormais plus régulière encore qu'elle n'avait été condamnable. Les documents manquent à partir de cette époque et nous ne savons pas si Maribon-Montaut, définitivement assagi tint ses promesses; cependant, on peut croire qu'il ne donna lieu à aucune plainte, puisqu'au mois d'août, la surveillance de haute police, à laquelle il était astreint, fut levée. Plus tard, nous le trouvons à Paris. J'ai relevé dans les Mémoires du docteur de la Siboutie, notant avec une inlassable curiosité les événements qui se passent sous ses yeux, quelques lignes qui concernent l'ancien Conventionnel; elle reflètent si exactement l'état d'âme des survivants de la Grande époque révolutionnaire et donnent des détails si pleins de saveur sur Maribon-Montaut que les lecteurs du Bulletin ne m'en voudront pas de les reproduire ici. 6 En 1835, un homme se présenta devant moi au bureau de bienfaisance du Xe arrondissement pour avoir une consultation gratuite. Cet homme était d'une taille élevée, quoique affaissée par les années; il me dit être âgé de 86 ans 7. Il portait encore la tête haute sa tenue était pleine de dignité, son langage annonçait quelqu'un d'instruit et de bien élevé. Ses vêtements délabrés annonçaient une profonde misère. Cet homme 6 POUMIÈS DE LA SIBOUTIE, Souvenirs d'un médecin de Paris 1789-1855 Revue hebdomadaire, 14 août 1909, pp. 223-224. 7 En réalité, Maribon Montaut n'avait que 81 ans étant né en 1754, mais son état de misère et de maladie pouvait le faire paraître plus âgé. 106 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. était Montaut, de la Convention Nationale, qui, pendant la Terreur, prit une part si active à ses sanglantes délibérations. Admis dans sa pauvre demeure pour lui donner des soins, je le trouvai manquant de tout; il ne se plaignait pas néanmoins et supportait stoïquement sa misère et la perspective d'aller prochainement terminer dans un hospice une vie bien agitée. Je fus assez heureux pour, à son insu, intéresser à son sort un de ses parents riches qui, par mon intermédiaire, lui fit parvenir des secours suffisants. J'eus avec lui de longues conversations sur la Convention et les hommes de cette époque. Comme tous ceux de ses collègues que j'ai connus il protestait des bonnes intentions de la Convention, de son brûlant patriotisme, de son désintéressement, du courage des représentants du peuple, qui, aux armées, étonnaient par leur courage et leur sang-froid les soldats eux-mêmes. La plupart de nous, disait-il, étaient pauvres et sont restés pauvres. Moi j'étais marquis, j'étais riche et je sacrifiai avec bonheur mon titre et ma fortune à mes convictions politiques, à ce que j'appelais alors comme aujourd'hui un brûlant amour pour mon pays. Si ceux qui nous jugent si sévèrement voulaient se reporter à l'époque de notre glorieuse Révolution, ils verraient que les circonstances menaient les hommes. Maintenant que mon sang est refroidi, je conviens sans peine que la Convention a plus que des fautes à se reprocher. Mais, en revanche,, que de belles pages elle aura dans l'histoire pour se faire réhabiliter ! Quels hommes eurent plus de dévouement, plus de zèle, plus d'ardeur pour le travail ? Dans nos comités, nous travaillions six et huit heures par jour, sans compter les séances auxquelles nous assistions régulièrement. » Il me contait comment, avec Billaud-Varennes et autres, il avait été déporté à Sinnamary 8; tous les tourments qu'il y avait éprouvés. Rentré en France, il s'y était vu un objet d'horreur, repoussé même par sa famille. Eh bien, me disait-il, j'ai vécu seul, au milieu de mes livres. Mes opinions politiques, mes convictions n'ont pas varié. Vous verrez que tout n'est pas fini pour nous, et que l'avenir nous vengera du passé et du présent. » Comme la plupart des Conventionnels, il est parvenu à un âge très avancé. Il revint en Gascogne pour y mourir. l'Opinion, journal du Gers, annonçait sans autres commentaires le 21 juillet 1842 M. Louis Maribon-Montaut, ancien conventionnel, est mort il y a déjà quelque temps au château de Montaut, commune de Montréal Gers, à l'âge de 88 ans. 8 Dans les documents concernant Maribon Montaut que j'ai pu consulter, on ne trouve nulle part mention de cette déportation. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 107 L'ÉGLISE PAROISSIALE DE SAINT-ORENS-POUY-PETIT ET SA PORTE Notice Archéologique et Historique PAR M. L'ABBÉ S. DAUGÉ. I Le village si pittoresque de Saint-Orens-Pouy-Petit, aux solides maisons modernes enserrées dans les murailles moyennageuses de ses fortifications, possède une jolie, une délicieuse petite église contemporaine de ces dernières. I Petite, cette église l'est elle ne mesure que 13 m. 20 sur 6 m. 30. Délicieuse, cette église l'est aussi ; et son agrément lui vient de la simplicité même de son architecture et de la sobriété de sa décoration monumentale. Elle consiste en une salle rectangulaire formée de deux travées de voutes d'ogives séparées, aux parois nord et sud, par deux groupements de colonnes engagées et à pans coupés qui épousent le tracé des retombées du doubleau, des arcs ogives de la voute et des formerets. fig. I Contre le chevet et contre la face occidentale, les retombées des ogives et formerets sont soutenues par des supports en encorbellement affectant diverses formes. Les deux du sanctuaire sont pareils ils sont faits de trois futs de colonnes arrondis et accolés les uns aux autres, celui du milieu sur lequel s'appuie la nervure de l'arc de l'ogive étant de plus grande dimension que ceux des côtés sur lesquels descendent les arcs formerets. La base inférieure de ces futs de colonnes se perd dans le mur, et ils sont, pour ainsi dire, taillés en biseau. Ce motif architectural est très gracieux et cependant rare. fig. 4 Ces supports ont environ 3 mètres de hauteur. Les supports de la façade de l'Ouest sont dissemblables en1 en1 une des éditions de sa Géographie du Gers, Joanne a donné une vue du village de Saint-Orens-Pouy-Petit. 108 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. tre eux quant à leur dimension et quant à leur composition architecturale. Celui du sud-ouest, dans sa partie supérieure, au-dessous d'un chapiteau dont la corbeille est amplement développée, se termine par un cône renversé, en pain de sucre fig. 6. Celui du nord-ouest se termine aussi en pointe de cône, mais il n'est pas arrondi sur sa surface celle-ci est coupée par trois pans fig. 5. Les tailloirs, comme les corbeilles de ces consoles, ne présentent qu'une maigre ornementation sculpturale. On remarque seulement, au-dessous de l'abaque, aux arêtes arrondies aux supports de l'ouest, et ornées d'une moulure aux supports du chevet, une petite gorge. Mais les supports les plus intéressants de l'édifice sont, incontestablement, les groupes de colonnes disposées en faisceaux, qui séparent l'une de l'autre les deux travées fig. 8. Chaque groupement se compose de cinq colonnes à pans coupés. La plus grande colonne, au milieu, qui reçoit la retombée de l'arc doubleau, a cinq pans; le plus grand de ceux-ci, de la même dimension que le bandeau du doubleau, a 0 m. 21 de largeur fig. 3, tandis que les autres pans ont seulement 0 m. 175. Les colonnes engagées qui soutiennent les retombées des croisées d'ogives, à cinq pans aussi, ont des pans de 0 m. 14. Quant aux supports des formerets, extérieurs aux colonnes dont nous venons de parler, ils sont en trois pans; et, comme aux formerets eux-mêmes, la saillie du premier pan est de 0 m. 07 sur la muraille; le pan correspondant au bandeau du formerct a également 0 m. 14 comme les bandeaux des nervures des ogives et des colonnes servant de support à celles-ci fig. 8. Les moulurations du socle de ces colonnes sont aussi à pans coupés, et les lignes qui se trouvent à l'intersection des angles correspondent à celles des fûts et en descendent directement. La décoration de ces socles est pure, sans sculptures ; mais les moulures, les gorges, les cavets et les talons renversés se répè- DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 109 110 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. tent deux fois comme pour donner à la colonne deux bases superposées, la base inférieure ayant des dimensions plus grandes que celle qu'elle soutient, fig. 7 Toutes ces colonnes ont des chapiteaux dont la corbeille s'allie et s'adapte aux pans coupés des arcs et à leurs angles. Mais aucune de leurs surfaces n'a été sculptée ; et c'est une surprise de n'y pouvoir reconnaître la moindre trace d'ornementation. Par ailleurs, les nervures des arcs des croisées d'ogives, avec leurs simples cinq pans se coupant les uns les autres, sont d'une certaine lourdeur qui se remarque rarement sans doute dans les constructions gothiques fig. 2. Cela doit faire penser qu'il y a quelque chose de voulu dans cette disposition; car on ne doit pas imputer cette faute à l'ignorance ou à l'inhabileté des constructeurs il y a partout, en effet, en dehors de cela, dans les détails et dans l'ensemble, tant de proportion et d'harmonie, qu'on est, au contraire, obligé de convenir que les constructeurs de cette petite église étaient d'habiles maîtres d'oeuvres. Nous pensons pouvoir donner dans la partie historique de ce travail, l'explication de cette simplicité et de cette préoccupation de solidité de la voute, qui est bombée et qui, pourtant, n'a que 0 m. 23 d'épaisseur dans ses plus faibles parties, au moins au point le plus haut des voutains; mais nous pensons que cette épaisseur est partout la même en dehors des impostes et des tas de charge. Que furent, à l'origine, les clés de voute de cette église ? Ce qu'elles sont sans doute ; mais on ne les distingue pas bien. Elles ont été peintes, lors de sa dernière restauration, faite au XIXe siècle, et l'on n'y remarque plus que les monogrammes du Christ et de la Vierge, en caractères gothiques et entourés d'une sorte de couronne de feuillage qui peut être du XIIIe ou du XIVe siècle. Ces clés de voute sont à 11 mètres au-dessus du pavé. Les pied-droits et les voussures des fenêtres sont ornés d'un biseau à l'intérieur et à l'extérieur. Toutes ces fenêtres, DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 111 il y en a quatre dans la nef et une au sanctuaire sont d'égale hauteur, longues et étroites. Celles de la travée de l'Ouest sont cependant plus courtes. Toutes celles de la nef sont en tiers point et ont leur partie supérieure ornée d'un remplage fait de petits écoinçons évidés. L'unique fenêtre du chevet, — le chevet est plat, nous le faisons remarquer — est deux fois plus large que celles de la nef. Elle est partagée en deux formes par un mince meneau vertical et ornée d'un complément de fenestrage dans lequel on distingue une rose quadrilobée et des écoinçons évidés qui la rendent très belle. On remarque que ce meneau et ces écoinçons sont amincis vers l'intérieur de la nef; mais l'amincissement en amande, par l'abattement des arêtes, n'est pas achevé comme on le voit dans d'autres monuments de la région construits sans doute peu d'années après, mais il est terminé par un filet. A la paroi de l'Ouest, on aperçoit une ouverture assez large en tiers-point sans pied-droits. Cette ouverture, si elle est ancienne, devait être placée là pour une tribune. On distingue quelques autres ouvertures au ras du sol. Au coin nord-ouest, une porte en tiers-point s'ouvre sur une dépendance de l'église primitivement, elle devait s'ouvrir sur des dépendances du château ; on remarque, en effet, dans les soussols de la maison voisine, des arceaux de la période gothique. Près du pilier nord, dans la seconde travée, une porte de 0 m. 65 seulement de largeur, donne accès dans la tourelle accostée et engagée dans un contrefort et dans laquelle on voit un étroit escalier à vis qui monte au-dessus de la voute fig. 1. Jadis, cet escalier servait aussi pour monter à la chaire dont on voit encore des traces de l'entrée et les corbeaux des supports aux murs de la nef ; et l'on constate, dans l'épaisseur du mur, l'existence de quelques marches, reste d'un autre escalier qui permettait de monter au chemin de ronde et aux créneaux dont l'église fut certainement munie lors de sa construction. On remarque, en effet, si l'on fait l'ascension de la voûte par cet étroit escalier à vis, que la muraille qui soutient 112 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. cette voûte n'a subi ni accrochement, ni arrachement; mais que, au-dessus, il y a des démolitions intermittentes qui permettent de se rendre compte que les murs de l'église furent encore plus élevés qu'ils ne le sont aujourd'hui. Dans la travée du sanctuaire, nous distinguons un placard carré dont les deux vanteaux sont séparés par un meneau. En face, au mur sud, porte de la sacristie, en tiers-point. Ensuite, vers la nef, de chaque côté du pilier méridional, on distingue deux grandes arcades gothiques avec triple voussure ornée de trois larges et profondes gorges séparées par un filet beaucoup plus étroit. Ce furent, peut-être, les en feux où les fondateurs de l'église et les grands personnages de l'époque, en ce lieu, furent ensevelis. On a complètement ouvert ces arcades, soit au XVIIe, soit au XVIIIe siècle, quand on a augmenté l'église de la modeste chapelle que l'on distingue au midi. Plus loin, on remarque l'ancienne porte d'entrée de l'église, vers laquelle nous reviendrons dans un instant. Nous sortons de l'église par la porte actuelle, en tiers-point, qui s'ouvre sous le clocher moderne, mais qui, peut-être, a toujours existé pour le service du château primitif qui nous semble avoir fait corps avec l'église. A. l'extérieur, rien de très remarquable. Dix contreforts, simples piles de maçonnerie, maintiennent la solidité de l'église et de sa voûte ils sont sans arcs boutants et sans décoration comme dans la plupart de nos églises du midi. Deux sont à chacun des angles, formant entre eux, un angle droit; deux autres au milieu, l'un au nord, l'autre au sud, en face des piliers qui séparent les deux travées. Tous ces contreforts n'ont plus, au sommet, qu'un plan incliné. Une sorte de grand cordon décoratif en larmier encerclait l'église et les contreforts eux-mêmes, au-dessous de l'accoudoir des fenêtres, au moins du côté du chevet. II Mais ce qui retient l'attention des visiteurs, c'est surtout PORTE DE L'ÉGLISE DE St-ORENS-POUY-PETIT. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 113 la porte qui remonte à l'origine de l'édifice. Elle est dissimulée au coin sud-ouest, à l'intérieur, dans un réduit où l'on a relégué les chaises et les fonts baptismaux, et qui a été ajouté à l'église en même temps que la chapelle de la Vierge, probablement au XVIIe siècle. Il semble que ce soit ici seulement que les constructeurs aient voulu consentir à quelque ornementation sculpturale. L'arc de cette porte gothique se compose essentiellement d'une voussure à trois ressauts soutenue, de chaque côté, paîtrais pied-droits et trois colonnettes correspondant aux ressauts des arcs de l'archivolte. L'arc extérieur de l'archivolte est agrémenté d'une sorte de guirlande faite d'un cordon de crochets de feuillage qui font songer au XIIIe siècle et qui sont traités avec une certaine sécheresse. Cependant, l'ensemble de cette guirlande est remarquablement gracieux. Les moulures de cette porte sont adoucies. Adoucis également les angles et les arêtes des pied-droits, entre les colonnettes. A une certaine hauteur, on distingue deux ou trois corbeaux qui devaient supporter les jambages d'une charpente s'appuyant sur un larmier placé encore plus haut. Ils servaient de point d'appui à un auvent destiné à protéger cette porte des ardeurs du soleil et des rigueurs du temps. Au-dessous de l'archivolte, on remarque les restes d'un tympan dans lequel a été tracé, vers sa partie inférieure, un sousarc tréflé. A droite de ce sous-arc, on remarque un chrisme qui rappelle le travail de la période romane; tandis qu'à gauche la pierre correspondante semble avoir été ébranlée. Le chrisme a pu être placé sur ce claveau parce qu'il eût été trop à l'étroit au sommet du sous-arc; et peut-être le plan primitif comportait-il un tympan sculpté que des raisons pécuniaires, ou peutêtre mieux encore, l'influence d'architectes venus d'Angleterre, firent supprimer. Les arêtes de l'abaque des chapiteaux qui couronnent les supports ou pied-droits et les colonnettes qui soutiennent cette 114 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. archivolte sont arrondies, et une gorge se voit au-dessous de la corbeille décorée d'un feuillage abondant, mais traité avec âpreté, figurant des feuilles de vigne, de chêne ou d'autres végétaux encore. Ces chapitaux épousent le plan des ressauts de la voussure et des supports ; car, les ressauts de l'archivolte se voient aux supports et descendent jusqu'au soubassement de peu de hauteur sur lequel reposent les colonnettes et les pied-droits et qui forme un ébrasement. Ces colonnettes ne sont pas posées en délit, mais elles ont été profilées dans les pierres qui ont servi à la construction des pied-droits qu'elles doivent à la fois orner et renforcer. Leur engagement avec ceux-ci est toutefois de peu d'importance et le tracé de leur fut est presque complet. Le socle de ces supports, la base de ces colonnettes sont fort usés et leur tracé se distingue avec peine. Leur mouluration semble reproduire celle que nous avons reconnu aux colonnes de la nef et en être le dessin courant. Cette belle porte de l'église de Saint-Orens a 4 m. 20 de hauteur du sol au sommet de l'archivolte ; elle a 1 m. 72 de largeur d'un pied-droit à l'autre, à la hauteur des chapitaux. Elle a attiré déjà, depuis longtemps, l'attention des connaisseurs qui ont pu la visiter. Des brocanteurs ont, à plusieurs reprises, manifesté le désir d'en faire l'acquistion. Ils se sont heurtés,heureusement à des refus bien nets. Depuis, l'éveil a été donné aux autorités locales qui exercent sur elle une vigilance attentive et intelligente. Mais elle mériterait d'être classée comme monument historique. Ainsi, on conserverait, à notre pays, un monument qui représente une époque le premier en date des monuments gothiques du condomois et, peut-être, l'influence de l'architecture anglaise. Quelques aperçus historiques, que nous ajouterons à l'étude monumentale, aideront à s'en convaincre. III Aucune tradition ni aucun écrit ne nous ont donné la date DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 115 précise et le nom du constructeur de l'église de Saint-Orens. Silence complet d'ailleurs aussi sur les fondateurs de ce village fortifié qui n'a guère préoccupé ni les historiens, ni les annalistes, ni même les archéologues depuis qu'il est édifié. 2 L'architecture de l'église, que nous avons étudiée dans les pages qui précèdent avec tant de détails, nous informe cependant que c'est une oeuvre de la fin du XIIIe ou du commencement du XIVe siècle. Que s'est-il donc passé, dans ce pays, à cette date, qui ait nécessité la construction de cette église et de l'enceinte fortifiée que l'on voit encore, en grande partie, sur ce promontoire escarpé qui porte le village de Saint-OrensPouy-Petit ? Voici l'histoire générale et l'histoire locale nous apportant des documents nombreux relatifs à l'Agenais et au Condomois. Comme Saint-Orens fut toujours compris, depuis les temps les plus lointains jusqu'à la Révolution Française, dans le territoire et dans la juridiction de Condom, un peu de lumière dissipe les ténèbres et nous pouvons dire avec certitude jusqu'à la Révolution Française, Saint-Orens partagea et subit les diverses fortunes de la ville même de Condom. Or, nous savons que le Condomois, avec l'Agenais, devint anglais, par le traité d'Amiens en 1279. Le roi Edouard Ier s'empressa d'organiser l'administration de ces nouvelles provinces; l'acte de paréage de la seigneurie et de la justice de Condom, entre l'abbé et le roi d'Angleterre, signé le 20 juin 1285, paraît avoir été rédigé dès 1283 3. Les archives de la ville possèdent même deux documents de 1280 relatifs aux droits des consuls sur l'exercice de la justice ; et ils témoignent 2 Nous devons faire une exception. JOSEPH GARDÈRE, Histoire de la seigneurie de Condom et de l'organisation de la justice dans cette villle, 1902, Imprimerie générale du Gers, Victor Castéra, imp. Condom, in-8°, 394 pages, s'est occupé de Saint-Orens notamment aux pages 109, 110, 111, 112 et encore à la page 147 et seq. Nous nous sommes inspirés en maint endroit de la partie historique de notre travail de cette publication. — Dans les archives de Condom, St Orens porte le nom de Saint-Orens Cadefauld. 3 J. GARDÈRE, op. cit, p. 288, note 1. 116 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. que l'autorité du roi Edouard y était reconnue déjà, et son nom figure en tête de ces actes 4. Il est certainement conforme à la vérité historique de penser que l'organisation militaire, dans notre province anglaise, avait commencé avant celle de la justice civile, comme cela se fait communément. Le Condomois s'étendant jusqu'à l'extrême frontière du pays dévolu à l'Angleterre, Edouard dut se préoccuper des défenses de la ville de Condom et de son territoire. Saint-Orens avoisinait Pouy-Petit situé dans la juridiction du comté de Gaure qui allait, il est vrai, venir dans les possessions anglaises peu après, le 29 avril 1287, mais qui, en ce moment là, pouvait être encore, à tout instant, une fortification ennemie et menacer les vassaux d'Edouard, leurs biens et leurs récoltes. La limite entre le Condomois et le comté de Gaure se trouve à quelques centaines de mètres des murailles de Saint-Orens 5. Pour toutes ces raisons, nous croyons que la petite enceinte fortifiée et son église furent bâtis entre 1279 et 1287, beaucoup plus près de la première de ces dates que de la dernière, par les maîtres d'ouvrages militaires du roi anglais. Cette église a donc été, primitivement, une église de château fort, contemporaine de son voisin, le château du Tauzia, fortification élevée par les Anglais aussi, que Philippe Lauzun a déjà fait connaître. On ne doit donc pas s'étonner de trouver à Saint-Orens si peu d'architecture décorative, d'ornementations sculpturales; et nous savons maintenant pourquoi les arcs des ogives, les colonnes et les supports présentent cette robustesse qui ne laisse pas, cependant, d'être gracieuse. Il appartiendra à ceux qui connaissent l'architecture anglaise de nous dire si, parmi les caractéristiques que nous avons signalées dans l'étude que 4 Archives communales, — J. GARDÈRE, op. cit. p. 284-287. 5 C'est un petit ruisseau qui marque, entre Saint-Orens et Pouy-Petit, la limite entre les deux anciennes juridictions du Condomois et du Comté de Gaure. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 117 nous avons faite de cette église, on retrouve l'empreinte de la manière anglaise des constructions religieuses ou militaires de cette nation au temps du roi Edouard Ier, et si ce roi s'était fait suivre dans ses provinces d'Aquitaine, d'architectes anglais. Pour aider dans ces recherches nous ajouterons quelques remarques. A Saint-Orens, la décoration et l'architecture semblent vouloir s'affranchir de la lourdeur des anciens édifices romans; mais elles ne paraissent pas encore avoir acquis la légèreté qui allait caractériser le gothique français dont, quelques années plus tard, la belle collégiale de La Romieu allait, en notre propre pays, offrir un ravissant modèle. Cependant, à Saint-Orens, le gothique triomphe on n'en est plus à la période intermédiaire et de tâtonnements. Les bases et les abaques dans les supports engagés qui reçoivent les retombées des voûtes, et dans les supports du chevet et de l'ouest, sont normaux à ces ogives, présentent leurs arêtes bien en rapport avec celles des arcs et du doubleau. On voit aussi que ce n'est plus le temps des anciennes voûtes d'ogives qui étaient dépourvues d'arcs formerets. Ici, la voûte d'ogives est un modèle net, pur et unique, non accompagné de fragments de voûtes d'un autre style ou d'un autre modèle. Les murs, le doubleau, les arcs des ogives sont épais, bien sûr, mais nous en avons indiqué la raison. Les arcs boutants sont absents et c'est déjà l'apparition d'un caractère qui allait être spécial au gothique du Midi. Les profils des arcs, de simples bandeaux sans moulures, les arêtes abattues, sont l'indice, d'après les maîtres archéologues, des plus anciens arcs sur croisée d'ogives on doit les retrouver ici, pensons-nous, à une époque plus récente, parce que l'église de Saint-Orens fut un ouvrage en partie militaire, une église de château fort. Il serait cependant téméraire d'affirmer que le roi d'Angleterre édifia le château fort de Saint-Orens, et surtout son église, de ses propres deniers seulement. Sur leur emplacement et aux environs, il dût trouver une population ou disséminée ou 8 118 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. agglomérée, et vraisemblablement même un seigneur local. C'est ce qui est insinué par un précieux manuscrit de l'évêché d'Agen, désigné sous le nom de Bullaire de Jean de Valier 6. Nous devons à l'obligeance de notre confrère et ami, M. l'abbé Marboutin de pouvoir produire l'extrait suivant qui s'y rapporte. Bulla Item plus in quadam alia bulla colata per lit» teram continetur et describitur qualiter Petrus de Sancto » Oriencio miles et Geraldus eius filius legitimus domicellus » cesserunt quitaverunt domno episcopo agennensi medietatem » décime Sancti Oriencii et omnes alias décimas diocesis agen» nensi et promiserunt et juraverunt, cet... » Cette bulle est datée du 11 juillet 1271. Il n'est pas impossible que le chevalier Pierre de Saint-Orens, et son fils, le damoiseau damoiseau Gérauld, qui avaient fait de pieuses donations à l'évêque d'Agen, vécussent encore entre 1280 et 1287, et que leurs générosités aient aidé le roi d'Angleterre et l'évêque d'Agen dans la construction de la jolie petite église que nous admirons toujours. Une église en cet endroit demeurait d'ailleurs d'une grande utilité, car ce n'était pas la première qui y était élevée. Un autre autre du même Bullaire de Jean de Valier, résumé d'une plus ancienne que celle que nous venons de citer, nous informe que d'autres pieux chrétiens de Saint-Orens avaient aussi fait des donations à l'évêque d'Agen. Bulla — Item plus continetur qualiter Arnaldus de » Marquer et filius suus Vitalis et B. Guilhermus de Marquer » de Sancto Oriencio cesserunt domino nostro Agennnensi 6 Jean de Valier Johannes Valerii, devint secrétaire de l'évêché d'Agen lorsque Antoine de la Rovère, succéda sur ce siège épiscopal, à son oncle, le cardinal Léonard de la Rovère, en 1519. En prenant possession du secrétariat de l'évêché, il condensa, en un bullaire, les titres des bénéfices, décimes et autres revenus dont les authentiques, actes de donation, bulles chartes, etc.. qui remontaient à un temps immémorial, comme il le dit lui-même et par conséquent à une date antérieure à l'érection de l'évêché de Condom 1317, s'en allaient en lambeaux. On trouverait dans le Bullaire de Jean de Valier de nombreux documents intéressant la partie du Condomois qui est comprise maintenant dans le diocèse d'Auch. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 119 » episcopo sextam partem décime parrochioe ecclesioe Sancti » Oriencii et omnes alias décimas diocesis Agennensis et jura» verunt. » Nous trouvons, dans ce texte, l'affirmation de l'existence d'une paroisse et d'une église de Saint-Orens, à l'époque la Bulle que la marque même que porte cette bulle doit faire tenir pour beaucoup plus ancienne que la Bulle quoique nous ne puissions pas préciser à quelle date la Bulle a été signée. Mais nous avons une date précise et qui prouve la très haute ancienneté de l'église primitive de Saint-Orens. C'est celle de la confirmation de la donation de cette église à l'abbaye de Condom. Elle fut faite en 1074 sous le gouvernement de Garsie septième abbé de ce monastère. Henri Ier, roi d'Angleterre, était alors duc d'Aquitaine, Guillaume Ier de Montaut, archevêque d'Auch, Elie évêque d'Agen, Aymeric, comte de Fezensac. Tous ces noms figurent au Cartulaire de Condom, qui nous fait connaître cette confirmation de donation de l'église de Saint-Orens, en même temps que celles de Molas, de SaintJean de Cararedus, de Saint-Lupert à'Arrimbers, qui seraient à identifier. Les témoins de cet acte furent Arsinius d'Albion, Galterius de Fossato, Perogrinus de Porto 7. Ailleurs encore, dans les premières pages du cartulaire, l'église de Saint-Orens est aussi nommée. Quoiqu'il en soit de l'ancienne église de Saint-Orens, il n'en est pas moins certain que la juridiction de sa paroisse n'a pas toujours eu l'étendue qu'elle a maintenant. Sans compter qu'elle fut augmentée de la juridiction et de l'église de PouyPetit à l'établissement du Concordat Napoléonien, elle avait bénéficié déjà de quelques accroissements. Vers le milieu du XVIe siècle, elle s'augmenta de la juridiction de la paroisse de Saint-Sulpice de Camisats dont l'é7 l'é7 de Condom dans le volume de la collection Larcher aux archives municipales de cette ville et dans les autres exemplaires de ce Cartulaire. Voir aussi DOM LUC D'ACHERY, dans son Spicilège. 120 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. glise, en mauvais état, paraît avoir disparu au XVIe siècle. Le Fouillé de Lagutère nous dit que Saint-Pierre de Boulin église aujourd'hui disparue, annexe de Saint-Orens au XVIIe siècle, était réputée pour avoir été le siège d'une paroisse, jadis. Son territoire est demeuré définitivement acquis à la paroisse de Saint-Orens depuis le Concordat. Quant à Sainte-Marie ou de Bordères dont J. Gardère parle aussi 8, cette appellation désignait ou une église annexe de Saint-Orens, ou plutôt une chapelle de dévotion qui devait se trouver au nord-est du village, dans le vallon, à proximité d'un vieux chemin de Saint-Orens au Sempuy, qui existe encore, mais qui devient de jour en jour plus impraticable. D'après une tradition locale, cette église ou chapelle serait demeurée debout jusqu'à la Révolution Française 9. Cependant, le Fouillé de Lagutère, du XVIIe siècle, ne la mentionne pas. Mais la preuve irrécusable de l'existence de cet édifice, c'est le Livre des obrers ou marguilliers de de Bordères que les archives paroissiales de Saint-Orens possèdent encore, qui devint plus tard le livre des administrateurs des deniers de l'église paroissiale, et dans lequel il est question des nombreuses dépenses faites pour cette chapelle. A ces notes fournies par l'histoire paroissiale, ajoutons les suivantes empruntées à l'histoire seigneuriale elles jettent aussi quelque peu de lumière sur le passé de l'église de SaintOrens. La nécessité de modifier le régime local dut se faire sentir peu après la construction du castrum de Saint-Orens, et le seigneur de ce lieu dût subir, dans son autorité et dans sa juridiction, quelques restrictions. De la famille de Saint-Orens, la seigneurie du lieu passa à celle de La Roque. Au moment de la transaction relative au 8 J. GARDÈRE, op. cit. p. 104. 9 M. l'abbé Soulès, curé de Saint-Orens, depuis 1890, notre confrère à la Société Archéologique, à son arrivée dans cette paroisse, a entendu des vieillards affirmer qu'ils avaient connu la dernière marguillière de N. D. de Bordères. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 121 baillage du 23 février 1354, Gailhard de la La Roque était marié avec Bernarde de Saint-Orens. Cette transaction fut conclue, en effet, entre le procureur du roi, l'évêque de Condom d'un côté, et Bernard de Trenqueléon, chevalier, seigneur de Fimarcon, Gailhard de La Roque et Bernarde de Saint-Orens, sa femme, de l'autre. Ces derniers reçurent quelques redevances pécuniaires annuelles pour les dédommager des droits qu'ils pouvaient prétendre sur Saint-Orens. Nous n'entrerons pas dans de plus longs détails, car nous ne voulons pas écrire l'histoire seigneuriale de ce village en ce moment 10. Mais si nous signalons la transaction de 1354, c'est pour arriver à faire comprendre comment, au XVIe siècle, le seigneur de Saint-Orens, François de Cassaignet, ayant essayé de se soustraire à la juridiction des baillis de la ville de Condom, de rétablir aussi, à son avantage, quelques droits seigneuriaux, suscita contre lui l'animosité de quelques habitants qui furent » accusés d'avoir pactisé avec le comte de Mongomery qui ra» vagea Condom et le Condomois, dans les derniers mois de » l'année 1569, et incendia l'église et le château de Saint» Orens; ils avaient, paraît-il, aidé les troupes du farouche » chef huguenot dans leur oeuvre de dévastation et auraient » pris part, avec elles, au pillage du château » 11 François de Cassaignet voulut aussi faire dresser un » agenouilloir dans l'église du lieu; » mais les difficultés s'élevèrent, à ce sujets avec les consuls de Condom. Après procès il y eut transaction, et il fut convenu que le banc des consuls serait placé plus avant vers l'autel » que celui du sieur de Cassaignet 12. C'est donc à ces dévastations faites par les soldats de Montgommery qu'il faut attribuer la démolition du château de SaintOrens construit au XIIIe siècle, et celle aussi des cré10 cré10 GARDÈRE, op. cit. p. 104. 11 Ibid, p. 112. Le château féodal de St-Orens qui se voit encore et dans lequel sont la mairie et l'école, est du XVIe siècle, et peut avoir François de Cassaignet pour auteur. 12 Ibid, p. 110. 122 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. neaux et défenses militaires qui devaient exister jadis audessus de l'église, ainsi que nous l'avons reconnu en visitant le sommet de ses murailles. Au XVIIe ou au XVIIIe siècle, on ajouta à l'église la chapelle de la Sainte-Vierge et un auvent, précédé d'une porte à pilastres, qui protégea la belle porte de 1280, dont nous reproduisons la photographie due au talent de M. Chauvelet. Les dernières réparations à l'église de Saint-Orens ont été faites au XIXe siècle, en trois campagnes au moins. On fit des réparations au clocher, d'après les Archives départemntales du Gers, en 1836 et 1838. Le dossier du même dépôt signale que de nouveaux travaux y furent exécutés en 1846. Enfin, une dernière fois, en 1858-1860, le vieux clocher fut démoli jusqu'aux ouvertures » et refait en entier, surtout la charpente qui était en très mauvais état. Cette dernière réparation coûta près de francs. 13 Mais l'intérieur et le mobilier ont été rajeunis après cette dernière date, par lèse soins et la générosité de la famille de Laverny, qui faisait alors son séjour au château de La Plagne, situé sur un mamelon voisin du village de Saint-Orens. Bien que notre notice soit déjà assez volumineuse et pesante, nous croyons important d'ajouter les lignes qui suivent avant de finir notre travail. Il y a quelques années quelques-uns de nos confrères, parmi lesquels, croyons-nous, MM. Branet et Despeaux, sur les indications d'un autre de nos confrères, M. Ludovic Mazéret, se rendirent à Saint-Orens pour voir des peintures murales du XIIIe siècle qui décoraient l'intérieur de l'église. Grande fut leur stupéfaction les peintures avaient disparu ! On les avait sans doute trouvées trop défraîchies au moment de la dernière 13 Arch. dép. du Gers fonds moderne. Communication de M. Pagel, archiviste départemental à qui nous offrons l'expression de nos remerciements. Nota Bevc. — Les dessins qui figurent sur la planche ci-jointe sont de la main de notre ami, M. Pierre Rouleau qui a droit aussi à nos remerciements publics. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 123 restauration de l'église. Il est regrettable qu'on n'ait pas essayé de les conserver en faisant appel au talent d'un artiste compétent qui aurait su leur donner une vigueur nouvelle en leur conservant leur sens archéologique. 124 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. LE TOUNTOUN. PAR M. A. BRANET. Le tountoun est l'assemblage de deux instruments qu'un seul musicien joue en même temps une flûte percée de trois trous, deux en dessus et un en dessous ; un tambour à cordes. J'avais signalé à titre de curiosité, dans le Bulletin de 1913 1, un passage de l'Historia de las naciones Bascas publiée à Auch en 1818, par Zamacola, où cet auteur parle du tuntun instrument africain appelé junjun par les peuples du Cap de Bonne Espérance... Il a pour ainsi dire la figure d'une lyre à quatre cordes de trois accords. On le joue à la manière du tambour, avec une baguette, en le tenant du bras gauche pressé contre le corps, en même temps qu'on joue du flageolet de la main gauche. Les Béarnais, Gascons et Bordelais n'emploient que cet instrument dans leurs bals publics depuis qu'il fut apporté par les Arabes qui résidèrent dans le pays ». Bladé, dans la préface de ses Poésies populaires de la Gascogne nous dit que la musette ne résonne guère en dehors de la région landaise d'où n'ont pas encore disparu le tympanon et la flûte à deux ou trois trous, dont ne veut plus guère dans le reste de ma province. Le tympanon est une longue et étroite caisse d'harmonie, percée d'un trou rond au milieu. Six à huit cordes de tons divers vibrent toutes à la fois, sous un petit bâton que le ménétrier tient de la main droite tandis que l'instrument repose attaché sur l'épaule gauche. L'autre main sert à manoeuvrer la flûte dont le bruit monotone du tympanon scande la mélodie forcément restreinte à quelques notes aiguës. » Déjà, Cenac Moncaut avait signalé la substitution du tambour à cordes au tambourin de peau en usage pour accompagner la flûte, dans le Pays Basque espagnol le petit tambour suspendu sous le bras transformé par les Béarnais 1 Bulletin de la Société archécologique du Gers XIV, p. 141. M. FOURTEAU, LE JOUEUR DE TOUNTOUN. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 125 et chez les Basques français en tambourin à quatre cordes. » 1 J. de Labayru dans son Historiée generai del senorio de Bizcaya décrit également et donne une gravure représentant un joueur de flûte et de tountoun, mais il dit que celui-ci tient la flûte de la main droite. Ce nom de tambourin nous paraît mal appliqué audit instrument, parce qu'il n'a pas d'analogie avec le petit tambour. C'est plutôt une sorte de lyre rustique. Cependant les Français le qualifient de tambourin. C'est une espèce de guitare à six cordes portée sur l'épaule et les genoux et frappée d'une petite baguette ou plectrum avec la main gauche, tandis que l'artiste joue du chalumeau avec la main droite. Le tambourin donne les notes graves, presque comme le bourdon d'une cornemuse ; la chirola les notes sifflantes et aiguës. » 2 Dans le Dictionnaire Béarnais de Lespy et Raymond, nous trouvons ce qui suit au mot TAMBOURII tambourin, instrument de musique à six cordes, sur lequel on frappe avec une baguette pour s'accompagner, lorsque l'on joue de la bisfanflute, 3 qui est un flageolet à quatre trous ; on tire du flageolet six ou sept notes, en passant alternativement du grave à l'aigu... Tambourii pagat d'abance da machant soun... On le dit proverbialement pour signifier besogne payée avant d'être faite, mauvaise besogne. » Déjà au XVIIe siècle, M. de Froidour avait été frappé par l'originalité de ces instruments usités en Béarn Je suis retourné ce soir à Lahontan... J'avois oublié de vous dire qu'on nous a diverty du mieux que l'on a peu et que nous avons eu à chaque repas les danseurs, les violons et les fifres et les tambourins de basques. Je vous dis tambourins, car pour les tambours que vous avez autrefois appeler tambours de basques n'y sont plus en usage, ces tambourins sont des espèces de violons à sept grosses cordes qu'on touche avec une baguette, comme tambour. » 4 1 VILOTEAU, musique dos Egyptiens Note de — Histoire des Pyrénées T. V, p. 327. 2 T. Ier, p. 732. 3 Une des plus jolies chansons de Navarrot porto pour litre La bistanflute 4 Lettres de Froidour publiées par M. de Castéran, Rev. de Gascogne, XL, p. 389. Lettre du 14 octobre 1672. 126 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. M. Herelle qui a publié tant d'études intéressantes sur le théâtre basque nous donne une description des instruments usités à l'orchestre. 1 Un autre joue de la flûte tchirola et du tambourin soinüa ou tambouria. Comme ce sont ces deux instruments qui caractérisent l'orchestre basque, il convient de les décrire. La tchirola, de tout point semblable au galoubet provençal, est une sorte de petit flageolet en bois léger, percé de trois trous. Le soinüa est le tambourin dit de Gascogne », très différent du tambourin provençal. Tandis Tandis celui de Provence est un mince tambour à caisse allongée, celui de Gascogne est une boîte résonnante en bois, de forme presque rectangulaire, environ cinq fois plus longue que large, sur laquelle sont montées six cordes qui s'accordent avec une clef. 2 Voici comment le musicien joue en même temps de la tchirola et du soinüa. Le soinüa n'est ni accroché à la ceinture du musicien, ni suspendu à son épaule par une bretelle. Quand le musicien est debout, il le tient serré entre son avant-bras droit et son flanc ; quand il est assis, il l'appuie obliquement sur son épaule droite et sur sa jambe gauche en le soutenant avec son bras. Dans l'une et l'autre attitude, sa main droite reste libre. Avec trois doigts de cette main, il tient la tchirola, dont le bec est entre ses lèvres, et avec les deux autres doigts il agit sur les trous de l'instrument. C'est de la main gauche qu'avec une baguette plus ou moins ornée il frappe sur les cordes du soinüa. La tchirola rend des notes grêles et sifflantes ; le soinüa ne rend que des sons assourdis, et on cesse même tout à fait de les entendre dans un milieu un peu bruyant. » M. A de Apraiz signale l'existence des mêmes instruments dans le haut Aragon, à Jaca et en donne des reproductions. Là, ils portent le nom de chicot en. 3 La flûte est tenue de 1 Gure Herria, n° 5 Avril 1922, p. 192 2 Larramendi, dans sa Corografia de Guipùzcoa XVIIIe siècle, p. 203, décrit ainsi cet instrument una especie de harpa, con cuerdas gruesas, que, heridas de palo, sueuan roncamente y sin tanta bulla como nuestro tamburcillo. » N. de II. 3 Revista international de Esludios Vascos, T. XIII, p. 557. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 127 la main gauche. Une corde sert à suspendre l'instrument sur l'épaule gauche. C'est la musique des autorités municipales de Jaca. Elle sert aussi à accompagner les danses des pèlerins le jour du dimanche de la Trinité, fête de Sainte Orosie. 1 Le chicotén est une caisse d'un mètre de longueur sur 20 à 25 centimêtres de largeur, avec un trou pour faciliter la transmission du son qu'il produit par le moyen de bourdons ou nerfs tordus qui pendent de la partie supérieure à la partie inférieure, attachés par des chevilles de fer qui, en même temps, servent à accorder l'instrument qu'on joue en frappant les cordes avec une baguette semblable à celle dont on use pour les tambours. » Dans un nouvel article destiné à compléter le précédent, M. de Apraiz signale une nouvelle extension du domaine du tountoun, tambourin ou tympanon. C'est le Béarn et particulièrement Laruns et les Eaux-Bonnes. Deux belles lithographies en couleur dont le Musée Pyrénéen de Lourdes et M. Conde Lopez, de San Sébastian possèdent des exemplaires différents et signées Gorse J. Ribaut, éditeur à Pau nous montrent le tambourin associé au violon dans une fête publique sous le titre Danse aux Eaux-Bonnes et Laruns. » 2 M. de Apraiz cite aussi un article Un autodafé en 1610 », où il est question de sorciers navarrais qui, au sabbat de Zugarramurdi, jouaient du tambourin. On retrouve aussi dans le livre de de Lancre, Tableau de l'inconstance des mauvais anges », le même instrument employé par les sorciers du Labourd. George Sand note, pendant un voyage qu'elle fait aux Pyrénées en 1825 Nous avons vu par les fenêtres ouvertes du rez-de-chaussée, le bal de St-Sauveur. C'est aussi bête que celui de Cauteretz, bien qu'un peu plus décoré. Toujours la sauvage musique à base de tympanon. Cela serait peut-être très caractéristique avec les airs du pays, mais personne ne s'en soucie. Ces bons ménétriers jouent des contredanses à faire grincer des dents. Les belles dames et les beaux mes1 mes1 a santa Orusia, par Biscos, Jaca., 1906, p. 19. 2 Revue internationale des Etudes Basques, T. XV, janvier-mars1924. 128 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. sieurs font toilette et figurent en se parlant de leurs maux d'entrailles et de leurs rhumatismes. » 1 M. A de Apraiz cite encore une lettre de la correspondance de Mila y Fontanals datée du mois d'août 1872 parlant des danses ossaloises et d' une espèce d'instrument long et étroit avec des cordes, qui fait office de tambourin ». Le passage de Zamacola reproduit plus haut prouve déjà qu'il faut étendre jusqu'aux territoires ayant formé le département du Gers le domaine où était jadis employé le tountoun. Nous pouvons apporter quelques nouveaux témoignages de ce fait. Pey de Garros parle en 1567 de cet instrument. C'est un berger qui s'adresse à un autre qu'il soupçonne de fréquenter le sabbat Tu nos a dit de bèras brolharias D'encatamens e de sorcilharias Poscas mori si on lana de boc 2 Tu n'es estat, si james home hoc, E si tu n'as trepat dam las hanfaumas Qui se hèn gatz, aras porcz, tantos saumas, Tantos cantàn, trebollian l'aire clà, Dementre que le cap de can joclà Son tambourin e laüta rancoza Toca dohèt a la lua plojoza. 3 Ce passage confirme ce que l'on a pu voir plus haut, que le tambourin était un instrument usité au sabbat. Ni Ader, ni d'Astros, ni Dugay, ni Bedout ne font mention du tambourin, quoiqu'il soit à plusieurs reprises question d'instruments de musique dans leurs oeuvres. Prosper Lafforgue dit, en parlant de l'arrivée de l'intendant à Auch Son entrée était annoncée par des salves d'artillerie, des décharges de mousqueterie et par les accords des violons et des tontons » ; et en note Instrument en bois de forme oblongue, creux, monté de six cordes sur les1 les1 SAND. Histoire de ma vie, IV, p. 16. 2 La lana de boc, est le nom de la grande lande du plateau de Lannemezan. Ce nom paraît, avoir été appliqué par nos pères à toute lande où se tenait le sabbat Rev. de Gasconne, XL., p. 419. 3 Poésies, édition A. Durrieux, p. 184. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 129 quelles on frappe avec une baguette de bois. C'est une espèce de basse qui remplissait très imparfaitement rôle de violoncelle. » 1 Fêtes de corporations. Après la messe, le cortège précédé de violons et de tontons se mettait en marche et parcourait la ville, s'arrêtarit devant les demeures des personnes notables notables leur offrir une oublie. » 2 Enfin, nous trouvons dans les poésies si délicates de J. Noulens, le passage suivant, dans la pièce intitulée Roundèu Dambé lous gouyats arruados, Roundoulejats, bèros maynados, Sus l'herbo, au, soun Dou tympanoun. Per marca l'ayre, caboussejo Lou musicayre au miey dou roun ; D'uo man tusto lou tympanoun E de l'auto que lahutejo. 3 Des Auscitains qui ont dépassé soixante-dix ans se rappellent avoir vu danser dans les rues de la ville au son de cet instrument sans se souvenir du. musicien. Nous verrons plus loin que le tountoun était en usage à Vic-Fezensac et à Courrensan. A l'autre extrémité des territoires ayant formé le département du Gers, sur les confins du Comminges, à Simorre, il existait un joueur de tountoun qui s'appelait Pierre Lafont, dit Pierreto. Il était né en 1810. Après avoir été garçon meunier pendant quelques années, il 1 Histoire de la ville d'Auch, II, p. 91. 2 Id. II, p. 193. Le même auteur nous dit que le président d'Orbessan jouait plus particulièrement du psalterion, ancien instrument de musique de forme triangulaire, carrée ou oblongue montée avec des cordes de laiton qu'on pinçait ou que l'on touchait avec un bâton courbé par le bout ». 3 La flahuto gascouno, p. 60. Dans son compte rendu de l'Histoire de l'esprit et du caractère français de Cénac-Moncaut, J. Noulens avait dit Notre rondeau méridional aurait dû se présenter à l'esprit de M. Cénac-Moncaut comme une reproduction exacte de la danse des Curetés qui dansaient circulairement, jouant du tympanon instrument et mot grec encore usité dans nos campagnes, pour couvrir les vagissements de l'entant Jupiter remis à leur garde. Je crois être le premier à l'aire ce rapprochement que je me propose de reprendre et de développer ailleurs ». Nous ne croyons pas que J. Noulens ait donné suite à cette idée et nous ne devons pas le regretter. [Revue d'Aquitaine, 1869, p. 200. 130 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGITUE DU GERS. s'installa a Simorre comme marchand de grains. Il jouait surtout dans les bals des fêtes de mariage et n'exécutait que les airs des rondeaux gascons. Il tenait les bals sous la halle le dimanche avant le Carnaval, le jour du Carnaval et le dimanche qui le suit. Il cessa de jouer du tountoun entre 1860 et 1870. Le violoneux l'avait remplacé. Il est mort à Simorre le 24 février 1901. Il existait à Simorre vers 1845, un autre joueur de tountoun dont le nom a été oublié. » 1 Il existe des tountouns ou tambourins, dans les musées suivants Au Conservatoire de Bruxelles. 2 Au Victoria and Albert Muséum ou Musée de South Kensiton, de Londres. 3 Au Muséon Arlaten d'Arles. 4 Au Musée du château de Mauvezin. 5 Au Museo etnologico de San Sébastian. 6 Au Musée pyrénéen de Lourdes. Dans la séance de la Société de Borda du 2 août 1879, M. le comte de Chasteigner demandait la formation à Dax d'un musée ethnologique où seraient recueillis notamment les instruments de musique flageolets chioulets, tambourins, tympanons, bignoux claroun 7. » Nous ignorons si ce projet a eu des suites. Il nous permet cependant de constater l'usage du tountoun dans les Landes. Remarquons les petites divergences que nous rencontrons dans les diverses descriptions qui précèdent des deux instruments flûte et tambourin. FLUTE jlaiito, lahuto, bistanflute, tchirola, chistu. — Elle a trois trous pour la plupart des auteurs. Cependant, 1 Nous avons cru devoir donner telle quelle l'intéressante note que nous devons à notre obligeant confrère de laSociété archéologique, M. Saint-Martin. Nous lui adressons ici nos remerciements. 2 LABAYRU, Historia... de Bizcaya, I, p. 732. 3 A. DE APRAIZ, R. I. E. B. XIII, p. 553. 4 ID., p. 554. 5 ID., XV, p. 183. 6 ID., — id. 7 Bulletin de la Société de Borda, IV, p. 173. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 131 Lespy déclare qu'elle en a quatre. Il faut entendre sans doute ce nombre, en comptant le trou de l'extrémité dont les musiciens espagnols se servent en le bouchant avec le petit doigt pour faire une note, le do. M. de Apraiz, dans un passage de son premier article que nous n'avons pas reproduit, dit n'avoir vu que deux trous à la flûte du Musée de South Kensiton et à la photographie qu'il donne de celle de Jaca. On ne peut voir les trois trous sans manier l'instrument, puisque deux des trous sont en dessus et le troisième en dessous. Bladé nous dit que la mélodie est forcément restreinte à quelques notes aiguës », Lespy qu' on tire du flageolet six ou sept notes en passant alternativement du grave à l'aigu ». Biscos que la flûte produit une étrange musique exempte de notes et de mesure » 1. On voit bien que ces trois auteurs n'ont jamais entendu que des musiciens peu habiles et ne connaissant sans doute pas la musique. Dans le pays basque espagnol où la flûte à trois trous est, peut-on dire, un instrument national, il n'est pas de village ni de ville qui ne possède ses chistularis capables de faire danser et de jouer n'importe quel air sur leur flûte où ils exécutent plusieurs octaves. Il ne faut pas croire que ce soit sans difficultés. Peu de gens, dit M. de Gascué, se rendent compte des difficultés énormes du chistu 2. Au commencement du XIXe siècle, les flûtes avaient six trous et de plus quatre autres fermés par des clés ; maintenant, elles ont, en plus des six trous, un nombre considérable de clés dont l'objet est de faciliter beaucoup l'exécution des passages rapides et difficiles. Or, le chistu n'a que trois trous deux devant et un derrière. Le musicien ne dispose pas même d'une seule clé et cependant, il couvre les deux mêmes octaves que la flûte et fait exactement les mêmes équilibres d'agilité et de rapidité que l'instrument doté de tous les éléments possibles 1 Y aurait-il un rapport entre le peu de plaisir que procurait l'audition de cette musique et l'expression que nous avons souvent entendu dans la bouche de vieux auscitains parlant d'un plat peu agréable au goût C'est aigre, ou amer comme chicotin ! » 1 C'est le nom basque de la flûte à trois trous. 132 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. d'exécution facile. Bouchant plus ou moinns tels ou tels trous des trois uniques qui existent, le chistulari fait tous les bémols, chromatismes et effets d'harmonie possibles. C'est réellement admirable et personne n'y fait attention. » 1 Nous remarquerons aussi que la flûte des musiciens espagnols est beaucoup plus longue et possède généralement un anneau tournant autour du corps de l'instrument qui sert à le soutenir en y passant l'annulaire. TAMBOURIN. — Tambourin, tympanoun, tountoun, soinüa, chunchun, chicotén. La baguette qui sert à frapper le tambourin porte le nom de pimbou dans un dessin du Musée de Mauvezin qui reproduit l'instrument. Pimbou paraît être une onomatopée. 2 Zamacola et Cénac Moncaut ne donnent que quatre cordes à l'instrument. Hérelle et Lafforgue disent six. Bladé de six à huit, Labayru et Froidour sept. Bladé n'a vu qu'un trou à l'instrument qu'il décrit, alors qu'il y en a généralement deux. La gravure donnée par Labayru représente l'instrument soutenu sur l'épaule par une corde ou une courroie. Bladé et Apraiz pour le chicotén mentionnent aussi cet accessoire qui paraît être inusité ailleurs. Enfin, la flûte est tenue de la main droite et la baguette de la gauche dans le pays basque français et en sens contraire à Jaca et en Gascogne. Les deux lithographies de Gorse représentant les danses des Eaux-Bonnes, nous montrent les deux postures. Si ce n'est pas une erreur de tirage, peut-être étaient-elles toutes deux usitées. Lorsque j'eus connaissance des fêtes gasconnes organisées à Auch par La Petite Gironde », en septembre 1923, j'écrivis au correspondant de ce journal que, puisqu'il projetait la reconstitution et la remise en honneur des danses anciennes de notre pays, il serait désirable que ces danses fussent 1 F. GASCUE. Materiales para et estudio del folk lore vasco, San Sébastian, 1920, p. 97. 2 Noël Du Fail parle certainement de cet instrument quand il dit Je suis soûl ; j'ai le vendre tendu comme un tambourin à cordes ». Propos rustiques 1548, p. 77 de l'édition Mario Guichard 1856. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 133 accompagnées par l'instrument traditionnel que je pensais bien avoir disparu sinon de notre région, du moins du territoire du département du Gers. Aussi, grand fut mon étonnement quand je reçus une lettre d'un de mes amis, M. A. Bouilhet, de Bourouilhan, qui ayant lu ma lettre dans la Petite Gironde », me signalait un joueur de tympanon c'est le terme qu'il employait à Courrensan. Je transmis aussitôt la bonne nouvelle à l'organisateur des fêtes gasconnes qui fit venir l'artiste à Auch. Il se fit entendre à la soirée de La Cigale ». Malheureusement, un accident survenu à son instrument l'empêcha de faire danser le lendemain au concours de danses. J'étais absent d'Auch à cette époque. Dès mon retour, je suis allé à Courrensan pour visiter ce représentant d'un âge disparu. Joseph Fourteau, né à Courrensan le 20 décembre 1844 est donc âgé de 80 ans. C'est vers l'âge de treize ans qu'il a commencé à apprendre à jouer du tympanon. Il existait à cette époque à Courrensan un joueur de tympanon qui se nommait Desbarats et était tisserand tichanè de son métier. C'est chez lui que, à l'âge de quatorze ans, Fourteau vit l'instrument et apprit la manière de le fabriquer, aidé des conseils de l'abbé Lafargue, curé de Courrensan. Il ne connaît pas la musique, c'est-à-dire qu'il ne sait pas la lire. Il a donc appris par routine à se servir de ses instruments pour jouer des airs. Il a joué aussi de la vielle, de la cornemuse bouhigo, et du violon. Les joueurs de tympanon n'étaient pas nombreux. Ce n'étaient pas des professionnels, mais bien des gens de métier qui couraient les fêtes tant publiques que privées pour faire danser. Fourteau n'a connu que son maître, Desbarats, et un autre joueur de Mourède. Il a fait danser, dit-il, dans quatre-vingt-dix-huit noces. Les musiciens ne tiraient pas grand profit de leur art. On les payait cinq francs pour la nuit ou deux sous par danse. Fourteau, quoique ayant passé une partie de sa vie dans le Lot-et-Garonne, ne paraît pas avoir exercé son art dans un grand rayon. Il ne jouait que dans les environs de Courrensan. Il a souvent joué à Vic-Fezensac dans des fêtes publiques et se rappelle avec orgueil que les 9 134 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. danseurs préféraient sa musique à celle d'orchestres qui jouaient en même temps. Il a vu l'invasion dans notre pays des danses importées, d'abord la polka, puis, en dernier lieu, la valse. Le goût du jour l'a obligé à les introduire dans son répertoire, mais il possède de nombreux airs de danses gasconnes rondeaux, boulangères et carillons. Il serait vivement à souhaiter que quelqu'un note les airs de son répertoire. C'est là un sujet d'étude à peine effleuré jusqu'à ce jour et qu'il serait bien curieux d'approfondir. Quelques années encore et il sera trop tard pour recueillir les airs familiers à nos pères. Quant aux instruments, ils se composent 1° du tympanon avec sa baguette ; 2° de la flûte. Le tympanon, tambourin ou tountoun est une caisse sonore faire de bois d'aulne et de saule, de 0,005 d'épaisseur. Cette caisse a la forme générale d'un tronc de pyramide de 0,72 de hauteur. La section inférieure mesure 0,18 sur 0,5 ; la supérieure 0,12 sur 0,05. Vers la partie la plus large, la caisse présente un étranglement qui aide à la tenir entre le bras et le corps sans qu'elle glisse. Sur le côté le plus large, percé de deux trous en forme d'étoile à six rayons, se trouvent cinq cordes, quatre de boyaux, la cinquième métallique, tendues au moyen de cinq clefs en bois que l'on tourne au moyen d'une clef de fer. 1 De chaque côté des clefs se trouve une crosse en bois qui les protège. On joue de cet instrument au moyen d'une baguette en bois tourné de 0,36 de long avec laquelle on frappe les cordes tantôt à l'extrémité inférieure, tantôt un peu plus haut. La flûte flaüto, en bois de buis, mesure 0,29 de long. Elle présente trois trous à la partie inférieure, deux en dessus, l'autre en dessous. Elle n'a pas d'anneau pour passer l'annulaire, comme les flûtes des chistularis basques. Fourteau joue sans jamais boucher l'extrémité de la flûte, comme le font les Basques. 2 1 Cette clé est absolument identique à colle qui est conservée au Museo etnologieo de San Sébastian. Elle a été aussi faite par M. Fourteau, forgeron de son métier. 2 Le R. P. Hilario de Estolla, professeur au collège des PP. Capucins de DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 135 Dans la longue et certainement incomplète énumération des auteurs qui se sont occupés du tympanon, tambourin ou tountoun, nous avons cherché à délimiter ou plutôt à étendre l'aire connue où cet instrument de musique a ou a été en usage. Certaines régions restent à explorer, telles que le Comminges et le Couserans, le Bàzadais et le Bordelais, pour savoir si le tountoun était, comme le dit Zamacola, employé sur toute l'étendue du domaine gascon. Dans tous les cas, avec ce qui est connu actuellement, on peut le considérer comme un instrument national, en faisant la curieuse remarque que son domaine dépasse la chaîne des Pyrénées par le grand passage des voies romaines et du chemin de Saint Jacques, le Somport, pour s'adjoindre l'ancien territoire des Jaccetani que les dernières recherches donnent comme proches parents des Aquitains avant l'époque de César. 1 Lecaroz, qui s'intéresse à la musique et aux instruments basques, nous dit que les joueurs ordinaires de chunchun n'usent pas de cette manière de jouer pratiquée seulement par des virtuoses guipuzcoans. 1 P. BOSCH GIMPERA. El problema etnologico Vasco y la arqueologia. San Sébastian, 1923, p. 59. 136 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. LA RÉVOLUTION A TOUGET PAR M. LAMARQUE. Suite. 22. — Aristocrates et Suspects ou La Terreur ». Ils demandaient deux mesures une de grâce, une de justice ; des secours pour les familles de ceux qui partaient, un tribunal révolutionnaire pour juger et contenir les traîtres, les mauvais citoyens. » La Révolution française, MICHELET, Mouvement du 10 mars 1793, tome VI, page 377. Dès 1792, les mesures de surveillance avaient été prises à Touget et tous ceux qui, par leur attitude, par leurs actes, paraissaient vouloir critiquer les lois ou les élans de la joie populaire étaient connus. La société montagnarde d'un côté, la Municipalité de l'autre, toutes deux étroitement unies, défendaient âprement les libertés déjà acquises et s'opposaient à tout recul des idées. Toutes lois étaient mises à exécution et portées à la connaissance des citoyens par la voix du prêtre, au prône de la messe de paroisse, ou par la voix du crieur public. Il n'était donc pas malaisé, dans un milieu où le caractère de chacun était nettement défini par les habitudes, les accointances antérieures, de procéder à la confection de deux listes 1° Liste des amis de la Révolution; 2° Liste des ennemis du Peuple et de tout progrès par le peuple. Les premiers fraternisaient toutes les fois que l'occasion se présentait. Ils célébraient la fête de la Constitution, la fête de l'arrestation du roi et, pendant que leur coeur débordait de joie, les autres verrouillaient leurs portes, regardaient ce qui se passait au dehors par un trou du volet; ils se réunissaient en secret pour surveiller leurs propres surveillants et pour calculer d'avance la punition qu'ils auraient à leur infliger si la Royauté, assise sur de nouvelles bases par les armées de Brunswick ou des émigrés, et reconnaissante envers eux, leur confiait la tâche de se venger. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 137 Nous sommes loin de l'époque révolutionnaire; pourtant les moeurs restent les mêmes. Il y a toujours des gens qui ferment leur main quand il faudrait l'ouvrir, qui ne veulent point s'associer aux manifestations populaires, qui ne sont jamais contents de ce que font les autres ni de ce qu'ils font eux-mêmes, qui sont jaloux sans raison, haineux sans motifs, vindicatifs sans besoin. Il n'est pas possible de savoir si les attentions dont vous les comblez ne sont même pas pour leur déplaire; si vous êtes convenable à leur égard, ils en augurent que vous les craignez et ne se gênent pas pour vous accabler d'observations qui sentent à plein nez la suffisance et le mépris; si vous les tenez à distance, vous n'êtes à leurs yeux qu'un petit sire » dont il faut rabattre l'orgueil ». En un mot, ils constituent la partie de la Société la plus vile qui soit, uniquement parce qu'elle groupe toujours les sots, les lâches, les méchants, les traîtres, les despotes, les tyrans, les fanatiques. Je suis convaincu qu'ils agissent sans raisonner autrement qu'en prenant toutes dispositions contraires à celles que prend la masse des citoyens. En République, ils seront royalistes, impérialistes, nationalistes. Servez-leur un Roi, un empereur, un dictateur, ils ne tarderont guère à devenir républicains. Leur cerveau est malade et leur conscience est fermée. Ils estiment qu'ils sont pétris d'une matière spécialement faite pour eux. Mais, laissons parler Moliné, procureur de la commune, le 21 octobre 1792 et mentionnons ceci Citoyens, Les réquisitions multipliées qui m'ont été faites sur l'inobser vation de la Loy relative aux visites domicilières du 28 août der nier et notamment de l'article 4 fait que je vous dénonce, en ma qualité de procureur, de mettre à exécution le dit article vis-à-vis des personnes suspectes ou réputées telles; car on doit toujours être instruit ou des vraies ou des fausses inculpations qu'on impute. Et pour ce fait, je requiers qu'il soit, par la Municipalité fait une descente chez le citoyen Puymirol, la dame Lassalle veuve et autres que vous croirez être susceptibles de suspicion pour et d'après les renseignements que vous prendrez après les dites 138 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. visites leur remettre les armes que ces personnes ont déclaré en conformité de la Loy du 8 juillet 1792 si elles se trouvent suscepti blés d'être placées dans la classe des citoyens se comportant selon la Loy et à l'abri de tout reproche etc » Faisant droit à cette demande les officiers municipaux, le secrétaire, le valet de la commune » et douze hommes de la garde nationale commandés par Lavignan, lieutenant, se sont d'abord rendus chez François Puymirol et se sont fait livrer les armes dénoncées ci-après un fusil à deux coups, une épée, un vieux couteau de chasse, une paire de pistolets, un quart de poudre, quatre ou cinq balles et deux à trois charges de plomb. Gabriel Castérés, valet de la commune, a pris les dites armes pour les déposer en lieu sûr. La même compagnie s'est ensuite rendue dans la maison de Jeanne Sépet. Dans une chambre, on a trouvé un autel dressé sur une grande et longue caisse, un tabernacle sans porte, les cartons te igitur, un Evangile selon saint Jean, une feuille intitulée Preparatio ad missam, un verre de lampe, divers rubans, une image de la Vierge. Ces objets furent emportés à la maison commune. La visite effectuée chez la veuve Lassalle a eu pour effet d'emporter un fusil à deux coups et un à un coup, qui ont été déposés dans la maison commune. Chez le citoyen Turle, dont le fils était prêtre réfractaire, on a saisi deux pistolets dont un de poche et une canne à lance. Chez Mme Veuve d'Orcival, dont le fils Charles avait dénoncé certaines armes, la compagnie a dû se contenter de la promesse faite par Mme d'Orcival qui, ayant dit que son fils était absent, ajouta qu'elle ne manquerait pas, dès son arrivée, de lui expliquer les motifs de la visite dont elle était l'objet et de faire remise des armes. Après ces visites, la Municipalité décide que les dénonciations seront sérieusement examinées. Si elles sont fausses, les dénonciateurs seront poursuivis et les armes rendues à leurs propriétaires. L'examen se produit. Le cas de Mme Veuve Lassalle paraît être l'oeuvre de gens mal intentionnés ». Le secrétaire Gabent est chargé de lui rendre les armes le 29 janvier 1793. Elle les reçoit, le 30 janvier 1793, et fournit à ce sujet une déclaration. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 139 Un arrêté du Conseil du département du Gers, pris à la date du 16 avril 1793, prescrit l'arrestation de tous les aristocrates, de tous ceux qui sont accusés de conspiration contre la Révolution et même de ceux qui tolèrent chez eux les réunions des suspects. Obéissant à cet arrêté, le procureur de la commune ordonne à la Municipalité de procéder à l'arrestation de François Puymirol, de Jacques Oulé, de Paule Oulé, sa soeur, de la veuve Chaubon et de ses deux filles, de Pierre Pages, de Jeanne Sépet et de Jeanne Pontac. Il est dit que François Puymirol sera consigné dans sa maison à Ayries; Jacques Oulé, Paule Oulé, Jeanne Sépet et Jeanne Pontac dans la maison de Jacques Oulé. La Veuve Chaubon et ses deux filles, dans leur maison. Et enfin Pierre Pages, dans la sienne, sise à En Châlon. L'ordre d'arrestaion et de consignation a été notifié aux personnes ci-dessus désignées par le commandant de la garde nationnale, le 5 mai 1793. Mais, le soir même, à huit heures, la municipalité et les notables formant le Conseil général de la commune, prenant connaissance de la liste des personnes arrêtées, juge convenable que les citoyens Pierre Pages, Jacques Oulé, la veuve Chaubon et ses deux filles seront mises en liberté... qu'en conséquence et à la diligence du commandant de la garde natio nale il leur sera notifié leur élargissement. » Pourquoi François Puymirol, Paule Oulé, Jeanne Sépet et Jeanne Pontac ne bénéficient-ils pas de la même mesure ? Probablement parce que le premier était d'origine noble et se faisait » avec les nobles Société Montagnarde, Séance du 5 ventôse 1794 et parce que les autres avaient donné asile à des prêtres réfractaires, chose que la loi interdisait. Nous venons de dire ce qui avait été trouvé chez Jeanne Sépet, le 21 octobre 1792. Voici ce qu'on avait trouvé dans la maison de Jacques Oulé et de sa soeur, que l'on rend seule responsable, le tout contenu dans un sac de toile 1° Trois bonnets carrés et une calotte; 2° Une veste noire sans manches; 3° Une soutane noire de rase croisée sic; 140 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS 4° Une veste noire de drap de peu de conséquence doublée de molleton; 5° Une culotte noire de rase d'Agen moyennement bonne; 6° Autre soutane de cadis de Montauban, moyennement bonne; 7° Un habit de drap doublé de sergette; 8° Autre soutane de sergette doublée 1 incompréhensible; 9° Un gilet d'espagnolette, mauvais; 10° Une veste de sergette doublée de 2 11° Autre habit de Ségovie doublé de sergette. Tout compte fait, qu'advint-il de ces détenus ? Il est à peu près certain que Paule Oulé, Jeanne Sépet et Jeanne Pontac auront été élargies » après quelques jours de détention dans la demeure de Jacques Oulé. Pour ce qui regarde François Puymirol, ce fut autre chose. Il avait compris, depuis quelque temps déjà, qu'il était surveillé de trop près et avait tenté de fixer sa résidence à Cologne. Le 1er mars 1793, par le ministère de Dupuy, huissier, il avait dénoncé à la Municipalité de Touget que des affaires de santé et de famille l'obligeaient à ne plus habiter la campagne. Il déclarait fixer dorénavant sa résidence à Cologne et demandait, par conséquent, de ne le comprendre en rien ni pour rien comme habitant de la commune de Touget ». Mais la municipalité tougétoise ne l'entend pas ainsi. Réunie le 13 mars 1793, elle décide de découvrir si Puymirol fait réellement sa résidence de droit à Cologne. Elle considère qu'il n'est pas à l'abri d'être compris dans l'appel général qui fixe le mode de recrutement de l'armée en exécution de la loi du 24 février 1793, lue et publiée dans la commune le 12 mars. Par suite, elle délègue Jean-Baptiste Barry Labarthe et Antoine Gabent auprès de la Municipalité de Cologne et auprès des corps administratifs pour y exposer ce que le bien de la chose exigera. François Puymirol ne quitta pas Touget, convaincu qu'il n'échapperait pas ailleurs à des investigations qui lui étaient importunes. Il figure sur une liste de laquelle il résulte que le 1er avril 1793, il offrit des bas gratuitement pour l'équipement des volontaires. 1 Termes de confection propres à l'époque, sans doute. 2 Termes de confection propres à l'époque, sans doute. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 141 Bref, le 5 mai, il se trouve consigné dans sa maison à Ayries, en vertu de l'arrêté du Conseil du département du Gers, du 16 avril 1793. Le 26 mai 1793, il obtient un passeport ainsi rédigé RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Département du Gers — District de Ulsle-Jourdain Municipalité de Touget Laissés passer le citoyen François Puymirol, français, domicilié dans la municipalité de Touget, district de L'Isle-Jourdain, département du Gers, âgé de trente-six ans, taille cinq pieds un pouce et demi, cheveux et sourcils châtains, yeux gris, nez bien fait, visage rond, menton rond, front rond, et prêttés lui aide et assistance en cas de besoin. Délivré à la maison commune de Touget par nous, maire et officiers municipaux soussignés avec ledit Puymirol pour voyager dans l'étendue et distance de six lieues seulement ce vingt-sixième jour du mois de may mil sept cent quatre vingt treize le second de la République Française. Signés PUYMIROL ; CHAUBON, maire ; CHAUBON, off. municip. ; GARROS, secrétaire municipal ; GABENT, secrétaire municipal. De sorte que, la consignation n'était même pas très sévère pour Puymirol dans sa maison d'Ayries, mais il ne faut pas perdre de vue que nous arrivons à l'époque la plus troublée de la Révolution. La mort de Louis XVI a ligué l'étranger contre nous, la Vendée s'est soulevée. La Convention prend des mesures énergiques. Tout ce qui est suspect est arrêté et jugé pour ne pas dire exécuté. C'est la Terreur. Comme suite donnée à la lettre du Procureur général syndic du département, en date du 3 juin 1793, le 12 juin 1793, Raymond Castex est l'objet d'un procès-verbal parce qu'il a prévenu Charles d'Orcival qu'il allait être arrêté comme suspect, si bien que ce dernier a pris la fuite ou pour citer les termes a décampé de la maison qu'il habite, à l'heure de dix ou onze du soir du jeudi sixième du courant, veille de la notification de sa réclusion. » Le 18 juillet 1793, le même Raymond Castex est consigné dans sa maison, mais il est élargi le 21 juillet. 142 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Le même jour, 18 juillet 1793, au sujet de François Puymirol, il a été délibéré qu'étant dans un moment d'effervescence, qu'il est instant de mettre en réclusion les personnes suspectes; le comman dant de la garde nationale sera requis de notifier, au nom de la loi, au citoyen François Puymirol qu'il est consigné sur son bien d'Ayries ». La même décision est prise contre Dominique Etcheverry, consigné dans sa maison à Touget, mais Etcheverry est élargi aussi le 21 juillet. Le 15 oct. 1793, le corps municipal assemblé estime suspects la veuve Serpes Peyrelongue, le nommé François Bachère, agent du cy-devant dudit Peyrelongue qui a conduit ce dernier sous prétexte d'aller aux eaux », la nommée Paule Oulé, ci-devant domestique chez le ci-devant prieur, qui a continuellement montré un incivisme des plus signalés tendant au rétablissement de la royauté et la citoyenne Jeanne Sépet, ci-devant domestique chez Lavrut, ci-devant prieur, a donné aussi continuellement des preuves les plus inciviques, propageant le désordre. Exécution de la loi du 12 août et de celle du 17 sept. 1793. Sudria, président du Comité de surveillance, demande à la Société Montagnarde, par lettre en date du 28 nivôse an II, des renseignements au sujet de Puymirol. Ci-dessous sont les renseignements demandés. Le 5 ventôse an II, la Société Montagnarde reconnaît que Puymirol, mis en arrestation par la Municipalité, outrepassa les limites qui lui étaient prescrites, qu'il sortit de son territoire et qu'il y fut de suite remis et y resta jusqu'à son élargissement. En outre, il n'allait pas à la messe des ci-devant prêtres jurés et pratiquait les ci-devant nobles ». Registre des procès-verbaux de la Société Montagnarde. François Puymirol fut-il l'objet d'une dénonciation complémentaire ? Je l'ignore. Toujours est-il que le 24 brumaire de l'an III, c'est-à-dire en novembre 1794, il fut arrêté et conduit à Auch 1. Le 15 nov. 1794, Philippe Chaubon rend compte à la Société Montagnarde de cette arrestation ainsi qu'on a déjà pu le lire. La Société estime que cette arrestation ne repose pas sur des motifs 1 Il figure sur la liste des reclus du ci-devant évêché d'Auch. Archives départementales, L. 279 bis. DEUXIÈME TRIMESTRE 1923. 143 suffisamment sérieux parce qu'il se faisait avec les seigneurs et parce qu'il était noble ». Elle décide de présenter la vie politique de Puymirol et de tenir, pour cet effet, une séance extraordinaire. Du reste, voici qui motive la délibération de la Société de Touget Aux Officiers Municipaux de Touget Liberté — Egalité — Fraternité Lis le-Jourdain, le 24 brumaire an trois de l'ère démocratique. Citoyens, Le représentant du peuple Mallarmé, dans l'art. 6 de l'arrêté du 3 brumaire, ayant chargé la Société populaire de l'Isle-Jourdain de lui donner des renseignements sur le compte de plusieurs détenus, nous vous invitons à nous adresser dans le plus court délai toutes les instructions que vous pourrez recueillir sur le civisme du citoyen Puymirol de Touget, reclus à Anch, duquel vous avez été en même d'aprécier la conduitte depuis le commencement de la Révolution. Nous vous observons que en vertu du même arrêté, les parents et amis du détenu obtiendront la parolle dans ladite Société s'ils se présentent pour le défendre. Salut et fraternité. Signés St-LAURENS, SALETTE, LAFFITTE, SOULAN, PERALES, BARUTEL. Je n'ai rien découvert dans les archives de Touget qui puisse me permettre de faire savoir ce qu'il advint de tout cela. Je suis donc contraint de m'arrêter et de faire connaître qu'au verso de la lettre précitée, je reconnais l'écriture de Gabent dans l'annotation ci-après Délibéré que Puymirol a été vu au labourage. Peut-être considéré comme agriculteur. Père et mère nécessiteux — Ci-devant noble... et sans fortune » 1. Il est certain que Puymirol fut remis en liberté car, en 1812, naquit à Touget Louise-Françoise-Marie-Philofide de Puymirol, fille de Monsieur Jean-François de Puymirol et de dame Marie-Hélène-Agathe Dauxion, et tout me permet de dire que le suspect de 1793 et le déclarant de 1812 ne sont qu'un seul et même personnage. Archives de Touget; Liasse R; Case III. A suivre. 1 Je crois avoir lu ce qui est écrit, un mot m'échappe. 144 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. UN APOTRE JACOBIN PIERRE-NICOLAS CHANTREAU PROFESSEUR, JOURNALISTE, AGENT SECRET 1741-1808 PAR M. G. BRÉGAIL Suite. La veille de leur départ pour la France, Chantreau et ses deux compagnons assistèrent à une exécution de justice. Le spectacle n'était point nouveau pour Chantreau ; mais ses jeunes protégés n'avaient jamais eu l'occasioon de considérer les moeurs espagnoles sous ce tragique et funèbre aspect. A cette occasion il fait une description longue et détaillée des exécutions capitales en Espagne ; il ajoute ensuite qu'elles sont très rares parce que le code est relativement doux et que les criminels obtiennent avec assez de facilité une commutation de peine. Dans ce cas, les condamnés dignes de quelque intérêt sont transportés aux mines d'Amérique et les plus coupables sont envoyés à la pompe de Carthagène où leur sort est horrible Figurez-vous des infortunés entassés dans un cloaque infect, ayant une eau. plus infecte encore jusqu'aux genoux et obligés de pomper vigoureusement pour n'être pas submergés. Bientôt, reconnaissant que la vie qu'on leur a laissée est plutôt un supplice qu'une grâce, ils invoquent sans cesse la mort quand, cruellement pitoyable, elle se refuse à leurs cris, ils la provoquent, et leur désespoir est si violent que, quand ils peuvent attraper quelque arme, ils se la plongent dans le sein ou assassinent leurs gardes, ce qui produit le même effet, puisque un prompt supplice les délivre de leurs maux. Chantreau avait été chargé par celui-là même à qui sont adressées ses lettres de rapporter d'Espagne les meilleures oeuvres de la littérature espagnole. Or, à la veille de rentrer en France, il lui fait part de l'embarras dans lequel il se DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 145 trouve faire un choix. Certes, dit-il, la langue espagnole est la plus riche, la plus et la plus souple qui soit ; elle se prête à tous les genres ; mais, à quelques rares exceptions près, les littérateurs espagnols modernes sont des barbares. A lire leurs ouvrages, on les croirait écrits par le secrétaire de Charlemagne ou de quelque roi vandale. Les moins mauvais auteurs se bornent à glaner dans le champ d'autrui ou bien à traduire les oeuvres d'écrivains français et anglais. En fait de romans, Chantreau emportera ceux de l'immortel Cervantès et en particulier son Don Quichotte », qu'il faut lire en Espagnol ou ne point lire du tout, si ce n'est en italien ou en portugais. Il y joindra quelques nouvelles de Quevedo et le Gerundio » du père Isla qui est une ingénieuse satire des prédicateurs espagnols. Elle prête beaucoup plus à rire, dit Chantreau, que l'histoire du plaisant chevalier dont Cervantes nous a transmis les exploits. Parmi les oeuvres des poètes, il choisit celles du tendre Garcilazo de la Viga qu'il compare à Anacréon et puis celles Ercilla, notamment son poème épique l'Araucana l'Araucana qui peut se placer auprès des chefs-d'oeuvre de Milton, de l'Arioste et du Tasse malgré ce qu'en a dit Voltaire qui ne possédait pas assez la langue espagnole pour comprendre la beauté de ce poème. » Dans le domaine de l'histoire, il considère comme médiocres les auteurs les plus réputés Solis Mariana et Ferreras. Solis a écrit l'histoire de la conquête du Mexique avec méthode, mais il est prêtre, et toute son oeuvre est imprégnée de l'esprit particulier de l'Eglise ; d'autre part il semble avoir écrit le panégyrique de Fernand Cortès bien plus que son histoire. Enfin la sécheresse du style et l'incohérence des faits le rendent très pénible à lire. Cet écrivain, dit-il, est plus crédule que notre Rollin, plus diffus que Crevier 57, 57 Crevier Jean-Baptiste-Louis, historien- et humaniste 1693-1765. Elève de Rollin il fut un des plus dignes représentants de la science française sous l'ancien régime. C'était un solide érudit, un esprit clair, d'une science précise, doué d'un vrai sens critique Son oeuvre capitale est sa Rhétorique française. Il acheva l'Histoire romaine de Rollin son oeuvre commence au neuvième volume. 146 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. plus pesant que Le Beau 58 et plus minutieux que les trois écrivains qui viennent de nous donner trente volumes de notre histoire de France, où l'on trouve tout ce que l'on ne cherche pas, et rien de ce que l'on cherche. Quant à Ferreras, Chantreau lui reproche ses inexactitudes, sa diffusion et surtout, tare indélébile, sa mentalité de prêtre. Le seul ouvrage d'histoire qu'il juge digne de son ami est une sorte de précis de l'histoire d'Espagne du père jésuite Isla qui a écrit avec presque autant de philosophie que l'abbé Millot 59 et une égale concision. » Les écrivains mystiques sont pour les Espagnols les auteurs de prédilection, or Chantreau ne les prise point ; il n'admire ni Frai Luis de Grenada considéré par ses compatriotes comme un autre Quintilien, ni l'évêque Tostado et ses trois cents volumes in-folio, ni Sainte Thérèze en ses délires religieux », ni Marie d'Agrida et ses visions. Il laissera toutes ces oeuvres en Espagne pour ne pas augmenter en France le nombre déjà trop considérable des mauvais livres ». Cela dit, il développe des considérations générales sur la littérature espagnole dont les meilleures oeuvres, affirme-t-il, sont des traductions; encore portent-elles trop l'empreinte des traducteurs et leur constant souci d'éviter les foudres de l'Inquisition. Le plus souvent ils font des mauvais choix ou bien ils mutilent les textes Il n'est point d'avanies que la sainte inquisiton ne fasse souffrir aux gens de lettres qui essayent d'enrichir leur pays de nos productions et de celles des anglais. La traduction de l'Encyclopédie, par exemple, avait été entreprise sous la protection du prince et le con58 con58 Beau Charles, historien, professeur d'éloquence au Collège de France, membre de l'Académie des Inscriptions, né et mort à Paris 1701-1778. Excellent latiniste, il a écrit des poésies et des discours en latin. Sa volumineuse Histoire du est une oeuvre de rhéteur, non d'historien. 59 Millot Claude-François-Xavier, historien, né à Ornans Franche-Comté, en 1726 et mort à Paris en 1785. En 1777 il fut nommé membre de l'Académie française. Il appartenait à l'ordre des Jésuites et fut précepteur du duc d'Enghien. Ses principaux ouvrages sont Eléments de l'histoire de France depuis Clovis jusqu'à Louis XV 1767-1769 ; Histoire littéraire des troubadours 1774 ; Mémoires politiques et littéraires poxir servir à l'histoire de louis XIV et de Louis XV 1777. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 147 sentement du grand inquisiteur, à la condition qu'on mettrait le ciseau dans les articles qui étaient contraires à l'esprit de l'auguste tribunal qu'il avait l'honneur de présider. Déjà, les souscriptions étaient ouvertes et l'ouvrage marchait, quand les moines et les dévots crièrent à la profanation, à l'impiété, s'élevèrent contre la facilité du grand inquisiteur et lui montrèrent l'article Espagne où effectivement la vérité est dite un peu crûment, et vous savez qu'elle offense. Le grand inquisiteur se rétracta, et avec lui le roi, le ministre et les souscripteurs. L'encyclopédie fut irrémédiablement prohibée. Nous passerons sous silence, car elles n'apprendraient rien au lecteur, les douze ou quinze pages que Chantreau consacre à l'Inquisition, à son histoire, à son organisation, à son esprit et à ses travaux. Ainsi donc, le plus consciencieusement du monde, il s'est efforcé de satisfaire le désir de son ami en réunissant, pour sa bibliothèque, les spécimens les plus caractéristiques de la littérature espagnole. Voici le moment venu de faire ses malles, et songeant à son très prochain départ, il s'écrie joyeux De quel poids me voilà déchargé ! Je vais donc le briser ce. masque de la dissimulation que j'ai été forcé de prendre ! Je vais entendre parler des hommes libres et je respirerai, je jouirai, car je suis blasé des discours des esclaves. » Notre voyageur est ravi de rencontrer fortuitement à Barcelone l'excellent voiturier catalan qui l'y avait conduit parce qu'il avait de bons mulets et qu'il était intelligent, débrouillard, prévenant et joyeux causeur. Avec lui, Chantreau était certain de trouver dans les auberges, la meilleure chambre, et une chère toujours à son goût. On part, et tandis qu'au trot rapide de la mule, le cabriolet qui le porte roule sur la route ensoleillée, Chantreau revoit avec plaisir le charmant pays de Mataro » et la jolie bourgade de Pineda ». A Puente-Réal il fait étape pour éviter Girona où l'on trouve des émigrés jusque dessus les toits et où ils sont plus factieux, plus conjurateurs que dans nul autre endroit de la Catalogne parce qu'ils sont plus près de la frontière... ; que ce sont eux qui reçoivent et endoctrinent ceux qui pas- 14S SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. sent outre et que ceux-ci contribuent à maintenir leur esprit dans une perpétuelle ulcération par les rapports exagérés qu'ils leur font. » De Puente-Réal, les voyageurs prirent leurs dispositions pour n'arriver à Junquiera que tard dans la soirée afin d'y trouver les argus » endormis ou tout au moins enveloppés da ténèbres. Cette précaution leur permit en effet d'éviter la visite minutieuse et indiscrète de la douane espagnole. Déjà, à quelques lieues de Puente-Réal, ils avaient fait la rencontre importune d'une troupe de gens armés, les uns à pied, les autres à cheval. Ils nous avaient envisagés, écrit Chantreau, avec une effronterie peu commune, qui me les fit prendre pour des brigands qui allaient nous attaquer. Quand ils furent passés, je demandai à mon catalan ce que c'était que cette troupe. C'est la ronde des commis, me ditil, et nous en trouverons aujourd'hui de pareilles à toutes les heures du jour; la frontière et la côte, à cinq lieues de la mer, sont couvertes de cette canaille je ne sais comment elle a fait pour passer sans nous fouiller des pieds à la tête, pour voir si nous n'avions point de piastres. — Quoi ! lui dis-je, fouiller les gens en pleine campagne et sans l'intervention de la justice ! — Ils en ont le droit, et sont très exacts, très âpres à l'observer, parce que s'ils trouvent à un voyageur au-dessus de trois cents réaux cent cinquante livres, ils les lui enlèvent et les ordonnances du fisc les leur adjugent. Pour échapper aux exigences des commis, il fallait faire constater au bureau de la douane de Barcelone, les espèces qu'on voulait emporter en France et se faire délivrer une cédule ». Or Chantreau et Alexis n'en étaient point pourvus, aussi la crainte de subir le contrôle des commis et de se voir enlever leur argent les fit passer dans des transes continuelles. Ils n'apercevaient pas un buisson qui ne leur parût être une ronde de commis. Je m'explique maintenant, réfléchissait-il, pourquoi Barcelone regorge de notre monnaie d'or et pourquoi on n'y accepte plus que des pièces de vingt francs. Un Italien qui tenait dans cette ville une fonda » lui en avait montré plusieurs boisseaux. Cet hôtelier espérait réaliser une fortune DEUXIÈME TRIMERTRE 1924. 149 sur ses pièces de monnaie lorsque, la révolution terminée et l'ordre rétabli,, l'or refluerait en France et reprendrait son cours normal. Il les tenait, avait-il affirmé, des évêques réfugiés au Monserrat et surtout de l'archevêque d'Auch qui en avait apporté un plein coffre. » 60 Chantreau souhaite vivement que cet or rentre en France, car il a maintes fois éprouvé les inconvénients du papiermonnaie. Ces inconvénients, ajoute-t-il, se font moins sentir dans les villes parce qu'on a eu l'heureuse idée d'imaginer les petits papiers et les coupures au-dessous de cent sous », si nécessaires pour les besoins des petits consommateurs ; mais pour le voyageur ces papiers ne sont pas utilisables parce qu'ils n'ont cours que dans la ville qui les a émis. 61. Ce voyageur doit dépenser un assignat de cent sous à dîner ou payer en argent, ou donner quatre francs de ce qui ne vaut que quarante sous. » A son avis, l'assemblée nationale devrait hâter la création de coupures inférieures aux corsets ». Arrivé à Perpignan, Chantreau se sépare du neveu de son ami. Il continuera son voyage jusqu'à Toulouse à frais communs avec un gros négociant du Palais-Royal qui était en emplette et en train de placer dans la province une hottée d'assignats ». C'était un homme d'esprit vulgaire et dont la conversation n'avait aucun agrément. Il entretint d'abord son compagnon de route de questions commerciales, de madame son épouse, de son bambin, de sa maison de campagne du Pré-Saint-Gervais, de ses laitues, etc.. ; puis il laissa échapper, qu'ancien capitaine de la garde nationale, il avait été un des plus chauds partisans de la Révolution, mais qu'il en avait bien rabattu » ! A ces mots, Chantreau s'échauffe, sa passion se réveille et il réplique sèchement en disant que toutes les caillettes bleues » en ont fait autant, mais que les braves gens sont restés à leur poste ». Un peu 60 L'archevêque d'Auch avait des revenus considérables. D'après l'Almanach royal de 1787 ils s'élevaient annuellement à livres. 61 Pour suppléer au manque de métal et de monnaie des grosses coupures d'assignats on vit s'établir en 1791 des caisses, dites de confiance, c'est-à-dire des comptoirs municipaux ou particuliers émettant de petits papiers-monnaie généralement dénommés billets de confiance. 10 150 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. décontenancé par le ton de cette réplique et l'attitude de son interlocuteur, le négociant essaie de se justifier, d'expliquer sa conduite Que voulez-vous, dit-il, les choses vont si mal, l'anarchie est à un tel point que nous sommes pires que nous n'étions, et que cette révolution n'est pas autre chose que la guerre de celui qui n'a rien contre celui qui a. Voyez quels sont nos administrateurs et comment ils se conduisent ! Voyez la lenteur de nos tribunaux, leur insouciance à mettre les lois en vigueur et laisser impunément au scélérat l'espoir de tout oser ! Voyez l'emploi qu'on a fait de nos finances et la dette nationale quadruplée au lieu d'être diminuée ! Qu'avait besoin l'Assemblée nationale de supprimer les charges, pour écraser la génération présente d'une liquidation énorme ? Au lieu de gorger d'égoïstes aristocrates de nos assignats, avec lesquels ils ont tout accaparé, pourquoi ne créait-elle pas des annuités, dont la génération qui nous suit eût partagé la charge ? Comme nos neveux nous trouveront dupes de nous être mis à l'aumône pour les libérer ! Voyez dans quelle stagnation est le commerce, l'augmentation inouie des denrées, le taux exorbitant du numéraire et avec tout cela l'impôt que nous avons à payer. Je croyais en 1789, passer d'une situation pénible à une plus heureuse, et comme la majeure partie des Français, je prononçais le mot de liberté avec enthousiasme, j'augurais l'avenir le plus heureux de notre révolution que mon espoir a été trompé, et que les fruits que nous avons recueillis ont été amers et différents de ceux que nous nous en promettions ! Chantreau n'accepte évidemment aucune de ces raisons. Il compare son interlocuteur à un enfant qui pleure parce qu'en cueillant une rose il a eu la maladresse de se piquer aux épines. Les reproches adressés à la Révolution n'en sont que les abus, dit-il ; or ces abus ne se sont produits que par la faute de beaucoup de révolutionnaires qui, leurs lisières rompues, n'ont pas su se rendre dignes de la liberté conquise. Celle-ci ne se conserve qu'avec de la moralité ; or la plupart des Français n'ont pas cessé d'être égoïstes ; leurs femmes ne sont pas moins qu'auparavant, coquettes, dépensières et dissolues ; quant aux enfants, laissés encore entre les mains des prêtres, leur éducation n'a point changé ; beaucoup de citoyens remplissent avec indifférence leur devoir civique ; que n'imitent-ils les Anglais qui s'intéres- DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 151 sent si vivement aux élections et qui sont toujours prêts à sacrifier leurs intérêts particuliers lorsque l'intérêt de la patrie l'exige ? Peu à peu Chantreau s'irrite, sa parole se fait véhémente, il s'indigne et, apostrophant son compagnon de route, il s'écrie Votre contenance a-t-elle été assez sûre, assez imposante pour contenir ou atterrer l'audace aristocratique de ces valets de votre roi, qui l'obsèdent dans ses Tuileries, où il s'obstine à s'enterrer. Leur avez-vous dit Il est aussi bon que vous êtes perfides. Vous l'avez fait fuir, et nous avons été assez généreux pour courir après lui, assez bons pour le ramener et le réintégrer. Nous avons eu assez de loyauté pour consentir à ce qu'il acceptât notre constitution et croire que son serment n'était pas d'un lâche parjure ; mais nous sommes persuadés que, s'il le devient, ce ne sera que par vos conseils et nous jurons, sur cette même constitution qui fait votre tourment de vous en punir sans égard pour la naissance, le rang et le nombre. En vain, par un feint dévouement à cette constitution, vous avez essayé de nous en imposer, votre déguisement n'a été que ridicule, et la manière dont vous avez placé votre masque, une maladresse. Nous ne vous avons pas perdu de vue un seul instant; nous savons tout, et les trames que vous avez ourdies, et ces mille conjurations que vous avez successivement complotées contre cette nation à laquelle vous mangez, par an, vingt-cinq millions sur les trente de liste civile qu'elle donne à son roi. Nous savons, jusque dans ses moindres rapports, la correspondance criminelle que vous entretenez avec nos ennemis d'Outre-Rhin, et ceux que leurs calomnies et les vôtres nous ont suscités dans tous les coins de l'Europe. Notre vigilance ne se démentira point. Nous vous observons la hache levée pour vous punir quand la mesure sera comble. C'est dans la constitution que nous irons chercher l'énoncé de la sentence qui vous enverra à l'échafaud ; car nous ne voulons être terribles qu'au nom de la loi et par la loi. — Voilà comment aurait dû s'expliquer un peuple libre, et tenir parole, au lieu de se contenter de se former tumultueusement en groupes ou d'aller motionner dans des clubs obscurs. Chantreau poursuit longuement sa diatribe enflammée, puis le ton de son discours s'adoucit et se fait persuasif. Visiblement, il veut ramener ce révolutionnaire égaré et il y parvient en effet en lui prouvant que tous les maux publics dérivent des intrigues de la cour. Responsable des maux passés, elle sera responsable encore des maux de demain la patrie 152 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. est sur le point d'être déclarée en danger ; la déclaration de guerre est prochaine ; or, il est à prévoir que les trahisons de la cour et des nobles rendront cette guerre désastreuse pour la France. Ces trahisons sont certaines ; comment pourrait-il en être autrement dans une lutte entreprise contre le propre neveu de la reine, contre les frères du roi, contre ses parents, ses amis, ses confidents, ses conseillers, ses valets et tous ceux qui vivaient de l'ancien régime comme le ver sur la feuille qu'il ronge. » Mais, objectera-t-on, Louis XVI est franc, loyal, bon, bien intentionné et la reine est calomniée ; soit, Chantreau en accepte un instant l'hypothèse, mais ce prince est-il un ange pour s'être dépouillé en un clin d'oeil du vieil homme ? » N'a-t-il pas la même éducation que ses frères ; n'a-t-il pas les mêmes préjugés, les mêmes intérêts ? Sans doute. Or, tandis que les deux princes fuient à l'étranger, le roi accepte de se plier au nouvel ordre de choses, il subit la métamorphose et arbore à son chapeau la cocarde aux trois couleurs !... Chantreau souhaite ardemment pour l'amour de son pays, que ce miracle se soit opéré, mais sa raison se refuse à l'admettre. Une conversation aussi animée sur un sujet d'actualité si angoissant était bien de nature à rendre plus brèves et moins fatigantes les longues heures de voiture sur les routes poudreuses et ensoleillées du Languedoc. Arrivés à Toulouse, nos deux voyageurs se séparèrent; le négociant s'occupa de ses affaires et Chantreau se dirigea promptement vers Auch où il avait des parents et qui n'allait pas tarder à devenir sa résidence. C'est d'Auch qu'il écrit à son ami la dernière des lettres publiées dans son livre Auch, lui mande-t-il, est une très jolie ville, le chef-lieu du département du Gers, où à côté d'une aristocratie sombre et fanatique vous trouvez le patriotisme le plus chaud. Il y a dans cette ville une société des Amis de la Constitution qui m'ont paru en être de véritables amis; ils tiennent leurs séances dans la salle de la comédie, elles sont publiques et très courues. J'y ai entendu un M. d'Orfeuil, ex-comédien des Variétés, qui court la province et les clubs pour y débiter de petits ouvrages patriotiques, dont le fonds est pris dans DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 153 Gorsas et Carra, qui ont si bien mérité des patriotes, et que les aristocrates voudraient voir pendus, et qu'ils pendront s'ils ont le dessus, comme ils l'espèrent. M. d'Orfeuil lisait avec la grâce et la chaleur d'un vrai troubadour. Il y avait quelques trivialités dans ses discours, mais la bonne intention, mais l'envie d'éclairer ses compatriotes, de les ramener sans cesse au niveau de la constitution, faisaient pardonner tous les défauts, et je fus très content de lui. Je voudrais que la France fût couverte de pareils hommes, ce qui ne tardera pas j'en rencontre déjà dans toutes nos places a Paris; au moins ils balanceront le mal que font les prêtres réfractaires. Chantreau s'indigne au sujet de la conduite politique de ceux-ci et les rend responsables de l'état de discorde et de suspicion dans lequel vivent les gens du pays. Ecoutons-le J'avais beaucoup ouï parler des réfractaires dans la capitale où ils sont contenus et ne guerroyent que dans les greniers je m'étais figuré qu'on exagérait leurs torts; que j'étais dans l'erreur ! On ne sait pas à Paris le quart des horreurs qu'ils commettent en province et j'en ai été moi-même étonné, effrayé.... ... Ici les familles, non seulement sont brouillées, mais encore prêtes à s'égorger pour ou contre la cause de ces mêmes prêtres qui leur ont dit, prêché, fait croire que la messe n'était plus la messe si c'était un prêtre constitutionnel qui la disait, que le baptême qu'il administrait à leurs enfants ne serait point un baptême, que leurs filles seraient mal mariées s'ils les mariaient, que leurs pères au lit de mort ne recevraient point les consolations de l'Eglise et mourraient réprouvés et sans sacrement s'ils appelaient des prêtres constitutionnels, parce que l'Eucharistie dans leurs mains cessait d'être l'Eucharistie pour ne devenir qu'un pain sacrilège et de réprobation. Non seulement le dévotieux paysan a reculé d'horreur à ce dogme étrange auquel il a ajouté foi parce que son curé le lui annonçait, mais des hommes éclairés, ou qui se donnaient pour tels l'ont adopté avec chaleur, et toutes les gentilhommières en ont été infectées. Mon parent lui-même, élevé dans la capitale, où il a vécu longtemps, qui a reçu une éducation soignée et est instruit, mon parent a donné tête baissée dans ce dogme absurde, et en est devenu l'apôtre lui qui ne connaît Dieu que de réputation et sa religion que par ouï dire, il me parla comme un archevêque et me prêcha en capucin. Je lui ai ri au nez, et comme c'est un charmant garçon, nous nous sommes embrassés au lieu de nous quereller. Je vous avouerai franchement que je crois que réellement il n'est pas la dupe de ses prêtres et qu'il n'est leur prosélyte que parce qu'il est gentilhomme. 154 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Il n'en est pas de même de son auguste moitié la dame, qui est bonne épouse, excellente maîtresse, voisine prévenante, est récalcitrante lorsqu'il est question du serment et des hommes à soutane. Sans crainte de froisser les sentiments de sa parente, Chantreau se rend le dimanche à l'église cathédrale pour entendre la messe d'un prêtre jureur. Arrivé dans le temple, il éprouve, assure-t-il la jouissance la plus douce en constatant que la vaste nef est remplie de paysans accompagnés de leurs femmes et de leurs enfants. Par contre, on n'y voyait ni bourgeois, ni gentilshommes ; ceux-ci allaient s'emmesser dans de petites chapelles borgnes où un prêtre réfractaire leur coulait furtivement une bonne messe. » Lorsqu'il fut de retour à la maison, tout le monde lui bouda, à l'exception d'un neveu de sa parente. Ce jeune gentilhomme n'était pas un adversaire déclaré de la révolution; il admettait fort bien qu'elle eût croqué l'avoir du clergé », et, il ne blâmait que le décret rendu contre la noblesse semblable en cela à un greffier du Châtelet qui donnait des éloges à tout ce que l'assemblée nationale avait fait, mais qui ne lui pardonnait pas la suppression de son greffe et ne concevait pas comment la France pouvait exister sans un greffier du Châtelet ! ». Le séjour que Chantreau fit à Auch ne fut pas très long, bien que ses parents, pour l'y retenir, se fussent efforcés de le lui rendre aussi agréable que possible. Certes, ses opinions révolutionnaires n'étaient guère de mise dans les milieux aristocratiques et bourgeois de la ville; néanmoins, il y était bien accueilli. L'affabilité de ses manières, sa verve joyeuse, sa culture littéraire, son esprit caustique et surtout sa qualité de Parisien bien renseigné sur les dessous de la politique révolutionnaire faisaient rechercher sa compagnie. Certain jour, il fut invité à dîner chez un gentilomme campagnard de Valence 62 bourgade pittoresquement placée sur une espèce de roche d'où l'on jouit d'une perspective unique ». Pendant le repas, la conversation fut très 62 Valence-sur-Baïse, chef-lieu de canton du département du Gers, situé à 36 kilomètres au nord-ouest d'Auch, dans un site charmant. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 155 animée et la diversité des opinions représentées par les convives ne manqua pas de la rendre fort intéressante. L'hôte avait une forte teinte d'aristocratie » et son épouse était une contre-révolutionnaire déterminée. Je fus intérieurement fâché de cette mauvaise tache, glisse Chantreau, parce qu'elle avait tout pour plaire et paraissait ne pas s'en apercevoir. » Les autres convives étaient un chevalier de SaintLouis qui vendait ses eaux-de-vie pour aller à Coblentz rejoindre ses parents et amis, deux jeunes gens ex-militaires qui ne doutaient de rien », un ex-vicaire non assermenté qui ne dit mot et pour cause », enfin, l'oncle de l'hôtesse, un vénérable chanoine dont les opinions, ô surprise s'accordaient à merveille avec celles de Chantreau. On causa d'abord du prix des eaux-de-vie, du cours de l'argent, de la gêne que provoquaient les assignats dans les travaux agricoles, puis enfin, fatalement, des actualités politiques Un moment, Chantreau put se croire encore en Espagne au milieu des émigrés, car le chevalier de SaintLouis et les deux militaires discutèrent, avec une grande abondance de paroles et de gestes, sur les moyens de combattre la révolution Lorsque ces trois gentilhommes se furent mis d'accord pour amener en quatre jours les Autrichiens des rives du Rhin à Paris, l'un d'eux se mit à critiquer aprement la constitution civile du clergé Le chanoine, après lui avoir prouvé très poliment qu'il n'était qu'un oison, qui voulait juger de tout et ne savait rien, surtout pour ce qui concernait la constitution civile du clergé, se tourna de mon côté et me dit J'ai beau leur assurer, et mon témoignage n'est point suspect, que leurs prêtres les trompent, et leur prouver que le dogme n'est point attaqué dans cette constitution qui n'a pour objet que la police civile du clergé, je ne puis les faire revenir de leur erreur. — Puis se tournant vers ses compatriotes ils n'auraient pas tant crié, ajouta-t-il, ces saints prêtres dont vous êtes si absurdement dupes, si au lieu de leur rogner les ongles on eût augmenté leurs revenus. Et voilà mon homme qui vous les redresse sur leurs projets de contrerévolution, et va beaucoup plus loin que je n'eusse été moi-même. Le dépit fut sur la figure de la dame de la maison tout le temps que le chanoine pérora ; elle n'osait le contredire parce qu'il était son 156 SOCIETE ARCHEOLOGIQUE DU GERS. oncle, et de ces oncles qui n'aiment point à être contredits et qui vous déshéritent impitoyablement un neveu contradicteur. Comme les femmes sont adroites et qu'on les écoute, tout oncle qu'on soit, lorsqu'elles sont jolies, ajoute Chantreau, celle-ci trouva le moyen de faire dévier la conversation et de l'amener sur un terrain moins brûlant. Souriante, elle posa son regard sur lui et le questionna sur les journaux; il faut dire qu'elle partageait avec son oncle la manie des papiers-nouvelles » et qu'ils en recevaient en commun un certain nombre dont le chanoine faisait tous les frais. La jeune femme désirait vivement contracter des abonnements à l'Ami du Roi, au Mercure de France, de Mallet du Pan, et à la Gazette de Paris de du Rosoy 63. Or, le chanoine avait déclaré péremptoirement qu'il ne voulait pas souiller ses lunettes en lisant de semblables ordures ». D'ailleurs, il prenait Chantreau pour juge. Apporte les papiers, dit-il à sa nièce, nous ne conserverons, malgré tout ce que tu pourras dire, que ceux pour lesquels monsieur se portera caution.» Parisien de Paris, mêlé au monde de la littérature et du journalisme, littérateur et journaliste lui-même, Chantreau pouvait apporter, sur la presse périodique, à défaut d'un jugement impartial, des renseignements intéressants et des remarques originales. Il répondit volontiers à ce que l'on attendait de lui; avec une satisfaction non dissimulée, il commença par accabler de mordantes épigrammes les journalistes contre-révolutionnaires et en particulier du Rosoy Du Rosoy qui est criblé de dettes malgré les présents clandestins de la G...y, et de quelque chose de pis qu'il pourra lui communiquer, du Rosoy, dis-je, le plus fainéant des hommes, n'est que le compère du journal où l'on appose son nom pour en mettre un. C'était autrefois l'archevêque de Bordeaux ou son faiseur, qui mettait ce journal à bien ; aujourd'hui qu'il languit il est livré à un malheu63 malheu63 Barnabé Farmiau de Rosoy, dit, né à Paris eu 1745 était un littérateur fécond mais médiocre ». Il publia des ouvrages de philosophie, des poèmes, des tragédies, des comédies, des livrets d'opéra, etc.. Journaliste, il publia les Annales de la ville de Toulouse », puis fonda en 1789 la Gazette, de Paris dans laquelle il défendit jusqu'à, la mort les idées monarchiques. Arrêté après le 10 août 1792, il fut condamné à mort et exécuté. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 157 reux échappé de Coblentz, qui macule de l'aristocratie aux dépens du bon sens. Ce du Rosoy donc, qui est encore un nom et sur lequel il n'est plus possible de jeter du ridicule, se faisait appeler marquis dans l'ancien régime, comme ma parente appelle encore aujourd'hui son épagneul. Je ne sais pourquoi cet homme s'est fait l'aboyeur de la noblesse, lui dont l'âme est aussi roturière que le corps, puisqu'il est fils d'un aubergiste de la Limagne d'Auvergne. Son journal, où il veut absolument faire croire qu'il travaille n'a toujours été qu'un amas de basses injures vomies contre l'ordre actuel des choses et dans lequel la vérité est outragée autant que le bon goût. Le corps de l'ouvrage n'est autre chose qu'un thème ampoulé, où les phrases sont cousues par des hélas d'une monotonie qui va jusqu'au dégoût. » e Le chanoine approuva sans réserve le jugement de Chantreau, Chantreau, s'adressant à sa nièce, il dit en montrant le journal de du Rosoy Ote-moi ce chiffon de là; ce pleureur m'a toujours déplu avec ses jérémiades hétéroclites; je n'en veux plus ! » L'Ami du roi par les continuateurs de Fréron 64 ne fut pas mieux traité que la Gazette de Paris. D'après Chantreau, Fréron n'était qu'un auteur de collège prôné par la cabale jésuitique », et à qui la causticité tenait lieu d'esprit. Ses continuateurs, ajoute-t-il, n'ont de ce Zoïle que l'épithète que lui donnait Voltaire lorsqu'il disait en plaisantant et sans le penser Il n'y a que ce c... de Fréron qui ait du goût ». L'Ami du roi falsifie les décrets de l'Assemblée nationale, tourne les patriotes en ridicule, discrédite les autorités constituées, provoque le trouble dans la capitale et répand l'alarme dans les provinces pour y faire éclater la guerre civile. C'est un journal infâme ; le rédacteur princi64 Fréron Louis-Marie-Stanislas, publiciste et législateur, était né à Paris en 1754. Il adopta avec enthousiasme les idées de la Révolution et, en 1790, fonda 1' Orateur du Peuple dans lequel il combattit Mirabeau. Membre du club des Cordeliers, il prit part à la journée du 10 août et fut membre de la Commune de Paris ; cette ville le députa à la Convention où il siégea sur les bancs de la Montagne. Envoyé en mission à Marseille pour arrêter le mouvement fédéraliste, il fut impitoyable et voulut détruire la ville pour l'appeler Sans nom ». Après Marseille il châtia Toulon qui s'était livré aux Anglais. De retour à Paris, il fut bien accueilli au club des Jacobins mais il fut combattu par Robespierre. Après le 9 thermidor il reprit son journal, passa dans les rangs de la réaction et se mit à la tête de jeunes aristocrates qui sous le nom de Jeunesse dorée de Fréron », parcouraient Paris en bruta- 158 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. pal est l'abbé Royon 65 dont le nom est devenu une espèce d'injure et qui a été chassé du collège Louis-le-Grand parce qu'il aimait trop les petits écoliers; sans doute pour se résoudre à la tâche qu'il a entreprise il n'a dû avoir pour subsister que la cruelle alternative ou de se mettre voleur de grand chemin, ou rédacteur de l'Ami du roi ». Le Journal de la cour et de la ville ne vaut pas davantage. Tout aussi méprisable est le Journal de Genève rédigé par ce Mallet du Pan qu'il déteste de toute son âme et auquel il décoche, en passant, le trait cruel que voici Mallet du Pan qui se vante ridiculement d'être le compatriote de Jean-Jacques,... ne peut lui être comparé sous aucun rapport si ce n'est lorsque Jean-Jacques joue un tour pendable à la servante à laquelle on avait donné un ruban. » Le Journal général ne mérite même pas un regard ; il est rédigé par un cuistre aristocratique » l'abbé de Fontenai, qui n'est lui-même que le prête-nom de l'ex-jésuite Barruel obscur cafard » qui, avant la révolution publiait la Gazette ecclésiastique ». L'antre de Crappart la vomissait trois fois dans la semaine et jamais assez tôt pour les dévotes au bec pincé qui la dévoraient ». Le Journal général de politique et de littérature rédigé par Berrard n'est intéressant que pour des cuisinières. Le Modérateur ne le dépasse guère, mais Chantreau conseille à ses hôtes de le conserver par humanité parce que le pauvre diable qui le rédige est un honnête homme chargé de lisant les patriotes aux accents du Réveil du Peuple », chanson royaliste à la mode. Le gouvernement du Directoire l'envoya en mission dans le Midi pour soumettre les départements en insurrection. Bonaparte, après son coup d'état le nomma sous-préfet à l'île de Saint-Domingue. Il ne put supporter le climat et il y mourut en 1802. 65 Royon Jacques-Corentin, était né à. Quimper, en 1745. Avocat, ardent royaliste, il collabora à, l'Ami du Roi ». Le Directoire le fit condamner à la déportation ; il rentra en France après le 18 brumaire et sous la Restauration il fut nommé censeur dramatique. Compilateur plutôt qu'historien et d'une partialité inouïe », il a laissé une Histoire de France depuis Pharamon jusqu'à la vingt-cinquième année du règne de Louis XVIII. Comme auteur dramatique il ne connut guère que des insuccès dont le plus retentissant fut La mort de César. Royon mourut à Paris en 1828. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 159 famille et qui ne sert l'aristocratie que pour se procurer des ressources. Pendant longtemps, la Gazette universelle fut estimée pour la sûreté de ses informations; mais l'esprit de parti l'a gagnée et la voilà devenue bassement ministérielle ». Son rédacteur, M. Boyer, s'est laissé influencer par M. Delessart. Le journal de Gorsas 66, les Annales patriotiques de Carra et la Chronique de Paris sont également très recommandés par Chantreau parce qu'ils servent d'antidote au venin que distillent journellement les organes de la contre-révolution, ». C'est aussi l'avis du chanoine Ma nièce et ceux de son parti, dit-il, trouvent Gorsas trop exalté ; et moi je l'aime ainsi, je ne lui trouve que le langage d'un homme libre. » Quand à Carra 67, il apprécie hautement sa robuste franchise et son courage inlassable à dénoncer les manoeuvres des partisans de la maison d'Autriche ; c'est un romain, ajoute-t-il, qui brave le danger avec une stoïcité peu commune ». Les appréciations de Chantreau et du chanoine touchant la presse périodique n'étaient pas évidemment du goût des autres convives ; aussi l'hôte saisit-il, avec autant d'adresse 66 Gorsas Antoine-Joseph, publiciste et homme politique, naquit à Limoges en 1752. Pour un pamphlet qu'il avait publié il fut enfermé à la Bastille en 1781. Entré dans le mouvement révolutionnaire, il fonda le Courrier de Versailles » et plus tard le Courrier des quatre-vingt-trois départements », où il glorifia les plus sanglantes journées de la Révolution. Elu membre de la Convention par le département de Seine-et-Oise, il siégea d'abord sur les bancs de la Montagne et puis se rapprocha insensiblement des Girondins. Décrété d'arrestation dans la séance du 2 juin il se réfugia en Normandie puis en Bretagne. Ayant commis l'imprudence de revenir à Paris chez sa maîtresse, il fut arrêté le 17 octobre 1793, et, le même jour, traduit devant le tribunal révolutionnaire et exécuté. 67 Carra Jean-Louis, publiciste et législateur, était né en 1742 à Pont-deVeyle Ain. Après une jeunesse agitée il obtint un emploi à la bibliothèque royale. Après avoir collaboré en 1789 au Mercure national », il devint avec Mercier le principal rédacteur des Annales patriotiques et littéraires » où il défendit les idées des Girondins. Il fut un des chefs de l'insurrection du 10 août. Entré à la Convention comme député de Saône-et-Loire il fut envoyé en mission à l'armée de Vendée. Ses. relations suspectes avec Brunswick et Dumouriez ainsi que son amitié pour Roland le firent rappeler. Il fut compris dans les 46 députés girondins décrétés d'accusation et exécuté avec eux le 1er novembre 1793. 160 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. que d'empressement, la première occasion qui se présenta pour arrêter ce dialogue subversif et se lever de table. Chantreau fut néanmoins très satisfait parce que son avis avait prévalu et que le chanoine l'avait facilement imposé à sa complaisante nièce Je ne partis point, écrit ironiquement Chantreau, sans assurer le chanoine qu'il était l'être le plus raisonnable que j'eusse rencontré dans le pays ; le chevalier de Saint Louis le premier militaire de France ; le jeune homme le plus érudit, et la nièce, la plus aimable de nos Françaises. Il n'y avait de vérité dans ce compliment, que ce qui regardait l'oncle et la nièce. » Cet excès de courtoisie ne saurait surprendre de la part d'un lettré, homme du monde et, par surcroît, Parisien. Mais si le Parisien est railleur par nature, le Gascon ne manque généralement pas de souplesse, de ruse et de fine prudence, aussi est-il possible que Chantreau n'ait eu l'avantage qu'en apparence. Qui sait, en effet, si le chanoine ne pratiqua point à l'égard de celui-ci cette fameuse restriction mentale » qu'il avait pratiquée lui-même Espagne dans la société des émigrés ? Considérez que Chantreau était un révolutionnaire ardent et passionné, fréquentant les clubs montagnards et en relation avec les dirigeants du mouvement révolutionnaire du département du Gers. Au cours de cette période tragique, son appui pouvait être d'un prix inestimable, autant que sa suspicion pouvait être dangereuse et funeste; elle pouvait conduire à la réclusion ou à la guillotine qui allait bientôt être établie en permanence sur une place d'Auch. Le chanoine n'ignorait point cela, sans doute; aussi est-il permis de supposer que par des feintes de langage, il s'efforça d'acquérir, dans un but intéressé, la sympathie et l'estime d'un jacobin aussi influent que distingué. Le lendemain même, Chantreau se met en route pour Paris afin d'aller rendre compte de sa mission secrète en Espagne. Il se réjouit beaucoup d'avoir pour compagnon de voyage un gros négociant des environs de Carcassonne qui est député à l'Assemblée nationale 68. C'est, dit-il, madame Daumont qui, à Toulouse, tient l'auberge du ,Grand DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 161 Soleil qui m'a procuré cette aubaine Dieu la lui rende; quoique sur le retour, elle en mérite encore .» Et il ajoute Mon dessein est de ne m'arrêter que très peu à Paris, c'est-à-dire le temps nécessaire pour embrasser nos communs amis et prendre l'air du bureau ; je partirai ensuite pour l'Italie, où l'émigration a jeté autant d'originaux que sur les frontières d'Espagne. Je vous enverrai ensuite mon crayonnage et nous rirons car vous le savez Les sots sont ici-bas pour nos menus plaisirs ». C'est sur ce vers d'une philosophie souriante et railleuse que Chantreau termine son livre. Les renseignements rapportés de Barcelone par Chantreau satisfirent-ils Dumouriez, nous ne saurions le dire, les archives du ministère des affaires étrangères nous ayant laissé dans une complète ignorance au sujet de sa mission. En tout cas, celle-ci lui avait fourni l'occasion d'écrire sur l'Espagne, ses moeurs et ses institutions, des pages savoureuses, pleines de pittoresque et d'originalité. A suivre. 68 Il s'agit certainement de Hugues Destrem, négociant à Fanjeaux, petit chef-lieu de canton situé à 25 kilomètres de Carcassonne. Le 1er septembre 1791 il fut élu député de l'Aude à l'Assemblée législative ; il s'y montra très modéré et passa presque inaperçu. Il en fut autrement au conseil des Cinq-Cents où il fut envoyé en 1798 par le département de la Haute-Garonne. Lors du coup d'état du 18 brumaire il résista énergiquement et apostropha Bonaparte en ces termes Voilà donc pourquoi vous avez remporté tant de victoires ! » Peu après il fut déporté à l'île d'Olèron où il mourut en 1805 au moment même ou Napoléon lui envoyait ses lettres do grâce. 162 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. NOTES SUR VIC-FEZENSAC. L'EGLISE PENDANT LA REVOLUTION, PAR M. Z. BAQUÉ. Suite. 15. — Les prêtres réfractaires. — Le décret de l'Assemblée constituante concernant la Constitution civile du clergé arriva à Vic-Fezensac, le 19 octobre 1790, et fut aussitôt affiché, publié, enregistré par les soins de la municipalité. Mais lorsque le procureur de la commune le présenta à l'archiprêtre Terrade pour être lu au prône, l'officier municipal essuya un refus formel. Une seconde réquisition n'eut pas un meilleur sort Lacroix se plaignit à l'assemblée municipale d'avoir reçu de l'archiprêtre-curé de Vie une très longue lettre bien contraire à l'esprit de la nouvelle constitution et entièrement éloignée de la soumission que doit apporter tout bon citoyen aux décrets de l'Assemblée nationale » 1. Cette réponse, jointe au texte de la réquisition fut envoyée au procureur-syndic du district. La voici Je soussigné déclare et certifie 1° qu'à raison de graves infirmités, je n'ai pu dire mes messes de paroisse depuis trois dimanches consécutifs ; 2° Qu'à suivre mes lumières, je ne puis sans trahir ma conscience et la fidélité due à mon ministère publier ou faire publier le susdit décret sur la Constitution civile du clergé, puisqu'il me parait opposé à la Constitution divine donnée par C. a son Église;... 3° J'ai l'honneur d'être curé et quelqu indigne que j'en sois, c'est à ce titre que mon peuple doit pouvoir régler sa conduite sur la mienne. 1 Délibérations municipales 25 décembre 1790. — Une copie de la lettre de l'archiprêtre fut annexée au registre ; elle en a été arrachée. Le texte qu'on va lire a été trouvé aux archives du presbytère. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 163 Mais le chef de la nation, notre roi, ce modèle des monarques et des princes chrétiens, a consulté sur ledit décret le Souverain Pontife; puis-je apprendre à mon peuple à mépriser la démarche si sage, si prudente de son roi ? D'accord avec leur souverain, les évêques du royaume attendent le jugement du Souverain Pontife; la France le sait... Un pasteur peut-il en honneur, peut-il en conscience, peut-il sans scandale apprendre à la paroisse, par une publication anticipée, à mépriser ces voeux majestueux, cette attente religieuse ? Que dois-je donc faire ? Apprendre à mon peuple à attendre que le chef des chrétiens, que Pierre prononce par Pie... Je promets et certifie qu'alors je publierai aussi solennellement qu'on le désirera une constitution ecclésiastique qui réunira l'inexprimable avantage de l'accord des autorités spirituelle et temporelle, du chef des chrétiens et de la nation très chrétienne. A Vic-Fezensac, le lundi 20 décembre 1793. TERRADE, archiprêtre et curé de Vic. 16. — Les prêtres constitutionnels. — En 1790, comme en 1905, le rouage fondamental de l'Eglise, telle que la voulait le législateur, était la société cultuelle paroissiale. En voici une saisie dans son fonctionnement Les paroissiens de Vic réunis... à l'effet de pourvoir aux frais du culte et à la rentrée de tous les objets qui pourraient appartenir à l'église et à la paroisse ont arrêté qu'il seroit, sur le champ, nommé six commissaires-fabriciens auxquels on donneraient tous pouvoirs nécessaires pour fournir à l'entretien et fraix du culte... MM. Couergou, négociant, Rozès, horloger, Pérès, marchand, Capmartin, Séchas, Duffrèche, aubergiste, ont pouvoir de pourvoir aux besoins journaliers et extraordinaires du culte..., d'aviser aux moyens de faire rentrer tous les objets, de faire toutes perquisitions et recherches nécessaires, soit dans les archives du cy-devant Chapitre, de l'évêché, du département, et autres endroits qu'ils croiront nécessaires... de découvrir et poursuivre la rentrée 164 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. des mubles et effets qui appartenaient à la commune et qui pourraient avoir disparu 1. Après le récolement, l'inventaire » était indispensable Capmartin et Séchas se transporteront dans toutes les églises de la commune pour faire un état exact et détaillé de tous les mubles, effets et ustanciles en or et en argent qui s'y trouveront 2. La jouissance des églises et la possession des vases sacrés ne suffisaient pas à l'assemblée cultuelle ; il lui manquait un prêtre. Se le procurer était difficile, car la plupart des ecclésiastiques avaient fui pour échapper à la persécution naissante Terrade, l'archiprêtre, n'était plus là ; Thouron, son vicaire, s'était retiré â Bassoues chez ses parents ; quelques religieux, prémontrés, cordeliers, capucins ou chanoines, originaires du pays, ou trop vieux pour le quitter, étaient restés à Vic, mais avaient refusé de prêter le serment constitutionnel. C'étaient Gaspard, prémontré, 82 ans ; Cassaignolles, abbé de Paris, 79 ans ; Cassaignolles neveu, chanoine, 32 ans ; Chaillan, chanoine, 44 ans ; Carboire, chanoine, 49 ans ; de Pardaillan-Gondrin, chanoine, aveugle, 70 ans ; Majau, cordelier, 79 ans 3. Les prêtres qui acceptèrent l'organisation civile étaient seulement au nombre de cinq Aignasse, ancien curé de Léviac, Burot, Dufrèche et Castéra, attachés à l'église Saint-Pierre, et enfin Fages. Ce dernier devint curé constitutionnel de Vic à partir du 1er octobre 1792, et joua un rôle considérable pendant les années 1793 et 1794. Nous lui consacrerons une notice § 28. Le projet de l'Assemblée nationale échoua complètement, même dans les quelques communes, comme Vic, où l'on put trouver des prêtres assermentés. Les événements se précipitèrent avec une telle rapidité que le courant de fureur qui se déchaîna contre l'Eglise arrêta l'essor de la nouvelle organisation. 17. — Désaffectation des églises. — Le 24 mars 1793, le directoire départemental chasse du Gers tous les ecclésiastiques qui 1 Délibérations municipales 19 juin 1791. 2 Délibérations municipales 23 novembre 1792. 3 Délibérations municipales 11 février 1793. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 165 n'auraient pas prêté le serment du 10 Août ; le 25 août 1793, il prend un nouvel arrêté pour priver de traitement ceux qui auront hors de leurs fonctions revêtu le vêtement ecclésiastique. C'était vouloir évidemment la déprêtrisation » de tous les membres du clergé. On sait qu'elle se produisit en masse » à la fin de 1793 ; le 30 frimaire an II Janvier 1794 la commune de Vic pouvait écrire au procureur-général-syndic que tous les ecclésiastiques de la ville avaient abjuré leurs erreurs et renoncé à la prêtrise » 1. Plus de prêtres. Les églises deviennent inutiles ! Une députation de la Société populaire montagnarde est admise dans le sein du Conseil général de la commune. Elle a pour but la destruction de tous les objets que trop longtemps ont alimenté le fanatisme. Le Conseil l'invite aux honneurs de la séance et délibérant sur la proposition de la Société, arrête 1° Le 10 de ce mois, jour de décade, il sera fait un autodafé de tous les tableaux, statues, livres et autres enseignes du fanatisme et de la superstition qui seront trouvés dans les bastimens cy-devant temple de cette commune 2; 2° Les citoyens seront invités par le crieur public à aporter à cette fête tout ce qu'ils auront en leur pouvoir représentant ou ayant des rapports avec le fanatisme ; 3° Le temple cy-devant Qaint-Pierre s'apelera désormais Temple de la Raison et servira à réunir et à instruire les citoyens pour les fêtes décadiques ; 4° La municipalité se nantira au plus vite des vases sacrés vieux style et ornemens ou effets relatifs au culte... 3. Cette dernière disposition ne put être totalement exécutée, car la municipalité Considerant que le bruit public annonce qu'il a été soustrait à la nation des ornemens et autres effets de ce genre dépendant des églises suprimées et non desservies, qu'il est de son devoir de faire des recherches pour parvenir s'il est possible de recouvrer ces 1 Délibérations municipales 30 frimaire an II. 2 Voir, § 24, le compte-rendu de la " cérémonie ». 3 Délibérations municipales 4 frimaire an II, 24 novembre 1793. 11 166 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. objets nationaux, arrête ... qu'il sera fait des visites domiciliaires dans les maisons de Vve Réchou, Cassaignolles, cy-devant chanoine et abbé de Sères, Vve Ferragut, Majeau, cy-devant cordelier. Ajoutons que les recherches furent infructueuses. La commune ne garda pas les objets précieux qui représentaient 74 marcs d'argent 18 kilos. Elle en fit hommage au département 1 qui les convertit en espèces monnayées. Quelques mois auparavant, le voiturier Péré avait transporté à Auch douze cloches enlevées aux couvents de la localité ou aux églises du canton 2. Celles de Saint-Pierre étaient demeurées eu place. Mais l'assemblée municipale Considérant que la République a plus besoin de canons que de cloches... délibère que les grandes cloches qui sont actuellement à l'église de la paroisse seront de suite descendues à la diligence de la municipalité et que les deux plus petites seront seules conservées 3. Le 12 mai 1793, avec toute la pompe d'un jour de fête, on descendit cinq cloches qui furent confiées — ainsi que celles de Laas, Tudelle, Belmont, Le Mans, Roquebrune — au voiturier Baron, qui les transporta à la fonderie de Toulouse 4. Dans le Temple de la Raison » où la Société Montagnarde célébrait ses offices, les autels et les confessionaux ne devaient pas paraître à leur place; leur démolition s'imposait. Elle fut décidée. Toutefois un vague instinct de respect pour les oeuvres d'art faisait ordonner par la municipalité de ménager autant que possible les matériaux susceptibles de vente » 5. On vendit bien quelques armoires pour payer les ouvriers démolisseurs sous les coups desquels tombèrent les croix et les autels secondaires 6. Mais lorsqu'il fallut s'attaquer aux fonts baptismaux et à l'autel du choeur, le maire, Capmartin, recula. Fages veillait. Cet ancien curé rouge ", déprêtrisé et devenu procureur de la commune requit par écrit leur démolition immé1 immé1 municipales 30 frimaire an II. 2 Spoliations des Eglises, Couvents et Chapitres du Gers. Op. cit.. 3 Délibérations municipales 7 mai 1793. 4 Spoliation des Eglises du Gers. Op. cit.. 5 Délibérations municipales 20 frimaire an II. 6 Délibérations municipales 12 nivôse an II. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 167 diate ; il fallut arrêter " que le dernier coup de main serait donné à cet ouvrage ». Heureusement cet arrêté demeura platonique et ces oeuvres d'art, classées aujourd'hui monuments historiques, nous ont été conservées 1. Pas en entier néanmoins. Un arrêté de Dartigoeyte et de Cavaignac, du 26 frimaire an II 16 décembre 1793, établissait à Auch un muséum provisoire dont la direction fut confiée à Lartet, professeur de dessin à l'Ecole centrale d'Auch. Celui-ci se mit à parcourir le département pour rechercher les oeuvres dignes d'y figurer 2. A Vie, il remarqua dans l'autel du choeur une superbe vierge en marbre blanc qu'il fit enlever et transporter au muséum d'Auch. Là elle s'arrêta peu car elle en fut extraite presqu'aussitôt, à la prière de l'évêque constitutionnel Barthe 3 et porter à la cathédrale où elle remplaça sur l'autel du choeur les deux statues en argent qui avaient été enlevées 4. La vierge qu'on voit aujourd'hui à cette place n'est pas celle de Vic. Celle-ci devait être beaucoup plus grande si l'on songe qu'elle faisait partie d'une Assomption dont les anges adorateurs restés à Vic seraient presqu'aussi grands que la statue d'Auch 5. 18. — La fin des persécutions 6. — Profitant du calme, l'Eglise relevait la tête. Le 25 floréal an III, Cassaignolles fait consigner à la mairie les chefs du cy-devant temple de la raison » ; autant valait-il dire qu'il la fermait. Cela dura un mois à peine, 1 La reconnaissance publique en attribua tout le mérite à Capmartin et aujourd'hui la tradition orale ne rapporte de lui que ce simple trait. 2 BÉNÉTRIX Vandalisme révolutionnaire, p. 33. 3 BARTHE Paul-Benoît, né en 1739, près de Narbonne, professeur de théologie à Toulouse, fut élu évêque du Gers, le 13 février 1791, dans la cathédrale d'Auch. En décembre 1792 il devint administrateur du département et président de l'assemblée départementale. Dartigoeyte, le 22 septembre 1793, le destitua de ses fonctions d'administrateur le déporta à Mont-de-Marsan, puis le fit emprisonner. Relaxé après thermidor, il reprit son diocèse. Après la signature du Concordat, il remit sa démission d'évêque mais demeura dans Auch où il mourut le 25 décembre 1805. 4 MONLEZUN Histoire de Vic-Fezensac. 5 Selon M. Lavergne, ex vice-président de la Société archéologique du Gers, il est fort possible que la vierge enlevée par Lartet et dont on a perdu la trace ait fini par échouer à Lectoure où elle ornerait magnifiquement l'autel principal. 6 Voir au chapitre suivant La Terreur les sévices contre les personnes. 168 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. juste le temps moral nécessaire pour purifier l'immeuble et le rendre à sa destination. Une nouvelle société cultuelle se forma et réclama l'église Saint-Pierre. Le Corps municipal... arrête... quelle le leur sera remise... à la charge par eux de l'entretenir et réparer, sans qu'ils puissent avoir recours à aucune contribution forcée; leur observant encore qu'aucun des ministres qu'ils employeront ne peut remplir le ministère de leur culte dans ledit édifice qu'il n'ait exhibé un acte de la municipalité comme quoy il se soumet aux loix de la République 1. Jusqu'au Concordat les choses demeurèrent ainsi. NOTE. Guillaume de Humboldt et le choeur d'Auch. La Revue internationale des Etudes Basques publie la traduction du journal de voyage du savant voyageur Guillaume de Humboldt 1. A propos des stalles du choeur de l'église San Salvador de Guetaria, il établit un rapprochement entre ses sculptures et celles de la cathédrale d'Auch en déclarant ces dernières bien supérieures. A quelle époque Humboldt est-il passé dans notre ville, et a-t-il visité le monument qui fait son admiration ? C'était dans tous les cas avant 1801. Peut-être le journal de cet autre voyage existe-t-il et pourra permettre de répondre à cette question. Quant aux sculptures sur bois de l'église de Guetaria qui rappelaient de loin au savant prussien celles de notre cathédrale, elles ont disparu dans un incendie allumé par le bombardement subi par cette ville de la part de l'artillerie Carliste, le 1er janvier 1836. Quelques fragments du rétable ont été acquis par le Musée de Pau où on peut les voir. GUETARIA. — Dans l'église qui possède un clocher élevé singulièrement orné, les sculptures du choeur ont une grande réputation. Dans cette sorte de travaux domine, dans les églises catholiques les plus 1 Délibérations municipales 23 prairial an III. 1 Los Vascos o apuntaciones sobre un viaje por el pais vasco en primavera del ano 1801 por Guil. de Humboldt, traduction de T. de Aranzadi. Rev. int. des Etudes Basques, T. XV, janvier-mars 1924, p. 124. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 169 grandes et les plus anciennes, une certaine espièglerie du caprice de l'artiste et que l'on remarque de tous côtés dans l'édifice, non seulement des représentations sévères et religieuses, mais dans l'enceinte du choeur, dans les ornements variés des stalles du choeur, la fantaisie prend son libre jeu sans faire cas de la destination et sainteté du lieu. A Burgos, l'archevêque s'asseoit dans sa stalle du choeur sur une Europe qu'enlève Jupiter sous la forme d'un taureau et à Auch, je me souviens avoir vu un curé que deux singes attachent fortement entre eux deux. Il y a aussi là les figures les plus diverses d'arabesques et de caprices, cavaliers sur des monstres enlacés diversement entre eux, centaures, chasses au lion, etc.. Mais la finesse du travail n'égale pas de beaucoup celui de la cathédrale d'Auch. On ne peut imaginer absolument rien de plus libre, riche et fouillé d'invention et de plus fin et exact d'exécution que l'oeuvre de sculpture de cette dernière église. Heureusement, ce notable édifice n'a en rien souffert des destructions de la Révolution qui en général s'est montrée dans la partie sud-ouest de la France plus soigneuse que dans les provinces septentrionales envers le service divin et il faut seulement regretter que les artistes la visitent rarement. En dehors des loges de Raphaël, rien ne se peut comparer dans le genre des arabesques avec ceci, au point de vue du goût et de la grâce si ce n'est les ornements d'un manuscrit de Quintilien, dans le couvent le San Miguel de los Reyes de Valence fondé par le duc Ferdinand de Calabre. Entre 224 manuscrits latins très bien écrits et richement ornés de la bibliothèque de ce couvent, celui-ci se distingue de tous les autres et, si ces manuscrits, par leur peu d'ancienneté ne sont précisément pas importants au point de vue philologiques, artistiquement, ils méritent l'attention, principalement parce que ces ornements semblent devancer l'époque de Raphael. » A. B. 170 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. NOTICES DES PRETRES ET RELIGIEUX DE CONDOM PENDANT LA RÉVOLUTION, PAR M. JOSEPH GARDÈRE, — Suite. — 19. — BONNEFONT Louis. — Bonnefont Louis, prêtre de la Congrégation de la Doctrine Chrétienne, fut le dernier supérieur du séminaire de Condom où il professait la théologie. 138 Il répondit, le 19 juillet 1790, aux officiers municipaux de Condom, ainsi que ses trois confrères formant alors la communauté, qu'il voulait rester au séminaire. 139 Cependant, d'après la loi du 12 juillet précédent, l'établissement se trouvait supprimé et il fut bientôt obligé de le quitter. Un arrêté du département, du 11 février 1792, le força de s'éloigner. Il habite, en 1793, d'abord la municipalité de Saint Cirice, 140 puis Auvillars Lot-et-Garonne. Nous le voyons à cette époque demander à être payé des meubles qu'il avait laissés dans sa chambre du séminaire, en vertu de la loi du 7-16 août 1792, et qui avaient été vendus par le directoire du district. 141 Dans une seconde pétition au district, alors qu'il habitait Auvillars, février 1793, il déclare qu'il a cessé toutes fonctions dès l'instant de la proclamation de la loi du 12 juillet 1790 qui supprimait le séminaire. Il demande qu'il soit attesté qu'à l'époque de sa publication, loi du 27 novembre 1790, il n'était point fonctionaire public afin de pouvoir percevoir le traitement accordé par la loi du 18 août 1792. 142 Il figure dans un état des prêtres reclus à Agen, le 6 ventôse an II, et il y est dit âgé de 46 ans, non en fonctions depuis 4 ans, et n'ayant pas trêté le serment auquel il ne croyait pas être tenu. Il y est dit aussi de Saint Ciris Valence. 143 138 — Etat des revenus du séminaire dressé le 2 novembre 1790 Arch. dép. Gers A. 231. 139 — Archives dép. Gers. 140 — Ce n'est pas Raint-Cirice près de Moncrabeau, mais bien celui du Lot-et-Garonne près Valence et Auvillars. 111. — Registre, des pétitions du disctrict, n° 754 Arch. de la — La. municipalité donna avis favorable le 11 avril 1793, et rappela que le pétitionnaire avait été obligé de s'éloigner un vertu d'un arrêté du département du 11 février 1792. 142. — Ibidem, n° 773. 143. — Arch. dép. du Lot-et-Garonne District d'Agen, clergé Ilasse. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 171 20. — BOREL LOUIS. — Borel Louis, né à Condom, paroisse Saint-Pierre, le 21 mars 1762, de Balthazar Borel et de Françoise Besse, 144 fut vicaire de Corneilhan de 1787 à 1791. 145 Le 6 juin de cette année, les élections du district de Condom le nomment à la cure de Lagraulet. Mais il donne sa démission, et il est élu curé de Corneilhan dont il était resté vicaire, le 29 avril 1792. 146 L'évêque du département lui accorde l'institution canonique le 10 mai suivant le 4 juillet, il lui donne le pouvoir de biner pour les paroisses de Rouillan et d'Arquizan. 147 L'abbé Borel prêta le serment du 14 août de cette année ; il avait déjà prêté celui du 26 octobre 1790. Après la fermeture des églises, il se retira à Condom, et nous le voyons figurer dans les Etats de l'an III, de l'an VI, de l'an IX des pensionnaires ecclésiastiques, comme ayant son domicile à Condom. 148 Le 29 fructidor an V, il prêta le serment du 19 fructidor, et à cette occasion il déclara qu'il n'exerçait pas de fonctions du culte depuis dix mois qu'il n'était pas dans l'intention de les exercer. 149 Dans l'Etat des prêtres constitutionnels domiciliés de la commune de Condom du 25 vendemiaire an XI, il est désigné comme n'exerçant pas depuis longtemps. 150 Louis Borel vécut, depuis, à Couchet, commune de Larressingle, où il mourut, le 20 juin 1821, à l'âge de 59 ans. 151 Il n'avait pas repris les fonctions du culte ; mais il était considéré pour ses qualités d'homme honnête et doux. Il s'appliquait d'ailleurs à enseigner le catéchisme aux enfants de ses métayers ou domestiques. Les notes fournies, au moment du Concordat, à l'autorité religieuse sur cet ecclésiastique le donnent comme ayant des talents et des moyens et de bonnes moeurs. 152 144. — Registres paroissiaux de Saint-Pierre aux arch. municip. 145. — Registres de Corneillan, arch. du greffe du tribunal civil de Condom. 146. — Procès-verbal de l'élection des curés du district de Condom, arch, de la 147. — Registre épiscopal, Arch. dép. du Gers. 148. — Arch. municip. 149. — Délibération municipale du 29 fructidor an V. 150. — Arch. municip. 151. — Etat-civil de Larressingle. Il est désigné comme prêtre dans l'ate de décès. En l'an XII, Louis Borel est dit cultivateur, sur un registre de passeports. Il allait à Toulouse. Il figure en l'an XI sur le même registre, sans qualification. Il allait à la Réole. Arch. municipales. 152. — Arch. de l'évêché d'Agen. 172 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. 21. — BOUÉ JEAN. — Boué Jean, né le 17 juillet 1753, se trouvait au collège de Condom, depuis 1784, en qualité de frère de la Congrégation de l'Oratoire au moment de la Révolution. 153 Le 27 août 1793, il est désigné par les citoyens, réunis dans l'église Saint-Pierre de Condom, comme l'un des remplaçants des 36 hommes de recrue, pour compléter le nombre de 117 que devait fournir la commune, en vertu de la loi du 24 février précédent. 154 Il obtint un certificat de civisme le 20 octobre 1793 et le 26 germinal an II. 155 Nous le voyons figurer comme ayant son domicile à Condom sur les Etats des pensionnaires ecclésiastiques de l'an III, de l'an VI et de l'an IX. D'après celui de l'an IX, il avait prêté le serment du 14 août 1792, et il ne s'était pas rétracté. 156 Le 10 ventôse an V, il épousa Jeanne Lamenestrie, veuve Bastet, et il embrassa plus tard l'état de tuilier. Il mourut à Condom, quartier de la Bouquerie, le 11 novembre 1832, dans la 80e année de son âge. 157 22. — BOURJOT JEAN-JOSEPH-GRATIEN. — Bourjot Jean-JosephGratien, né à la Ferté-Gauche, le 6 octobre 1728, avait fait profession dans l'Ordre de la Charité le 9 novembre 1755. Envoyé aux Isles françoises d'Amérique » il administra avec intelligence les hôpitaux du fort Saint-Pierre et du Fort-Royal Martinique de 1766 à 1786. Il rentra en France dans le courant de cette dernière année et fut envoyé à Condom où il exerça les fonctions de prieur dès 1787. 158 Le P. Bourjot fut le dernier prieur des Frères de Saint-Jean-de-Dieu de l'Hôpital de la Charité de Condom. Il devait remplir pendant la Révolution la charge d'administrateur de l'Hôpital civil et militaire de Condom sous la surveillance et le contrôle de l'administration. Le 28 avril 1793, il prêta le serment du 14 août 1792 ; plus tard, il prêta celui du 19 fructidor. Il obtient un certificat de civisme le 6 octobre 1793, après avoir prêté 153. — Registres du collège de l'Oratoire Arch. municip. de Condom. 154 Registre d'enrôlement, aux arch. municipales. 155. — Délibér. municip. de Condom. 156. — Arch. municip. 157. — Etat-civil de Condom. 158. — Archives hospitalières de Condom, passim. — J. GARDÈRE a publié l'Inventaire sommaire des archives hospitalières de Condom antérieures à 1890. In-fol., Auch. Cocharaux frères, imp. 1883. A la page 40, note 3 de la préface, il donne une courte notice de Bourjot qui diffère par quelque mince détail de celle que nous publions aujourd'hui et qu'il rédigea postérieurement. DEUXIEME TRIMESTRE 1924. 173 le serment civique ; le 9 germinal an II, il obtient un nouveau certificat de civisme. 159 Il figure dans les Etats des pensionnaires ecclésiastiques de l'an III, de l'an VI et de l'an IX. 160 Le P. Bourjot mourut à Condom, le 13 août 1806, 161 sans avoir cessé de gouverner l'Hôpital de Piétat. Il mérita, par la sagesse de son administration, son dévouement et sa charité pour les pauvres 162 l'éloge de tous ceux qui le virent à l'oeuvre. On peut voir son éloge fait par le Provincial, en présence des Frères de Saint-Jean-de-Dieu, dans la délibération capitulaire de ces religieux de l'Hôpital du couvent de Piétat, du 28 mars 1787. On peut voir aussi la délibération des administrateurs de l'hospice du 18 août 1800; 163 et encore le registre des pétitions du district de Condom, au numéro 1116, en floréal an II, où il demandait que son cheval ne fut pas compris dans la réquisition faite à cette époque attendu qu'il était obligé, disait-il, d'aller souvent à Auch, soit pour le service militaire, soit pour les orphelins ». 164 Nous avons donné, dans notre Inventaire sommaire des Archives hospitalières de Condom, l'épitaphe suivante qui fut gravée sur son tombeau IN HUJUSCE SACELLI CONDITORIO JACET VENERABILIS ADMODUM VIR J. JOSEPHUS GRATIANUS BOURJOT CONGREGATIONIS FRATRUM CARITATIS CONSORS, QUI FUIT IN PAUPERES LARGUS, SIBIMETIPSI PARCUS, HUJUS HOSPICII PER TUMULTUS CIVILES SERVATOR, SEDATA TEMPESTATE RESTAURATOR, ET DEMUM POSTOBITUM BENEFACTOR MULTIS ILLE BONIS FLEBILIS OCCIDIT DIE DECIMA TERTIA MENSIS AUGUSTI ANNI 1806. 159. — Délibérations municipales. 160. — Arch. municip. de Condom. 161. — Etat-civil de Condom. 162. — Il laissa tous ses biens à l'hôpital par son testament du 6 messidor 163. — Arch. hospitalières de Condom, passim. 164. — Registre de pétitions du district, arch. de la sous-préfecture. 174 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. REQUIESCAT IN PACE. HOC GRATITUDINIS PUBLICS MONUMENTUM POSUERE HOSPITIORUM CONDOMIENSIUM ADMINISTRI D. DI. ANTONIUS BONNAMY PRIMUS AE DILIS, ET PRAESES, FRANCISCUS ESCALUP, JOANNES LAGUTÈRE, CAELESTINUS SAUTIRAN. 165 23. — BROCONAT JOSEPH. — Broconat Joseph, né à Larromieu, le 14 juin 1751, 166 de Jean Broconat et d'Anne Bouchoul, était prébendé de l'église collégiale de Larromieu avant la Révolution, et titulaire de la chapellenoinie de Corne, église de Marsolan 167. Il avait été vicaire de la paroisse dans les premiers mois de 1777, et un instant aussi vicaire à Gazaupouy, à la fin de 1785. 168 Le 26 mai 1790, dans l'église collégiale de Larromieu, il est élu président de l'assemblée des citoyens actifs du canton réunis pour concourir à la formation du département du Gers, et le lendemain, il est choisi avec trois autres électeurs, les citoyens Constantin, Cazaux et Castaing d'Aurens, pour concourir à cette formation. 169 Il assiste, le 14 juillet 1790, à la fête de la fédération des troupes nationales » du district qui eut lieu à Condom, au Champ de Mars, en mémoire de l'heureuse liberté que la France reconquit il y a un an » ; il y prononce un discours analogue à la circonstance, bénit le drapeau de paix » de la troupe nationale et célèbre la messe sur l'autel de la patrie qu'on avait dressé au Champ de Mars. 170 165. — J. GARDÈRE, Inventaire sommaire des archives hospitalières de Condom antérieures à 1789, p. 40 et 41. — J. Gardère ajoute, en note, p. 41 La tablette de cuivre, sur laquelle est gravée cette inscription accompagnée d'attributs funèbres se trouve dans l'armoire renfermant les archives ; ne serait-il pas préférable qu'elle fut placée, ainsi que l'écusson armorié de Mgr. de Cossé-Brissac, dans la salle du Bureau, à côté des portraits des bienfaiteurs de l'hôpital ? Le P. Bourjot dût être enseveli dans le caveau construit en 1773 pour les religieux dans le santuaire de leur chapelle; cette dernière, de même que celle de l'hôpital de la Manufacture fut rendue au culte par ordonnance de Mgr Jacoupy, évêque d'Agen le 22 août 1805 ; les deux chapelles avaient été fermées dans le courant de l'An II et dépouillés de leurs vases sacrés et argenterie. Le P. Bourjot délivra aux commissaires de la municipalité six chandeliers et une croix, une custode, trois calices, un encensoir avec sa navette, trois lampes, deux burettes, un ostensoir, un bassin, trois couronnes, six coeurs, une jambe, trois petites plaques et une petite... ? le tout d'argent. » 166.— Reg. par. de Larromieu Archives du greffe du tribunal civil do Condom. 167. — Arch. dép. Gers L. 503 et 504. 168. — Reg. par. de Gazaupouy Arch. du greffe du tribunal civil de Condom. 169. — Arch. municip. de Larromieu regist. des délibérations. 170. — Procès-verbaux de l'assemblée électorale pour la formation du district de Condom Arch. de la DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 175 L'abbé Broconat est l'un des électeurs convoqués à Auch qui procédèrent, procédèrent, 13 février 1791, à la nomination de l'évêque du département du Gers. 171 Il fait aussi partie de l'assemblée électorale du district de Condom, et est l'un de ceux qui procèdent à la nomination des curés de ce district, les 5, 6 et 7 juin 1791. 172 Elu lui-même curé de Grazimis le 6 juin, 173 il reçoit, le 6 juillet suivant, des mains de l'évêque constitutionnel, l'institution canonique pour cette cure devenue vacante par le refus de prestation de serment du dernier titulaire, Louis Pugens. Il devait l'administrer jusqu'au Concordat et desservir en même temps, comme vicaire, l'ancienne paroisse de Sarrasan, 174 dont l'église devait être bientôt démolie. Il avait, à cette époque, prêté le serment du 26 octobre 1790 ; il prêta celui du 14 août 1792, le 15 octobre suivant. De même, il prêta celui du 19 fructidor an V le 29 du même mois. Le 26 nivôse an IV, il fit devant la municipalité de Condom, la déclaration prescrite par la loi du 7 vendémiaire. 175 Nous voyons figurer l'abbé Broconat sur les Etats des pensionnaires ecclésiastiques de l'an III, de l'an VI et de l'an IX. 176 L'abbé Broconat assista à l'assemblée synodale du diocèse qui fut tenue à Auch, dans l'église cathédrale Sainte-Marie, les 19 et 20 août 1800 ; il y fut l'un des membres désignés pour la Congrégation de la Foi. 177 Le curé de Grazimis qui ne voulut pas se rétracter, ne fut pas compris dans les nominations faites après le Concordat ; il renonça depuis aux fonctions du ministère. Joseph Broconat mourut à Condom le 4 août 1829; 178 et la tradition rapporte qu'il refusa les secours de la religion qu'était venu lui apporter un vicaire de la paroisse, le digne abbé Dupin. Il fut enterré sans l'assistance du clergé et sans les prières de l'Eglise dans le cimetière de Sainte-Eulalie. 171. — Liste imprimée des électeurs arch. municip. de Condom. 172. — Procès-verbaux de l'assemblée électorale des 5, 6 et 7 juin 1791 arch. de la 173. — Ibid. 174. — Registre des pétitions du district de Condom, n°s 364, 950 et 951 arch. de la 175. —Délib. municip. aux dates ci-dessus. Voir aussi délib. du 4 nivôse an VI. 176. — Arch. municip.. — Il quitta pourtant la commune de Condom pendant deux ans environ, après la fermeture des églises. Lettre de Broconat au maire de Condom du 20 mai 1825, arch. municip.; il y fait précéder sa signature de la qualité de prêtre. 177.— Pièce imprimée. 178. — Etat-civil de Condom. 176 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Le cortège, nombreux, dit-on, de ceux qui l'accompagnèrent à sa dernière demeure, fut conduit par le perruquier Raucourt qui prononça, avec l'assistance, quelques prières sur sa tombe. 179 La Feuille d'Annonces et avis divers de la Ville de Condom, département du Gers, du 13 août 1829, lui consacra un article élogieux et publia un fragment d'une pièce de vers composée à cette occasion par Une muse condomoise ». Nous reproduisons ici l'une et l'autre de ces pièces la notice nous fait connaître la vie intime et morale que menait l'abbé Broconat dans la dernière partie de sa vie. La mort vient de frapper au milieu de nous, à l'âge de 79 ans, M. l'Abbé Broconat, ancien recteur de Grazimy. Rentré dans la vie privée par suite du serment civique qu'il avait prêté lors de nos troubles politiques ; privé de fortune, n'ayant pour seul moyen d'existence que la modeste pension que l'Etat accorde à tout prêtre sans fonctions, et les minces produits de quelques ares de terre, il vivait retiré dans une humble solitude, ignoré même de ses proches voisins. Là, nourri du pain de douleur, s'abreuvant de l'eau fade des anachorètes, il coulait avec calme une vie contemplative et studieuse. Malgré les diverses phases politiques qui se sont succédées, il n'a jamais cru devoir rétracter son serment sa dépouille mortelle a été privée de la sépulture ecclésiastique. Ses restes inanimés ont été suivis jusqu'à leur dernière demeure par une foule empressée et religieuse. Des prières ferventes ont été récitées par l'assistance sur le cercueil du défunt, tandis que des touffes de verdure ont été répandues sur sa tombe. Un discours avait été préparé pour cette circonstance solennelle, mais la vive émotion qu'éprouvait son auteur, a seule empêché qu'il fut prononcé. Cette inhumation a eu lieu le 5 de ce mois, à 4 heures de relevée. Voici un fragment d'une pièce de vers composée à ce sujet par une muse condomoise. Elle vient de nous être communiquée. Tranquille et résigné, sur le lit des douleurs Qu'ont, dès long-temps, quitté les soins consolateurs ; Seul, mais maître toujours de son calme ordinaire, S'éteignait doucement le prêtre octogénaire. Il mourait et sa voix dont jadis les accents N'étaient jamais perdus près des agonisants, 179. — Un témoin de la cérémonie nous a assuré que dans le parcours on chantait des romances analogues appropriées à la circonstance. — Il habitait, au moment de sa mort, rue des Armuriers, une maison aujourd'hui incendiée qui était contigüe à la maison Du Vigneau, au levant. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 177 Aujourd'hui, du Très-Haut célébrant les louanges, Paraissait pressentir le choeur prochain des Anges. Ainsi pour le chrétien juste et simple de coeur L'agonie est sans fiel et la mort sans terreur. Eh que redouterait, au delà de la vie, Celui par qui toujours la vertu fut suivie ; Et qui, toujours tremblant de sa fragilité, Expia ses erreurs dans l'humble austérité ! Ne l'avez-vous point vu, dans sa longue carrière. Consacrant à l'étude un temps que la prière N'avait point absorbé tout entier ; et jamais N'occupant ses loisirs d'inutiles essais ? Alors que la fureur des partis en démence Noircissait l'horizon de notre belle France ; Que de se conserver pur de tout attentat Etait l'arrêt d'exil ou de mort ; Broconat, Alliant ses devoirs avec son ministère, Déploya la vigueur d'un noble caractère Sans cesser d'être prêtre il devint citoyen. Rompre un premier serment pour un nouveau lien, Et chercher une excuse à la foi parjurée Dans l'exemple affligeant d'une foule égarée, Fut toujours un calcul à son coeur étranger. Sous l'empire des lois il viendra se ranger ; Mais, de ses anciens voeux observateur fidèle. Du prêtre citoyen il sera le modèle. Se détachant du monde auquel il ne vit plus, Voyez le rejetant tous secours superflus Alliage touchant de vertus politiques Et des austérités des fervents catholiques. Mais l'âge qui le presse, et la caducité Que suit, au pâle teint, la triste infirmité, Peut-être, du vieillard émoussant les organes, Promèneront son coeur vers les pensers profanes Et, de vives douleurs frappant ses derniers jours, De son calme, peut-être, altèreront le cours. Oh ! venez un instant dans la retraite obscure Que vient d'abandonner son âme juste et pure Là, depuis bien des jours, de l'eau de la douleur Il arrosait un pain dépouillé de saveur. Et pourtant, possesseur de droits héréditaires Dont les pauvres étaient déjà les légataires, 178 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. D'une riche famille, étrangère à ses maux, Il pouvait obtenir devant les tribunaux, D'un large patrimoine une part méritée ! Mais de plus nobles soins son âme est agitée ; Et, ministre d'un Dieu de concorde et de paix, Pacifique, sa main n'allumera jamais Au temple de Thémis le brandon dees discordes. Qu'il est encor touchant quand, naguère, les cordes Qui, principes de vie, à de faibles ressorts Liaient l'être taré de son fragile corps, Tout à coup par sa chute avec effort brisées, Ont à jamais détruit ses forces épuisées ! D'un art restaurateur appelant les secours, Il pouvait prolonger la chaîne de ses jours ; Et, plus d'un vieux printemps, par un membre factice De ses membres perclus relever l'édifice Mais non au Tout-Puissant, avec dévotion, Il offre sa douleur en expiation ; Et mutilé, souffrant, victime volontaire, Pour le Ciel, sans regret, abandonne la terre. Honorant ses vertus, la troupe des fidèles, Contristée, a suivi ses dépouilles mortelles Mais les prêtres, absens du lugubre convoi, Du temple, Ont refusé l'entrée au corps privé de pouls. les chants religieux N'ont point accompagné le prêtre vertueux. 180 24. — BURET JOSEPH. — Buret Joseph docteur en théologie, était curé d'Eauze, depuis la fin de l'année 1777, au moment de la Révolution. 181 Le 14 Février 1790, choisi par les électeurs d'Eauze comme président de l'Assemblée réunie dans l'église paroissiale pour la nomination du maire et des officiers municipaux en vertu des décrets, il fut nommé, le même jour, procureur syndic de la commune. Le dimanche 19 décembre 1790, avant la messe paroissiale, il prête solennellement en pré180. pré180. Op. Cit. n° 352. 13 août 1829, p. 8-10. 181. — Reg. par. d'Eauze arch. municip. d'Eauze. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 179 sence du Conseil général de la commune qu'il avait convoqué à cet effet, en sa qualité de procureur de la commune, le serment prescrit par la Constitution. Le procès-verbal de prestation de serment nous apprend que le curé avait au préalable dans un discours instructif et touchant, fait l'éloge de la Constitution du royaume décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le roy et exhorté les citoyens à respecter, à obéir et à soutenir de toutes leurs forces cette constitution sublime qui fait l'admiration de l'univers et qui doit assurer à jamais le bonheur de la nation française et la gloire de la religion ». 182 Il figure, depuis, dans presque toutes les assemblées électorales du district de Condom qui eurent lieu dans cette ville en 1790, 1791 et 1792. Il signe le procès verbal d'élection des juges du district du 27-29 octobre 1790 ; celui d'élection aux cures des 5, 6 et 7 juin 1791 ; il est au nombre des électeurs qui nommèrent, à Auch, l'évêque constitutionnel, le 13 février 1791.183 Le 23 septembre 1791, il est nommé scrutateur de l'assemblée électorale tenue ce jour là et les deux jours suivants dans l'église SaintPierre de Condom pour la réélection des administrateurs du district et la nomination à certaines cures vacantes. 184 Il est notable de mai à novembre 1792. L'évêque du département lui avait accordé le pouvoir de biner le 9 mars 1792. 185 Le 26 août suivant, il est nommé président de l'assemblée des citoyens du canton d'Eauze réunis en Assemblée primaire, au nombre de 526, dans l'église paroissiale d'Eauze aux fins de nommer les dix électeurs du canton qui devaient procéder avec les autres électeurs du département à la nomination de neuf députés à la Convention, et il est lui-même désigné, avec le plus grand nombre de voix, pour l'un des dix électeurs. 186 Le 7 octobre 1792, il est nommé scrutateur a l'assemblée réunie à Condom pour l'élection aux cures vacantes du district ; il est encore scrutateur au troisième bureau de l'assemblée électorale réunie à Con182. Con182. Regist. des délib. d'Eauze. 183. — Pièce imprimée. 184. — Procès-verbaux des assemblées électorales aux dates ci-dessus. Arch. de la sous-préfecture. 185. — Regist. épiscopal Arch. dép. Gers. — Buret signe les actes de l'Etat - civil de la commune comme officier public, à partir de janvier 1793 jusqu'au mois de mai de la même année. 186. — Cette assemblée vota une adresse à la Convention nationale dans laquelle, entre autres voeux politiques, elle demande à la Convention de déclarer que Louis XVI est à jamais déchu de la royauté. 180 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. dom les 12, 13, 14, 15, 16 et 17 novembre 1792 pour le renouvellement des corps administratifs et judiciaires. Elu curé du Saint-Puy, le 7 Juin 1791, il n'avait pas accepté et était lemeuré curé constitutionnel d'Eauze. Le 23 septembre suivant, il est nommé administrateur du district, 187 et remplit avec zèle ces nouvelles fonctions jusqu'au mois de novembre 1792, époque à laquelle il fut nommé nouveau procureur de la commune d'Eauze. 188 Ce curé patriote remplit avec le plus grand les fonctions administratives dont il fut investi. Mais nous dirons à sa louange qu'il ne négligea pas celles de son ministère. Seul, chargé d'une paroisse de âmes, il desservait aussi les paroisses de Cieutat et de Pléou, et un moment, en 1792, celles de Bascous et de Réans. 189 Il avait à coeur de pourvoir de prêtres les paroisses qui en manquaient. Jamais son patriotisme ne lui fit sacrifier le soin des malades à l'exercice de ses charges civiques. 190 Cela prouve si Buret avait, dès le début, adhéré avec enthousiasme, aux principes révolutionnaires et suivi la Révolution dans les mouvements généreux de ses premiers jours, il n'en avait pas moins gardé attachement profond à la religion et à ses devoirs de prêtre 191. Aussi le régime de la Terreur ne pouvait lui convenir. Il fut dénoncé au Comité de Salut public près le département comme tenant une conduite fanatique et contre-révolutionnaire. On l'accusa notamment de s'opposer à la publication de l'acte constitutionnel ci d'avoir 1° répondu au maire qui insistait vous êtes un montagnard, un maratiste, un désorganisateur ; 2° de vouloir faire déclarer que la 187. — Procès-verbaux des diverses élections ci-dessus. Arch. de la souspréfecture de Condom. 188. — Délibérations municipales d'Eauze. 189. — Etat-civil d'Eauze et de Bascous. 190. — Correspondance de M. Buret avec le district de Condom. Lettres de M. Buret du 25 avril, des 9 et 6 mai, du 22 juin, des 16 et 29 août 1792. Pétition du conseil général de la commune d'Eauze au district, du 9 août 1792 Arch, de la 191. — CASTEX et LAFFARGUE, Revue de Gascogne, t. XI, p. 43, 171, 266, 455, et C. LAFFARGUE, Episodes d'histoire religieuse à Eauze, 1790-1792, dans Revue de Gascogne, 1911, nouvelle série, t. XI, p. 358-370. A la page 362, l'auteur donne le signalement, le portrait moral et les notes intellectuelles qui peuvent caractériser Buret. Cette intéressante étude, publiée en 1911, a été écrite postérieurement à celle de J. Gardère que nous publions aujourd'hui et que nous avons de légitimes raisons de croire composée en 1896-97. L'étude de C. Laffargue, comme celle de J. Gardère, fait concevoir l'idée que Buret tint une place des plus marquantes, sinon la plus marquante, parmi les patriotes d'Eauze au début de la Révolution. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 181 religion catholique serait la religion dominante en France ; 3° d'avoir plusieurs fois répété, depuis le supplice du tyran, que la Convention Nationale n'avait pas le droit de juger Capet ; 4° enfin, d'avoir manifesté des principes fédéralistes et royalistes en retardant l'oeuvre de l'adhésion de la société populaire d'Eauze aux mesures proposées par la Société montagnarde de Condom. C'en était trop. Dartigoeyte, à qui le Comité de Salut public porta la dénonciation, par un arrêté du 24 septembre 1793, le suspendit provisoirement de ses fonctions de procureur de la commune, ordonna sa mise en état d'arrestation et son internement dans une maison de réclusion du département, ailleurs que dans la ville d'Eauze. Il chargea en même temps le Conseil général du département de nommer des commissaires pour faire apposer les scellés sur ses papiers. Le lendemain, le Conseil général ordonnait à son tour la réclusion de Buret. Il nommait à cet effet les citoyens Joseph Célestin Sautiran, administrateur du district de Condom, et Jean-Louis Soubdès, président du Tribunal. 192 Il chargeait le procureur général syndic de l'exécution de l'arrêté de Dartigoeyte et du sien. 193 Le 4 octobre suivant, le Conseil général d'Eauze remplaçait Buret comme procureur de la commune. 192. — Qui exécutèrent leur mandat le 28 du même mois. Délibérations de la commune d'Eauze. 193. — Extrait de l'arrêté de Dartigoeyte. — Au nom de la République Française une et indivisible. Le représentant du peuple député par la Convention Nationale dans le département du Gers et autres environnants; Vu la délibération du comité de Salut public établi dans la ville d'Auch en date de ce jour par laquelle le Conseil demande la destitution du nommé Buret, prêtre, procureur de la commune de la ville d'Eauze et curé de la même ville ; Vu en outre les dénonciations et déclarations faites contre ledit Buret au comité de salut public. Considérant qu'il résulte tant des dénonciations et déclarations faites contre ledit Buret au comité de Salut public; Considérant qu'il résulte tant des déclarations que des renseignements par nous pris que ledit Buret tient une conduite fanatique et contrerévolutionnaire puisque 1° il s'oppose à la publication de l'acte constitutionel et dit au Maire qui insistait pour cette publication vous êtes un Montagnard, un Maratiste, un désorganisateur, etc, et la suite vous l'avez dans ma première recherche Arrête 1° Que ledit Buret demeure provisoirement suspendu de ses fonstions de procureur de la commune, et que le citoyen Lahargue, de la ville d'Eauze, est nommé à son remplacement ; 2° que ledit Buret sera mis en état d'arrestation et conduit dans une maison de réclusion du département du Gers ailleurs que dans la ville d'Eauze ; 3° que le Conseil général du département du Gers nommera des commissaires qui se transporteront à Eauze pour faire apposer les scellés sur les papiers dudit Buret, lever ensuite lesdits scellés en présence des officiers civils et retirer ceux qui paraîtront suspects. Les mêmes commissaires feront en outre une enquête et prendront tous les renseignements qu'au cas il appartiendra contre ledit Buret ; charge le procureur général syndic de veiller à la prompte et entière exécution des présentes. Fait à Auch le 23 septembre 1793 l'an 2 de la république française une et indivisible signé Dartigoeyte 182 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Il est vrai que les documents attestent que les commissaires Sautiran et Soubdès exécutèrent leur mandat le 28 septembre 1793 ; mais cet internement ne fut peut-être pas effectif. Dans tous les cas, il ne fut pas de longue durée, car, en l'An II, nous trouvons Buret à Blaziert et il est même président de la Société populaire de cette commune commune au mois de ventôse. Le 10 germinal, il est remplacé dans ces nouvelles fonctions ; mais il continua de faire partie de cette société et à habiter Blaziert où il dut remplir des fonctions municipales. Comment Buret, expulsé de la ville d'Eauze par Dartigoeyte et les terroristes, alla-t-il s'installer à Blaziert ? C'est parce que cette commune était celle de sa naissance. La lettre suivante que nous recevons ne laisse pas de doute. Blaziert, le 4 juin 1897. Monsieur Gardère, Je vous demande pardon d'avoir tant tardé de répondre à votre lettre. Des voyages que j'ai dû faire en sont cause. représentant du peuple et Gaty sécrétaire. Pour copie collationnée, signé Lantrac. » Extrait de l'arrêté du département du Gers. — Du matin 24 septembre 1793 l'an 2 de la république une et indivisible. Présents Daurignac président, Demay, Passerieu, Cheyron, Mieussens, Bouquet, Sarraméa, Nérée, Carde, Siraute, Géas, Deguilhem, Druilhet et Lantrac procureur général syndic. — Lantrac dit que le comité de Salut public près le département a dénoncé le curé constitutionnel d'Eauze comme un contrerévolutionnaire au citoyen Dartigoeyte réprésentant du peuple, que ce représentant a adressé a lui procureur général syndic un arrêté qui destitue et remplace Buret procureur de la commune d'Eauze, qui charge le Procureur général du département de le faire mettre en état d'arrestation, de désigner le lieu où il devra être reclus et nommer des commissaires qui mettront les scellés sur ses papiers et en feront inventaire sur ce le du département du Gers, après avoir entendu la lecture de l'arrêté du représentant du peuple et le procureur général syndic de ce district et que les citoyens Sautiran et Soubdès administrateurs et juges du district de Condom seront commis pour mettre les scellés sur les papiers de ce prêtre à l'exécution de l'arrêté du représentant du peuple et du présent et s'en rapporte sur son zèle pour la simultanéité des mesures qui seule peut en assurer le succès. Pour copie collationnée Lantrac procureur général syndic signé et autres signatures des notables et celle de M. Daydie, maire. » Exécution des susdits arrêtés. — Ce jourd'hui, vingt-huitième septembre 1793 l'an 2 de la république une et indivisible le Conseil général de la commune assemblé se sont présentés les citoyens Joseph Célestin Sautiran administrateur du directoire du district de Condom et Jean Louis Soubdès président du tribunal lesquels ayant exhibé un arrêté du département rendu sur celui du représentent du peuple le 23 de ce mois en vertu desquels lesdits citoyens sont commis tant pour apposer les scellés sur les papiers du citoyen Buret, que pour prendre des informations sur sa conduite politique a été arrêté Oui le citoyen Dasté secrétaire du procureur de la commune que les susdits arrêtés seront transcrits littéralement. » L'arrêté du représentant du peuple ci-dessus, transcrit et celui du département du Gers sont à la suite. Arch. de la mairie d'Eauze registres des délibérations. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 183 Vous me demandez si je connais le lieu de naissance de M. l'abbé Joseph Buret. D'après les renseignements que j'ai eu la bonne fortune de recueillir de la bouche de trois hommes instruits, à mon arrivée dans ma paroisse, ce prêtre serait né au hameau de Bladé, dans Blaziert. Sa famille serait venue du Carreté, en Marsolan ; une de ses soeurs se maria avec Bernard Sommabère, au lieu dit Triadé, dans Blaziert. Ce fut là qu'il se retira pendant la Terreur. Il y ouvrit une école, et les hommes dont j'ai parlé plus haut,, Paul Caumontat, Jean-Baptiste Cadéot, docteur médecin, et Mathieu Bédés, furent ses élèves. Un nommé Dubary, du Saint-Puy, le força à se marier ce qu'il fit avec la servante de sa soeur, une nommée Béraut, du Herron, en Aurens; mais le mariage ne fut pas consommé et ils profitèrent de la loi du divorce pour se séparer. Je n'ai pas connu la date de sa naissaance, ni compris qu'il y ait eu deux prêtres dans la famille Buret, ni qu'il eût été curé d'Eauze, quoique cela pourrait être. Les contemporains disaient que Buret avait de l'esprit et du savoir, mais qu'il manquait de caractère et de courage. Voilà tout ce que je puis vous dire sur ce prêtre. Recevez, Monsieur Gardère, la certitude de ma considération distinguée, F. Dutaut, curé de Blaziert 194. Buret dut naître à Bladé, en Blaziert, le 28 juillet 1750, du sieur Jean Buret, et demoiselle Marguerite Mesplès, mariés depuis le 22 juillet 1748. Le 18 novembre 1758, il est dit écolier à Condom, et est parrain d'un de ses frères auquel il fait donner le nom de Joseph-Marie. Sa tante, Marie Buret, habitante de Larromieu, est marraine. Un de ses oncles, Jean-François Buret, était prêtre et doyen de Larromieu en 1750. 195 L'état-civil de Blaziert porte des traces du mariage feint par Buret, pour se dérober sans doute aux tracasseries de Dartigoeyte, Dubarry et autres. A la date du 26 germinal an III, on y lit un acte de mariage commencé, mais non fini. C'est celui de... Jean-Baptiste avec... Marguerite. Mais les noms de famille des époux sont tellement rayés qu'on 194. — L'abbé François Dutaut 1818-1904 devint curé de Blaziert en 1856. C'est à son initiative et aux ressources qu'il sut réunir en économisant sou par sou les oblation des fidèles, que cette paroisse à la fortune de posséder une des plus jolies églises et le plus beau clocher de la contrée. 195. — Etatl-civil de Blaziert. — J. BROCONAT et PHILIPPE LAUZUN, La Roumieu Description et Histoire, Agen imp. moderne, p. 50, disent François Buret était doyen depuis 1739. » On ne trouve pas que le nom de Joseph soit donné au fils de Jean Buret et de Marguerite Mesplès, baptisé le 28 juillet 1750; on lui donna celui de Baptiste-Jean-François. Mais on voit souvent dans les familles des prénoms différents de ceux de l'état-civil qui sont donnés aux enfants. N. D. L. R. 184 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. n'en peut lire aucune lettre si l'on n'est au courant déjà de ce qui dut être. Cependant, avec de la bonne volonté, les initiés au secret de ce mariage peuvent lire Buret » et il est dit du reste, dans l'acte, que le futur savait signer. 196 Buret figure, en qualité de curé, sur l'état des pensionnaires ecclésiastiques ecclésiastiques district de Condom des 4 et ventôse et du 22 floréal An III comme domicilié à Blaziert ». 197 Le 28 de ce mois, An V, 198 Buret prêta le serment du 19 fructidor, devant l'agent municipal, à Blaziert. L'An VI et le 16 vendémiaire, il se présente devant l'agent municipal pour déclarer 1° qu'il ne jouit d'autre pension ni traitement que la pension de 800 livres qui lui a été assignée par la république ; 2° qu'il n'a jamais rétracté, ni en public ni en particulier, le serment prescrit par la loi du 14 août 1792. 199 L'An VI et le 2 nivôse, devant l'agent municipal de Blaziert, canton du Saint-Puy, se présentent quelques citoyens qui déclarent vouloir se servir de l'église de cette commune, comme ils ont fait par le passé, pour y exercer le culte catholique conformément à la loi, et se servir pour cela du ministère du citoyen Joseph Buret, prêtre catholique habitant de cette commune. 200 L'abbé Buret fit sa soumision à l'évêque d'Agen après le Concordat, et il fut nommé curé de la paroisse de la Bouquerie Saint-Jacques, à Condom, le 3 thermidor an XI. 201 Mais la tradition rapporte que les paroissiens ne l'accueillirent pas favorablement en raison de son attitude pendant la Révolution. Monseigneur Jacoupy le transféra bientôt à la paroisse de Saint-Barthélmy du Pradau, à Condom, tout d'abord supprimée, mais qui fut rétablie sur la demande de la population et du Conseil municipal. 202 L'abbé Buret rendit pour ainsi dire publique sa rétraction par la pénitence qu'on le vit faire avec édification il alla humblement prier tous les jours, pendant un certain temps, à l'entrée de l'église, demandant pardon de ses fautes, avant de pénétrer jusqu'au sanctuaire et prendre possession de son poste. Ensuite, il reprit activement les fonc196. fonc196. Etat-civil de Blaziert et lettre de M. Capuran, instituteur et secrétaire do la mairie de Blaziert, du 10 juin 1897. 197. — Arch. de la de Condom. 198. — Archives de Blaziert. 199. — Ibid. 200. — Ibid. 201. — Tableau de la circonscription des paroisses et de nominationaux cures. 202. — Pièces diverses arch. municip. de Condom. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 185 tions du saint ministère, et il était souvent appelé à prendre la parole dans la chaire des autres paroisses, car il prêchait volontiers. Des malins lui avaient décoché ce quatrain On dit que l'abbé Buret...e Prèche les sermons d'autrui. Moi qui sais qu'il les achète, Je soutiens qu'ils sont à lui. Dès l'année 1821, d'après une lettre de l'abbé Buret communiquée par M. L. Couture, on devait l'aider à monter et à descendre les marches de l'autel pour qu'il put dire la sainte messe. Il mourut curé de Saint-Barthélémy, le 10 février 1823. 203 25. — BUSCA MICHEL. — Busca Michel naquit à Condom, paroisse de Saint-Michel, le 14 septembre 1734 de défunt Marc Busca et de Marie Hélène. 204 Vicaire à Scieurac, de 1768 à 1783, 205 il prend possession, au mois d'avril 1776, d'une chapelle désservie en l'église de Sainte-Eulalie, à Condom 206. Nommé curé de St-Etienne de Fontarède, le 28 septembre 1782, il se démet de cette cure, le 11 décembre suivant. Il devient recteur de l'hôpital général et manufacture de Condom, en 1783. Il est à la fois, en 1784, en même tempo que recteur de l'hôpital, petit prébendier de l'église cathédrale et chanoine de l'église collégiale de Montréal ; mais il ne pouvait conserver ce dernier bénéfice dont il se démet le 18 février de cette année. 207 Son refus de prestation de serment, auquel il était astreint par la loi du 17 avril 1791, le fait remplacer à la fin de cette année comme recteur de l'hôpital. 208 Ses meubles furent confisqués plus tard et vendus le 21 vendémiaire An III. 209 Il prêta le serment du 15 Août 1792 ; de même, il prêta un autre serment prescrit par arrêté du département de la Haute-Garonne dans lequel il s'était momentanément retiré. 203. — Etat-civil de Condom. L'acte de décès lui donne 76 ans. En réalité, il n'avait pas cet âge. 204. — Regist. paroissiaux, aux arch. municip. de Condom. 205. — Regist. de Scieurac, arch. municip. de Condom. 206. — Minutes de Raymond Corne, étude Pellisson à Condom. Nous le trouvons inscrit cette année 1776, sur le registre de Confrérie de Saint-Clair, à la Bouquerie. Arch. de la Paroisse Saint-Jacques de Condom. 207. — Minutes Pugens, étude Ganidel à Condom. 208. - Délibér. municip. des 25 et 26 décembre 1791 arch. municip de Condom. Arrêté du direct du départ des 24 et 27 déc. 1791 et regist. des pétitions du canton de Condom, n° 403 arch. de la 209 .— Arch. du bureau de l'enregistrement de Condom. 186 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. A la fin de germinal An III, il adressa, de Castelsarrasin, une pétition au district de Condom, à l'effet d'être payé du traitement qui lui était dû en qualité de ci-devant bénéficier du chapitre de Condom depuis le trimestre d'octobre 1792 jusqu'à l'époque où la loi avait défendu de cumuler traitement et pension ; mais il ne dut pas obtenir satisfaction. 210 Quoiqu'il en soit, il ne tarda pas à rentrer à Condom où il fut mis en état d'arrestation, après la loi du 3 brumaire An IV par la municipalité devant laquelle il avait d'ailleurs fait, le 1er de ce mois, la déclaration prescrite par la loi du 7 vendémiaire précédent. Busca s'étant présenté devant elle le 14 brumaire et ayant exposé qu'il n'était pas sous le coup de la loi du 3 brumaire à raison de sa prestation des serments susdits, la municipalité considéra qu'il n'avait pas prêté le serment du 26 décembre 1790 en sa qualité d'aumônier de l'hôpital, qu'il s'était constamment séparé des prêtres assermentés et qu'il avait notamment célébré le culte dans des édifices particuliers à l'usage des prêtres insermentés, le renvoya à l'autorité supérieure. Elle le fit donc conduire à Auch à la maison de réclusion. 211 Mais l'administration du département rendit ce prêtre à la liberté par son arrêté du 18 brumaire, An IV. Elle considèra qu'il ne pouvait être soumis à la réclusion attendu qu'il avait prêté le serment de la liberté et de l'égalité. Toutefois, elle le déclara tenu de se présenter à son arrivée à Castelsarrasin devant la municipalité pour être pris par cette dernière telles mesures qu'il appartiendrait ; et comme il avait besoin de se ren dre à Condom pour ses affaires, la municipalité fut invitée à ne pas l'inquiéter et à surveiller néanmoins sa conduite. » 212 Le 23 germinal suivant, la municipalité de Condom qui se trouvait chargée, par l'arrêté du département du 4 de ce mois sur le culte, de faire connaître s'il existait dans la commune des prêtres sujets a déportation ou à la réclusion, délibéra que d'après l'avis de I'administration du département il n'y avait pas lieu de faire arrêter Buscous comme insermenté » malgré l'opinion contraire d'un de ses membres. Toutefois elle ne devait pas l'admettre à prêter le serinent du IV 210. — Registre des pétitions du district de Condom, n° 1415, arch. de la sous-préfecture, et L. 1018 aux arch. dép. du Gers. 211. — Délibération municip. de Condom, 1er et 14 brumaire, an IV. 212. — Registres de pétitions du canton de Condom. n° 14 arch. de la souspréfecture. Lettre du président de l'administration départementale du 25 brumaire an IV arch. de la municipalité. 213. — Délibération municip. des 20 et 23 germinal, an IV. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 187 fructidor An V comme soumis à la déportation et non compris parmi les ecclésiastiques autorisés à rester sur le territoire de la République. République. L'administration centrale le dispensa sur sa demande, le 23 prairial An VII, de se rendre dans la maison de réclusion à Auch, conformément conformément son arrêté du 29 floréal et l'autorisa à rester dans la commune de Condom sous la surveillance de l'administration municipale; municipale; mais il devait être arrêté le 22 thermidor suivant et traduit traduit chef lieu en conformité des ordres transmis à la municipalité par l'administration centrale dans sa lettre du 21 qui prescrivait de faire arrêter et traduire à Auch tous les prêtres insermentés quoiqu'ils fussent dans le cas d'exhiber un arrêté particulier de l'administration centrale qui les mit en surveillance dans la commune. 216 Il fut néanmoins relâché, par arrêté du département du 2 nivose An VIII, sur sa demande et sur l'avis de la municipalité de Condom qui déclara que sa conduite avait été paisible avant son arrestation et qu'elle ne paraissait offrir aucun danger pour la chose publique ». 217 Michel Busca figure sur la liste des prêtres de la commune de Condom Condom sujets à la déportation envoyée au département le 4 pluviose An VIII. Le 1er fructidor suivant il devait prêter le serment de fidélité à la Constitution. 218 Michel Busca mourut à Condom le 18 nivôse an IX. 219 26. — CADEILLAN Joseph. — Cadeillan Joseph, vicaire de Condom en 1791, est nommé curé de Saint-Amand, près d'Eauze, par les électeurs du district de Condom le 25 septembre 1791, à la place de Charles Barbépenne qui avait donné sa démission. Il ne dut pas accepter accepter non plus, car c'est comme vicaire de Saint-Jacques de Condom qu'il reçoit de l'évêque du département, le 24 février 1792, le pouvoir de biner pour la paroisse de Goalard. C'est encore comme vicaire de Saint-Jacques de Condom qu'il est élu, le 29 avril 1792, curé de Noulens. 214. — Délibération du 29 fructidor an V. 215. — Registre de pétitions du canton de Condom, n° 383 arch. de la souspréfecture. 216. — Registre des pétitions, n° 403. 217. — Registre de pétitions du canton de Condom, n° 403. arch. de la sous-préfecture. 218. — Archives départementales du Gers. 219. — Etat-civil de Condom. 188 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Malgré la représentation de l'assemblée qui l'invitait à démontrer par son acceptation le patriotisme qui doit animer tout citoyen français », il refusa atrocement » ce bénéfice, 220 et continua à desservir la Bouquerie et le Goalard jusqu'en 1793. 221 Il reçut l'institution canonique pour la cure de Goalard, le 23 novembre 1792. 222 Il prêta le serment du 14 août 1792 le 30 octobre suivant. 223 Nous n'avons pas d'autres renseignements sur cet ecclésiastique. Peut-être s'enrôla-t-il comme volontaire. Nous pensons dans tous les cas qu'il quitta Condom. 27. — CAILHOUS JULES-ARNAULD. — Cailhous Jules-Arnaud, né à Condom, paroisse de Saint-Pierre, le 21 Février 1732, de Anthoine Cailhous, lieutenant assesseur au présidial, et de Anne-Marguerite de La Chapelle, 224 entra de bonne heure dans la Congrégation de l'Oratoire. Après avoir professé dans notre collège la cinquième, de 1753 à 1755, la quatrième de 1755 à 1757, la troisième en 1757-58 et la seconde en 1757-58, 225 le Confrère Cailhous alla régenter dans d'autres collèges de la Congrégation. Il revint plus tard à Condom où nous le trouvons préfet de pension de 1777 à 1780, et depuis suppléant jusqu'à la Révolution. 226 28. — CAPDEVILLE JEAN-PIERRE. — Capdeville Jean-Pierre, frère cordelier, ne voulut pas quitter l'état religieux à la Révolution et il choisit pour sa demeure le couvent des cordeliers de Condom où il se trouvait encore le 9 mars 1792 ; il avait alors 46 ans. 228 Il prêta le serment du 14 août 1792, le 26 octobre suivant. 229 Nous ne savons pas autre chose de lui. 29. — CARCASSENNE. — Carcassenne, l'un des vicaires de Condom 220. — Procès-verbaux d'élection aux cures arch. de la sous-préfecture. 221. — Il remplaça Cazeneuve comme vicaire à la Bouqurie au mois d'août 1792 ; mais il desservait le Goalard au moins dès le 1er février. Registres, paroissiaux aux arch. municip.. — Voir aussi registre de pétitions du district n°s 429 et 475 arch. de la sous-préfecture. 222. — Registre épiscopal de Barthe. Arch. dép. Gers. 223. — Délibérations municipales. 224. — Registre de Saint-Pierre arch. municip. de Condom. 225. — Registres du collège de l'Oratoire de Condom. Arch. municip 226. — Idem. 227. — Délibérations municipales. 228. — Délibérations municipales. — Voir aussi Règlement du 10 août 1791 et Etat du 3 février 1792 arch. de la sous- préfect. 229. — Idem. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 189 en 1791, prêta le serinent civique prescrit par le décret du 26 décembre 1790. 230 Les électeurs du district de Condom l'élurent curé du Goalard par acclamation le 7 octobre 1792. 231 Nous ignorons ce qu'il devint. 30. — CARRÈRE Joseph. — Carrère Joseph, capucin, né à Casteljaloux, le 5 mars 1747, de François Carrère, marchand, et de Jeanne Fourcade. Il prit l'habit au couvent des capucins de Condom le 6 novembre 1765. 232 Il ne voulut pas quitter la vie religieuse à la Révolution et demanda à venir à Condom où il avait fixé sa demeure dès le 23 novembre 1791 en vertu du décret du 13 février 1790. Il ne put s'y rendre pour cause d'infirmités et le P. Seré, présentait aux officiers municipaux de Condom, le 9 mars 1792, un certificat de municipalité de Saint-Afrique Saint-Afrique attestant son impossibilité de voyager. 233 Il est porté comme assermenté sur un état de 1791 ; toutefois, il est détenu à la maison de réclusion d'Agen, le 6 ventôse An II, avec son frère, cordelier. 234 A suivre BIBLIOGRAPHIE Le Prieuré du Paravis, ordre de Fontevrault 1, par M. l'abbé MARBOUTIN. M. l'abbé Marboutin nous donne une histoire très complète du Prieuré du Paravis, de l'ordre de Fontevreault, situé à deux kilomètres de » Port-Sainte-Marie, dans cette magnifique plaine qui s'étend de la » Garonne aux coteaux de Feugarolles ». La fondation de ce monastère remonte au début du XIIe siècle, elle aurait eu lieu en 1130 et non en 1124 comme l'a prétendu le P. de Mainferme. Il fut peuplé, grâce à la supercherie de l'évêque d'Agen qui fit arrêter un convoi de vingt religieuses de l'ordre de Fontevreault venant du Prieuré de Bragayrac et descendant 230. — Arch. dép. Gers. L. 419. 231. — Arch. de la préfecture 232. — Reg. de profession religieuse arch. du greffe du tribunal de Condom. 233. — Arch. départ. du Lot-et-Garonne clergé, liasse. 234. — Etat des prêtres détenus à Agen, de cette date. 1 Le Prieuré du Paravis, Abbé MARBOUTIN. Agen, imprimerie Moderne 1924, 234 p. 190 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. la Garonne pour se rendre à Fontevreault. Ces religieuses s'installèrent au nouveau Prieuré, l'évêque en informa la Mère Générale qui s'inclina devant le fait accompli. Des donations vinrent enrichir bien vite le couvent; elles furent l'objet, au XIIIe siècle, de contestations nombreuses. Ces difficultés n'arrêtèrent pas l'élan de générosité, les donations continuèrent et la richesse du Prieuré s'accrût de jour en jour. En 1284, le Roi d'Angleterre le plaça sous sa sauvegarde. L'ère des difficultés ne fit que s'accroître au courant du XIV siècle; les religieuses du Paravis eurent des contestations sans nombre avec les Templiers. Les Chevaliers de l'ordre du Temple avaient une Commanderie à Argentein dans le Néracais, ils vinrent bientôt s'établir dans le voisinage du Paravis, au Port-Sainte-Marie. Leurs terres voisinaient celles du monastère, leurs intérêts se confondaient souvent; ce qui entraîna des conflits qui obligèrent les religieuses à implorer le Roi de France contre leurs puissants voisins. En 1304, les daines du Paravis reçurent la visite de l'archevêque de Bordeaux, Bertrand de Goth, qui l'année suivante devait devenir » pape sous le nom de Clément V. » Une bulle du pape Jean XXII, en août 1317, démembra le diocèse d'Agen et créa un évêché à Condom. Le » territoire du nouveau diocèse comprit toute la partie du diocèse d'Agen » située sur la rive gauche de la Garonne. Désormais, le Paravis appar» tenait au diocèse de Condom. » Le Prieuré eut beaucoup à souffrir des guerres interminables qui ravagèrent l'Aquitaine et la Gascogne pendant les XIVe et XVe siècles; ses revenus diminuèrent, sa vie claustrale fut troublée. Après cette tourmente qui prit fin par l'expulsion complète des Anglais en France », les religieuses se mirent courageusement à l'oeuvre pour rendre à leur monastère son ancienne splendeur et à la vie monastique son ancienne austérité. A cette époque, l'Abbesse de Fontevreault jetait les bases d'une réforme de l'ordre et travaillait à des statuts sévères que plus tard le pape Sixte IV approuva. Cette réforme acceptée par de nombreux couvents ne fut introduite au Paravis que pendant l'année 1522. Il fallut pour cela que l'Abbesse de Fontevreault envoyât au Paravis dix-huit religieuses réformées » et des religieux de l'ordre pour leur servir de confesseurs. Ils devaient, selon la règle, vivre en maison séparée. » A leur arrivée, en juillet 1522, la Prieure reçut les religieuses au cloître mais les religieux ne purent prendre possession de leur maison. Elle était fermée. Les anciens occupants étaient partis et l'avaient vidée. On dut recourir à l'autorité civile et prendre un serrurier pour en ouvrir les portes. Dès ce moment, la nouvelle règle fut appliquée au Prieuré qui vit renaître bientôt la prospérité passée. L'abbé Marboutin nous détaille ses ressources, nous donne le chiffre de ses recettes, nous énumère ses dépenses, les restaurations qui sont effectuées au monastère qui avait esté mis en ruine par les Englais ». C'est ainsi que nous apprenons que le 27 septembre 1534 l'évêque de Condom, Mgr Erard de Grossoles vint consacrer l'Eglise remise en parfait état et le grand autel. L'Eglise fut dédiée à Jésus-Christ, à la » Bienheureuse Vierge Marie, à Saint Jean l'Evangéliste, à Saint Benoît DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 131 » et à tous les Saints. Dans l'autel, on mit des reliques de Saint Mathieu » et de huit des onze mille Vierges. » Dans le courant du XVIe siècle, les religieuses du Paravis reçurent des hôtes de marque. M. le Cardinal de Lisieux s'arrêta au Prieuré, en 1541. La reine de Navarre, Marguerite d'Orléans, y séjourna quelque temps en 1546; elle repassa l'année suivante, son passage fut toujours marqué de grandes libéralités. Quelques années plus tard, après les guerres de Religion qui obligèrent les religieuses à abandonner leur monastère détruit par les mains des fanatiques, Catherine de Médicis vint plusieurs fois visiter le Paravis pendant son séjour dans nos contrées. Sa fille Marguerite de Valois, reine de Navarre, aimait aussi à aller se reposer dans ce monastère où elle fit ses dévotions dans la journée du Jeudi Saint 1580. Elle voulut être la protectrice de ce couvent. Elle obtint du roi de Navarre des lettres de sauvegarde pour le Prieuré et l'autorisation de mettre ses armes à l'entrée de la maison ». A la fin du XVIe siècle, et durant le XVIIe, les guerres civiles firent rage » autour du Prieuré, elles se succédaient sans trêve. C'était la Ligue, c'était la Fronde avec Condé et le comte d'Harcourt. Les Religieuses, Religieuses, prendre parti pour personne imploraient tantôt les princes, tantôt les lieutenants du Roi, obtenant de chacun des lettres de sauvegarde et de protection, ayant pour seuls soucis la prière, la charité et la restauration de leur monastère rendu presque inhabitable et ouvert à tous les vents » à la suite de l'incendie et du pillage de 1569. Les diverses Prieures, placées à cette époque à la tête du Paravis, dont les noms appartiennent aux familles les plus illustres de Gascogne, les Monluc, les Galard-Terraube, les Roquepine, les Xaintrailles, les Grossoles, les Saint-Géry de Maignas s'occupèrent constamment du rétablissement du Prieuré; elles n'eurent d'autres préoccupations que sa prospérité et sa bonne renommée. Mais, hélas au XVIIIe siècle, des vicissitudes sans nombre frappèrent le couvent du Paravis. Tout d'abord, les difficultés pécuniaires surgirent; il fallut vendre des rentes pour pouvoir subvenir à la nourriture et à l'entretien de la communauté. Elles furent, bientôt après, suivies de difficultés plus sérieuses, encore provoquées par le relâchement de la discipline. Ce fut à cette époque que des incendies répétés du monastère et de ses dépendances allumés par des mains criminelles, vinrent mettre en émoi les religieuses du Paravis et troubler le recueillement de ce lieu de prières. Les religieuses effrayées, craignant pour leur vie, demandent à l'autorité ecclésiastique de livrer à la justice régulière la soeur converse convaincue des premièrs incendies, persuadées qu'à la torture elle livrera les noms de ses complices. Mais l'autorité régulière temporise, elle consulte l'Abbesse de Fontevreault, craind le discrédit que cette triste affaire fera rejaillir sur l'Ordre et s'efforce de la conserver sous sa juridiction. Mais un vent d'indiscipline souffle sur la communauté, les religieuses sont très surexcitées, plusieurs d'entre elles apparentées à des membres du Parlement de Bordeaux s'adressent directement à lui pour les défendre. Il intervient et bientôt la soeur converse fut livrée au bras séculier et celle qui était soupçonnée d'être sa complice rentrait chez elle et obtenait l'obédience pour un mois ». Les premiers juges furent favorables à la religieuse; ses compagnes, inquiètes, firent appel de la 192 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. sentence devant le Parlement de Bordeaux. Cette triste affaire traîna de longues années devant le Parlement. L'abbé Marboutin ignore quel fut le jugement définitif. Après cette période agitée, l'ordre et la discipline régnèrent à nouveau pendant quelque temps au Paravis; à la tête du monastère, se trouvait alors une femme supérieure, Marie-Louise de Valence, qui fut plus tard Abbesse de Fontevreault, une de ses compagnes, comme elle femme éminente, Anne de Grossoles de Flamarens eût aussi l'honneur d'être nommée grande Prieure de Fontevreault. Le couvent fut plus tard témoin d'une affaire scandaleuse d'empoisonnement dont l'auteur et la victime étaient deux soeurs converses du Paravis. Les Prieures firent ensuite de louables mais d'inutiles efforts pour ramener le calme dans l'esprit de leurs filles et pour rendre à leur maison sa splendeur passée. Ses jours étaient comptés. On était à la veille de la Révolution qui allait emporter avec elle le Prieuré du Paravis. Le 3 août 1790, la direction du district de Nérac procéda à l'inventaire des biens, meubles et immeubles du couvent. Il comptait alors 22 religieuses de choeur et 13 soeurs converses. La vente des immeubles eut lieu quelques mois plus tard, les religieuses quittèrent ensuite leur monastère; le 1 octobre 1792 le vieux prieuré Fontevriste du Paravis n'existait plus. » M. l'abbé Marboutin a consacré un chapitre de son livre à la description archéologique du Prieuré ; il a fait cette description avec le soin méticuleux et la science qui le caractérisent. Nous ne devons pas perdre de vue que si l'auteur est un historien scrupuleux, il est aussi et surtout un archéologue consciencieux et averti. Un plan dessiné vers la fin du XVIIIe siècle et qu'il a eu le soin d'encarter dans l'ouvrage lui a permis de reconstituer tout l'ensemble du monastère » et de nous décrire son Eglise, son Cloître et les diverses salles qui les accompagnaient. L'Eglise composée d'une nef de quatre travées, d'un choeur plus étroit et d'une abside » remonterait au XIIe siècle, à la fondation du prieuré. L'auteur apporte quelques modifications à une description antérieure de l'Edifice due à G. Tholin. Il nous signale dans les murs de la travée du fond où se trouvaient les Orgues, la présence de pots acoustiques destinés, si l'on en croit Viollet le Duc à augmenter la sonorité des Eglises. C'est la première fois que ces pots de résonnance sont signalés dans notre pays. » La description de l'Eglise est suivie de celle de son mobilier ; l'auteur s'étend complaisamment sur le maître autel et son rétable, sur l'autel et le rétable de la chapelle de Sainte Innocente. Le premier fut commandé le 18 avril 1629 par Rose du Bouzet de Roquepine, Prieure du Paravis, à Innocent Cochoy, menuisier, nâtif de Paris et à Gaspard Dousset, sculpteur de Verdun en Lorraine; la mère prieure, Henriette de Montferrant commanda le second à Jean Galau, sculpteur d'Agen qui l'exécuta en 1730. Ces deux monuments, dont les excellentes gravures ornent les pages du livre de M. l'abbé Marboutin existent encore de nos jours. Ils sont classés comme monuments historiques. Le premier sert de martre-autel DEUXIÈME TRIMESTRE 1923. 193 à l'église de la Montjoie, Lot-et-Garonne, le second remplit le même rôle dans l'église de Ligardes, Gers. Le Cloître, vaste et spacieux était attenant à l'église; il était d'une élégante simplicité »; il voisinait avec la salle capitulaire, la cuisine, l'office, le bucher et était surmonté d'une galerie formant un cloître supérieur. C'est là que se trouvaient les cellules des religieuses, l'infirmerie, la pharmacie et l'accès du clocher. » M. l'abbé Marboutin n'a rien voulu laisser dans l'ombre dans l'histoire du Prieuré du Paravis; il a jugé nécessaire de compléter son récit par des notes prises au courant de ses recherches concernant les paroisses dépendantes du monastère. Ce chapitre inattendu peut surprendre tout d'abord le lecteur, mais il s'aperçoit bien vite qu'il était nécessaire pour parachever l'oeuvre si dignement commencée. Dix-huit paroisses sont ainsi passées en revue. Plusieurs existent encore de nos jours, d'autres ont disparu; il a fallu à M. l'abbé Marboutin toute la patience et la volonté obstinée du chercheur pour identifier quelques-unes d'entre elles. L'auteur nous indique comment les religieuses sont devenues propriétaires dans ces paroisses, les donations qu'elles ont reçues, les achats qu'elles ont faits, les échanges consentis, leurs contestations, leurs accords, la nature et le prix des dîmes prélevées. Nous connaissons grâce à lui le nom de leurs fermiers, le montant, la durée et les conditions quelquefois curieuses de ces fermages. Les fermiers de la dîme des oignons de la paroisse de Meneaux payaient 140 livres argent, 300 cordes d'oignons, 100 à trois branches, 100 à deux, 100 de doublères et 6 corbeilles de degrun oignons sans queue » Ce chapitre nous montre d'une façon très précise les diverses possessions du Paravis. M. l'abbé Marboutin termine son remarquable travail par la liste des Prieures qui se sont succédées à la tête du monastère et où nous retrouvons comme je l'ai dit plus haut, plusieurs noms de nos grandes familles gasconnes. Je viens de résumer bien parfaitement et à grands traits l'histoire du Paravis si bien étudiée par M. l'abbé Marboutin. Notre ami n'a rien oublié, rien n'a échappé à ses longues investigations. Il a suivi pas à pas l'évolution de ce Prieuré depuis le jour de sa fondation, qu'il a rectifiée, jusqu'à sa fermeture définitive à l'époque de la tourmente révolutionnaire. Sa documentation est des plus sûres, ses renseignements sont puisés aux sources les plus certaines et les plus variées qu'il nous indique, chemin faisant. Son travail de longue haleine est plein d'érudition et de détails précieux; écrit d'une plume alerte et châtiée, sa lecture est agréable et facile. Le travailleur sera charmé par ce livre orné de belles gravures et de riches culs de lampe. Je me permettrai d'adresser timidement une bien légère critique à l'oeuvre de mon ami ; je lui reprocherai d'entrer quelquefois dans des détails qui sont des hors d'oeuvres, des à-côté de la question. Est-ce un défaut? Je n'ose le dire, les travailleurs me le reprocheraient avec raison, car dans ces menus détails, pleins d'érudition, ils trouveront à satisfaire leur curiosité. L'Académie Nationale des Sciences, Lettres et Arts de Bordeaux 194 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. s'est montrée de cet avis en décernant en 1922 à M. l'abbé Marboutin, son prix Brives-Cazes, pour ce beau livre Le Prieuré du Paravis, publié sous les auspices de la Société Vesins-Tournié. Sa lecture intéressera les travailleurs Gascons ils trouveront dans ces pages de renseignements utiles sur l'ancien diocèse de Condom, sur ses évêques qui jouèrent un certain rôle dans l'histoire du Prieuré; ils rencontreront fréquemment des noms qui leur sont familiers, enfin ils pourront puiser à pleines mains dans cet ouvrage des matériaux précieux pour leurs chères études. Dr de SARDAC. DEUXIÈME TRIMESTRE 1924. 195 CHRONIQUE. SÉANCE DU 7 AVRIL 1924. PRESIDENCE DE M. MONLAUR, VICE-PRESIDENT. Sont admis à faire partie de la Société M. l'abbé COUZIER, curé de Merville Haute-Garonne, présenté par MM. D. Monlaur et Chauvelet ; M. DUPUY Raoul, chef adjoint du cabinet civil du maréchal Lyautey, présenté par MM. Henri Carrère et de Sardac ; M. H. COURTADE DE MOUSSARON, présenté par MM. le comte de Russel-Killougt et le comte de Pins ; M. LABADENS présenté par MM. Astuguevieille et Chauvelet. La société archéologique du Gers proteste contre l'usage qui est fait du nom de Gascogne par certaines organisations complè tement étrangères à notre ancienne province dans un but de publi cité intéressée. N'est vraiment gascon que ce qui est compris sur le territoire de cette antique Gascogne dont le nom a été popularisé, glorifié par l'histoire, la littérature et la légende. D'autre part, ni Toulouse, ni Bordeaux, ne peuvent en vérité se dire capitales de la Gascogne, ce titre appartenant d'une manière incontestable à la ville d'Auch qui fut toujours le chef-lieu de la province avant de devenir le chef-lieu de l'intendance. Qualifier de gascon ce qui ne saurait l'être aucunement cons" titue une usurpation de titre en même temps qu'une fausseté historique contre lesquelles la société archéologique tient à élever une ferme protestation. » 196 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. M. LACOMME, conservateur du Musée d'Auch, a présenté de très intéressantes observations sur un sarcophage qui se trouve au château de Mazères, près de Barran. Ce tombeau, un des plus beaux du genre, avait été élevé à la mémoire de son épouse, par l'orateur Fronto, maître de Marc-Aurèle. Il était primitivement à Eauze où il fut découvert à la fin du XVIIe siècle ; l'archevêque Labaume de Suze qui occupait alors le siège d'Auch le fit transporter dans son château de Mazères. M. Lacomme place sous les yeux des assistants une excellente photographie du sarcophage. Après lui, M. BARRIÈRE-FLAVY entretient la société du fameux capitaine Sus qui se rendit tristement célèbre dans la Gascogne à l'époque des guerres de religion. Après avoir guerroyé contre la reine de Navarre, il devint un de ses plus chauds partisans et se monArmagnac, chef ligueur et catholique. Gouverneur du château de Mauvezin en Nebouzan, le capitaine Sus combattit à Solomiac, à Samatan, à Gimont, à l'Isle-Jourdain et il se livra à de regrettables excès lors de la prise de St-Bertrand de Comminges. Avant de lever la séance, la société décide en principe qu'une excursion sera organisée dans le courant du mois de mai. Le Gérant COCHARAUX. COMMUNICATIONS. UN APOTRE JACOBIN PIERRE-NICOLAS CHANTREAU PROFESSEUR, JOURNALISTE, AGENT SECRET 1741-1808 PAR M. G. BRÉGAIL Suite. De retour à Paris, Chantreau ne tarda pas à renoncer définitivement à sa situation de fonctionnaire du comité d'instruction publique. Sa santé se trouvait ébranlée par les voyages, les études, les fatigues du professorat et l'agitation des grandes villes. La nécessité de changer de climat, l'attrait du beau ciel du Midi et le désir de vivre en famille le déterminèrent vers la fin de l'année 1793 à se fixer au coeur même de la Gascogne, à Castéra-Vivent, où habitait sa soeur, qui était mariée à un gentilhomme campagnard. 69 Castéra-Vivent, aujourd'hui Castéra-Verduzan 70, est un coquet petit bourg du haut Armagnac situé au creux d'un riant vallon. Ses maisons blanches bordent sur quelques centaines de mètres la grand'route qui, traversant la Gascogne mettait jadis en communication directe les deux importantes métropoles méridionales, Toulouse et Bordeaux. Tout autour s'étendent de fraîches prairies encadrées de haies vives que jalonnent des peupliers et des saules. Un modeste ruisseau, l'Auloue, s'y déploie en de gracieux méandres et roule ses 69 Marie-Hélène Chantreau, épouse de Jacques-Roger de Séris, mourut à Castéra-Verduzan, le 1er jour complémentaire de l'an VIII 18 septembre 1800. — Registre de l'état-civil de cette commune. 70 Commune de l'arrondissement de Condom, située à 24 kilomètres au nord d'Auch. 13 198 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. eaux tantôt en petites nappes d'eau verte, tantôt avec la bruyante impétuosité d'un torrent. En été, ses maisons aux toits rouges s'abritent des rayons ardents du soleil de Gascogne un épais rideau de platanes et de marronniers que perce la flèche tapissée d'ardoises d'un clocher pyramidal. Le site ne manque pas de charme; mais le principal mérite de Castéra-Verduzan est constitué par des sources thermales exploitées depuis la plus haute antiquité et dont la valeur thérapeutique a été de tous temps très appréciée par les hydrologues et les médecins les plus éminents. Sur les conseils de Raulin, son médecin ordinaire, Louis XV y fit élever un bel établissement thermal qu'on a modernisé tout récemment, mais sans succès. En effet, Castéra-Verduzan qui fut pendant plusieurs siècles le Vichy et le Contrexéville du sud-ouest de la France, se voit préférer aujourd'hui les pittoresques et mondaines stations des Pyrénées. Or, à l'époque où Chantreau vint y résider, Castéra-Verduzan était au contraire en très grande faveur auprès du public. C'était l'âge d'or pour les heureux habitants de ce petit pays. Dès le mois de mai, les lourdes diligences y déposaient chaque jour un certain nombre d'étrangers qui venaient lui demander du repos et de la santé. La pureté de l'air, la douceur du climat, les effets bienfaisants des eaux thermales, les promenades champêtres, les longues causeries sous les frais ombrages du parc et les soins affectueux de ceux qui l'entouraient eurent une influence des plus heureuses sur la santé de Chantreau. Le calme et réconfortant séjour de Castéra-Verduzan lui parut délicieux et durant plusieurs mois il s'abandonna avec une sorte de volupté au charme, nouveau pour lui, de la vie provinciale. Mais comment son activité intellectuelle auraitelle trouvé dans ce modeste bourg un aliment suffisant ? La fièvre de l'action le reprit, encore accrue par l'écho des graves événements qui agitaient le pays. De toutes parts, la vieille France s'écroulait et la France nouvelle s'édifiait tragiquement sur ses ruines. Le département du Gers était en état d'active fermentation révolutionnaire et du fond de sa retraite, Chantreau en suivait les phases avec une attention TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 199 passionnée. A cette heure, les administrateurs du département s'inquiétaient de l'hostilité des prêtres et de lenteur lenteur progrès de l'esprit public » dans les campagnes. Selon eux, trop de paysans gascons acceptaient d'une manière passive la révolution, mais ne faisaient rien pour en favoriser le développement. Une nécessité impérieuse s'imposait, pensaient-ils; celle de secouer leur inertie, de les instruire, de leur communiquer la foi révolutionnaire, cette foi agissante qui hurle contre l'ancien régime, qui dresse la guillotine et qui se rue, farouche, sur les ennemis de la France, foi cruelle et sanglante pas instants, mais foi sublime aussi et qui engendre de patriotiques miracles. Or, quel levier sera donc assez puissant pour relever tous ces esprits penchés obstinément vers la glèbe et alourdis par des siècles d'ignorance et de passivité résignée ? Les administrateurs du Gers attribuent ce pouvoir à la presse périodique; en conséquence ils décident la création d'un journal de propagande révolutionnaire et antichrétienne qui pénètrera au coeur des campagnes jusque dans les foyers les plus reculés. 71 Un obstacle surgit la difficulté de trouver un rédacteur. C'est que, parmi les révolutionnaires gersois, les hommes à talents » sont rares ; tous ceux que l'on connaît sont déjà utilisés dans l'armée, les administrations au l'enseignement public. Or, le premier janvier 1794, le directoire du département du Gers étant en séance, le président informa ses collègues qu'un citoyen de Castéra-Verduzan, dont on vantait beaucoup le patriotisme, l'intelligence et le savoir offrait de rédiger un journal, tout entier consacré à l'instruction du peuple, et qui paraîtrait trois fois par décade, sous l'unique condition que l'administration départementale payerait tous les frais. Le directoire accepta le concours de ce patriote distingué et généreux, qui, on le devine, n'était autre que Chantreau. 71 En janvier 1793 ils avaient abonné toutes les municipalités du département à la Feuille villageoise » au prix réduit de 8 livres par abonnement. La dépense annuelle était de livres. Plus tard, dans ses séances des 25, 26 septembre, 10, 11 octobre 1793, le directoire décida de ne pas renouveler l'abonnement à la Feuille villageoise » et de créer un journal spécial au département du Gers. — Cf. Archives du Gers. I. 117. 200 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Le premier numéro du journal parut dans le courant du mois sous la forme d'un fascicule de trente-deux pages, format petit-in-8°. 72 Il portait le titre suivant Les document de la raison, 73 feuille anti-fanatique publiée par le citoyen Chantreau aux frais de l'administration du département du Gers dont la première sollicitude est l'instruction de ses frères des communes et des campagnes ». Et comme épigraphe ces deux vers de Voltaire Les prêtres ne sont pas ce qu'un vain peuple pense; Notre crédulité fait toute leur science. » La nouvelle gazette populaire s'éditait à Auch et les communications la concernant devaient être adressées au citoyen Cazaux, secrétaire général de l'administration départementale. Son apparition souleva la colère ardente du clergé et réjouit les bourgeois jacobins; mais elle eut peu d'influence sur l'esprit des villageois et des paysans à qui elle s'adressait d'une façon particulière. Toutefois, les Documents de la Raison attirèrent sur Chantreau l'attention du public lettré de la région. Dès le second numéro il inaugura son apostolat en commentant les mots les plus usités du vocabulaire de la Révolution liberté, loi, république, citoyen, patriote, dont il importe, déclarait-il, de bien connaître la valeur. D'après lui, la liberté est la prérogative de n'obéir qu'à la loi qu'on a consentie soi-même ou qui a été consentie par un mandataire. Il démontre que les arrêtés des représentants du peuple en mission ont force de loi, bien qu'ils émanent d'un seul homme, parce que ces représentants font partie de la Convention, qu'ils sont investis de ses pouvoirs et qu'ils agissent de concert avec elle. Il adjure ses lecteurs de respecter 72 Le numéro 2, écrit M. Aulard, ne doit pas être antérieur à pluviôse an II, c'est-à-dire à la fin de janvier 1794, moment où la bataille contre le christianisme, calmée à Paris, est encore ardente en province. Il est probable que cette publication paraissait irrégulièrement et qu'elle cessa dès la fin de thermidor. » — A. AULARD, le culte de la Raison et de l'Etre suprême. — Paris, 1909, Alcan, éditeur. 73 Archives nationales. TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 201 profondément ce saint nom de liberté », puis il s'écrie avec enthousiasme Oui, la génération qui nous succèdera sera toute républicaine, prononcera ce saint nom avec plus de respect que nos aïeux ne prononçaient, que nos dévôts d'aujourd'hui ne prononcent les noms que leurs prêtres prétendent être d'essence divine. Ils vous faisaient fléchir le genou devant d'insignifiantes représentations que vous avez abattues parce qu'elles vous déshonoraient devant l'Etre suprême qui ne vous a pas doués de la raison pour la dégrader. En rougissant de cette absurde idolâtrie, vous n'aurez plus qu'une seule image qui sera chère à votre coeur, ce sera le bonnet de la liberté qui couronne l'arbre au pied duquel les bons citoyens se rassemblent pour s'embrasser en frères et se féliciter d'être libres. Pour expliquer les divers sens du mot citoyen, Chantreau déclare s'inspirer de Rousseau. D'ailleurs il prie le lecteur de se reporter au Contrat social », livre premier, chapitre six, puis il ajoute malicieusement Je ne donne cette indication que pour les gens qui savent lire et pour ceux qui comprendront ce qu'on entend par savoir lire; le nombre en est petit aujourd'hui, parce que la génération présente s'est élevée au milieu de l'esclavage et que son éducation a été dirigée par des esclaves tonsurés qui étaient bien loin de se douter de celle qu'on doit donner à des hommes libres, ou qui, quand ils l'auraient connue, se seraient bien gardés de la leur donner parce que leurs intérêts s'y opposaient... Mais grâce te soit rendue, céleste raison ! grâce à toi, les hommes qui l'ont reçue cette éducation perverse, en rougissent aujourd'hui... Ils pleurent leur ignorance ! » Le Patriote est un homme libre qui sacrifie l'intérêt particulier à l'intérêt général et rapporte toutes ses actions à ce dernier. Il n'a pour religion que la loi. Faux patriote, celui qui veut la contrarier ou même l'atténuer ; mauvais patriotes les prêtres qui suscitent des émeutes dans les campagnes parce qu'ils mettent criminellement leur intérêt particulier à la place de l'intérêt général; mauvais patriote aussi celui qui enfreint la loi du maximum. Cela dit, notre gazetier officiel s'efforce de démontrer 202 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. que le culte de la raison est calomnié par les prêtres et il va dire en quoi consiste ce culte. Auparavant il importe, dit-il, de définir ce qu'on entend par l'Etre suprême » qu'il ne faut point confondre le Dieu des prêtres. C'est l'intelligence infiniment parfaite qui a organisé l'univers et les lois immuables qui font mouvoir les millions de mondes lancés dans l'espace. Sa qualité unique, sa qualité essentielle est d'être ami de l'ordre. Or, le culte de la raison n'est autre chose que l'hommage rendu à l'ordre établi par l'éternelle sagesse, culte qui n'exige et ne prescrit à l'homme que les vraies vertus, c'est-à-dire celles qui sont nécessaires à son bonheur et à celui de ses frères. Cette éternelle sagesse, cette intelligence supérieure, a gravé dans le coeur et dans l'esprit de l'homme les règles qu'il doit observer pour ne point troubler l'ordre établi. C'est la conscience et c'est la morale qui en découle, elle dit à tous Chéris ta patrie et respecte les lois, parce que l'amour de la patrie est la première des vertus et que tu es sous la sauvegarde des lois; elles veillent quand tu dors. Respecte celui qui t'a donné le jour, aies soin de sa vieillesse, console ses chagrins. Respecte la propriété de ton voisin, son champ, ses fruits, ses bestiaux et tout ce qui est à lui parce que tu ne voudrais pas qu'on attentât à rien de ce qui est à toi. Respecte ses jours et sa réputation, parce que tu veux qu'on respecte tes jours et ta réputation. Respecte son épouse chérie, respecte les filles qu'il élève pour être mères, parce que tu veux qu'on respecte ton épouse et tes filles. Soulage-le dans ses besoins, secours-le dans l'infortune parce que tu attends de lui les mêmes soins. Fais-lui en un mot tout ce que tu voudrais qu'il te fît. Elle dit, voilà tous tes devoirs, les seuls que tu aies à remplir; tout autre précepte est une erreur; je ne l'ai point inscrit dans ton coeur, donc c'est le mensonge ou l'intérêt de tes prêtres qui te le commandent par exemple, on te prescrit le jeûne, il est contre nature ; on te prescrit l'abstinence des viandes en certains jours, elle est puérile; et moi je ne t'invite qu'à la tempérance parce qu'elle est la dignité de l'homme. On te parle de mystères, de dogmes que tu ne comprends pas et auxquels par conséquent tu ne dois ni ne peux raisonnablement TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 203 croire sans te rendre indigne de l'éternelle sagesse qui t'a doué de la raison, qu'une croyance absurde dégrade; car croire c'est être persuadé, et comment être persuadé de ce qu'on ne comprend pas; cette croyance aveugle n'est qu'une imbécile crédulité. 74 Chantreau n'est donc pas athée comme Diderot. Toutefois il se rapproche de lui lorsqu'il affirme que la religion est d'invention humaine et qu'être bienfaisant est la seule obligation morale. Avec Nicolas Boulanger dont il a lu les ouvrages il voit l'origine des idées religieuses dans les terreurs dont les grands cataclysmes de la nature ont frappé l'esprit des hommes. Comme règle de conduite il n'admet que les grand principes communs à toutes les confessions, ceux qu'on retrouve dans toutes les morales comme on retrouve les mêmes traits sur toutes les faces humaines. Telle est la doctrine du gazetier officiel du département du Gers. C'est, déclare M. Aulard, la religion naturelle de Rousseau et le Dieu de Chantreau, comme celui du vicaire savoyard, réside dans la conscience. Un pas de plus et il dirait avec tel disciple de Jean-Jacques Dieu, c'est la conscience même; Dieu, c'est la loi morale. Littéralement, il est avec Rousseau, avec Robespierre, Mais l'esprit de sa doctrine est plutôt voltairien, encyclopédique. Rousseau et Robespierre, aiment, admirent le christianisme, et, au fond, ne songent qu'à l'épurer, qu'à restaurer l'Evangile corrompu par les prêtres... Il ne s'agit pas pour le rédacteur des Documents de rajeunir le christianisme, de l'adapter au siècle, mais de le détruire. En cela il se rapproche d'Hébert. Comme Hébert, Chantreau sonne le tocsin de la raison » contre le christianisme et contre les prêtres. Comme Hébert, il se réclame de Voltaire, dont il est plein. Mais il évite les grossièretés voulues du Père Duchesne, et s'il attaque la religion par l'arme du ridicule, c'est toujours avec une verve d'honnête homme qui a lu Candide. » 75 Ainsi écrit-il Quel mal fais-je quand, un vendredi ou un jour de prétendu absti73 absti73 de la raison, N° 3, pages 39 et suivantes. 75 A. AULARD, Le Culte de la raison et de l'Etre suprême, ouvrage déjà cité 204 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. nence, je mange une côtelette au lieu d'une omelette; quand je ne crois pas qu'il faille fléchir le genou devant saint Pancrace ou sainte Félicité; quand je ne crois pas que trois ne font qu'un; quand je ne crois pas faire une bonne oeuvre en allant tous les huit jours entendre entendre latin à un homme qui gesticule devant une table carrée, y boit un coup, se retourne pour me parler latin, me salue et s'en va. 76 Après avoir exposé sa doctrine, Chantreau s'attaque vigoureusement au Dieu du christianisme et il reproche à ses prêtres de l'avoir fait à leur image et modelé sur leurs passions Vous l'avez fait injuste, emporté, vain, jaloux, Séducteur, inconstant, barbare comme vous. » Injuste parce que vous avez annoncé qu'il s'était choisi un peuple par prédilection sur tous les autres, tandis que la raison vous dit qu'il est le père commun des hommes; Emporté, par les traits que vous lui imputez dans l'histoire juive que vous appelez l'Ancien testament; Vain, par le culte que vous prétendez lui être agréable; Jaloux, parce que vous le lui faites dire à lui-même et que vous le prouvez par votre intolérance; Séducteur, par les promesses illusoires que vous lui faites faire et la conduite que vous lui faites tenir dans la fable d'Eve; Inconstant, parce que votre Moïse vient annoncer une religion de sa part qu'il donne pour vraie, et que Jésus vient en annoncer une autre qui abolit la première; Barbare, parce que vous avez avancé qu'il punirait le crime du père jusque dans la septième génération. La morale dont l'Evangile est paré ne saurait appartenir en propre à ce Dieu, ajoute Chantreau. Socrate la prêcha en Grèce, Caton dans Rome et les Ebionites la pratiquèrent dans Jérusalem longtemps avant Jésus. On ne la trouve pas exclusivement dans l'Evangile; elle est aussi dans le Coran, l'Evangile des Infidèles, dans le Veidam, l'Evangile des brahmines et dans le Livre des rabbins. Elle a été adoptée par les luthériens, les calvinistes et les quakers. Dans une violente diatribe, Chantreau reproche aux prêtres d'avoir violé cette morale en ordonnant le massacre des Albigeois, en se réjouis76 réjouis76 de la raison, N° 4, page 56. TROISIÈME ET QUATRIEME TRIMESTRES 1924. 205 sant des horreurs de la Saint-Barthélémy, en provoquant des luttes fratricides chez les Irlandais, en soulevant la Vendée et en portant leurs fidèles à s'armer contre les autorités constituées. il ajoute Pourquoi, si votre morale est si pure et si vous n'êtes que les apôtres de la vérité, avez-vous été forcé de l'appuyer de fraudes et de tours de charlatans ? Pourquoi ces crucifix qui suent ou pleurent et dans l'intérieur desquels on trouve des canaux pratiqués ? Pourquoi ces reliquaires auxquels vous attribuez des vertus ? Pourquoi ces miracles qui n'ont de témoignage que le vôtre ou celui de ceux qui ne voient que par vos yeux ? Pourquoi prétendez-vous commander aux éléments ? Pourquoi,... et ce qui est la dernière absurdité que l'homme ait pu concevoir, osez-vous avancer que vous mangez réellement votre Dieu, et qu'à ce repas cannibale vous invitez vos frères ? 77 Le culte de la raison, poursuit l'implacable et ardent pamphlétaire, est la première religion du monde. Chez elle, tout est lumière, car elle prescrit aux hommes de se conduire d'après les principes que la raison a inscrits dans leur coeur; chez les autres tout est obscurité, mystère, emblèmes, figures, suppositions. C'est un labyrinthe. L'homme y est guidé par des fourbes » qui exigent de lui de marcher en aveugle dans des sentiers qu'eux seuls ont le pouvoir de frayer. On conçoit l'indignation et la colère que souleva dans le clergé un langage aussi nouveau et aussi agressif. Chantreau en perçut les échos menaçants; mais il ne se laissa ni intimider ni décourager; aiguillonné tout au contraire par la haine de ses adversaires, il multiplia ses attaques et les brava Je prie messieurs les ci-devant curés qui trouveront à propos de m'adresser des injures comme quelques-uns ont déjà fait, de vouloir bien me les faire parvenir franches de port. 78 Quelques jours après, il ajoute D'une main courageuse, j'oserai déchirer le voile imposteur dont les prêtres ont couvert les préjugés les plus absurdes. Calomnies, injures, dédains, rien ne me détournera de ce projet. 77 Documents de la raison, N° 3, page 46. 78 Documents de la raison, N° 3, page 48. 206 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Inlassable, il continue en effet sa campagne de déchristianisation en essayant de ruiner la croyance aux miracles. Dans les numéros qui suivirent il commenta les Vingt-cinq préceptes de la raison. Ces préceptes, les voici I. — La nature entière t'annonce un Créateur; adore-le il est partout, partout il t'entendra. II. — Les merveilles qui t'environnent, voilà ses ministres ; n'en connais point d'autres ; ceux-là te parleront toujours vrai. III. — A ta conscience seulement tu confesseras tes fautes; elle seule parle franchement, elle seule peut t'absoudre. IV. — Aux miracles, aux sortilèges ne crois pas. Méfie-toi de toute caresse perfide des prêtres imposteurs, de tous les ci-devant grands ennemis de la république. V. — Observe de point en point la loi de ton pays et jamais tu n'erreras. VI. — Après ton Créateur aime ta patrie par dessus-tout; elle seule doit fixer tes pensées, diriger tes actions. Ton sang est à elle. VII. — Après la patrie tu aimeras et chériras comme toi-même, ton père et ta mère; tu leur dois respect et soumission s'ils sont républicains sic; avant toi tu leur dois les besoins de la vie et soulagement dans leur vieillesse honore-les, voilà ton devoir. VIII. — La liberté, voilà la devise du bon citoyen; elle est la récompense des vertus civiques. IX. — L'égalité voilà ton patrimoine. X. — Jure haine éternelle et guerre à mort aux tyrans et aux vils despotes. XI. — Aux traîtres, aux parjures, aux ennemis de la patrie, ne donne point asile si tu ne veux être coupable de leurs crimes. XII. — Quand la patrie est en danger, lâchement ne te cache pas; montre-toi le premier et à découvert; en combattant pour elle tu combats pour toi. XIII. — En vrai républicain surveille les ennemis de la liberté; déjoue les complots séditieux; dénonce les conspirations ; courageusement arrête les parricides et livre-les à la justice des lois. XIV. — Protège ouvertement envers tous et contre tous l'innocence opprimée; n'écoute ni haine, ni ressentiment, ni passion; pardonne aisément si tu veux qu'on te pardonne; aies en horreur la médisance et souviens-toi qu'un calomniateur est le plus grand des criminels. XV. — Tout mortel républicain est ton frère; tends-lui toujours la main avec candeur éclaire-le dans ses égarements, cache soigneusement ses fautes; retire-le de la mauvaise route et dis-toi toujours TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 207 je suis homme, rien de ce qui intéresse un homme ne m'est étranger. XVI. — Fuis l'envie, la jalousie, l'ambition et l'intrigue si tu ne veux point commettre de bassesses. XVII. — Ne sois point méchant; aime ton prochain comme toimême, rends-lui service et soi bienfaisant; ne fais pas à autrui ce que tu ne veux pas qu'on te fasse; et dans la pratique de ces vertus, tu trouveras ta récompense. XVIII. — Sois réservé dans tes paroles, sois réfléchi, déteste le mensonge, aime la vérité, fuis la violence, la colère; que ton coeur dicte tes serments si tu ne veux pas commettre d'inconséquences. XIX. — Sois franc, désintéressé, sans détour et tes actions seront pures et sans reproches. XX — Souviens-toi que l'agiotage, l'accaparement et l'égoisme sont des vices capitaux. XXI — Méprise la richesse, c'est l'apanage des sots; sois content de ton sort, n'envie point celui d'autrui, ni la fortune de ton voisin. N'emprunte pas si tu ne peux pas rendre; ce qui est à un autre n'est pas à toi; déteste l'avarice, l'usure, la paresse si tu ne veux être méprisé et vivre honteusement. XXII. — Sois charitable, soulage l'humanité souffrante; que la veuve, que l'orphelin trouvent en toi un défenseur ; protège femme, enfants et regarde tout vieillard avec vénération. XXIII. — Toi, vieillard, prêche et instruis la jeunesse, et toi, femme, reste dans ton ménage, veille à la conservation de tes enfants, ils appartiennent à la patrie. XXIV. — Sans-culotte républicain, à tous tes frères tu dois le bon exemple et des faits qui les persuadent ; traite-les avec douceur et chéris-les constamment; à ta femme, à tes enfants et à ta famille, avec aménité, inspire les vertus sociales et républicaines; sois bon père, bon mari, bon fils, tu seras digne d'être libre et la patrie t'aimera. XXV. — Souviens-toi enfin que la Montagne, centre des vertus, est le point de ralliement de tout bon citoyen; tu lui dois hommage, vénération et fidélité; elle seule a voulu le bien, elle seule l'a fait; à elle seule et aux braves défenseurs de la patrie tu dois la liberté. En commentant ces préceptes, Chantreau essaye de démontrer l'unité de doctrine que professent les adeptes du culte de la raison à quelque race qu'ils appartiennent et quelque pays qu'ils habitent. Ses commentaires qui portent évidemment l'empreinte de son esprit anti-religieux lui fournissent l'occasion de rééditer sa violente diatribe contre la religion 208 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. catholique et ses ministres. Ils se terminent avec le treizième numéro du journal. Les six numéros suivants sont consacrés à des sujets variés énoncés en des sommaires placés à la première page ainsi que suit 14e Document Esprit public qui règne dans les départements qu'on traverse pour aller de Toulouse à Paris. — Identité des principes manifestés dans mes numéros avec ceux qu'on trouve dans le rapport de Robespierre du dix-huit floréal. 15e Document Détails intéressants sur la fête en l'honneur de l'Etre Suprême et de la nature. 16e Document Réflexions sur les fêtes nationales et l'esprit qui doit les animer. — Sources de nos malheurs. — Quel doit en être le remède. 17e Document Ruses dont se servent quelques fourbes pour tromper les gens simples. Elles sont dévoilées et punies. 18e Document C'est le bienfait de la révolution qui doit réintégrer l'homme dans l'état ou pour l'état de félicité pour lequel l'Etre suprême l'a créé. — Des devoirs du républicain. — De l'amour de la patrie. 19e Document Observations sur les différentes époques de notre révolution. — Autres sur l'éducation et les devoirs du républicain. — Portrait de Robespierre. Toutes ces pages sont de forme sermonnaire ; elles sont illustrées par des apologies, des anecdotes et des faits divers dont le rédacteur a été témoin. Parfois Chantreau commente les arrêtés des représentants du peuple en mission, tel l'arrêté de Dartigoeyte ordonnant la réunion de tous les prêtres du département du Gers au chef-lieu de leurs districts respectifs pour y être placés sous la surveillance des autorités 8 germinal an II — 28 mars 1794 Ce représentant, écrit-il, savait que lorsque dans un pays les loups sont en grand nombre et que répandus dans les campagnes ils portent la désolation dans les troupeaux, on forme une grande enceinte, on fait une battue dont le résultat est d'y conduire tous les animaux malfaisants... Vous connaîtrez dans peu, citoyens, l'excellence de la précaution qu'on vient de prendre. Le paysan est bon. et, s'il a témoigné quelque répugnance à faire en l'honneur de la raison le sacrifice de ses préjugés, c'est qu'on l'en détournait par toutes TROISIÈME ET QUATElÈME TRIMESTRES 1924. 209 les formules puériles qui peuvent influencer son âme. Quand il cessera d'être mené par des imposteurs, montrez-lui le sentier de la vérité et il s'y précipitera de plein gré. » La haine profonde de Chantreau s'étendait indistinctement à tous les ecclésiastiques, sans en excepter ceux qui avaient juré fidélité à la constitution civile du clergé. A cet égard, il résumait sa pensée dans ces deux vers Assermentés ou non, gardez-vous de les croire Toujours pour vous tromper ce sont larrons en foire. » 79 Davantage encore, il abhorrait ceux qui avaient totalement abjuré le christianisme pour se convertir à la religion naturelle. Ces philosophes décalotisés » ne lui inspiraient aucune confiance parce qu'ils voulaient dominer à tout prix et que, sentant leur rôle fini, ils s'obstinaient à rester en scène. Hier, affirme-t-il, pour influencer le peuple, ils se revêtaient de l'étole et parlaient au nom du ciel, aujourd'hui ils se sont coiffés du bonnet rouge et pérorent à la tribune. Ils n'en sont pas moins prêtres... » Avec une âpre joie, il accable de sarcasmes et raille sans pitié ceux d'entre eux qui, pour témoigner de la sincérité de leur conversion, ont renoncé au célibat sacerdotal Ils veulent enfin être hommes, dit-il. De tous côtés ce ne sont plus que mariages de prêtres ; quelques-uns se marient pour devenir pères de famille tel a été le mariage d'un bon sans-culotte, quoique cidevant prêtre, avec une ex-religieuse, célébré à Condom le défunt vendredi-saint. Mais quelques autres n'ont quitté la première épousée que pour en prendre une charnelle qu'ils ne serviront pas mieux que la spirituelle, c'est-à-dire qu'ils serviront pour eux. Car c'est le moi qui sanctionna le célibat des prêtres lorsque l'Eglise, assemblée pour décider que l'Eglise avait raison se forma en concile et que le saint concile arrêta, décréta que les prêtres n'auraient désormais de femmes que celles des autres. Nous nous sommes lassés de la paternité de ces égoïstes qui, cependant, portaient bonheur à leur lignée, et nous les forçons aujourd'hui de travailler pour leur propre compte. Il y a parmi ces unions en impromptu quelques mariages assez 79 Ces deux vers sont de Chantreau. Voir à l' Appendice » sa poésie intitulée Fable philosophique ». 210 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. grotesques. Des Marions, qui se trouvent damées au moment où elles s'y attendaient le moins, ont passé sans intermédiaire, de la cuisine de M. le curé dans son lit. Ce n'est pas qu'elles n'eussent déjà fait ce chemin; mais c'était de nuit, furtivement et par la ruelle étroite. Ce mariage in umbris avait son prix; au moins c'est ce que je tiens d'un ex-cordelier à ce fort expert. 80 La malignité de Chantreau n'épargne même pas PaulBenoît Barthe, évêque constitutionnel du Gers, homme de grand caractère dont la sincérité n'était point douteuse et dont le zèle pour la liberté s'était maintes fois affirmé. Mais Barthe, persécuté pour avoir dirigé dans le Gers le mouvement fédéraliste, était un vaincu, or, Chantreau ne se signala jamais par la générosité et le respect dus à ceux qui succombent en luttant pour la défense de leur idéal ou de leur foi. Plus tard, on le verra jeter l'anathème sur Danton, Hébert, Chaumette et Robespierre lui-même. Après avoir parlé avec enthousiasme de Robespierre à l'époque de sa puissance, après avoir exalté ses mérites et offert à l'admiration de ses lecteurs un des immortels discours » du fameux conventionnel, il le reniera lâchement après le 9 thermidor et piétinera sur le vaincu. Le dernier numéro des Documents de la raison » renferme en effet ce portrait curieux, mais peu flatteur, du célèbre tribun Robespierre a vécu trente-cinq ans; sa taille était de cinq pieds trois ou quatre pouces; son corps jeté d'aplomb; sa démarche ferme, vive et même un peu brusque; il crispait souvent ses mains, comme par une espèce de contraction de nerfs; le même mouvement se faisait sentir dans ses épaules et dans son col qu'il agitait convulsivement à droite et à gauche; ses habits étaient d'une propreté élégante et sa chevelure toujours soignée; sa physionomie, un peu renfrognée, n'avait rien de remarquable; son teint était livide et bilieux, ses yeux mornes et éteints; un clignement fréquent semblait la suite de l'agitation convulsive dont je viens de parler; il portait presque toujours des conserves. Il savait adoucir avec art sa voix naturellement aigre et criarde et donner de la grâce à son accent artésien. Il avait calculé le prestige de la déclamation, et, jusqu'à un certain point il en possédait le talent; il se dessinait assez bien à la tribune; 80 Documents de la raison, N° 12, page 189. TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 211 l'antithèse dominait dans ses discours et il maniait assez souvent l'ironie; son style n'était point soutenu; sa décision tantôt harmonieusement modelée, tantôt âpre, brillante quelquefois et souvent triviale, était toujours cousue de lieux communs et de divagations sur la vertu, le crime, les conspirations. Orateur médiocre lorsqu'il avait préparé son discours, s'il s'agissait d'improvisation il était au-dessous de la médiocrité. Alors il courait après ses idées fugitives comme un homme endormi après le fantôme de son rêve; sa logique était toujours assez pure, et, souvent adroite dans ses sophismes; il réfutait avec lucidité; mais en général, sa tête était stérile et la sphère de sa pensée étroite comme il arrive presque toujours à ceux qui s'occupent trop d'eux-mêmes. En effet, avec tous ses grands mots de vertu, de patrie, il ne pensait qu'à lui. L'orgueil était le fond de son caractère; la gloire était un de ses voeux; il ambitionnait plus encore la gloire politique; il parlait avec mépris de Pitt, et il ne voyait rien au-dessus de ce scélérat si ce n'est lui-même. Les prétendues injures des journaux anglaiis chatouillaient délicieusement coeur. Quand il les dénonçait, son accent, son expression trahissaient la jouissance de son amour-propre, et, pour me servir d'un mot vulgaire, l'eau lui en venait à la bouche; c'était un délice pour lui d'entendre nommer les armées françaises, les troupes de Robespierre. Il savourait comme des madrigaux les sarcasmes du duc d'York ; il se plaisait à peser, comme tyran lui-même, dans la balance des tyrans. A la fois audacieux et lâche, il couvrait ses manoeuvres d'un voile épais, et souvent il désignait ses victimes avec hardiesse. Faible et vindicatif, sobre et sensuel, chaste par tempérament et libertin par imagination, il jetait dans les âmes ardentes des dévotes et des illuminés quelques-unes des bases ? de sa domination; il exerçait particulièrement son prestige sur les imaginations tendres. Il croyait les prêtres comme utiles à ses projets. Son style même avait quelque chose des expressions de toutes ces sortes de gens. L'astuce était après l'orgueil le trait le plus marqué de son caractère. n'était environné que de gens qui avaient de graves reproches à faire. D'un mot il pouvait les placer sous le glaive. Il protégeait protégeait faisait trembler une partie de la Convention. Il transformait transformait les erreurs en crimes et les crimes en erreurs. Toutes les fois qu'il était attaqué, c'était la liberté qu'on attaquait. Pour le peindre d'un trait, Robespierre, né sans génie, ne savait point créer les circonstances, mais il en profitait avec esprit; il ne commandait point au hasard, mais il le servait le plus à ses voeux. Avec le numéro dix-neuf, presque tout entier consacré aux 212 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. événements du neuf thermidor, les Documents de la raison raison » cessèrent de paraître. Chantreau avait complètement échoué dans sa mission. D'ailleurs peu après l'apparition des premiers numéros il semblait avoir reconnu lui-même l'inefficacité de son apostolat sur les habitants des campagnes, car il déplorait la routine des paysans et leur défiance à l'égard de toute idée nouvelle L'homme des champs, écrivait-il avec mélancolie, est en religion ce qu'il est en agriculture présentez-lui un nouveau procédé, une méthode d'amélioration dont il n'ait point connaissance ou que ses ancêtres n'auront pas adoptée, il vous dira avec l'air du dédain cela ne vaut rien, ce n'est pas la coutume, nous n'avons jamais fait cela, etc. Il vous répond la même chose si vous voulez faire succéder chez lui les immuables vérités de la raison aux contes extraordinaires extraordinaires de ses prêtres. 81 Et quelques jours plus tard, il écrivait encore Quand j'entrepris d'écrire ces documents, j'étais persuadé de la faiblesse des hommes soumis à ces préjugés; il y avait trente ans que je l'étudiais, trente ans que je connaissais, que je pesais, que j'analysais l'écorce épaisse dont les prêtres avaient enveloppé l'âme de ceux qui la leur confiaient; mais j'étais bien éloigné de croire que le fanatisme eût si bien universellement jeté d'aussi profondes racines sur un sol que pendant soixante ans Voltaire arrosa de la manne céleste de l'instruction... ; dans un pays où Jean-Jacques Rousseau s'était fait entendre...; dans un pays qui a vu naître le penseur Fréret 82 et l'énergique Boulanger 3... Rien n'est si vrai cependant ; et ce sol privilégié, parce qu'il devait être celui de la raison, est encore infecté de fanatisme; et je ne puis m'empêcher d'être étonné comment, parmi des hommes qui ont eu l'énergie de briser le 81 Documents de la raison, N° 4, page 56. 82 Fréret Nicolas est un polygraphe né à Paris en 1688 et mort en 1749. Son principal ouvrage est intilulé De l'origine des Français et de leur établissement dans les Gaules ». Ses idées étaient tellement nouvelles, qu'il fut accusé de calomnier ses héros et enfermé à la Bastille. 83 Boulanger Nicolas-Antoine est un écrivain du XVIIIe siècle. Ses principaux ouvrages sont l'Antiquité dévoilée, et les Recherches sur l'origine du despotisme oriental. des grands cataclysmes de la nature et de la tradition du déluge universel, vit, dans les terreurs que ces fléaux avaient produites parmi les hommes, l'origine des superstitions et des idées religieuses. Né à Paris en 1722, il mourut en 1759. TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 213 lien politique qui les attachait au char du tyran il en est encore beaucoup qui n'aient pas eu celle de s'affranchir du joug de l'erreur. 84 Ainsi donc Chantreau reconnaît lui-même avoir été impuissant à faire triompher l'esprit nouveau dans les campagnes gasconnes qui restèrent fidèles, malgré tout, à la foi des anciens temps. Néanmoins sa tentative si hardie était curieuse à signaler. Son journal est éloquent et instructif, dit M. Aulard; cette bourgeoisie que le payait et le lisait était singulièrement libre d'esprit et éveillée; et Chantreau lui-même, si passionné pour la raison, si imbu de la noble foi de son temps, n'est pas indigne de l'attention de l'historien et du moraliste. » Plus tard, sous le Directoire, il reprendra, sans plus de succès d'ailleurs, dans la presse départementale sa campagne philosophique. Parmi les travaux si nombreux et si variés publiés par Chantreau, il convient d'examiner à part ceux qui, surtout littéraires, n'ont aucun rapport avec la science historique, la pédagogie ou la politique. Les Lettres de Barcelone » peuvent être rangées dans cette catégorie, bien qu'elles aient été écrites à l'occasion d'une mission d'ordre diplomatique. On doit y ajouter aussi les oeuvres suivantes 1° Voyage dans les trois royaume d'Angleterre, d'Ecosse et d'Irlande, fait en 1788 et 1789. 85 2° Voyage philosophique politique et littéraire fait en Russie pendant pendant années 1788 et 1789, traduit du hollandais avec une augmentation considérable. 86. Contrairement à ce que l'on pourrait supposer, ces deux ouvrages ne présentent qu'un médiocre intérêt et ne renferment rien de vraiment nouveau. S'il faut en croire certains critiques, Chantreau n'aurait visité l'Angleterre et la Rus84 Rus84 de la raison, N° 6, page 88. 85 Paris, 1792, Briand, éditeur, 3 vol. in-8°. 86 Paris, 1794, Briand, éditeur, 2 vol. in-8°. — Traduction anglaise du même ouvrage Perth, printed by. — R. Morison junior, 1794. 14 214 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. sie qu'en imagination. Malte-Brun, entre autres, assure que ces deux voyages furent avec juste raison intitulés philosophiques », parce que l'auteur les fit dans son cabinet... 87 Un second présume que le Voyage en Russie traduit du hollandais " n'a jamais existé en hollandais et que cet ouvrage est une compilation de Pallas, de Leclerc, de Lévêque, etc.. " compilation qui fourmille de faute et dont le style est tour à tour trivial et emphatique. » 88 On serait volontiers porté à croire que le voyage en Angleterre » fut rédigé de la même façon, car dans ce livre, l'auteur reproduit tous les préjugés, tous les enthousiasmes, toutes les erreurs mêmes du dix-huitième siècle qu'il suit en bon disciple. Toutefois il est vraisemblable qu'à une époque difficile à déterminer Chantreau séjourna peu de temps en Angleterre et que, beaucoup plus tard, devenu désireux de livrer au public une de ses nouvelles productions, il réunit tous ses souvenirs. En 1792, date de sa publication, le poème d'Ossian, par Macpherson avait déjà pénétré en France, attirant l'attention sur les pays celtes et faisant naître le goût des légendes celtiques. Le moment était favorable, semble-t-il, à l'apparition d'une étude sur les Iles britanniques et cette remarque décida peut-être Chantreau à écrire son Voyage en Angleterre ». Mais, afin de donner plus d'ampleur à son récit, il eut certainement recours à la compilation; pour lui donner quelque charme, il l'agrémenta d'une aventure romanesque dans laquelles les rôles sont tenus par une Italienne perfide » et par un compagnon de voyage, le marquis de V... Ce terne et banal roman d'amour qui s'achève par une tentative d'empoisonnement à Londres, ne réussit point à animer le récit et à égayer l'esprit du lecteur parmi le fatras des compilations où les faits, les renseignements, les aperçus, les descriptions s'entassent pêle-mêle notions sur la littérature anglaise, l'éducation à Oxford, les jardins de thé à Londres, les tavernes de bière, la tolérance, l'église anglicane, les quakers, les courtisanes, etc.. 87 Journal des Débats du vendredi 13 vendémiaire an XIII. — Article critique sur un livre de Chantreau La Science de l'Histoire. 88 Biographie universelle de Rabbe. TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 215 Dans la préface Chantreau déclare que jusqu'ici, en France, on a ignoré l'Ecosse et l'Irlande, pays très différents de l'Angleterre et il affirme être un des premiers à faire ressortir leurs dissemblances. Cette remarque, d'ailleurs très juste, fait présumer que l'auteur avait réellement voyagé en Angleterre mais qu'il n'avait peut-être pas vu tous les objets qui lui ont fourni la matière de son livre. Quant à l'ouvrage sur la Russie, Chantreau y considère que le peuple russe est un peuple neuf ou pour mieux dire, nouvellement en scène et qui parait avoir la prétention de jouer un grand rôle. Or, l'auteur se propose de rechercher si cette prétention est fondée et si les Russes, auxquels on a prodigué tant d'éloges, les ont mérités ou obtenus à prix d'or, si leur civilisation est aussi avancée qu'on l'a dit, leur tolérance si philosophique et les forces, dont ils nous menaçaient alors, si redoutables. Comme dans le livre précédent, on trouve dans celui-ci une infinité de renseignements sur les moeurs et usages, ainsi que de nombreux détails historiques et d'anecdotes. Malgré les visibles efforts de l'auteur pour lui donner de l'intérêt et faire croire à un voyage réel en Russie, cette étude qui a la sécheresse d'une compilation ne présente rien de vivant, de neuf ou d'original. De toutes ses relations de voyage, les Lettres de Barcelone » sont celles qui présentent le plus de valeur parce que les hommes et les choses de l'Espagne lui étaient familiers, parce que les pages en ont été vécues et parce qu'elles constituent un document historique précieux dont le temps n'a pu affaiblir l'intérêt. On ne saurait contester qu'elles portent la marque d'un esprit lucide et curieux. On y voit que Chantreau avait des connaissances très étendues et qu'il dissertait avec facilité sur toutes les matières. A cet égard il est bien du dix-huitième siècle, c'est-à-dire d'une époque où la pensée s'étendait en tous les sens et s'appliquait à toutes sortes d'objets nouveaux. Ecrivant à la hâte, sans recherche et sans apprêt, les qualités qu'il apporte dans son style sont moins celles d'un littérateur que d'un causeur agréable. Il a de la couleur, du mouvement, de l'abandon et de la verve, mais c'est la verve du gavroche beaucoup plus que celle de l'artiste. 216 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. On trouve assez rarement dans son oeuvre ces déclamations pompeuses, ces abus de métaphores, ces allusions trop fréquentes à l'histoire romaine, en un mot toute cette phraséologie emphatique et sonore qui caractérise presque toute la littérature révolutionnaire. Sa langue rappelle celle de Diderot et de Piron. Toujours claire et naturelle, la phrase devient rapide et entraînante lorsque l'auteur rapporte une conversation ; mais elle manque parfois de pureté. On n'y rencontre que trop de solécismes, des termes impropres, des trivialités et même des gravelures. Quelquefois elle se développe avec lourdeur et l'on est désagréablement surpris de trouver sous la plume d'un homme de goût tel que Chantreau, une phrase comme celle-ci Je vous avouerai franchement que je crois que réellement il n'est pas la dupe de ses prêtres et qu'il n'est leur prosélyte que parce qu-il est gentilhomme. 89 Toutes les pages ne sont pas écrites sur un modèle aussi imparfait et il en est de charmantes. Les idées générales de Chantreau, on a pu le constater, reflètent le caractère de l'époque. Beaucoup lui sont inspirées par l'esprit de combat car il est un homme de lutte et de passion, un ardent propagandiste révolutionnaire, un apôtre de la religion naturelle selon Rousseau. A l'imitation des encyclopédistes, il fait souvent oeuvre de destruction et tend à ruiner, en politique, le principe des institutions de l'ancien régime, en religion, l'autorité du dogme. CHAPITRE IV. L'ÉCOLE CENTRALE DU GERS. Au début de l'année 1796, Chantreau parut renoncer à la politique pour se consacrer au professorat qui était incontestablement sa vraie vocation. Cette décision lui fut-elle imposée par la nécessité ou bien lui fut-elle inspirée par un goût pour l'enseignement, on ne saurait le dire. En tous cas il 89 Lettres de Barcelone », p. 403. TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 217 est certain qu'il sollicita une chaire à l'école centrale d'Auch et qu'il vint habiter cette ville. A cette époque, l'antique cité gasconne ne différait guère d'aspect de la ville actuelle qui porte encore la vénérable empreinte des siècles écoulés. Si les remparts qui l'enserraient jadis sont tombés pierre par pierre, sous la pioche impitoyable du démolisseur, quelques tours moyennâgeuses et un certain nombre de vieux édifices subsistent encore anciens monastères dont les pierres grises et les étroites fenêtres ogivales ont des airs mystérieux, maisons à encorbellement du quatorzième siècle, habitations plus riantes, aux portes en accolade, de la renaissance, et enfin, hôtels à l'ordonnance correcte, à la simplicité de grand ton, contemporains du Roi-Soleil, de Mme de Pompadour et de Marie-Antoinette. Accrochés au flanc de la colline, tous ces édifices s'étagent dans un désordre pittoresque, se dépassant tantôt en surface, tantôt en hauteur, les plus élevés paraissant railler les autres. Parmi l'étendue des toits hérissés de cheminées massives, des rues étroites aux détours capricieux dévalent en cascade vers la basse ville avec des pentes inouïes, invraisemblables et qui seraient inaccessibles aux piétons eux-mêmes si on ne les avait prudemment disposées en paliers communiquant entre eux par des gradins de pierre. Et, dominant toute la vieille cité archiépiscopale de sa masse imposante, la sombre cathédrale Sainte-Marie profile dans le ciel clair la silhouette de ses tours quadrangulaires, de ses arcs-boutants aux courbes élégantes et de son chevet où flamboyent les sveltes nervures de ses baies en ogive. Tout proche de la cathédrale qui semble le protéger de son ombre et dont il est séparé par un square planté de micocouliers, qui fut jadis la cour d'un cloître, on remarque un important corps de logis dont l'aspect tient à la fois du monastère et de la prison. Depuis le milieu du seizième siècle, tour à tour collège, école centrale et lycée il est resté consacré à l'éducation de la bourgeoisie gasconne. C'est là que Chantreau ambitionnait de professer. Un collège y avait été fondé en 1545 par le cardinal François de Tournon qui occupait à cette époque le siège archiépiscopal d'Auch. Son prédécesseur, le cardinal de Clermont- 218 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Lodève ayant donné en legs aux pauvres la moitié de toutes les dettes et revenus divers qui resteraient à percevoir le jour de son décès, il obtint de François Ier que les sommes provenant de ce legs fussent consacrées à la création d'un collège. Dans ses lettres patentes du 25 mars 1543 le roi justifiait ainsi sa décision Considérant qu'il n'est plus grande indigence que ignorance, par la délibération de nostre très cher et grand amy le cardinal de Tornon, au présent arcevesque du dict Aux, et aussi de nos advocat et procureur au parlement de Tholose, avons, par nos lettres patentes cy attachées, vollu et ordonné que les deniers provenant des dicts debtes seront employés à la construction d'un collège dedans la cité d'Aux pour enseigner les enfants du dict diocèse ez lettres et bonnes meurs par lesquelles ils puyssent pourter fruict au tems advenyr en la saincte église et pour stipendier gens doctes et de bonnes meurs pour enseigner les dicts enfans. » 90 Le collège fut installé proche de la cathédrale, dans un quartier presque exclusivement habité par des ecclésiastiques, sur une large terrasse qui dominait la campagne du côté du sud. Son succès fut rapide et prodigieux ainsi on y compta cinq cents élèves en 1598 et huit ans plus tard, leur nombre avait dépassé sept cents. Frappé de sa prospérité croissante, Charles IX l'érigea en université et dès lors, la cité gasconne s'anima d'une manière considérable et se prit à ressembler aux petites villes universitaires d'Angleterre et d'Allemagne. Toutefois, comme la plupart des établissements de ce genre, la grande école eut à subir des crises passagères; la plus grave fut celle que provoqua le parlement de Toulouse lorsqu'il enjoignit de remplacer les pères jésuites par d'autres maîtres. Les moines dominicains offrirent aussitôt leurs services, mais on leur préféra des prêtres du diocèse, les chapelains de Garaison. Pour remédier à l'inconvénient que présentait la règle fondamentale de l'externat, ceux-ci firent bâtir tout à côté un pensionnat qui eut une existence associée mais distincte. Tout comme le collège il était administré par des prêtres séculiers. 90 Un collège de province, sous la renaissance, par P. BENETRIX. — Paris, 1907, in-8°. H. Champion, éditeur. TROISIÈME ET QUATEIEME TRIMESTRES 1924. 219 Le succès de ces deux établissements reposait sur la confiance accordée par les populations aux prêtres qui les dirigeaient et leur prospérité matérielle dépendait presque en totalité des droits féodaux et des revenus des biens-fonds ; or la tourmente révolutionnaire fit disparaître ces deux éléments de réussite en assujettissant les prêtres professeurs au serment civique et en supprimant les droits féodaux. Tout d'abord les professeurs promirent le serment exigé, mais, à l'instigation de l'archevêque, Mgr de La Tour du Pin-Montauban, ils finirent par le refuser. Ils se trouvèrent donc déchus de leurs fonctions à l'exception d'un seul, l'abbé Carrère, préfet au pensionnat, qui prêta serment le même jour que l'abbé Barrère St Justin, ci-devant prébendier de l'église cathédrale Ste-Marie. Or, le 23 février 1791, Barrère St Justin, récemment nommé principal provisoire du collège, et Carrère, préfet du pensionnat, vinrent certifier à l'administration départementale que l'ordre régnait dans ces deux maisons où tout le personnel venait d'être renouvelé. Balloté par la violence des événements révolutionnaires, le collège périclitait de jour en jour et paraissait frappé à mort lorsque la loi du 3 brumaire an IV 25 octobre 1795 vint le transformer en école centrale. On sait que les écoles centrales étaient des établissement d'enseignement secondaire et qu'elles comprenaient trois sections La première section destinée aux enfants de 12 à 14 ans, possédait trois chaires langues anciennes, histoire naturelle et dessin; mais sur la demande des administrateurs départementaux une quatrième chaire, celle de langues vivantes, pouvait être créée. Dans la deuxième section consacrée aux élèves de 14 à 16 ans, il n'y avait que deux professeurs, l'un pour les mathématiques élémentaires, l'autre pour la physique et la chimie. Enfin la troisième section, réservée aux jeunes gens ayant au moins 16 ans, comprenait quatre chaires grammaire générale, belles-lettres, histoire, législation. On était au début de l'année 1796 lorsque le directoire du département du Gers reçut la mission de créer à Auch une école centrale. Son embarras dût être très grand, car les res- 220 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. sources dont il pouvait disposer se bornaient exclusivement aux divers immeubles qui constituaient autrefois le collège et le pensionnat. Ces immeubles, qui communiquaient entre eux, étaient dominés par une haute tour quadrangulaire existant encore aujourd'hui et dont le toit pyramidal se relevait aux angles inférieurs à la façon d'une pagode. A l'intérieur, un escalier de pierre, en forme d'hélice, permettait d'accéder aux divers étages de la maison. Quatre cours étaient encloses dans les murs de l'établissement. Après avoir traversé la cour d'entrée, on se trouvait en face du corps de logis principal dont le rez-de-chaussée était réservé aux salles de cours, tandis que le premier et le deuxième étages comprenaient le logement des maîtres. Voûtées et sévères d'aspect, telles des cellules de moines, les salles de cours étainet desservies par un long couloir dont la voûte en berceau s'ornait avec sobriété de quelques culs-de-lampe d'un dessin très simple. Elles s'ouvraient du côté du sud sur une vaste terrasse riante et ensoleillées, unique et délicieux agrément de cette demeure austère et froide. Encadrée de trois côtés par des constructions, elle n'était fermée, au midi, que par une rampe de pierre surplombant à la fois les remparts de la ville et un talus dont les pieds baignaient dans le ruisseau du Caillou. Du haut de cette terrasse, le regard embrassait une large étendue de pays tout proche d'humbles habitations couvraient de leurs toits moussus et de leurs murs enfumés la surface déclive du talus. Entre elles, descendant vers le creux du vallon par des escaliers en pierre couraient des rues étroites, profondes, escarpées appelées pousterles. Plus loin, à droite, des jardins potagers remplissaient de leurs damiers les pentes opposées derrière lesquelles moutonnaient les sommets arrondis des coteaux voisins dont certains se couronnaient de chênes ou s'ornaient des blanches ailes d'un moulin. Vers la gauche, la vallée du Gers étalait le clair tapis de ses prairies au milieu desquelles la rivière serpentait paresseuse, laissant apparaître parfois à travers un rideau de peupliers et de saules le miroitement de ses eaux vertes; puis, jalonnée par les cimes hardies de quelques peupliers ou par la flèche d'un clocher, elle se perdait dans le lointain, au TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 221 détour d'une colline boisée, vers les landes grises du plateau de Lannemezan. Et tout à l'arrière plan de l'immense panorama, le dominant dans toute sa largeur, légères comme une dentelle, simples dans leur majesté, gigantesques et vaporeuses, les Pyrénées étendaient à l'horizon le décor prestigieux de leur manteau d'azur. Les bâtiments du pensionnat, accolés à ceux du collège, étaient disposés en carré autour d'une cour sombre, maussade et de laquelle on n'apercevait en levant la tête qu'une petite bande de ciel. L'année précédente, cette cour et les tristes locaux qui l'entouraient, avaient vu se mouvoir entre leurs hautes et grises murailles des groupes angoissés d'aristocrates suspects que la justice révolutionnaire du département avait mis en état de réclusion. Une porte de cette cour donnait accès dans le collège ; au-dessus du linteau, sur une plaque plaque marbre noir qu'un sculpteur avait encadré de guirlandes, guirlandes, pères jésuites avaient fait graver l'inscription suivante Hic fides manibus spes gentis culta juventus dat flores, paritura suos in tempore fructus. MDCCLXXII Le monogramme du Christ ornait le linteau d'une autre porte sous laquelle on passait pour se rendre dans une chapelle chapelle dont le rétable de pierre et de marbre, dans le goût de la Renaissance mais d'aspect un peu lourd, s'élevait jusqu'à la voûte. 91 Très négligé depuis le début de la l'établissement était à demi délabré ; néanmoins, quelques réparations pouvaient, en peu de temps, le rendre propre à l'installation de l'école centrale. Mais le recrutement professeurs vraiment dignes de ce nom fut un plus difficile à surmonter, car les hommes à talents » devenus rares dans le pays. Dès l'année 1789, ceux qu'on avait découverts avaient été aussitôt appelés exercer une fonc91 fonc91 Ce rétable a été classé récemment parmi les Monuments historiques ». 222 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. tion élective ou un emploi dans les administrations publiques, à moins qu'ils ne fussent des adversaires de l'esprit nouveau. C'est dans ces difficiles conjonctures que Chantreau sollicita l'honneur de professer. Son nom était déjà familier aux membres du directoire du département. En maintes occasions ils avaient pu juger son caractère, connaître ses opinions politiques et apprécier son intelligence ainsi que l'étendue de son savoir. Il était évident que le concours de cet homme cultivé, doublé d'un bon pédagogue, était susceptible de favoriser puissamment le succès de l'école centrale en voie de création. De son côté, Chantreau paraissait avoir à coeur d'être agréé. Dans la demande qu'il adressa aux administrateurs, il ne négligea aucune des considérations qui militaient en faveur de sa candidature. C'étaient d'abord ses titres et qualités homme de lettres, membre du lycée des arts de Paris 92, ci-devant employé dans la commission de l'instruction publique, ex-élève de l'école normale, ex-professeur de langue française et d'histoire, ex-rédacteur des Documents de la Raison, auteur de nombreux ouvrages, etc. Et il ajoutait Forcé d'abandonner Paris pour habiter un climat qui convint mieux à ma santé que l'étude et ma constitution ont rendue très délicate, j'ai choisi pour me retirer l'heureuse contrée que vous habitez et dans laquelle j'ai une soeur mariée... Je puis être de la plus grande utilité à votre département d'après les connaissance que m'ont procurées le temps et les éludes... Je ne crois faire tort à personne dans ce département en prétendant à l'une ou à l'autre de ces places professeur d'histoire ou de grammaire surtout à celle de professeur d'histoire parce que pour la professer elle demande des connaissances qu'avec beaucoup d'esprit et de bonne volonté on n'est pas à même d'acquérir dans la province... Je possède la majeure partie des langues d'Europe. Prenez des renseignements sur moi auprès de Grégoire, Mercier, Lakanal je crois qu'ils ne nieront point que sur plusieurs branches je puis vous rendre les plus grands services. » 93 92 Le lycée qui s'ouvrit en 1786 au coin de la rue St-Honoré et de la rue de Valois, était une fondation à la fois scientifique et littéraire, une élégante Sorbonne à l'usage des gens du monde. 93 Archives départementales du Gers, L. 389. TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 223 Chantreau ne se borna point à fournir au directoire les hautes références des Lakanal, des Grégoire et des Mercier qui auraient pu attester la remarquable culture de son esprit et sa compétence indiscutable en matière d'éducation; en somme, cette précaution était légitime et on ne saurait l'en blâmer; mais il n'est pas admissible qu'un démocrate et un éducateur pour qui le mot républicain était synonyme de vertueux ait eu recours aux recommandations politiques pour peser à l'aide d'un faux poids sur la décision de l'autorité compétente. Il n'hésita pas, en effet, à faire apostiller sa lettre par tous les conventionnels du département l'ex-oratorien Ichon, le farouche Barbeau du Barran, Maribon-Montaut, Moysset, etc. Or, ces recommandations n'empêchèrent point Chantreau de comparaître égalitairement devant le jury d'instruction. Il en éprouva une profonde humiliation, d'autant que la compétence des jurés était très discutable et nue leur savoir était presque toujours inférieur à celui des candidats qu'ils avaient à juger. On n'ignore pas que ce jury, créé dans chaque département en vertu de la loi du 3 brumaire an IV 25 octobre 1795 comprenait trois pères de famille et que ses principales attributions étaient le choix des professeurs et la surveillance des établissements scolaires. Les opérations des jurés, pour la désignation des professeurs de l'école centrale, durèrent du 1er au 16 pluviôse an IV du 21 janvier au 5 février 1796; elles donnèrent les résultats suivants Chaire de langues anciennes l'abbé Sordes — de mathématiques élémentaires l'abbé Carrère — de physique expérimentale l'abbé Pérès — de grammaire générale l'évêque Barthe de belles-lettres le citoyen Toulouset — d'histoire le citoyen Chantreau — de législation le citoyen Ladrix. Quant à leur origine, les nouveaux professeurs se divisaient donc en deux catégories les ecclésiastiques et les laïques, les premiers groupés autour' du plus éminent et du plus distingué d'entre eux, l'évêque constitutionnel Paul- 224 SOCIÉTÉ ARCHEOLOGIQUE DU GERS. Benoît Barthe, les autres influencés par Chantreau. Dans l'intérêt même de l'oeuvre d'éducation à laquelle ils allaient collaborer, il eût été désirable de voir s'établir entre eux des relations confiantes et cordiales. Malheureusement, une cloison étanche ne cessa de les séparer. Entre les deux groupes se manifestait le perpétuel antagonisme des esprits traditionnels et des esprits novateurs. D'un côté, des ecclésiastiques d'opinions politiques modérées, séduits par l'idéal révolutionnaire de 1789, mais ayant conservé leur empreinte confessionnelle et restés attachés par toutes les fibres de leur coeur à l'église du Christ; de l'autre, des jacobins passionnés et des déchristianisateurs pleins de zèle. En matière d'éducation, les divergences n'étaient pas moins accentuées, car les premiers étaient restés fidèles aux vieilles doctrines pédagogiques des pères jésuites tandis que les seconds étaient partisans d'une réforme complète d'enseignement. Etant donné sa haute situation religieuse, sa valeur personnelle et son influence sur ses collègues de l'école centrale, l'évêque Barthe mérite une attention particulière. Né en 1739 à Montredon, un humble village du Narbonnais, le futur prélat constitutionnel s'était de bonne heure passionné pour l'étude. Distingué, intelligent et possédant déjà une vaste érudition, le jeune prêtre attira bientôt sur lui l'attention du clergé de la région. La Révolution le trouva titulaire d'un canonicat à St-Paul de Narbonne, professeur de théologie à la faculté royale de Toulouse, doyen à la dite faculté et conseiller de la chambre souveraine du clergé. 94 Il se signala aussitôt comme un partisan résolu des idées nouvelles, devint très populaire, et, la société des amis de la Constitution, fondée à Toulouse en 1790 le choisit pour présider ses séances. Les nombreux discours qu'il y prononça, publiés en brochures de propagande, obtinrent un vif succès, et sa notoriété dans la région du sud-ouest lui valut, sans doute, d'être élu évêque du Gers, car rien ne le rattachait à ce département. Peu de temps après son élection, qui eut lieu le 94 Cette chambre connaissait en dernier ressort les appels des jugements rendus par les chambres diocésaines sur les décimes et autres impositions ecclésiastiques. TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 225 13 février 1791, Barthe partit pour Paris où le 13 mars, à six heures et demie du matin, dans l'église de la congrégation congrégation l'Oratoire, rue St-Honoré, il reçut la consécration des mains de Saurine ,évêque de Dax, assisté de Lindet, évêque d'Evreux, et de Laurent, évêque de Moulins. Avant de quitter Paris, le nouveau prélat adressa au pape une respectueuse lettre de communion » dans laquelle il déclarait être fermement attaché au siège catholique apostolique et romain et professer l'unité de foi et de communion avec N. S. P. le Pape, vicaire de Jésus-Christ sur la terre. » Son installation solennelle eut lieu le 10 avril 1791, dans l'église métropolitaine d'Auch, au milieu d'un grand concours de population. Mais, ce jour d'allégresse n'eut pas de lendemain, car, dans la suite, l'évêque eut à lutter contre le parti des prêtres non assermentés qui, ne voyant en lui qu'un schismatique » et un hérétique », refusait de le reconnaître et le poursuivait avec un incroyable acharnement de ses sarcasmes, de ses brocards et de ses anatnèmes. A la tête de ces adversaires implacables se trouvait Mgr de la Tour du Pin-Montauban, archevèque d'Auch, réfugié en territoire espagnol et dont Chantreau, l'on s'en souvient, fit la rencontre au monastère de Monserrat. Du fond de sa retraite, l'énergique et irascible 95 prélat ne cessait d'encourager à la résistance le clergé non assermenté de son ancien diocèse. Sous son impulsion occulte, la lutte avait pris un caractère très violent. De son côté, Barthe faisait en vain des efforts inouïs pour rallier les dissidents et essayer de justifier les titres de la nouvelle Eglise devant ceux qui hésitaient à y entrer. Il s'acquittait de cette tâche ingrate, et combien difficile, d'une manière digne, ferme, ardente parfois, mais sans jamais manquer à la charité évangélique. Le langage de la haine et de la rage, écrivait-il, n'a jamais été celui du père commun de tous les fidèles, du chef d'une religion toute fondée sur la charité. » Aussi, jamais une parole amère ne sortit de sa bouche, jamais un mot blessant ne jaillit de sa plume. La même mesure et la même courtoisie ne se retrouvèrent pas chez ses 95 Cf. Marquis de Galard-Magnas Compte rendu des séances de l'administration provinciale d'Auch. — Agen, imp. Lenthéric, 1887, pp. 30 et 59. 226 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. adversaires, et c'est regrettable, car s'ils avaient légitimement le droit de combattre Barthe comme évêque et de lui contester le caractère sacré dont la loi française l'avait revêtu, ils avaient aussi le devoir de respecter en lui l'homme privé dont l'honorabilité ne pouvait être mise en doute. Or, dans leurs nombreux factums ils s'oublièrent jusqu'à employer l'injure et la diffamation vautour », chien enragé », loup », etc., sont autant d'épithètes qu'on n'hésita pas à lui appliquer. On lui reprocha, et c'était une calomnie, d'avoir participé dans Lectoure à d'ignobles bacchanales et d'avoir consacré des unions incestueuses. Enfin les outrages par voies de fait ne lui furent même pas épargnés; ainsi, certain jour que, revêtu de ses ornements sacerdotaux, il sortait de la cathédrale pour porter le viatique à des malades, un citoyen lui porta le poing au visage et s'empara de la porte pour l'empêcher de sortir. La violence et l'âpreté avec lesquelles on le combattit trouvèrent une contre-partie dans la confiance et l'attachement que lui manifestèrent tous ceux que guidait l'idéal révolutionnaire de 1789. C'est ainsi qu'en décembre 1792, les suffrages des électeurs le portèrent au Conseil général du Gers dont il devint bientôt après le président. Dans ses mains furent donc concentrées à la fois l'autorité religieuse, l'administration civile et la direction politique du département du Gers. A l'heure où le fédéralisme se développait dans le sudouest de la France, l'évêque-président en accepta les principes avec résolution et engagea le Gers dans le mouvement. Il s'attira ainsi la haine des montagnards et se rendit suspect de modérantisme ». Dénoncé par les clubs jacobins, il fut destitué de ses fonctions administratives et mis en état d'arrestation par ordre de Dartigoeyte représentant du peuple en mission 18 juillet 1793. D'abord dans les prisons de Mont-de-Marsan puis dans celles d'Auch, l'évêque infortuné endura sans se plaindre les nouvelles épreuves qui le frappaient l'existence triste, monotone et déprimante des reclus, l'incertitude du lendemain, les vexations et les privations de toutes sortes. A la suite des événements de thermidor, la porte de sa TROISIÈEE ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 227 prison s'ouvrit. Rendu à la liberté au mois de décembre 1794, il reprit aussitôt la direction spirituelle du diocèse et put constater avec amertume que le temps et les événements n'avaient point changé l'état des esprits et que ses implacables adversaires n'avaient point désarmé. En conséquence, le malheureux prélat se trouva de nouveau aux prises avec les insurmontables difficultés rencontrées dès les premiers jours de son épiscopat. Le décret du 3 ventôse an III février 1795 lui laissant toute latitude pour réorganiser le culte que la Terreur avait complètement aboli, Barthe s'y consacra tout entier. Pressé d'entrer en contact avec ses diocésains, et désireux de trouver le chemin de leur coeur, il leur adressa une touchante lettre pastorale dans laquelle on trouve le récit des maux qu'il avait endurés au cours de la tragique période Dès avant les préludes de la cruelle persécution que l'Eglise de France vient de souffrir, disait-il, les coups des persécuteurs ont été dirigés sur nous. Traduit par la calomnie aux pieds de la Convention nationale, et bientôt déchargé de toute inculpation, nous nous hâtâmes de venir reprendre auprès de vous les fonctions de notre saint ministère; mais à peine suis-je de retour, que le crime de faux et l'imposture réunis à la vénalité de la calomnie, m'arrachent de nouveau à ces fonctions saintes et paisibles, me déportent au loin et me jettent tout vivant dans une espèce de tombeau. Pendant quinze mois passés dans les étroites prisons des Landes, notre plus vif regret et notre plus cruel chagrin étaient d'être d'avance mort pour vous, N. T. C. F., et de ne vous retrouver que dans notre coeur. Toute communication, toute correspondance, tout ce qui pourrait nous instruire de votre état, de vos perplexités, de vos souffrances nous était interdit. La persécution se ralentit, nous obtenons d'être ramené dans la commune de notre siège, mais pour gémir derrière des grilles de fer, sous de triples verrous, dans l'impuissance absolue de vous voir et de vous être d'aucune utilité. » Après avoir parlé de sa libération, l'évêque dit que la Convention le manda à Paris où il fut retenu quelque temps par le comité de législation. Puis on lui permit de rentrer à Auch Quel affligeant tableau, s'écrie-t-il, se présente alors à nos yeux 228 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. les principaux monuments de la piété de nos pères profanés et dévastés; tous les autres édifices consacrés à la Divinité, rasés jusqu'à leurs fondements; cette majestueuse basilique érigée au centre du département, ce chef-d'oeuvre d'architecture, cette merveille des édifices de France, encombrée des débris de ses autels; ses augustes portiques dont la magnificence frappe, étonne le spectateur, fermés à la piété, ouverts à l'irréligion. Grâce à l'administration centrale du Gers, ce temple majestueux nous est enfin ouvert.. 96 Lorsque la création de l'école centrale eut été décidée, Barthe fut-il sollicité d'offrir son concours ou l'offrit-il spontanément, nous ne saurions le dire. En tout cas, le public eut la surprise de le voir sur les rangs des candidats aux fonctions de professeur. Agréé par le jury d'instruction, il s'acquitta de sa nouvelle tâche avec une compétence indiscutable et un zèle qui ne se démentit jamais. Jusqu'à la suppression de l'école centrale, il ne cessa de professer à la satisfaction de tous et il n'interrompit un instant sa tâche d'éducateur que pour aller assister à Paris au concile national des évêques constitutionnels. Il prit une part très active à ce grand événement religieux qui devait tant préparer la pacification de l'église de France et favoriser les négociations du Concordat. Après la signature de ce Concordat, il essaya de se faire maintenir comme évêque, mais, le siège d'Auch étant supprimé et réuni au siège d'Agen, ses démarches n'eurent point de succès. Découragé, soumis et repentant, il se résigna à remettre sa démission au cardinal légat 16 octobre 1801. Depuis lors, l'ex-évêque vécut d'une modeste pension, partageant son temps entre l'étude, la méditation et la prière. Il se retira du monde et se tint à l'écart, sentant combien sa situation était fausse vis-à-vis de l'ancien clergé qui, revenu de l'exil n'avait rien voulu oublier. Quant il mourut à Auch, le 25 décembre 1809, il emporta dans la tombe, avec les regrets des rares amis qui lui étaient restés fidèles, l'estime et la considération publiques méritées par ses talents et ses vertus. Tel était l'homme si opposé de caractère, si différent par ses tendances et sa mentalité, qui allait devenir le collabora96 collabora96 du département du Gers. L. 703. TROISIÈME ET QUATRIEME TRIMESTRES 1924. 229 teur de Chantreau à l'école centrale. Quant aux autres professeurs, nous ne connaissons que deux d'entre eux qui, par leur origine, leurs opinions, leurs antécédents devaient être amenés à graviter autour de Chantreau, c'étaient Ladrix, professeur de législation, et Toulouset, professeur de belles lettres. Le premier possédait à Auch une charge d'avoué; au début de la Révolution, il avait pris une part importante au mouvement révolutionnaire; l'autre était une des lumières de la société montagnarde auscitaine. C'était un homme cultivé, ayant un goût très prononcé pour les lettres, mais faible de caractère, timide, sans volonté et facile à circonvenir. Le comité révolutionnaire du district d'Auch le comptait parmi ses membres les plus notoires. Emprisonné en même temps que quelques jacobins de ce comité, il avait réussi à s'évader avec eux dans la nuit du 21 juillet 1795. Tout était à faire dans le nouvel établissement d'éducation, et l'on conçoit sans peine l'embarras des trois pères de famille qui composaient le jury d'instruction, en présence du rôle difficile et nouveau pour eux qui leur était dévolu. Etrangers à l'enseignement, n'ayant conservé de leurs lointaines années de collèges que de vagues souvenirs, d'ailleurs plus ou moins cultivés, on conviendra que ces trois bons bourgeois n'étaient guère préparés à tracer le plan d'une organisation pédagogique. Dans ces difficiles conjonctures, leur attention se porta tout naturellement sur Chantreau qui paraissait tout désigné pour exécuter ce travail, et, aussitôt, ils le prièrent d'établir en leur nom, un projet de règlement général de l'école centrale. 97 Flatté de leur confiance et très heureux de pouvoir se rendre utile avant même de monter dans sa chaire de professeur, celui-ci s'empressa de déférer à leur sollicitation, Le projet qu'il élabora ne comprit pas moins de soixantehuit articles. Les heures de classe étaient fixées de huit à dix heures le matin, et de deux à quatre heures le soir. Soucieux de l'hygiène et du bien-être des élèves et des professeurs, Chantreau exigeait que les salles de cours fussent saines, 97 Archives départementales du Gers Projet de règlement pour l'école centrale L. 391. 15 230 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. bien aérées, pourvues d'une chaire pour le maître, de tables et de bancs pour les élèves. Sur les murs devaient être placardés 1° La déclaration des droits et des devoirs du citoyen; 2° La loi du 3 brumaire an IV sur l'organisation l'instruction publique ; 3° L'arrêté du directoire exécutif du 27 brumaire an IV, contenant les mesures propres à faire l'instruction publique. 4° Le règlement de l'école centrale; 5° Un tableau analytique des matières du cours. Les classes vaquaient les quintidis et décadis ainsi que les jours de fête nationale. En outre, il existait annuellement deux périodes de vacances ; l'une correspondait à la première décade de germinal, l'autre s'étendait du 15 fructidor au 15 brumaire. Les parents et les amis des élèves étaient admis à toute heure à visiter les classes. surcroît le règlement les invitait à faire part de leurs observations au jury d'instruction. L'innovation était hardie, mais peu pratique. En principe on ne saurait contester aux le droit de contrôler l'enseignement donné à leur enfants, bien que la compétence leur fasse parfois défaut; mais le contrôle direct imaginé par Chantreau n'allait sans présenter de graves inconvénients. Les jeunes gens qui désiraient suivre plusieurs cours étaient tenus de prendre leurs au début de chaque trimestre. Une somme de six était due pour chaque inscription, à la suite de laquelle il était délivré une carte d'instruction » portant le nom l'élève, la désignation du cours et la signature du Chaque élève possédait donc autant de cartes d'instruction » qu'il avait d'inscriptions. La discipline, s'inspirant des idées de l'époque, libérale à l'excès. Les élèves, disait le règlement, se rendront exactement à l'heure fixée pour l'ouverture des classes; ils n'en troubleront jamais l'ordre et se maintiendront toujours dans la décence; enfin ils porteront à leurs professeurs le TROISIÈME ET QUATRIEME TRIMESTRES 1924. 231 respect dû à tout homme chargé de la fonction sacrée de propager les connaissances humaines. » On ne saurait exiger moins. Ce qui faisait surtout la nouveauté de la discipline imaginée par Chantreau, c'est que certaines fautes avaient pour sanction le jugement prononcé par les propres camarades de l'élève mis en cause lorsqu'un élève s'écartait de quelqu'un de ses devoirs, le professeur devait, selon le cas, l'y rappeler avec douceur ou le réprimander; mais, si le maître jugeait la faute grave, il le déclarait punissable et, dans ce cas, le délinquant était jugé par ses pairs ». Ceux-ci, au nombre de trois dans chaque classe, étaient élus le premier décadi du mois et occupaient dans la salle des places particulières. Les sanctions qu'ils pouvaient prononcer étaient les suivantes 1° Interdiction pour l'élève puni d'entrer avec sa classe au temple décadaire pendant une ou plusieurs décades; 2° Retrait de sa carte d'instruction pendant un temps déterminé ; 4° Privation du droit de suffrage dans l'élection des pairs pour une période plus ou moins longue; 5° Décision d'informer la famille de l'élève puni de la faute commise par lui ; Les pairs avaient la faculté d'appliquer simultanément plusieurs des peines précitées. Quant aux élèves reconnus incorrigibles, ils étaient signalés à l'administration départementale qui pouvait prononcer leur exclusion définitive. Il serait intéressant et instructif de connaître les résultats d'un tel système disciplinaire. Pour réprimer des écarts de conduite, n'était-ce point manquer de prudence que de s'en rapporter à trois enfants ou à trois jeunes gens dont le jugement n'était ni assez mûr ni assez solide ? Quant aux sanctions énoncées plus haut, peut-on croire à l'efficacité de l'interdiction d'entrer dans le temple décadaire et à la privation du droit de vote dans l'élection de ses pairs ? Après avoir déterminé les devoirs des élèves, le règlement fixait la tâche des maîtres Chaque année, avant l'ouverture des cours, on publiait un programme général des études dans lequel chaque professeur faisait connaître les sujets qu'il se 232 SOCIÉTÉ ARCHEOLOGIQUE DU GERS. proposait de traiter pendant l'année scolaire et désignait les livres dont les élèves devaient se pourvoir. Au point de vue religieux, le règlement imposait aux maîtres une stricte neutralité Les professeurs, prescrivait-il, saisiront toutes les occasions de pénétrer leurs élèves des principes de la morale universelle, mais ils ne perdront jamais de vue l'article de la Constitution concernant la liberté des cultes. Inspirer aux jeunes gens le goût de l'étude et l'amour des sciences est le principal but auquel doivent tendre leurs travaux. » Art. 29 et 30 On conçoit sans peine la contrainte gênante que cette neutralité rigoureuse imposait à ceux qui joignaient la qualité de prêtre à celle de professeur. L'administration de la maison était confiée aux professeurs eux-mêmes. A cet effet, au début de l'année scolaire, ils élisaient parmi eux les trois membres composant le bureau de l'école. Ces trois administrateurs étaient renouvelés par tiers le troisième décadi du mois; le dernier rentré remplissait les fonctions de secrétaire et, le plus anciennement élu, celles de président. Le bureau était en relation directe avec le jury d'instruction publique dont les attributions en ce qui concerne l'école centrale peuvent se résumer ainsi chacun des membres du jury était chargé de la surveillance immédiate de trois classes et devait les visiter au moins deux fois par mois. Il avait la faculté d'interroger les élèves sur les matières précédemment étudiées. A la fin de l'année scolaire, et plus souvent s'ils le jugeaient nécessaire, les jurés rendaient compte à l'administration centrale de la conduite des professeurs et de la manière dont ils remplissaient leurs fonctions. Après avoir apprécié les maîtres, ils donnaient leur avis sur la valeur de chaque élève en particulier. A cet effet, ils se réunissaient deux fois par an pour interroger successivement les élèves en présence des professeurs de l'école, des autorités constituées et des familles. Au cours de ces séances, le bureau proclamait les notes données à chaque élève par ses pairs et ses professeurs. Immédiatement après cet examen, les jurés désignaient les trois meilleurs élèves de chaque classe et leur TROITIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 233 remettaient une attestation. Le jour de la fête de la jeunesse, ces lauréats occupaient dans le temple une place d'honneur. Le président du jury d'instruction publique proclamait leurs noms et l'accolade leur était donnée par le président de l'administration départementale qui leur remettait une branche de laurier ornée d'une cocarde tricolore. A la suite de l'examen de fin d'année, qui avait lieu en thermidor, on décernait dans chaque classe un prix et trois accessits aux élèves ayant fait le plus de progrès et dont la conduite avait été la meilleure. Ces prix consistaient en gravures, pièces d'histoire naturelle, et en instruments de mathématique, de physique ou de chimie. Enfin, pendant la première décade de fructidor, les lauréats participaient à des exercices publics dirigés par le jury d'instruction. L'honneur de les interroger était réservé aux jurés d'instruction, aux fonctionnaires publics et aux personnes ayant obtenu des prix dans une école centrale. centrale. Enfin le règlement prescrivait la création d'une bibliothèque, d'un musée et d'un pensionnat. La bibliothèque était divisée en trois sections correspondant aux trois sections d'enseignement de l'école. Chacune ces divisions comprenait elle-même autant de subdivisions qu'il y avait de chaires dans la section d'enseignement. La bibliothèque était ouverte au public tous les jours, excepté les décadis et les jours de fête nationale. Aucun livre ne pouvait être prêté au dehors. Trop peu considérable pour former une organisation distincte, le musée était annexé provisoirement à la bibliothèque. Quant au pensionnat établi près de l'école centrale, il était placé sous la surveillance spéciale de la municipalité d'Auch. Tel était, en ses grandes lignes, le plan tracé par Chantreau dans le cadre rigide de la loi de brumaire an IV et qui fut appliqué en vertu d'un arrêté de l'administration centrale daté du 24 vendémiaire an VII 15 octobre 1798. Les programmes particuliers à chaque cours, les méthodes, l'emploi du temps étant abandonnés à l'initiative de chaque professeur, il en résulta un défaut de coordination et un manque d'harmonie dans la marche des études. 234 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Beaucoup de prescriptions du règlement demeurèrent lettre morte. Ainsi les salles de cours restèrent mal installées, insalubres et presque dépourvues de mobilier scolaire. Un rapport du jury d'instruction nous apprend qu'elles manquaient des ustensiles les plus communs et les plus nécessaires ». Quelques solives mal équarries placées à terre le long des murs, tenaient lieu de bancs pour les élèves. Point de table pour écrire, les élèves se servaient de leurs genoux en guise de pupitre; point de tableaux noirs, point de cartes murales, point d'appareils de chauffage, souvent même point de siège pour le professeur. Des salles grises et nues où, par des vitres brisées et des portes mal jointes pénètrent le vent, la poussière, la neige ou la pluie. L'été, passe encore, ces locaux sont néanmoins habitables, mais, en hiver, pour s'abriter des intempéries, les professeurs doivent se résoudre à faire la classe dans leur propre chambre du premier étage. 98 Si les élèves manquent du strict nécessaire, la situation des professeurs n'est guère meilleure. Leur traitement annuel est fixé à livres, mais on les paye d'une façon irrégulière et qui provoque de fréquentes réclamations. Ainsi au mois de thermidor an IV, ils n'ont pas encore été payés du trimestre échu le 1er messidor. Au nom de tous les professeurs, Chantreau écrit à ce sujet au ministre de l'Intérieur de qui dépendaient alors les établissements scolaires et, selon son habitude, il fait apostiller sa lettre par un député, le citoyen Desmolins, membre du Conseil des Cinq-Cents. Le ministre donne suite à cette demande en informant les administrateurs du département qu'il ordonnancera un versement dans la caisse du payeur général du Gers lorsqu'il aura reçu l'état nominatif des professeurs, avec mention de la date de leur entrée en fonction et des sommes qui leur sont dues. 98 Le 6 messidor an IX 25 juin 1801, nouvelle réclamation auprès du ministre de l'Intérieur, le citoyen Chapsal Presque toujours, déclarent les professeurs dans leur requête, nous sommes arriérés de trois trimestres; il nous est dû neuf mois et nous ignorons 98 Archives départementales du Gers Rapport du jury d'instruction. I. 391. 99 Archives départementales du Gers, — I., 390. TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 235 l'époque où nous serons payés. » 100 Cette lettre étant restée sans réponse, les intéressés pensèrent qu'une démarche personnelle aurait peut-être plus de succès, et, mettant à profit la présence à Paris de leur collègue Barthe, ils lui confièrent le soin de plaider leur cause devant le ministre. L'évêque s'était rendu dans la capitale pour assister au deuxième concile national qui tint ses assises du 29 juin 1801 au 16 août de la même année. C'est dans ces conjonctures que l'évêque du Gers reçut d'Auch une lettre ainsi conçue Au citoyen Barthe, à l'Hôtel des Etrangers, Rue du Sépulchre, N° 34, Paris. Auch, le 20 thermidor an IX 8 août 1801. Je vous avise, mon cher collègue, au nom des vôtres et des miens pour vous prévenir que le 6 du présent nous avons écrit au ministre de l'Intérieur pour lui faire part de notre situation et l'engager à prendre des mesures pour que nous soyons payés ainsi que les autres professeurs des écoles centrales et les différents fonctionnaires publics de ce département qui le sont. Nous vous invitons à vous présenter à lui et à être notre intermédiaire auprès de ce magistrat pour un objet qui vous concerne autant que nous. Observez-lui que durant l'administration qui précéda le 18 brumaire nous étions payés exactement, que les dépenses ne sont pas augmentés, que les recettes n'ont point diminué et que, cependant, rien n'est payé. Nous comptons sur votre zèle, votre intérêt et le plaisir que vous aurez à obliger vos concitoyens. Nous désirons que vous réussissiez dans vos projets; votre cause étant celle des républicains devient essentiellement la nôtre. Salut et fraternité. CHANTREAU. Mes collègues me chargent de mille choses obligeantes de leur part. 101 A suivre. 100 Archives nationales. A F. IV — 1344- 18. 101 Archives nationales. — IV. — 1344. — N° 18. 236 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. NOS PROVERBES GASCONS 1 TROISIÈME SÉRIE 2. PAR M. L'ABBÉ DAMBIELLE L'HOMME ET LA FEMME. Voici la troisième série de nos Proverbes gascons elle fait suite aux Douze mois de l'année et à la Météréologie. Dans cette nouvelle série, on trouvera les proverbes qui intéressent l'homme en lui-même, la femme en elle-même, avec leurs qualités et leurs défauts respectifs, sans parler de l'homme au foyer ni de l'homme dans la société ce qui fera l'objet de deux séries spéciales. A cette série on donnera seulement comme Appendice une quantité assez importante de proverbes sur quelques parties du corps humain l'oeil, le nez, la lèvre, l'oreille, le menton, la langue, le poil, le pied, la main. Comme toujours, ces proverbes, condensés en formules lapidaires et heureuses, sont le pur reflet des sagaces observations et de la longue et fructueuse expérience de nos ancêtres. 1 Dans l'Avant-Propos de la Première Série de Nos Proverbes Gascons, le très regretté A. Lavergne avait esquissé un essai de Bibliographie Parémiologique. Dans les pages liminaires de la Deuxième Série, j'ai essayé de compléter cette liste. Je la complèterai encore, je l'espère, à chaque publication nouvelle les Recueils de Proverbes gascons sont plus nombreux qu'on ne le pense au premier abord. M. l'abbé Daugé a publié, il n'y a pas bien longtemps, un Recueil très important Le Mariage et la Famille en Gascogne, d'après les proverbes et les chansons Bordeaux, Feret et Fils, édit. 9, rue de Grasse; — à Paris, Auguste Picard, éditeur, 82, rue Bonaparte. 2 Nos Proverbes Gascons. — Première Série Les douze mois de l'année, Imp. des Orphelins Apprentis, a Albi. — 1 fr. chez l'auteur, à Samatan Gers. Nos Proverbes Gascons. — Deuxième Série Les Proverbes météorologiques. Imp. F. Cocharaux, 18, rue de Lorraine, Auch. — 1 fr. chez l'auteur, à Samatan Gers. TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 237 1. — L'OME. 1. — Sio au joc, sio au bin, L'ome se hè couquin. 2. — Beue dambe mesuro, L'ome sera de loungo duro. 3. — Le tens e l'usat Hèn l'ome abisat. 4. — Minja caut Coutcha haut Beue roustoulat L'ome sera bien quilhat. 5. — Souen les petits ornes Se bouten de grosses esclops. 6. — La biaço bien garnido Hè l'ome countent. 7. — L'aunou que hè l'ome L'argent qu'iou perd. 8. — Biche qui pot Urous qui sap Sage qui bo. 9. — Bien dise Hè rise Bien ha Hè cara. 10. — Quand on ei mort Pan enta gn'aute. 11. — Qui jouen planto Bielh canto. 12. — Cau pas este bielh Enta mouri. 13. — Amic de taulo Amic aule. 14. — Las couate fins de l'ome La bouneto Las escassos La tabatièro Le cournè. 15. — L'ome tort ou boussut A pas jamès ren balut. I. — L'HOMME 1. - Soit au jeu, soit au vin — L'homme devient coquin. 2. — Boire avec mesure — L'homme deviendra vieux. 3. — Le temps et l'usage — Rendent l'homme avisé. 4. — Manger chaud — Se coucher liant — Boire la mesure juste — L'homme sera bien planté. 5. — Souvent les petits hommes — Mettent de gros sabots. 6. — La besace bien garnie — Rend l'homme content. 7. — Les honneurs l'ont l'homme — L'argent le perd. 8. — Riche qui peut — Heureux qui sait — Sage qui veut. 9. — Bien dire, fait rire — Rien faire, fait taire. 10. — Quand on est mort — Pain pour d'autres. 11. — Qui jeune plante — Vieux chaule. 12. — Il ne faut pas être vieux pour mourir. 13. — Ami de table — Ami stérile. 14.— Les quatre fins de l'homme — Le bonnet — Les béquilles — La tabatière — Le coin du feu. 15. — L'homme boiteux ou bossu — N'a jamais rien valu. 238 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. 16. — Se leua à tres, minja à nau Soupa à sies, coutcha à nau Hèn biue d'ans couate bints detz e nau. 17. — L'ome ei pas un boun gascoun Se nou sap pas dise bisti Higo, hago e hagoun. 18. — Les boueus se prenguen pe las cornos Les ornes pou pugnet. 19. — Las bounos sourços se couneguen a la sequèro Les brabes omes a la praubèro. 20. — Se le paisant èro pas tant sot L'aboucat pourtarè esclops. 21. — Bau milhou un can benant Qu'un orne malaut. 22. — Gat miaulaire, pas boun cassaire Ni orne sage grand parlaire. 23. — Le que bo un boun bailet Le cerque diguens soun gilet. 24. - Omes rouges et cans peluts Soun pas estats jamès plagnuts. 25. — Quand l'ome a le plan Que cèrque pas le milhou Pouirè trouba le piri. 16. — Se lever à trois heures, manger à neuf heures — Souper à six heures, se coucher à neuf heures — Font vivre quatre-vingt-dix-neuf ans. 17. — L'homme n'est pas bon gascon — S'il ne sait pas dire vite — Higo, hago et hagoun. 18. — Les boeufs se prennent pur les cornes - Les hommes pur le poignet. 19. — Les bonnes sources se reconnaissent à la sécheresse - Les braves gens à la pauvreté. 20. — Si les paysans n'étaient pas si sots — Les avocats porteraient des sabots. 21. — Il vaut mieux un chien bien portant — Qu'un homme malade. 22. — Chat qui miaule n'est pas bon chasseur — Ni homme sage grand parleur. 23. — Celui qui veut un bon valet — Qu'il le cherche dans son gilet. 24. — Hommes roux et chiens velus — N'ont jamais été plaints. 25. — Quand l'homme est bien — Il ne doit pas chercher mieux — Il risque de trouver le pire. TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 239 26. — Un orne que a bint ans n'ei pas grand Un orne que a trente ans n'a pas sen Un orne que a quarante ans n'a pas beng Foutèt-le dehoro, baiera pas jamès arren. 27. — Bien urous le qu'a pas ouaire Mès urous l'ome qu'a pas ren Pot drome la maitiado Sense pôu de perde arren. 26. — Un homme qui, à vingt ans, n'est pas grand — Un homme qui, à trente ans, n'a pas de bon sens — Un homme qui, à quarante ans, n'a pas de bien — Mettez-le dehors, il ne vaudra jamais rien. 27. — Bienheureux l'homme qui n'a guère — Plus heureux l'homme qui n'a rien — Il peut dormir la matinée — Sans peur de rien perdre. II. — LA HENNO. 1. — Uo bouno henno Uo bouno mulo Uo bouno crabo Tres machantos bestios. 2. — Henno au fïnestroun Terro au ras dou pount Bigno sou camin An pas jamès bouno fin. 3. — Quand i a palho I a blat. Quand i a blat I a rats. Quand i a rats I a gats. Quand i a gats I a hennos Quand i a hennos I a lou ciante 4. — Henno, luo e bent Cambion souen. 5. — Henno que parlo prim Ei touto berim 6. — Nou podes pas bira L'aigo de s'en ana Le bent de bouha. L'ase de brama, La henno de parla. II. — LA FEMME 1. — Une bonne femme — une bonne mule — une lionne chèvre — trois méchantes bêtes. 2. — Femme à la fenêtre — Terre à côté du pont — Vigne près du chemin — N'ont jamais bonne fin. 3. — Quand il y a de la paille — Il y a du blé — Quand il y a du blé — Il y a des rats — Quand il y a des rats — Il y a des chats — Quand il y a des chats — Il y a des femmes — Quand il y a, des femmes — Il y a le diable. 4. — Femme, lune et vent — Changent souvent. 5. — Femme qui parle pointu — Est toute venin. 6. — Tu ne peux pas empêcher — Les eaux de s'en aller — Le vent de souffler — L'âne de braire — La femme de parler. 240 SOCIETE ARCHEOLOGIQUE DU GERS. 7. — Hennos e chibaus N'i a pas sense defaus. 8. — Brut de lauadé Brut d'arré. 9. — Uo henno e un aucat Tengueren un marcat. Un ome e un porc Le tengueren mès hort 10. - Henno que parlomento Mintat counsento 11. - Ome de palho Bau henno d'or. 12. — Henno e gato De gran mau escapo. 13. — Henno courrièro Brico menatgèro. 14. — Uo henno grosso A un pè dins la hosso. 15. — Paraulos de henno Bent que passo. 16. - Henno cridassèro Brut à la carrèro. 17. — Henno courrio Soupo fredo. 18. — L'agulho e le didau Pedaçon l'oustau. 19. — Gap de henno Gap de diable. 20. — Bèro henno Machant cap. 21. - Henno barbudo Auelho cournudo Bouéus mascarets Très diables qu'auets. 22. — L'aigo ouasto le bin La carreto le camin E la henno le besin. 23. - Henno que balentejo Oustau que daurejo. 24. — Le pedassa Hè dura. 7. — Femmes et chevaux — il n'y en a pas sans défauts. 8. — Bruit de lavoir— Bruit de rien. 9. — Une femme et un oison — Tiendraient un marché — Un homme et un porc — Le tiendraient plus fort. 10. — Femme qui parlemente — A moitié consent. 11. — Homme de paille — Vaut femme d'or. 12. — Femme et chatte — A grand mal échappe. 13. — Femme coureuse — Pas du tout ménagère. 14. — Une femme grosse — A un pied dans la fosse. 15. — Paroles de femme — Vent qui passe. 16. — Femme criarde — Bruit dans la rue. 17. — Femme coureuse — Soupe froide. 18. — Les aiguilles et le dé — Raplècent la maison. 19. — Tète de femme — Tète de diable. 20. — Belle femme — Mauvaise tète 21. — Femme barbue — Brebis cornue — Boeufs bariolés — Trois diables vous avez. 22. — L'eau gâte le vin — La charrette, le chemin — Et la femme, le voisin. 23. — Femme vaillante — Maison d'or. 24. — Rapiécer — Fait durer. TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 241 25. — Las hennos soun pas de maçous Mès hèn ou dehèn las maisous. 26. — Henno e telo Las croumpes pas à la candelo. 27. — Uo brabo henno e uo bouno pèiro entau dalh Bien urous qui las escai. 28. — Se cau mefisa d'un darrè d'uo mulo E d'uo henno moustachudo. 29.— Henno que cots ou que hè bugado Ei mintat holo ou enratjado. 30.— Bau milhou esta soul Que mau accoumpagnat. 31. — Beutat de henno e boun bin Dechidon de boun maitin. 32.— Jamès beuso sense counselh Ni dissadde sense sourelh. 33. — Uo bouno henno e un boun meloun N'i a pas a fouesoun. 34. — Uo henno qu'at bouto bien engoualhat Estaubio tens, argent e coupo-cap. 35. — Mountagno claro e henno fardado Soun pas de loungo durado. 36. — Las crabos s'attrapon pe las cornos Las hennos pe la lengo. 25. — Les femmes ne sont pas des maçons — Mais elles font et défont les maisons. 26. — Femme et toile — Ne les achète pas à la chandelle. 27. — Une bonne femme et une bonne pierre pour la faux - Bienheureux qui les trouve. 28. — Il faut se méfier du derrière d'une mule — Et d'une femme moustachue. 29. — Femme qui fait cuire du pain ou qui fait la lessive — Est à moitié folle ou enragée. 30. — Il vaut mieux être seul — Que mal accompagné. 31. — Beauté de femme et bon vin — Réveillent de bon matin. 32. — Jamais veuve sans conseil — Ni samedi sans soleil. 33. — Une bonne femme et un bon melon — Il n'y en a pas à foison. 34. — Une femme qui est bien rangée — Epargne argent, temps et casse-tête. 35. — Montagne claire et femme fardée — Ne sont pas de longue durée. 36. — Les chèvres s'attrapent par les cornes — Les femmes par la langue. 242 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. 37. - Très oulos dauant le houec Sinne de hesto, Tres hennos diguens uo maisoun Bran de pesto. 38. — De henno, de pèro, d'amouro Causis la que plouro. 39. — Enta hè cara un henno Le calerè hè un punt à la lengo. 40. — Jamès henno mudo N'ei estado dou marit batudo. 41. — Henno barbudo Tout lou mounde la saludo. 42. — Quand las hennos benguen dou riu Se minjaren l'ome tout biu. 43. — En touto sasoun La henno esta bien à la maisoun. 44. — Carnabal dambe la moulhè Pascos dambe le curè. 45. - Beutat de henno e le boun bin Hèn rebelha l'orne de maitin. 46. — A la maisoun e au casau Se counech la henno ço que bau. 47. — Se la henno ei capsado e rengado Le marit pourtara pas hardo pedaçado. 37. — Trois pots devant le feu — Signe de fête — Trois femmes dans une maison — Signal de tempête 38. — Des femmes, des poires, des mûres — Choisis celle qui pleure. 39. — Pour faire taire une femme — Il faudrait lui coudre la langue. 40. — Jamais femme muette — N'a été battue par son mari. 41. — Femme barbue — Tout le monde la salue. 42. — Quand les femmes viennent du ruisseau — Elles mangeraient le mari tout vivant. 43. — En toute saison — La femme est bien à la maison. 44. — Carnaval avec sa femme — Pâques avec le curé. 45. — Beauté de femme et le bon vin — Font réveiller les hommes de grand matin. 46. — A la maison et au jardin — On connaît ce que la femme vaut. 47. — Si la femme est ordonnée et rangée — Le mari ne portera pas les habits rapiécés. TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 243 48. — De peus rous, de henno barbudo Saubo-te à la courrudo. 49. — La henno abisado Quan plau, hè la ruscado. 50. - Uo brabo henno à l'oustau Uo bouno peiro entau dalh Bien urous qui las escai. 51. — A machant chibau, l'esperoun ; A machanto henno, le bastoun. 52. — Henno que nou mainatgejo Henno que s'auejo. 53. — Henno que hè la bugado e que hè au hour A le diable à l'entour. 54. — Branco berdo Henno joueno Pan caud Très causos que ruinon l'oustau. 55. — Duos hennos en un oustau S'entenen atau-atau. E quand n'i a tres Le diable qu'i es. 56. — A la henno e a la pigo Dits ço que bos que-s digo. 57. — La henno arrits coumo pot E plouro coumo bo. 58. — La henno, forço lengo Pau de cap. 48. — De cheveux roux, de femme barbue — Sauve-toi à la course. 49. — La femme avisée — Quanr il pleut, fait la lessive. 50. — Une brave femme à la maison — Une bonne pierre pour la faux — Bienheureux qui les rencontre. 51. — A mauvais cheval, les éperons — A méchante femme, le bâton. 52. — Femme qui n'a pas d'enfants — Femme qui s'ennuie. 53. — Femme qui fait la lessive et va au four — A le diable tout autour. 54. — Branche verte — Femme jeune — Pain chaud — Trois choses qui ruinent la maison. 55. — Deux femmes dans une maison — S'entendent couci-couci — Et quand il y en a trois — Le diable y est. 56. — A la femme et à la pie — Dis ce que tu veux qu'il se dise. 57. — La femme rit comme elle peut — Et pleure comme elle veut. 58. — La femme a plus de langue — Que de tête. 244 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. APPENDICI. 1. — LE UELH. 1. — Uelh draubit Potcho fermado. 2. - Uelh blanc Uelh de can. 3. — Uelh clucat Orne endroumit. 4. — Uelhs perduts Mas adretos. 5. - Corno-uelh Lèjo ouardaduro. 6. — Uelh lagagnous Rebelhat-bous. 7. - Uelh engourgat Co macat. 8. - Uelh bergougnous Caractèro dous. 9. — Uelh esmerit Sinne de santat. 10. — Uelh en debat Maufiso-t goujat. 11. — Uelh de trauès Machantos idèios. 12. — Uelh dous Uelh amistous. 13. — Cop de reuelh Orne en coulèro. 14. — Uelh de beire Camo de bouès. 15. — Bisto-flac Machant utis. 16. — Abugle Maisoun sense finestro APPENDICE. 1. — L'OEIL. 1. — OEil ouvert — Poche fermée. 2. — OEil blanc — OEil de chien. 3. - OEil fermé — Homme endormi. 4. — Yeux perdus — Mains adroites. 5. — Regard de travers — Mauvais regard. 6. — OEil chassieux — Réveillez-vous. 7. — OEil mouillé — Coeur meurtri. 8. — OEil timide — Caractère doux. 9. — OEil vif — Signe de santé. 10. — OEil en dessous — Méfie-toi, jeune homme. 11. — OEil de travers — Mauvaises idées. 12. — OEil doux — OEil affectueux. 13. — Coup d'oeil méchant — Homme en colère 14. — OEil de verre — Jambe de bois. 15. — Vue courte — Mauvais outil. 16. — Aveugle — Maison sans fenêtre. TROISIÈME ET QUATRIEME TRIMESTRES 1924. 245 17. — Un uelh que ben Cent que croumpon. 18. — Uelh lagagnous Bisto courto. 19. — Borgne Uo finestro barrado L'auto draubido. 20. — Uelh blu Tento per sigu. 21. — Uelh blanc Co machant. 22. — Uelhs bèts Ço que cor bo. 23. — Lermo au uelh Cor malau. 24. — Cop de uelh Cop de sourelh. 25. — Qui ben un uelh Qui croumpo cent uelhs. 26. — Uelh nère Uelh de tigre. 27. — Uelh round Ren de boun. 28. — Uelh lagagnous Ome hastious. 29. — Uelh lusent Bau argent. 30. — Uelh esmerit Plen d'esprit. 31. — Uelh de gat Orne de cap. 32. — De uelh enfounçat Ten-te parat. 33. — Boun uelh Adret cassaire. 34. — A courto bisto Bisto de nas. 35. — Uelh endroumit Sale pouirit. 17. — Un oeil vend — Cent achètent. 18. — OEil chassieux — Vue courte. 19. - Borgne — Une fenêtre fermée — L'autre ouverte. 20. — OEil bleu — Tentateur. 21. — OEil blanc — Coeur méchant. 22. — Yeux beaux — Ce que le coeur veut. 23. — Larme à l'oeil — Coeur malade. 24. — Coup d'oeil — Coup de soleil. 25. - Qui vend, un oeil — Qui achète, cent yeux. 26. — OEil noir — OEil de tigre. 27. — OEil rond — Rien de bon. 28. — OEil chassieux — Homme ennuyeux. 29. — OEil luisant — Vaut argent. 30. — OEil vif — Plein d'esprit. 31. — OEil de chat — Homme de tête. 32. — D'oeil enfoncé — Méfie-toi. 33. — Bon oeil — Adroit chasseur. 34. — A courte vue — Vue de nez. 35. — OEil endormi — Sale pourri. 16 246 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. 2. — LE NAS. 1. — Bet nas Poulit bisatge. 2. — Gros nas Petito bergougno 3. — Nas prim Nas couquin. 4. — Nas court Bèt toupet. 5. — Nas loung Gourto bisto. 6. — Nas abourruat Nas aboutelhat. 7. — Nas pounchut Lengo ahilado. 8. — Nas arrupat Finè attrapat. 9. — Quand coulo le nas Omenot ou bielhas. 10. — Boun nas Machanto lengo. 11. — Nas rebirat Mas de pego. 12. — Le rouge au nas Le bin à l'estoumac. 13. — Nas platut Parla enrumat. 14. — Nas bourmecous Nas de mainatjous. 15. — Camo torto Nas pouirit. 16. — Nas au delensus Da jamès plus. 17. — Nas au delembat Sarrat. 18. — Nas flaraire Orne gourmand. 19. — Lèuo-nas Courriu. 2. — LE NEZ. 1. — Beau nez — Joli visage. 2. — Gros nez — Petite vergogne. 3. — Nez fin — Nez coquin. 4. — Nez court — Beau toupet. 5. — Nez long — Courte vue. 6. — Nez avec boutons - Nez aviné. 7. — Nez pointu — Langue affilée. 8. — Nez abaissé — Malin attrape. 9. — Quand le nez coule — Jeunet ou vieillot. 10. — Bon nez — Méchante langue. 11. — Nez retourné — Main de poix de voleur. 12. — Le rouge au nez — Le vin à l'estomac. 13. — Nez aplati — Voix enrouée. 14. — Nez morveux — Nez d'enfant. 15. — Jambe boiteuse — Nez pourri. 16. — Nez en l'air — Homme généreux. 17. — Nez recourbé — Avare. 18. — Nez qui flaire — Homme gourmand. 19. — Nez levé — Trotteur. TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 247 20. — Nas court Feniant. 21. — Nas sauçaire Curious. 22. — Nas releuat Bestiasso. 23. — Nas de trauès Mau agit. 24. — Nas osteng Sarnalho. 25. — Nas que candejo Malau que plaidejo. 20. — Nez court — Paresseux. 21. — Nez dans la sauce — Curieux. 22. — Nez retourné — Pas rusé. 23. — Nez de travers — Maladroit. 24. — Nez osseux — Homme maigre. 25. — Nez transparent — Malade qui plaide. 3. — LE POT. 1. — Pot fin Bet rise. 2. — Pot de praube Bouco de Diu. 3. — Pot sarrat Co fermat. 4. — Pot toursut Colerous. 5. — Petit pot Grosses poutets. 6. — Pot que tremblo Sang que bourich. 7. — Pot pinçat Grandous. 8. — Pot draubit Rise esclarit. 9. — Pot lusent Bouno cousino. 10. — Pot biulet La mort a la paret. 11. — Pot arrupat Mourtificat. 12. — Pot sarrat Rise de gat. 3. — LA LÈVRE. 1. — Lèvre fine — Joli rire. 2. — Lèvre de pauvre — Bouche de Dieu. 3. — Lèvre pincée — Coeur fermé. 4. — Lèvre tordue — Homme coléreux. 5. — Petite lèvre — Gros baisers. 6. — Lèvre qui frémit — Sang qui bout. 7. — Lèvre pincée — Hautain. 8. — Lèvre ouverte — Rire large. 9. — Lèvre luisante — Bonne cuisine. 10. — Lèvre violette — La mort à côté. 11. Lèvre pincée — Mortifiée. 12. — Lèvre serrée — Rire de chat. 248 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. 13. — Pot pounchut Cap testut. 14. — Pot blanc Petito santat. 15. — Pot retroussat Esprit clucat. 16. — Pot brescat Torro de fret. 17. — Pot pounchut Pot de nicho. 18. — Pot arrisent Gracious. 13. — Lèvre pointue — Têtu. 14. — Lèvre blanche — Petite santé. 15. — Lèvre retroussée — Esprit fermé. 16. — Lèvre gercée — Froid glacial. 17. — Lèvre pointue — Lèvre grimace. 18. — Lèvre riante — Gracieux. 4. — L'AURELHO. 1. - Bèro aurelho Petit cap. 2. — Aurelho fino Poulit cantaire. 3. — Aurelho petiteto Filho poulideto. 4. — Aurelho traucado Lengo descabestrado. 5. - Aurelhos de mainatges Granos aurelhos. 6. — Aurelho fretado Drolle castigat. 7. — Sourdo aurelho Mau barrado. 8. — Loungos aurelhos Cap d'ase. 9. — Aurelho chirado Enten milhou. 10. — Bouno aurelho Machant co. 11. — Aurelho de ségo Mousségo. 12. — Aurelho boussuado Cap-bourrut. 4. — L'OREILLE. 1. - Belle oreille — Petite tête. 2. — Oreille fine — Joli chanteur. 3. - Oreille petite — Fille jolie. 4. - Oreille trouée — Langue déliée. 5. — Oreilles d'enfants — Grandes oreilles. Oreille frottée — Enfant châtié. 7. - Sourde oreille — Main fermée. 8. — Longues oreilles — Oreilles d'âne. 9. — Oreille tirée — Entend mieux. 10. — Bonne oreille — Méchant coeur. 11. — Oreille de haie — Mord. 12. — Oreille bouchée — Tête dure. TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 249 5. — LE MENTOUN. 1. — Barbo au mentoun A pas toustem rasoun. 2. — Mentoun round San-rasoun. 3. — Bet mentoun Letch bisatge. 4. — Un mentoun Boun. Dus mentous Hurous. Très mentous Hastious. Mes de mentous Malerous. 5. — Petit mentoun Bouno faiçoun. 6. — Mentoun pelut Toustem cerco brut. 7. — Mentoun lusent Bente countent. 8. — Nat mentoun Hame à la maisoun. 9. — Rous mentoun Flou de jouentut. 10. — Tout mentoun Sent-Cachoun. 11. — Mentoun releuat Gap enlairat. 12. — Mentoun lusent Boun dinna. 13. — Mentoun negre pelut Bet atge. 14. — Mentoun blanc pelut Darrè atge. 5. — LE MENTON. 1. — Barbe au menton — N'a pas toujours raison. 2. — Menton rond — Sans raison. 3. — Beau menton — Laid visage. 4. — Un menton — Bon — Deux mentons — Heureux — Trois mentons — Ennuyeux — Encore plus de mentons — Malheureux. 5. — Petit menton — Bonne façon. 6. — Menton poilu — Toujours cherche du bruit. 7. — Menton luisant — Ventre content. 8. — Pas de menton — Faim à la maison. 9. — Menton rond — Fleur de Jeunesse. 10. — Tout menton — Homme sournois. 11. — Menton relevé — Tête en l'air. 12. — Menton luisant — Bon dîner. 13. — Menton noir poilu — Bel âge. 14. — Menton blanc poilu — Dernier âge. 250 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGITUE DU GERS. 6. — LA LENGO. 1. — Bouno lengo Machant cap. 2. — Parlo papè Caro-te lengo. 3. — Qui lengo a A Roumo ba. 4. — Lengo salado Magasin lourit. 5. — Pè caud Lengo ananto. 6. — Bin pintat Lengo barloco. 7. — Aurelho traucado Lengo descabestrado. 8. — Lengo roujo Sinne de santat. 9. — Lengo pastouso Maufiso-t goujat. 10. — Lengo nerouso Carnalitat benimouso. 11. — Lengo seco Houec diguens. 12. — Tiro la lengo Haras pietat. 13. — Detras sègo Digos pas paraulo pègo. 14. — Parla prou e noun pas trop Aco qu'èi lou cop. 15. — La henno e le recardè Dèchon pas la lengo darrè le cabecè. 16. — Les boueus se prenguen per las cornos Les ornes per la lengo. 6. — LA LANGUE. 1. - Bonne langue — Mauvaise tête. 2. — Parle, papier — Tais-toi, langue. Qui langue a — A Rome va. 4. — Langue salée — Estomac chargé. 5. — Pied chaud — Langue agile. 6. — Vin bu — Langue déliée. 7. - Oreille percée — Langue débridée. 8. — Langue rouge — Signe de santé. 9. - Langue empâtée — Méfie-toi, jeune homme. 10. — Langue noirâtre — Maladie infectieuse. 11. — Langue sèche — Feu dedans. 12. — Tire la langue — Tu feras pitié. 13. - Derrière une haie. — Ne dis pas des paroles sottes. 14. - Parler assez et non pas trop — C'est là la difficulté. 15. — La femme et le revendeur — Ne laissent pas la langue derrière le traversin. 16. - Les boeufs se prennent par les cornes — Les hommes par la langue. TROISIÈME ET QUATRIEME TRIMESTRES 1924. 251 17. — A la fin de la caliçado Lengo entrecamado. 18. — Bau milhou escoupi Que s'empassa la lengo. 19. — Bau milhou se cara Que-s hè un pic à la lengo. 20. — La lengo ei un hissoun pounchut Le que trauco ei perdut. 21. — La lengo ei pas qu'un tros de car Le mau que hè caberè pas diguens la mar. 17. — Après avoir bu beaucoup — Langue entravée. 18. — Il vaut mieux cracher — Qu'avaler la langue. 19. — Il vaut mieux se taire — Que de blesser la langue. 20. — La langue est un dard pointu — Celui qu'elle perce est perdu. 21. — La langue n'est qu'un morceau de chair — Le mal qu'elle fait ne tiendrait pas dans la mer. 7. — LE PEU. 1. — Peu negre Tigre. 2. — Peu de lin Couquin. 3. — Peu galhat Afrountat. 4. — Péu lis Bien pintouat. 5. — Peu platut Menut. 6. — Peu embaumat Uerdo aquet fat. 7. — Peu, pebe e sau Pèso le tiau. 8. — Péu bourrut Testut. 9. — Peu blound Attencioun. 10. — Peu rebichounat Aimat. 7. — LES CHEVEUX. 1. — Cheveux noirs — Tigre. 2. — Cheveux de lin — Coquin. 3. — Cheveux tachés de blanc — Effronté. 4. — Cheveux lissés — Bien peigné. 5. — Cheveux collants — Menu. 6. — Cheveux parfumés — Regarde ce fat. 7. — Cheveux poivre et sel — Pèse le fardeau. 8. — Tête ébouriffée — Têtu. 9. — Cheveux blonds — Attention ! 10. — Cheveux bouclés — Aimé. 252 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. 11. — Loungs péus Courtos idèios. 12. — Peu reboulhut Machant caractèro. 13. — Péu frisat Rebiro-t goujat. 14. — Cap bourrut Orne aleugit. 15. — Péu reboulhut Cap bourrut. 16. — Loungos unglos Peu à la man. 17. — Peu gris Coumbertis-te. 18. — Peu lusent Baient. 19. — Péu rouge Machant. 20. — Cap pelat Oun es anat. 21. — Le peu demoro au cap Ou au pintou. 22. — Péu entrouchinat Mau rengat. 23. — Peu bourdissat Orne courrijat. 24. — Péu enflairat Oh ! le grand fat. 25. — Péu blanc Foutant. 26. — Cap nut Foutut. 27. — Péu herit Transit. 28. — Cap de nèu La mort, lèu. 29. — Péu blanquious Tens auejous. 30. — Péu capsat Rengat. 11. — Longs cheveux — Courtes idées. 12. — Cheveux hérissés — Mauvais caractère. 13. — Cheveux frisés — Retourne-toi, jeune homme. 14. — Tête tondue — Homme allégé. 15. — Cheveux hérissés — Tête bourrue. 16. — Ongles longs — Poil à la main. 17. — Cheveux gris — Convertis-toi. 18. — Cheveux luisants — Vaillant. 19. — Cheveux roux — Méchant. 20. — Tête chauve — Où es-tu allé ? 21. — Les cheveux restent à la tête — Ou au peigne. 22. — Cheveux enchevêtrés — Mal rangé. 23. — Cheveux tirés — Homme corrigé. 24. — Cheveux parfumés — Ah ! le grand fat ! 25. — Cheveux blancs — Mauvais augure. 26. — Tête nue — Condamné. 27. — Cheveux dressé — Homme transi. 28. — Tête de neige — La mort bientôt. 29. — Cheveux blancs — Age ennuyeux. 30. — Cheveux en ordre — Rangé. TROISIÈME ET QUATRIEME TRIMESTRES 1924. 253 31. — Cap pelat Adiu ainat. 32. — Péu chirat Courrijat. 31. — Tête chauve — Adieu aîné. 32. — Cheveux tirés — Corrigé. 8. — LE PÈ. 1. — Pè menut Poulit dansaire. 2. — Loung pè Lèt dansaire. 3. — Pè de gat Boun marchaire. 4. — Grand pè Ome patut. 5. — Pè descaus Gare as calhaus. 6. — Pè descaus e cap nut Forço misèro. 7. — Cado espenegado Soun escriut. 8. — Trabuquo Mes desparle pas. 9. — Cau pas cambia L'esclop de pè. 10. — Praube soui Caussa moun esclop boui. 11. — S'es descaus Semués pas espicés. 12. — Pè doulent Cap malaut. 13. — Pè caud Lengo ananto. 14. — Pè sarrat Mau de cap. 15. — Quand le pè se moulho Le nas que coulo. 16. — Pè entemuat Orne cansat. 8. — LE PIED. 1. — Pied petit — Joli danseur. 2. — Long pied — Lent danseur. 3. — Pied de chat — Bon marcheur. 4. — Grand pied — Homme lourd. 5. — Pied déchaussé — Gare aux cailloux. 6. — Pied déchaussé et tête nue — Beaucoup de misère. 7. — Chaque empreinte — Sa marque. 8. — Trébuche — Mais ne dis pas de sottises. 9. — Il ne faut pas changer — Le sabot de pied. 10. — Pauvre je suis — Mais je veux chausser mon sabot. 11. — Si tu es déchaussé — Ne sème pas d'épines. 12. — Pied dolent — Tête malade. 13. — Pied chaud — Langue qui va. 14. — Pied serré — Mal à la fête. 15 Quand le pied se mouille — Le nez coule. 16. — Pied excorié — Homme fatigué. 254 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. 17. — Le pè ba loui Quand manquo le cap. 18. — Hè trouta le pè Se bos dinè. 19. — Troto pè Cerqui moulhè. 20. — Le pè s'arresto Quand manquo le co. 21. — Estoumac estarit Pè afflaquit. 22. — Estoumac parat Pè arrestat. 23. A pas leuat le pè Besi la solo. 24. — Caussat sarrat Aïe ! Aïe ! 25. — Pè de singe Hitge de can. 26. — Pè barrat Maufiso-t goujat. 27. - Pè draubit Boun efant. 28. — Pè platut Ome patut. 29. - Pé emblincat Machant sounlat. 30. — Pè de boumbo Machant besin. 31. — Pè mignoun Hè faïçoun. 32. - Bien caussat Miè moussu. 33. — A pas leuat le pè Qu'ou besen la solo. 34. — Un pè Bau milhou que duos es[cassos. 17. — Le pied va loin — Quand manque la tète. 18. - Fais trotter le pied — Si tu veux de l'argent. 19. — Trotte, pied — Je cherche femme. 20. — Le pied s'arrête — Quand manque le coeur. 21. - Estomac fatigué — Pied affaibli. 22. — Estomac gâté — Pied arrêté. 23. - Il n'a pas levé le pied — Je vois la semelle. 24. — Chaussure étroite — Aïe ! Aïe ! 25. — Pied de singe — Foie de chien. 26. — Pied fermé. — Méfie-toi, jeune homme. 27. — Pied ouvert — Bon enfant. 28. — Pied plat — Homme lourd. 29. — Pied luxé — Mauvais soldat. 30. — Pied bot — Mauvais voisin. 31. — Pied mignon — Fait des façons. 32. — Bien chaussé — Demi monsieur. 33. — Il n'a pas levé le pied — Que nous voyons la semelle. 34. — Un pied — Vaut mieux que deux béquilles. TROISIÈME ET QUATRIEME TRIMESTRES 1924. 255 9. — LA MAN. 1. — Fino man Petit trabalh. 2. — Pato gauchè Petit oubriè. 3. — Man blanqueto Cerco floureto. 4. — Man peludo De loungo duro. 5. — Man crebassado Balento man. 6. — Maneto, maneto morto Un bèt couhat s'emporto. 7. — Man de pai Duro man. 8. — Man de mai Douço man. 9. - Man d'amic Bèro fourtuno. 10. — Trop de mas Praubo cousino. 11. — A man esquerro Mau birat. 12. — Man sarrado Amistat dado. 13. — Man proumeso Co dat. 14. — Man toucado Papè sinnat. 15. — Man traucado Maisoun ruinado. 16. — Biro à la tuo man Aco ba plan. 17. — Mas croutsados Quinos pensados. 18. — Sourdo aurelho Man barrado. 19. — Loungos unglos Man fenianto. 9. — LA MAIN. 1. — Main fine — Petit travail. 2. — Homme gaucher — Petit ouvrier. 3. - Main blanchette — Cherche fleurette. 4. — Main poilue — De longue durée. 5. — Main gercée — Main vaillante. 6. — Main morte, main morte, — Un beau soufflet emporte. 7. — Main de père — Dure main. 8. — Main de mère — Douce main. 9. — Main d'ami — Belle fortune. 10. — Trop de mains — Pauvre cuisine. 11. — A main gauche — Mal tourné. 12. — Main serrée — Amitié donnée. 13. — Main promise — Coeur donné. 14. — Main touchée — Papier signé. 15. — Main percée — Maison ruinée. 16. — Tourne à ta main — Cela va bien. 17. — Mains croisées — Quelles pensées ! 18., — Sourde oreille — Main fermée. 19. — Ongles longs — Poil à la main. 256 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. 20. — Man blanco Man fenianto. 21. — Toco-manetos Jouan Bestio ou Trauessè. 22. — Uo brabo man e cinq [dits adrets Balen mès que siés [bailets. 20. — Main blanche — Main fainéante. 21. — Celui qui touche la main à tout le monde — Est un imbécile ou un coquin. 22. — Une bonne main et cinq doigts adroits — Valent mieux que six valets. Les proverbes sont la sagesse » de la race. Nos gascons, en ces formules brèves de leurs proverbes, se sont peints admirablement eux-mêmes, et la langue imagée et forte dont ils se sont servis a su merveilleusement traduire leurs sentiments. Ils peuvent peut-être manquer d'idéal, mais quel réalisme et quelle vérité dans ces formules ! Voulez-vous savoir comment doit finir l'homme ? Nos ancêtres n'avaient pas besoin de longues dissertations pour faire le tableau; quatre mots expressifs, énergiques comme quatre coups de crayon, et le personnage est campé dans son milieu La bouneto Las escassos La tabatièro Le cournè. L'homme et la femme, d'une manière vive, saisissante, humoristique, avec un coloris un peu forcé, surtout pour la femme, sont représentés sous un jour bien connu, à telle enseigne qu'on dit spontanément après chaque proverbe c'est bien ça ! Le que trabalho Se counserbo la palho Fie que hé pas ren Se minjo le hen. Henno au finestroun Terro au ras dou pount Bigno sou camin Au pas jamés bouno fin. Dans une dissertation française, on cite souvent des sentences latines quand on parle de l'amitié, par exemple, on TROISIÈME ET QUATRIEME TRIMESTRES 1924. 257 exhume toujours le proverbe Donec eris felix, etc., etc.. Pourquoi ne pas emprunter au gascon des formules similaires ? Elles auraient autant d'éclat, sinon davantage Las bounos sourços se couneguen à la sequèro Les bounes amics se couneguen à la praubero. NOTE. A Monsieur Pouydebat, avoué à Agen. Pérès, le 30 juin 1815. MON CHER POUYDEBAT, Je profite de la première commodité qui s'offre pour vous donner de mes nouvelles et vous instruire de ma position. J'ai fait mon voyage jusqu'ici très heureusement, les circonstances et les événements qui viennent de se passer dans les environs m'y retiennent encore. Je compte cependant en partir demain ou après-demain. J'ai pris le parti de suivre la traverse jusqu'à ma destination pour éviter les patrouilles qui se font la nuit sur les grandes routes depuis la malheureuse affaire qui vient d'avoir lieu; vous devez en avoir connaissance. Néanmoins, je vais vous la raconter. Près de 400 déserteurs se trouvaient réunis dans les communes de Terraube et de Marsolan ou dans le bois de l'Arramée. Les garnissaires furent envoyés au nombre de 50 dans les deux communes. Les déserteurs les ont attaqués et en ont blaissé plusieurs et après leur attaque, ils se retiraient dans le bois de l'Arramée, mais au même instant un escadron de cavalerie qui avait été au secours des garnissaires est tombé sur eux l'issue du combat a été que huit déserteurs ont restés morts sur le champ de bataille et une vingtaine de blessés ont été conduits à Auch pour y subir le sort qu'ils s'ont malheureusement attiré. Le reste a pris la fuite, la troupe n'a pas eu un homme de mort. La désolation et la terreur est dans ces contrées. Quelles calamités ! Je ne vous parle pas de l'accueil favorable qui m'a été fait vous en étiez persuadé d'avance. Veuillez me dire un mot sur les affaires du temps. On vient de nous apprendre que les hostilités avaient commencé. Veuillez agréer et faire agréer à Madame Pouydebat les sentiments d'affection et de reconnaissance du malheureux ROBINSON CRUSOÉ. — Madame Pouydebat aura la complaisance de faire 3 baisers à Alban pour moi. Bien des choses à ma tante et à mes soeurs. Veillez, je vous prie, à ce qu'on ne me comprenne pas sur le contingens des conscrits de 1815. Je compte sur vos soins à cet égard. Ne vous en repportez qu'à vous-même. Je serais plutôt sur de la réussite. 258 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. NOTES SUR VIC-FEZENSAC. LES BIENS NATIONAUX, PAR M. Z. BAQUÉ. 19. — Leur Liste. — L'Assemblée constituante, pressée par des besoins d'argent considérables, s'empara de tous les biens du Clergé dont elle fit les biens nationaux. Voici ceux de Vie 1 Cordeliers Le 3 mai 1790, le maire et quelques officiers municipaux firent leur apparition au couvent des Cordeliers et dressèrent le procès-verbal suivant ... Nous somme trans" portés dans la maison des révérans pères cordeliers de la pré sente ville ou nous avons trouvé le Révérand père Etienne Majeau, ex-définitur dudit ordre, auquel a été faite lecture des susdites lettres patentes et décrets en conséquence desquelles " lavons requis de nous représenter les registres et comptes des " régies de la maison pour les arrêter et former un résultat des " revenus de la maison... ». Cette visite domiciliaire avait été prévue, car à la date du 31 mars 1790 le journal des dépenses avait été arrêté de la façon suivante " Nous avons arrêté le compte de la dépense [qui] monte à la somme de 45 livres, " laquelle jointe à celle de 694 l. 2 s. 6 d. font ensemble 739 l. 2 s. 6 d. qui seront dus au comptable... Signé E. MAJEAU ". Les commissaires n'ayant point trouvé d'argent, ne trouvèrent pas davantage des objets mobiliers de valeur; le dénûment le plus complet semblait régner dans l'église, la sacristie, le couvent; les commissaires acceptèrent sans insister la déclaration du P. Majeau, qui prétendit vivre de la charité publique. Les passions révolutionnaires n'étaient pas encore trop éveillées à Vic ; les agents de l'administration usèrent de procédés bienveil1 bienveil1 Spoliation des Courents et Eglises du Gers pendant la Révolution. TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 259 lants à l'égard du personnel qui n'était pas très considérable, car il ne se composait que du P. Etienne Majeau, soixante-quinze ans ; de Pierre Barrau, le gardien; de Pierre Durruty, âgé de cinquante-cinq ans. Laurent Descurret était détaché à Condom en qualité de confesseur des religieuses de Sainte-Claire, Mathieu Dallas faisait fonctions de gardien à Samatan. A défaut de mobilier, le couvent possédait, outre le monastère estimé liv., une prairie de liv. et un champ de liv. Capucins 1. — L'inventaire de leurs biens ne fut pas long il mentionnait seulement 46 volumes de théologie, 1 calice, 1 ostensoir, 1 custode, 1 encensoir, 4 aubes, 6 chasubles. Tout fut enlevé et confié à la garde du citoyen Bernard Préneron, sacristain de l'église paroissiale. Prémontrés 2. — Le 4 mai 1790, les officiers municipaux ne trouvèrent à la grange des Prémontrés que Laurent Duprat, supérieur de la communauté depuis 29 août 1789, et le sommèrent de lui livrer les clés de maison. Après quelques protestations, il s'exécuta et soumit aux enquêteurs les meubles, les rentes constituées et les bénéfices de la maison ; on mentionna au procès-verbal les revenus des différentes propriétés du monastère, estimés livres; 1 calice et sa patène, 60 L; 1 ostensoir, 50 1.; 1 ciboire, 12 l.; 12 chasubles sans valeur. Pas de bibliothèque, pas d'argent; mobilier rudimentaire. Les immeubles comprenaient Un champ et une orangerie à Vie, estimés livres; Deux prés dans la même commune, liv. ; Une métairie en Biran Sarambat-Marteret, liv.; Une métairie en Belmont, liv. Chapellenie Saint-Biaise. — A l'hôpital de Vie était rattachée la chapellenie de Saint-Blaise, fondée par Blaise d'Arquier le 1 ld. 2 D'après Spoliation des Courants et Églises du Gers sous la Révolution. 260 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. 10 juin 1696. Le titulaire actuel, l'abbé Joseph Mérignon, jouissait d'une dotation de 203 livres. Elle fut mise sous séquestre ainsi qu'un pauvre mobilier composé d'un vieux calice, d'une chasuble sans valeur et de quatre-vingt-cinq volumes reliés. Ghapelleuies de Sères, de Bernin, de Bidet. — La première ne prélevait que quelques dîmes dans les paroisses de Polignac, Mouchan, Saint-André. Les deux autres consistaient en deux propriétés portant ces noms et en quelques autres immeubles dont le détail suit Trois maisons à Vie, vendues le 21 février 1791 pour liv.; Cinq prés à la rivière, liv.; Un champ à Vie, 750 liv.; La propriété de Cabarré, liv. 20. — Projets de la Municipalité. — Dès le 17 mars 1790, quatre cents millions de ces biens furent mis en vente; mais les acheteurs, craignant sans nul doute d'être dépossédés par une contre-révolution, ne se présentèrent pas. Lacroix de Nogaro, procureur-syndic de Vic-Fezensac, ému de cette situation, tint à l'assemblée communale le discours suivant 1 K De toutes parts les municipalités s empressent de concourir " à l'envi à accélérer le Grand-OEuvre de la Révolution par leurs offres d'acheter les biens nationaux. Pendant que cet " esprit public se propage dans tous les coeurs animés du zèle de " la Patrie, resterons-nous seuls, chargés de la confiance d'une " cité qui a le plus grand intérêt à se faire connaître par des actes " du civisme le plus généreux, dans une létargie blâmable et " suspecte à tous les citoyens 9 Non, messieurs, nous sommes seurs que nous désirons tous d' en sortir en nous montrant des hommes " nouveaux, dignes soutiens et coopérateurs de l'édifice dont nos augustes représentants viennent de jeter les fondemens... " Mais chargés par état de donner l'exemple du plus pur " patriotisme... nous manquerions à nos devoirs si nous ne son" son" à rétablir le crédit que les enemis de la nouvelle constitu1 constitu1 municipales ; 13 juin 1790. TROISIÈME ET QUATRIEME TRIMESTRES 1924. 261 tion ne cessent de détruire... Nous n'avons en vue que l'avan tage de la communauté en vous conviant à faciliter l'exécution " des décrets de l' Assemblée nationale en faisant la demande des " Biens nationaux auprès du Comité chargé de leur aliénation. » Les notables se rendirent à ces réquisitions et chargèrent Cassaignolles de se rendre à Auch pour s'enquérir de la manière dont il fallait soumissionner. De retour, celui-ci dit Je vous proposerai d'étendre notre soumission sur les biens nationaux qui se trouvent dans les municipalités voisines de la nôtre, jusqu'à concurrence de livres. Nous concourrons par " là aux vues de l'Assemblée nationale pour le rétablissement des " finances de l'État Et nous procurerons à notre municipalité le premier patrimoine dont elle ait encore joui et dont elle a tant besoin. » La proposition fut adoptée, et de suite fut dressée la liste suivante des biens dont la commune désirait faire l'acquisition 1 1° Le moulin de Vie appartenant à l'archevêque et au chapitre, loué 725 l. 2° Le moulin de Laumet appartenant au chapitre seul, et loué. 859 l. 3° Les chapellenies du Bernin, de Sénac, du Bidet, quelques terres du chapitre, louées ensemble .... 305 l. 4° La tour du chapitre, louée 80 l. 5° Une maison, cloître, église, jardin, appartenant aux chanoines Prémontrés Notre-Dame, non loués. » 6° Une maison, cloître, enclos, appartenant aux Révérends Pères Cordeliers Le Couvent » 7° Une maison, église, enclos, appartenant aux Révérends Pères Capucins " [ Ces biens sont situés dans la présente ville et payent en impôt direct une somme de 427 l. 15 s. 6 d.] 8° Les biens de las Matalenes, appartenant aux Prémontrés et situés dans la commune de Mourède, loués. . . 344 l. 10 s. 1 Délibérations municipales 16 juillet 1790. 17 262 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. 9° Le moulin de Justian et les terres attenantes, appartenant au prieur de la ville 760 l. » 10° La métairie du Marteret, appartenant aux chanoines Prémontrés, située dans la commune de Biran , non louée. 11° Les deux métairies de Sarrambat et de VAüeillau, situées dans les municipalités de Caillavet et de Biran, louées l. » 12° La métairie de La Salle de Martimbat, appartenant au chapitre de Saint-Orens de la ville d' Auch, située dans la commune de Roquebrune, louée l. » 13° Le moulin de 8aint-Jean-Poutge, appartenant aux Prémontrés de la Case-Dieu, affermé. l. » 14° La métairie de Bougos, située en Belrnont, appartenant aux mêmes, affermée l. » 15° Une métairie et des prés jouis par M. Marignan, prieur de Dému, situés à Dému et qui ne sont point affermés. Le produit annuel de ces biens est de livres. Il n'entrait certes pas dans l'esprit de la municipalité d'acheter pour la commune des biens d'une telle étendue. Elle voulait simplement se prêter à une combinaison qu'avait imaginée l'Assemblée constituante la commune achetant en gros et revendant en détail servait d'intermédiaire entre l'Etat et les acheteurs réels afin que cenx-ci fussent plus rassurés. Pour ce service elle recevait le l/16e du prix d'adjudication Lacroix avait bien raison de dire qu'il avait en vue l'intérêt de la commune ! 21. — Sort des biens nationaux. — Les ventes commencèrent en février 1791 et furent confiées aux six directoires des districts du département. Après la constitution de l'an III supprimant les districts, ce soin incomba à l'administration centrale; puis aux préfets après la loi du 28 pluviôse an VIII. La dernière adjudi- TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 263 cation eut lieu le 8 novembre 1823 1. Que devinrent les biens nationaux de la commune de Vie? L'église du Masvieux ou du cimetière, en partie démolie, fut vendue le 2 thermidor an IV avec vingt pierres provenant de la démolition des croix de la commune. Frix Latines dit Péchin fut déclaré adjudicataire moyennant 552 livres 10 sols 2. Il utilisa les matériaux provenant de la démolition pour bâtir la maison qui fait le coin de la route nationale et du chemin des Capots; aujourd'hui propriété de M. Loo et de M. Clarac 3. Le couvent des Prémontrés, et toutes ses dépendances, ancienne église, porche, sacristie, petite cour, salon, cuisine, etc., un escalier de pierre pour monter au premier étage où. il y avait neuf chambres, furent vendus le 7 ventôse an V aux citoyens Labadie, Commegeilles, Garros, moyennant livres 4. Le couvent, l'église et le jardin des Capucins fureut vendus le 21 mars 1791 à Jérôme Lacroix, homme de loi, moyennant livres 5. La maison des Pénitents-Blancs, vendue le 12 août 1793 au sieur Bordère moyennant livres, fut revendue par suite de folle-enchère, le 1er brumaire an III, au citoyen Palanque, qui en offrit livres 6. La maison et autres bâtiments appelés le Château, jouis par 1 PARFOURU Annuaire du Gers de 1888, p. 332. O In. id. p. 362. 3 Tradition orale. 4 PARFOURU Annuaire du Gers de 1889, p. 344. 5 P. PAKFOURTJ Biens nationaux; Annnaire, du Gers, 1889, p. 345. En 1809. la Commission administrative du Bureau de Bienfaisance Anthelme Cassaignolles, maire, président désire faire l'acquisition de l'église des ci-devant Capucins de cette ville qui lui a été offerte moyennant trois mille francs». Elle reconnaît " que la ci-devant église des Capucins et son vestibule, solidement construits, bordés au levant par une petite place, laissant en évidence la campaigne au midi et au nord, longée au midi par une grande route extrêmement large, paraît comporter le moyen de faire établir le logement nécessaire... parce qu'il sera infiniment rare d'avoir dans cette maison au delà de cinq ou six malades »;... que les matériaux de l'église et du vestibule sont d'une valeur supérieure au prix qui en est demandé ». Le projet fut bientôt abandonné. ° PARFOURU Biens nationaux; Annuaire du Gers, 1889, p. 350, 264 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Raymond Cassaignolles à titre d'engagement, fut vendue avec un jardin et un pré attenants à Jean-Paul Tournié, négociant d'Auch, moyennant livres 13 messidor 1. 22. — Sort dit couvent des Cordeliers. — Ce couvent eut à subir des vicissitudes plus grandes. L'assemblée municipale aurait bien voulu l'acquérir pour les besoins de la commune; elle voyait dans sa possession toutes sortes d'avantages Depuis longtemps nous sommes occupés des moyens de reconstruire notre hôpital que les eaux ont démoli; de nous procurer une maison commune où nous soyons en sûreté 2; des prisons que nous n'avons pas, ainsi que quelque maison pour l'enseignement public. La maison des Cordeliers avec l'enclos... remplirait tous ces objets... La municipalité demande à être admise à enchérir sur les offres qui pourraient être faites sur cette maison et enclos... " 1. L'adjudication eut lieu le 14 juin 1791. La commune n'avait pu faire diligence pour se procurer l'autorisation qui lui aurait permis de se mettre sur les rangs des acquéreurs. Lacroix de Nogaro 4, homme de loi, officier municipal, fut déclaré adjudicataire pour livres 5. Mais " comprenant l'utilité de ces objets pour la municipalité, et instruit des démarches quelle avait faites pour être authorisé à en faire l"adjudication, il se présente pour en faire l'offre à la communauté et la subroger à son lieu et place aux mêmes clauses et conditions de son acquisition ». 6 Son offre fut acceptée avec empressement. L'assentiment de l'Assemblée Nationale était nécessaire; mais la Constituante jugeant que la commune ne pouvait s'imposer une aussi forte dépense refusa l'autorisation. Cependant la municipalité de 1792 eût comme celle, de 1791 la hantise de 1 ID. id. p. 345. 2 Jusque-là elle avait été formée par le premier étage de la halle publique. 3 Délibérations municipales, 1790. 4 Lacroix, propriétaire du domaine de Nogaro, sur les bords de l'Auzoue, en Préneron. Remarquer la façon insidieuse, mais coutumière, dont les bourgeois du XVIIIe siècle essayaient d'usurper un titre nobiliaire. 5 P. PARFOURU Bien nationaux. Annuaire du Gers de 1889; p. 345. 6 Délibérations municipales 12 juin 1791, TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMERTRES 1924. 265 l'acquisition du couvent des Cordeliers. Ne pouvant l'acheter en entier, elle essaya d'en acquérir une partie et pria Lacroix, propriétaire officiel, de vendre " ... à qui bon lui semblerait, ou au plus offrant 1° la partie de l' Eglise, du clocher, du cloître, du jardin, qui se trouvera au lèvent dune ligne droite allant de la fassade du couchant du clocher 1 jusqu aux murs de la ville du midy ; 2° de plus, comme dessus, la partie de l'enclos comprise entre le mur du réservoir et... l'ancien mur de ville au couchant... » 2 ; mais il devait réserver une largeur de 24 pieds pour prolonger vers le midi la rue du champ de foire 3. On le voit, la municipalité parlait en maîtresse; elle se croyait, si bien propriétaire de l'immeuble qu'elle s'y était installée. Elle faisait tenir dans la chapelle les assemblées générales de la communauté, avait logé la gendarmerie dans les locaux du couchant, prêté une salle spacieuse à la société populaire montagnarde 4, réservé la presque totalité du jardin à l'aménagement d'un nouveau foirail. 5. Passent les heures les plus troubles de la Révolution. Les choses demeurent en l'état; mais l'acquisition du Couvent des Cordeliers préoccupe toujours l'esprit des administrateurs municipaux municipaux on en trouve trace dans plusieurs de leurs délibérations. 6 Lacroix de Nogaro avait déjà versé, en assignats, 2460 livres, le 24 août 1792 et 1407 le 1er vendémiaire an III, sommes représentant 1900 livres en numéraire 7. Mais quand il fut convaincu de ce que la commune obtiendrait difficilement le droit d'acquérir le domaine qu'elle convoitait, il cessa de payer et fut déclaré déchu de ses droits. 1 Remarquer cet axe. C'est lui qui a servi à déterminer la ligne de scindement de la chapelle en 1923. 2 Ce réservoir était la mare existant jusqu'en 1922 au coin N. W. de l'immeuble. L'enclos visé à ce paragraphe correspond au foirail des boeufs. 3 Délibérations municipales 19 septembre 1792. 4 ... méritant donc, à Vie comme à Paris, le surnom vulgaire de Club des Cardeliers». 5 Pétition au conseil de Préfecture; an IX. Imprimé.— L'ancien foirail s'étendait hors des murs de ville, entre la fontaine de la Place de la Mairie et les bords de l'Osse. Aujourd'hui cours Delom, maisons Legaillard, Mothe, Larrieu, etc.. 6 Notamment le 5 pluviôse, an III. 7 P, PARFOURU, op. cit. p. 305. 266 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Lorsque, au début de l'an IX, l'administration supérieure décida qu'une nouvelle vente aurait lieu, le conseil municipal de Vie voulut réaliser le projet en suspens depuis une dizaine d'années; Mahoine, l'un de ses membres, s'offrit de lui-même pour acquérir le couvent et revendre à la commune la partie qui lui serait nécessaire. 1 Telle était l'idée bien arrêtée dans l'esprit des habitants que la commune serait acquéreur que Malhome se trouva seul à Auch le jour de la vente. Il se fit adjuger la totalité de l'immeuble, soient 109 ares de terrain dans l'enceinte de la ville et les immenses bâtiments qu'ils supportaient pour la somme dérisoire de 3755 livres représentée par francs de bons de remboursement complètement dépréciés. 2 S'il fallait eu croire la pétition qu'adressèrent au Préfet du Gers, peu après et en guise de protestation, 112 habitants de Vie, cette vente n'aurait pas été faite sans certaines complaisances qu'avait eues pour Mahome l'administration départementale. Ainsi, l'affiche mentionnant la date de vente n'aurait pas été apposée; à Vie on en aurait collé une donnant de ces importants immeubles la description sommaire que voici Le couvent des Cordeliers et les jardins qui en dépendent ". C'était tout. Encore le maire n'en avait-il rien su et n'avait-il. pas, de cet affichage clandestin, fourni le certificat que voulait la loi. Bien plus, aux termes de la loi du 28 germinal an VI, on ne devait pas vendre les propriétés communales propres au casernement des brigades de gendarmerie » ; or, depuis dix ans, la gendarmerie était logée dans l'immeuble ! Il semble donc que les pétitionnaires avaient raison. Ils ne manquaient pas d'ailleurs de faire valoir la modicité du prix de vente de livres, alors qu'eu 1790 l'immeuble avait été estimé livres et vendu à Lacroix pour Ils mettaient en lumière la hâte qu'avait eue Mahome de faire acte de propriétaire à peine l'adjudication finie, il ayait dit à la préfecture " La gendarmerie est logée chez moi; qu'elle sorte ou qu'elle me 1 Délibérations mnnicipales, 16 germinal, an IX. 2 C'était le 24 ventôse, an IX P, PARFOURU op. cit; p. 345. TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 267 paye un loyer ». Tout de suite on lui consent un bail de 480 francs, représentant un capital de francs, pour le dixième de l'immeuble dont la totalité venait d'être payée Certainement il fallait que Mahome eut de sérieuses intelligences dans la place pour qu'on lui ait consenti des conditions aussi avantageuses. 1 Les nouvelles vont vite; la rumeur publique colporte de bouche en bouche l'intention de Mahome de chasser de ses biens le conseil municipal qui y est installé sans titre. Le 16 germinal au IX, trois semaines après la vente, ce bruit trouve son écho dans le conseil. Interpellé par le inaire, Mahome est catégorique; sa réponse est " qu'il était adjudicataire de la propriété de cidevant Cordeliers et que lui, maire, eût à établir de suite quelqu'autre part, l'hôtel de la Mairie. " 2 Il fallut s'exécuter. La municipalité eut beau protester, faire courir des pétitions, et attaquer devant le Conseil de préfecture la vente qui avait eu lieu, ce fut en pure perte. Mahome était et demeura propriétaire absolu du Couvent des Cordeliers. Cette affaire, brillante en soi, n'eut pas pour lui des résultats heureux. Elle lui aliéna les sympathies publiques au point qu'il alla terminer ses jours à Paris en y menant la vie habituelle d'un nouveau riche. Il y éprouva sans doute quelques remords car il donna à la commune la partie de l'ancien jardin qui servait déjà de foirail et qu'il n'avait pas osé retirer au public 3. L'immeuble restant fut en partie revendu par lui, en 1808, à trois anciennes Ursulines, parmi lesquelles les demoiselles de Roques. Pour francs il leur céda la moitié de l'église, 4 le cloître et 54 ares de jardin. Les acquéreurs y ouvrirent un 1 Ne pas oublier qu'à la fin du XVIIIe siècle la corruption était partout. Les a trafiquants » — on ne disait pas encore mercantis — avaient mis en coupe réglée las administrations publiques et les fournisseurs aux armées s'étaient signalés parmi les plus âpres. Mahome, tanneur qui occupait le quartier des Tanneries et logeait dans la maison de M. Castéra avait durant deux ans, vendu des cuirs à l'Etat. Que de pots-de-vins! que de complicités ! peut-on supposer après les pétitionnaires de l'an IX... 2 Délibérations municipales 16 et 20 germinal an IX. 3 Cent ans plus tard, en 1909, la municipalité le dénomme officiellement place Mahome. 2 Toujours persiste l'idée de scinder la chapelle selon l'axe utilisé en 1923. 268 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS pensionnat de jeunes filles qu'elles fermèrent faute d'élèves vers 1820. A partir de 1828, l'immeuble entier revient au Bureau de Bienfaisance 1 qui mettra un siècle à le transformer en hôpital. 23. — Les vrais biens nationaux. — Les dépendances immédiates du chapitre Saint-Pierre ou des monastères de la localité n'étaient qu'une infime partie des biens d'église dont la Constituante Constituante cru devoir se saisir. Nous avons vu 2 que la plupart des revenus ecclésiastiques provenaient de fondations pieuses ou obits que les fidèles constituaient à l'article de la mort. Presque toutes consistaient en biens-fonds les chanoines ou les réguliers réguliers en rentes perpétuelles au moyen d'un bail emphytéotique. 3 Ainsi, chaque propriétaire-foncier avait autour de sa métairie des champs qu'il travaillait comme les avaient travaillés son père et ses aïeux, à charge de payer chaque année une redevance au trésorier de la communauté ecclésiastique. Ces lopins de terre ne se rachetaient jamais, les collectivités religieuses étant mainmortables. mainmortables. entraient, en fait, dans le tellement d'une famille, mais en étaient distincts en droit. Supprimer le lâche lien qui les rattachait à l'Eglise fut l'oeuvre de la Révolutian qui, du même coup parvint à s'attacher par des raisons intéressées l'heureux terrien au profit de qui se fit le changement. La communauté dispersée, personne ne se présente au domicile des emphytéotes pour récupérer la rente perpétuelle. Le nouveau propriétaire était ou l'Etat en vertu de la Constitution civile du clergé ou la commune en vertu de son droit coutumier sur les vacans, c'est-à-dire les biens abandonnés. L'Etat était bien loin...; la commune était représentée par le Conseil communal qui comprenait un certain nombre d'emphytéotes n'ayant aucun intérêt à voir se dresser devant eux un propriétaire officiel. Et devant la complexité du problème à résoudre, l'inextricabilité des 1Achat d'une partie, legs de l'autre par Mahome. 2 Voir IIe partie L'EGLISE. § 22. 3 Voir IIe partie, § 23, le détail des reconnaissances féodales relevées pour le compte du monastère Notre-Dame, TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 269 intérêts, la veulerie des administrateurs voulant éviter les histoires », les choses en demeuraient là. Le 14 octobre 1793, le Conseil arrête que le citoyen Lapeyrère ira, demander au département la solution des différentes questions que la municipplité lui avait soumises relativement à l'exécution de la loi sur le partage des communaux qui demeure sans exécution. » Quatre jours après le commissionnaire rapporte que les membres du directoire de district luy ont dit verbalement que l'on ne devait pas déposséder les citoyens possesseurs de bonne foy qui jouissaient de ces biens communaux depuis 40 ans à compter de Vannée 89 ; ny ceux qui, postérieurement à cette époque les ont acquis par délibération des conseils de commune; ainsi que ceux à qui ils ont été concédés à titre d'échange ou de dédommagement. Le Conseil, considérant que le rapport n'était que verbal ne peut le regarder comme une décision légale... arrête que l'assemblée des citoyens de cette commune serait convoquée pour être tenue le dimanche après; que l'état des communaux y serait présenté pour y avoir tel égard qu'elle jugera convenable. » 1 Il aurait été intéressant, certes, de retrouver le procès-verbal de l'assemblée populaire. Nos recherches ont été vaines plusieurs pages arrachées au registre des délibérations communales signalent que certains personnages officiels avaient intérêt à voir se prolonger le silence dans lequel s'accordent fort bien, au dire du Cardinal de Retz, " le droit des peuples et le devoir des Rois. » Il ne faut pas oublier non plus que l'Assemblée municipale siégeant le 18 octobre 1793 était d'opinions girondines et que le 28 brumaire an II fin novembre. 1793 elle fut brutalement congédiée par le représentant du peuple Dartigoeyte qui installe à l'Hôtel-de-Ville ses amis montagnards. On peut parfaitement supposer que l'insistance des Girondins à obtenir une solution légale ou administrative du problème des biens nationaux ne fut pas étrangère au petit coup d'Etat local exécuté au profit de ceux qui avaient intérêt à voir se prolonger une situation imprécise. 1 Délibérations municipales 18 octobre 1793. 270 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Pour s'être un peu écartée d'eux, la menace légale n'en était pas moins suspendue au-dessus de la tête des détenteurs en fait des biens nationaux. Et c'est sans doute pour se les attacher par des liens d'intérêt que la nouvelle municipalité organisa le 10 frimaire an II mi-décembre 1793 l'incinération de tous les emblèmes religieux et des archives féodales de la commune. On peut supposer encore qu'un bon nombre des spectateurs du moderne autodafé qu'alluma l'ex-curé rouge Fages en entonnant la chanson de la Guillotine, étaient moins intéressés par la combustion des chaires, des confessionnaux et des prie-Dieu que par la disparition des Lièves des communautés religieuses ou des livres de fondations religieuses, jalousement conservées par le syndic des chanoines dans la Tour du Chapitre encore debout. Le 10 frimaire au II furent détruits les titres de propriété de l'Eglise; les usufruitiers conditionnels devinrent des propriétaires pouvant exciper de la prescription pour légitimer leurs droits " Le milliard des congrégations » s'était volatilisé. Aucun gouvernement par la suite n'osa soulever le voile de ces acquisitions un peu spéciales les bénéficiaires étaient trop nombreux! Ou ne reparla plus de rentes perpétuelles; le sol appartint entièrement à ceux qui le cultivaient. Pourtant, au fond de leur conscience, ceux-ci ne furent-ils pas de longtemps rassurés. Durant cinquante ans on assiste à des ventes et à des reventes sans fin, à des morcellements infinis de ces biens d'origine douteuse. Une nuée de courtiers marrons désignés sous le nom de marchands de biens » quand on voulait être poli — de " bande noire » quand on parlait à coeur ouvert — s'abattit dans les campagnes pour favoriser ce trafic. Lorsque tout le monde ou presque eut retiré quelques dépouilles des biens jadis d'Eglise, la question des biens nationaux fut résolue, ou pour mieux dire ne se posa plus — ne fut plus posée. TROISIÈME ET DEUXIÈME TRIMESTRES 1924. 271 LES BIENS D'EMIGRES. Le Bachat du Cffcu de Teraube en 1816. PAR M. J. BARADA. Il existe dans les archives du Gers 1 plusieurs dossiers très complets des transactions auxquelles donnèrent lieu en 1816, le rachat des biens des émigrés. On sait combien, à cette époque, les passions étaient vives. Les émigrés voulaient rentrer dans leurs biens et toute résistance à leurs désirs, si faible qu'elle fut, leur paraissaient être un déni de justice. Garantis par la Charte, les acquéreurs de biens nationaux, non sans un peu de malice, tâchaient de tirer le meilleur parti de la situation, sans se laisser intimider par la pression, parfois excessive, de l'administration. C'est l'histoire d'une de ces transactions que je voudrais retracer après plus d'un siècle écoulé, il semble possible d'évoquer des souvenirs de ce genre sans blesser qui que ce soit. Au reste les faits parleront seuls et assez haut pour que chacun puisse se faire, en les trouvant retracés ici, une idée bien nette des rancunes des uns et des tracasseries des autres. Il s'agit du château de Terraube, appartenant à la famille de Galard. D'après une note de M. le vicomte de Galarcl, 2 adressée au préfet du Gers, Brochet de Verigny 3 Philippe le Hardi, fils de Saint-Louis, fit don, en 1271, de la Justice haute et basse de Terraube, première baronnie du Condomois, à Géraud et Rertrand de Galard frères. Cette baronnie fut érigée en 1 Archives Départementales au. tiers, dossier do la Police, série R et dossiers des Emigrés. 2 Louis-Antoine-Marie-Victor, vicomte puis marquis de Galard-Terraube, contre-amiral, député du Gers de 1822 à 1827, gouverneur de l'école royale de la marine à Angoulème, chevalier de Saint-Louis, de la Légion d'Honneur et do Saint-Jean de Jérusalem 1705-1840. 3 Préfet du Gers du 20 février au 23 mars 18815 et. ensuite du mois d'août 1815 au 7 mars 1817. 272 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. marquisat en 1683. Il y a, autour de la partie ancienne du château de Terraube, alternativement un lion et un chien qui jettent au loin les eaux pluviales. L'un de ces animaux porte entre ses griffes une pierre, portant le millésime de 1272. Terraube est possédé de temps immémorial par la famille de Galard, qui lui donna des coutumes en 1260 et n'a cessé un instant de l'habiter jusqu'au 3 mars 1790 où la violence la plus coupable, et concertée de longue main, la força de s'éloigner. La grande considération dont jouissait dans le pays cette famille la fit choisir pour donner un grand exemple, qui fut le seul du canton. On conçoit l'intérêt, la passion pourrait-on dire, que mettaient les héritiers de cette famille, à rentrer dans ce domaine héréditaire plein de souvenirs. Nous allons voir quelles difficultés ils rencontrèrent pour mener à bien ce projet et pour déjouer les prétentions parfois exagérées des vendeurs. Le rôle de l'administration, du préfet, est aussi à considérer. Comme on le verra, il prit partie pour la famille de Galard, pas toujours froidement, et son intervention, amenée par des motifs louables, ne fit qu'envenimer les choses et rendre plus difficile le rachat du château. Dès le début, l'affaire avait été mal engagée, semble-t-il; elle fut rendue plus incertaine par la mort de l'acquéreur. Ses héritiers, voyant l'envie peu déguisée des anciens propriétaires, élevèrent de grandes prétentions, auxquelles finalement il fallut souscrire. Le 24 octobre 1816, le vicomte de Galard-Terraube écrit au préfet Je ne fais en quelque sorte, Monsieur, que traverser Lectoure, et je me hâte de mettre à exécution une idée qui me vient et que je me reproche de n'avoir pas eu plus tôt. Le malheureux Dépis 4, l'acquéreur primitif du château et enclos de Terraube, est mort, il y a quelques jours, sans avoir eu le temps de se reconnoître, des suites de son voyage à. Auch pour les élections. Il n'a point fait de testament et laisse pour héritiers égaux un fils et trois filles, toutes trois mariées à des hommes de la Révolution, étrangers à ce canton-là. Le fils est marié et habite Lectoure il passe pour bête, mauvais sujet et très intéressé. Ses trois beaux-frères sont Du Pouy, à Montaut, arrondissement d'Auch, Malaubert, du Saint-Puy, et La Roche, 4 Dépis avait acheté le domaine de Tenaube comme bien national et l'avait payé francs, en assignats. Il était avant 1789 juge-gruyer de Terraube. TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 273 habitant à Escurens, arrondissement, je crois, de Lectoure. Tout ce monde là pense mal, notamment, dit-on, le premier. N'auriez-vous pas dans vos moyens, directs et indirects, d'influence, quelque chose d'utile à faire dans nos intérêts ? Je borne là toutes mes démarches auprès de vous, sûr, comme je le suis, du prix que vous auriez la bonté d'attacher à nous voir recouvrer l'antique donjon de nos pères, et du zèle avec lequel vous voudrez bien venir efficacement à notre aide, s'il y a lieu. De premières ouvertures ont été faites par des intermédiaires pour tâcher de parvenir à un arrangement pendant que cet objet est encore indivis. Tout m'annonce la disposition bien arrêtée d'abuser, tant qu'ils pourront, de notre position et du désir assez naturel qu'ils nous supposent du berceau de notre famille; je sais même indirectement qu'après tant d'années de jouissance du terrain et de dégrédation au château, ils ont dit qu'ils ne s'en desseziroient pas à moins de francs tandis que cela ne leur a coûté que francs; c'est plus qu'aucun étranger ne pourrait songer à en donner, et autant au moins, plus même je crois, que cela ne vaudrait dans l'état actuel, si c'était un bien purement patrimonial. Il peut d'autant moins convenir à d'autres qu'à nous, que depuis quelques mois, nous sommes en possession, par deux jugements consécutifs, des allées, terrasses, cours, etc.. qui bordent le pied du château et séparent les batimens de la partie utile. — Je m'estimerois heureux de vous recevoir au milieu de nos ruines, et il seroit par trop cruel, lorsque ce vieux manoir de mes pères a survécu à tout le vandalisme révolutionnaire, de le voir démolir et vendu, pierre à pierre sous le Roi légitime, depuis si longtemps l'objet de nos voeux. Nous comptons partir pour Paris, au printemps, puisqu'il plait au ciel de nous condamner à cette vie errante et vagabonde. J'ai reçu, ces jours-ci, une grande lettre de quatre pages de notre ami commun M. Dupont 5, qui me charge de ne pas l'oublier auprès de vous; il paroit qu'il regrette, et sa femme plus encore que lui, la place moins bruyante, mais tout autrement avantageuse, sous une multitude de rapports, de conseiller d'Etat. Je vous prie, Monsieur, d'avoir la bonté de me faire envoyer une petite note relative à mes livres, la plus favorablement rédigée pour en faire usage avec succès dans les bureaux, et sans y omettre que notre nom est écrit en toutes lettres sur les volumes, en fort petit nombre, objet de notre réclamation. — Autant que je puis m'en sou5 sou5 Dupont de l'Etang, sous-lieutenant en 1791, général de division en 1797. Après s'être distingué à Millenzo, dans la campagne de 1805 et dans la campagne de Prusse, signa la malheureuse capitulation de Baylen en 1807. Ministre de la guerre de la Restauration du 13 mai au 2 décembre 1814, conseiler d'Etat, mort en 1840, à l'âge de 75 ans. 274 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. venir, il s'agit à peine de 200 volumes, parmi lesquels l'Encyclopédie compte pour 106; c'est nous qui avons les autres, ce qui les rend à peu près sans valeur 6. Vous sentez combien il est important de presser les démarches dans nos intérêts, si toutefois il en est à faire auprès des héritiers de notre spoliateur primitif. Après avoir réfléchi à cette affaire et vu où il devait porter ses premiers efforts, le Préfet écrivit le 2 novembre au percepteur de la commune de Saint-Puy en ces termes Le sieur Malaubert, habitant de votre commune, mon cher Du Rouch, est le quatrième cohéritier, en qualité de gendre, du sieur Dépis, de Terraube, lequel vient de mourir. Ce dernier était acquéreur du château de Terraube vendu par la Nation comme dépouille de MM. de Galard, émigrés. Dépis, qui avait de grandes obligations à l'illustre famille de Galard, avait toujours conservé du respect pour les enfants de ses bienfaiteurs et témoigné quelquefois de la disposition à entrer dans des arrangements convenables avec eux. Il est mort presque subitement, sans pouvoir réaliser ce projet. Un ami de MM. de Galard est entré en pourparlers à cet égard avec les quatre héritiers et a offert, en leur nom, de les dédommager, au moins des frais d'acquisition qui montent, au moins, à 18 ou 19 mille francs. Ces héritiers ont répondu par une demande de francs, ce qui est exhorbitant pour un château plus onéreux qu'utile aux détenteurs le domaine utile étant séparé du château par tous les accès dont MM. de Galard ont recouvré la possession. Il paraît que le sieur Malaubert est le plus acharné à ne vouloir plus entrer en arrangement et que son obstination à cet égard va jusqu'à vouloir couper ce vieux château, antique domaine des bienfaiteurs de sa famille, en quatre parties, et de faire démolir la sienne. Cette espèce de rage est inconcevable. Ses cohéritiers sont dans de bien plus saines dispositions et l'on pourrait sans doute ramener cet homme vraiment égaré à de meilleurs sentiments. Je vous prie, mon cher Du Rouch, de le voir et d'essayer par tous les moyens qui seront en votre pouvoir de lui faire sentir l'absurdité et la sauvage dureté de sa conduite qui ne le mènera qu'à le faire haïr et mépriser, tandis qu'une conciliation honnête et lucrative lui ferait autant d'honneur que de profit, lui attirerait la bienveillance et la protection de l'au6 l'au6 livres avaient été confisqués en 1793 et déposés dans la bibliothèque d'Auch. Ils furent restitués à la famille de Galard-Terraube le 28 août 1817. Ils étaient marqués du nom de leur possesseur ou des lettres J'ai le catalogue de ces volumes sous les yeux il ne renferme aucun ouvrage rare. TROISIÈME ET QUATRIEME TRIMESTRES 1924. 275 torité soit pour ses intérêts soi pour sa personne. Vous me rendrez un service que je regarderai comme personnel si vous parvenez à arranger cette affaire à laquelle j'attache un prix extrême, même comme administrateur. Vous me manderez le succès de vos démarches, démarches, ai besoin pour mon rapport. Du Eouch assura le Préfet de tout son zèle, mais le résultat qu'il obtint fut négatif. M. de Verigny se tourna du côté d'un autre héritier, Dupouy, qu'il essaya de faire pratiquer par son frère. Il raconte ainsi à M. de Galard sa démarche Ainsi que vous le désiriez, Monsieur, j'ai envoyé chercher M. Dupouy 7, conseiller d'arrondissement, frère du sieur Dupouy, de Montaut. Il n'a pas hésité à m'assurer qu'il ferait tout ce qui lui serait possible pour amener son frère à vous satisfaire et lui a, dans mon bureau même, écrit une lettre de rendez-vous que j'ai envoyé sur-le-champ à Montaut. Le sieur Dupouy est venu ici ce matin. Son frère l'a trouvé un peu prévenu. Il dit que la démarche du sieur Desmolins 8 faite au moment même du décès avait assez mal disposé les héritiers moins à l'égard des propositions en elles-mêmes que contre l'intermédiaire chargé de les faire; que la lettre ultérieure de M. Desmolins qu'il taxe de menaçante avait achever d'aliéner les esprits c'est le sieur Dupouy qui parle et que le sieur Malaubert, dans un moment d'humeur avait répondu eh bien, qu'on partage et je démolirai mon lot; qu'à la vérité les lots avaient dû être tirés et le château partagé en quatre parts hier dimanche; mais que nul d'entre eux n'avait l'intention de détruire cette habitation où ils allaient déposer jusqu'au partage mobilier, les effets de la succession; que M. La Roche, riche et peu intéressé, était bien disposé; que les 30 ou 31 sacs de terre pouvaient valoir en ce pays francs l'un dans l'autre; que le projet commun en cas de non-conciliation était de les vendre, la plus grande partie à destination de petits jardins potagers désirés par les habitants confronts de ces portions de terre, que cette trentaine de mille francs et le château formaient la prétention de francs. Dupouy, de Montaut, croit que l'on trouvera le sieur Dépis, de Lectoure, difficile et intéressé. Ainsi les héritiers se rejettaient la balle; mais, au gré du Préfet, ils n'étaient que trop d'accord. Il ajoute dans la même lettre 7 Dupouy, d'abord capitaine au 7me bataillon du Gers, ensuite adjoint et maire de Montaut, conseiller d'arrondissement. 8 Desmolins était président du Tribunal de Lectoure. 276 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Je pense qu'il y a plus d'humeur et de bruit que de détermination obstinée dans le sieur Malaubert. Le sieur Malaubert, à ce qu'on croit, gentilhomme ou au moins ancien seigneur d'un domaine qu'il n'a plus et dont il paraît avoir été privé par les dissipations de son père ou les siennes. Sa fortune actuelle, qui n'est pas sans aisance, est le résultat du testament d'un de ses oncles nommé Du Barry. Le percepteur du Saint-Puy, le sieur Du Bouch, m'accuse réception de ma lettre et me proteste qu'il fera tout au monde pour réussir dans la mission que je lui confie. Voilà, Monsieur, un long exposé pour bien peu de résultats; vous ne doutez pas de ma bonne volonté c'est malheureusement ce que je vois de plus positif dans cette affaire. En effet, on n'aboutissait pas. Cependant le Préfet avait fait de cette transaction une affaire majeure et si importante que le 6 novembre il en rendait compte au Chancelier de France B MONSEIGNEUR, Le respect légal dû aux acquéreurs des biens d'émigrés me rend en ce moment témoin d'un bien triste spectacle pour l'administrateur de la province et pour une illustre famille invariablement dévouée au Roi, spoliée à son fidèle service par laquelle je crois avoir entendu exprimer un intérêt et une estime digne des vertus héréditaires qui la distinguent éminemment. Il s'agit du château de Terraube et des Galard dont il forme le nom distinctif. MM. de Galard sont, comme vous le savez, d'une des plus grandes Maisons de Gascogne leur origine se perd dans les plus vieilles traditions de la province et tout ce qui sait quelque chose dans ce pays connait la coutume de Terraube donnée par l'un de leurs ancêtres à une partie du Gondomois en 1260. C'était probablement le même qui bâtissait ce château de Terraube aujourd'hui vendu et dont on voit le cordon de corniche porter sur chacune de ses pierres d'ornement le millésime 1272. C'est ce même château d'où les derniers Galard furent, après une habitation non interrompue de plusieurs siècles, violemment expulsés en 1790 par 9 Charles-Henri Dambray, né à, Rouen le 11 octobre 1760, fils de JacquesHenry Dambray, lieutenant des vaisseaux du Roy, et de Charlotte-Françoise de Thèze, avocat-général de la Cour des Aides de Paris le 14 juillet 1779, député de la Seine le 28 vendémiaire an IV, juge de paix, conseiller général de la Seine-Inférieure et chevalier de la Légion d'Honneur sous l'Empire. Agent dévoué des Bourbons, garde des sceaux, chancelier de France et président de la Chambre des Pairs en 1814 et 1815, mort à Montigny, près de Dieppe, le 13 décembre 1829. TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 277 une insurrection expresse. On vendit leurs biens et surtout ce château mémorable. Un certain Dépis, élevé sous la protection et par les bienfaits spéciaux de cette famille, l'acheta. Il témoigna souvent des velléités conscientieuses de le restituer à prix coûtant aux fils de son bienfaiteur, mais une apoplexie foudroyante vient de l'enlever et de rejetter la question dans un groupe d'héritiers difficiles à réunir et presqu'impossible à satisfaire. MM. de Galard sont entrés en pourparlers Ces héritiers avides ont élevé des prétentions que les débris de fortune de MM. de Galard ne peuvent atteindre. Un intermédiaire a représenté à ces copartageants que le château et ses modestes accès dont ils demandaeint francs à leurs anciens possesseurs n'en avaient coûté à leur père, en assignats, mandats ou autres fictions, que 18 mille. Frustrés de leurs prétentions et outrés de la négociation, ces héritiers l'ont rompue et semblent si pénétrés du désir d'offenser encore et de blesser jusque dans l'avenir la famille dépouillée qu'ils ont partagé la masse même du noble manoir en quatre parts, l'un d'eux poussant la barbarie révolutionnaire jusqu'à vouloir démolir sa fraction du monument qui l'importune. Dans cet état de choses, j'ai épuisé la méthode des inductions et des insinuations pour éviter sous le règne du Roi la scandaleuse destruction de ce vieux monument d'une des plus fidèles maisons de sa noblesse. Je ne puis augurer aucun succès de mes démarches nécessairement mesurées. Mais comme la bonté du Roi est infinie, et que vous portez au chef marié de cette famille un intérêt qu'il m'est consolant d'invoquer, il n'est peut-être pas impossible que vous mettiez aux pieds d'un bon. maître le tableau de l'affliction d'un de ses serviteurs. Si la bonté même n'épuisait les ressources une libéralité, un secours propice mettrait peut-être les infortunés Galard en situation de recouvrer leur maison et de conserver à la province que j'ai l'honneur d'administrer un monument, en quelque sorte, historique. Malgré ses bonnes intentions, le Préfet, au jugement du vicomte de Galard, errait c'est ce qu'une de ses lettres, datée du 12 novembre, ne lui laissait pas ignorer Mille et mille remerciements, Monsieur, pour tous les momens que vous avez me consacrer, en dépit du surcroit d'occupation du Samedi. J'ai lu votre lettre avec autant d'attention que de sensibilité, et c'est beaucoup dire. Tous les raisonnemens en sont justes, fondés sur l'expérience et la connaissance du coeur humain, mais les bases n'en sont pas exactes. Il ne faut pas regarder ceci 278 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. comme une affaire ordinaire; cette affaire est une affaire d'opinion et de parti, et Terraube est une petite République, bien riche et bien démocratique. Si les copartageans actuels vouloient garder leurs parts, je les laisserais aussi tranquille que je laissais le Défunt, attendant tout du temps, des circonstances et de la force des choses; mais tel n'est nullement l'état de la question. Tout ce qu'il y a de plus révolutionnaire et de plus impur dans Terraube notamment ce Soûlés, qui avoit été arrêté à Condom, qui vous fut amené, et eut l'impudence de se prévaloir de nous pour se blanchir s'est soulevé et ligué pour nous éloigne' à tout prix; et, pour atteindre ce noble but, aucun sacrifice ne leur coûteroit. Ces hommes sont en très petit nombre, mais ils sont riches, actifs, et haineux à l'excès, non que nous leur ayons jamais fait aucun mal, mais parcequ'on ne pardonne pas celui que l'on a fait soi-même, et qu'on craint le reproche foudroyant de notre seule présence. Le résumé de tout cela et le résumé certain, c'est que, si nous manquons cette occasion de recouvrer le nid de la famille, il va être immédiatement vendu, ainsi que les dépendances, et morcelé en parcelles entre les mains les plus impures, de manière à ce qu'il y ait impossibilité d'y rentrer à aucun prix. Les manoeuvres et les offres de cette poignée de pervers et j'ai la certitude du rôle actif qu'y joue Soulés se multiplient et s'accroissent d'une manière qui ne pourrait se reproduire nulle part ailleurs; j'ai la certitude qu'il a été offert f. d'une des portions, et, f. argent comptant, d'une autre, ce qui est fort au delà de la valeur comme bien patrimonial. Le ternie de rigueur étant fixé au 13, nous avons envoyé par un exprès, le 10 au soir, une lettre formelle pour demander à nous aboucher; les maris étant absens, les femmes n'ont pu donner de réponse. Enfin quelqu'un qui a vu ces Dames et un des gendres, M. Laroche, hier au soir, et que j'avais chargé de prendre acte de notre démarche, vient de m'écrire que des affaires pressantes avoient dispersé les héritiers, et qu'ils ne se réuniroient pas avant Dimanche prochain; mais il paroit que, nous étant présentés en temps utile, le terme sera prorogé jusqu'au jour des héritiers. Quoique nous soyons tout emballés, et que cela me contrarie horriblement, je me détermine à attendre et je compte aller, avec un de mes frères, à la messe de paroisse de Terraube, Dimanche prochain, à la face de tout Israël. Mon père ne se doutoit pas, en se donnant tant de peine pour cette Eglise, et en la faisant construire et ornée presque entièrement à ses frais, qu'une jour ses enfans y seraient regardés avec étonnement, et qu'ils auraient besoin de se faire autant de violence pour y entrer. Les prétentions des vendeurs se sont singulièrement accrues, en raison des manoeuvres pour nous écarter, et des folles offres pécuniaires à l'appui; voilà trois ou quatre jours d'inaction avant le TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 279 moment décisif, et, plein de confiance dans votre utile coopération, je m'empresse d'avoir l'honneur de vous en faire part; je pense que vous pourriez entre autres faire écrire utilement à Malaubert, du Saint-Puy, par M. de Moncade, mais en le prévenant qu'il n'y a pas un moment à perdre. Pardon, mille fois, Monsieur, de cet hommage importun de ma confiance. Ainsi donc, après les héritiers de Dépis, Soulés et une sorte de bande noire acharnés au dépeçage du château et des entours, venaient d'entrer en jeu. Dès lors le vicomte de Galard se montrait disposé à traiter; les héritiers lui tenaient le couteau sur la gorge, il n'avait qu'une crainte, c'est de ne pas arriver à temps. Le Préfet, suivant son désir, écrivit à M. de Moncade, sous-préfet de Condom Le château de Terraube de MM. de Galard a été, comme vous savez, vendu par la nation et acquis par le sieur Dépis, de Terraube, qui avait des obligations particulières à cette bienfaisante et respectable familile. Le sieur Dépis avait quelque fois manifesté des velléités velléités consciencieuses de s'arranger avec les fils de ses bienfaiteurs bienfaiteurs la mort l'a enlevé presque subitement sans qu'il ait eu le temps de se reconnaître. Il a laissé 3 filles mariées et un fils; l'une de ces filles est mariée à M. Malaubert, du Saint-Puy, qu'on m'a dit être gentilhomme ou fils d'un père vivant noblement sur un bien seigneurial. Le fils, après avoir été ruiné par les dispositions ou les pertes de son père a recouvré, par une succession importante au Saint-Puy, une aisance agréable. MM. de Galard ont fait proposer aux cohéritiers de les indemniser de tout le coût d'acquisition de leur château montant à 18 ou Les héritiers, qui ont partagé le château en lots, ont d'abord demandé puis, du total. Cette négociation a mal tournée. On a inspirée de l'aigreur aux héritiers ou s'ils en avoient déjà, on l'a fomentée. M. Malaubert paraît être le plus mal disposé je l'ai fait sonder par le percepteur, M. Du Bouch mais en vain. Je vous envoie la lettre de M. le Vicomte de Galard pour vous mettre au courant de l'état actuel des difficultés. Il désire que vous essayez si vous pourriez exercer quelque influence sur M. Malaubert. Je vous prie de rendre ce service à lui, à la province menacée de perdre à jamais un vieux monument de son histoire par la destruction de ce château, à la justice, à la morale que quelques hommes outrés veulent faire violer aux héritiers dans cette affaire, enfin, à moi-même qui attacherais une importance à parer le coup qu'on veut porter à une famille respectable et dont j'ai prié M. le chancelier de mettre ta 280 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. position critique sous les yeux du Roi même. Si vous croyez qu'une insinuation de ma part puisse avoir de l'effet sur le sieur Malaumert vous pouvez l'assurer que lui aurai une obligation particulière particulière décide ses cohéritiers à en user honorablement avec MM. de Galard dans cette circonstance et que je n'oublierai, en aucune affaire qui put le concerner, ni ne laisserai oublier à mes successeurs, la part qu'il aurait eu à cette heureuse transaction s'il s'y montrait tel que je dois l'espérer de son état dans le monde, s'il usait de l'influence l'influence son exemple pour déterminer ses beaux-frères à agir comme lui. Je ne voudrais pas vous laisser ignorer que MM. Dupouy et Laroche, deux des cohéritiers ne paraîtraient pas éloignés de bien faire s'ils voyaient qu'on put amener MM. Malaubert et Dépis aux mêmes dispositions. Vous voyez que malheureusement d'ici à dimanche le temps est bien bref. Il paraissait tel à tout le monde comme l'indique cette note du vicomte de Galard au Préfet Ceci est l'ancre de miséricorde; aussi n'hésité-je pas à vous envoyer un exprès, pour voir s'il n'y auroit pas quelque démarche utile à faire promptement dans nos intérêts, avant l'époque fatale du 13. A coup sûr tout moyen qui pourrait conduire au succès serait bon et légitime, avec des gens qui abusent aussi étrangement de notre position. Les formes de ce jeune Dupouy sont honnêtes, mais il s'agirait de le bien convaincre que le prétendu sacrifice de 3 ou fr, qui n'en est un sous aucun rapport, pourra être pour lui et ses enfans d'un tout autre intérêt sous mille rapports. D'après cela, au lieu de tenir à une coalition, aussi peu juste que bien raisonnée, il faudrait qu'il consentit à traiter, pour son compte, à des conditions équitables, et qu'il uzat de toute son influence pour y ramener les autres, ou au moins quelqu'un des autres. Il ne m'a absolument rien dit, quoique j'aye cherché à le mettre sur la voie, de ce que vous avez bien voulu me mander qu'il avoit dit à son frère 1° que, pour assurer le succès de la négociation, il falloit la confier exclusivement à mon frère aîné; 2° que l'on réussirait probablement avec deux au moins des cohéritiers et peut-être avec trois, et qu'enfin si le 4° se montrait plus difficile, ou plus intéressé que les autres, on en serait quitte pour un sacrifice particulier en faveur de celui-là. Il semble qu'il y auroit un grand parti à tirer d'un homme qui tient un pareil langage, mais il n'a pas osé probablement s'ouvrir à ce point avec moi, dans une première entrevue, comme s'avancer pour ses beaux-frères. Le conseiller pourrait le faire expliquer, et le diriger de manière à conduire à un résultat ; mais il n'y a pas un instant à perdre jusqu'au 13, veille du jour où ils célèbrent, par un TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 281 grand gueuleton la fin du mois du décès, et c'est l'époque où ils doivent doivent morceler déjà il a été fait quatre lots du château. Je lui ai parlé à dessein de son frère aîné, et il ne m'a rien témoigné de particulier à cet égard. Le grand malheur de cela, c'est que mon malheureux frère, fort peu habile en affaires de son naturel, est en ce moment dans un état de santé qui lui ôte toute possibilité de s'en occuper convenablement, et supportablement même. Il est à craindre que quelques coquins de Terraube ne se mettent à la traverse, et ne fassent de ces sacrifices qu'on ne fait qu'à l'esprit de parti, et aux passions honteuses du coeur humain. Veuillez être assez bon pour me marquer, par la poste, en cas qu'une réponse fit trop attendre mon exprès, ce qu'il peut être bon que je sache en substance et si vous avez eu la bonté d'écrire à M. le Chancelier. Pardon mille fois. — Si vous jugiez que l'intervention du docteur Sarran et de sa femme pussent être de quelque utilité auprès du. conseiller Dupouy, vous n'auriez qu'à mander ledit Docteur, qui m'est très dévoué, et ce couple se mettrait en quatre pour nous servir, dans la direction que vous leur imprimeriez. En relisant ma lettre j'ai pensé que vous pourriez, peut-être, sans inconvénient, la donner à lire au Conseiller Dupouy comme un témoignage de confiance; je vous en fais juge. Pour déférer au désir du vicomte de Galard, les démarches du Préfet continuaient actives, pressantes, et je relève dans une de ses réponse, cette appréciation du rôle joué par Soulés 13 novembre Les offres de M. Soulès et autres sont bien odieuses, si elles sont réelles. Ils ne peuvent exagérer ainsi les valeurs exposées que dans la crainte inconcevable de voir reparaître dans ce lieu d'honneur et de bienfaisance une famille si bien faite pour y rentrer. Et il ajoute J'attacherais tant de prix à vous voir rentrer dans le bien de vos pères que je vais jusqu'à risquer une démarche un peu hazardeuse. Lisez la lettre ci-incluse au maire de Terraube. Je ne le connois pas assez pour savoir jusqu'à quel point il pourroit user pour vous ou laisser abuser contre moi de la teneur de cette lettre. C'est M. le sous-préfet plutôt que moi qui peut juger de cette intervention semiadministrative. Je m'en rapporte à lui pour en décider. Cette lettre au Maire, prouve quelle passion le Préfet 282 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. apportait à la conclusion de cette affaire, qui lui paraissait, sans aucun doute, par sa prolongation, propre à ranimer des dissentions qu'il était urgent d'éteindre 13 novembre. Je sais que les cohéritiers de feu M. Dépis et de MM. de Galard sont en pourparlers pour la rétrocession du château de Terraube. J'attacherais beaucoup de prix à la réussite de cette négociation. La commune de Terraube recouvrerait une famille illustre dont les ancêtres ont toujours fait honneur à la Province et dont les derniers chefs feu M. et Mme de Galard ainsi que M. l'évêque du Puy 10 ont donné dans le château même de Terraube des exemples de vertu et de bienfaisance dont le souvenir est sans doute cher à plusieurs de vos administrés. De telles transactions d'ailleurs sont infiniment précieuses aux yeux de l'administration en ce qu'elles cimentent la paix publique et nourissent des sentiments de bonne harmonie qui font l'objet des voeux de tout ce qui est bon Français. Je saurais en mon particulier un prix infini à MM. les cohéritiers de l'heureuse conclusion de cette affaire et saisirais avec empressement les occasions ultérieures de leur en témoigner une satisfaction et ma reconnaissance car je ne rougis pas de dire que je serai personnellement rconnaissant de toute oeuvre de conciliation à laquelle aurait coopéré quelqu'un de mes administrés. Je verrai avec beaucoup d'intérêt, Monsieur le Maire, qu'en bon père de famille, vous ayez employé toute l'influence dont vous devez jouir parmi vos concitoyens et je vous invite à me rendre compte de ce que vous aurez pu faire. Je ne puis croire qu'il y ait des gens assez mal intentionnés pour chercher à semer la zizanie là où le rapprochement et la concorde sont près de naître, mais s'il existait de telles manoeuvres vous m'en instruiriez sans doute. Cette lettre semi-administrative » arrivait trop tard au jugement de M. de Miégeville 11, sous-préfet de Lectoure, le seul qui ait vu clair dans cette affaire. Il ne cachait pas au Préfet que l'on eût pu mieux faire et il l'écrit 10 Mgr Marie-Joseph de Galard-Terraube, né le 10 mai 1736. Docteur et prieur de Sorbonne, grand vicaire de Sentis, chanoine titulaire de l'église métropolitaine de Paris, aumônier du roi, évêque du Puy en 1781, abbé commendataire de Saint-Paul de Verdun. Il mourut en émigration le 7 octobre 1804 à Ratisbonne et fut inhumé dans le tombeau des évèques-princes, par ordre de S. A. Electorale l'évêque de cette ville. 11 chevalier de Miégeville, nommé eu août 1814 par ordonnance du Roi sous-préfet de Lectoure, Son père était conseiller au Parlement de Toulouse avant la Révolution, TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 283 Lectoure, le 24 novembre. M. le vicomte de Galard m'a communiqué votre lettre à M. le maire de Terraube, et d'après votre voeu qui laisse à ma décision, d'après la connoissance que je dois avoir de l'individu, si l'on doit la lui envoyer, j'ay pensé que ce n'étoit pas le cas de la lui confier et malgré que ce ne soit pas un méchant homme, sa parenté et ses liaisons me feraient redouter qu'il put en faire un mauvais usage. La lettre en elle-même est parfaite et ne présente rien que raisonnablement l'on put mal interprêter, mais, dans ce moment, l'on pourrait ne pas approuver même de pareilles insinuations. En conséquence, j'ai cru-devoir préférer un moyen qui n'offre pas les mêmes inconvéniens et pourra remplir le même objet. J'ay écrit t u maire pour le prier de se rendre chez moi; je lui donnerai connaissance de votre lettre, mais ne m'en dessaisirai point. Je vous la renverrai même si M. le vicomte de Galard ne me prioit de la lui laisser comme un monument précieux de votre intérêt et de votre extrême obligeance. Vous savez qu'elle demeurera en des un us sures. Ces Messieurs doivent s'aboucher dimanche prochain avec les cohéritiers. Au point qu'ils en sont, je prévois qu'ils seront immolés et seront heureux de rentrer dans leur antique manoir au prix qu'en demandent leurs corsaires, c'est-à-dire plus cher que ne vaut la meilleure terre, fut-elle patrimoniale. J'avois voullu suivre une marche toute différente et je crois qu'elle auroit mieux réussi. Je n'étois point effrayé des bruits qu'on répandoient à dessein d'un partage et de la démolition. Je voulois qu'ils fissent l'offre du prix coûtant et cette offre rejetée qu'ils manifestassent publiquement n'en plus vouloir, et même l'intention de se défaire de ce qu'ils possèdent dans cette commune. En même temps, j'avois un homme précieux, un faiseur d'affaires, acquéreur lui-même de biens nationneaux, achetant et revendant qui se présentait pour acheter le tout argent comptant à vingt, vingt-deux ou vingt-quatre mille francs. Cet homme s'est bien présenté, mais l'envie qu'ont manifesté ces MM. de Galard ont fait rejetter ses propositions. Quoiqu'il en résulte, ces MM. ne peuvent assez se louer de vos bontés, et en réalité il est impossible d'être plus obligeant et d'une manière plus aimable. En ma qualité de leur ami et de leur parent, je partage tous les sentimens et leur reconnaissance pour vous. Au reçu de cette lettre, M. de Vérigny dût être bien convaincu de l'échec définitif de ses démarches. La réponse du sous-préfet de Condom dût l'en convaincre davantage 284 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Condorn, 15 novembre. MONSIEUR LE PRÉFET, J'ai l'honneur de vous renvoyer la lettre de M. de Galard, en vous prévenant que j'ai écrit à M. Malaubert fils qui, je l'espère, se rendra demain samedi à Condom. Il serait bien doux et bien flatteur pour moi de contribuer à faire réussir une affaire qui intéresse aussi particulièrement les MM. de Galard mais M. Malaubert fils est un jeune homme dont l'éducation se ressent des temps malheureux où les lois de l'honneur et de la délicatesse étoinet sacrifiées à l'intérêt particulier. Je redoublerai d'efforts et de zèle sans me promettre de grands succès, et vous prie de croire que je tiendrais moins à la réussite d'une affaire qui me serait personnelle. Enfin une longue lettre du vicomte de Galard, résumant toute la question, venait lui apprendre l'insuccès irrémédiable des négociations en ce sens qu'il avait fallu passer sous les fourches caudines des héritiers Dépis. Je cite cette lettre toute entière; elle donne la conclusion de l'affaire et, dans sa note découragée et mélancolique, une idée de ce que pensaient les émigrés, victimes de la Terreur, au lendemain de leur rentrée dans leur patrie. Lectoure, ce 18 novembre 1816 S'il était permis, Monsieur, de faire quelque application du sacré au profane, je pourrais commencer ma lettre par ces tristes paroles Consummalum est. Tout est consommé, en effet, et le marché, et l'iniquité de la part de plusieurs — mais j'ai à céder auparavant à un sentiment impérieux, qui ne me permet pas de m'occuper d'aucun autre objet, avant de laisser un libre cours à ma reconnaissance. Vos dernières démarches, Monsieur, tant par l'intermédiaire de M. de Moncade, que vis-à-vis du maire de Terraube, ont achevé de me pénétrer de ce sentiment. Elles sont malheureusement arrivées trop tard, d'après toutes les influences funestes qui ont marqué cette douloureuse négociation, et la manière brusque, à jour et à heure fixe, où il a fallu la terminer, ou la rompre. Je doute fort du succès des premières sur un rocher aussi inflexible, mais les secondes auraient pu arrêter les malheureux qui viennent de jouer un rôle aussi odieux et aussi coupable, pour nous empêcher de recouvrer ces faibles débris du Patrimoine, si légitime, de nos aïeux. Malheureusement, il n'étoit plus temps en ce genre, et ces affreuses manoeuvres avoient produit tout leur effet, Les manoeuvres de ce genre, en paroles du TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 285 moins, pour chercher à nous éloigner, ont été sûrement pratiquées par Soulès, et, indépendamment de toutes les données possibles pour le faire deviner, je le tiens de quelqu'un à qui il en a parlé luimême. Nous n'avons eu de preuves positives pressantes et appuyées de tout ce qui pouvoit le faire agréer, que de la part de Ransan, surnommé le riche; il l'est beaucoup, en effet, et il a, fait dans cette circonstance un usage bien déplorable de ses richesses. Après avoir fait une première offre de francs à Mme Malaubert, de son quart du château, déjà tiré et connu°, il en fait une seconde de en totalité au comptant, sans exiger aucune espèce de garantie, et se contentant du lot quelconque, que le sort assignerait à Mme Malaubert dans l'enclos. Une pareille folie, car c'en est une des plus fortes en elle-même, peut d'autant moins se comprendre que jamais nous n'avons rien eu à démêler avec cet homme, et qu'à une époque peu éloignée, il témoignoit attachement et confiance à mon frère, et alloit souvent chez lui, où il n'a cessé de recevoir le meilleur accueil, et tout l'appui dont il avoit besoin. Peut-être étoit-ce un sacrifice des frères et amis, des gros bonnets de l'ordre du canton pour assurer notre éloignement sans retour. L'effet n'a pas répondu à l'attente, mais il a été bien funeste pour nous, et nous coûte au moins 5 ou 600 louis, qui sont une véritable calamité dans notre position. Il en a rézulté que M. Malaubert, au désespoir de s'être lié vis-à-vis de nous par sa parole, a cru faire un acte héroïque en ne la retirant pas, d'autant qu'il a été fortement pressé de passer police immédiatement; il ne nous a parlé que du sacrifice de mille écus qu'il faisoit, et n'a cessé de se prononcer contre toute diminution avec une inflexibilité qui a servi de. prétexte à tous les autres, et qui n'a été que trop bien imitée par eux. Tout a été tenté par nous, et tout a été en pure perte; je les ai interpellés tous ensemble et chacun séparément ; j'ai essayé du jeu de tous les leviers, mais j'ai échoué partout ces MM., fort honnêtes en apparence lorsque la conversation devioit vers des objets indifférents, étaient des barres d'acier trempés, sans âme et sans entrailles, lorsque la cupidité était de nouveau en jeu. On n'a cessé même, d'après les mille écus auxquels renonçoit M. Malaubert, de nous parler de sacrifices que l'on faisoit, du désintéressement que l'on y mettait, etc.. le tout, en nous faisant payer le double du prix d'achat, et beaucoup plus qu'aucun étranger n'en eut donné, si la haine de l'esprit de parti et les passions les plus honteuses ne s'en étaient mêlées. Nous avons payé, en effet, au moins la valeur de l'objet, en nous supposant étrangers, et en le supposant patrimonial; j'en ai le coeur navré sous ce rapport, et la tête effrayée, à raison de la difficulté de faire face à de si grands engagements, qui en entraînent nécessairement d'autres, par la nécessité de faire quelques réparations indispensables dans cet immense château inhabité, et 286 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. livré aux infidèles depuis 25 ans, où de plus on a enlevé toutes les plaques, la plus grande partie des serrures, fenêtres, etc.. et où nous ne trouvons pas même une chaise. Nous étions placés dans la position affreuse ou de faire le plus onéreux de tous les marchés, ou de renoncer pour toujours à l'antique habitation de nos pères, et de le voir devenir, en détail, la proie des vautours; j'ai fini par courber la tête sous le joug de fer de la nécessité. Le mal et les médians ont tellement prévalu dans cette commune, qui depuis longtemps forme comme une sorte de petite République, que je ne crains pas de me tromper en ajoutant que j'ai servi essentiellement la cause du Roi dans ce canton, tout révolutionnaire, en déjouant ainsi toutes les manoeuvres et les espérances coupables des médians, et en rendant aux lions la confiance qu'ils avoient entièrement perdue. Je ne doute pas qu'il y ait, dès l'été prochain, une amélioration très sensible dans l'esprit public de cette commune. Nous partons Mercredi, ou Jeudy, pour Paris, et nous reviendrons tous en famille, au printemps. J'ai besoin de jeter de fréquens regards sur mon fils pour soutenir mon courage, et il m'en faut une forte dose. Mon frère n'ayant à peu près rien, et moi assez peu de chose, qui est des débris de la fortune de ma femme, émigrée comme moi avec toute sa famille, si le Roi ou le Gouvernement ne venoit de quelque manière à notre secours, en déduction des indemnités auxquelles nous avons tant et de si tristes droits l2, l'entreprise pourrait bien être au-dessus de nos forces. Ah ! Monsieur, quel triste spectacle, j'oserais dire, quel scandale pour la cause du Roi et de la Légitimité, que le rôle que nous venons de jouer, la manière dont on a abusé de notre position, et dont nous forcés, sur le théâtre même de notre ancienne splendeur, de venir recevoir la Loi de la part des coryphées de la Révolution, et signer notre réintégration dans nos vieilles ruines à un prix double de celui qu'y auroit mis un étranger, si l'esprit frénétique de parti n'avoit tout dénaturé dans cette douloureuse circonstance. A la merci de qui, Grand Dieu, sont livrés les meilleurs et les plus loyaux amis du Roi ! Oui, Monsieur, je ne crains pas de le dire, parceque je le vois évidemment et plus d'une fois même j'ai essayé de le combattre, les gens de bien s'affaiblissent, gémissent, s'aigrissent et se découragent, en voyant tant de maux s'aggraver particulièrement sur eux sous le Gouvernement qu'ils ont appelé de tous leurs voeux, de tous leurs efforts, de tous leurs dangers et au prix de sacrifices de tout genre. Par une conséquence désolante, et malheureusement trop naturelle, les médians triomphent, et, à quelques égards bien importans, leur 12 L'indemnité accordée à lu famille de Galard, sur le milliard des Emigrés, fut pour les biens situés dans le Gers de 450,438 Francs. TROISIÈME ET QUATRIEME TRIMESTRES, 1923. 287 triomphe est complet. Lorsque les Bons cherchent en vain la main chérie et protectrice dans laquelle ils aimoient à placer leurs plus espérances, les Pervers, qui n'ont cessé de la maudire, l'apperçoivent et la retrouvent partout. C'est ainsi qu'au milieu des séances, dont le souvenir ne s'effacera jamais de ma mémoire et dans lesquelles Gabriel Guilhon a fait de son mieux pour nous être utiles, j'ai eu la douleur de m'entendre dire deux fois ... et par quelle bouche ! Vous le voyez; tout ce qui se fait est en faveur des acquéreurs des biens nationaux... il résulte de là des maux irréparables, des coups mortels à la morale publique, sans laquelle nous périssons; il en résulte que les Pervers, les ennemis les plus implacables du Roi sentent augmenter leur perversité naturelle, leur audace et leur moyen de nuire, de toute leur importance dont on leur révèle imprudemment le secret, et de toute la crainte qu'on leur témoigne, car ils se jugent trop bien eux-mêmes pour se méprendre au jugement qu'en portent les autres, et sur les motifs de la conduite qu'on tient à leur égard. Effrayés, terrorisés d'abord comme le lièvre de la fable, ils se disent comme lui, voyant la terreur qu'ils inspirent, nous sommes donc des foudres de guerre et c'est ainsi que du colosse aux pieds d'argile on fait un vrai colosse, dont les forces éphémères et factices, vont croissant avec une effrayante et désastreuse rapidité. C'est ainsi, que, sans pouvoir rien faire gagner au Roi sur des coeurs incapables de se réconcilier avec aucune idée d'ordre, de justice et de légitimité, on bouleverse toutes les idées, on confond toutes les notions du juste et de l'injuste, on aliène quelquefois ou l'on flétrit du moins des coeurs tout entiers au Roi; c'est ainsi qu'on ne croit pas plus à la religion qu'à la morale en voyant avec quels monstrueux amalgames on les associe, qu'on se joue du titre de Roi Très Chrétien que pour mon compte je respecte autant que je chéris et qu'on fait, de, ses propres mains, des maux bien plus grands que ceux qu'on redoute. Le respect arrête ma plume, qui, dans l'agitation de l'état de crucifiement où je suis depuis quelques jours, a déjà peut-être été trop loin; mais je suis effrayé de ce que je vois, de ce que j'entends, de la marche très rétrograde de l'opinion et de l'esprit du public, et de ce que la cause sacrée a perdu de partisans d'un côté, sans faire une recrue de l'autre. Les honnêtes gens, si ardens, si dévoués en 1814 sont stupéfiés et marchent la tête basse en 1816; ah ! qu'il est temps, bon Dieu, que la politique consulte enfin un peu la morale et ses souvenirs, et sorte de la fausse ornière dans laquelle elle s'est égarée ! Sans cela, je pressens douloureusement de grands malheurs, et personne au monde ne désire davantage se tromper. Quant à moi, toujours invariable dans mes opinions, dans mon dévouement, dans mon culte de quelque sorte pour la légitimité, je saurai toujours mourir pour elle quand il le faudra; mais je gémis amèrement des 288 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. fausses impulsions, que lui communiquent, j'en meurs de peur, des mains peu amies et dont je vois très clairement les tristes effets sur les gens de toutes les classes, à commencer par le peuple; je gémis amèrement de voir que tout le monde en est encore à attendre avec anxiété l'arrivée des Gazettes, et à y chercher, avec un véritable trouble ce qu'on peut craindre ou espérer. Personne n'est d'aplomb, et ce sentiment de sécurité et de confiance, si nécessaire au bonheur n'est dans l'âme d'aucun homme de bien, tandis que les espérances coupables sont dans le coeur de tous les médians. Je désire voir trop en noir, d'après les fillières par lesquelles je viens de passer; mais un Pays où l'on est assez malheureux pour voir et entendre tout ce que j'ai vu et entendu depuis quelques jours, et où les choses les plus extravagantes comme les plus iniques paraissent justes et naturelles est un pays étrangement malade, qui porte en lui-même tous les germes de dissolution et de mort, si une main ferme, juste, habile, et, parfois, sévère et inflexible, ne vient opposer des obstacles insurmontables à leur développement. J'ai partagé l'avis du sous-préfet sur les inconvéniens qu'il pouvoit y avoir à remettre au maire de Terraube la lettre dont l'idée seule annonce tant de bonté et un intérêt si aimable, et j'ai été le premier à ouvrir l'idée de le mander pour se borner à lui en donner communication, en gardant la lettre par devers soi; je la regarde d'ailleurs comme une propriété intéressante et j'y attache un véritable prix. Je vais écrire immédiatement à M. le Chancelier pour lui rendre compte de mon affaire; son aimable intérêt m'en fait une sorte de devoir. Maintenant que tout est terminé, il y auroit plus d'inconvénien que d'avantage pour le moment à nous en plaindre en public de l'odieuse dureté dont a agi à notre égard; je cherche en vain à faire une exception honorable, et, si quelqu'un en méritait une, bien légère à la vérité, ce seroit Dépis qui nous a abandonné sans rétribution un petit bouquet de bois d'environ 2 à 3 arpens, qui lui avoit coûté, il y a vingt et tant d'années une centaine de francs en numéraire, et qu'il a coupé deux, ou trois fois depuis. Il possède encore en son propre et privé nom, une maison dans le village, qui était notre forge, et un pré; mais il a été impossible de le faire déposséder de l'un ni de l'autre. D'après les démarches aimables que vous avez bien voulu provoquer auprès de M. Dupouy, je vous dois un mot particulier sur son compte je suis forcé de dire qu'il n'a répondu en rien aux espérances que devoit faire concevoir sa conversation avec M. son frère, que vous m'avez transmise. Il paroit assez doux, être honnête dans ses formes, et je vais même jusqu'à croire que, s'il eut été mieux associé, il se seroit mieux conduit, mais aucun des autres n'ayant voulu consentir à une diminution, la cupidité, que je crois très grande chez lui, l'a aveuglé et entraîné, et, au lieu de TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 289 un exemple honorable, comme je l'en ai interpellé directement, il ne s'est montré ni plus traitable ni meilleur que les autres; car, en pareil cas, je compte pour rien quelques paroles insignifiantes et qui deviennent même déplacées et ridicules lorsqu'elles sont aussi hautement démenties par les faits. — Tenez, Monsieur, nous sommes très heureux, vous et moi qui pouvons, j'espère nous regarder comme d'assez honnêtes gens, de n'avoir pas acheté de ces infâmes biens nationaux — ils ont corrompu et profondément infecté tous ceux qui en ont souillé leurs mains. Puisque vous avez la bonté d'attacher quelque prix à une lettre un peu détaillée de ma part sur notre état politique actuel, lorsque je l'aurai soigneusement étudié moi-même,, j'en prends volontiers l'engagement avec vous, sous la,condition expresse que ce sera purement confidentiel, et brûlé ensuite; il est vrai que cette dernière condition est moins pressante en m'abstenant de signature. J'ai pensé que si vous aviez à m'écrire, vous pourriez avoir la bonté de le faire sous le pli du Préfet de Versailles. Ce 19 au soir. — Ce n'est qu'à l'instant, à 4 heures et demie du soir, que nous venons de terminer. Je croyois ne pouvoir plus rien à apprendre sur les turpitudes du pauvre coeur humain mais je viens néanmoins de grossir ma collection de quelques tristes observations nouvelles. Comme il faut qu'un homme public tel que vous connoisse ses administrés, je dois vous dire que le plus grand obstacle à tout bien, l'homme au coeur d'acier, c'est M. Laroche. Sans lui, nous aurions incontestablement obtenu cent louis pour les frais du fisc — ceci pour vous seul comme homme public, et sans que la charité en souffre — on a grand soin de ne faire paroitre ici que lui et Malaubert ,parce qu'on craint que les deux autres fussent un peu moins arabes. Guilhon en est outré et révolté. Nous partons sans faute après-demain matin jeudy. J'emporterai désormais partout avec moi le souvenir de votre conduite si aimable pour nous. On auroit bien de la peine à pratiquer le précepte, si essentiel et si recommandé, de l'amour du prochain s'il n'y avoit quelques prochains qui dédommagent de quelques autres. ° En relisant ma lettre, je m'aperçois qu'il y a un peu d'obscurité dans cette phrase j'ai voulu dire qu'après avoir offert une première fois francs, il est allé jusqu'à sans savoir même quel est le quart de l'enclos que le sort assigneroit à Mme Malaubert. Comme on l'a vu, les héritiers Dépis, forts de leurs droits, tinrent bons jusqu'à la fin. Ils finirent par l'emporter M. de Galard, à bien considérer les choses, s'exagérait sans doute le péril du château de Terraube; l'on voit très bien, en effet, que 290 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Soulés, que Ransan, étaient apostés là par ces intraitables vendeurs pour obtenir les conditions les meilleures. On s'explique cependant, dans une certaine mesure, les plaintes de M. de Galard. On sent que ce qui le touche le plus n'est pas la dureté des héritiers et leur àpreté au gain, mais bien l'hostilité sourde qu'il ne peut s'expliquer, et l'ingratitude de gens à qui lui et les siens n'ont jamais fait que du bien. Evidemment, entre lui, l'héritier du vieux Terraube, et les habitants de la commune jadis si dévoués, un fossé s'est ouvert, qu'il faudra longtemps à combler. C'est que des idées nouvelles sont venues, de nouveaux temps sont proches. Le Préfet dont nous avons suivi le rôle dans cette affaire en enregistra la défaite dans la lettre, du 25 novembre, qu'il adressa au Chancelier. Il avait pris vivement parti comme on l'a vu, et lui aussi ressentait un peu d'amertume de son échec MONSEHEINEUR, Je suis profondément attendri de la bonté qui vous a porté à mettre sous les yeux du Roi l'expression de quelques uns de mes sentimens. Si jamais Sa Majesté avoit l'occasion de trouver en moi un loyal serviteur, je voudrais qu'elle y reconnut le choix du cher et illustre patron qui le premier m'a procuré le bonheur de la servir. D'après l'intérêt que vous avez bien voulu prendre à l'affaire de Messieurs de Galard, je crois devoir vous en apprendre l'issue. Le vicomte a terminé en payant ce malheureux château francs, ce qui est moitié en sus de la valeur et tout ce qu'on aurait pu payer un objet patrimonial d'étroite convenance. La fureur de les expulser, de les bannir à jamais de ce sol natal était telle qu'un riche révolutionnaire du lieu a offert francs d'une part quelle qu'elle fut afin de la démolir incontinent. Je suis avec un bien tendre respect, Monseigneur, de Votre Grandeur, etc. TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 291 LA RÉVOLUTION A TOUGET PAR M. LAMARQUE. Suite. 23. — Les Volontaires de 1792. — Enraiements, Souscriptions et Allocations. — Soldats de l'an II, l'histoire souligne votre sublime cri de guerre de Valmy, ce Vive la Nation ! » qui déconcerte Brunswick; elle exalte votre endurance, votre patience inlassable. Ce n'est pas assez ! Aussi, ma joie est ardente de dissiper les ténèbres qui vous entourent et de donner à ceux d'entre vous, qui partirent de Touget, la juste part d'honneur qui leur revient. Jean LABOUBÉE, chapelier à Touget, âgé de vingt-un ans a déclaré, le 21 août 1791, que son voeu était, sans être séduit de qui que ce fut, et de son sang-froid, à témoigner son dévouement pour la chose publique et a voulu rie cette sorte être inscrit sur le regis tre destiné à cette inscription et a déclaré vouloir être volontaire, jusqu'à révocation expresse ainsi qu'il est expliqué par les décrets de l'Assemblée nationale et pour tout le temps que le bien du sér" sér" vice l'exigera. » 1 Bernard GAY 2, garçon cordonnier et Jacques DISPANS 3, autre garçon cordonnier, ont le même jour, 21 août 1791, dit et déclaré qu'étant dévoués pour le bien de la Chose Publique, leur intention était de se faire inscrire sur le registre ouvert et destiné et de ser ser vir suivant les décrets de l'Assemblée nationale, pour l'espace et durée de trois ans seulement, en qualité de volontaires légion légion naires. » 1 Il doit être question de Jean-Marie Laboubée, né à Touget le 22 juillet 1767, puisqu'une soeur unît en 1759 et que le père meurt en 1771. Il n'existe pas d'autres Laboubée nés entre ces dates. Jean-Marie est le dernier des garçons en supposant qu'il en existât d'autres. Il aurait donc eu vingt-quatre ans et non vingt et un ans, à moins que ces derniers mots aient été employer unique ment pour marquer sa. majorité. Dans l'acte de mariage qui le concerne en 1798, il ne porte que le prénom de Jean, bien que la date de sa naissance soit exacte. 2 Né à Touget le 9 juillet 1869. 3 Né à Touget le 21 juillet 1772, 292 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Pierre HIGADÈRE 1, garçon charpentier, le 21 août 1791, pareillement contracte à son tour un engagement de trois ans en la même qualité de volontaire. Ces quatre volontaires se sont probablement inspirés des décrets de l'Assemblée Nationale Constituante, en date du 20 avril 1791, additionnels à ceux du 28 janvier 1791, ordonnant une levée de cent mille soldats auxiliaires. Le peuple sentait la menace venir de l'étranger sous les insinuations malveillantes en même temps qu'intéressées de la masse toujours grandissante des émigrés. Bouille était à Metz, les frontières étaient découvertes, les trouilles se multipliaient, la Nation frémissait et demandait elle-même des armes pour courir au-devant des envahisseurs. Le 5 mai 1792, l'Assemblée Législative publie un nouveau décret qui ordonne la formation de trente-un nouveaux bataillons de gardes nationaux volontaires. L'art. III de ce décret expose que certains départements parmi lesquels se trouve le Gers, doivent fournir chacun deux bataillons de 800 hommes. Mais les quatre volontaires tougétois étaient déjà partis depuis près de huit mois, probablement le 29 août 1791, c'est-à-dire huit jours après leur inscription. Mon opinion repose sur la lettre ciaprès 1 Messieurs les officiers municipaux de Touget. L'Isle-Jourdain, le 23 Août 1791. Je viens de recevoir, Messieurs, des ordres très pressants pour faire mener devant moi les volontaires qui se sont présentés à vous pour être inscripts sur le registre de ceux qui sont décidés à servir la Patrie. Je m'empresse de vous en prévenir et je vous prie de vouloir les conduire vous-même lundi prochain, 29 du courant. " Ayez soin de porter avec vous la liste ou le registre que vous avez dû en tenir ouvert. Vous pourrez porter aussi au district qui vous la demande, la liste des auxiliaires s'il s'en est présenté quelqu'un. Songez surtout que telle est la circonstance qu'il faut de l'exacti tude et de l'activité pour l'un et l'autre objet. Je suis bien fraternellement, Messieurs, votre très humble et obéissant serviteur. Signé SEISSAN, commissaire.» 1 Né à Touget, le 26 novembre 1772, prénommé Jean-Pierre. TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 293 Déjà les officiers municipaux de Touget avaient dû recevoir une lettre de la Municipalité de Cologne, datée du 20 août 1792, qui mentionne mentionne le lundi 22 août la présentation à M. Seissan des dits volontaires. Il est probable que la réquisition départementale de deux bataillons, conformément au décret du 5 mai 1792, cité d'autre part, exigea que Touget s'imposât pour un certain nombre de nouveaux volontaires. Du reste, le temps était précieux et l'heure solennelle. La guerre à l'Autriche avait été déclarée le 20 avril 1792, et, en même temps, les armées étaient désorganisées par les défections des officiers, nobles pour la majeure partie, qui passaient à l'ennemi. Le 11 juillet 1792, l'Assemblée nationale législative déclara La Patrie en. danger ! Le dimanche, 22 juillet, sa proclamation devait être lue sur les places publiques dans toutes les communes de France. Les patriotes qui avaient obtenu l'honneur d'être enrôlés devaient se rendre, sans délai, au chef-lieu du district où se préparaient la solde, la poudre et les armes. Avec ou sans uniforme, ils n'avaient plus qu'à se mettre en route pour les champs de bataille afin de composer, au plus vite et de toutes pièces, l'armée des savetiers, des et des tailleurs ». C'est évidemment parmi ces nouvelles recrues que nous compterons Touget Gervais CHAUBON 1; Pierre ARTAGNAN 2; les deux frères Bernard AUTIPOUT 3 et Jean AUTIPOUT 4; et Pierre CAMPAN 5. Nous y ajouterons Jean DORBE 6, qui partit de Puycasquier, pour se rendre à Bayonne, le 21 mai 1793, et dont les parents habitaient Touget. Ainsi, nous pouvons défier toute critique puisque la Municipalité de Touget établit le 19 septembre 1793 une pièce ainsi libellée 1 Né à Touget, le 21 novembre 1770. 2 Né à Touget, le 28 jancier 1768. Avait le titre de lieutenant dans la 1re d'infanterie légère lorsqu'il se maria en 1802, ou an 10. 3 Né à Touget le 14 mai 1770. 4 Né à Touget le 6 mai 1773. 5 Né à Touget le 3 mai 1771. 6 Né à Touget le 14 janvier 1771, prénonms Jean-Marie. 19 294 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Etat des pères et mères des citoyens soldats volontaires qui sont dans la commune de Touget Jean Gay, 1 fils; Alexis Higadère, 1 fils; Dominique Dispans, 1 fils, la veuve Laboubée, 1 fils; Etienne Chaubon, 1 fils; Mathieu Artagnan, 1 fils; la veuve Autipout, 2 fils; la veuve Campan, 1 fils; Jean Dorbe, 1 fils. On observe que le fils de Jean Dorbe a été déclaré défenseur de la Patrie, lors du Recrutement dans la commune de Puycasquier, canton de Puycasquier, district d'Auch, que ce dernier a fait passer à la présente municipalité, l'extrait en forme de son inscription, qu'elle va incontinent faire passer au Directoire toutes les pièces relatives pour l'obtention du secours attribué comme père d'un défenseur. Certifié véritable à Touget, le 19e septembre 1793, 2e de la Répu blique Française une et indivisible. Les membres composant le corps municipal de Touget signés ARTAGNAN, officier municipal; DESSUM; GARROS, officier municipal; CHAUBON, officier municipal, et GABENT, secrétaire municipal. » Je veux pourtant souligner ici une note établie, le 7 mars 1793, par la municipalité, en réponse à une lettre de Dirat, procureur de Cologne, qui demande 1° Le nombre d'hommes qui sont sortis de la commune pour entrer dans les armées de la République et qui s'y trouvent en ce moment; 2° Le nombre d'habits d'uniforme national, etc. A la première question paraît se rattacher la liste suivante Pages, 2 volontaires; Campan, 1 volontaire; Garros, 2 volontaires; Dispans, 1 volontaire; Laboubée, 1 volontaire; Gay, 1 volontaire; Figadère, 1 volontaire; Artagnan, 1 volontaire; Chaubon, 1 volontaire; Peyrolongue, 1 volontaire; Pujos, 1 volontaire. Cette liste n'est pas identique à celle mentionnée le 19 septembre 1793. Cela prouve tout simplement que les volontaires ont pu être enrôlés ailleurs, revenir dans leurs foyers pour des causes inconnues après un laps de temps relativement court, ou tomber au champ d'honneur. A six mois d'intervalle, durant une guerre, il se passe bien des choses qui modifient les états, tout officiels qu'ils puissent être. TROISIÈME ET QUATRIEME TRIMESTRES 1924. 295 La lutte contre l'Europe coalisée se poursuit. L'armée a besoin non seulement de jeunes recrues, mais encore d'ouvriers militaires de tout ordre et de tout âge. Voilà pourquoi la Municipalité de Touget reçoit, le 21 frimaire an II, c'est-à-dire le 11 décembre 1793, l'ordre que voici AU NOM DE LA RÉPUBLIQUE, Les citoyens maire et officiers municipaux de Touget sont requis en exécution des ordres du Représentant du Peuple de faire join dre demain, 22 frimaire ou 12 décembre 1793 vieux style, au chef-lieu du district de l'Isle-Jourdain pour y recevoir les ordres directoire sic, les dénommés ci-après, à neuf heures du matin. Savoir Antoine BOURGUIGNON; Dominique CHAUBON, presseur d'huile; Jean DAYOT, tailleur; Bernard BASSAU; Antoine DUBOSC, Sous peine de désobéissance et d'être pris contre eux des mesures révolutionnaires. A Cologne, le 21 frimaire de l'an II de la République une et indivisible Signés SAMAZAN, maire, et DIRAT. » C'est au sujet de cette réquisition même que la Société montagnarde de Touget, dans sa séance du 25 frimaire an II 15 décembre 1793, fait observer que la municipalité de Cologne avait réquisitionné cinq hommes à Touget tandis qu'elle n'avait fourni elle-même qu'un estropié ». Mais faisons connaître plus amplement les citoyens ci-dessus réquisitionnés Antoine BOURGUIGNON, originaire de Roquelaure-St-Aubin, où il est né vers 1765, s'est marié à Touget avec Marguerite Péraro, le 11 juin, an II. Il est commerçant en bestiaux, âgé par conséquent de 28 ans. Dominique CHAUBON, presseur d'huile, naquit à Touget, le 29 juillet 1761, et se maria, le 28 août 1789, avec Raymonde Trémont. Il avait donc 32 ans. Bernard BASSAU, originaire de Pessoulens, où il était né vers 1744, était brassier; il se maria à Touget, en 1781, avec Bernarde Catherine Péraro. Il était âgé de 49 ans. Jean DAYOT, tailleur d'habits, était né à Pompiac Gers en 1755. Il 296 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGITUE DU GERS. s'était marié à Touget, en 1780, avec Françoise Chaubon. Il était âgé à ce moment de 38 ans. Antoine DUBOSC, ménager, naquit à Touget en 1761 et se maria, en 1789, avec Marie Dupin. Il avait ainsi 32 ans. Entre temps, nous avons fait connaissance avec un volontaire, Antoine LANNES, qui n'était probablement pas originaire de Touget, mais qui, incorporé à la Cie N° 5 du district d'Auch, avait déserté cette compagnie pour venir se réfugier à Touget. A l'époque, ils existait des familles portant le nom de Lanes dans la commune, mais vu l'âge du déserteur 25 ans, aucune naissance ne correspond à celle d'Antoine qui aurait dû figurer sur les registres de 1767 ou 1768 ou années se rapprochant de celles-là. Je me plais à croire que le dit Antoine s'était retiré près d'un oncle ou parrain, Antoine Lannes, qui était marié à Touget. Bref, sur une lettre du lieutenant de la Cie N° 5, la municipalité de Touget fait arrêter le déserteur qui est, conformément aux ordres reçus, conduit à Mauvezin par Dominique Dispans et Dominique Chaubon, gardes nationaux de Touget pour être remis au gendarme Ducos, le 20 frimaire an II, ainsi qu'en fait foi le récépissé délivré par le dit gendarme. Pourtant, il existe sur la liste des parents qui sont secourus, ainsi qu'on le verra plus loin, un certain Bernard Lannes qui me laisse perplexe. Il se pourrait ainsi que la famille fût venue à Touget vers cette époque. Plus tard, nous avons un autre volontaire, Antoine ABADIE, né à Touget, le 1er juin 1772 et qui est incorporé au 5° bataillon du Lotet-Garonne, le 4 prairial an II, c'est-à-dire le 23 mai 1794. Enfin les documents signalent quatre volontaires à une époque que je puis déterminer Alexis ETCHEVERRY, né à Touget le 9 septembre 1767, Alexis ESCALAS, né à Touget le 18 septembre 1771, Augustin DÉLIBÉS, né à La Réole âgé de 19 ans, Jacques BAYLAC, né à Touget le 30 juillet 1770. Le seize mars 1793, à l'heure de midi, en vertu des décrets de la Convention nationale des 21, 23, 24 et 25 février 1793, tous les citoyens soumis à l'appel s'étant réunis en la maison commune ont été invités à examiner comment la commune de Touget pourrait fournir les quatre hommes demandés. TROISIÈME ET QUATRIEME TRIMESTRES 1924. 297 M. Mohic, commissaire, habitant de Touget, élu par le Direc toire du district pour surveiller les opérations de cette levée dans les communes du Canton, assistait à la réunion. Soixante-onze citoyens dont les noms pourraient être donnés sont présents. C'est au moment de discuter sur la façon de procéder que se seraient tirés du sein de l'assemblée citoyens Alexis Etche verry, tourneur, Alexis Escalas, garçon boulanger; Augustin Déli garçon tailleur d'habits pour homme, et Jacques Baylac, tous habitants du dit Touget, et auraient dit vouloir s'inscrire comme volontaires et généreux défenseurs de la Patrie... désirant néan moins les dits Etcheverry, Escalas, Délibés et Baylac entrer dans le 7° bataillon des volontaires nationaux du département de la Haute-Garonne... » Pour Jacques Baylac, il y a erreur d'âge sur le procès-verbal de décharge. II est porté âgé de 19 ans. Ce n'est pas possible puisque la mère Baylac accoucha d'une soeur, nommée Jeanne, en 1774. Signalement Alexis Etcheverry, né à Touget, 25 ans, taille 5 pieds 3 lignes, cheveux et sourcils noirs, yeux noirs ; Alexis Escalas, né à Touget, 22 ans, taille 4 pieds 9 pouces 3 lignes, cheveux noirs, sourcils châtains, yeux noirs; Augustin Délibés, né à La Réole, 19 ans, taille 4 pieds 10 pouces, cheveux et sourcils bruns, yeux de même; Jacques Baylac, né à Touget, 19 ans, taille 4 pieds 10 pouces, cheveux et sourcils châtains, yeux bleus. Ces noms portent au chiffre de vingt-un le nombre de soldats de la Révolution que Touget a fournis. Le contingent des armées révolutionnaires équivalant à la levée en masse, ne devait pas exiger, pour la commune de Touget, un nombre supérieur d'enrôlements. SOUSCRIPTIONS OUVERTES L'IsIe-Jourdain, le 30 Janvier 1793. La lecture de la lettre d'un citoyen ministre et patriote que je vous adresse embrasera sans doute vos coeurs bienfaisants. L'invitation de la Société de Cherbourg a dû préparer les voies à de si beaux sentiments. Prouvons à la famille entière de nos frères que nous ne leur 298 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. cédons en rien et fournissons de tous nos pouvoirs des capotes et des souliers à nos braves défenseurs. Le Procureur-syndic du distric de l'lsle-Jourdain Signé BON REYNAUD. Veuillez nous adresser de suite le résultat de vos délibérations à ce sujet afin de nous fixer. » Il s'agit en l'espèce, d'une souscription ouverte pour acheter des capotes et des souliers aux volontaires de l'armée révolutionnaire. Cette souscription n'eut pas l'air d'être prise au sérieux. En effet, les souscripteurs ne sont qu'au nombre de trente-neuf et ce qu'ils offrent porte bien davantage sur les sous que sur les livres, si bien que le total ne s'élève qu'à quatorze livres quatorze sols. Cette liste donnerait une piètre idée de la générosité tougétoise, si la souscription ouverte en faveur des quatre volontaires Alexis Etcheverry, Alexis Escalas, Auguste Délibés et Jacques Baylac ne produisait une impression toute différente. Pour eux, la collecte s'éleva à la somme de cinq cent quatrevingt-douze livres deux sols qui dut leur être distribuée. ALLOCATIONS AUX FAMILLES 1 La situation des parents des défesseurs de la patrie avait fait l'objet d'un examen au sein des assemblées nationales. Je trouve une première délibération du conseil municipal de Touget, datée du 16 septembre 1792, de laquelle j'extrais ce qui suit Un des membres de l'Assemblée a dit Messieurs, en exécution d'un arrêté de MM. les administrateurs du Conseil général du département du Gers du 24 août dernier portant que l'adminis tration jalouse de seconder les vues bienfaisantes de la Nation qui a déclaré que les familles des patriotes qui vont exposer leur sang pour elle seront toujours sous sa protection spéciale; qu'il n'est pas de citoyen vraiment ami de la Patrie qui ne tienne à gloire de con courir de tout son pouvoir au succès d'une souscription pécuniaire, 1 La circulaire du Ministre de l'Intérieur aux municipalités en date du 4 ventôse an II, fixe les décomptes applicables aux citoyens ayant droit aux secours prévus par les lois du 26 novembre 1792, 4 mai 1793 et 5 nivôse an II, depuis le mois de juin 1791 et y compris le mois de ventôse de l'an II Lois et décrets de la Convention, Case III, Liasse III. TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 299 qu'il convient d'ouvrir en faveur des familles de ceux qui sont à l'armée ou qui s'y rendront, un registre dans cette municipalité " pour que, sous l'inspection immédiate du Conseil général de la Commune, les soumissions des citoyens puissent-être inscrites pour cette oeuvre patriotique. » Un trésorier devait être nommé pour encaisser les cotisations la délibération ne porte point de nom relatif à cette fonction. S'en rapporter à la générosité publique pour venir en aide aux parents nécessiteux était une erreur. La Convention nationale, par décret du 26 novembre 1792, mit deux millions à la disposition du Ministre de l'Intérieur pour transformer en obligation une mesure qui n'était en somme que facultative. Seulement, pour la distribution de ces deux millions, il était nécessaire de se conformer aux états des nécessiteux, parents des défenseurs de la Patrie, dressés préalablement par les Conseils municipaux. Pour ce motif, les membres du Conseil général de Touget se réunirent, le 2 février 1793. Ces membres ont jugé indispensable de comprendre au rôle à faire, les personnes ci-après désignées comme étant pères et mères des soldats citoyens volontaires, savoir Dominique DISPANS, père de Jacques; Jean GAY, père de Ber nard; Alexis HIGADÈRE, père de Pierre, et la veuve ANTIPOUT, mère de Jean et de Bernard Antipout, ses deux fils. Qu'en conséquence, les quatre dénommés seront les seuls parti cipants à la distribution ci-dessus à l'exclusion des Laboubée et Campan, etc. » L'exclusion de la veuve Laboubée et de la veuve Campan, d'après une délibération du 3 février 1793, repose sur le fait que ni l'une ni l'autre ne tiraient aucun produit du travail de leurs fils. » J'ai tout lieu de croire que les états devaient être établis tous les trois mois, puisque le citoyen Barbéry est chargé de la distribution trimestrielle. Un document porte textuellement ceci En vertu de la loi du 4 mai 1793 Secours accordé aux dénommés, comme pères de volontaires. Rose MENVTLLE 58 1. 6 s. 8 d. Alexis HIGADÈRE 58 1. 6 s. 8 d. La veuve AUTIPOUT 58 1. 6 s. 8 d. 300 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. La veuve CAMPAN 113 1. 2 s. 2 d Gervais CHAUBON 113 1. 2 s. 2 d 401 1. 4 s. 4 d. De la dite participation ont été exclus Jean GAY, Dominique DISPANS, Mahtieu ARTAGNAN, pères des défenseurs de la Patrie. La somme ci-dessus accordée a été arrêtée par le ministre de l'Intérieur Paré, le 30 août 1793. Inscription des volontaires du 21 août 1791. » Le 12 prairial an III de la République française une et indivisible 31 mai 1795, le maire et les officiers municipaux de Touget de réunissent à nouveau. Un membre a fait lecture des arrêtés du Comité du Salut Public des 17 ventôse et 3 germinal relatifs aux secours décrétés en faveur des familles des défenseurs de la Patrie qui, textuelle ment portent qu'aucun réclamant ne pourra être admis par les " commissaires vérificateurs sur les listes de secours qu'en justi fiant de son indigence par un certificat délivré par le Conseil général de la Commune; que les commissaires exécuteront littérale lement l'art. I. de la loi du 21 pluviôse. » Obéissant à ces instructions, l'assemblée établit, séance tenante, le tableau des parents qui méritent le certificat d'indigence. Le citoyen Barbery Cadet prenant copie du tableau ainsi établi, paye, pour le trimestre de germinal an III, les secours suivants Alexis HIGADÈRE 25 1. Brigitte ALLÈGRE 15 1. Bernard CALAC 30 1. Charlotte MOUTET 30 1. Jeanne DUCASSÉ veuve 25 1. Jean DORBE 15 1. Jacquette AUVERGNE 15 1. Jean GAY 30 1. Joseph TURLE 50 1. Jeanne MAUPAS 50 1. Bernard LANNES 25 1. Jeanne ESCALAS veuve 25 1. Mathieu ARTAGNAN 25 1. Dominique DISPANS 15 1. Marie OULÉ 15 1. Marie CLAVÉ veuve 50 1. Bertrande Moliné veuve 25 1. Etienne CHAUBON 25 1. Bertrand IDRAC 15 1. Marie GITHET 15 1. François BRUNET 15 1. Marie MOLINÉ 15 1. Fr. DUCASSÉ Vve Simorre 25 1. Jeanne HIGADÈRE Veuve 25 1. TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 301 Jean ARAGON 30 1. André CHAUBON 25 1. Pierre FOURCADE 15 1. Louise LAPEYRE 15 1. Jeanne MAURON Veuve 25 1. Louise FOURCADE Veuve 25 1. Arnaude HIGADÈRE Veuve 25 1. Etienne DUBOSC 15 1. Marguerite BARRAN 15 1. Rose COMMÈRE 125 1. Doumenge Garros, Veuve Darolles 25 1. Total 940 I. Les fonds nécessaires au paiement des allocations n'arrivaient pas toujours à date fixe, mais il n'en résultait pas, pour cette raison, un retard préjudiciable pour les familles secourues. En effet, dans sa séance du 22 thermidor an III, le corps muni cipal a arrêté que pour obvier aux besoins pressants des parents des défenseurs de la Patrie, attendu qu'il n'existe des fonds dans la caisse du Receveur du district et que ceux-ci doivent partici per à la bienfaisance nationale sans souffrir le moindre délai il sera fait une invitation aux quatre haut taxés, et autant que de besoin une réquisition pour qu'ils aient à verser en mains du citoyen Barbery, commissaire, la somme de huit cent quatre-vingt quinze livres pour que ce dernier puisse à son tour la distribuer aux citoyens compris dans le tableau 1. A cet effet, d'après la comparaison des articles les plus cotisés au rôle de la contribution foncière, il se trouve que les citoyens Noguès, Mohic, Pierre-Jean Sales et la citoyenne Lasalle, tous demeurant dans cette commune se trouvent être les plus haut taxés et par suite assujettis d'après la loi 2 à l'avance de la dite somme de huit cent quatre-vingt quinze livres laquelle sera distribuée ainsi que suit NOGUÉS, 223 1. 15 s.; MOHIC, 223 1. 15 s.; SALES, 223 1. 15 s.; la citoyenne veuve LAS SALLE, 223 1. 15 s. Demeure arrêté encore que la Municipalité invitera l'adminis tration à délivrer un mandat de pareilles somme en faveur du dit Barbery, commissaire, pour tenir lieu de remboursement sur les premiers deniers de la Caisse du district que ce dernier leur paiera. » Pour donner suite au paragraphe ci-dessus, la Municipalité adresse, suivant délibération du 29 thermidor an III, une rapide requête au 1 Paiement du trimestre de messidor. 2 Loi du 21 pluviôse an III. 302 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. procureur syndic pour que ce dernier fasse rembourser sans délai par le caissier du district les avances qu'ont faites les citoyens " Noguès, Mohic, Sales et la veuve Lassalle ». Je ne pousserai pas plus loin mes recherches sur ce chapitre, estimant que nos ancêtres avaient adopté des mesures très pratiques et très simples pour que le fonctionnement du service spécial des allocations s'effectuât dans les meilleures conditions. Ils n'eurent pas besoin de s'abriter, comme nous l'avons fait récemment, derrière un tas de commissions irresponsables commission cantonale, commission spéciale d'arrondissement, commission centrale qui, tenant compte de documents plus ou moins exacts tels que rapports de maires, enquêtes officielles de gendarmerie, sans parler de celles qui n'étaient qu'officieuses, nous ont valu, en fin de compte un fatras immense de dossiers rejetés aujourd'hui, acceptés demain, renouvelés jusqu'à quatre et cinq fois, uniquement parce que personne n'osait dire au solliciteur aisé Vous n'avez pas droit à l'allocation parce que vous n'êtes pas nécessiteux. » Mais je critiquerai le texte même des lois qui ont motivé les allocations aussi bien en 1792 qu'en 1914. Le législateur n'avait pas à tenir compte des besoins des familles; il n'avait qu'à considérer le sacrifice du sang et attacher, de plein droit, à ce sacrifice l'allocation légale. En un mot, chaque volontaire ou chaque mobilisé devait valoir, suivant sa situation de célibataire, d'époux ou de veuf avec enfants, à ses parents, à son épouse ou à ses enfants, cette rétribution spéciale que l'on appela, à tort, secours ou allocation, et qui iaurait dû porter le titre de Dette nationale. De cette façon, il y aurait eu quelques millions de plus à dépenser mais, du moins, l'Etat n'aurait rien perdu puisque les millions auraient supprimé les injustices flagrantes, les abus criards, les plaintes justifiées et, avec cela, qui constitue déjà un lot sérieux, ils auraient laissé à leurs travaux des gens qui obéissaient souvent à des suggestions spéciales et jugeaient mal certaines situations parce qu'ils les voyaient de trop loin. Le moindre examen jette, en effet, une clarté singulière sur cette question. Toutes les fois qu'il s'agit d'apprécier une situation familiale, il est prudent de réfléchir. Personne ne tient à faire connaître ses affaires; tel, qui semble vivre dans l'aisance, se trouve au contraire, fort gêné par les dettes qui l'accablent; tel autre, qui geint TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 303 constamment sur la médiocrité qu'il simule, voit, de jour en jour, son légendaire bas de laine s'emplir sans arrêt. Bien mieux, la fortune est changeante; elle a ses caprices. Il suffit d'une étincelle pour qu'un désastre atteigne toute une maisonnée. Et cela est vrai qu'on accordera demain ce que l'on estime devoir refuser aujourd'hui. Il s'ensuit, tout compte établi, que l'on trouve sur les listes d'émargement des allocataires, 95 pour 100 environ du personnel que la loi, prise dans son sens le plus ample, aurait permis d'y faire figurer. L'Etat ne réalisa donc, en 1792 ou en 1914, qu'une économie dérisoire peu capable de faire équilibre aux rancunes que ne manquent pas d'entretenir en leur coeur, les soumissionnaires déçus dans leurs espérances pour ne pas dire lésés dans leurs droits. Archives de Touget. — Liasse des Volontaires, Case III. — Registres des dél. 1792, 1793, 1794, 1795. 24. — Armes et Munitions. — Obéissant à la loi du 8 juillet 1792 qui prescrivait le recensement des armes de toute nature, le conseil général de la commune de Touget se réunit, le 20 juillet 1792, et décida que pour l'exécution ponctuelle de la Loy, il devait être ouvert un registre destiné à la réception de la déclaration des armes qu'avaient les citoyens de cette commune, de quelle espèce et nature qu'elles fussent, ensemble la désignation des munitions et qu'au surplus, il serait crié à haute et intelligible voix à ce que les citoyens s'y conformassent dans le plus court délai vu le péril imminent, de même que de prendre la cocarde aux trois couleurs, ainsi que la dite loi l'exige... etc.. » Le registre des déclarations, clos le même jour porte en L-rmère page les renseignements suivants RECENSEMENT GENERAL 57 fusils à un coup ou à deux coups; 22 pistolets; 2 épées; 9 sabres; 18 charges de poudre; 13 balles; 1 canne à lance. Il avait été déjà question de l'armement préalable des volontaires et cette mesure n'avait pas été sans causer quelque émotion, vu l'usage que des jeunes gens pouvaient en faire. Le 11 février 1792, M. Dandrieu, procureur-syndic au directoire du district de l'Isle-Jourdain, avait adressé une note à ce sujet à la municipalité, qui avait désarmé les jeunes Tougétois. Nous donnons ci-dessous la réponse à la note. 304 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Touget, le 12 Février 1792. MONSIEUR, Nous n'ignorons point que les armes destinées pour les volon" volon" de notre commune ne soient uniquement destinées que pour eux, mais des motifs nous ont déterminés à les mettre ne dépôt et lieu sûr. Les réquisitions qui nous ont été faites relativement aux dites armes nous ont engagés à les en dessaisir. Que penser des jeunes gens qui toujours leurs fusils en bouche veulent, disent-ils, chas ser et notamment tirer sur les pigeons. Nous sommes en place, Monsieur, pour veiller à la sûreté des propriétés, or, donc, de pareils propos doivent être réprimandés. Si, cependant quelqu'un de ces volontaires n'a pas coopéré à ces propos, il ne doit pas être privé de ces armes qui lui appar tiennent et désirent s'immortaliser, pour la défense de la patrie, mais avant toutes choses et avant la remise, malgré les plaintes qu'ils pourraient former de nouveau, nous ne les livrerons jamais qu'après justification des difficultés ci-dessus, sauf néanmoins les cas que leur service exigeraient, sic Nous sommes bien fraternellement, Monsieur, les membres composant le Corps municipal de Touget. Signés CHAUBON, maire; CLAVÉ, officier municipal, et LABÉDAN. » Plus tard, le 7 mai 1793, le Conseil général du département du Gers, ordonne que les fusils de calibre même de chasse seront diligemment réparés et mis en état de concourir à la défense de la République soit aux frontières, soit dans l'intérieur et, par voie de conséquence, le Conseil municipal de Touget réuni le 16 mai 1793, arrête qu'à la diligence des officiers municipaux il sera annoncé dimanche prochain, par le crieur public, que tous les citoyens de cette commune, ayent sic à remettre leurs fusils de quelle espèce qu'ils soient, dans la maison de la dite commune, dans les vingtce quatre heures, pour, d'après la remise être jugé ceux ayant besoin de réparations et par qui et aux dépens de qui ces réparations doivent être avancées, comme aussi les ouvriers propres pour réparer les dites armes, pour les factions de baguettes de fer et bayonnettes à chacun desquels fusils il doit en être fait, seront requis de quitter tout ouvrage pour pourvoir aux réparations sus dites et fabriquer des baguettes et bayonnettes; qu'en conséquence TROISIÈME ET QUATRIEME TRIMESTRES 1924. 305 " il sera exposé au district que les ouvriers propres à ce faire sont " employés dans cette commune aux réparations susdites et que d'après qu'elles seront parachevées, ces mêmes ouvriers seront requis de se rendre au chef-lieu du département et dans les ateliers " placés pour la perfection la plus prompte des ouvrages susdits. » La même année et à la date du 9 octobre 1793, les membres du Comité de Salut public Carnot, Prieur, Robespierre et BillaudVarenne adressent aux municipalités des questionnaires afin de s'enquérir des armes qui font défaut pour armer tous les défenseurs de la patrie. La municipalité de Touget s'assemble, le 10 pluviôse an II 29 janvier 1794, et, le 20 pluviôse 8 février 1794, répond au Comité de Salut public qu'il existe à Touget 121 citoyens en état de porter les armes; Que la quantité existante de fusils est de 57; que le nombre de sabres est de 4; Qu'ainsi, pour que chaque citoyen possède son sabre et son fusil, il manque, pour Touget, 64 fusils et 117 sabres. Le 6 ventôse de l'an 2 24 février 1794, MM. Mohic et Seissan, administrateurs au district de L'Isle-Jourdain, écrivaient aux officiers municipaux une lettre dont le 2e paragraphie est ainsi conçu " Nous vous requérons aussi de nous envoyer de suite toutes les " matières propres à la fabrication d'armes provenant de votre ci" devant église, telles que le fer coulé ou battu, le cuivre rouge " ou jaune, les vieilles pièces de bronze à refondre, le plomb neuf " ou vieux, la tôle, le fer blanc et les cloches, si vous ne l'avez pas " envoyé. Votre zèle pour la cause publique nous est un sûr garant " que vous mettrez la plus grande célérité dans l'exécution de notre " lettre. " Salut et fraternité. » LA SALPÊTRERIE DE TOUGET Je dirai d'abord, pour mémoire, que les armées se sont servies du fusil à pierre jusqu'en 1830 environ. Pendant la période révolutionnaire, il fallait que chaque fusilier fût nanti, non seulement de balles, mais encore de la poudre qui devait être introduite dans le canon et dans le bassinet. 306 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Je n'étonnerai donc personne en rappelant cette phrase du grand Carnot, l'organisateur de la Victoire. " Presse, presse, point de délai, point de repos que tes salpêtres ne soient rendus à Paris. » Il m'a paru intéressant de relever tout ce que la salpêtrerie de Touget a fait écrire et conserver ici de documents. La création de la Salpêtrerie date du 2 prairial an II, soit du 21 mai 1794. Les démarches préalables ont commencé le 19 ventôse an II, c'està-dire le 9 mars 1794. M. Mohic, commissaire au district de l'Isle-Jourdain, sollicite cette création en faveur de son fils Charles Mohic par une lettre de ce même 9 mars 1794 à un officier municipal de Touget. L'Isle-Jourdain, le 19 ventôse, l'an 2e de la République une et indivisible. " Je vous serai obligé, citoyen, de vouloir remettre à la Muni-" cipalité la lettre ci-incluse à son adresse et de vouloir l'inviter à " donner son adhésion à l'objet de ma demande aussi promptement " qu'elle pourra le faire pour que je puisse profiter d'une occasion " qui se présente ici en passant qui peut me mettre en même d'obte nir l'agrément de l'établissement d'une salpêtrerie à Touget. Les " localités que je possède au Prieuré sont de plus propices pour " cela; j'espère tant pour l'intérêt général que pour l'intérêt parti" culier que vous voudrez engager la municipalité à m'accorder la " permission de demander à faire cet établissement aux frais et " dépens et pour le compte de mon fils ainsi que je le marque dans la lettre que j'adresse à la municipalité à ce sujet. Veuillez mettre " de la promptitude à l'exécution de cette permission. S'il vous était " possible de me la faire passer demain par le retour de mon fils " vous m'obligeriez beaucoup et vous me mettriez en même de pro" fiter d'un pr 1 mouvement d'un étranger qui passe de bienfai sance en mes bureaux et qui pourrait m'oublier si je perds cette " occasion. " Salut et fraternité Moine, signé. » 1 Lisez premier. TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1923. 307 Voici la lettre qui fut remise à la Municipalité L'Isle-Jourdain, le 19 ventôse, l'an 2e de la République une et indivisible. Le désir que j'aurais, citoyens, de procurer à Touget l'établis sèment d'une salpêtrerie qui doit si fort tourner à l'avantage des intérêts de la République, comme étant le moyen le plus certain te de terrasser nos ennemis avec le secours de cette première matière de salpêtre qui doit être la terreur de tous les tyrans ainsi que " celle des despotes; comme cet établissement exige un préalable " qui est celui d'obtenir de vous la permission et l'agrément pour que je puisse le demander au Comité de Salut public ou à la Cornet Cornet mission des poudres qui, à cet effet, enverra des commissaires " pour vérifier les localités propres à établir les fourneaux et les " cuvoirs pour les lessives à faire pour séparer le salpêtre et le nitre d'avec les terres. Le local que je possède dans la ci-devant église " du Prieuré me fait présumer que je pourrais le faire recevoir par le commissaire qui sera envoyé par le préposé à la régie des pouce dres d'après la demande que j'en ferai. Il résultera de cet établis établis sement si je puis l'obtenir, ainsi qu'on me le fait espérer, un pr 1 " avantage pour la République et un second pour les habitants du " lieu que je serais en même d'employer à l'extraction du salpêtre. D'après cette considération, je vous prie citoyens de vouloir m'ac" corder une permission pour pouvoir faire et solliciter cet établisse" établisse" à mes frais et dépens; à cet effet, vous m'enverrez cette per" per" s'il vous est possible demain matin par le retour dé mon " fils au nom duquel vous auriez la bonté d'accorder cette permis" permis" par délibération que vous pourrez prendre à cet effet. Vous la " ferez de manière à ce que vous donnez et transmettez et autorisez " le tel fils à faire tel établissement. L'occasion que j'ai demain est de plus favorable pour me faire parvenir à l'obtenir. C'est une personne qui s'intéresse et qui ne fait que passer. Tâchez au nom de l'intérêt de tous de me la faire passer demain. " Salut et fraternité MOHIC. » En présence de pareilles explications que fit la Municipalité ? Elle fit diligence, ainsi que le prouve la délibération ci-après Du décadi vingtième ventôse, l'an deux de la République une et indivisible dans la maison commune de Touget... etc.. 308 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. " L'agent national entendu. Les membres composant le Conseil général " 1° Considérant que le zèle qui anime le citoyen Mohic fils pour subvenir aux secours de l'extinction totale des ennemis conjurés " en voulant parvenir à un établissement aussi utile que nécessaire; " 2° Considérant que les citoyens de cette commune sont animés " de cette même force pour anéantir les traitres conjurés; 3° Considérant que par les moyens efficaces de cet établissement " de salpêtrerie nous parviendrons à détruire cette horde ennemie, " réfugiée sur le territoire des couronnés ligués; 4° Considérant enfin que les vues du citoyen Mohic fils se fixent " sur le bien de la cause commune; Ont délibéré et arrêté qu'ils donnent par le présent leur adhé sion à ce que le dit Mohic pourvoie à cet établissement de " salpêtrerie dans cette commune à ses frais et dépens; que les " mêmes membres le seconderont de toutes leurs forces pour parce venir, sauf au dit Mohic à se retirer préalablement par devers les " corps constitués ou ayant cause qui doivent en connaître. " Et nous sommes signés à l'exception de Guion et Chaubon, " notables illettrés. " Signés CHAUBON, maire; ARTAGNAN, off. municipal; CHAUBON, " off. municipal; DESSUM; LARROQUE, notable; " CAPMARTIN; COLLONGUES; TRAVERSE et LAUZUN, " agent national. » Je ne m'arrêterai pas à l'analyse des considérants invoqués par la Municipalité ni aux motifs mêmes de la demande de M. Mohic. A plus d'un siècle d'intervalle, les choses se présentents de telle façon que le sourire nous vient à la pensée que la Salpêtrerie de Touget doit " si fort tourner à l'avantage de la République » et permettre " détruire cette horde ennemie réfugiée sur le territoire des couronnés ligués ». Toutefois, ce sourire fait place au sérieux si, sous les phrases à effet, nous voulons bien reconnaître cet état d'esprit qui, caractérisant la Révolution elle-même, entraîna les masses pour la défense de la Patrie et contribua à exciter tous les héroïsmes. Nous dirons donc que la Salpêtrerie de Touget, en raison du tra- TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 309 vail qu'elle régularisa ici, fut une des pierres qui ont servi à l'érection du grand'oeuvre révolutionnaire. Darrouy, agent salpêtrier du district de L'Isle-Jourdain, se rendit à Touget pour visiter probablement les immeubles qui devaient serviié d'usine à salpêtre, c'est-à-dire le couvent et l'église du Prieuré, biens nationaux que M. Mohic avait achetés. Il laissa trace de son passage par l'écrit suivant Exploitation Décret révolutionnaire VÉLOCITÉ du du Salpêtre 14 frimaire " Le citoyen Darrouy, agent du district de l'Isle-Jourdain pour l'exploitation révolutionnaire du Salpêtre, aux citoyens maire et officiers municipaux de la commune de Touget. La Convention nationale en voulant assurer au Peuple français " la conquête de sa liberté a décrété, citoyens, que non seulement " tous les individus seraient non seulement sic appelés à la défen" dre mais même que ceux dont l'âge et les infirmités ne le pource raient pas, ceux-là, dis-je, emploieraient tous les moyens possibles " pour fournir à nos braves défenseurs tout ce dont ils auraient " besoin pour exterminer les tyrans. " La Convention nationale par son décret du 14 frimaire a invité " tous les citoyens à exploiter eux-mêmes leurs terres pour en reti" rer cette matière première de la poudre à canon qui entre les mains " de nos braves sans-culottes est devenue l'effroi et la terreur des despotes conjurés armés pour nous ravir ce bonheur suprême " après lequel nous soupirons. Considérant que pour parvenir à ces " fins il faut que tous les citoyens appelés à la même cause soient " aussi invités aux mêmes sacrifices; " Considérant que pour que le citoyen Mohic fils, commissaire " nommé pour l'exploitation des terres de cette commune puisse " travailler avec succès à cette opération; " Considérant encore que le lessif provenant du blanchissage du " linge et que les citoyens sont dans l'usage de jeter doit être d'un " grand secours pour la dite opération, vous voudrez bien inviter et requérir même de tous les citoyens indistinctement qu'aussitôt que leur lessive sera faite, ils aient à prévenir le citoyen Mohic de l'envoyer chercher pour l'usage de son atelier. 20 310 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. " Vous voudrez bien également mettre en réquisition la cendre des boulangers, fourniers, etc., pour être portées à l'ate" lier où les dites cendres seront payées par le citoyen Mohic à un " prix fixé par ce dernier par quintal suivant la nature et la bonté " des dites cendres. " II vous est encore enjoint, citoyens, par le même décret, de " faire couper dans les trois nationaux, le genêt, brande, ronces, genévriers et autres productions de cette espèce pour être incinérés " et les cendres en provenant être fournies au dit Mohic " Les citoyens seront aussi invités par vous à porter les cendres " qui ne leur seront pas nécessaires pour le blanchissage de leur " linge au dit atelier; quelque modique que soit la quantité, elle leur " sera payée au prix qui en sera déterminé. " J'ai droit d'attendre de votre zèle, citoyens, l'exécution de cette " mesure; il faut de l'activité, le salut public l'exige. Ceux qui s'y " refuseront vous devez les punir. Agissez révolutionnairement et " la patrie vous en sera redevable. " Salut et fraternité DARROUY, agent dit district pour Vexploitation, du salpêtre. » Touget, ce 22e germinal, l'an 2e de la République f. une et indivisible. Sept jours après, c'est-à-dire le 29 germinal an II 18 av. 1794, la Convention nationale promulguait un décret qui faisait connaître les moyens de fabrication des salins et potasses et ces moyens furent imprimés et publiés par le Comité de Salut Public. Bonnard, préposé de l'administration de la fabrication révolutionnaire des poudres et salpêtres dans le département du Gers, en adressa des copies aux Municipalités. Je renverrai le lecteur, pour amples informations, à cette copie qui a pour titre Loi sur la fabrication du salin, suivie d'une instruction sur cette fabrication, imprimées par ordre du Comité de salut public. Et, le 2 prairial an II, ainsi que je l'ai déjà dit, la Commission des armes et poudres de la République autorise M. Mohic à ouvrir sa salpêtrerie par l'ordonnance suivante TROISIÈME ET QUATRIEME TRIMESTRES 1924. 311 Commission des armes et poudres de la République Pouvoirs de Salpêtrier Liberté — Egalité Au nom de la République française une et indivisible La Commission des armes et poudres de la République, sur les " témoignages qui lui ont été rendus du civisme du citoyen Charles " Mohic et de ses connaissances dans l'art de fabriquer le salpêtre, " l'autorise à établir les ateliers nécessaires pour cette fabrication dans l'étendue du district de L'Isle-Jourdain, département du " Gers. Il pourra, en conséquence, faire dans les caves, celliers, granges, écuries, bergeries, hangards, remises, colombiers et autres lieux " couverts propres à i'extraction du salpêtre, les travaux, fouilles, " recherches, enlèvement de matériaux et autres opérations que son " exploitation pourra exiger, le tout sous la surveillance des muni" cipalités en se conformant aux lois rendues jusqu'à ce jour relati" vement aux poudres et salpêtres. " Ainsi le citoyen Mohic aura la plus grande attention de ne " rien faire qui puisse dégrader les murs et bâtiments. " Il sera tenu de remplacer sur le chemp les terres qu'il aura " enlevées et de rétablir le sol dans l'état où il était avant les tra" vaux. " II est pareillement autorisé à faire enlever tous les matériaux " salpêtres provenant des démolitions et sans payer ni prix ni indemnité à raison des terres et matériaux de ce genre seulement " qu'il aura enlevés. " Si le citoyen Mohic rencontre quelques difficultés ou obstacles, " il s'adressera aux corps administratifs pour les faire lever, et il " leur demandera, au nom de la loi, appui et protection pour tout " ce qui concerne son exploitation. " II lui est expressément recommandé de prévenir toutes contesta" tions pour le remplacement des terres et matières enlevées ou la " réparation des dommages qu'il aurait pu causer; mais dans le cas " où il en naîtrait et où il n'aurait pas pu parvenir à les terminer de gré à gré, elles seront décidées par les Municipalités qui ont toute " compétence et juridiction à cet effet. 312 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. " D'après les présents pouvoirs et en vertu de la loi, le citoyen " Mohic, les ouvriers nécessaires au travail de son atelier, les che" vaux, ustensiles, outils et instruments quelconques servant à son " exploitation, sont mis en réquisition actuelle. " Le citoyen Mohic sera tenu de porter le salpêtre qu'il aura fabri" que, au magasin de l'agence nationale établie à Toulouse, toutes " les décades ou tous les maux 1 au plus tard, sans qu'il puisse en " disposer, en quelque forme et sous quelque prétexte que ce soit " à peine de confiscation, de cinq cents livres d'amende, de la révo" cation des présents pouvoirs et de plus grande peine, s'il y a lieu. " Le salpêtre qu'il livrera sera reçu suivant les formes usitées jus" qu'à ce jour, il lui sera payé au prix fixé par les lois à la retenue " néanmoins de quatre du cent, lorsque sa qualité sera telle que dans " l'opération du raffinage en trois cuites il n'éprouve pas déchet de " plus de trente livres par quintal. Si le déchet excède ce taux il " lui sera fait en outre la retenue de l'excédent. " Le commissaire de l'agence nationale dans l'arrondissement " duquel le citoyen Mohic sera domicilié fixera au commencement de chaque année la quantité de salpêtre qu'il devra livrer. Le dit " citoyen en donnera sa soumission par écrit. " II lui est expressément défendu de recevoir aucunes sommes " des propriétaires ou locataires des lieux, où l'on peut trouver des " terres et matières salpêtrées pour le dispenser de la recherche et " rie l'enlèvement des dites terrs et matières, et ce, sous peine de " révocation et d'être poursuivi révolutionnairement. Les présents pouvoirs seront présentés au directoire du district de L'Isle-Jourdain pour être par lui visés. Le citoyen Mohic en four" nira deux copies, avec soumission de se conformer à ses disposi" tions. L'une restera entre les mains du commissaire des poudres et " salpêtres à la résidence de Toulouse. L'autre sera déposée dans le bureau central de l'agence nationale, à Paris. " Les dits pouvoirs deviendront nuls et de nul effet si dans trois mois, à compter du jour où la remise en aura été faite au citoyen " Mohic, il n'a pas justifié aux agents nationaux de poudres et salpê très de l'établissement de son atelier et s'il n'a pas livré du sal" pêtre de sa fabrique dans les magasins de la République. 1 Maux sic, c'est mois » qu'il aurait fallu probablement. TROISIÈME ET QUATRIEME TRIMESTRES 1924. 313 " Tant que durera l'action révolutionnaire pour l'exploitation du salpêtre, le citoyen Mohic ne pourra sous prétexte de droit, qui " lui est conféré, gêner ni contrarier en aucune manière ce grand mouvement qui doit être général et sans exception d'intérêt parti" cuber. Les platras, décombres et autres matériaux sont spéciale" ment conservés aux salpêtriers. " La Commission des armes et poudres de la République requiert " les administrateurs du district de l'Isle-Jourdain de viser les pré" sents pouvoirs et faire connaître par les municipalités, par les " agents nationaux et partout où il appartiendra le citoyen Mohic en " sa qualité de fabricant de salpêtre pour le compte de la Nation et " de lui prêter et faire prêter aide, appui et protection pour tout ce " qui sera relatif aux travaux de son atelier. " Fait en la séance de la Commission tenue à Paris le deux prairial " an deuxième de la République française une et indivisible. " Le Président de la Commission des armes et poudres de la " République, BÉNÉZECH, signé. " Les présents pouvoirs délivrés par moi, soussigné, commissaire " des poudres et salpêtres au citoyen Charles Mohic. " Toulouse le 14 prairial l'an Il de la République une et indivi sible, MUGUET, signé. Enregistré au district de l'Isle-Jourdain le 21 prairial l'an II " de la République une et indivisible, DANDRIEU, procr syndic ainsi " signé. " Enregistré à la Municipalité de Touget le 28 prairial l'an II de la République française une et indivisible, GABENT, secrétaire muni" cipal signé, en l'absence des officiers municipaux. » Je n'ai point d'autres documents qui puissent donner une idée de l'importance que la salpêtrerie de M. Mohic put acquérir. Il est sûr qu'elle fonctionna puisque deux volontaires, Dorbe et Sarrau y furent attachés jusqu'au 5 pluviose an 3, date de leur rappel ainsi que le prouve la lettre ci-jointe. L'Isle-Jourdain, le 4 pluviôse an 3 de la République une et indivisible. Les jeunes citoyens qui étaient attachés à la Salpêtrerie de Touget et que je renvoie provisoirement doivent se rendre ici " de suite pour prendre une route pour l'armée. 314 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. " Veuillez je vous prie leur donner vos ordres de suite; le moindre " retard compromettrait votre responsabilité. Je vous salue fraternellement. Signé CAVARÉ. » Une annotation, au dos de la lettre, porte que Dorbe et Sarrau sont partis le 5 pluviose. Dans tous les cas, si la production du salpêtre n'était pas active, ce n'était point la faute ni de l'agent salpêtrier Darrouy, ni du préposé départemental Bonnard. Le premier signait à L'Isle-Jourdain la circulaire du 25 fructidor an II, débutant par ces mots Faudra-t-il donc toujours, citoyens, vous remettre sous les yeux " vos devoirs ? Hé quoi ! lorsque nos braves frères d'armes, affron" tent tous les dangers pour suivre la marche rapide de leurs con" quêtes, et qu'ils versent si généreusement leur sang pour votre " défense, vous resterez toujours dans cette coupable insouciance ? " Vous n'entendez donc pas le cri de la Patrie qui vous crie encore " au secours ! Vous ne procurerez pas à ces braves républicains tout " ce que, par vos moyens, il est possible de leur fournir; que vous " demandent-ils pour vous assurer la conquête de la liberté ? De la Poudre !... etc.. » Quant au second, ses appels sont empreints de concision en même temps que d'énergie. Le 4 floréal an II, il disait aux habitants des campagnes " Ramassez les eaux de lessive, autant de cendres que vous pource rez. Que tous les citoyens deviennent bûcherons. Profitez de la sève, coupez, fendez, écorcez. Femmes, enfants, vieillards, alerte ! " Ranimez-vous; ne restez point assis; ne vous contentez pas de filer, de tricoter, de parler; agissez, opérez et pensez surtout que " ce n'est pas pour vous seulement que vous travaillez mais bien " pour vos frères, vos maris, vos enfants qui se battent pour assu" rer notre bonheur. Ayez tous la même volonté, le même amour " celui de la patrie... etc.. » Le 8 prairial an II, il écrivait Citoyen, lis, médite ce qui suit et ne t'endors qu'après avoir " pris des mesures vigoureuses, énergiques et rapides " Sans salpêtre, point de poudre; sans poudre, point de succès; TROISIÈME ET QUATRIEME TRIMESTRES 1924. 315 " sans succès, point de liberté, tu dois, si tu es un vrai patriote, ou " saisir un poignard pour t'ôter la vie ou courir partout avec la ce pelle, la pioche et la faux pour exciter tes concitoyens à voler à l'exécution de la loi... etc.. » Le 27 vendémiaire de l'an III, il lance des phrases comme celles-ci " Pour bien servir son pays, il faut s'y faire de tout son être... " L'amour de la patrie donne des idées; il inspire, il enflamme qui conque en est bien pénétré... " Quoiqu'à l'abri du péril, quoique forcé de rester dans l'intérieur, " le salpêtrier doit être vif comme la matière qu'il fabrique. " Vous aurez toujours fait peu, tant qu'il vous restera quelque chose à faire... » De pareils termes se passent de commentaires et ce serait en affaiblir la portée que d'ajouter quelque chose. Archives de Touget .— Liasse R., case III. — Registres des Délibérations de 1793-1794. NOTE. Un héroïque soldat du Gers. Frix, grenadier du Gers, atteint d'une balle à la cuisse, au camp de Sèvre, brûle vingt cartouches et soutient le choc de la cavalerie ennemie. Rendu à l'hôpital, il arrache la balle avec son tire-bourre, et ne guérit qu'après avoir perdu un os. Trois mois après, il reçoit près d'Andaye, une balle dans la tête, brûle deux cents cartouches et tue six catalans à l'arme blanche. Dans un combat où il fait feu au premier rang, un boulet de canon tombe à ses pieds et le couvre de terre, tandis qu'un autre boulet lui emporte la moitié de sa giberne au même instant une balle empoisonnée lui crève un oeil. Transporté à l'hôpital, il tombe dans un état de faiblesse qui fait croire qu'il est mort. Le médecin ordonne qu'on l'enterre. Le soldat se réveille et lui crie avec fureur et Malheureux ! Tu veux donc m'enterrer vivant ! J'ai encore du sang à verser pour ma patrie. » Frix guérit de la gangrène on le force à recevoir son congé; il le déchire, et monte le lendemain à l'assaut d'une citadelle. Les armées françaises depuis le commencement de la Révolution jusqu'à la fin du règne de Bonaparte, 3e édition, Paris, Ledentu, 1817, p. 14. Quelque membre de la Socitélé Archéologique pourrait-il identifier le grenadier Frix ? 316 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. L'Administration consulaire à Gondom sous l'Ancien Bégîme D'après les Textes XVIIe Siècle, PAR M. LUDOVIC MAZÉRET. Voici, d'après les textes, la façon de procéder annuellement à l'élection consulaire à Condom et comment se faisait l'entrée en charge des consuls. L'année peut servir de modèle pour toutes les années ordinaires. Dans la jurade du 1er janvier 1652, tenu dans l'hôtel-de-ville, au lieu accoustumé », par Messieurs Me Guilhaume Dusage alias du Sage, seigneur de la Tourre ; Jean-Elie Lapujade, Jean Lachapelle, Jean Ferrel, Pierre Darno et Bernard Castets, consuls et gouverneurs de la ditte ville et jurisdiction, juges de police d'ycelle, coseigneurs, en paréage avec le roi et M. l'évêque de la ditte ville, barons de Lialores et seigneurs de Sainctorens, et convoqués à son de cloche et de trompette, la forme accoustumée ». Sont présents Messieurs Me Guilhaume Danglade, alias d'Anglade, conseiller du roi et président au présidial et jurât ; noble Pons du Bouzet, seigneur de Larroche-Marin ; Bernard Lébé, Jean Guilhot, Pierre Fouraignan, Jean Lagutère, Cyprien Latornerye, Lanusse, Gabriel Dauguin, Jean Duchampgrand, Joseph Parage, Anthoine Coppin, Louis Chambellier, Pierre Despax, Jean Corné, Michel Ferrel, Elie Broc, Pierre Navar, Bertrand Goyon, Barthélémy Dutoya, Pierre Batz, François Bacqua, Barthélémy Fouraignan, Pierre Lébé, Jean Ginvès, Bernard Ambes, Pierre Fort, Arnauld Serbat, Jean Bigos, Etienne Labat, Labat, Darno, Bernard-François-Anthoine Dufranc, François de Lamagerie, Jean Laverny, Michel Dupuy, Pierre Cugno, Michel Salvandy, Gérauld Gaichies, Arnauld Cortade, Jean Chambellier, Jean Danglade, alias d'Anglade et Jean Gaichies, jurats, pour procéder à la nouvelle élection consulaire en la forme accoustumée ». Les jurats doivent tirer au sort » neuf d'entre eux qui participeront à la désignation des six nouveaux consuls ; et après l'élection, les nou- TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 317 veaux consuls auront le droit d'admettre trois nouveaux consuls s'ils le jugent nécessaire et à propos ». Avant toute opération, il est arrêté que les fraix des réparations faites par les d. sieurs consuls pour les portes, tours, murailhes, garittes et aultres lieux communaulx de la ville, aux fins de la garde d'icelle demeurent approuvés, ensemble tous aultres fraix ». Le tirage au sort a lieu aussitôt. Sont élus Jean Guilhot, Pierre Despaze, Elie Broc, Pierre Navar, Bertrand Ambes, Anthoine Dufranc, Jean Laverny, Arnauld Cortade et Jean Chambellier, lesquels, après avoir prêté serment entrèrent en délibération avec les six consuls, et le choix des nouveaux consuls se fait en séance secrète. Sont nommés, savoir 1 ° au premier rang, Noble Anthoine de Cous, vicomte de Boulougne et seigneur de Fourcès ; 2° Au deuxième rang, Me Joseph d'Anglade, avocat au présidial et juge-bailli de la ville ; 3° Au troisième rang, Cyprien Latornerye maistre appoticquaire »; 4° Au quatrième rang, Me Michel Ferrel notaire épiscopal » ; 5° Au cinquième rang, Me Jean Bigos, notaire royal ; 6° Au sixième rang, Alexandre de Laborde, bourgeois. Les nouveaux élus s'opposent à la faction » de trois nouveaux consuls ayant beaucoup de jurats pour remplir les charges ; puis revêtant leurs robes, manteaux et chaperons de divrée consulaire » et précédés des vallets de ville » également en livrée et armés, ils se . rendent à l'évêché pour présenter la liste aes nouveaux élus à l'évêque et le prier de se rendre à la chapelle Saint-Nicolas pour recevoir leur serment. L'évêque étant absent, ils présentent la liste à son grand vicaire qui les précède jusqu'à la chapelle. Ils envoyent alors le secrétaire prier Me de Lartigue, lieutenant-particulier en défault par M. le Lieutenant général d'avoir preste le serment en cas requis devant lesd. Sieurs consuls » et Me de Bégué, avocat du roi. Ils entrent tous ensemble dans la chapelle Saint-Nicolas et prennent place autour d'une table préparée à cest effaict ». Après lecture de la liste, les consuls s'estant levés et l'ung et l'aultre testes nuds, sic leurs mains mises sur la Passion figurée de 318 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Nostre Seigneur Jésus qui est dans le livre juratoire », ont le serment promis et juré à Dieu d'observer les édits et ordonnances royaulx, arrests et règlemens de la cour de parlement de Guyenne et estatuts de la présente ville, de bien et fidellement faire leurs charges en conscience et en gens de bien et d'honneur, et faire autant pour le pauvre que pour le riche ». Escortés des deux officiers du présidial, les consuls font le tour de la ville deux à deux », viennent se montrer aux portes et reviennent, dans le même ordre, à l'hôtel de ville où, après avoir franchi la porte d'entrée, les officiers du roi se retirent après une révérence » réciproque. réciproque. Au même instant, les portiers, suivis de leurs adjoints » s'avancent et prêtent le serment de fidélité, entre les mains des consuls. Savoir 1° Guilhaume Manacon, portier de la porte du Pradau, suivi de Pierre Fraisson, son adjoint ; 2° Bidou Daunassans, portier de celle de la Bouquerie et Jean Fourreau, Fourreau, adjoint ; 3° Bidan Pédelau, portier de celle de Barlet et Guilhaume Morlan, son adjoint ; 4° Arnauld Duparent, portier de celle de Gelle ; 5° Pierre Claysac, portier de celle d'Arriquepeu Riguepeu ; 6° Jean Gauran, portier de celle de Saint-Hilaire. Ensuite se présentent Pierre Ducournet et Guilhem Lamazouade, gardes de Lialores suyvant la coustume » porteurs de la liste des nouveaux gardes faicte tant par eulx que les aultres habitans » savoir 1° Pour premier » Jean-Jacques Lamazouade ; 2° Pour dernier » Pierre Ducournet. Qu'ils ont assuré estre de bonne vie ». Puis viennent les gardes de la paroisse de Saint-Orens, Pierre Bertin et Bertrand Coudot qui, pour les mêmes raisons et dans le même cérémonial présentent pour leur succéder dans la garde et gouvernement de laditte paroisse et deniers d'icelle», Fabien Baulac et Jean Saint-Avid. Le lendemain, les consuls se réunissent à l'hôtel-de-ville, et il est arrêté que noble Anthoine de Cous, premier consul, avec un autre de TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 319 ses collègues, accompagnés de deux jurats, iront faire la révérence des parts de la ville» au prince de Conty, gouverneur de la province, dans ce moment, de passage à Agen. Nouvelle réunion des consuls, le 8 janvier, pour suyvant la coustume » se despartir les charges ». Me Danglade est délégué dans la surveillance de la caisse du trésorier des esmolumens et revenus et impronts quy se fairont pendant la dite année » ainsi que dans l'administration l'administration la justice au tribunal de police, avec Cyprien Latornerye. Messieurs Michel Ferrel et Alexandre de Laborde s'occuperont des entrées du vin » et présideront la commission du Bureau des pauvres ». Messieurs Anthoine de Cous et Jean Bigos seront chargés des Archives et leur conservation sera assurée sur inventaire affin desvitter reproches et surprinses » par Michel Ferrel. En outre, ce dernier sera chargé de faire distribuer, tous les soirs, le bois nécessaire aux divers corps de garde. M. de Laborde aura encore dans ses attributions la surveillance des divers magasins tant en choses utilles et nécessaires en la norriture des soldats du guet que pouldre ». Dans la même séance, les consuls élisent encore pour cette année, les anciens béguiers juridictionnels Jean Trouilhé, Jean Marquet et Jean Vignaux et reçoivent leur serment. Mais pour raison des troubles de guerre quy sont dans cette province » ils nomment des béguiers supplémentaires, ayant pour mission d'assurer tant de nuict que de jour » la sécurité de la ville et des alentours immédiats. Savoir 1° Jean Sarrade maistre portier d'estain », pour le quartier du Pradau, ayant pour sous béguier Jean-Pérès, cordonnier ; 2° Jean Ferrer, marchand, pour le quartier de la Bouquerie, ayant pour sous-béguier Pierre Mondin ; 3° François Castets, huissier pour celui de Barlet, ayant pour auxiliaire Guilhaume Labadie, cordonnier ; lesquels sont mandés immédiatement à la maison commune pour prêteer le serment accoustumé ». Ils terminent la séance en désignant les membres du Conseil de ville qui, conjointement avec les consuls ont pour mission d'assurer la réfense de la ville en cas d'attaque de l'ennemi. Sont nommés MM. Danglade, président au présidial ; de Lartigue, lieutenant particulier ; de 320 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Roger, Daston, Coppin, conseillers, et Dupuy, procureur du roi, avec Messieurs du Champgrand, Parage, Lapujade, Navar, Ginyès, Salvandy, jurats, et Jean Danglade, maior capitaine de la ville. Réunis en conseil, aussitôt après, ils décident qu'on achèterait dix quintals de pouldre à feu, vingt quintals de plom et dix quintals de mesche affin d'en faire un magazin en cas de besoin ». Le 10 janvier, les consuls s'occupent des mességuiers. Les sortants de charge étaient 1° Sauxon Dortheilhan, pour le quartier du Pradau; 2° Jean Desbarats, pour celui de la Bouquerie ; 3° Guirauld Darqué, pour celui de Barlet. Ils furent remplacés par 1° Sanxon Dortheilhan, pour le quartier du Pradau ; 2° Guirauld Lafitte, pour celui de la Bouquerie ; 3° Jean Desbarats, pour celui de Barlet. On leur donne pour suppléants Pierre Dansoultes, Bertrand Bégué et Bertrand Soubiran qui prêtent serment de fidélité séance tenante. Viennent également prêter serment Bernard Dugon et Jean-Antoine Demay mosniers » des moulins de Barlet, appartenant au chapitre ; Fortis et Ligarde meuniers des moulins de Gauge appartenant aux pauvres de l'hospital ». Ensuite, ils s'occupent de 1 affirme des esmolumens ». Le droit du souquet de l'enclos de Iaditte ville » est adjugé à Alexandre Dubroca, comme dernier surdiseur » pour 615 livres ; La taverne de Sainte-Livrade Herret échoit à Jean Cailhavet, pour 6 livres ; Celle de Cannes et Gourraigne ne trouve pas preneur à 2 livres ; Celle de Sarrazan, Escrimis et Grazimis échoit à Jean Lamontjoie, valet de ville, pour la somme de 27 livres ; Celle de Saint-Caprazy » reste à Bernard Buzet, pour 4 livres ; Celle de Béraut, deemeure à Jean Coustau, pour 4 livres, 10 sols ; Celle d'Entoulet et Graziac échoit à Jean Lamontjoie, pour 2 livres, 10 sols ; Celle de Sainte-Germaine demeure à Pierre Pujol pour 3 livres ; Celle de Scieurac, reste au même pour 2 livres 10 sols ; TROISIÈME ET QUATRIÈME TRIMESTRES 1924. 321 Celle du Pomaro et Pujols avec celle du Goalard échoient à François Durauray, pour 29 livres ; Celle de La Guinle, reste à Bernard Garre pour 6 livres ; Celle de Mons demeure à Bernard Peyrucat, valet de ville, pour 3 livres ; Les poix » et mesures de la ville échoient à Jean Dufourc, marchand pour 12 livres. Le dimanche matin, 14 janvier, devant la porte de la cathédrale, à l'issue de la messe paroissialee, les consuls, en livrée, escortés de leurs valets », après avoir fait sonner la trompette » publient à haulte voix et suyvant la coustume » l'ordonnance suivante De par le roy, Monseigneur de Condom et Messieurs les Consuls de lad. ville. Il est fait inhibition et déffances à tous les habitans de la présante ville et jurisdiction dicelle, de quelle qualité et conditions qu'ils soient de renyer ny blasffemer en façon quelconque le nom de Dieu, de nostre Seeigneur Jésus-Christ, son fils, de la Vierge Marie, de Saint-Pierre son glorieux patron et de toute la cour céleste sur les peynes du droit. Il est fait inhibition et déffances de vandanger lorsque la saison viendra jusques à ce que par lesd. Sieurs Consuls, il en soit ordonné, sur peyne de confiscation et de l'esmande. II est fait inhibition et déffances de travailler les jours de festes et dimanches sur peyne de prizon et de l'esmande. Il est fait inhibition et déffances aux bouchers de faire faux poix ny vandre chair infecte, ny la femelle pour les masle sur mesmes peynes. II est fait inhibition et déffances à ceulx et à celles quy vandront de la chair du pourceau, de l'exposer en vante qu'au préalable elle n'aye salle deux fois vingt-quatre heures sur peyne de confiscation et de l'esmande. Il est fait inhibition et déffances aux hostes, cabaretiers et aultres vandans du vin de mestre de l'eau à icelluy ny faire souler mesmes, sur mesmes peynes. Commandement est fait aux boulangers et boulangères de faire le pain sur le pied du comun prix du bled, sur les peynes que dessus. 322 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Et à tous lesd. habitans de tenir les rues nettes, sur peyne de l'esmande. l'esmande. Le dimanche suivant, et à l'issue de la messe parrochelle » les consuls consuls livrée, accompagnés de Messieurs du Champgrand et Darno jurats et précédés du trompette et deux valets de ville, également en livrée seroint montés à cheval » pour se transporter la cathédrale et chapelle Saint-Nicolas, pour faire prêter serment accoustumé » aux habitans de la ville et jurisdiction, après lequel ils font encore la lecture des ordonnances. Ensuite a lieu l'afferme » des boucheries de la ville. Le dimanche après, les consuls, dans le même appareil, se rendent à Lialores. Leur arrivée est annoncée par la sonnerie des cloches à la grande voilée » et les nouveaux gardes, en livrée, suivis de toute la population, viennent leur faire la révérence. Descendus de leur monture, ils se présentent devant la porte de l'église où le curé assisté de son vicaire et précédé de la croix, vient leur tendre le goupillon et les conduit conduit banc consulaire. Après la messe, les consuls reçoivent le serment serment nouveaux gardes et celui des habitants font lire les ordonnances ordonnances la reconnaissance » termine par un honneste banquet » Huit jours après dans le même apparat et avec le même cérémonial, les consuls font leur entrée dans Saint-Orens. Ici comme à Lialores, il y eut sonnerie des cloches, réception, présentation de l'eau bénite devant la porte de l'église. Après la messe, les gardes et, à leur suite, les habitants viennent prêter serment de fidélité et l'afferme » des souchet, taverne et boucherie suit non sans avoir, au préalable, pris part à 1' honneste banquet », qui, parfois, dépassait 1' honnesteté ». CHRONIQUE. SÉANCE DU 6 OCTOBRE 1924. PRESIDENCE DE M. DE SARDAC, PRESIDENT. Est admis à faire partie de la Société M. DASSY, présenté par MM. Brégail et le docteur Sentoux. La Société Archéologique s'associe au voeu du Conseil Général du Gers concernant l'érection d'une statue à d'Artagnan sur une des places de la ville d'Auch. Dans la personne de Charles de BatzCastelmore rendu populaire par les romans d'Alexandre Dumas seraient glorifiés tant de braves qui ont acquis tant de gloire à la patrie gasconne dans le monde entier. Il est décidé que le banquet annuel de la Société aura lieu le 20 décembre. M. de SARDAC rend compte du Congrès de l'Union des Sociétés savantes du Sud-Ouest tenu à Saint-Gaudens et Ludion au mois de septembre dernier auquel il représentait la Société. Le programme du prochain Congrès des Sociétés savantes qui doit se tenir à Paris au mois d'avril de l'an prochain est distribué aux membres présents. M. A. YRONDELLE, principal du collège de Lectoure, fait hommage à la Société d'un ouvrage qu'il vient de publier sur le Théâtre romain d'Orange. Il décrit le monument tel qu'il est et tel qu'il a dû être, étudie son histoire, sa transformation en forteresse des princes de Baux, ce qui évita sa destruction, puis en quartier de la ville; il nous fait enfin assister à sa résurrection artistique, à la fin du siècle dernier. Cet ouvrage illustré de belles gravures sera le guide indispensable des visiteurs d'un des monuments les plus intéressante que nous ont légué les conquérants civilisateurs des Gaules. 324 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. M. l'abbé MARBOUTIN communique une lettre écrite en 1815, cù il est question d'un combat qui eut lieu à cette époque entre la troupe et des bandes de déserteurs dans les communes de Terraube et de Marsolan. Huit morts restèrent sur le champ de bataille et une vingtaine de blessés furent conduits à Auch. M. DAMBIELLE continue son recueil de proverbes gascons dont deux séries ont déjà été publiées. Après avoir étudié les proverbes se rapportant aux douze mois et à la météorologie, il s'occupe aujourd'hui de ceux qui concernent l'homme, la femme et diverses parties du corps. Le nombre de proverbes recueillis est très grand et nous permet de mieux pénétrer l'âme de nos pères. SÉANCE DU 3 NOVEMBRE 1924. PRESIDENCE DE M. DE SARDAC, PRESIDENT. Sont admis à faire partie de la Société MM. SAINT-LAURENT, notaire, conseiller général à Samatan, présenté par MM. Gardey et de Sardac; M. DUPROM, maire et conseiller général de Valence-sur-Baïse, présenté par MM. Naples et de Sardac; M. BARCIET, à Brest, présenté par MM. Dusclaux de Senescaux et de Lapasse; M. VALLE, docteur en droit, à Lectoure, présenté par MM. Ch. Ortet et de Sardac; M. BANABERA, négociant à Lectoure, présenté par MM. Ch. Ortet et de Sardac; Colonel FOUCH, château de Millary, présenté par MM. l'abbé Dambielle et Branet; Le président annonce la mort de notre confrère, M. Dandouau, directeur d'école à Madagascar. M. Dandouau avait fait revivre dans le Bulletin la grande figure de notre compatriote Jean Laborde à qui la France doit la possession de la grande île. M. Dandouau aurait voulu que la ville d'Auch élève sur une de ses places publiques une réplique du buste érigé à Tananarive à Laborde. Il offrit au Musée un moulage de cette oeuvre. Le trésorier rend compte de la situation financière qui permettra à la Société d'apporter une contribution à la souscription projetée en vue de l'érection d'une statue à d'Artagnan, type des Cadets de Gascogne qui se sont fait un nom dans le monde par leur audace et leur courage. Une somme de 200 francs est également votée pour contribuer à l'acquisition du buste de d'Astros dû au ciseau du sculpteur gimontois, Carlés. 31 326 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. M. P. JOURDA envoie à la Société huit lettres de Marguerite de Valois qui sont inédites et ont été découvertes dans l'Archivio di Stato de Modène et de l'Archivio de Turin. La plupart sont adressées adressées duc de Ferrare; une autre au duc de Chartres, Hercule d'Esté qui portait ce titre depuis son mariage avec Renée de France. M. l'abbé d'AYRENX communique un travail sur l'église abbatiale de Tasque. Des fouilles qu'il a pratiquées lui ont permis de reconstituer le plan primitif de ce monument et de dater l'époque de la construction de ses diverses parties. L'église fut raccourcie en 1745 par la construction d'un nouveau chevet roman copié sur celui de Groute. De nombreux fragments de sculpture nous font connaître l'ornementation de l'édifice. Il faut signaler surtout un Christ bénissant imberbe, qui paraît remonter, comme d'ailleurs l'appareil de divers murs, à l'époque carolingienne. M. le médecin-major GUICHARD, de l'armée de Syrie envoie un travail sur les ruines de Baalbeck accompagné d'une belle collection de photographies qu'il a prises sur les lieux. M. BRÉGAIL termine la lecture de son intéressant travail sur Chantreau. Celui-ci professeur à l'école de Saint-Cyr, obtint un congé pour cause de maladie et revint mourir à Auch au mois d'octobre 1808. Sa veuve mourut aussi dans notre ville en 1828.. M. Brégail donne son appréciation sur les idées et les procédés de ce fervent adepte des idées révolutionnaires. Il fait remarquer l'intérêt que présente l'étude des figures de second plan qui, mieux peut-être que les grands premiers rôles, peuvent donner une idée exacte de la physionomie propre d'une époque. M. DE SARDAC rend compte du beau volume que vient de publier sur Biaise de Monluc le comte de Broca. La vie de notre illustre compatriote est étudiée dans tous ses détails et l'on trouve à la fin de l'ouvrage une table de noms propres où se retrouvent toutes les familles de notre province. Ce volume fait honneur à la maison Cocharaux qui l'a imprimé. Il est procédé au renouvellement du bureau pour l'année 1925. SÉANCE DU Ier DÉCEMBRE 1924. PRÉSIDENCE DE M. MONLAUR, VICE-PRÉSIDENT. Sont admis à faire partie de la Société MM. MATRAT, Trésorier payeur général, à Auch, présenté par MM. Richon et Mauléon; M. DONNODEVIE., à Passage d'Agen Lot-et-Garonne, présenté par MM. Ch. Ortet et de Sardac. Docteur RIVIÈRE, à Auch, présenté par MM. Dansan et de Sardac; M. DE BOUBÉE ayant fait don à la Société d'un livre-terrier, la Société lui vote des remerciements. Il est donné lecture de deux notes de M. Mazéret; la première relative au château du Lyet qui appartint au xvie siècle à la famille de Bonnefont, la seconde relative à certain prieuré de Saint-Sober Saint-Sauveur, mentionné dans les. archives notariales de Larroumieu et qui est absolument ignoré. M. BARADA entretient la Société du rachat en 1816, par la famille de Galard, du château de Terraube, qui avait été vendu comme bien un tional pendant la Révolution. Les héritiers de la famille de Galard bien que secondés par l'administration préfectorale se heurtèrent à de multiples difficultés pour rentrer en possession de leur domaine héréditaire et du berceau de leur famille. M. BRÉGAIL rend compte d'un roman provincial dû à la plume de notre compatriote Edouard Dulac et qui a pour titre la Délaissée. C'est le roman de la Gascogne, de la vraie Gascogne à la terre féconde au ciel lumineux et que des fils ingrats abandonnent attirés par le mirage des grandes cités modernes.. C'est le drame de cette glorieuse " délaissée » que conte Edouard Dulac. " La Délaissée » est aussi une pure jeune fille, héroïne d'une touchante idylle et qui parfume d'amour ce livre ému, coloré, pathétique. 328 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS. Avant de clore la séance, l'assemblée fixe au samedi 21 décembre la date du banquet annuel, qui sera présidé par M. de Sardac. Un certain nombre de sociétaires se font inscrire séance tenante, ce sont MM. Samalens, maire d'Auch; Dufréchou, président de la Chambre de commerce ; Francou, président du Syndicat d'initiative; docteur Lestrade ; Richon, directeur des contributions directes ; docteur Robert, directeur de l'asile d'aliénés; Bouquet, imprimeur; docteur Pruès; Mir, notaire; docteur Dansan; Trilhe, industriel; Roques, représentant des mines de Carmaux; Cocharaux, imprimeur; Salluste du Bartas, inspecteur des contributions directes; Nux, avocat; Branet; Brégail. TABLE DES MATIÈRES Pages. Liste des membres de la Société Archéologique du Gers.. 5 Membres du bureau pour 1924 13 L'église de Lialores, par M. Pierre ROULEAU 15 Un apôtre jacobin Pierre-Nicolas Chantreau, par M. G. BRÉGAIL suite 29, 144, 197 Condom ville double Essai topographique par M Z. BAQUÉ 58 La descendance d'Antoine-Gabriel Dessus par M. C. BARRIÈRE-FLAVY 73 Note. — Visite de Mgr de Maupeou, archevêque d'Auch, à l'église de Villefranche-d'Astarac 92 Fondation d'une chapelle dans l'église de Notre-Dame de Bezolles 16 octobre 1513, par M. l'abbé M. D'AYHENX 93 Le retour d'exil de L. de Maribon-Montaut, en 1822, par M. Jean BARAUA 101 L'église paroissiale de Saint-Orens-Pouy-Petit et sa porte, par M. l'abbé S. DAUGÉ 107 Le Tountoun, par M. A. BRANET 124 La Révolution à Touget, par M. LAMARQUE suite 136, 291 Notes sur Vic-Fezensac. — L'église pendant la Révolution, par M. BAQUË.. 162 Note. — Guillaume de Humboldt et le choeur d'Auch 168 Notices des prêtres et religieux de Condom pendant la Révolution suite par M. Joseph GARDÉRE 170 Bibliographie. — Le Prieuré du Paravis, ordre de Fontevrault, par M. l'abbé MARBOUTIN 189 Nos proverbes gascons, par M. l'abbé DAMBIELLE 236 Notes sur Vic-Fezensac. — Les Biens nationaux, par M. BAQUÉ 258 Le rachat du château de Terraube en 1816, par M. BARADA 271 L'administration consulaire à Condom sous l'ancien régime, par M. MAZÉRET 316 CHRONIQUE Nouveaux membres 97, 98, 99, 195 Don de M. Léon Ferran 97 Le procès de Françoise Treinque, par M. BOMPEIX 97 Fondation d'une chapellenie dans l'église de Bezolles, par M. l'abbé D'AYRENX 98 Don Quichotte, de M. de CARDAILIAC 98 Registre de procédures d'Auterrive, par M. DESPAUX 98 339 SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GEBS. Communication de M. de SARDAC 98 Communication de M. BRÉGATL 98 Invitation à la Société Archéologique 99 Don de M. SARRIEU 99 Le Prieuré de Paravis, de M. MARBOUTIN 99 Communication de M. LACOMME 99 La [évolution à Touget, par M. I,AMARQUE 99 Chantreau, par M. BRÉGAII — 100 Protestation de la Société Archéologique 195 Le sarcophage du château de Mazères, par M. LACOMME 196 Le capitaine Sus, par M. BARRIÈRE-FLAVY 196 Projet d'excursion 196 Pierre-Nicolas Chantreau, par M. BRÉGAII. suite 197 Nos Proverbes Gascons 2e série par M. l'abbé OAMBIELLE 236 Notes sur Vic-Fezensac, par M. BAQUÉ 258 Le rachat du château de Terraube, par M. BARADA 271 La Révolution à Touget, par M. LAMARQUE 291 L'administration consulaire à Condom sous l'ancien régime d'après les les textes xviie siècle, par M. Ludovic MIAZÉRET 316 Note. — Un héroïque soldat du Gers 315 Note. — A. M. Pouydebat, avoué à Agen 257 Le Gérant COCHAEAUX. SOCIÉTÉ ARCHEOLOGIQUE DU GERS TABLES GENERALES Des années 1910 à 1924 Les nOjins de personnes sont en PETITES CAPITALES. les noms de lieux en lettres italiques et les titres des matières en caractères romains. Les ouvrages analysés sont cités entre guillemets ». Tous les noms de personnes ou de lieux commençant par SAINT, — y compris tous les personnages canonisés, — sont à chercher dans la nomenclature des SAINTS, à la fin de la lettre S. Pour les personnages ou les lieux importants, on n'a pu ni voulu éviter les longues accumulations de chiffres, si arides soient-elles. Supprimer tel ou tel renvoi paraissait un procédé fâcheux, car, sans compter ce qu'il a d'arbitraire, on eût peut-être privé ainsi d'un renseignement utile, des travailleurs spécialisés dans une question et qui auront la patience de recourir à toutes les références indiquées. Les chiffres romains indiquent le volume, de XI 1910 à XXV 1924, les chiffres arabes, les pages du Bulletin. On ne trouvera, dans cette première table, aucun nom de personnage vivant au ler Janvier 1925. A ABADIE, bourgeois de Pavie, XVI, 267. ABADIE, de Touget, XXIV, 252-254. — XXV, 296. ABADIE, syndic du Bureau de Bienfaisance d'Auch, XXIII, 31, 32. ABADIE, gendarme à Vic-Fezensac, XXIII, 152, 155. ABADIE, notaire royal à Lannepax, XX, 73. ABADIE, d'Auch, XII, 245. — XVIII, 252. — XIX, 106. — XXIII, 111. — XXIV, 85. ABADIE d', chanoines de Vic-Fezensac, XIV, 102. ABADIE, consul d'Aubiet, XVIII, 156. ABADIE DE LARCENNE d', XVI, 130. ABATIA d', XXIII, 183. ABATTE, vicaire de Bezolles, XXIV, 125, 130. ABBA d', seigneurs de Peyrecave, XXII, 320. ABBADIE Guiraud d', notaire, XV, 17. ABBADIE, de Monfort, XVII, 223. ABBADIE, vicaire de Sainte-Christied'Armagnac, Sainte-Christied'Armagnac, 42, 59. ABBADIE DE ST-GERMAIN d', XII, 143. Abbeville traité d', de 1259, XV, 220. Abécédaires proces des XXII, 327333, 327333, _ 2 — ABEILLE, administ. du départ, du Gers, 1789, XX, 110. Abelugament », XXII, 248. Abjuration du protestantisme actes d', XIV, 355. A boa Landes, XV, 17. A brin La Comrntanderic d', XXI, 289. — XXII, 15-22. ABZAC d', XXII, 116. Accord passé entre un prisonnier pour dettes et son créancier, XX, 156-158. Accouchement Ecole d' à Auch, en 1783, XII, 262, 269-271. — XVIII, 259260. 259260. de Clairvaux, XIV, 309. ACHARD, de Clairvaux, XV, 309. — oflicier, XII, 250. ACIGNÉ d', évèque de Nantes, XVI, 74. — XVII, 133 ACQUART André, jurat de Bordeaux, XI, 227. Actes des Apôtres » Les, journal, XIX, 107. ADAM, châtelain de Roquefort, XV, 37. ADER, poète gascon, XIV, 267. Adervielle, XIII, 250. DE CRANSAC d', XV, 275, 278. ABHENSOR, prieur de St-Mont, XV, 215. Administrateurs du départ, du Gers, en 1789 et 1792, XX, 109, 110, 114, 116. Administration municipale sous l'Ancien Régime, XXIII, 315-316. ADOUE, seigneur de Saillas, XIII, 284. AETIUS, XVI, 197. AFFRE, orfèvre d'Auch, XXIV, 305. AGAILHA, consul d'Aubiet, XVIII, 220. AGASSON, de Lectoure, XX, 110. — XXIII, 84. Ageu. Congrès de l'Union historique et archéologique du Sud-Ouest, en 1922, XXIII, 203-221. — Etudes de Ph. Lauzun, sur Agen, XXI, 22-28. — Bourreaux d'Agen, XXIII, 264. — XXIV, 146, 147, 157. — Evèques d'Agen, XXV, 118, 119, 189, 228. Pour la période révolutionnaire, voir JACOUPY. — Epidémie de 1580, XVIII, 229. — Inondation de 1770, XI, 142. — Peste de 1652, XI, 150. — La grande peur de 1789, XIV, 261. — Henri de Navarre à Agen, XVIII, 224, 228. — Découverte d'une cuve en fonte, XV, 235. — Introduction de la langue française, au xive siècle, XI, 221-222. — Divers XI, 28, 113. — XII, 48, 242, 248, 327.. — XIII, 100. — XIV, 158. — XV, 84. — XVI, 75. — XVIII, 131. — XXI, 136, 152. — XXII, 325. — XXIII, 273. — XXIV, 69-70, 171, 196, 259, 325,-328. — XXV, 15, 16, 104, 170, 192, 319. AGNÈS DE NAVARRE, femme de Gaston Phébus, XVI, 167. AGOS Mlle d', lUsuline d'Auch, XIX, 88, 89. Agriculture dans le Gers. Doléances et, voeux de 1789, XV. 257. — XVI, 260. — XVII, 55. — Questionnaire sur l'état de l'agriculture, en Gascogne, au XVIIIe siècle, XVIII, 212220. — Condition des paysans sous l'A. R., XIV, 52-55. — Maladies des récoltes au XVIIIe siècle, XVIII, 214215. — Fléaux des récoltes, XIII, 100. — XVIII, 173. — Les fléaux des récoltes autrefois en Gascogne », par J. Dandrey, XV, 296. — Revenus agricoles, eu 1790, XVII, 115. Agrier, agrier-champart », anciens droits féodaux, XVI, 249. — XVII, 19',., 232, 236. — XXII, 342. AGUERRE Menaud d'. gentilhomme basque, XVII, 209. AGUIN Géraud d'. Imite de Bonloc, XVI, 291. Aguin, XXII, 258. — XXIII, 226. AGUT, adjoint, de Mirannes, 1792, XIII, 280-281. AGUT, off. mun. de Vic-Fezensac, XXIV, 50, 51. seigneurie d', XVI, 232. — XXV, 74. Aides », impôts d'Ancien Régime, XVI, 175, 261. — XXII, 248, 255. AIGNAN, XII, 213, 270. — XIV, 172, 215. — XV, 219. — XVI, 108, 109, 120. 176. 178, 181. — XVIII, 178, 184. — XX, 101. - XXI, 117. — XXII, 247. — XXIII. 228. — XXIV, 328. AIGNAN. maire de Miélan, XI, 38. AIGNAN d', seigneur de Castelviel, XXI, 104, — XXIII, 71. AIGN'AX d', d'Auch. Voir DAIGNAN. AIGNASSE, prêtre constitutionnel de Vie, XXV, 104. AIGNESSE. d'Auterrive, XVI, 272. AIGREFEUIL. Cardinal d'. XVI, 168. AIGUA d' , de Ségoufielle, XXII, 269. Aigitebcrc seigneurie d", XXV. 77, 78. — chateau, XXV, 90. AIGUILLON Vital d', curé de Laujuzan, XVIII, 44, 59. AIGUILLON DUCS d', XIX. 95. — XXI, 74, 194-196. Aiguillait château d', XXI, 27. Aillas, XV. 122. AIME d', XX, 74. Aire ancienne dénomination latine d', XVlll, 152-153! — Charles d'Armagnac à, XVI, 183. — Kvéques d', XV, 16-19, 152, 213, 214, 218, 222. 225. — XVI, 113, 233. — XVII, 264. — XVIII, 153. — Montgoméry à, XXII, 182.— Divers, XIV, 298. — XVI, 120, 167. — XVII, 310. — XIX. 46. — XXIV, 149. AlSIUS DE MONTESQUIOU, XV, 218. AISSÉ Mlle, XV, 294. Aix-la-Chapelle, XXIV, 325. — XXV, 15 — projet d'un Congrès pour la paix, en 1759, à, XX, 48. Alais, XVII. 104. — Edit d, de 1629, XIV, 345. — XX, 29. Alan, XIV, 260. — château d', XIV, 157. ALAON charte d', XX, 140, 148. ALARLC, roi des Wisigoths, XVII, 83. Albe, en Piémont, XXI, 150-151.—. Evêque d' XIV, 205. ALBENQUE d', XXIV, 03. Albergue » droit d', redevance féodale, XX, 99. ALBERTIN, juge à Lourbez, XIX, 65. Albi, XVI, 177. — XVII, 153. — XVIII, 14, 209. — XXI, 136. — XXIV, 254. Albigeois groupe d' à Montréal, XI, 48. ALBIGES, chapelain à St-Pierre d'Auch, XII, 223. ALBIGOIS, de Vic-Fezensac, XXIII, 155. ALBION Arsinius d', XXV, 119. ALBIS d' de Razengues, XXIII, 194. ALBON Guichard d', XIX, 53. ALBOYNI, de Vic-Fezensac, XV, 57. ALBRET Alain le Grand, sire d', XIV, 46.— XVI, 184, 185. — XVIII, 208, 211. — XIX, 43, 46, 50-53, 149-15G. — XX, 56. — XXI, 180. — XXII, 248, 252. — Amanieu d',, XVI, 127. — XIX, 30. Ctisar-Phébus d', maréchal de France, XVIII, 192-196. — Charles d', XII, 204. — XVI, 171. — XX, 91. — Gabriel d', seigneur d'Avesnes, XIX, 150. — Guillaume-Anianieu d' sire de Lesparre, XVI, 170. — Henri d', roi de Navarre, XXIII, 309. — Jean d'. r. de Navarre, fils d'Alain, XVI, 240. - XIX, 43, 56. — XXIII, 308. — Jeanne d', reine de Navarre, XXI. 238. — XXII, 118. — XXIII, 309. — Marguerite d', XIV, 321. Château d' ,XIV, 153. — La maison des d' à Casteljaloux, XXI, 33. — Le tombeau du Cardinal Louis d' à Rome, XXI, 97-98. Divers, XII, 204, — XV, 119, 120, 124, 203, 219, 269. — XVI, 74, 76, 99, — 4 122, 124, 127, 140, 173, 183, 294. — XVII, 136. — XVIII, 192, 209. — XIX, 34, 35, 84. — XX, 154. — XXI, 143, 181. — XXII, 148. — XXIV, 195. ALC1AT, XXIV, 294. ALEM, curé de Goujon, XVI, 51. ALEMBERT d', XXV, 44. ALENÇON ducs d', XVI, 74, 172, 184, 185, 186. — XVII, 130. — XVIII, 13, 225. — XXI, 104, 182. — XXIII, 142, 309. — XXIV, 192. Ale% XIV, 333. ALEXANDRE III, pape, XV, 214. ALEXANDRE VI, pape, XXIII, 246. ALEXANDRE Abbé, aumônier des prisons d'Auch, XXIV, 152, 153. ALEXAVDHE, aubergiste d'Auch, XII, 253. — XXIV, 79. ALEXANDRE-SÉVÈRE, XVI, 187. Alexandrie, en Piémont Défaite de Jean III d'Armagnac à, XVI, 168, 169. ALEXY, capitaine, XIII, 216. Aliger, XVI, 131, 160. Algésiras siège d' en 1343, XIV, 304, Aliénation des droits seigneuriaux, XI, 183-188. — Voir Droits seigneuriaux. d', intendant d'Auch, XII, 150. ALLARD, député 1791, XIV, 285. ALLEGRE, de Touget, XXIV, 92. — XXV, 300. ALLEMAN Bernard, évêque de Condom, Condom, 37. ALLEMAN Jean, de Lavardens, XXI, 244. ALLEMAND, marchand d'Auch, XIV, 256. ALLEMAND DE LAGRANGE, orateur francmaçon d'Auch, XI, 29, 30. Alleu », XV, 144, — XX, 101. ALLIOT d', d'Auch, XIV, 261. Allocations aux familles des volontaires de 92, XXV, 298-303. ALMARUS d', de L'Isle-Jourdain, XVI, 37, 51. — XX, 27. Almazah, XVIII, 203. Alos, XVI, 232. ALPHONSE XI, roi de Castille, XIV, 304. ALPHONSE DE POITIERS, XI, 102, 103. ALPHONSE, comte de Toulouse, XVI, 215. ALQUIER, de Vic-Fezensac, XV, 57. ALVARUS, chanoine de L'Isle-Jourdain, XXIV, 40, 44. AMADE, administ. du départ, du Gers, 1789, XX, 110, 114, AMADE, procureur du Roi, à Auch, XX, 107. — XXII, 220. — XXIII, 111. AMADE d', notaire à Cologne, XXIV, 176. AMADE, XIII, 92. — XVIII, 252. — XIX, 166. AMADIER, procureur de la chanoinie de Tarbes, XVI, 94. AMADIS, notaire de Pessan, XVI, 280. AMALRIC DE CRÉON, sénéchal d'Agen, XI, 53. AMALRIC DE NARBONNE, seigneur de Fimarcon, Fimarcon, 100. AMANIEU I D'ARMAGNAC, arch. d'Auch. XIII, 237, 240, 250. — XIV, 297. — XVI, 110. — XVII, 18. AMANIEU II D'ARMAGNAC, arch. d'Auch, XIV, 103. — XV, 221-230. — XVI, 41. — XVIII, 82. — XXIII, 55. AMANIEU ,DE GRÉSIGNAC, arch. d'Aueh, XV, 217-218.— XXI, 214. AMANIEU DE LASSÉRAN, seigneur de Massencôme, Massencôme, 111. AMANIEU DE MONLEZUN, seigneur dé Laas, XV, 35. AMAR, député à la Convention, XIV, 285. AMARILLAS Comte de las, gouverneur de Barcelone Espagne, XXIV, 343. — XXV, 57. AMAT, receveur eu Fezensaguct, XXIV, 63. AMATIS de, notaire à Toulouse, XVII, 204. AMBES, jurat de Condom, XXV, 316-317. AMBLARD d', XII, 87. AMBOISE Hugues d', seigneur d'Aubijoux, XV, 25. XVI, 86. — XVIII, 209. — XIX, 160. — Louis d', évoque évoque XV, 24. — XVI, 86. — Louis d', vicomte de Thouars, XVIII, 24. Amboise, XVI, 80. — XVIII, 208. — XXIV, 315. — paix d', XV, 85. AMBROISE DE LOMBEZ, religieux capucin, XVIII, 135. AMÉ, conseiller du Roi, XII, 115. AMELOT DE LA HOUSSAYE, XXII, 72, Amj du peuple » L', de Marat, XIX, 107. Ami du Roi » L', XIX 107. — XXV, 157-158. Ami de la Constitution » L', XXIII, 118-120. Amiens, XIV, 113. — XVI, 81. Traité d'1 de 1279, XIX, 26. — XXV, 115. — siège de 1597, XI, 201-202, AMIOT, XII, 143-144, AMMIEN MARCELIN, XIV, 268. Amsterditm. XV, 234, ANAT d', XXIII, 35. Ancenis, XVIII, 15, 31, 197, 198. — XIX, 47, 48, 55. Ancizan, XIV, 252. — XX, 47. — XXI, 110. Ancg-le-Franc, XII, 230. ANDICHON d', XVI, 105. ANDIEULX, conseiller à la cour de Condom, XXIII, 276. Andiran, XXIII, 273. Andissan seigneurie d', XXIII, 63. Andos » et anos », radicaux celtibériens, XI, 206-207. Andouillé, XIX, 151. ANDOIUNS Diane d', Corisande », maîtresse d'Henri IV, XIV, 152, — XIX, 100. — XXV, 73. — Paul d', sénéchal de Bèarn, XVII, 129. — Divers, XIV, 300. — XVIII, 205. Andouins, XV, 14, — XVII, 129, 131. r ANDOZILLE Guillaume d', archevêque d'Auch, XI, 280. — XV, 213-215. — XVIII, 82. ANDRÉ Hôtel à Auch, XIV, 134. ANDRÉ Pierre, bourreau d'Auch, XXIII, 262. . Andrest, XI, 208. ANDRIC DE BAZILLAC d'j, XXI, 252. ANDUN d', XVII, 125. ANECANZE DE TOUJOUSE, évêque d'Aire, XVI, 113. — Chrisme de son tombeau, XVII, 61. ANER-LOUP, vicomte d'Oloron, XIV, 293. ANGÉLE D'OLORON, XIV, 293. Angers, XV, 168. — XVIII, 15, 202. — XIX, 150, 152. ANGLADE d', juge-baile et consul de Condom, XXV, 316, 317, 319. ANGLADE D'ABADIE d', XVI, 130. Anglais Entrée des à Montréal, en 1413, XI, 250. — Domination anglaise en Condomois et Agenais, XXV, 115-116, 190. Anglans, XVII, 132. ANGURS d', XII, 344. ANGLEBERT, maître de musique à Condom, XXI, 236. Angles Baronnie d', ou de Montesquiou, XVII, 18. ANGLES, de Vic-Fezensac, XV, 58. ANGOSSE marquis d', XII, 59. — XIV, 358. — XV, 71, 73, 261. — XXIII, 23. ANGOULÈME DUCS d', XII, 307. — XVI, 130. — XXV, 104. — Duchesse d', XV, 293. Angoulème, XVI, 124. — XXV, 271. ANGUILHE Abbé d', de Condom, XV, 74. ANICELLE DE LOMAGNE, XV, 215. ANJOU DUCS d', XIV, 151, 152. — XVI, 74, 79, 83, 127. — XVII, 136. — XVIII, 91, 225. 231. — XIX, 31. ANNE DE BRETAGNE, XIX, 153-156. — XXIII, 228. ANNE D'AUTRICHE, XIV, 49. — XV, 114, 162, 233. 6 ANNETTE D'ARMAGNAC, XV, 20. Armories », XVI, 187. Annulation de mariage au xiiie siècle, XIV, 296. ANSAN d', XV, 35. Aman, XIII, 95. — XXIII, 234. ANSELME Père, XXIV, 49. ANTEROCHES Alexandre-César d', évèque de Condom, XV, 74, XIX, 136, 137. — XXII, 147. — XXIV, 162164, 170. - Marie-Thérèse d', dernière abbesse de Prouillan, XX, 161. — XXII, 147-158. ANTÉROUE, XXIV, 280. Antichan, XI, 205. ANTIN DUCS d', XI. 26, 70. — XII. 28, 30, 300. — XV, 291. - XVI, 43, 269. — XVIII, 22. — XXI, 161, 243. Antin, en Bigorre, XVII. 98. Antipendium », XIV, 63. ANTIPOUT, de Touget, XXV, 293, 294, 299. ANTIPOUT, de Vic-Fezensac, XXIV, 253. ANTOINE DE BOURBON, roi de Navarre, XXII, 118. ANTONIUS PRIMUS, rhéteur toulousain, surnommé Bec-de-Coq ». XVI, 190. ANTRAS Calherine d' de Mareiac, XXI. 41. — Jean d', XXI. 168. — XXII, 119. — Jeanne d', épouse Moniezun-St-Lary, XXI, 242-249. — XXII, 136. — Seigneurs de Cornac, XXI, 243. — Seigneurs de Louber san, XXII, 230. — Divers, XIX, 130. — XXII, 115. ANTRAS DE d', XV. I96, 197. Artlrus, près Jegun, XVII, 247. — XIX, 79, 185-187. — XXI, 155. Anvers, XVIII. 235. ANZAS, de Saint-Clar, XIV. 67. ANZELURE Pierre, évoque de, Lertoure, Lertoure, 134. Aouas seigneurs d', XX, 63. APASTEGUY, seigneur de Saint-Griède, XII, 82. APCHON d', arch. d'Auch, XXIII, 29, 31-33. Apocryphes titres de noblesse exemples de Batz-Castelinore, XII, 102-118. 190, 209-219. — du faux-marquis de Besmaux, XII, 117. — Voir Noblesse. APOLLINAIRE, XVII, 76. Apothicaire Un compte d', au XXIIe siècle, XXI. 255-257, 288. APULÉE, XVII, 70. ARAGON Jean d' . XV, 205-207. — XX. 155. ARAGON, de, Touget, XXV, 301. Aragon et Catalogne Campagne de 1462, en, XV, 204-206. ARBÉCHAN d' , XX, 142. Arbéchun, XVII, 178. — l'Isle d', XX, 143. Arbernue, XV, 205. ARBIEU d', XIII, 213. - Seigneurs de Poupas, XXII, 116. — Baron de Terraube, XIV, 353. ARBLADK-liRASSAL d', XVI, 183. AIUSLADK d', de Barbotan, XX, 72. Arblade. XV. 150. — XVII, 309-312. Arbladc- combat, XIV, 215, 369. — XV, 219. - XVI, 181. — XVII. 314. XVIII. 170. — XX. 101. XXI, 39. - XXIV. 69. ARBO d', XX, 73. ARBORIUS, XVI. 189. Arboul vicomte d' XX. 70. Arbre de la liberté, XIII, 280. — XXIV, 303-304. ARBRISSKI. Robert d'. fondateur de Fontevrault. XVII, 182. ARC Etienne' d', prieur de St-Oreus, XV, 225. ARC Jeanne d', Voir Ste Jeanne d'Arc. Are-dt-Triomphe de l'Etoile inscription de généraux gascons à l', XIII,-201. ARQUADIUS, XVII, 79, 84. — 7 ARCAMONT marquis du Chic d', XIX, 125-143, 190. — XX, 81. — le dernier marquis d', XXIV, 207-208. ARCAMONT vicomte d', syndic d'Eauze, XII, 64, 174-175. Arcainonl, XIV, 26, 178. — XXIV, 203.. ARCHAMBAULT DE RIVIÈRE, XVI, 181. Archéologie populaire ce qu'elle doit être, moyens d'en étendre l'action, XI, 233-235. ARCHIAC d', XVI, 181. Archidiacoués origine des, XIV, 50. Archives départementales dons particuliers aux, XXIII, 248. — XXIV, 302. Arcis-sur-Aube, XVI, 88. ARCISSE DE CAUMONT, auteur d'un manuel d'archéologie, XI, 234. ARCIZAN Fortaner d', abbé de StSavin, XV, 226. ARCIZAS d', XXI, 164. Arcole victoire d', XXIII, 100. Arcous, XXIV, 152. ARDENNE, d'Auch, XII, 200. — de SaintLary. XXII, 346. Ardenne seigneurie d', XXIII, 100, 161, 280. Ardens, XIV, 50, 105. Ardhuina », divinité gauloise, XX, 123. ARDIT. de Rezolles, XXIV, 23, 24, ARIUT frère Antoine, de Vic-Fezensac, XXIV, 21. Ardisus, seigneurie d', XVIII,' 68. — XXV, 77. Arech, XVI, 181. AREYX DE CHAMBEAU d', XXIII. 316. ARGAIGNON, le Betplan, XXII, 129. Argelouse seigneurie d', XVI, 231. — XXIII, 03. Argentan, XVI, 81. — XVII, 138. Argenleins Lot-et-Garonne, XIII, 113.'236. — XXV, 190. — Archives d', XXI, 135. — Commandeur d', XXI, 138. Argenteuil, XVII, 95. Argentan, XVIII, 209. ARGIS d', lieut. du Rég. de Navarre XII, 156. ARGNAC, de St-Georges, XXIV, 39. XIV, 302, Arles, XXV, 130. ARMAGNAC, secrétaire Fleurance, 1793, XIII, 69. — XXIV, 285. ARMAGNAC, tailleur à Condom, XXI, 232. Armagnac, origine du comté, XX, 140. — Assemblées des Etats d'Armagnac, XIV, 168-183. — XVI, 170. — XXI, 84, — XXII, 246-256. — liste des seigneurs, leurs privilèges et exemtions, XII, 81-85. — droits seigneuriaux des comtes, XX, 100-101. — la sénéchaussée, XXI, 261. — élections de la sénéchaussée, en 1789, XV, 73, 185. — Rivalité entre Astaraç et Armagnac, XVIII, 83-89; — entre Armagnaes et Bourguignons, XVII, 314-315. — XVI, 171. — Maison des comtes d'Armagnac, à Auch, XII, 149 — confiscation de l'Armagnap par les rois de France, XVI, 178,, 185. — fin de la maison d'Armagnac, XVI, 172-178. — Emigration des Armagnacais en Amérique, XVIII, 44-45. ARMAGNAC Amanieu d', arch. d'Auch, XV, 221-230. — Voir AMANIEU. — Arnaud-Bernard, XV, 218. — Bernard, XV, 144, 146-150, 155, 159, 160, 210-212, 215-218. — Charles, frère de Louis XI, XVIII, 209-211. — XXI, 84, 143, 180-183. — XXII, 248, 252-254. — XXIII, 308. — Gaston, vicomte de Fezensaguet, XII, 234, — Gérard, XVII, 18. — Géraud, XV, 160, 212, 219-221. — XVI, 41. — Jacques, duc de Nemours, XXIV, 298. — Jacques, XV, 125. — XVI, 76, 171. — Jean, archevêque d'Auch, XV, 21-25. — XVI, 85-88. — XVII, 35. — Jean IV, XVII, 24, — Jean V, XVIII, 23. — XIX, 29-31. — Jean V et le drame de Lectoure », XXIV, 298. Voir Lectoure. — Madeleine, XVI, 85-86. — Mathe, XIX, 30. — Pierre, abbé de Faget et, vie. général d'Auch, XVI, 86-88. — Roger, évèque de Lavaur, XV, 230. ARMAGNAC Comtes d'. Leurs différends avec comtes de Gaure, de Foix, XIII, 105-112; — avec archevêques d'Auch, XIV, 43-49. Divers XIV, 215. — XV, 23, 25, 125. — XVI, 122, 124, 127, 232, 253. —XVII, 136, 198, 314-315. — XVIII, 26, 27, 95. — XIX, 29, 31, 38-41. — XX, 56, 146, 155. — XXI, 140, 143, 153, 155, 156, 243. — XXII, 90, 115, 181. — XXIII, 310. ARMAGNAC-THERMES Bernard d', XVI, 89, 180, 239. — Jean d', XVI, 171. — XXI, 155. — Thibault d', compagnon de Jeanne d'Arc, XVI, 294, 295. Armagnac droit sur les vins d', au xviiie siècle, XIV, 183. — prix des eaux-de-vie d' en 1797, XXIII, 114, AKMANDÈS, bourgeois de l'Isle-Jourdain, XXII, 100. Armée sous l'A. R. Réformes demandées par les Cahiers de 89, XV, 257. — XVI, 257-259. Voir Régiments. — Réquisilions. - Soldes. ARMENTIEU d', XXIV, 280. Armentieu, XVI, 235. — XVII, 127. — XIX, 91. — XXII, 336. — XXIII, 232, ARNAUD D'ARBUSE, évèque de Lescar, XV, 225, 228. ARNAUD D'ARTIGUES, abbé de St-Savin, XV, 222. ARNAUD DE CASTELNAU, XIV, 290, 297. ARNAUD DU COMPTÉ, XI, 247. ARNAUD D'ESPAGNE, sénéchal de Foix, XV, 118. ARNAUD DE GABASTON, XIV, 294, 295. ARNAUD, abbé de Gimont, XVI, 217. ARNAUD // de Lescun, XIV, 294. ARNAUD DE LOMAGNE, XV, 102, 104. ARNAUD DE MARSAN, vicomte de Louvigny, Louvigny, 294, ARNAUD, abbé de Pessan, XVII, 183. ARNAUD DE ST-ARROMAN, XIII, 250. ARNAUD DE vie, XIV, 44, 101. ARNAUD-AMANIEU d'Albrel, XV, 203. ARNAUD-AYMERIC, XV, 215. ARNAUD-GUILLAUME d'Armagnac, XV, 218. ARNAUD-GUILLAUME de Béarn, XIV, 296298, 296298, 302. — XV, 121, 123. ARNAUD-GUILLAUME DE BÉNAC, abbé de St-Pé, XV, 222, 226. ARNAUD-GUILLAUME DE BERGOGNAN, XV, 124, ARNAUD-GUILLAUME DE CAUPENNE, XV, 123. ARNAUD-GUILLAUME DE LAU, XV, 218. ARNAUD-GUILLAUME DE LESCUN, évèque d'Aire, ,XV, 10-19, 20, 22. ARNAUD-GIILLAIIME III DE PARDIAC, XIV, 360. ARNAUD-OTUON DE LOMAGNE, XV, 219. ARNAUD-RAYMOND DE CASTELBAJAC, abbé de Bonifias, XV, 222, ARNAUD-RAYMOND DU MONT, évèque de Rayonne, XV, 225. ARNAUD-ROGER DE COMMINGES, évèque de Lonibez, XXIV, 200. ARNAUDAT, général, XIII, 149. ARNAUDEZ, notaire de l'Isle-Jourdain, XXIV, 36. ARNÉ capitaine d', XXI, 168, 237. Arné seigneurie d', XXI, 167, 168. Arous, section de Manas-Bastanous, XV, 77. Arpajon seigneurie d', XXI, 156. ARPARENS Pierre, XVI, 267, 269, 273. ARPARENS d', XI, 29, 35. — XVIII, 119. — Vital d', procureur, de PaVie, XVIII, 88. Arparens, XI, 17. — 9 — ARQUÉ, d'Auch, XXIII, 34, — de Durait, XIV, 331. Arques. XVIII, 232. — XXII, 99. ARQUES D'Aymier d', XII, 133. — XX, 64. ARQUIER Barthélémy, prêtre à StClar, StClar, 68, 69. ARQUIER, chanoine de Sainte-Marie d'Auch, XVII, 286. ARQUIER, recteur de Monfort, XV, 269. ARQUIER d', XVII, 44. — XXI, 262, 263, 269. — Jacques d', juge-royal en Fezensac, XIV, 47, 109. ARQUIER DE MAULÉON d', juge en Fezensaguet, XV, 274. ARQUIZAN Jeanne, sage-femme, XVIII. 260. —XXII, 175. Arquizan, XI, 45, 247. — XXV, 171. Arramée bois de l', XXV, 257. ARRAS Cardinal d', évèque d'Albi, XVI, 177. Arras, XXIV, 162. Arreau, XIX, 64. — XXI, 107. Arrembos, XVI, 236. ARRIOS, d'Auch, XII, 222. ARRIPE, d'Auradé, XVIII, 139. ARRIVET. XXIV, 88, 137. ARRIVETS des, XXIV, 280. ARRIVETS OU ARRIVEX, de Duran, XIV, 331. — XIX, 104, ARROS, seigneur de Beaupuy, XXII, 99. Arrouède château d', XVI, 290. — XVII, 156. ARROUZET d', XVI, 96. ARSÈNE DE ST-JUSTIN, frère cordelier de Nogaro, XV, 219. ARSIVE DE MONTESQUIOU, abbé d'Iclrac, XV, 222. Artugnac, près Riguepeu, XIV, 106. ARTAGNAN, de Touget, XXIII, 144, 305. — XXIV. 85, 91, 247, 253. — XXV, 293, 294, 300, 308. ARTAGNAN d', XII, 101-118. — XIII, 86-92. — Charles d', XII, 108-109. — Ch. d'Artagnan, capitaine des mousquetaires du Roi. Histoire véridique d'un héros de roman », par Ch. Samaran, XIII, 86-92. — projet d'érection de statue à Lupiac, XIII, 90. — même projet pour Auch, XXV, 323. Artagnan, XVI, 101. ARTAXET, frère cordelier à Auch, XXIV, 165. Arthos, XV, 19. ARTIGALAS, curé constitutionnel de Nogaro, XVIII, 177. XXII, 258. Artiguedieu-Carrané, XVII, 247. — XIX, 186-187. — XXIII, 230. Voir Garrané. Artigues piles d', XXV, 66. — Vieux pont d', XI, 127. — XVIII, 242, ARTOIS Coude d', XVI, 130. — XXIV, 343. — XXV, 29, 30, 32, 34, 50. Artonu, prieuré, XV, 222. ARTUS DE RRETAGNE, XV, 124. — XVII, 128, 129. ARTUS DE MONTAUBAN, archevêque de Bordeaux, XVII, 133. — XVIII, 28. ARYES d', XXII, 352. Argo lieu dit en Lauuepax, XIX, 42. ARZAC Etienne d', commandeur de Ginibrêde, XXI, 215-216. Arzac seigneurie d', XVI, 237. ARZAL Anne d', épousa de Luppé, XV, 297. Arzenne. château d', XIII, 15. Ascous, près Beaucaire, XIX, 30, 34 40. — XX, 56, 57, 59, 61. ASPE Bernard d', juge-mage d'Ancizan, XIV, 252. — Bernard, archidiacre de Sos, XXI, 112. — Irénée, juge-mage d'Auch, XIX, 39. — Joseph, sieur de Lupvielle, XXI, 84, 104, 105, 110. — Louis, président du tribunal de Lombez, mort sur l'échafaud, XIV, 184. — XXIV, 142. — Divers, XVI, 131. — XVIII, 89. — XX, 42-44, — XXIII, 266. — XXIV, 69. __ 10 — Aspe, XIV, 294, A spin, XX, 42, 47. ASPREMONT d', XV, 14, 123. 290. Asques, près Valence-sur-Baïse, XXIV, 134, 327. ASSADE Raymond d', évèque de Lescar, XV, 214. Assemblée provinciale de Gascogne, XIV, 94, 100, 163. Assemblée primaire d'Eauze, en 1789, XII, 181. Assemblées convoquées pour l'élection des députés aux Etats généraux de 1789, XIII, 187-191. ASSEN Jean d', XVI, 291. ASSÉZAT d', de Toulouse, XXIV, 261 Assistance publique sous l'A. R. XXI, 207-270. — Réformes demandées par les cahiers de 89, XVI, 259200. — XVT1, 57. ASSON d', XVI, 98. Astaffort moulins sur le tiers, près d', XXI. 136. — Seigneurs d'. XXI, 150. — Divers XVI, 127. — XVII. 00, 117. I 11. — XXI, 215. — XXII, 161. ASTANOVE, comte de Fezensac XVII, 240. - XXII. .112. 252. — XXIII, 307. XXIV. 20. Aslunic comte d', XIII, 103-105, I 10113. - X\ I. 73. 122. 253. — XX, 10, 144. — XXII, 356-363. — XXIII. 231, 230, 237. — Investigations en, XXIII, 230-238. ASTARAC Duc de Rohan-Chabot, comte d' . XVIII, 10t. — Jean d', évèque, XIII, 18. Louis d', sénéchal d'Armaignac, XXV, 7,8. — Louis d'. vicomte de Foutrailles, XXII. 317. — Michel d', baron de Fontrailles. XXII, 258. — Michel d', seigneur de Marestaing, XXII, 318. — Arnaud et Denis d'. juges en Fezensac. XXI, 262. — Marthe d', XVIII, 99. — Droits des comtes d'Astarac en Pavie, XVII, 203-208. — Actes relatifs à Pavie, XVIII, OS-103. — Rivalités avec comtes l'Armagnac, XVIII, 83-89. — Di vers XVI, 264, 266, 267, 286-288. — XVII, 178, 180-183, 187, 190-192, 196200. — XVIII, 16, 95, 266. — XIX, 29, 159. ASTARLOA, savant espagnol, XIV, 140. ASTÉ, d'Azimont. XVI, 35. ASTER d', XVIII, 22. Asti, XVII, 107. ASTIES d', juge en Fezensac, XXI, 262. ASTORG d, XIX, 126, 130, 133, 141. — XXI, 108. — XXII, 324. — XXIII, 75, 80, 182-184, 188. ASTRUC, notaire à Vic-Fezensac, XVII, 27, 35, 37, 44. ASTRUC, de Riguepett, XVII. 44. ASTRUC, de Si-Georges, XXIV, 39. ASTIIOUE d', de Rajordan, XXII, 312, 313. ASTI GUE d' . de Mazères. XXIII, 6, ASTUGUE d', de Serempuy, XXII, 191-192. — Divers XI, 72, 73. 75, 292. ASTUGUE-CORNÉ d', XV, 298. ATAU Raymond, abbé du Mas-d'Azil,. XIII. 150. Athénée du Gers » L', modèle savante d'Auch, XIII, 33, 34. Atroa vicus » ou viens juliensis », nom primilif d'Aire. XVIII, 152-153. Au pays des Rois catholiques », par le Commandeur de Broqua, XII, 185-188, 290. A USAIS d', XVII, 109. AUBERJON d', XXIII, 195. AUBERNY, consul de Rajonnette, XV, 264, ALBERT, premier abbé de Berdoues. XVil, 184. — XX, 142. AUBETERRE Maréchal d' , XI, 202. Aubine Lot-et-Garonne. XXIII, 220. AUBIAN d', XVII, 189-191. — XX, 56. AUBIAN, de Mirande, XXII, 34, Aubiet, XIV, 224, — XVI, 94. — XVIII, — 11 — 220, 273. — XX, 101, 105. — XXI, 159. — Arrestation d'un boulanger d' en 89, XVIII, 154-156. , Aubiel chapelle de 1' en Justian, XXI, 119, 121. AUBIGÈS, dé l'Isle-Jourdain, XXIII, 72. AUBIJOUX d', XVI, 85-86. Aubijoux-, XVIII, 209. AUBIN, seigneurs de Maiicorne, XVIII,. 23, 28. — XXIII, 63. Aubous Basses-Pyr., XVII, 67. AUBRAY d', XV, 235. Auch " Climberris, civilas Auscorurn », histoire primitive d'Auch, XVII, 176. — XVIII, 81-82. — Limites do l'ancien pagus des Ausci, XVII, 178. — Discussion sur V auscience territorium » de Grégoire de Tours. XVIII, 142-144, a Antiquités d'Auch . découverte de, monnaies romaines à l'hôpital, XI, 335; — d'une mosaïque, XIII, 160162; — d'un autel gaulois, XXI, 114; — d'un bénitier roman, XIV, 196; — de poteries, amphores, XVI, 300; — d'opitaphes, XVI, 199-200; — d'une inscription tumulaire, XIX, 113. — ehrismes du musée, chrismes du tombeau de St-Léothade. XVII, 00-61. — église Si-Pierre, colonnes, XIII, 129; origine do cette église et vieille cloche, XII. 196, 220223. . — Ecole du rhéteur Slaphyius. maître d'Ausone, XVI, 188, 192194, — Etudes de Ch. l'alanque sur les antiquités d'Auch, XI, 13-14, b Topographie renseignements pour servir à la topographie de l'ancienne ville, XIX, 80. — XXIII, 86. 171. 255-262, 300. — XXIV, 0769, 70, 133, 303, 305. —.XXV. 217, 220221. - Identification d'anciens établissements religieux, XII, 257-259. — description d'Auch, au XVIIIe siècle, XXV, 217. — Etat sanitaire de la, ville en 1811, XIII, 38-39. — Bibliographie Topographie médicale de la, ville d'Auch », par le Dr Fillrol, XI11. 34. — même ouvrage, par le Dr Molas, XIII, 36. — Auch, station climaférique d'hiver », par le. Dr Dupouy, XIV, 186-187. — Annales de la, ville d'Auch », XIII. 34, 123-133. — XXIV, 154. — Guide illustré de la ville et eu particulier de la Cathédrale. par G. Brégail, XXI, 290. e Vie civile et militaire limites de la sénéchaussée d'Auch, XXIII. 254. — assemblées primaires ou communales, XI, 41. — XIII, 207, 269. — assemblée des Etats d'Armagnac, XIV, 174. — administrateurs municipaux. XI. 37. — Consuls et notables du XVIIe siècle-, XXI, 125, 154. — XXIV, 2S3. Contribution à l'histoire des intendants, XIV, 113116. — Contribution à l'histoire de la ville, au XVIIIe siècle, XX, 4251. — Cont ribut ion à l'histoire du Collège, XVII, 148. - XXI. 255. - -XXII. 217. 327-33 XXIV. 30K. — XXV. 217-220. — Erection du Collège eu Université, XXV, 218. — Bibliographie des études de L. Bellanger sur l'ancien collège et le Lycée, XVII. 151. — Ecole centrale du Gers, XXV, 217, 219-235. — Ecole d'accouchement, XIII, 262, 271. — Ecole de charilé, XXIII, 29-34, — Hôpital, XIV, 5K. — XXIV. 309, — Asile d'aliénés, XIII, 271. — XV, 0508. — .XXIV. 309. — Maisons de réclusion. XXII, 32. — Société royale d'agriculture. XVIII, 162, 212-220. — Voir Athénée. — Célébrités auscitaines Voir BARTAS Saluste du, — DESSOLES général, — VILLARETJOYEUSE amiral. — Artisans auscitains, XXII, 79, 201-205. — XXIII. — 12 — 221-224. — XXIV, 282-283. — Visiteurs Visiteurs Catherine de Médicis, XII, 252. — XIV, 209. — Charles VIII. XVI, 183. — Duc de Bourgogne, XXI, 104. — Louis XIV, XIII, 88. — Marguerite de Valois, XIV, 154. — Napoléon 1er, XVII, 142. La justice et les bourreaux, XXIII, 252-272. — XXIV, 59-82, 133-161, 210. — La. peste, XXI, 200. — Pillage de la ville, en 1473, XV, 23. Cahiers de doléances des boulangers, XVIII, 102-163. — Auch privé de gâteaux de Rois, XVI, 90-92, 150. Spectacles et théâtre, au xviiie» siècle, XX, 42, 49, 50. — Franc-maçonnerie auscitaine, XI, 24-42, 258-279. — Rivalité entre Auch et Pavie, XVIII, 83-89. Auch sous le régime militaire, XII, 253-265. — Garnison d'Auch, au xviiie- siècle, XII, 145-164, 242, 271. — XXIV, 303, 304, 309. — Casernes, XII, 115, 148; grand quartier, XII, 254. — petit quartier ou quartier Subervie, XII, 150. — caserne des Minots, XII, — prison du Sénéchal, XII, 259. — Lettre d'un ciMédée », XVTII, 156. — Voir Volontaires du Gers. d Vie religieuse la Cathédrale, XVIII, 34, 84. — Sa construction, XXI, 162. — XXII, 162. — le choeur, XXV, 168-169. — les stalles, XVII, 254, 257. — XXIII, 88, 173-181. — les sculptures de Jean Douille, XIV, 258. — les serviettes » dans les boiseries, XVII, 250-258. — chapelle et reliques de Ste-Catlierine, XXI, 36. — statue de la Vierge, XXV, 167. — la tour des Archives, XXIV, 69, 77. — service paroissial, au xvie siècle, XXII, 162. — sépultures dans la Cathédrale, XV, 34. — transfert des cendres de l'intendant d'Etigny, XIV, 39. - Assemblée Assemblée de 1800, XXV, 175. Voir ci-dessous, période révolutionnaire. Archevêques et chapitre Droits de justice des anciens archevêques, XXI, 259-260. — sur rôle dans l'instruction populaire, XXI, 263-265. — Droits et possessions des Archevêques et, du chapitre les dîmes, XIII, 272, 273. — XIV, 43, 44. — XVI, 86-88. — XVIII, 97, 105, 106, 110. — XX, 54-56, 141-147. — XXI, 151, 198, 245. — XXII, 170-171, 356-358. — XXIII, 55-56. — XXV, 149, 261. — Différends entre chapitre, archevêque et couvents, XIII, 272, 273. — érection de prébendes cantorales, XXIII, 61. — donations et legs au chapitre, XV, 159. — XVII, 22, 32, 34, — XXIV, 21. — XXV, 92, 119, 127. — prêts consentis par le Chapitre, XIX, 38, 144, — Le chapitre contre le Pape et le Roi, XV, 21-25. — quesions de préséance, XX, 43, 45, 80. — démêlés de l'archevêque avec présidial, consuls, intendant, XX, 41-42. — procès entre Archevêque et grangier de Vic-Fezensac, XV, 59-03. — entre archevêque et Alain le Grand, sire d'Albret, XVI, 186. — Liste des chanoines de Ste-Marie d'Auch, eu 1100, XV, 211. — Diverses mendions de ces chanoines, XVI, 160. — XVII, 286. — XX, 142, 143, 146. — XXI, 105, 197-199. — XXII, 141. — XXIII, 55, 57, 143. — XXIV, 33, 172, 304. — XXV, 219. — Monastère de St-Martin, ancienne propriété des archevêques, XVIII, 8586. — Nombre des archiprètrés du diocèse d'Auch, XIV, 111. — Divers XVII, 192. St-Orens église, XII, 256. — XXIV, 133, 309. — prieuré, XI, 56, 57, 120. — XV, 152, 159, 222, 225. — XVI, 241. — 13 — XVII, 118, 180, 188. — XX, 146. — XXII, 168-171. — XXIII, 143. — XXIV, 193. — XXV, 77. — chapitre, possessions du chapitre et noms des chanoines, XXIII, 57, 313. — XXIV, 328. — XXV, 262. — Sculptures de Jean Douille, à StOrens, XIV, 252. — tombeau de l'intendant d'Etigny, à St-Orens, XIV, 38-41. Saint-Pierre Fondation d'une chapellenie, XVIII, 266. — Voir plus haut, Antiquités. Cordeliek XII, 256. — XIV, 170, 174. — XV, 34, 71, 219. — XXI, 160. — XXIV, 165. Dominicaines XXIV, 28. Frères des Ecoles chrétiennes, XXIV, 309. Jacobins monastère des, XII, 255. Pénitents-Blancs, XII, 257. — Historiette à, propos des, XIX, 140-141. Séminaires XXIV, 309. Ursulines, XIX, 86-91,114. — XXI, 197199, 212. e. Epoque révolutionnaire la presse politique à Auch, avant 89, XIV, 159-167. — Contribution à l'histoire de la ville et du clergé d'Auch sous' la Révolution, XX, 75. — XXI, 288. — XXII, 30-43. — XXIV, 301-331, 377378. — La Grande Peur de 1789, XIII, 123. — XIV, 262-263. — Tableau de la Révolution à Auch, d'après le D- Filhol, XIII, 123-133. — Cahiers de 89 Doléances et voeux de la noblesse, XV, 250-261. — Doléances et voeux du Tiers-Etat, XVI, 245-261. — Doléances et voeux du Clergé, XVII, 47-57. Cahiers de la sénéchaussée d'Auch, XXII, 206. — XXIII, 323-324, — Députés aux Etats généraux de 89,' XIII, 187-189. — Assemblée de la sénéchaussée, en 1789, XV, 69-72, 185, 187. — Bureaux, près St-Orens, XVIII, 173. — Auch en état de siège, en 1791, XII, 247248. — Séminaire transformé caserne, XII, 254. — Utilisation des églises et, des couvents de la ville, XII, 253-265. — L'instruction primaire à Auch pendant la Révolution, 48-54. — Le théâtre, à Auch, sous la Terreur, XXII, 37. — La guillotine, XXII, 73-75. — Plantation d'un arbre de la Liberté 1792, XXIV, 303-304, — Muscadins et muscadines, en 1794, XXIII, 171172. 171172. civiques de l'Etre suprême, XXI, 75-76, 189-193. — de la XVIII, 249. — XIX, 171. — XXII, 104. — de la Vieillesse, XVII, 161, 219-220. — de la Fédération des gardes nationales du Gers, XXI, 171-174, 184. — XXII, 212. — Célébra- - tion des Décadis, XVIII, 250-258. — XIX, 165-106. — XXI, 175. — Assemblée électorale du 13 février 1791, à la Cathédrale serinent des prêtres et élection d'un évèque constitutionnel, XVIII, 176. — XXV, 175, 179. — Intronisation de Barthe, à la Cathédrale. XXV, 225. — Archevêque et clergé émigré à Monserrat Espagne, XXIV, 350-351. — Sociétés révolutionnaires des Amis de la Constitution, XX, 111-113. — XXII, 217-219. — des Amis de la Liberté- et de l'Egalité, XX, 119-120. — XXI, 45-46. — des Républicaines et leur bannière, XIX, 161-171. — populaire et montagnarde, XIII, 65, 70-72. — XVII, 214. — XX, 118, 120122. — XXI, 174-177, 276. — XXII, 3541, 72, 281. — XXIII, 158, 103-164, 171. — XXIV, 78, 168, 169, 309, 310. — Congrès des Sociétés Montagnardes du Gers, Auch, 1793, XIII, 70. — XXIV, 169, 321. — Fondation d'un Muséum en 1793, XXV, 167. — L'échafaud de — 14 — Louis XVI. à Auch ? XXIV, 143-144, Divers XXI, 170-178, 231. — XXII, 3043, 3043, 49-50, 53, 277, 279, 281, 284, 286. — XXIII, 37-54, 108-123. 147-149, 151, 156, 157, 158, 166, 287. — XXIV, 104, 165, 168., 169, 288. — XXV, 152154, 175, 186, 187, 226, 228. / Epoque contemporaine Congrès d'histoire, d'archéologie et de géographie historique, tenu à, Auch, en 1910, XI. 86-129. — Fêles félibréeiines de 1913 l'Escole Gaston l'Iiélius à Auch, XIV, 264-283. — Musée, XII. 99. 191-192. — XIV. 194. — dons au Musée, XXI, 211. — objets faisant pallie du Musée. XIV, 110. XIX, 161, 171. 190. - Société archéologique du Gers Banquets anmuets. XI. 80. — XII. 91. — XIII, 90. — XIV, 91. - XV, 91. — XXI, 77. — XXII, 80. — XXIII. 89. — Dons à, la Société. XXIV. 377. XXV, 97. 327. protestations et vieux divers, voir ; SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE 2e table. — Syndical d'Initiative d'Auch et de Gascogne, XX, 82. Divers XI, 13-15. — XIII, 108, 123133. XIV, 139. 140, 109. 234. 340. XV, 50, 84. 219. - ' XVI, 172. 194, 197, 212. - XVII, 152, 153, 192. 247. 275, 282. 283. 287. — XIX. 64, 65, 60. 125, 126. 128, 140, 141. — XX, 101, 107. 108. — XXI, 45-48, 50, 53, 104-110. 125, 154, 150, 159, 100, 164, 214, 238, 243-245, 259-260, 202, 209, 290. — XXII, 129. 170-171, 172, 238, 239, 246, 368. — XXIII, 22. 23, 28, 35-36, 73, 102, 194, 285, 300. 312-314. 329. — XXIV. 33, 1113, 128, 129, 133-160, 203, 214, 220, 222. 238, 239, 242, 259. — XXV, 04, 124, 128, 129, 100, 175. 201, 264, 274, 323. AUCTAIRE III, abbé de Pessan. XVII, 181. Aucun, XV, 287. AUDEBERT DE MASCARON, XV, 218. AUDEOUD, d'Auch, XI, 272, Audigium seigneurie d',-XV, 121. — XVII. 131. AUDREIN, évèque de Quimper, XXIV, 170. Auduberlie château de l', XXII, 147. Auerstuëdt bataille d', XVI, 70. AUGER, évèque d'Aire, XV, 218. AUGER D'ANDIRAN, XXII. 59. AUGER DU CAMP, de Montréal, XI, 217. AUGER. abbé de Rerdoues. XX, 143, 144. AUGER, abbé de Condom, XI, 108. AUGER DE FALGAR, abbé de Bormefont. XV, 222, 220. AUGER DE MONTFACCON, évèque le COUserans, COUserans, 221. AUGER, comte de Pardiac, XX, 149. ACGERAS, seigneur de Riguepeu, XVII, 27. AUGEREAU maréchal}, XI. 263. AUGEROT DE ST-PÉE, XV, 121, 123, 124, XI, 71. — XVIII, 75. Augustins de Marciac Couvent des, XIV, 360-362. — peintures de la chapelle. XL 336. — stalles de la chapelle, XXII, 79. ACGUYN, notaire royal de Condom, XXIII, 274, 281. Anjan-Mournède, XIII, 282-288. Aulagnères moulin d', XXII, 114, 115. Aulin, XVI. 272. AULON Jean d'. écuyer de Jeanne d'Arc, XVI, 294. AUMALE duc d', XIX, 147. Aumensan, XII. 120-121, 141, — tchâleau d'. XXI, 119-120. — XXIV, 17. Aunay, en Poitou, XIX, 162. AUNOY. du Castéra-Verduzan, XIV, 173. AUQUIER, prêtre, XXII, 133. Auradê, XII, 305. — XIII, 45. — XIV, 201, — XXII, 119, 258, 263, 264, 270. — château d', XVII, 113-115. — Mono- — 16 graphie de la commune, XVI, 1358, 1358, — XVII, 94-115, 226-238. — XVIII, 124-141. — Liste des consuls, de 1342 à 1784, XVIII, 128-130. AURANCE lieut., XII, 249. AURANDA. juge en Fezensac, XXI, 261. AURE Menaud d', XII, 30. — Tristan d', évèque d'Aire, XVIII. 22. — Divers XVII, 293. — XVIII. 19. Aure comté d', XV, 216. — XVII, '180. — XX, 155. — XXI, 154, seigneurie d', XXI, 101. — XXIII, 182, Aureillian; XI, 205. Aurenque seigneurie d',X\TI, 106. — XVTII. 65. Aurens-Custelnau, XXII, 18-22. — XXIV, 168. — XXV, 174, 183. AURENSAN. XIV, 52. —.XVI, 181. — XIX, 61-63. Aurensan, XI, 205. — XXII. 297. — XXIV, 75. Auriabul. XI, 45. AURIAN d', XVI, 182. AURIANS Bernard d', abbé de l'Escale-Dieu, l'Escale-Dieu, 222. Auribal, XV, 122. Auriébat, XV, 294, — XXIII, 98. AURIGNAC, capucin de Condom, XXIV, 165. AURIGNAC, chirurgien-accoucheur à Gimont, Gimont, 270. Aurignas, XXII, 90. Aurimont, XII, 382. AURIOL. Guillaume, comte d'Aure, XIV, 368. AUSONE, XI, 15. — XVI, 188-190, 201. — XVII, 73-78. — XXII, 99. Ausus, près Panassac, XVI, 291. AUPSERENS d', XVII, 132. AUSSION d', XXIII, 195. AUTEEAGE, administrateur du district de l'Isle-Jourdain, XXIII, 305. Auterrive, XVI, 134, 267, 272, 287. 288. — XVIII, 60, 93, 210, 211. — XIX, 65. — XXV, 98. AUTLER, abbé de Pessan, XV, 152. Auto-da-fé révolutionnaire, à Auch, pour les titres féodaux, en 1792, XXIV, 308. — à Vic-Fezensac, pour les objets du culte, XXIII, 159. — XXV, 165, 270 . Autun, XVI, 189. — XIX, 95. AUVERGNE, de Touget, XXV, 300. Aurillars vicomte d', liste des seigneurs, privilèges et exemptions, XII, 89-90. — Divers XII, 328. — XIV, 261. — XXI, 138. 139, 143. — XXII, 19, 151. — XXIII, 94, 90, 100101. — XXV, 65, 170. Aux Cardinal d', XXIV, 24. Aux Jean-Jacques d', XII, 132, Aux d' , seigneur de Lescout, XXIV, 29. Aux, XIX, 145, 146. Aux Crestias », lieu dit, près Vieila découverte de silex. XIV, 80-81. AU XILHON, seigneurs de Sauveterrc, XXIII, 188. AUXION d'. de legun, XI, 290. — XIV, 173. — XX. 07. 68. — XXIII, 62. — XXIV, 327. AUZELA, de Barcelonne-du-Gers assassinat d', XXIV, 148-149. AVÈDE d', de Marciac, XXIV, 260. AVEUILE, de Marciac, XXIV, 260. Avein bataille d" 1635, XXI, 250. Avensac, XVI, 229. — XX, 42, — XXIV, 76. — château d', XXI, 104, 198'. Averon, XVII, 312. AVESNES Jacques d', XIV, 30. Avesnes, XV, 201. — XIX, 155, 150. Avezun, XX, 50. — XXII, 89. Avignon, XVI, 108.,— XXIII, 228. Avila Espagne, XXIV, 216-220. AVYSSANS DE CAUMONT, XI, 183. AXIUS PAULUS, XVI, 194, AYDIE Arnaud d', XVI, 230, 234, — Arnaud-Guillaume d', évèque d'Aire. XVI, 233. — Guy d', abbé de Berdoues et, évèque de Sarlat, 16 — XVI, 240. — Odet d', sénéchal de Carcassonne, XVI, 238-239. — Odet d', seigneur de Lescun, comte de Comminges, voir LESCUN. — Lubat d', seigneur d'Ognoas, XIX, 43. — Raymond d', abbé de StSevor-cap-de-Gascogne, XVI, 238. — Divers XV, 294. — XVI, 79, 81, 180, 183, 230, 231, 232, 233, 234, 235. — XIX, 157-160. AYGOBÈRE abbé, XX, 29. — XXIV, 104, 105. Ayguebelle aujourd'hui St-Lys, XVI 217. AYGUEBÉRE, praticien d'Auradé, XVIII, 136. Aggues-Mortes, XI, 73. — XIV, 351. — XVII, 95-97, 138. Ayguelinte, XIII, 238. — XXI, 141, 155. — XXII, 116, 117-120. — XXIII, 6263. 6263. XXIV, 171. AYLlES, XXIII, 280. AYMAR d', XII, 298, 302. AYMARD, abbé de Cluny, XII, 43. AYMERI DE COMMINGES, XII, 30. AYMERIC D'ARCAMONT, XIV, 178. — XV, 105. AYMERIC D'AVÉRON, abbé de St-Pierre de Tasque, XV, 221. AYMERIC I, comte de Fezensac, XIV. 43, 44. — XXV, 119. AYMERIC II FORTON, XIV, 44, 45. AYMERIC de, de Vic-Fezensac, XV, 58. AYMIER d', XII, 91, 301. — XIX, 186, 187. AYRAL d', XXIII, 195. AYRAUD d', XXIII, 281. AYREIN, greffier XXII, 303. AYRENX d', de Bautian, XXIII, 316. AYRENX d', de Bezolles, XIV, 232, — XXII, 114-121. — XXIV, 24, 126, 128, 130-132. — XXV, 93-96. AYRENX d', avocat, maire de Vie, en 1790, XXIV, 50, 288. Ayries seigneurie d', XXIII, 308. Ayzieux, XXII, 297. — XXIV, 150. AZALIVE, comtesse de Fezensac, XVII, 241. Azay, XVIII, 142-144. AZÉMA, de Touget, XXIII, 185. Azimo chapellenie d', XIV, 108. Azimont, XVI, 26, 35-36, 214, 220, 227, 229. — XVII, 94, 234, — XVIII, 124, 130-134. B Baalbck Syrie, XXV, 326. BABIJON, capitaine fleurantin, XIII, 77. Babillages de dames de la noblesse gasconne, au xvme siècle, XIX, 125143, 125143, BACCARRÈRE, consul, XII, 82. — XIV, 175. Hachas seigneurie de, XXIII, 183, 193. BACHAUMONT, poète, XIV, 155. BACHELIER, menuisier loulous., XVII, 257. Bachelier, divers sens de ce mot, au XVI, 117. BACHÈRE Franc., de Touget, XXIII, 139. — XXV, 142. BACON, curé de Cazaux, XII, 305. BACON, notaire en Astarac, XIII, 238, 250. — XVI, 16, 35. — XVIII, 136. BACQUET, prêtre de Condom, XXIV, 165. BACQUIÉ. secrétaire de la Mairie de Monfort, XI, 41. — XVII, 223, 224. RADORE, de L'Isle-Jourdain, XXIV, 62. Bugas moulin de, XII, 13. — XIV, 249. Bagnères-de-Bigore, XIV, 150, 155. — XV, 293. — XVIII, 40. — XXI, 237. Bagnères-de-Luchon, XIX, 44. — XXII, 164, 240. — XXIII, 329-330. BAGNÉRIS, de Vic-Fezensac, XXII, 50. — XXIII, 158. — 17 V Bagueras, XII, 21. BAHUS, de Sos, XVII, 248. — XXIV, 195. BAHUS de, XVI, 233. BAIGNIÈRES, XVII, 285.. Bail à ferme, au XVIIe siècle, XXV, 75, 90-91. Bail à gasailhe », XXII, 97. BAILAC, du Directoire du Gers, an VII, XXII1..95. Bailes, bayles ou baillis, au droit des, XIV, — XXI, 259260. 259260. juge-suppléant à Nogaro, XVIII, 54. BAILLES, XXI, 147. Bailliages, XXII, 250. BAILLIES, off. mun. d'Eauze, XII, 173. BAILLY, XI, 29. — XXIV, 220. — XXV, 33. BAJAC de, de Jegun, XXI, 165. BAJAUMONT DE DURFORT de, XVII, 97, 99. BAJETS de, XX, 58. BAJON, d'Auch, XI, 30. Bajonnette, XI, 74. — XIV, 356. — XV, 264. — XVI, 133. — XXIV, 136. Bajordan seigneurie de, XXII, 312. Bajordan seigneurie de, XI, 73. — XXII, 312. Balarin, XI, 104, 107, 110-111. — XVII, 209, 210, 211. — XXI, 91. BALAS, off. mun. de Vic-Fezensac, XXIII, 316. — XXIV, 50, 52, 56. Balasin forêt de, dans les Landes, XV, 16, 18, 19. — seigneurie de, XVII, 131. BALBIE, XXII, 339. BALDARRA, instituteur à Simorre, XIV, 75. BALECH, off. mu. de Pavie, XVI, 270, 274. — XVIII, 109, 111. BALENGELIER de, greffier,. XVI, 87. Balensum seigneurie de, XIV, 302, 307. BALGUERIE, préfet du Gers, XI, 259, 264, 272. — XIV, 39. — XXIV, 106107, 106107, BALIAS DE LAUBARÈDE, XII, 260, 266. BALIET, de Monfort, XVII, 223. Baliran, XI, 205. BALIROS de, XVII, 132, 133. BALLON, off. mun. d'Eauze, XII, 174175. 174175. Cardinal, évèque d'Angers, XVIII, 15. BALZAC Mondon de, sénéchal d'Agenais, 337. — Robert de, sénéchal sénéchal d'Agenais, XVI, 177. — XXI, 142. — Rauffet de, sénéchal de Nîmes, XVIII, 27. — Divers, XVIII, 210. — XX, 67. BALZAC D'ENTRAIGUES Henriette de, XII, 228. Banc droit de dans les églises, XXIV, 85-86. — XXV, 121. Bandol, XXIV, 142. BANEL, XXII, 50. BANOS de, de Lectoure, XXIII, 84. BAON de, XXIII, 79. Bapaume, XVI, 81. BAQUE, consul de Fleurance, en 1400, XIX, 119, 122. BAQUÉ, de Monfort, XVII, 223. BAQUIER de, XXII, 133. BAR de, XXII, 324, 326. BAR DE VILLEMADE de, XV, 298. BARADA Nicolas de, prêtre, XIV, 112. BARADAT de, XVI, 181, 182 — XXIII, 273-281, 335. BARAIGNET, off. mun. de La Romieu, XXI, 51. BARAILHÉ, de St-Sauvy, XIII, 188. BARAILLÈRE, de Pavie, XVIII, 102. BARANQUE, tailleur du Roi, à Paris, XVIII, 69. Baratnau château du, près Montestruc-sur-Gers, XI, 291. — XIII, 210. — Rivalité entre le Baratnau et Latour, XIII, 205-234. BARATS, de Vic-Fezensac, XIV, 221. — XXIV, 50, 56. 2 — 18 BARATS, procureur royal en Fezensac, XXI, 263. BARATS-RICHET, XXIII, 152, 153, 156. — XXIV, 52, 288, 290. BARBALANNE, de Lectoure, XX, 137. — XXIV, 31. BARBAZAN Arnaud-Guilhem de, compagnon de Jeanne d'Arc, XVI, 294. BARBAZAN, capitaine de gendarmerie de Vic-Fezensac, XXIII, 150. BARBAZAN, XI, 37. — XV, 14. — XVI, 114. — XVIII, 205. — XIX, 30. BARBAZAN de, seigneur du Tauzia, XI, 113. Barbazan, XI, 205. — XII, 308. — XXII, 274. — XXV, 77. — Château et, seigneurie, XVI, 101, 107. Burbazan-Dessus, XXII, 227. BARBE, de l'Isle-Jourdain, XXIV, 85 BARBÉ, notaire à Auch, XXII, 133. BARBÉ, menuisier de Durai, XIV, 331. BARBE-SERNIN, XI, 30. BARBEAU, de Castelnau-d'Auzan, XXI, 49. BARBEAU, d'Eauze, XI, 36. — XII, 343. BARBEAU DU BARRAN, conventionnel, XI, 36, 278. — XX, 110. — XXIII, 278. — XXIV, 07. — XXV, 101, 223. BARBÉPENNE, prêtre de Condom, XXIV, 165-168. — XXV, 187. BAHBEROUSSE Frédéric, XV, 218. BARBERY, off. mun. de Touget, XXIII, 129, 136. — XXIV, 88, 91, 253, 299301. BARBETTE, de Castelnau d'Auzan, XXï, 49. Uarbonelles seigneurie de, XIII. 213. Barbonvielle, XII, 89. BARBOT, notable de St-Clar, en 1793. XX, 118. Barbotan, XI, 110, 197. — XII, 36. — XVIII, 272. — XXIV, 77. BARBOTAN-CARUITZ comte de, guillotiné en 1794, XXII, 36. — XXIV, 141. BARCARIN, off. mun. d'Auch, XXIV. 321. Barcelonne-du-Gers, XI, 39, 4L — XVi, 120. — XXIV, 135, 148, 149. Barcelone Espagne, siège de 1462, XV, 205. — siège de 1704, XVII, 108, — Lettres de Barcelone », par Chantreau, XXV, 213-216. — Divers, XXIV, 334-343, 346, 355. — XXV, 3045, 3045, 147-148. BARCIET DE LABUSQUETTE, XII, 338. Barcuynan, cloche et château, XIII, 294. — XIV, 95. — Divers, XIV, 143, 292, 347, 363. — XV, 75. — XVI, 167, 178, 287, 288. —. XIX, 44. Bardigues Tarn-et-Garonrie, XIV, 259. — XXII, 89. BARDOU, de Montauban, XXII, 99. BARÉES, abbé de la Case-Dieu, XV, 00. Barèges, XIII, 258. — XIV, 155. — XXIII, 329-330. — XXIV, 171. Barfleur, en Normandie, XVI, 81. BARGELÉ, notable de Saint-Clar, en 1793, XX, 118. Hargnes, XIV, 254. BARGUILLE, d'Auvillars, XXIII, 96, 117. BARIC, curé de St-Arailles, XVII, 119. BARIC, seigneur de Lucvielle, XIV, 256, 257. BARJAULT, capitaine, XIV, 354. Barlet église de, à Condom, XXIV, 236, 237. BARNAVE, XII, 277. — XIX, 95. — XXIV, 223. BARON, notaire à Auch, XI, 275. — XXII, 262. BARON, boucher à Auch, XXIV, 314. BARON, voiturier de Vic-Fezensac, XXV, 166. BARRAN de, XXIII, 273. BARRAN, de Touget, XXV, 301. Barran Coutumes de,XVII, 18. — Découvertes archéologiques près de, XVII, 93. — Ravages de Mongomjnéry, XI, 311. — fondation de la Collégiale, XVII, 38. — Divers XIII, 272, 273. — XIV, 45, 72, 224. — XVI, 170. — XVIII, 83. — XXI, — 19 159. — XXI, 262. — XXII, 33, 74. — XXIII, 52, 285, 288. — XXIV, 35, 80, 125. BARRAS, de Toulon, XXIV, 189. BARRAS, XVI, 129. BARRAT de, seigneur du Grit, en Montréal, XIX, 34, BARRAU, chanoine de. Condom, XXI, 195. BARRAU, cordelier de Vie, XXV, 259. BARRAU-DANGELOS, XVII, 96. BARRAU de, XXII, 117. BARRAU Gérard, XVI, 220. BARRE de, de Condom, XXIII, 81, 278. BARRE, archidiacre, XIV, 254. BARREAU de, XVII, 119, 125. . BARRÈRE, chapelain de Castillon, XII, 305. BARRÈRE, charpentier de Lannepax, XIV, 241. BARRÈRE-ST-JUSTIN abbé, d'Auch, XXV, 219. BARRÈRE, religieux de Vie, XXIV, 21. BARRÈRE DE VIEUZAC, conventionnel, XIV, 285. — XXIII, 119. BARRÈRE, XI, 40. Barri, village du Hainaut, berceau des DU BARRY, XIV, 30. Barricades Journée des, XVIII, 232 BARRIÈRE, notaire royal, XXI, 141. BARRIEU, de Saint-Clar, XIV, 69. BARRIS de, XVII, 33, 247. BARRIS, de Montesquiou, XX, 107 — Député du Gers en 91, XIX, 146. BARRIS Abbé, curé de Castelnaud'Angles, Castelnaud'Angles, 34. BARROW, écrivain anglais , XXV, 43. BARRUE, de Pavie, XVI, 273. BARRUEL, XXV, 43, 158. BARRY du, XIV, 13-37, 328. — XVII, 31,41,44. — XXIII, 277. — Voir. DU BARRY. BARRY-LABARTHE du, XIX, 187. BARRY-MOORE, XIV, 18. Bars, XXIV, 133, Bar sac inondation de 1770 à, XI, 148. BARSILHAC sénéchal Aymeric de, XIII, 20. BARTA Arnaud-Guillaume du, évèque de Lectoure, Xll, 252. BARTAS Saiuste duj, Nouce bibliographique sur La Muse chrestieune », XI, 150-176. — Les expions d'un du, XXII, 190-200, 275. — seigneurs de Cologne, XXIV, 259. — Divers XIV, 155. — XVI, 133. BARTES de seigneurs d'Auradé, XIII, 46-48. — XVI, 225, 226, 228. — XVII, 94, 95, 114. — XVIII, 124, 131. Barthas, XI, 154. BARTHA du, XXII, 66. Bartha seigneurie du, XX, 69. BARTHE, évèque constitutionnel du Gers, Notes biographiques, XXIV, 166-170. — XXV, 167, 224-228. — A propos de son installation a Auch, XVI, 129. — XXI, 184, — XXV, 225. — Chanson, XVII, 258. — Divers XI, 278. — XII, 281. — XVIII, 177. — XX, 108. — XXII, 212, 278, 291. — XXIII, 118, 304. — XXIV, 303, 315, 316, 320. — XXV, 210, 223, 235. BARTHE Jean de la, sénéchal d'Aure, XIII, 20. BARTHE, admin. du départ, du Gers, XX, 114, 116. — de Manciet, XI, 42. BARTHÉLÉMY, Colonel à Auch, XII, 263. XXI, 178, 190." BARTHÉLÉMY de, XVII, 285. BARTHÉLÉMY DU DRACH, XIV, 302. BARTHÈRES, XXIII, 73, 82. — XXIV, 136-137. BARTHEZ abbé, vicaire de Blanquefort, Blanquefort, 34, 38. BARTHEZ, XIII, 31, 127, — XXIII, 302307. 302307. de l'Isle-Jourdain, XXV, 143. BAS Colonel de, XIII, 138-141. BASARDAN de, XVI, 291.. Bas-Armagnac, XIV, 169, 172, 215, 20 BASCHI de XVII, 109, 110. BASCULES de, XXI, 155. BASCOU de, notaire de Vie, XXI, 264, BASCOUS Jean de, XXI, 141. Bascous, XV, 37. — XVI, 89, 288. — — XVIII, 38, 39. — XIX, 30. — XXV, 180. BASEILHAC, médecin, XIV, 128. Basilhon seigneurie de, XXII, 312, Basques en Gascogne, XIV, 139. — Coutumes du pays basque, XXV, 124-135. BASSABAT de, XV, 193. — XVI, 296. — Catherine de, épouse de Lary de Latour, XIII, 227. BASSABAT-CASTETS de, XVIII, 65. BASSABAT-PORDÉAC de, XII, 86. — XVIII, 75. — XXI, 110, 238. BASSAU, off. mun. de St-Clar, 1793, XX, 117. BASSAU,., de Touget, XXV, 295. BASSILHON, charpentier fleurant in du xv° siècle, XII, 204. Bassins et bassiniers ancienne fabrique fabrique fabriciens, XIV, 321. — XVI, 32. — XVIII, 113. — Voir Ouvrerie. de, XVII, 189. Bassoues Collégiale et, chanoines de, XIV, 252. — XXIV, 143. — Légende de St-Frix de, XIX, 144. — Les eaux minérales de, XXII, 122-128. — Les loups dans la forêt de, XVI, 147. — Un combat, en 1799, dans la forêt de, XXIII, 96-97. — Divers XI, 4L — XII, 337. — XIV, 45. — XV, 23. — XXV, 164, Bastancs, XIV, 307. Bustunous, XVI, 105. BASTAHD de, XXIII, 191. BASTARD D'ESTANG abbé de, guillotiné en 1793, XIII, 83. — XXIV, 142. BASTET, de Condom, XXV, 172, Bastian camp retranché de. XIX, 178. BASTIDE, marchand auvergnat, XXIII, 85. BASTIDE-ROLLAND Gaucher de la, commandeur de Gimbrède, XXI, 139. Baslide-de-Séron, XXII, 295. Bastides origine des, XIII, 101-103. — XVII, 194-196. — XX, 96. Bastille prison de la, XIII, 142. — XV, 233, 234, 241, 242. — XVI, 178, 277, 283. BATAILLET DE RIQUE, off. mun. de Vie, XXIII, 316. Bataillon de Volontaires du Gers, XXII, 37, 50, 244. 245. — XXIII, 150, 158. BATARNAY Anne de, épouse Bernard de la Valette, XII, 239. — Ymbert de, seigneur du Bouchage, XI, 309310. — XVIII, 20, 21. — XXI, 158-161. BATBIE, d'Auch, XI, 36, 38. — XX, 110. BATS, de Gondrin, XXI, 253. — de Seissan, XI, 279. BATS de, seigneurs de la Salle de St-Jcan, en Castillon, XX, 58, 70, 71. BATUT Jean de la, prêtre de Lectoure, XXI, 145. RATZ-ARMENTHIEU Jean-Pierre de, XII, 209-219. — XV, 101-104, 106. — L'affaire Batz-Armenthieu, un faux par ordre », par Ch. de BatzTrenquelléon, XII, 376. — XV, 101 BATZ-CASTELMORE Charles de, dit D'AttTAGNAN, XI, 296. — XII, 103-118. — XXV, 323. — Voir D'ARTAGNAN. BATZ-CASTILLON de, XII, 109-116. — Origine et, fin de la maison de Batzlès-Castillon, Batzlès-Castillon, 101-107. BATZ-ESPAIGNET de, XII, 83, 213. BATZ-LÉAUMONT de. XI, 294. — XII, 215. BATZ-MIREPOIX de, XI, 32. — XII, 209211. 209211. XIII, 300. — 101. — Le vrai baron de Batz », par Ch. de Batz-Trenquelléon, XII, 211-212. BATZ-TRENQUELLKON des, XXII, 151. BATZ Arnaud de, XII, 103. — XV, 103. — Abbé Daniel de, XII, 105. — Hercule de, seigneur de Cau- 21 mont-Fimarcon, XIV, 178. — Louis de, filleul de Louis XIV, XII, 114, — XV, 103, 106. — Manaud de, dit le Faucheur, XII, 209-213. — XV, 105. — XVI, 181. — son testament, XII, 215-219. — Paul de, gouverneur de Navarrens, XII, 110-111. — Divers XII, 106-107, 113, 115-116, 190, 195. — XIII, 238. — XIV, 26. — XV, 105. — XIX, 145. — XXI, 163, 239, 255. — XXIII, 280, 281. liatz château de, XIV, 50. — XV, 101. Baubeste. XIV, 50. — fondation d'une chapellenie dans l'égilse de, XII, 112. BAUD Olivier, XVII, 133. BAUDÉ, de Goudrin, XXII, 175. — XXIV, 133. BAUDÉAN de, seigneur de Parabère, XXI, 22. — XXII, 102, 267. — Divers XVII, 241. — XXIII, 188, 192. XII, 365. — XVII, 241. — XXIII, 188, 192. BAUDON, prieur de Touget, XXIII, 143. BAUDOT, XIII, 254. BAUDOUIN, notaire à. Vie, XX, 58. BAUDROT, XIV, 22. BAUDUER abbé, XXIV, 309. — Guillaume, architecte auscitain, XIV, 240. — Divers XIV, 332. — XVIII, 252. — XIX, 166. — XXIII, 111. — XXIV, 304-306. BAUGRAND, juge de paix, XXII, 33. Bauguina, XV, 16. BAULAC, d'Agen, -XVII, 249. — XXIV, 196. — XXV, 77. BAULAC, de St-Orens-Pouy-Peti, XXV, 318. BAULAC de, de l'Isle-Jourdain, XXIV, 37, 38, 45-47. BAULAT Jean de, XIV, 175. — Pierre de, prieur de Mazerettes, XV, 226. — Divers XI, 294. — XVI, 113. — XIX, 29, 39. — XX, 52. — XXII, 92- 92- BAULE, consul de Bajonnette, XV, 264. BAULIS Jean de, médecin d'Auch, XVII, 283-287. BAUNE de la, XI, 314, — XXII, 347. BAUNE-BASCOUS de la, XXII, 140. BAUP, curé de Bézues-Bajon, XIII, 115. BAUQUIER, institutrice à Auch, an VI, XV, 50, 51. BAURENS, consul de Roquelaure, XIV, 218. Baurens, ancienne paroisse en 140. BAURÈS, de Ste-Anne, guillotiné en 1816, XXIV, 151. BAURO Raymonde de, XV, 222. BAUTHIAN, de Valenee-sur-Baïse, XXI, 55. BAUTIAN, de Saint-Orens-Pouy-Petit, XXIII, 296-300. Bautian, XIV, 232. — XX, 52, 56. — XXII, 250. BAYARD, XIV, 123. BAYCHENS de, XVI, 181. Bayeux, XVII, 128. — XVIII, 14, BAYLAC, de Pavie, XVII, 299. BAYLAC, de Touget, XXIII, 111. — XXV, 296-298. BAYLE, de Monfort, XV, 79. — Divers XVII, 249. —XXIV, 196. Baylen Capitulation de, XXV, 273. BAYLENX de, seigneurs de Peyrusse, XX, 92. BAYLIES, d'Eauze, XII, 342, — Curé de Sorbets, XIV, 254. BAYLIN Jean-Baptiste, curé de Castillon-Massas, Castillon-Massas, 115. — XX, 108, 119. — XXI, 178-179. BAYLIN, de Vic-Fezensac, XXIII, 154. — Divers XI, 40, 278. BAYILIN DE MILLET, procureur d'Eauze, en 1790, XIII, 153, 155-158. BAYOLE, médecin d'Auch, XXIII, 278. BAYOLS Guillaume de, sénéchal, XL 47. Bayonne, XII, 262, 263, 267, 268. — XIII, 106, 144-148. — XV, 207, 213, 214, 218, 222, 225, 291. — XVI, 93, 172, 22 233, 237. — XVII, 131. — XVIII, 17, 23, 26, 27, 197, 199, 203, 205, 208. — XIX, 43, 45, 53, 155-157. — XX, 46. — XXI, 47. — XXII, 30, 33, 37, 42, 72, 73. — XXIV, 78, 306, 322, 354, 355. — — XXV, 293. Bazas, XI, 249. — XIV, 43. — XV, 18, 213, 214, 218, 222, 225, 228. — XVI, 270. — XVII, 73, 74, 78. — XVIII, 17, 81. — XXIV, 130-131. — Reliques de, XVII. 259. BAZET, huissier de Lectoure, XX, 157. Bazian, XIV, 50, 107. — XVII, 25, 34, 35. BAZIGNAN, d'Eauze, XII, 174-175. prêtre de Condom, XXIV, 170. BAZILLAC de XXI, 168-169, 252. — XXII, 113, 338. Bazillac seigneurie de en Bigorre, XX, 155. BAZIN, chanoine de La Bomieu et d'Auch, XXIV, 170-172. BAZIN, chirurgien de Gondrin, XVIII, 260. — XXII, 175. BAZIN DE BEZONS de intendant dg, Bordeaux , XVI, 99, 100, 106. BÉAR, avocat d'Eauze, XII, 174-175, 362. BÉARN Gabriel de, XI, 116. Béarn Etats de, XVI 231. — XIX, 43. BÉARNAISE DE FOIX, baronne de Castelnau-en-Tursan, Castelnau-en-Tursan, 15. BÉARNÉO Bonhomme de, XX, 57. BEAUC-URE Guillaume de, sénéchal d'Armagnac, XVI, 114. Beaucaire, XIV, 254. — XV, 117. — XVII, 138. — XVIII, 26. — XXII, 163, 164, — XXIV, 15, 17, 26, 28, 127, 128. Beaucaire, en Rouergue, XVI, 75. Beauclaire, en Lomagne, XXI, 139, 218. Henri de, XI, 118, 293. BEAUIDÉAN, consul d'Auradé, XVIII, 128. BEAUDRICOURT de, seigneurs de Choiseul, XIX, 53. BEAUFORT de, XXIII, 192. REAUFORT-VENDOME duc de, XV, 109. Beaufort, XXII, 261. BEAUFREMONT Marie-Claire de, XII, 300. Beaugency trêve de, XIX, 50. BEAUGRAND, off. mun. d'Auch. XXII1, 111, 159-160. — XXIV, 313-314, BEAUHARNVIS général de, XIV, 257, BEAUJEU Pierre de, gendre de Louis XI, XVI, 176-178, 182-183. — XVIII, 30, 48, 209. — XIX, 43, 53. — XXII, 248, 251-254, BEAUJEU Anne de, XVI, 183. — XIX. 44, 50-56, 152. BEAUJEU ,religieux de Condom, XXIV, 172. BEAUJOLÉ, gendarme de Vie, XXIII, 160. BEAULIEU de, XVII, 30, 31. Beaulieu lieu dit, en Bezolles, XXIV, 18, 19. BEAUMARCHAIS Eustache de, sénéchal de Toulouse, XIII, 108. — XVII, 195-197, 203. — XVIII, 85-88. BEAUMARCHAIS, XXIV, 229. Beau-marchés, XVI, 112. — XXII, 297. — XXIII, 98, 117. — XXIV, 153. BEAUMONT comte de, XI, 239. — Elie de, avocat, XI, 29. — Jean de, vicomte d'Arberoue, XV, 205. — Moreau de, conseiller d'Etat, XIV, 26, 325. — Don Jayme de, XIX, 151. — Divers XVI, 273. — XXII, 112. Beaumont seigneurie de, XIV, 338. — XVII, 209. — XXIII, 62, 63. — — XXIV, 128, 165-166. Beaumont, en Armagnac, XL 104, 105. XX. 58. — XXII, 114, 117-120. Beaumt-de-Lézal Haute-Garonne, XXIII, 221. Beaumont-de-Lomagne, XIV, 376. — XVI, 128. Beaupuy, XXII, 99. — XXIII, 185. — XXV, 90. 23 BEAUREDON Jean-François de. XII, 125. BEAUREGARD de, XXII, 237. Beauregurd, XVII, 25. Betauvais, XVI, 81. — XVIII, 25. capitaine d'Henri IV, XIV, 205. de, XV, 232. — XXIII, 235-236. BEAUZÉE. académicien, XXIV, 216, 222, 224. BÉCANE. d'Auradé, XVI, 34. — XVUI, 38. BÉCU Anne de, XIV, 25, 28. BÉDAT du. XVI, 181, 182, 181. — XX, 09. Bédéchan, XVI, 288. BÉDÉS, de Blazieft, XXV, 183. BEDOL Pierre de, XII. 21. BEDOUT, médecin d'Auch, XVII, 287. — XVIII, 252. BEDOUT, citoyenne d'Auch, 1793, XIX, 166. BEDOUT, notaire à Jégun, XXI, 245. BEDOUT, poète gascon, XIV, 267. BEGLES, notaire à. Toulouse, XXI, 167. BEGOLE de XVIII, 68. BÉGUÉ, avocat à Condom, XXII, 302. — XXV. 317, 320. BÉ6UÉ,- père et fils, guillotinés eu 1800, XXIV, 140. BÉGUIER, curé d'Auradé, XVI, 29, 34, BÉGUIER DE MAIGNAUT, évèque de Lectoure. XII. 330. — XX, 135. Béguin, XIV, 323. BEGUINOT. général, comte de l'Empire, XII, 261. — XXII, 53-55. Bchortéguy, XV, 205. — XVI, 232. BELIARD, de St-Avit-Frandat, XX, 138. BEWN de', XV, 267. BELLAMY, prêtre de Condom, XXIV, 173-174. BELLANGER Le professeur Louis. Notice bio-bibliographique, XVII, 147152, 318-319. BELLEFOREST de, de Samatan, XIV, 185. — Consul de l'Isle-Jourdain, XIV, 333, 340, 382. — XXII, 91, 99. — poète, XXIV, 199. — Divers XX, 26. RELLEFOREST François de, auteur d'une Cosmographie. Recherches sur le lieu de sa, naissance, XV, 128. BELLEGARDE de, de Gondriu, XXII, 302. — de Montespan, près St-Gaudens, St-Gaudens, 57. — Divers XII, 236, 366. — XX, 70. Bellegarde, XIV, 107. — XXII, 270. — château de, XIII, 110. — fort de XXIV, 234. Bellegarde lieu dit, en Bezolles, XXIV, 18. BELLEGARIGE, de Monfort, XVII, 223. Belleperche abbaye de, XII, 90. BELLEVILLE de ou BONVILLE, XIX, 50. BELLIÈVRE de, XIV, 151. BELLOG de, vicaire-général d'Auch, XVIII, 185. — président du Tribunal, Tribunal, Lombez, guillotiné en 1794, XIV, 184, — XXIV, 142. — Divers XVIII, 54, — XXIII, 116. Belloc moulin de, XVIII, 90, 97, 104, 106-107. — Procès sur sa nobilité, XXII, 356-363. Belmont, XIV, 50, 52, 105. 106, 323. — XV, 56. — XX, 57. — XXIV, 152. — XXV, 166, 259, 262. ,BELSUNCE de, XIX, 135. — Régiment de Belsunce-dragons, à Auch, XIX, 135. BÉNAC Auger de, abbé de l'EscaleDieu, XV, 226. — Odon de, abbé de St-Pé, XV, 153, 222, 226. — curé de Ste-Gemme, XV, 195, 279. — Divers, XXII, 313. — XXV, 90. BÉNAC Arnaud, XIII, 273. BÉNAND Père, Recteur du collège d'Auch, XXII, 332. Benauge, comté de, XVI, 240. Bénédiction de drapeaux à SainteMarie d'Auch, en 1706, XII, 146. 24 — Bénéfices et revenus d'une paroisse, avant 89, XII, 69. BÉNÉTRIX, maître-maçon de Vie, XIV, 242. BÉNÉZECH, XXV, 313. BÉNIER Livre de comptes de Pierre, marchand à Lectoure, XXIV, 212. BENJAMIN Père, de Juillac, XIV, 42. BENOIT XII, pape, XV, 14. BENOIT XIII, pape, XV, 19. — XXIII, 144. BENOIT XIV, XVI, 265. BENOIT Docteur, professeur d'obstétrique, à Auch, XIII, 269. BENOIT, bourreau à Auch, XXIV, 67-71. BENOIT, de Touget, XXIV, 175. BENQUET, frère carme à Condom, XXIV, 236. — jurat de Vie, XIV, 217, 221, 224. — de St-Lary, XXII, 352. BENTABOLE, conventionnel, XIV, 284. — XXII, 281. BENTÉJAC, XI, 41. — XXII, 66. BÉON-ARMENTIEUX de, XV, 35. BÉON-LAPALU de, seigneurs de SaintLary, XI, 70, 314, — XII, 247. — XXII, 336-339. BÉON de, seigneurs de Troncens, XXII, 236. — succession de l'abbé de, XIX, 91-92. — Divers XI, 70, 296. — XII, 32, 33. — XIV, 359. — XVI, 235-237. — XVII, 127. — XIX, 135, 186. — XXIII, 62, 232. ... Béon seigneurie de, XXII, 70, 143. BÉRAUT, chanoine de Saint-Justin, XXIII, 58. — d'Aurens, XXV, 183. BÉRAUT OU BÉRAUD de, XI, 273. — XIII, 216. — XVIII, 109, 119. Béraut, près Condom, XI, 105. — XXI, 235. — XXIV, 167. — XXV, 320. Bercy, près Paris, XVI, 81. Berdoues abbaye de. Chroniques, XVI, 177. — Désaccord entre monastère de Pessan et abbaye, XVII, 182-183. — Accord entre comtes d'Astarac et abbaye, XVII, 189, 196. — droits et revenus de l'abbaye dans Pavie, XVII, 203-208. — XVIII, 103, 106. — actes divers concernant, l'abbaye, XVIII, 89-92, 95-98. — possessions de l'abbaye et noms d'abbés, XIX, 144. — XX, 142-146. — XXII, 356. — XXIII, 233-236. — l'abbaye à la Révolution, XXIII, 251. — Divers. — XIII, 111, 282. — XIV, 189. — XV, 222, 225. — XVI, 240, 264, 269. — XVII, 180-193, 200-202, 290. — XVIII, 101, 103, 104, 108-110, 262, 265. BERENJON Bertrand de, XXIV, 236. BÉRES, maire d'Eauze en 1789, XII, 173, 182. Bères, XII, 29. BÈRES-BASTIAN, président de la Soc. Rép. de Castelnau d'Auzan, XXI, 49, 50. BERGALASSE, consul de Montestruc, XIV, 218. Bergara défaite des Espagnols à, 1794, XIII, 255. Bergerac, XVIII, 228. BERGE, off. mun. de Touget, XXIII, 129, 136. BERGE, boulanger d'Aubiet, XVIII, 154-156. BERGERIO Guillaume de, de Villeneuve de Mézin, XIX, 33. , BERGES, d'Aignan, XI, 30. — XIV, 172. BERGES, XII, 259. — XIII, 189. — XXIV, 174, BERGEYRON, d'Auch, XII, 222-223. BERGEZ, greffier d'Auch, XI, 272, — XXIV, 306. BERGIER, XXV, 42. BERGOGNAN, XVI, 180. — XXIII, 231. BERGOGNAT, de Monein, XIV, 302. BERGOUGNÉ, d'Avensac, XXIV, 76. BERGOUGNON, de Valence-sur-Baïse, XXI, 55. XVII, 108. Berlin, entrée des troupes françaises à en 1806, XVI, 70-71. BERME Jacques de, XVI, 168. — 25 — BERNARD, comtes d'Armagnac. — BERNARD III, XV, 210-212. — BERNARD IV, XIV, 45. — XV, 215-217. — XVIII, 82. — BERNARD V, XIV, 234, — BERNARD VI, XIV, 45. — XVI, 111-112. — XVIII, 82. — XIX, 29. — XX, 97. — XXII, 113, 252. — BERNARD VII, XI, 248. — XII, 380. — XIII, 13-32, 193, 194, 196 — XIV, 370. — XV, 103. — XVI, 170, 174, 294. — XVII, 314-315. - XX, 100, 105. — XXL 34 - XXII, 252, — Lettre de Bernard VII aux Lyonnais, XV, 27. — BERNARD-TUMAPALER, XV, 144150, 155, 159, 160. — XXII, 181. BERNARD, comtes d'Astarac XIII, 103, 111-112, 236. — XVII, 197, 199, 203. — XVIII, 89, 101. BERNARD DE BÉARN, XIV, 301. — XV, 117. — XVII, 129. BERNARD-EZI IV, sire d'Albret, XIV, 306. BERNARD DE L'ISLE, XXII, 88. BERNARD DE LASSE, XIII, 238. BERNARD DE SENARENS, XIII, 250. BERNARD, abbés, — de Berdoues, XVIII, 90. — de Gimont, XVI, 219. — de la Case-Dieu, XVI, 39. — de Saramon, XV, 152. Bernathaur château de, XVI, 69. Bernay Eure, XXIII, 146. Berne. Suisse, XXIV, 334, BERNÈDE, consul de l'Isle-Jourdain, XIV, 207-208. — XVI, 180, 181. 294, — XVII, 314, BERNÈDE de seigneurs d'Arblade, XVII, 309. Bernède, XVI, 171. — XVII, 310. — XXIV, 135. — XXV, 104, Bernède-Brassal, XVI, 181. BERNÉS, off. mun., Miranues, XIII, 273. — prêtre de Toulouse, XXIV, 39. BERNET Raymond du, XV, 219. BERNET, de Montauban, XXII, 258. Bernet, XII, 27, 29. BERNI de, consul de Fleurance, en 1400, XIX, 119, 122. BERNIÉ, de Monfort, XVII, 223. BERNIER, capitoul de Toulouse, XXIII, 190, 192-195. BERNIÈS, commissaire du Directoire, à Monfort, XVIII, 166. BERNIN Vital de, de Vic-Fezensac, XIV, 108. — XXI, 262. Bernin chapellenie du, XXV, 260. BERNIS, XI, 42. — XXII, 237. BÉROT, d'Auch, XXIV, 313-314, — collectionneur, de Cologne, XIII, 126. — XXIII, 234. — XXIV, 258, 259, 279281. BÉROT de, XV, 278. Bérous, XVI, 209. — Voir Esbérous. BEROY, notaire-royal à Vic-Bigorre, XVI, 99, 101. BERRE DE COLOGNE de, chevalier de Saint-Jean de Jérusalem, XIII, 116. Berrac, XXII, 101. BERRARD, journaliste, XXV, 158. BERRY duc de, XVI, 74, 77, 121, 108, 170. — XVII, 29, 134, 136. — XIX, 34. BERRYER, XIV, 25. BERTELOT, religieux de Fontevrault,. XV, 268. BERTHAUDY Gabriel de, avocat, XII, 300. BERTHIER prince Alexandre, grand veneur, XVI, 148. BERTIN Dominique, menuisier et les stalles de la Cathédrale d'Auch, XVII, 256-257. BERTIN, chirurgien, à St-Orens-PouyPetit, XXIII, 296. — XXV, 318. — contrôleur général des finances, XIV, 325. — bourgeois d'Auch, XiV, 250 BERTOL général, XII, 265. BERTRAND de Béarn, XIV, 306. BERTRAND CADOLHA, de Cabas, XIII, 239. BERTRAND DE GOTH. Voir CLÉMENT V. BERTRAND, prieur des Jacobins de Condom, XXII, 61. — 26 — BERTRAND DE TOUJOUSE, compagnon de Jeanne d'Arc, XXI, 35. BERTRAND, XVII, 208. — XXIV. 135. BERULLE Cardinal de;-, XVIII, 75. Besingnaud, XV, 17. Besino, identilié avec Vic-Fezensac, XIII, 164-167. BESMANNS de, XV, 235. BESMAUX faux-marquis de, XII, 117. — Divers, XIX. 126. près Pavie, XIV, 358 — XVI, 209 — XVII, 179, J83, 185, 180. 201-202. — XVI11, 105 - XXIII, 230238. — en faveur de abbaye de Berdoues, XVII, 184-192. de, XXIII. 70, 89, 80, Voir BEZOLLES. BESOMBES, notaire à Passarieu Lot, XXIII, 81. BESON, notaire à Lagarde, XXII, 320. BESSAIGNET, XIV. 331. — XXIII, 289. BESSE, de Condom, XXV, 171. BESSIÈRES, XXIV, 330. BÉSUES Jean de, abbé de Sire, XV, 222. Bésaes, ou Bczucs-Bujon, XII. 27. — XIII. 115. — XXIV. 154. — XXV. 97. RETBÈzr de de Pavie, XVIII, 110. Belbèzé ou Belbézé seigneurie de , XIX, 30. — XX. 70. 98. — XXIII, 71, 75. Betcare. XVI, 287. 288. — XVII, 192. BETCAVE-AGUIN de. XVI. 291. BETH, gendarme à Plaisance, XI, 39. BETHUNE duchesse de XV, 232. BETOULIN de, XIV, 215. Betonlin seigneurie de, XVI, 231. BÉTOUS, de Callian. XXIII. 163. BÉTOUS de, XVI. 181. — XXI, 121. Bétons. XV. 219. — XVI. 181. — XVIII. 55. 182-184. — XX. 101. Betplan. en Rigorre. XL 309-311. — XIV, 106. Betplan seigneurie de, XX, 154. — XXI, 153, 155, 157, 158, 160-163, 237, 242, 245-250. — XXII, 132, 143, 143, 226, 227, 233-236, 238-240, 335, 338, 347. — Les croquants de, XXII, 129. BÉTRICOT seigneurie et château de, XIX. 37. — XX, 70-72. BEUGÈLES, consul de Villefranche d'Astarac, XXV, 92. BEVENION de, XVII, 44, BEYRIE, député de Castets d'Armagnac, XIV, 180. BEZAUDUN de XVI, 238. Bézèril, XXII, 100, 262. RÉZIADE de, XXII. 138. BEZIAN-SAFFUANÉ. homme de loi, XIX. 66. BÉZIAT, de Montréal, XL 41. BÉZIEY, de Castelnau-d'Auzan, XXI, 49, 50. BEZIN, Etienne de'-, juge en Agenais. XI, 47. BEZOLLES Jean de, seigneur de Crastes, XIII, 207, 210. — XV, 35. — seigneurs de Mouchait, XL 57. — seigneurs de Lagraulas, XVII. 209-213. — Françoise de, épouse de Laryde Monlezun. XIII, 206-228, 235. — Oder, de, archiprêtre de Condom, XXII, 116. BEZOLLES-GONEIX Charles de. XXIV, 30, 31, 126, 129, 131. Bezolles La seigneurie et les seigneurs de, XXII, 111-121. — XXIIL 62-05, 280. — XXIV, 128-129. — Monographie de la paroisse de, XXIV, 15-35. 125-132. — fondation d'une chapelle dans l'église de, XXV, 93-96, 98. — découverte archéologique à XXL 19. — château-fort de. XXII, 111-112. — Divers XI, 296. — XII, 111. — XIV, 104 — XV, 38, 42. — XVI, 152. — XIV. 29. — XX. 97. — XXII, 301, 315. BEZOLLES. de Mauvezin, XX, 29. BIAMOURU, menuisier d'Auch, XX, 15. Biane seigneurie de}, XIV, 26. — XVII, 119. 121. BIAUTE, off. mun. d'Eauze, XII, 174175. — 27 Bidet. XIV, 230. — chapellenie. du. XXV, 260. Bien public ligue du, XVI, 71, 175. — XVII. 134-136. — XVIII, 15-16, 207. — XX, 125. — XXI, 158. — XXIII, 308. Biens nationaux, XII, 111, 337. — XXIII, 302-311. 316. — XXIV, 84-85, 90-93. — XXV, 258-270 BIÈRE, seigneurs de Lamarque, XXI, 253. Bière seigneurie de. XIV, 15. — XVII, 25. — XXII, 70. BIEUSAN de, XX, 143. BIÈVRE de, XIV, 34, Bigame philosophie de la femme d'un, XVT, 108-109. BIGARAY de XVII, 95. BIGNON, prieur des Carmes de Pavie, XVI, 270. Bigarre comté de, XIII, 108-109. — XVI. 127. — XVIII, 16. — L'art en, XV, 285. — assemblée des Etats de XIX, 39. — XXII, 227. — les gloires de la. XV, 282-283. BIGOS, curé de Bajomiefte, XIV, 356. — jurai de Condom, XXV, 316-319. BIGOT DE PRÉAMENEU, ministre des Cultes, XIV, 57-59. BIGOURDAN, de la. Soc. Montagnarde de Fleuranee, XIII, 80-81. BILA Raymond de, capitaine gascon, compagnon de Jeanne d'Arc. XVI. 294. Bilhau Espagne, XII, 265 — XIV, 139. — XXIV, 322. BILHAU, notaire à Nogaro. XIV, 369. — XVIII, 46. BILHAU DE BOYER, notaire à Eauze, XVIII, 49. BILHÈRES de, seigneur de Camicas, XVI. 89. — XXII, 116-117. BiLrtÈRES-LAGRAULAS Jean de, évèque de Lombez, XVIII, 199, 203. — XXIII. 228. — Jean de Cardinal de St-Denis un diplomate français sous Louis XI et Charles Charles », par Ch. Samaran. XXIII, 245-246. Bilhères, XVII, 31,0. BILLAUD-VARENNES, XIV, 285. — XXII, 281. — XXV, 106, 305. Billets de confiance, XXIII, 336. — XXIV. 100, 177-181. — XXV, 119. Billet de logement de soldat, au xviie siècle, XVIII, 220. BILSAN de, XVII. 185. BINET DE COURTEMONT, avocat. XXII. 226. BION, prêtres de Condom, XXIV, 237240. 237240. XVI, 270. — XVII, 107. BIRAN de, seigneurs de Casleljaloux, Casleljaloux, 97. 159. — XIII, 225. — seigneurs de Saint-Lary, XX, 140147. 140147. seigneurs de Gajan, XfX, 37. — seigneurs de Roquefort, XV, 3335. — Barthélémy de, XI, 309. - Bertrand de, chanoine d'Auch, XVI. 160. — Gaillard de, chanoine do Lectoure, XV, 35. — XVI, 159. — Guillaume-Arnaud de, évèque do Tarbes. XX, 114. — Mabille de, XI, 308-309. — XII. 77. — XXII, 340. — Divers XVI, 281. — XVII, 22, Biran, XIII. 299. — XIV, 26, 50, 174, — XV, 191. — XVII. 63, 98. — XX, 65, 110. — XXI, 154, 238. — XXII. 107. — XXV, 259, 262. — piles de', XXV, 66. BlRON Maréchal de, XIV, 206, 333. — XV, 261. — XVIII, 223-235. — XXI. 167. BISCOURS, de St-Domingue, XVI, 106. Bisons seigneurie de, XXII, 133. BISTOS, chanoine de Lombez, XIV, 138. BlTE, de Castillon, XIV, 218. BITOUS, secrétaire du chapitre de Lectoure, XX, 138. Bivès. XIX, 75. BLADÉ XIV, 140, 141. — conte 28 — populaire inédit La Passion de XIX, 97-98. Bladum », blat », sens de ces mots, XI, 177-182. BLANC, consul de. Monfort, XVI, 133. BLANC-CARPENTRAS, serrurier de Condom, XXI, 233. RLANCHEI-ORT de, XV, 125. — Jean de, conseiller de Charles VIII, XVIII, 32. BLANDA, bailli de Saint-Lary, XX, 150. — XXII, 346. RLANDIGNÈRES Madame de, Ursuline d'Auch, XIX, 88, 89. BLANQUE, XVI, 267, 269. BLANQUEFORT Maréchal de, XII, 264. — Amatvin de, moine de Gimout, XVI, 215, 222. — Guillaume de, moine de Giinont, XVI, 221. — Jourdain de, XVI, 210. — Martine de, abbesse de Goujon, XVI, 41, 12, 224, — Vital de, XVI, -il, 216, 218, 222. — Donations des Blanquefort à l'abbaye de Gimont, XVI, 217-219. — Divers XVI, 216-227. Blanquefort, XIII, 45-46. — XVI, 1315. 25, 36-38. 130, 214-227. — XVII, 95, 96, 230, 232. — XVIII, 124, 130133. Blaye siège de pendant les guerres de. religion, XI, 200. — XIX, 53. Divers XV, 201. — XVI, 98, 239. — XVII, 210. — XVIII, 20, 27, 197, 199. — XXII, 120. Blaziert, XIX, 84. — XX, 126. — XXII, 19, — XXIV, 236. — XXV, 182-184. BLAZY de, XII, 133. — XX, 44. — XXI, 108. — XXIII, 182, 183. BLIN, de Callian, XXIII, 163. Biais, XXV, 33. — Etats de, XXIII, 225. BLONDEL, XX, 44. BOALI, notaire à Lectoure, XXIII, 81, BOE Pierre, vicaire de Pavie, XVIII, 102. BOÉMONU, comte de XX, 142, 149. BOETTI, orafotien de Condom, XXIV, 240. Bohémiens du pays basque, XI, 130140. Boiseries du xviiie siècle, à Bordeaux, XI, 224, — XV, 284, — du Marquis de Mirait au Castéra-Verduzan, Castéra-Verduzan, 237. — de la Cathédrale d'Auch, les serviettes », XVIII, 250-258. — remarques sur quelques motifs, XXIII, 173-181. — boiseries anciennes de l'église de Pibrac, XV. 132. ROLSJOLIN de, XXIII, 35. Boissye seigneurie de, XXII, 305. BOJAT de, conseiller au Parlement, XVI, 279. Bolbone monastère, de XVII, 34, BOLDUGUAT, trésorier de Guyenne, XV, 121. BON-REYNAUD, procureur-syndic de l'Isle-Jourdain, XXV, 298. BONA de, XVII, 187, 192. Bonaguil château de, en Agenais, XIX, 69. — XXI, .15. — XXIII, 214215. BONAL Hugues de, XX, 100. BONAPARTE, XXII, 243. — XXIII, 107. — XXIV, 329, 330, 334, — XXV, 158, 161. — Lucien, ministre de l'Intérieur, XXIII, 122. BONARII, d'Auch, XII, 260. BONARDELLE Madame, XXV, 57. BONAS Marquise de, XIX, 125-139. BONAS, chasseur de loups, XVI, 148. Bonas, XIV, 218. — XIX, 174, — XX, 98. — XXIV, 127. RONDÉTY, vicaire de Goujon, XVI, 51. BONENCONTRE de, XXII, 321. RONET D'AUMENSAN, chanoine de VicFezensac, XIV, 102. RONET DE SAINT-GRESSE. XVII, 240-257. — XIX, 185. RONET, au Gasion, près Auch, XVHI, 220. Bùneu, XI, 208. , 20 de, seigneurs d'Endoufielle, XVII, 294. BONHOMME, évèque d'Aire, XV, 213. BONHOMME de, notaire de l'Isle-Jourdain, XX, 29.. BONIFACE VIII, pape, XIV, 296. — XV, 225. — XVI, 111. BONNAFOUS de, XII, 87. BONIFACE IX, pape, XV, 17, 18. BONNAMY, vicaire-général et maire de Condom, XXIV, 241-244. — d'Auch, XXV, 174, BONNARD, de la Soc. mont, d'Auch, XV, 49. — XXV, 310, 314. BONNASSIES abbé, d'Auch, XXIV, 309. BONNAY Jean de, sénéchal de Toulouse, XV, 118. BONNE D'ARMAGNAC La Bienheureuse », par le corme de Dienne, XIII, 193-196. BONNE DE BERRY, comtesse d'Armagnac, XVI, 170. BONNE-CARRÈRE, diplomate; XXIV, 231. BONNE DU COSSE, XXIV, 33. BONNE, jacobin d'Auch, 1793, XIX, 165. — XXII, 38. — XXIII, 160-164, 171. — XXIV, 322. BONNEAU, prêtre, XVIII, 119. BONNEFONT de, seigneur du Lyet, XII, 87. — XXII, 20. — chanoine de Lectoure, en 1365, XX, 83, 134. — supérieur du Séminaire de Condom, XXV, 170. BONNEFONT-BOUTAUD, XXII, 168. Bonnefont abbaye de, XV, 222, 226. — XVII, 184. — XXI, 137. BONNEGUIRE de, évèque d'Arras, XXIV, 162. BONNEMAISON, de Lussan, député en 89, XIII, 188. BONNET, commandant de la garde Nationale, XVII, 220, 223. — XXI, 184, — guillotiné en 1817, XXIV, 151. — —de Riguepeu, XVII, 30. — de StArailles, XVII, 117, 120. — Divers XXIV, 39, 143. BONNKVAL de, XVTlI, 226. de, XIX, 38. BONNIER, plénipotentiaire français, XIII, 259. Bonrepaux seigneurie de, XVII, 96. BONREPOS de, XVI, 39. Bonrepus seigneurie de, XXII, 90. BORDALES, curé de Riguepeu, XVTI, 35. BORDALI Vital de, XIV, 267. BORDAZAT, XXII, 237. Bordeaux. boiseries du XVIIIe siècle, XI, 224. — collège de Guyenne, XI, 162, — cour du Prince Noir, XVI, 120-124. — entrée de Charles de France, en 1469, XVIII, 16-17. — de la Reine de Navarre, en 1581, XVIII, 231. — de Charles VIII, en 1487, XIX, 53. — Siège de 1653, XXI, 250, 251. — inondation de 1770, XI, 140150. — usage de la langue française au xiva siècle, XI, 222. — arrêts du Parlement, XII, 363. — XIX, 159. — XXII, 42, 66, 67. — XXV, 51, 191, 192. — Divers XI, 28, 109, 158, 249. — XIV, 256. — XV, 84, 270, 271. — XVI, 119, 176, 187, 193, 194, 201. 237. — XVII, 73, 74, 78, 101, 104, 210. — XVIII, 23, 28, 70, 197, 205. — XIX, 15S. — XX, 129. — XXI, 117. — XXII, 65, 308. — XXIII, 55, 278. — XXIV, 240, 306, 321. 324, 325, 327. — XXV, 16, 104, 156. BORDEL Pierre de, consul de l'IsleJourdain, XVI, 42. BORDENAVE, de Roquefort-de-Marsan, XXII, 298. salle de, en Lagraulet, XVTII, 76. BORDÈRE, off. mun. de Vic-Fezensac, XXIV, 50. — XXV, 263. Bordères, XII, 143. — XIII, 113, 236, 238. BORDES Pierre des, d'Astaffort, XXI, 136. — Bertrand des, Cardinal-évêque Cardinal-évêque XXI, 136-137. 30 — BciRDEs de, Guillaume, évèque de Lectoure, XV, 228. — Recteur du Collège d'Auch, XXII, 328. — seigneurs d'Avezan, XX, 56, 58. HORDES DU HAGET de XIX, 145. BORDES Antoine, soldat, XIV, 133, 191. — cordelier de Nogaro, XVIII, 59. — avocat à Castelnau-RivièreRassc, XIV, 224. — off. mun. de StClar, en 93, XX, 117, 118. — seigneurs de la Bastide, XIV, 323. — Divers XXII, 139, 244. — XXIII, 262, 277. — XXIV, 290. Bordes, XVI, 181. BORDIS, de Vic-Fezensac, XV, 57. RORDON, XXII, 258. BOREL, médecin à Condom, XXIV, 172. — prêtre, à Condom, XXV, 171. BORIA de. XVIII, 119. BORNESIAN de, seigneur de Lainezan, Lainezan, 37. RORNO, off. mun. de Pavie, XVI, 274, — XVII, 295, 290. — XVIII, 111, 112. BORTAYRES, guillotiné en 1813, XXIV, 151. Rose du, chanoine de Vic-Fezensac, XIV, 102. — Divers XVI, 182, 183. Base seigneurie, du, XXIII, 234-237. BOSCREDON, vicaire de Ginibrède, XXI, 221. BOSONIS, avocat à Tarbes, XVI, 94. liuSKCDON Jean de, sénéchal d'Armagnac, XXII, 254. Bossu, secrétaire du Cardinal d'Ossat, d'Ossat, 172. BOSSUET. XII, 114, 115. — à Condom, XIV, 42. — XV, 231-234. BOUBLE, capitoul de Toulouse. XXIV, 202. ROUBÉE, montagnard d'Auch, XVIII, 104. 119. — XIX, 165. — XX, 42-51. 108, 110. — XXI. 176. — XXII, 38, 124, — XXIII, 111, 160, 171. — XXIV. 322. ROUBÉE, off. mun. d'Eauze, XII. 174, 175, 282. — XXI, 50. BOUBÉE, de Pavie, XXII, 357. — de Vic-Fezensac, XXI, 268. BOUBÉE DE BOY, XVIII, 109. — XXIII, 34. ROUBÉE-BROUQUENS, XXII, 334, 354. ROUBÉE DE LACOUTLRE de, XI, 29. — XVTI, 244. — Odet de, avocat de la Sénéchaussée d'Armagnac, â Lectoure, XXIII, 85. Boucagnères, XVIII, 93. BOUCHAGE, du;, XXIII, 308. Ilouchain, XVIII, 26. BOUCHEPORN de, dernier intendant d'Auch, XI, 16. — XII, 156. — XIII, 187. — XXIII, 21, 125. BOUCHOTTE, ministre de la, guerre en 1793, XIII, 251, 253. ROUCHUL, de Condom, XXV, 174. Bunconne forêt de, XIV, 34, 207, 262. — XXII, 308. BOUDES, consul de Verduzan, XIV, 218. ROUDET, curé de Clermont-Savès, XXIV, 40, 49. Buudrac, XI, 322. — XIII, 236. ROUDRi, de Condom, XXI, 233. ROUÉ, notaire de Pavie, XVIII, 109117. — off. mun. de Vie, XXIII, 153. — XXIV, 50. — prêtre de Condom, XXV, 172. Boué seigneurie de, en Armagnac, XXV, 90. BOUGLON, consul de Sos, XX, 60. Bougos grange de en Clermont, XV, 56. BOUILHET, de Nogaro. XI, 38. Bouithon salle de, XVTI, 209. Bouillas abbaye de, XV. 222, 228. — XVII, 181. BOUILLE, XXV, 292. — de, XIV, 19. ROUILLEROT, représentant du peuple, XXIII, 39, 41, 111, 146, 151, 166. — XXIV, 254. 284, 289, 322-324. BOUILLON Cardinal de. XII, .50. XXIII, 143. - si - BOUILLON H'ENGALIN, capitaine du Bataillon patriotique du Gers, en 1789, XXII, 66. — duc de, XII, 252. Bourr, près Nogaro, XV, 149. — XVI, —113. — XVII, 302-315. — XVIII, 37, 38. — La Révolution à, XVIII, 176184. — Voir Notre-Dame de Bouit. Bouit-Juzan seigneurie de, XVIII, 48-52, 173. — XX, 62. Bouit-Soubiran seigneurie de , XVIII, 52-55, 173, 174. Boulan couvent de XX, 62. BOULANGE», XXV, 44, 203, 212. Boulangers condamnés pour fraude, XVIII, 154-156. Boulangers d'Auch Doléanees des, XVIII, 244-248. Boutaur, XI, 38. — XVIII, 262. — XX, 134. — XXIV, 152-165. BOULE André, artiste, XXIII. 103105. 103105. en Armagnac, XX, 58. BOULLE meubles de, à Auch, XVI, 64-65. BOULOGNE Jacques de, XXII, 89. Boulagne-sur-Gesse, XIII, 238. — XIV, 154. Boulou le, XVII, 152. — XXII. 50. Boulouch, XVI, 181. BOULOUIX de, XX, 58. BOUQUET, du Conseil du département du Gers, XXV, 182. BOURBON ducs de, XVI, 74, 75, 80, SI. — XVII, 130, 136, 138. — XIX, 50. — Cardinal de, XXII, 57. — Jean de, évèque de Nîmes, XXIII, 228. — Pierre de, sire de Beaujeu, voir BEAUJEU. BOURBON-CONDÉ Louis de, XI, 20. BOURUÈS, de Jegun, XVII, 33. BOURDEAU, auteur du Manuel de Géographie historique, XXIV, 191. Elie de, archevêque de Tours, XVIII, 199. BOURDENS, d'Auch, XI, 28, 30. — XII, 143. — XXIII, 146. BOURDERE, de Vie-Kezensac, XXIII, 153, 154, 321, 324. BOURDON, XXIV, 220. BOURDON DE LA CRONIÈRE, conventionnel, XIV, 285. BOURG du, XIV, 15. — XIX, 30. — Voir DUBOURG, gouverneur de L'Isle-Jourdain. Houry, XIX, 53. — XXII, 232. — XXIII, 75. BOURGADE, de Lectoure, XIII, 66. BOURGEOIS Louise, dite BOURSIER, accoucheuse de la Reine, XIII, 260. Bourges, XVII, 132. BOURGOGNE ducs de, XVI, 74, 77, 89. — XVII, 29, 136, 139. — XVIII, 199. — passage à Auch en 1701, XXI, 104. BOURGOING, ministre plénipotentiaire a Madrid, XXIV, 217, 228, 229. BOURGUIGNON, de Catonvielle, XXIV, 91, 92. — de Touget, XXV, 295. BOLIRIDEU, bourreau de Toulouse, XXIII, 264, BOURJOT Jean-Joseph, prêtre de Condom, Condom, 172-174. BOURLIET, notaire à Vic-Fezensac, XIV, 179. BOURRÉ Jean, secrétaire d'Etat sous Louis XI, XVI, 79. — XVIII, 18. Bourreaux sous l'Ancien Régime diverses fonctions, rétributions, matériel de justice; les dernières exécutions dans le Gers, XXIII, 205272, 205272, 336. — XXIV, 59-82, 100, 133-161, 210. BOURROULHAN de, XVT, 183. — XVII, 35, 303. — XVIII, 44, 54, 174. — XXI, 240. Bourrouilhan, XVT, 108, 180. — XVII, 314. — XXI, 40. — XXII, 299. BOURRUST d'Auch, XXIV, 311. BOUSIGUES, de Taybosc, XIV, 35K. — — curé de Hachan, XIV, 254. — notaire de l'Isle-Jourdain, XX, 26, 110. BOUSQUA du, XXII, 199. BOUSQUET DE VERLHAC du, XXII, 324, 32 — BOUSQUET du, XXIII. 74, 78-81. — XXV, 79, 80, 91. BOUSQUET, conventionné], de Mirande, XIII, 33. — XVTI, 219. — XXIV, 322. — de XXIII, 296. Bousquet, XIV, 50. BOUSQUIER, consul de Monfort, XV, 264, 274. — XVI, 132. Boussac, XI, 30. BOUSSORTS de, XXII, 337, 338. BOUTAN, médecin d'Auch, XIII, 33 — consul de Roquelaure, XIV, 174. Boutel le, XIV, 50. — XXII, 114. BOUTIN de, XXII, 151-156. BOUVARD, astronome, médecin de Paris, XIII, 128. — XIV, 128. Bouvines, XXIV, 334. BOUZET Bertrand du, seigneur de Roquepine, XIII, 225. — Charles du, baron du Castéra, XVIII, 65. — Michel du, seigneur de Marin et de la 229. — XIX, 129, 137. — Pons du, jurat de Condom, XXV, 316. — seigneurs de Podenas, XXII, 59, 101. — Divers XII, 363. — XV, 269, 275. — XVII, 105. — XXII, 95, 101, 307, 311, 313, 314. BOUZET DE ROQUEPINE du, XXIII, 273280, 298, 335. — Rose, prieure du Paravis, XXV, 192. Bouzon-Gellenave, XV, 150. — XXII, 297. BOY. curé de Gironde, XI, 147-148. — chirurgien de Tannée du Rhin, XXII, 48. BOY de, XVI, 262. — seigneurs de Lartet, XVIII, 100. BOYE, curé d'Auradé, XVI, 34. — député de Jegun, en 1632, XIV, 225. Boye, en Pavie, XVII, 178. BOYER, d'Eauze, XII, 174, 175. — de Mirande, XXIV, 72. — de Mouchan, XI, 57. — député de Valence en 1632, XIV, 218. — XXI, 55. — XXII, 302. — notaire à Valence, XXIV, 32. — chirurgien de l'Empereur, XIX, 147. journaliste, XXV, 159. — général, XXII, 50. BOYS du, consul de Gitnbrède, XXI, 143. BOYSONADE, XXIII, 67. Boyssède seigneurie de, XVIII, 70. BOYTEL de, XXV, 77. BOYTIER de, XVII, 246. BRACH Pierre de, poète bordelais du XVIe siècle, XI, 158. Bragayrac seigneurie de, XVI, 17. — XVTI, 99. — prieuré, XXV, 189. BRAGERAC Nodon de, XVT, 128. BRANET Austinde, commissaire de Castin, XIX, 104. — consul d'Auch, en 1789, XII, 162. — curé Castillon-Massas, XXII, 355. — d'Audi, XI, 297. — XXIII, 221, 224, 263. — XXIV, 301-331. — de St-Lary, XXI, 243-244, 245. — XXII, 139, 225, 228, 338, 346, 351, 354, — Divers XI, 29, 30. BRANTÔME, XIV, 123. Braou chapelle de, dans Condom XXIV, 236. Brassac seigneurie de, XIII, 213. Brassempouy Landes, XIII, 289. Brumeux, XIV, 302. BRASSIER DE LA PLANE, XXIII, 143. Bratz seigneurie de, XIV, 338. — XXII, 318. BRAUDE Rodolphe de la, abbé de SteDode, XV, Brax château .et seigneurie de, XII, 226. — XX, 60. BRÉHAUT de, XXI, 194. BREIL du, XIX, 55, 151. Brème, XII, 302. — XXIV, 325. brenade », XXIII, 54. Brenens, XI, 45. — XIX, 25. BREOTEN, prêtre à Bordeaux, Bordeaux, 41. BRÉQUIGNY, XII, 210. — XV, 104. Brescia, XVII, 86, 87. — 33 BRESCON de, XIII, 189. BRESSE, off. mun. de Condom, XXI, 231. BRESSOLES de, vicaire-général de Bossuet à Condom, XIV, 42. — XXII, 298. — général Cicé de, XXIII, 100. Bretagne Ducs de, XVTI, 133-139. Bretayue-d' Armagnac, XIV. 180. — XVI, 178. — XVIII, 49. — XXI, 117, 118. BRETEUIL. de, ministre de la guerre,. XII, 148. Brétiguy traité de, XI, 109. — XVI, 122, 123. — XVII, 312. BRETON, consul de Monfort, XV, 264, 280. — XVTI, 223. — notaire à. StLary, StLary, 242. — de Vie-Fezensac, XXIII, 155. — XXIV, 253. Bretons, XIII, 273. XVI, 224. — XXII, 270. BREUILS, de Pavie, XVIII, 118. BRÉZÉ Pierre de, sénéchal Normandie. XVI, 77. — XVII, 128-130. Briançan comté de, XIV, 243. — XVI, 75. BRIC, notaire à Auch, XVTI, 28. BRICHAS, notaire de Pavie, XVII, 112. BRIDIERS DE VILLEMOR de, XXII, 313. BRIENNE de, connétable Raoul, XVI, 114. — archevêque de Toulouse, XX, 29 BRIÈRE DE MONDETOUR, XIX, 92. BRIFFAUT, notaire à Fort-Dauphin, XVI, 103. Brigneunntt, XXII, 90 Brimant, XII, 363. BRIQUET Robert, XVI, 128. BRIQUEVILLE DE LA LUZENNE de, évêque évêque Cahors, XX, 46. BRISAY DE DENONVILLF. de évêque de St-Bertrand-de-Commingcs, XXI, 107. BRISSAC de, XVIII, 220. - XXV, 55. BRISSOT, XI, 29. — XXIV, 223.. BRIVAZAC Hubert de;, lieutenant de louveterie dans le Gers, XVI, 147. BROC, jurat de Condom, XXV, 317. BROCA, de Pavie, XVIII, 117. BROCA de, XIX, 187. — seigneurs d'Esberous, XX, 106. BROCAS, vicaire de Villefranche-d'Astarac, Villefranche-d'Astarac, 92. — à LabastideSavès, LabastideSavès, 240 BROCONAT, de Condom, XIX, 65. — abbé, curé constitutionnel de Grazimis, Grazimis, 174-178. BROGILE duc de, XV, 168, — XX, 45. BROL du, XVTI, 190. BRONCARET, secrétaire de l'intendant d'Etigny, XVT, 65. BROQUA abbé, curé de Nogaro à la Révolution, XVIII, 170. — XIX, 187. —. Comte de, chevalier de Pugeus, Pugeus, 203-204. — procureur, XIV, 180, 181, E82. RROQUÉ, curé de Nogaro, XVIII, 187. Ilroquens, XII, 21. BROQUÈRE, échevin d'Auch, XXIII, 259. BROQUEVILLE Essai généalogique sur la famille de, XV, 262-280. — XVT, 129-142. — Jean-Joseph-Bernard de maire d'Auch, XVI, 129. — maire de Monfort, en 1790, XVII, 224. — XXI, 184. — descendant de du Bartas, XI, 153. — Divers XIV, 220. BROUILH du XIX, 39. Brouilh le, XIII, 273. — XVII, 21. — XXIV, 34. — monastère, XVII, 285. — lieu dit, en Lannepax, XIV, 50. Broitquens, XXII, 352, BROUSSE, d'Auradé, XVIII, 139. Broustana seigneurie de, XXIII, 62. BRUA, de Simorre, XI, 38. BRUT, lieutenant de l' XIV, 199. BRUCH de, XII, 87. BRUEL, bourreau d'Auch, XXIII, 264. — consul de Monfort, XVT, 134. BRUGÈLES Dom, XXIV, 191. — ses erreurs. Erreurs. — sa condamnation comme faussaire, XXII, 304. 3 34 — BRUCELLES, de Simone, XXIII, 226. BRUGÈRE-CHALABRE de, XXII, 118. Bruguens, XII, 88, 138. — XV, 275, — XXIV, 136. Bruilthois vicomté de, XII, 302. BRUMONT-METTE, de Viella, XX, 37. BRIN de, XXIII, 188-189. — Arnaud de, consul de Vie-Fezensac, XX, 103. BRUN Arnaud, abbé, XV, 222. — Bernard, évèque d'Aire, XV, 19. — notaire, en Astarac, XIII, 238. — d'Auch, XIX, 165. — Divers, XXII, 91. BRUNE Maréchal, XI, 203. BRUNEKNCH, notaire, XX. 100. BRUNET, consul de Monfort. XVI, 139. - jurat de Vie-Fezensac, XIV, 217, 221, 224 — XV, 57. — docteur, XIV, 175. — off. mun. d'Eauze, XII, 182. — religieux de l'ordre de St-Jean de Jérusalem, XIII, 115. — XVT, 97. — de Touget, XXV, 300. — Divers XI, 37. — XVII, 32, 43, 118. BRUNET-BARIGNY, notaire a Fort-Dauphin, XVI, 102. BRUNIQUEL de, XV, 124. BRUNSWICK, XXIV, 317. — XXV, 159. BRUSQUENAN, off. mun. d'Arreau, XIX, 65. BRUSSAULT, curé le Roques, XXIV, 125. BRUX, XVT, 225. — de Mauvezin, XIX, 66. Bruxelles, XXIV, 306. — XXV, 130 BUADE DE FONTENAC de, XXII, 94. Buch, XVI, 175. — XVIII, 98. — XX, 126. BUCI Pierre , de Gimbrède, XXI, 140. Budget communal Etablissement d'um, au XVIIe et au XVIIIe siècles. XXI, 131-134. BUEIL de, XVTI, 132. BUGUE de, de St-Yors, XVTI, 20. Bunier seigneurie de, XXII, 133. BURE de, seigneurs de Luzan, XVII, 210. — Paul de, dit le Capitaine gascon, XVIII, 221. BUREAU, XV, 203-206. BURET, curé d'Eauze, en 1789, XII, 172-181, 276-282, 340. — XIII, 159. — XXV, 178-185. — curé de La Romieu, XXV, 183. BURGADE, de Pavie, XVI, 272. BURGAN, adm. mun. d'Auch en 1791, XI, 37. — XII, 246. Burgos, XV, 207. — la cathédrale, XXV, 169. BURIE' ,XV 84, 85. BuTtuiu lieu dit, XVI, 220. BUROT, vic. de Vie-Fezensac, XXIII, 140. 157-159. 165-166. — XXIV, 286, 287. — XXV, 104. Binasse, XVT, 181. BURRA de XVI, 207, 269. BURRI, de Pavie, XVIII, 116. BURY Charles de, doyen de Mouchait, XI, 57. — seigneur de Cavaignan, Cavaignan, Bretagne d'Armagnac, XVIII, 49. Bus de, XXI, 240. BUSCA de, seigneurs de Saint-Jeand'Anglès, Saint-Jeand'Anglès, 44, — du XI, 296. BUSCA, gendarme à Condom, XIX, 23. — prêtre de Condom, XXV, 185-187. BUZET, de Cassaigne, député en 89, XIII, 188. — XXII, 302. — procureur du Roi à Auch, XX, 47. Busca château du, près Valence,, XII, 103. BUZET, de Gramont XVIII, 222. Buzet Lot-et-Garonne XIV, 260. — XXII, 96. — XXIV, 173. C Cabanac, XXII, 337. CABANERY, juge en Fezensac, XI, 299. — XXI, 262, 263. — 35 CABANES, de Biran, volontaire de 93, XX, 84. — XXII, 107. CABANIS, notaire à Gimont, XVI, 47. — médecin, XI, 29. CABARROQUE, de Montort-du-Gers, XVTI, 223. Cabarson, XVT, 287. Cabas, XI, 318, 324, — XII, 376. — XIII, 105-117, 239-250. — XVI, 288. CABÉ, de Gajan, XX, 61. CABIRAN, curé de Barcugnan, XIV, 143-144, 347. — XV, 77. — commandant de la garde nationale à Fleurance, Fleurance, 82, CABOS, notable de St-Clar, en 1793, XX, 118. Cabrants Espagne, XXIV, 350. Cabrespine château et seigneurie de en Rouergne, XVII. 132, — XXIII, 189. Cucarens, XII, 176-177. — XIII, 292. — XX, 73, 75. — XXI, 38. Caccia combat de, XIV, 125. Cachan, XVT, 288. Cadars vicomte de, XXI, — XXII, 273. CADEILHAN, de la Romieu, XXI, 52. — vicaire de Condom, en 1791, XXV, 187. Cadeilhan Lombez,XXIII, 229. Cadeilhan Saint-Clar, XIV, 352. — XV, 276. Cadeilhan, près Roquebrune, XIV, 50. CADENX Hugues de, abbé de ' Berdoues, Berdoues, .197, 199. CADÉOT, médecin de Blaziert, XXV, 183. CADIGNAN de, XII, 249251, 249251, XX, 54. — XXI, 37. Cadillac, XII, 312, 313, 317. — XVIII, 231. — château du duc d'Epernon à, XII 296-297. CADOURS, de St-Germier, XXV, 90. Cadrans solaires inscriptions de, XIII, 300. — XIV, 366. CADHOY, XI, 41. Caën, XVII, 104, 129, 138, 139. — XVIII, 14. Cagots », XXII, 88. — Voir Capots. CAHAUPÉ, chanoine de Saint-Orens, XXIV, 328. CAHELLE, de Condom, XXIII, 277. Cahiers de 1789 dans les sénéchaussées d'Auch, Condom et Lectoure doléances et voeux de la noblesse, XV. 250-261; — du Tiers-Etat, XVI, 245-261; — du Clergé, XVII, 47-57. — Cahier de doléances de Pavie, XVIII, 109, — des boulangers d'Auch, XVIII, 244-248; — de VicFezensac, XXIII, 322-324. Cahors, XI, 331. - XIV, 211. — XV, 84. — XX, 46. CAUZAC, chapelain à St-Pierre d'Auch, XII, 222. Cahuzac château de, XXIV, 174. — Voir Notre-Dame de Cahuzac. Cuhuzères, XIV, 50, 107, 230. CAIGNIEU, de Vie-Fezensac, XXIII, 152155. — XXIV, 290. CAILHON histoire de la famille de, XVT, 154. CAILHONS, XXII, 163. CAILHONS de, lieutenant, de Condom, XIII, 189. — oratorien, de Condom, XXV, 188. CAILLAU, d'Auradé, XVIII, 138. CAILLAVET de, XIX, 29. — XX, 97. — Agnès de , comtesse de Pardiac, XX, 147. Caillavet, XIII, 261. — XIV, 50. — XV, 56. — XVII, 25, 245. — XIX, 38. — XX, 69, 140. — XXV, 262. CAILLON de, de Marseillan, en Riguepeu, Riguepeu, 32, 116-118, 121, 125. CAILLON Jean, architecte, XVII, 117. CAISSON, de Vie-Fezensac, XXIV, 285. Cuixon seigneurie de, XXII, 133. CALABRE dues de, XVII, 130. — XVIII 15. CALAC, de Touget, XXV, 300, 36 — Caladez La. légende dorée en, par le Comte de Dienne, XIII, 193-196. Catahourre, XVI, 124. Calais, XIV, 123. — prise de, par les Anglais en 1347, XVT, 118. CALAS abbé, vicaire-général, XXIII, 290. Calen seigneurie de, XIX, 55. Calens, diocèse de Bazas, XXIV, 131. CALIXTE III, pape, XIV, 234, — XV, 22. — XVT, 173. CALLAOUËT de, XXII, 340. CALLEMART, sculpteur, XIV, 213. Callian, XXI, 159. — branche de, de la famille de St-Gresse, XVII, 244245. 244245. affaire des troubles de 1793, à, XXIII, 160-164. CALLOËT abbé, XIV, 47. CALMELS de, XIV, 256. Calmels, XIV, 34. CALMONT François de, XI, 184. Calmontel seigneurie de, XX, 66. Calonges, en Condomols, XXII, 321322. 321322. Corse, XIV. 123. — XXIV, 204. Catroiset seigneurie de, XX, 60. Camalez, XVT, 105. CAMARADE, de Gondrin, XXII, 300. Camarade, manoir du XV siècle. XII, 25. — XXIII, 05. Camarosa, XV, 205. CAMASSÉS de, XX, 143, 144. CAMBACÉRES, XI, 263. CAMUICCO de, XIV, 21. CAMBON, conventionnel, XIV, 284. CAMBOULIVE, de l'Isle-Jourdain, XXII, 320. CAMBOUT Marie du, duchesse d'Epernon. XII, 299-300. Cambrai, XXIV, 162, 163. Cambrilis Espagne, XXIV, 350. CAMERADE, notaire à Lagraulet, XVII, 210. — XIX, 25. — XX, 61, 64-66. CAMICAS de, juge-mage en Armagnac, XII, 82. — XVI, 186. CAMICAS, notaires, XVI, 178. — XXIV, 279. Camicas seigneurie de, XVI, 89. CAMINADE de, XII, 88. Camisards dans les Cévennes Les, XVII, 108. CAMMAS de, dame ursuline d'Auch, XIX, 88, 89. Camp des Sans-Culottes, près Hendayo Hendayo du, XIII, 252. CAMPAGNAC de, notaire à Lectoure, XX, 135. Campagnac, XXI, 136. Campagne pendant la Révolution La vie à la, XIX, 61-63. Campagne-d'Armagnac, XIII, 228. — XIV, 180. — XVIII, 56. — XX, 135, 153. Campagne, ancienne église, près Gimbrède, Gimbrède, 216. CAMPAIGNO de, XI, 29. — Dame ursuline d'Auch, XIX, 88, 89. CAMPAN, boulanger d'Auch, XVI, 9092. 9092. XXIV, 323. CAMPAN, de Touget, XXV, 293, 294, 299, 300. CAMPANÉ, de Touget, XXIII, 305. — XXLV, 84. Campanès château de en Lagraulet, XIX. 27, 82. — XX, 64. CAMPARIKIN, XI, 39. — marchand de Vie, XIV, 108. — vicaire général d'Auch, XXI, 119. — XXIII, 29-33. CAMPEILS de, XXII, 337. Campet seigneurie de, XXIV, 195. CAMPGRAND, de l'Isle-Jourdaiii, XX, 27. CAMPUNAUD. off. mini, de St-Clar, 1793, XX, 117, 118. CAMPUSAN, supérieure de la Providence d'Auch, XXIII, 32. CAMUS de, XVT, 128. CANCES Bertrand de, seigneur de Gimbrède, XXI, 141 CANDAILE comtes et ducs de, XII, 293, 298. — XIV, 202, — XVII, 199. — XXII, 131. — Voir FOIX-CANDALE. 37 CANDELON Marie, d'Auch, XXIV, 5960. 5960. XXII, 110, 315. — Voir Cauderoue. Candidature officielle depuis 1851 » La, par M. L. Puech, XXIII, 335. — XXIV, 96-97. Candie siège de/XIV, 113. Canes, près Condom, XIX, 80. — XXIV, 244, — XXV, 320. CANET de, XVI, 113. Canet, XI. 154, — XV, 260. — XVIII, 26. CANETO abbé, XXII, 172-173. — XXIII, 173-174. CANGÉ Imbert de XV, 241-213. CANNES de. XX, 61. Canen ». redevance féodale, XX, 95. CANTABE, île Bouit, XVIII, 37. CANTALOUP, de St-Clar, XVIII, 221. — XX, 117, 118. CANTELOUP, de Monfort, XVI, 134. — administrateur du départ, du Gers, XX, 116. CANTELOUP Arnaud de, archevêque de Bordeaux, XX, 126. CANTÉRAC curé do Saint-Orens-PouyPetit, Saint-Orens-PouyPetit, 296-299. Cap-Breton île de, ou île royale, XVIII, 44. CAPDECOMME, . de Riguepeu, XVTI, 46. Capdenac château de, en Rouergue, XV, 120. — XVI, 75. CAPDEVILLE, sergent-royal à Mauvezin, XXII, 198. — cordelier de Condom, XXV, 188. CAPDEVILLE de, XVI, 113. — XVIII, 208. CAPELLE, accusateur public à Toulouse, XIV, 23, 285, 286. — XXIII, 194. Capens, XIV, 260. CAPTE, de Fleurance, XIX, 119. Capital ion », XXII, 255. CAPLUC Pierre, de Ginbrède, XXI, 140. CAPMARTIN, de Touget, XXIV, 92, 176. — XXV, 308. — de Vie-Fezensac, XXI, 57. — XXIII, 146. — XXIV, 50, 285, 289. — XXV, 163-167. CAPMORTÈRES de, XXI, 155. Capmortères, XVI, 181. Capots les, à Montréal, XI, 248. — à Lagraulet-Lauraët, XII, 72. — à Vie-Fezensac, XIII, 175-176. — XIV, 105, 231. — XXI, 39-40. CAPTÉ Pierre, d'Auradé, XVIII, 139. CAPTAN-BOURROUILHAN de, XXII, 151. Captieux château de, XIV, 300. Capucins d'Auch, XII, 220. — de Condom, XXV, 189. — de Vie-Fezensac, XXV, 263; leur couvent, XIV, 111, 233, 318-320. CAPURAN Biaise, expert à Monfort, XVI, 73. CAPUROX. de Condom, XXI, 232. — professeur à, Montpellier, XIII, 33. — de Valence-sur-Baïse, XXI, 56. — XXIV, 32. CARACCIOLI, XXV,, 43. CARAGUEL, à Toulouse, XXIV, 189. CARAMAN, XI, 26. CARISOIRE, chanoine de Vie, XIV, 104. — XXV, 164. — consul de Monfort, XV, 260. — Roques de, juge en Fezensac, XXI, 203. Carbaire, XIV, 105, 232. CARBON DE BIRAN DE CASTELJALOUX, XIV, 76. — XV, 35. — XVI, 160-166. — XVIII, 69-70. CARBONEAU, off. mun. de Fleurance, XIII, 71, 82. CARBONNE de, XVI, 182. Carbonne, XVII, 113. CARBONNEAU de, XII, 363. CARBONNEL, XIV, 16. — abbé de Combelongue, Combelongue, 226. — de Riguepeu, XVI, 180. — XVII, 22. CARBONNEL DE BASRABAT, XVI, 180. CARBONXEL. DE LABARTHE, XI, 148. Carboriniéres, XVTI, 98. CARMSSENNE, vicaire de Condom en 1791, XXV, 188. — 38 Careassanne, XI, 179. — XV, 117. — XVT, 238. — XXIII, 329. CARCHET, de Nogaro, XXI, 4L Carchet seigneurie de, XX, 52. CARDAILLAC Comte de, XIV, 359. — Guillaume de, abbé de Pessan, XV, 228. CARDE, d'Auch, XI, 38. — XVTII, 105106. 105106. XXII, 356-358. — XXIII, 163. — XXV, 182. — vicaire de Touget, XXIV, 94, 176. CARDEILHAC, de Vie, XXIII, 154-155. — curé de Mirannes, XIII, 276-277. Cardeilhac, seigneurie de. XXIII, 182. Cardenau château du, XXI. 200. CARDONA de, évêque d'Elue, XV, 209. CARDONNE Brunissende de, XV, 223. — curé Callian, 1793, XXIII, 160. CARGET Guillaume de, XIV. 106. CARILLO don, archevêque de Tolède, XV, 207. CARLAT Guillaume de, envoûteur, XII, 380. — XIII, 13-22, Carlat, XIV, 231. — XXI. 240. Carlenx, XI, 45, 46 247. CARLES, off. mun. de Vie-Fezensac. XXIV, 50, 288, 290. CARLES, consul de Monfort, XV, 266. CARMAIN Arnault de, XV, 203. Carming on Cramnilh, XVTII, 18, 40. 48. CARME, de Condom, XXI, 232. Carmes, leur origine et leur nombre, en 1790, XVI, 203. — leur couvent de Pavie, XVT, 262-270. — XVTI, 181. — inventaire de leurs biens dans Pavie, XVI, 270-276. — Les Carmes de Tarbes, XXI, 153. — Carmélites de Lectoure, voir hectoure. " Carnclage » ancienne redevance, XXII, 170. CARNOT Lazare, président du Directoire exécutif, XIII, 258. — du Comité de Salut public, XXV, 305. — en inspection à Auch, XII, 201. CARON, notaire apostolique, XX, 137. CAROY, XXII, 265. CARQUET de, XVJI, 294. CARRA, girondin, XXII, 213. — XXIV, 317. — XXV, 153, 159. CARRÉ de. XXII, 192, 197, 198. CARRÈRE, de St-Lary Etude généalogique sur la famille, XXII, 350-355. — conseiller au Parlement de Toulouse, XXI, 121; sai bibliothèque, XXII, 177. — capucin de Condom, XXV, 189. — d'Auch, directeur de pensionnat, XIX, 65. — d'Auch, homme de loi, XXI, 183. — d'Auch, professeur au Collège, XXV, 219, 223. — curé de Bezolles, XXIII, 63. — XXIV, 27, 31-34, 126. — curé de Goujon, XVI, 51. — vicaire de Gondrin, XVTII, 62, — XXII, 70. Divers XL 29, 30. — XVI, 105, 107. — XXII, 108. — XXIV, 313. CARRÉRE DE CARRÈRE, XXIII, 312. CARRÈRE-LAGARRIÈRE, député du Gers 1795, XII, 319. — XIII, 77. — XX, 108, 114, 116. CARRÈRE-MALLIAC, capitaine du Rat. patriotique du Gers, en 1789, XXII, 66. CARRÈRE de, seigneurs d'Aouas, XX, 63. CARRERY, famille de l'Isle-Jourdain, XXII, 92, 311, 315. — XXIV, 37, 49. CARRETÉ, d'Auch, XXIV, 314, — député de Monfort, XIV, 220. — XV, 266, 270. — XVI, 134, 136, 141. — XXI, 199. — XXIV, 136. Carthage, XI, 103. Carthugène Espagne, XXIV. 217. CAS DE BENOS, seigneur de Lez en Comminges, XIII, 284, CASAL, de Montpellier, XXIV, 148. Casais, XVII, 103. CASAUBON Géraud de, XIII, 105-106. — Voir CAZAUBON. Case-Dieu, abbaye de la, XIV, 240, 360. — XV, 23, 55, 59, 222, 225, 228. — XVI, 39, 175, 243. — XVII, 33. — 30 XIX, 38. — XXII, 340. — XXIII. 178. — XXIV, 38. — XXV, 262. CASELLE, consul de Riguepeu, XVII, 26. CASSAËT, Seissan, XI, 38. — d'Arrouède, d'Arrouède, 1797, XXIV, 135. CASSAGNABÈRES, d'Auch, XXIV, 314. CASSAGNAC Granier de, XVII, 41. Cassagne, XI, 293. — XIV, 109. — XV, 81. — XXIV, 163, 164. — château de, XI, 126. — XXII, 57. CASSAGNET colonel François de, XI, 117. — XII, 128, 140. CASSAGNET-TILLADET de, XXIII, 298. — seigneurs de Fimarcon, XII, 14, 140. — XIII, 49. — seigneurs de Caussens, XVII, 103-113. CASSAGNOLES ou CASSAIGNOLES, XIV, 16. — abbé de Sère', d'Auch, XXIII, 32. — avocat de Vie-Fezensac, XXIV, 50, 52, 54, 56-58. — chanoine de Vie-Fezensac, XIV, 104, 112, 318. — XV, 64. — XXV, 164, 166. — curé de Gondrin, XVIII, 61. — XXI, 230. — juge en Fezensac, XXI, 263. — marchand et maire de VieFezensac, XXIII, 149, 152, 155, 158, 164, 316. — XXIV, 288, 290, 291. — XXV, 167, 261, 263, 264. CASSAGNOLES DE BOUILLON, consul de Vie-Fezensac, XXIII, 316, 321, 322. CASSAIGNARD, XIV, 179. — chirurgien et consul d'Auch, XVII, 286, 287, 291. — XVIII, 102, — de Mirande, XVII, 218. — de Montréal, XXI, 53. CASSAIGNE, de Clermont-Savès, XXIV, 49. — de Marciac, XXIII, 60. — de Monbert, XXIII, 285. CASSAIGNEAU de, XII, 88. — XV, 298. CASSAIGNET François de, seigneur de St-Orens en Condomois, XXV, 121. Cassai, XVII, 108. ÇASSALIBONO Guillaume de, notaire à Fleurance en 1400, XIX, 124. Cassan, près Ordan, XIV, 50. CASSANH Bertrand, prêtre, XXII, 91. CASSANHIOLI Pierre de, religieux de la Case-Dieu, XVI, 243. CASSASSOLES, d'Auch, XXIV, 309. — sous-préfet de Lombez, sous le Consulat, XX, 34. — président de la Soc. pop. de Saramon, XI, 38, 279. — XXI, 54. — Divers XX, 110. CASSE de, XVII, 293. CASSE, consul Puycasquier, XIV, 220. CASSEMAJOUR de, XXV, 76, 90. Cassemartin, XIV, 346. — XVI, 224, — XX, 28. — XXII, 86, 90, 271. — XXIV, 36, 42. Casseneuil, XXI, 166. CASSEYROL, XXII, 33. CASSIN, de Bezolles, XXIV, 132. CASSINI cartes de, XII, 329. CASSIUS, d'Auch, XXIII, 111. CASTADONAT, XXII, 71. CASTAGNY de, prieur, XII, 78, 80. CASTAGNY, prêtre, XIV, 329. CASTAIGNE Blaise, de Monfort, XV, 264, CASTAIGNER de, chanoine do Lombez, XIV, 138. CASTAIGNER DE LA POMARÈDE de, XIII, 283, 284. CASTAIGNON abbé, vicaire de VieFezensac, XXI, 127, 128. CASTAIN, de Cologne, XXIII, 141. — XXIV, 87. CASTAING, d'Aurens, XXV, 174. — maire, de Gimont, XXIV, 108. CASTANIER de, XXII, 92, 93. CASTARÈDE, de Fleurance, XIII, 71, 80. — XXIV, 301. — de Touget, XXIV, 179. CASTAY, de Rouit, XVIII, 37. CASTED de, XVII, 187. CASTELBAJAC de, origine de cette maison, XI, 26. — Arnaud, premier marquis de, XII, 29. — Arnaud-Raymond de, abbé de Bouillas, XV, 222. — Bernard de, XII, 25-29. — XV, 205. — Jean de, dernier seigneur de Herrebouc, XII, 31- 40 — 32. — Pierre do, évoque de Ramiers, XII, 29. — général de, ambassadeur en Russie, XII, 307-308. — seigneurs de Flarambel, XI, 111. — Divers XII, 31, 32, 309-311. — XXI, 103, 157, 163, 247. — XXII, 313. — XXIII, 200-202. XII, 308. CASTELBAJAC-BERNET, XII, 308. Castelbianco, XV. 205. CASTELBON de, XIV, 305. — Roger de, évoque d'Aire, XV, 19. Castelcullier château de, XI, 201. Custelginest, XIV, 202, 339. Castejaloux, en Sainte-Christie, XIII, 225. — XIV, 353. — XV, 28, 33. — XVI, 97, 157, 184. — XXI. 200. — XXIV, 163. Casteljaloux Lot-et-Garonne, XV, 84, — XXIII, 277. CASTELLANE, XIX, 95. — de, évêque de. Lavaur, XXIV, 350 .— XXV, 44. CASTELLE abbé de la, XIV, 298 CASTELLIS de, marchand de Vie, XIX, 41 CASTELMAURON Gaston de, commandeur des Templiers, à Gimbrède, XXI, 135. CASTELNAU de, d'Espalion, en Rouergue, Rouergue, 132. Castelnau, XIV, 180. — XXIV, 165. Castelnan-d'Anglès, XVII, 25, 34. — XXI, 37. — XXIV, 152. Castelnau-d. Arbiea, XVTII, 70. Castelnau-d'Auzan, XI, 70, 1114. — XVTII, 49. — XIX, 36, 178. — XXI. 49, 117. Citsti'lnau-sur-l'A uvignon, XVT, 284. — XIX, 58-60, 82, 106. — XX, 126. — XXI, 52, — XXII, 15, 22. — château de, XXIII, 207. — cloche de, XXI. 288. — XXII, 200. Castelnau-Barbarens, XIII, 104, 111, 183, 237, 250. — XVI. 286-288. — XVII, 180, 183, 196. — assemblée primaire primaire XI, 41. — tumuli de, XI, 337. — XIII, 183. Castelnau-de-Cernès Gironde, XV, 122. CASTELNAU-DU-LAU de, XV, 199, 201, 208, 209. — XVI, 76, 83, 84, 239. — XVIII, 209. — Jean de, évêque de Rayonne, XIX, 45. Castelnau-de-Loubières. — Voir Castelnau-sur-l'Auvignon. Caslelnan-Magnoac, XII, 21. — XVI. 97. — XVTI, 180. XIX, 32, 39. Castelnau-Rivière-Basse, XIV, 170, 175. — XXIII, 327. — XXIV, 330. CASTELNAU-DE-TURSAN de, XIII, 181. — XV, 15, 19, 123. — XVTII, 17. — Lettres du baron de, XIV, 378-379. — XV, 167-169. — seigneurs de Jupoy, en Chalosse, XXI, 163. Castelnaudary, XIV, 157. — XV, 270. — XXIV, 241. Castelnavet, XV, 219. — XX, 101. — XXIII, 98. — XXIV, 77. CASTELPERS de XXI, 155. CASTEL-PICHON Jean, XVT, 30. Caslelpuliot Pujos, près Roquebrune, XIV, 45. Castelsarrasin, XIV, 209. — XV, 263. — XIX. 126, 139. — XXIV, 190. — XXV, 186. CASTELVIEIL Gabriollo de, des Ursulines d'Auch, XIX, 88, 89. — XXI, 197. Castelvieil, XVI, 269. — XXI, 197. CASTÉRA rie, XI, 29. 30, 32. — XIV, 104. — XVI, 132. CASTÉRA, d'Auch, XVI, 276. — XX, 4251. — instituteur, an II, XXII. 44. — prêtre constitutionnel de Vie, XXV, 104. — Jeanne, de Pavie, XVIII, 108. Castéra, XIV, 200, 345. — château, près Pavie, XVTI, 179. Cusléra-Bouzel, XII, 88. — XXII, 268. — 41 — Castéra-Leetourois, XII, 87. — XVI, 289. — XXII, 257. Castéra-Loux Htes-Pyrénées, XXI, 247. CASTÉRA DE SEIGNAIS ou de SEIGNAN, XX, 64-72. — XXII, 151. Castéra-Verduzan ou château, XI, 125. — Boiseries du château, 237. — eaux thermales, XII, 139. — XIX, 20-24. — les jeux de hasard aux Thermes, XIX, 20-24. — découvertes d'objets préhistoriques dans des grottes, XIX, 184. — description topographique, XXV, 197-199. — Divers XIV, 288. — XIX, 100. — XXI, 159, 260, 202. — XXII, 285, 286. — XXIV, 33. CASTÉRAN abbé de, XXIII, 289. CASTÉRAS de, XIX, 37. CASTERENS de, XX, 63. CASTÉRÈS, de Touget, XXV, 138. CASTET, d'Auradé, XVIII, 138. Castet-Arrouy., XX, 135. — XXIV, 123. — découvertes à, XIII, 62-64, CASTETS, consul de Condom, XXV, 316, 319. Castets-d'Arinagnac, XIII, 227. — XIV 180. — XVI, 127, 180, 235, 236. — XVII, 312. — XXII, 336. CASTEX, administrateur du départ, du Gers, en 1792, XX, 114. — boulanger d'Auch, XVI, 92. — huissier d'Auch. XXIII, 23. — général, XII, 264. — curé d'Auradé, XVI, 34. — vicaire de Bezolles, XXIV, 29, 126. — procureur de Pavie, 1792, XVI, 270, 274. — XVII, 295, 296. — XVIII, 111, 112, — XXIV, 328. — notable de Saint-Clar, en 1793, XX, 118. — off. mun. de Touget, XXIII, 139, 305. — — XXIV. 84, 88. — XXV, 141, 248, 255. — Jeanne, institutrice à Auch, an VI, XV, 50, 52. — Divers XI, 39. — XII, 256. — XXIV, 49. CASTILLON de, seigneurs de St-Lary, XI, 314. — XIV, 173, 215. — Théobald de, évêque de Bazas, XV, 228. — Divers XVI, 182. — XVII, 131. — XIX, 32. — XX, 72. — XXII, 119. CASTILLON, guillotiné en 1811, XXIV, 150. — de Mauvezin, XIX, 66. Castillon, près Simorre, XIII, 104, 111. — XIV, 50. — XVI, 173. — XVII, 104, 111, 112, 130. — XVIII, 136, 137, 204, — XXV, 77. Castillon, en Médoc, XIX, 157-160. CASTILLON D'AUZAN de, XIX, 36, 40. CASTILLON-DE-CARBASTE de, chanoine de Condom, XXIV, 163. Castillan-Débuts ou de Batz, XI, 41. — XIV, 171, 178, 218, 230. — XX, 58, 64, 06, 69, 70, 101. — XXIV, 149. Custillon-Massas, XI, 309. — XII, 78. — XIII, 225. — XIX 115. — XX, 101, 143, 150. — XXI, 153, 154, 159. CASTILLON-ROZÈS de, XXII, 163-168. Castillon-Savcs, XVII, 106. — XXII, 87. Castillous du Frandat lieu dit, XXI, 218. Castin, près Auch, XI, 311. — XVI, 278, 282. — XVTI, 178. — XX, 101. — XXIV, 308. CASTINET, notaire à Aignan, XVT, 182. CASTO, duc de Roquelaure, XVTI, 30. Castres, XIII, 194. — XV, 265. — XXII, 95, 267, 306, 316. — XXIII, 76. — XXIV, 354. — XXV, 78, 92. CASTRIES de, XII, 249. castrum », XIII, 168, castrum fidentiacum », quartier de Vie, aux comtes de Fezensac, XIV, 43. CATALAN de, XVII, 117, 118. — XVIII, 175. Catalogne Campagne de 1402 en. XV, 204-206. Caleteau-Cambrésis traite de, Xl, 197. — XIV, 124. CATEL, XVI, 98. — 42 CATHERINE DE BOURBON, XIV, 158.— DE Foix, XV, 202. — DE MÉDICIS, XI, 112, 197. — XII, 252. — XIV, 198. — XXV, 191. — sa visite à l'Isle-Jourdain, XIV, 206. — DE NARBONNE-DE BAT/., XV, 105, 106. — DE NAVARRE, XIX, 43. — II »- RUSIE, XXIV, 354. CATINAT, XVII, 106, 108. CATON Valerius, XVI, 190. Cantonvielle, XXIV, 91. CATOR Docteur, de Fleurance, notice nécrologique et bibliographique, XIX, 120-122. — XXIII, 216-217, 334. — XXIV, 100 — Le Docteur Cator, sa. vie et son oeuvre », par M. Sarrieu, XXV, 99. . CAUBET, de Monfort, XVT, 141. — XVTI, 223. — do St-Clar, XX, 118. Caubiuc, XXII, 202, 270. CAUBIOS de, XXIII, 273. CAUBOUE, notable de St-Clar, en 1793, XX, 118. Cauderime château de, XXIII, 64. Cuuderoue, XXIII, 70, 79, 184. CAUHEPÉ, vicaire de Rozolles, XXIV, 29, 126. CAULET de, grand-maître dos eaux et forêts. XXII, 273. de, marquis do Navailles, XXV, 90. — Guillaume de, sénéchal de Toulouse, XII, 234. — Divers XII, 233. CAUMONT-LA FORCE de, XII, 235. — XVIII, 227, 235. CAUMONT-LAUZUN de, XII, 235. — XXI, 163. Caumont, en Armagnac, XIV, 184. — XVII, 310. — château de, XII, 224241, 293-317. — XV, 133. — XVII, 100. — XXIV, 199. — Une visite de la Soc. archéol. du Gers au château de, XXIII, 200-202. CAUMONTAT, de Blaziert, XXV, 183. CAUNA de, XXV, 73. Cauna seigneurie de, XV, 123, 124. — XVIII, 205. CAUPENA bourgeois d'Auch, XIV, 224, CAUPÈNE de, seigneurs de Lannux, XI, 295. — XII, 81. CAUPENNE abbé, guillotiné en 1793, XXIV, 75. — Arnaud de, évêque de Dax, XV, 225, 228. — Raymond de, abbé, XV, 222. — seigneurs de Serrot, XVII, 28. — Divers XI, 295. — XII, 81. — XVT, 237. Caupenne, près Nogaro, XVI, 181, 236. — XVII. 61. — XVTII, 38, 50, 171, 170. — XXIII, 228. CAUPETTE de la XXII, 110. CAURILIE de, capitaine, XVT, 128. CAUSSADE, de St-Clar, XIV, 68. — Dominique de, abbé de Sainte-Dode, XV, 222. Canssade, XIV, 260. — XVI, 89. — XX, 153. — XXIII, 308. Caussens, XI, 105. —XVII, 103, 105, 106, 114. — XX, 126. — XXIII, 298. GAUSSERA de, XXII, 116. Cauterets, XIV, 155. — XXV, 127. Cautiran, XVTII, 170. CAIIVIN, vicaire .de Bezolles, XXIV, 120. Cauzac château de, en Agenais, XII, 124, 126, 127. CAVAIGNAC, conventionnel, représentant du peuple, XII, 255, 261. — XIII, 254. — XVIII, 249. — XIX, 146, 169, 171. — XXII, 42, 71-75, 104, 158. — XXIV, 78, 306. — XXV, 167. CANAIGNAC, capitaine, frère du précédent, XII, 263. CAVAIGNAN de, XIX, 176. Cavaignan seigneurie de, XVIII, 49. CAVAKINES de, XXII, 320, 321. — XXIII, 69, 71, 72. Cavaignet, XI, 45. CAVAILLE, XXII, 266. CAVAILLON de, d'Auch, XVII, 256. CAVARÉ, administr. du district de L'Isle-Jourdain, XXIII, 305, 306. — XXIV, 250. — XXV, 314, — 43 — CAVE, de Gondrin, XXII, 175. — notaire à Lannepax, XX, 73. Cayrac, XXII, 116. Cagran, XI, 45. CAYSSENNE. prêtre de Toulouse, XXIV, 39. CAZABAC, de St-Lary, XXII, 228. CAZABAN, de Masseube, guillotiné 1796, XXIV, 135. CAZABANT. XXIV, 330. CAZABOXNE, curé d'Auradé, XVI, 34. CAZAC, hôtelier d'Auch, XIII. 207. CAZALÈS, député aux Etats-généraux, XIV, 65. Cazulets, XI, 45. CAZAUBON, prêtre de Lectoure, XXIII, 84. — Géraud de, seigneur du Sempuy, XX, 91. — Divers XII, 233. Cazaubon, XII, 66, 67. — XIV, 180. — XV, 127. — XVI, 85, 127. — XXI, 117. CAZAURAN abbé, XIV, 378. CAZAUX François, abbé, de Fleurance. XII, 200. — XXII, 217, 285. — secret, de la Société montagnarde d'Auch, XVII, 214-215. — XX, 110, 114-116, 120. — XXIII, 95, 111. — XXIV, 68. — XXV, 200. — Divers XVI, 272. — XXI, 51. — XXV, 174. CAZAUX abbé de, secrétaire de la Soc. royale d'agriculture à L'IsleJourdain, XVIII, 220. Cazaux, XIV, 260. Cazaux-Savès, XI, 38. — XXII, 87. — couvent des Minimes à. XII, 239. 240. CAZE, de Gajan, XX, 61. — curé de Ponsau. XXI, 43. , CAZE de, intendant d'Auch, XVI, 106. CAZEAUX, vicaire à Auch, XIX, 66. Cazeaux seigneurie de, XX, 71. CAZEBAC, XXII, 347. CAZENAVE, consul de Bouit, XVIII, 172, 173. Cazenave, XV, 122. CAZENEUVE Othon de, sénéchal d'Agenais, XXI, 37. — Joseph, clerc, XIV, 114, — off. mun. de Pavie, XVTII, 111, 112. — prêtre de Condom, XXIV, 236. — sorcière de Mouchan, XXII, 302. Cazeneuve seigneurie de, XVIII, 54, 55. 173. — XIX, 40, 41. — XX, 126. — XXI, 38. — moulin de, XXII, 89. CAZENOVE do, XV 15. 53. — notaire à L'Isle-Jourdain, XX, 28. CAZÈRES, chanoine de St-Justtn, XXIII, 58 Cazères Hte-Garonne, XI, 211-215. — XVI, 123. — XXIV, 330. CAZES, de Vie-Fezensac, XV, 57. — XIX, 65. — XXIV, 50, 285, 288. — Correspond, des frères, d'Auch, pendant la Révolution, XXIV, 301331. CÉCILE DE RODEZ, femme de Bernard VI d'Armagnac, XVI, 115, 121. Cédon, voir du. Cédon. CEICHENA, prêtre, de Riguepeu, XVII, 37. CÉLESTIN III, pape, XV, 159, 215. CELLIER Guillaume de, XIII, 17. CELSE, XVII, 76. CÉNAC, de Pavie, XVI, 267. CÉNAC-MONTAUT, XXV, 129. Cens » ou censive », ancien droit féodal, XVI, 248. — XXII, 151, 341. Cent-gardes les, XVIII, 169. Centenaires gascons, XVI, 153. — — XX, 84. — XXI, 230. .. — XXII, 63, 70, 224, CENTULLE, comtes d'Astarac, XIII, 104, 105, 111, 112, 117, 239, 240, 250. — XV, 145, 146, 160. — XVII, 180, 190,' 199, 208. — XVIII, 82, 84, 89, 94, CENTULLE LE VIEUX, vicomte de Béarn, XIV, 293. CER Guillaume-Raymond de, XV, 216. Cciî'fln, près Fleurance, XII, 138. — XXIII, 232. 44 CEREBRUN, évêque de Couserans, XV, 218. Cérès seigneurie de, XIV, 15, 17. Cérignolles, XIII, 194. CÉRISAN, greffier au Parlement, XVI, 83. Cérisolles, XIV, 123. CÉRISY Richier de, évêque de Lombez, XIII, 94, CERPÈS DE LAFAGE de, XXIII, 137. — XXIV, 89, 92, 101, 104, 106. Césarée, ancien capitale, on Algérie, XVTI, 163, 164, CESTAC, XXIII. 74. 143. — XXV. 79. — de, XVII. 191. CESTAMÉ, procureur. XVI, 16. -— vicaire à Auradé, XVT. 35. CESTARES, bourreau d'Auch, XXIII, 263. Cette. XXIV, 173. CÉZAN de, XX, 08. CÉZAN, guillotiné 1854, XXIV, 155-157, 100. Cézan, XIV, 174, 218. — XX, 57. — XXI, 159. CÈZAUX, do Caupenne, XVIII, 176. CÉZÉAN, de Lagraulet, XVIII, 44, CÉZELLEs Françoise de XIV, 30. CÉZÉRAC François, consul de SaintClar, SaintClar, 68. — de Duran, XIV, 331. — citoyenne d'Auch, 1793, XIX, 165, 167. CHABANNES de, XV, 118. — XVI, 80. — XVII, 137. — XVIII, 24. CHABOT de, XIV, 326, 328. — XV, 36. CHAIAN de, de Simorre, XX, 26. CHAILAN, off. mun. de Vie, XXIV, 50. CHAILLAN, lient, du juge en Fozensac, XXI, 203. — chanoine de Vie, XXV, 164. CHAIRENTIER. de Mauvezin. XIX, 06. CHALON Jean de, prince d'Orange, XIX, 18. CHALNET DE ROCHEMONTEIN de XIV, 32. CHAMBEAU Pierre de guillotiné à Auch, XXII, 74, — XXIV, 80, 287-289. Chambeaudoin seigneurie de, XXI, 239. CHAMBELLIER, jurat de Condom, XXV, 310-317. CHAMBERT, de L'Isle-Jourdain, XX, 29. Chambérg, XXII, 101. Chambeuil seigneurie de,XXIV, 162. champart », ancien droit féodal, XVI, 249. — XVII, 194. — Voir agrier. CHAMFORT, XL 29. CHAMPÊTRE, de Condom, XXI, 235. CHAMPGRAND du, avocat à Condom, XXIII, 281. CHAMPTICE idej, XIX, 48. Champlocé seigneurie de. XVTII.' 31. Champloceaux, XVTII, 15. CHANCEAULME, XIV, 10. changement des noms de rues à la Révolution, XIII, 84. CHANLAI de, maître de requêtes, XXII, 272. CHANLECY Anne de, épouse d'Artagnan, XXII, 114, — XIII. 87. Chanoines et chapitée de St-Augustin, à Marciac, XXIII, 58. - à Nogaro, XV, 156, 214, 217. — XVI, 128. — XVTII, 48-51. — XXII, 182. — à St-Justin en Pardiac, XXIII, 55-61. — de Ste-Candide, à Jegun, XXIV, 100, 197. — de St-Etienne de Toulouse, ses droits et ses possessions dans le Gers, XXII, 87. — XXIII, 66. — XXIV, 36-38, 40. — de SaintMartin à L'Isle-Jourdain, XVI, 146. — XX, 28,29. — XXIV, 37-44. — de Ste-Marie et de St-Orens d'Auch, voir Auch. — de St-Saturnin de Sos, XIX, 34. — de St-Sernin de Toulouse, XV, 289. — de Lombez, XIV, 138. — de Vie-Fezensac, XIV, 101-112. — XVI, 244, Voir VicFezensac. — de Condom, voir Coudom. - Un chanoine de Pessan, soldai do la République. XVII, 152153. — 45 — Chanoinesses, XXII, 150. — à Nogaro, XV, 216, 217, 259. CHANTELLON de, XIX, 138. CHANTEMILLE, vicaire d'Auradé, XVI, 34. CHANTREAU, un journaliste révolutionnaire », XV, 302. — XIX, 192. — XX 108. — XXI, 189, 179. — 282. — XXII, 285-295, 366. — XXIII, 41-46, 111, 112, 110, 120, 121. — un apôtre jacobin », XXIV, 212, 213-234, 300, 332-350, 377. — XXV, 29-58, 100, 144161, 197-235, 326. CHANVALLON, XIV, 150, 156. CHAPELETTE général, XIII, 253. CHAPELIER, XIX, 95. CHAPELLE, poète, XIV, 155. chapellenie », XIV, 107. chaperon », XXI, 123, 126. CHAPSAL, XXV, 234. CHAPTAL, ministre, XIII, 271. — XV, 67. CHARGEBEUF, capitaine do l'Isle-Jourdain, XXII, 267, 300. Charité Etablissements, bureaux de sous l'A. R., XXI, 268-270. — XXIII, 29. Charité-sur-Loire la, XI, 199. charivari », XXIII, 54. Charlatanisme, XXIII, 268. CHARLES 1er d'Angleterre, XVTII, 75. CHARLES IV d'Espagne, XXV, 30. CHARLES VII, XI, 114. — XII, 204. — XV, 118, 123, 198-201. — XVI, 123, 126, 127, 171-174, — XVII, 127-132, 314. — XVTII, 91. — XXII, 249. — XXIII, 315. — XXIV, 256. VI, XVT, 43. — XXI, 140. CHARLES VII, XV. 118. 123. 198-201. — XVI, 171-174. — XVTI, 127-132, 314. XVTII, 93-95. — XX, 91. — XXI, 131, 158. — XXII, 249, 250. CHARLES VIII, XI, 115. — XIV, 163. — XVI, 84, 183, 184, 185, 239. — XVTII, 24, 32, 208. — XIX, 44, 50-57, 149-158. — XXI, 180. — XXIII, 228, 245, 308. CHARLES IX, — XVIII, 97, 224, — XXI, 150, 151, 262. — XXV, 218. — entrée de à Toulouse, XVII, 257. — Charles IX », de Chénier, XIX, 96. CHARLES D'ALBRET, XII, 204. — XV, 120. — XVI, 171. — XX, 91. CHARLES D'ALENÇON, XX, 106. — XXIII, 309. — XXIV, 192. CHARLES D'ANJOU, XVT, 74. CHARLES D'ARMAGNAC XIV, 40. — XV, 24. — XVI, 178. CHARLES DE FRANCE, frère de Louis XI, XVIII, 13, 15, 17, 20, 22, 23, 26-29. CHARLES DE MELUN, XVI, 83, 84. — XVII, 138. D'ORLÉANS, XVI, 171. CHARLES LE TÉMÉRAIRE, XVI, 80-82. — XVIII, 13, 15, 17, 18, 28, 31, 198, 202. CHARLES DE VALOIS, XVT, 111. CHAROLAIS comte de, XVI, 74, 76. — XVII, 138, 139. — portrait, à Mirande, de Mademoiselle de, XXV, 38. V CHARPY DE SAINTE-CROIX, XV, 114. CHARRETTE général, XXIV, 103, 326327. CHARRON, XV, 235. Charte de 1381 en langue française, XI, 216. CHARTIER Chronique de Jean, XV, 21. — XVII, 129. CHASSAIGNES de, président du Parlement de Bordeaux, XVIII, 200, 203. Chasse sous l'A. R. droits de, XX, 123-131. — XXII, 78. CHASSEIGNAC, de Ligardes, XIX, 66. Chasseurs volontaires du Gers, à l'armée dos Pyrénées-Orienlales, XII, 354-358. — Voir Volontaires. CHASTANET de, XVT, 181. CHASTELBERT de, XVTI, 103. CHASTENET du notaire royal de Nogaro, XVT, 184. — XVII, 310. — XVIII, 38. — XXI, 43. CHASTENET DE LA CAUPETTE, XXII, 140. CHASTENET DE PUYSÉGUR de, XI, 291, — 46 312, — XII, 103. — XIII, 178. — XIV, 224. - XV. 36. — XX. 44. — XXI, 104, 108. — XXIII, 310. — Jean de, sénéchal d'Armagnac, XVI, 160. — Jacques de, auteur de Mémoires, XVI, 160. — Charlotte de, comtesse do Lary, XVTII, 73, 75. Châteaubriant, XIX, 56, 149. Chnteau-Margaux, XIV, 31. CHATEAUNEUF Antoine de, sénéchal de Guyenne, XVI, 83. CHATEAURENARD Aymard de, XII, 127, 132, Huiteau-Thierry, XIV, 152. Château-Trompette, à Bordeaux, XVI, 237. — XVTII, 197, 199. — XIX, 53. Châteaux XIX, 26. — Conférence de M. Paul Cnurteault sur Les châteaux gascons à travers l'histoire XI, 99-119. — Etudes de Ph. Lauzun sur les, XXI, 85-94, —A propos des, XXIII, 207. Châteaux gascons et châteaux anglais, anglais, 245-249. CHATEL Olivier du, XIX, 48. — Tanneguy Tanneguy XVTII, Châtelet prison du, XVI, 112. CHATILLON Cardinal de, archevêque de Toulouse, XXIV, 38. — Duchesse Duchesse Rohan-Chabot, née de, XIV, 327. Châtillon seigneurie de, XV, 125. Châtillon d'Arqués, XVI, 82. CHAUBARD, professeur d'agriculture, XI, 33. — XXIV, 321. CHAUBIN, archer de Taybosc, XIV, 353. CHAUBON, de Touget, XXIII, 19, 126, 129, 130, 134, 136, 144, 305, 306. — XXIV, 84, 87, 92, 176. — 180, 246, 250, 253, 254. — XXV. 139-142, 293-290, 300, 301, 304, 308. CHAUDRON-ROUSSEAU, représentant du peuple, XIII, 254. 250. — XIV, 22. — XXI, 274. CHAUDRIIC UE CRAZANNES, XI, 264, 265. — XV, 217. — XIX, 102. CHAULNES Paul de, évêque de Sarlaf, Sarlaf, 84, 104-112. Pierre de, médecin, XXII, 99. CHAUMETTE, XXIV, 223, — XXV, 210. CHAUMONT, doreur à Auch, en 1650, XIV, 251. Chaumont, XVI, 86. CHAURON Colonel de, XII, 243-244. CHAUSSADE de la, XXII, 312, 320, 322. CHAUVALIER, juge en Rivière-Verdun, XXII, 197. CHAUVIN, chancelier de Bretagne, XVTII, 15, 199, 202. — XIX, 48. Chauvin-Dragon, nom révolutionnaire de Saint-Jean-de-Luz, XIII, 253. CHAVMLLE de, XIV, 172, 174, 176, 224. — XVI, 99. CHAVART, de Condom, XXIII, 278. CHAYLAN, archiprètre de Vie, XIV, 49, 104, 112, CHAYRON, off. m un. de Roulaur, XI, 38. Chazes, en Auvergne, XXII, 150. CHÉLAN, de Pavie, XVIII, 116. Chemins de St-Jacques de Compostelle Compostelle à l'étude des, XV, 55. — XVIII, 114, 242. — XXI, 267, 289. — XXII, 21. — XXV, 65, 69. Cherasco Italie, XXIV, 196. Cherbourg, XVII, 129. Cherchell Algérie, XVII, 159, 163-173. CHÉRIN, XII, 209, 212. Cherleru, en Quercy, XXIV, 190. CHEVALIER, XVII, 132. — notaire de l'Isle-Jourdain, XIII, 57. CHEVERRY de, XVIII, 68. — XXV, 77. CHEVERT de. XV, 168. CHKYLAN, XII, 297, 299. CHEYRON, du Conseil du départ, du Gers, XXV, 182. CHIC II'ARCAMONT du, XIX, 125, 190. — XX, 81. — Lettres du chevalier du, XXIV, 203-208, 212. — Voir ARCAMONT. ARCAMONT. 47 — CHEVREUSE Duchesse de, XV, 232, Chinon, XVT, 74. Chirurgie! la première» opération césarienne, XIII, 264. — études chirurgicales au xvii° siècle, XIV, 37. — mobilier d'un chirurgien au xviie siècle, XVIII, 188-191. CHISSAI DE LA MARCOUSSE, XXI, 104. CHOISEUL, XIV, 19, 25. Chrismes ou monogrammes du Christ découverts dans le Gers, XIII, 299, 301. — XV, 40. — XVI, 300. — inventaire et classification fie ces, XVTI, 58-72. — chrismes de Flaran, XX, 32. CHRISTIAN, de Vie, XV, 57. Cieulat, ancien archiprêtré du diocèse d'Auch, XII, 172-177. — découvertes épigraphiques à, XVI, 210211. — XXV, 180. — discussion sur, XVIII, 147-149. — oppidum, près de Roquolaure, XIII, 164. — lieu dit, dans Astaffort, XVIII, 149. CINLFRAIS, apothicaire d'Auch, XVII, 287. Cintegabelle, XV, 117. CIRON de, avocat-général au Parlement de Toulouse, XXII, 273. Cisterciens privilèges accordés par le Roi de France aux,XVTII, 8990. Cistercienne architecture, XIV, 308309. Cisterciennes de l'abbaye de Goujon, XVI, 39-46, 221. Citations et armes d'honneur, XXII, 243-245. Citeaux ordre de St-Benoît, branche de, XVII, 180. Cizos Jean, vicaire de Ste-Christie d'Armagnac, XVTII, 59. Cizos, XXI, 255. CLAIRAC de, XXIII, 183. Clairac, XII, 125. — XVII, 101, 104. — XVIII, 221. Clairvaux, XIV, 311. CLAIZAC, syndic de Condom, on 1790, XXI, 231. CLAMENS, de Riguepeu. XVTI, 30. — guillotiné on 1819, XXIV, 152, 160. CLARAC de, XII, 361. — XIX, 29. — XXI, 201. CLARAC, maire d'Ardenne, près Vie, XXIII, 161. — notaire à Vie, XX, 57. — Divers XI, 41. Clarac, annexe de Roquefort, XV, 44. Clarat de, XXI, 183. Clarens, XIV, 215. — XVI, 181. CLARMONDE DE LESCUN, XIV, 295-298, 303. CLARMONDE DE MARSAN, XIV, 294. CLARMONTINE DE XV, 14. CLARY de, XII, 361. CLARY, architecte toulousain, XII, 226. Claude-Bernard, dit le pauvre prêtre », par M. le Commandeur de Broqua, XV, 160. Clanx château du, XV, 36. CLAVÉ, d e Beaupuy, XXIII, 185. — XXV, 90. — de Mansonville, guillotiné 1797, XXIV, 135. — de Monfort, XVII, 223. — de Touget, XXIII, 305. — XXIV, 178. — XXV, 300, 304, CLAVERIE, conseiller au Parlement de Toulouse, XVIII, 35. — XXIV, 152. » Claveries » ou claveriats », territoires ecclésiastiques, XIV, 49, 111. clavier » ou clavaire », XIV, 49, 110. — XXV, 61. CLAVIÈRE. ministre, XXIV, 65. CLAYSAC OU CLEIZAC, de Condom, XIII, 151-152, — XXV, 318. CLÉMENT Dom, auteur de l'Art de vérifier les dates, XV, 103-105. CLÉMENT, off. mum. de Vic-Fezensac, XXIV, 50 . CLÉMENT V, pape, XII, 49. — XIV, 298. — XVI. 112. 264. — XXI. 136, 137, 139, 150-152. 213-215, 225-227. — XXIII, 55. — XXV, 190. CLÉMENT VI, pape, XIV, 305. — XV, 14. CLÉMENT VII, pape, XIV, 314. — XV, 17. — XVI, 264, 48 CLÉMENT X, pape, XIV, 322. — XVI, 265. CLÉMENT XII, pape, XXII, 171. Clergé du Gers pendant la Révolution Contribution à l'histoire du, état religieux du Gers, en 1789, XXIII, 252, — vie du clergé, à la campagne, pendant la tourmente révolutionnaire, XIX, 62, 83, 110. — perquisitions pour rechercher les prêtres pendant, la Terreur, XXV, 138140. — clergé réfugié en Espagne, XXIV, 350-352. — prêtres réfractairos, XIII, 155, — insoumis, incarcérés à Auch, XVTII, 60. — XIX, 145, — déportés et reclus, XXIV, 239. — constitutionnels, assermentés et insermentés, XIII, 270, 277. — XVIII, 111, 170-177. — XX, 75. — XXII, 51-54, — XXIV, 94, 238, 239, 240-242, 314, 324, 327. — XXV, 98, 171175, 179, 185-189, 219. — Voir Révolution. — Serment civique. — Divers XXIII, 282-292. — XXIV, 104105, 162-174, 212, 236-244, 304, 308, .312318, 324, 327-328. — XXV, 163, 167. CLÉRIS, XIV, 255. CLERMES de, XIV, 30. CLERMONT Réatrix de, petite fille de Saint-Louis, XVI, 122. CLERMONT comtes de, XV, 21. — XVT, 107. — XVTI, 128. — XVIII, 209. — XIX, 53. Clcrmont-Cogotois ou Clermant-Savès le château de, XIX, 105, 110. — XXV, 79. — inventaire du château. en 1708, XXIII, 185-188. — sa reconstruction, reconstruction, 190-191. — l'église et la paroisse de, XXIV, 30-50. — la seigneurie et les soigneurs de, XXII, 85-103. 178, 181. 257-274-. 305320, 367. — XXIII, 66-82, 182-199. — La. Révolution à, XXIII, 194. Clermont, XVT, 288. — évèché de, XXIV, 200. CLERMONT-LODÈVE Cardinal de, archovéque archovéque XIV, 244, 267. — XVI, 180. — XVII, 38, 142, 254. — XXIII, 228. — XXV, 217. CLERMONT-TONNERRE, XIX, 95. Cleyruc, XII, 13. Clichy, XII, 139. timberris, nom primitif d'Auch, XVTI, 170-178. — XVIII, 81. Clisson, XIX, 51. Cloches. d'Auradé, XVI, — de Barcegnan, XIII, 294. — de Castelnau-sur-1'Auvignon, XVI, 284-286. — XIX, 58-00. — de Cologne, XIV, 380. — de St-Orens-Pouy-Petit, XXIII, 293-300, 333. — de Vie-Fezensac, XIV, 243. — contrats avec fondeurs, en 1526, XX, 53-54, — au XVIIe siècle, XXIII, 294-297. —- prix des cloches, au XVIIe siècle, XVII. 134. — cloches et orages, XVIII, 213. — confiscation des cloches à la Révolution, XVIII, 184. — XXV, 166. Clochers-arcades ou à pignons, dans le Gers, XVIII, 271. CLOMBAT de, XXI, 240. CLOUPOT, institutrice à Auch, an VI. XV, 50, 51. Clouzeaux les, en Vendée, XXIV, 320. CLOVIS, XIII, 166. Cluny fêtes du millénaire de, XII, 35-58. — monastère de, à Touget, XXIII, 27. — Divers XV, 160. — XVII, 180. — XXIII, 228, 301. COARRAZE de, évêque de Tarbes, XV, 222, 225. — Raymond-Arnaud de, seigneur d'Aspet, XVI, 294. — Divers XIV. 294, 303, 304. — XV, 13. — XVTI, 125, 130. — XVIII, 18. CORIRAC. de, XVI, 216, 218. Coblenlz, XII, 243, 249, — XVIII, 100, — XXV, 49, 50, 155, 157. Cocarde 1 tricolore a Auch la, XII, 158164. 158164. moulin de, en Lannepax, XVTII, 39. — 49 — COCHARAUX Léonce, notice nécrologique, XVT, 146. COCHOY, menuisier de Paris, XXV, 192. COCY de. XIV, 16. CODÈRE, avocat, XVI, 269, 273. . Codz, voir Cutz. COETIVY ele, amiral de France, XVII, 128. COËTMEN de, XIX, 55, 151, 152. COËTQUEN de, XIX, 47, 57, 151. COEURVOLANT Lieutenant de, XII, 344. COFFAUX DE BLAZY de, XXIII, 183. Coffis ». bornes limitrophes ou indicatrices, indicatrices, XII, 72. Cognac, XIII, 106. Cogotes, XVII, 106. Cogotois vicomté de, XX, 26. — XXV, 78. COIFFIER Roland, confesseur de Charles de France, XVIII, 28, 199. Coignax, XIV, 256. Cotron château de, XIX, 152. COL, officier d'Auch en 1792, XII, 262. COURU, XIV, 330. Cous, XXIV, 317. COLIGNY amiral de, XVIII, 225. COLBERT, XV, 66. COLLAU, d'Auch, XXIII, 86. Collectes » et collecteurs », XXII, 129, 247. collecte » dans les Etats d'Armagnac, XIV, 168-173, 214-229. COLLETET, XV, 129. COLLOM Michel de ..receveur des tailles à Monfauban, XXIII, 72. COLLONGES, de Monfort, XVII, 223. COLLONGUES abbé, de Simorre, XI, 39. — off. mun. de Vie, XXIV, 285. — de Touget, XXV, 308. COLLOT D'HERBOIS, conventionnel, XIV, 285. COLOGNE de, de Pavie, XVI, 272. — XVIII, 108, 109, 119. Cologne. XI, 38, 41, 42, — XIV, 204, 380. — XVI, 296, 297. — XXI, 283. — XXII, 190. — XXIII, 117, 131-132, 141. — XXIV, 175, 176, 245, 248, 249, 250, 258, 259. — XXV, 140, 293. COLOM, notaire royal d'Astaffort, XXI, 215. COLOMBE, chapelain de Saint-Pierre el'Auch, XII, 223. COLOMBAT, de Vic, XV, 57. COLOMBEL, représentant du peuple, à Auch, XXIII, 41. colombier droit, de, XXII, 344. COLOMÉ du, archiprêtre de Vie, XIV, 112. COLOMÈS, lient, du Rég. de Foix, XVII, 246. — institutrice d'Auch, an VI, XV, 50. — de, de Vie, XV, 57. Colomès, château-fort en Catalogne, XV, 204. — seigneurie de, XXII, 133, 262. COLOMEZ, curé Nogaro, XVTI, 302-303. — XVTII, 43, 186. Colorno, XVII, 109. COMA, notaire de L'Isle-Jourdain, XXII, 94. COMBECROZE, curé de Saint-Clar, XIV, 68. Combelongue abbaye de, XV, 222, 226. COMBES, consul d Nogaro, XIV, 172. Combillonet seigneurie de, XVI, 284. Combirac, XV, 266. COMBIS de, de Lombez, XXII, 266, 271. Combis, ancienne localité, près Tegun, XIX, 17. COMBROUDE de, XVT, 82. COME, syndic de Condom, 1790, XXI, 231. Côme Italie, XXIV, 278. COMERA, de Toulouse, XXIV, 39. COMÈRE Jean, de Saint-Jean-Poutge, XXI, 38. — de XVII, 243, 244. COMIAN, XV, 242, COMIN, notaire à Lectoure, XIX, 129. Commandements républicains Les dix, XXI, 271. 4 — 50 — Commanderies et commandeurs des Templiers. XXI, 217. — Voir Templiers. COMMARQUE de, XIX, 186. CUMMEGEILLES, de Vie-Fezensac, XXIV, 288. — XXV, 263. COMMENGES, d'Auradé, XVT, 31. Commerce sous l'ancien régime, XXI, 117-118. — doléances et voeux de 1789, XV, 258. — XVI, 260. COMMÈRE, de Touget, XXV, 301. COMMISES Philippe de, XVTII, 31, 209. COMMINGES de, généalogie, XV, 154. . — XVII. 124-126. — Arnaud-Roger, évêque, XV, 218. — Bernard, XVTI, 119, 124, 125. — Elénnore, mère de Gaston Phébus, — XVI, 230. — Guy, XII, 232, 234. — Julienne, abbesse de Goujon. XVT, 42. — Marguerite, XII, 29. — XIII, 10. — XV, 125. — XVT, 108. — Pierre, XII, 29. — Roger, XII, 233. — Episode glerieux pour la famille, en 1870-71, XVTI, 122-124. COMMINGES-CALLIAN, XVTI, 120. COMMINGES-MONTASTRUC, XVI, 229. COMMINGES-ST-LARY, XVII, 117, 119-124. — XX, 155. COMMINGES-SOULAS, XVTI, 125. Comminges comté et comtes de, XVT, 40, 42, 79. — Deux comtes de béarnais, au XVe siècle, XIV, 293-307. — XV, 13-25, 117-127, 198-209. — XVI, 74-89, 230-240. — XVTI, 127-139. — XVTII, 13-33, 197-211. — XIX, 43-57, 149-100. — Etats de, XIV, 334. — évèques de, XIV, 157. — XV, 213, 214, 218, 222, 225. — institutions judiciaires du comté de;, XIV, 183. — guerre de la succession de, XVI, 172-178. — Divers XI, 245. — XII, 29, 30.— XIV, 359. — XV, 118, 121, 201. — XVI, 74-80, 119, 122, 124, 253, 291. 294. — XVII, 32, 41. — XVIII, 10, 28, 95, 197, 200, 202, 209, 227. — XIX, 31, 120, 134-138, 155, 156, 159, 160.. — XXII, 269, 271. Commonitorium » d'Orientius, XVI, 198-199. COMOLAT. off. mun. d'Auch, XI, 37. Complot imaginaire sous Louis XIV un, XXII, 159-162, 180. Complot pour favoriser l'entrée en France d'une armée espagnole, XXII, 71-75. Comtaux, en Barcugnan, XIV, 143145. COMTE général, XXIII, 194, COMTORS DE PAMIERS. abbesse de Goujon, XVI, 42. CONBET, notaire de Nogaro. XVI, 182. CONCHE, de Vie-Fezensac, XXIV, 290. Conciles, d'Auch. 1068, XV, 159. — de Constance, XV, 19. — de Nogaro, XV, 150, 212, 213, 221-229. — de Toulouse, 1056, XV, 158. — des évoques constitutionnels, XXV, 228, 235. CONDAMINE. XXIV, 306. Conduit le, on Jogun, XXI, 240. CONDÉ prince de, XVI, 97. — XXII, 308. — XXIII, 94, — XXV, 191. CONDÉ, d'Auvillars, XXIII, 96, 117. CONDEAU, de Vie-Fozeusac, XXIV, 51. CONDEILHAS de, de Vie, XV, 57. CONDILLES Jean de'. XIV, 242. Condom, ville double, essai topographique. XXV, 58-72. — étymologie de, XXV, 60-67. — origines historiques de XXV, 64-60. — origines de l'évèché de . XXV, 08, 118, 190. — Etudes de J. Garedère sur, XIX, 192-194. — passage de Marguerite de' Valois à , XIV, 153. — à propos de Moulue à, XX, 87, 89. — Ravages de Mongoméry à, en 1569, XXV, 16, 121. — La tour du Sénéchal à, XXIII, 337. — occupation de, par les Anglais. XXV, 67. — musée, XIII, 134. Vie municipale liste des jurats, en 1652, XXV, 316. — la vie communale à Condom. en 1790, XXI, 231-236, 285-286. — administration consulaire à Condom, sous l'A. R. 51 d'après les textes du xviie siècle, XXV, 316-322. — procès entre consuls et chapitre, XXIII, 228. — inondation de 1770, XIe 143. — loge maçonnique, XI, 28, 35, 37. — portes de la ville au xvrr siècle, XXV, 318. — Condom sous les guerres de religion, XXL 119, 120, 238. Vie religieuse abbaye, XXV, 119 ...— cathédrale et cloîtres, XI. 126. — reliques de Ste-Catherine à la cathédrale, XXI, 36-37. — collège de l'oratoire, XXI, 235. — XXIV, 240. — XXV, 00, 172, 188. — couvent dos Cordeliers, XXIV, 165-172. — couvent de Piétat, XXV, 173. — hôpital de la charité, XXV, 172. — soeurs insoumises aux hôpitaux, XIV, 58. musée, XIII, 134. évoques, chanoines et clergé de Condom, XI, 116, 293. — XV, 225. — XX, 126. — XXII, 116, 147-149, 155, 298. — XXIII, 228-229, 291, 293. — XXIV, 163, 241. — XXV, 121, 185-186. — question de préséance dans la Cathédrale, XXI, 194-196. — incident soulevé par le sermon d'un dominicain, XXII, 5763, 79. — à l'occasion de la vis. pastorale de Mgr Jacoupy, XXIV, 244. Condom pendant la période révolutionnaire députés de la sénéChaussée aux Etats-généraux de 89, XIII, 189. — XV, 73-74, — Doléances et voeux de la sénéchaussée, d'après les cahiers de 89 noblesse, XV, 250-261. — Tiers-Etat, XVT, 245261. — clergé, XVII, 47-57. — Cahiers de la sénéchaussée, XXII, 206. — administrateurs du district, XIX, 22. — coût de la vie en 1793, XX, 3841. — célébration des Décadis, XVTII, . 254. — fête de la Fédération, le 14 juillet 1790, XXV, 174. — fête do la Vieillesse, XVTI, 160, 216-218. — Etablissements religieux avant, la Révolution, XXV, 68-69. — prêtres et religieux de Condom, pendant la Révolution. XXIV, 162-174, 212, 236244. — XXV, 170-189. — la guillotine à Condom, XXIV, 74-75, 156. — Renseignements divers sur Condom, pendant la Révolution XXI, 5053, 55, 56, 200, 201, 275-276. — XXII, 150-158. — XXIII, 113. — XXIV, 77. — XXV, 209, 259. Divers XI, 199-200, 266. —XII, 266, 208, 269. — XIV, 177. — XV, 81. — XVT, 128. — XVTI, 17, 29, 105. — XVTII. 34, — XIX, 65, 80-82, 125-127. 131, 134-138. — XXII, 99, 113, 147-158, J03. — XXIII, 41, 266, 273, 274. — — XXIV, 98, 155-156, 304. — XXV, 15, 16, 76. 104, 105, 110, 279, 284, CONDOMINE, notaire à Toulouse, XXIII, 76. CONDORCET. XI. 29. Conférence au Village » la, XIX, 195. Conflans traité de XVII, 136. Confolens, XIII, 106. Confréries ou corporations, de SteAnne, SteAnne, Renoufielle, XXIV, 40, 45. — de St-Antoino, à Lectouro, XXIII, 84. — de Si-Clair, à la Bouquerie Condom. XXV, 185. — de SaintCrespin, à Vie, XIV, 322. — de StEutrope- et. de St-Jean-Baptiste, à Vie, XIV, 321-322 — do Ste-Catherine, dans le Gers, XXI, 30-38. — du Corpus Christi ou du St-Sacrement, dans la région Toulouse-Bayonne, XV, 291-292, à Bezolles, XXIV, 30, à Riguepeu, XVII, 20, 38, 39, à SteChristie-Rouit, XVIII, 45, à Simorre, XIV, 250, à Vie, XIV, 238. — de StNicolas, à Montréal-, XI, 256. — XV, 154. — de de Pitié, à Riguepeu, XVTI, 20, 39. Congrès d'histoire, d'archéologie et de géographie historique, Auch, 1910, XI, 86-129. Congrès de l'Union historique et ar- 52 — ohéologique du Sud-Ouest, XII, 350353. 350353. XV, 281-296. — XXIII, 203-221. Congrès international d'archéologie préhistorique, XIII, 203. Congrès de l'Union des Sociétés savantes du Sud-Ouest, 1924, XXV, 323. Coni, XIV, 123. CONINGHAM de, XV, 203. conque », ancienne mesure, XIV, 108. Voir mesures. Conques, XXV, 23. CONQUET, d'Auch, XXIV, 140. CONSTANCE DE RÉARN, XIII, 109. CONSTANCE-CHLORE, XVI, 188. CONSTANS Jean, consul de l'Isle-Jourdain, XIV, 201, 207, 208. — Père, conventionnel des Carmes de Pavie XVT, 270. CONSTANTIN, empereur romain, XVI, 188, 190. 191. CONSTANTIN, du club montagnard d'Auch, XX, 110. — XXI, 176, 276. — XXII, 36, 38. — de La Roniiou, XXV, 174. Constitution civile du Clergé, son application à Auch, XII, 242. Consuls élection, insignes, pouvoirs des, XVTI, 199-200. — cérémonial de l'élection et de l'entrée en charge des, XXV, 316-322. — fonctions des, jusqu'au XVIIIe siècle, XXI, 122-127. — XXII, 238. Consultations médicales au xviiie s., XIV, 128-132. CONTADE Maréchal de, XX, 45. CONTADES de. XV, 168. CONTÉ, curé d'Auradé, XVT. 34. Contrat de mariage au xve siècle, XX, 55. Contrat Une rançon par, et exemple de fidélité au contrat, au XVIIe siècle, XVIII, 221. Contre-révolution dans le Gers la, XVT, 129. — XXI, 183. — XXII, 7173. — XXIII, 194. — XXIV, 138. — XXV, 33-36, 48. CONTY prince de, XXV, 319. CONTY D'HARGICOURT de, XIV, 31. COPPA Raymond, archevêque d'Auch XV, 147. COPPIN, jurat, de Condom, XXV, 316, 319. COQUET ST-LARY, XXIII, 224. COQURALH Guillaume, juge du comte d'Armagnac, XX, 100. Corbeil, XVT, 77. Corbères baronnie de, XV, 71. CORBIL, XXIII, 221. Cordeliors églises ou couvents des, à Auch, XIV, 170, 174. — XV, 34, 71, 219. — XXI, 160, 164, 243. — à Condom, XXV, 188. — à l'Isle-Jourdain, XIV, 210-211. — à Lectoure, XXI, 203. — à Nogaro, XV, 219. — XVI, 128. — à Paris, XXIV, 221. — à VicFezensae, XIV, 111, 314-318. — XXI, 41, 270. — XXV, 258-261, 264-268. d'Auch, XVII, 287. CORDES do, XIV, 30. CORDIER, d'Auch, XXIII, 34. CORNAC de Mauvezin, XI, 42. — de. XIV. 16. Cornac- seigneurie de, XXI, 243. CORNE, d'Auradé, XVIII, 139. — de Montréal, XXII, 174. — notaire à Vie-Fezensac, XX, 61. — de, XXIII, 94. CORNÉ, jurat de Condom, XXV, 316. Corné seigneurie de, XIV, 351. — XXII, 312, CORNEILHAN, capitaine gascon de Jeanne d'Arc, XVI, 294, Corneilhan. XI, 45, 46, 205. — XV, 74, — XVT, 171, 180. 181. — XVII, 310. — XXII, 297. — XXIII, 228. — XXV, 171. CORNEILLE. XV. 236, 239, 240. CORNEILLE, négociant de Vie-Fezensac, XXIV, 290. CORNET, d'Auch, XII, 222. — recteur de Mouchan, XI, 57. CORNÉTY de, notaire d'Auch, XIV, 176. — 53 CORNÈZE Guillaume de, abbé de Berdoues, Berdoues, 189. CORNIL de, XVII, 98. CORNOISIER, XXII, 204. CORNUALT, XII, 144. CORXUSSON de, XIV, 334, 338. Cornusson, XXII, 93. CORRÈGES, marchand d'Auch, XVII, 287. COURENT, XI, 38. — XVI, 130. Correspondance épiscopale inédite du xviiie siècle, XXI, 104-112. Corses et Gascons, au XVIe siècle, XIV, 122-127. COHSIER Jean , évêque de Condom, XI, 251, CORTADE. de l'abbaye de Berdoues, XVTI, 182, 191. — jurat de Condom, XXV, 316, 317. — commissaire en 1792, XI, 314. — officier de santé, XXIII, 287. — de Lavardens, XIX, 66. — XXI, 244. — XXII, 352. — de Pavie, XXII, 358. — de Roquelaure, XII, 80. Carte combat de, XIV, 125. Corvées, ancienne redevance seigneuriale, XXII, 342. — XXIII, 1820. 1820. de, seigneurs de Lahitie, XXII, 266. — de Mon brun, XX, 53-55, 59. Cos seigneurie du, XX, 52. — XXII, 141. COSSAUXE. d'Auch. XXIII, 73. COSSAUX, président du Trib. révolut. d'Auch. en 1794, XXIV, 99. COSSÉ-BRISSAC Henri de, évêque de Condom, XXI, 74, 194-196. — XXV, 174. Cossi Bernard, juge de Trie, XXII, 169-171. Cosso Pierre du, XXI, 253. COSTABADIE de, XVI, 101. COSTALLAT de, XVIII, 175. COSTAU Fort du, chanoine de SteMarie SteMarie XX, 146. COSTE, de Lectoure, XXIII, 85. — de Villeneuve-d'Agen, XXIII, 270. — de, XXIII, 189. Costumes gascons Contribution à l'étude des, XIV, 141-142. COTOXER Don Raphaël, grand'maître grand'maître l'ordre de St-Jean de Jérusalem, XVT, 97. COTRAY de, de Samatan, XXII, 271. COTTE, consul de Mouchan, XXII, 302. COTTIGNON de, XV, 268, 275. COTTIN, XIX, 95. COTURE, chanoine de Tarbes, XII, 365. Coublucq Landes, XV, 121. COUCY de, major du Bat, patriotique du Gers, XXII, 66, 69. COUDERC, procureur, XIV, 117. — de Monfort, XVII, 223. COUDIER, de Condom, XIX, 65. COUDOT, de St-Orens-Pouy-Petit, XXV, 318. COUDRAY Marie Boursier du, sagefemme royale en 1770, XIII, 262271. 262271. Landes, XV, 121, 123. — XVII, 131. COUÉ, ele la Soc. pop. de Fleurance, XIII, 71, 82. — de Pavie, XVTII, 108. COUERGOU, de Lavardens, XXI, 244. — off. mum de Vie, XXIII, 316. — XXIV, 50, 51, 55, 285, 290. — XXV, 163. Couffé Loire-Inférieure, XXIV, 320. COUGET, de Maneiot, XI, 37, 40, 278. — prêtre obituaire à. Villefranche-d'Astarac, Villefranche-d'Astarac, 92. COULIN. consul de l'Isle-Jourdain, XIV, 333. COULLON, conseiller en Lomagne, XXII, 319. COULOM, prieur de Touget, XXIII, 143, 144. COULOUMÉ du, seigneurs de Lannes, XX, 52. Couloumé le, on Pardiac, XX, 62, COUMÈRE, off. mun. de Touget, XXIII, 126, 129, 130, 136, 302, — XXIV, 85, 91, 176. — 54 Coumes, XIII, 113-114, 237. COUNQUET, XI, 30. COUPERET, de Miraunes, XIII, 276. COUPEROSE de, XVTI, 95. COUPIN de, XXII, 99. — XXIII, 281. COURBIN, serrurier d'Auch, XXI, 290. — XXII, 201-202. COURBOISIER, XII, 255, 262. COURNET, XI, 37. — XXIII, 28. Cournon. seigneurie de, XXII, 305. Courrensan, XIII, 291, 292. — XVIII, 60. — XIX, 67-72, 109, 175-177. — XX, 26, 54, 65. — XXV, 129, 133. — origine de, XXI, 257. COURBENT, XII, 338. " Courrier du département du Gers », Le, XXIII, 41-46. Courrier postal en 1798 arrestation et vol d'un, XXIV, 130. COURROS, de Nogaro, XI, 38. COURS de, d'Antras, XII, 133, 140, 142143. — XIX, 185, 187 — XX, 71. — d'Espalais, XII, 142. — de Laboubée, on Conedomois, XVIII, 49. COURS, curé d'Espagnet, XVTII, 170. Cours seigneurie de, XII, 142, COURTADE de, XIX, 137. COURTADE, administrateur du départ, du Gers, XXIV, 51-52, — conseiller au sénéchal d'Auch, XXIII, 286. — avocat à Masseube, XV, 75. — de Lavardens, XIV, 173. — Divers XIV 257. COURTEILLES de, min. de Louis XV, XXII, 233, 236. COURTII. DE SANDRAS, XXII, 242. COURTIN, de Condom, XXI, 232, — secrétaire du Cardinal d'Ossat, XXII, 172. CoURTlNADE, de L'Isle-Jourdain, XVIII, 122. COURTIS, de Rieumes, XXIV, 87. Cous Antoine de, évêque de Condom, XXII, 57. — seigneur de Fourcès, XXV, 317-319. Couserans évèques de, XV, 213, 214, 218, 222, 225, 228. — XVII, 281. COUSINOT Adam 1, président du Parlement de Toulouse, XVI, 78, 82. — Guillaume, bailli de Rouen, XVII, 127, 128, 130. Coussan inondation de 1770 à, XI, 146. Coussière découverte de silex à ne, XIV, 80. Cousso de, XIV. 255, 257. — XIX, 146. COUSSOL de, seigneurs de Lapeyrie du Bédat, XII, 85, 104, 116. — XVT, 181. — XX, 69. COUSTAU, d'Auch, XII, 222. — de StLary, XX, 150. — XXII, 346. COUSTÈRE, maire de Noulens, 1789. XII. 182, COUSTÈRES, de Pavie, XVI. 269. Cout de la vie, sous l'A. R.. XIX, 111. — XX, 36-41. — prix du blé de 1600 à 1624, XXI, 58-59. — à Condom, en 1790, XXI, 231-235. — prix des chevaux au xvine siècle, XXIV, 102. Contances, XVTI, 128. 129. — XVTII, 14, 209. COUTENCEAUX, XXIV, 189. COUTENS, de Bassoues, XXII, 122, 128. COUTENX, prêtre à Simorre. XIV, 74. COUTHON, XXIV, 254. Contras, XVTII, 206, 208, 231. Coutumes d'Auradé, XVI, 222. — XVII, 226, 230. — de Rarran, XVII, 18. — de Bezolles. XXII, 113-114. — de Biran et St-Lary, XXII, 340. — de Blanquefort, XVI, 41. — d'Endoufielle, XI, 280-289. — élu Fezensae, XII, 22. —, XX, 97. — du Garrané et do Céran, XXIII, 232. —- de Monfort, XVT. 133. — de Montbéraud, XI, 93. — de Montréal, XI, 47-48, 52. — de Nogaro, XVT, 115. — de Noilhan, XVII, 100. — de Pavie, XIV, 189. — XVII, 197-202. — de Puylausic, XVTI, 96. — ele Riguepeu, XVTI. 22. — de St-Germier, XXV, 75. — ele St-Jean-Poutge, XIV, 190. — de St- — 55 — Sauvy, XVT, 224, — de St-Yors, XVTI, 18, 22, — de Termes d'Armagnac, XI, 20. — de Turutel ou Turtel, XII, 379. — XIII, 45-55. — XVI, 226. — XVII, 226, 230-232. — XVIII, 124. — de Vie-Fezensac, 100-106. — Origine des coutumes, XXII, 340. Couture, XX, 101. COUTURIER, de Riguepeu, XVII, 38. COUVRAN, XVIII, 14. COUZIER, curé de Goujon, XVI, 51-52. Ou; XXIII, 311. CRAMAILHO de, XVI, 182. deputé de Rivière-Basse, XIV, 225. CRAMPE, de Vie-Fezensac, XXIII, 152154, Crastes. XII, 247. — XIII, 207, 300. — XV, 67. Cravencères, XVII, 309. Crefeld bataille de, XV, 107. Créhenno, en Bigorre, XVI, 195. Crémen ou Crémens, XIV, 215. — XVII, 310. — XVIII, 182, Crémone, XVTI, 108. CRESCIO Jean de, chanoine' de Lectoure, XIV, 112, CRESPIN, de Bezolles, XXII, 114. — off. mum. de Vic-Fezensae, XXIV, 50. CRESSENT Charles, maître ébéniste, XVT, 01, 05. Creusot Expédition des cloches d'Armagnac, au, XVTII, 184. CRÉVIER, historien et humaniste, XXV, 145. CRIDEL. aubergiste du Castéra-Verduzan, XIX, 23, 24. CRISPUS, XVI, 191. Croire, espérer, aimer », par M. le Marquis de Pérignon, XIV, 372. Croisenag seigneurie' de, XVT, 84. CROISET Le Proviseur Georges, notice nécrologique, XVII, 141-147,162. CROISSANT, archidiacre d'Armagnac, XIV, 254. Croisy-sur-Andelle, XVIII, 202. Croix de guerre de Jules César » Les, par M. G. Baron, XIX, 197. — XX, 76-78. Croix de pierre sculptées, XIII, 304. — XIV, 63. CROIX-DASTÉ, d'Eauze, XII, 181. Croquants Episodes de la révolte. des, XXI, 252. — XXII, 129. Crosne, XII, 209. CROUTSBALÈNE, notaire en Fezensac, XIV, 53. CROUZET, XII, 201. — XXIII, 192. Cruas crypte de, en Ardèche, XIV, 312. CRUCHENT, juge de paix de L'IsleJourdain, XVT, 17. CRUSON, notaire à Bordeaux, XVII, 104, CRUSSOL de, XV, 203, 204, 206, 209. — XVTII, 16, 198. — duc de, colonel à. Auch, XII, 155, 156, 158-164 Divers XXII, 120. de, XXI, 194, CRUSSOL D'UZÈS de, XI, 26, 215. — XVI, 154, Cruzaela » Bulle de la, en Espagne, Espagne, 55. Cruzel motte de, XVI, 225. Cubzac droit de pontonage à, XI, 219. CUCQ Jean do, de Vie, XV,57. Cuélas, XVII, 185. CUGNAC de, XIX, 126, 186. — évêque de Lectoure, XV, 73. — XIX, 128129. 128129. XXIV, 170. CUGNO Pierre de, archiprêtre de Gondrin, Gondrin, 37. — jurât Condom, XXV, 316. CUISSE Raymond, XI, 331-332, CUJAS, XXII, 95. — XXIV, 294, CUUNT de. XV, 125. CUNTAC de, soigneurs de Pauilhac, XII, 124. Cuq, XXI. 218, 219. — XXIII, 70. Curés au Moyen-Age nomination des, XXI, 217. — 56 — Curiosités révolutionnaires, XVTI, 159161, 159161, — XVIII, 249-258. — XIX, 64-66. CUSTINES de, XVII, 184-186. — XXIII, 234. CUSTOS de, XXIV, 294. Cutz, nom primitif d'Encausse, XIV, 155. D DABADIE, guillotiné 1811, XXIV, 150. DABARIELS, consul d'Auradé, XVI, 29. DABBADIE, de Nogaro, XVIII, 51. — de Pavie, XVI, 269. — de St-Sauvy, XXII, 169. DABRIN, XVI, 130, 141. — consul de Monfort, XV. 274. DAFFIS Bernard, évêque de Lombez, XII, 240. — son neveu, XII, 289. DAGRAS, de Bezolles, XXIV, 23. DAGUILLE, charron de Condom, XXI, 234. DAGUIN, XIV, 21. — d'Auradé, XVIII, 139. DAGUZAN, d'Auch. XI, 259. — XX, 45, 46. — guillotiné en 1793, XXIV, 76. DAIGNAN OU D'AIGNAN, d'Auch, XI, 35. — XIV, 75, 115, 116, 257. — XVI, 269. — XVIII, 97. — XIX, 189. — — XXII. 358, 359. — XXIII, 116. — Louis, avocat au Parlement, XVI, 267. — XXII, 32, — Bernard, seigneur d'Orbessan, conseiller au Parlement de Toulouse, XIX, 90. — XXI, 197. — Gabriel, chanoine de Ste-Marie d'Auch, XXI, 197. — Léonard, XI, 297. — XXI, 197. — maire d'Auch, XXIV, 282-283. — président au Présidial d'Auch, XX, 44, 48, 50, 51. — Madame, ursuline d'Auch, XIX, 88, 89. DAIGNAN, de Duran, XXI, 164, DAIGNAN DU SENDAT, XI, 298. — XVI. 266. — XXI, 268. — XXIII, 57-58. — XXIV, 30, 358. — ses manuscrits, XVIII, 158159. — XXII, 173. — XXIII, 319. DAIGNE, de Lannepax, XX, 69. DAILHEM, délégué pour l'élection d'Astarac, d'Astarac, 98. DAILHON de, XXI, 251. DAIZES, bourreau d'Auch, XXIII, 204. DALAMAN, de Fleurance, XIX, 124. DALBARADE, de la Commission extraordinaire d'Auch, en 1794, XXII, 73. — XXIV, 79. DALES, de Monfort, XVII, 223. DALIOT, de Pavie, XVIII, 114. DALLAS, cordelier de Vie, XXV, 259. DALLIES, XIV, 21. DALMAS DE VERNONGRÈZE, XIV. 19. DAMBO, de St-Jean-Poutge, XXII, 108. DAMBRAY, chancelier de France, XXV, 276. DAMOUS, XIV, 108. DAMPIERRE Aymard de, XII, 143. DAMPMARTIN ou DANMRTIN comtes de, XV, 21. — XVI, 80, 176. — XVII, 132, 136-138. — XVIII, 17. 24, 26, 30, 201, 210. — XXII, 253. DAMVILLE maréchal de, XIV, 202, 207. DANCERELLE. notaire à Vie-Fezensac, XX, 58. DANDRIEU, de L'Isle-Jourdain, XXIII, 132, 304, — XXV, 303, 313. DANES, XIII, 134, DAXGLADE, magist. de Condom, XXIII. 277, 278. — XXV, 316, 319. DANIER, notaire à Vie-Fezensac, XXI, 39, 41. DANIS, curé Riguepeu, XVII, 35. DANJAN, XXIV, 140. Danmartin, XVI, 88. DANNESFOUERT, consul d'Aignan, XIV, 215. Danses macabres, XXIII, 176-178. DANSOS, de Bezolles. XXIV, 22, 26, 128, 130, 131. DANSOULTES, de Condom, XXV, 320. DANTIN, curé Riguepeu, XVII, 27. DANTON, XI, 29. — XXIV, 223. — XXV, 210. 57 — Danyalle seigneurie de, XII, 84. — XVIII, 48. — XX, 62. DARAN, d'Auradé, XVIII, 139. — consul de l'Isle-Jourdain, XIV, 201. — XX, 27. — XXII, 356, 358. DARAN-DARCAGNAC Michel de, guillotiné à Auch en 1794, XXII, 74, — XXIV, 81. DARAN DE LACARRETE, XII, 174, 175, 181. DARAX, de Montiron, guillotiné en 1797, XXIV, 135. DARBIN, avocat, XXII, 71. DARDENNE, d'Encausse, XIV, 186. — XXIV, 170. — de St-Lary, XX, 150. DARECH, curé de Clermont-Savès, XXIV, 49. DAREIX, XI, 278. — XII, 30, 39. — XX, 110. DAREYS, de Vie-Fezensac, XIV, 221. — XXI, 128. DARGASSIES, girondin d'Auch, XII, 162. — XX, 114, — XXI, 47. — XXIII, 149. — XXIV, 315, 316. DARGASSIZ, de la Soc. pop. de VicFezensac, VicFezensac, 54. DARGELLE, de Taybosc, XIV, 356. DARIBAUT, de St-Clar, XX, 118. DARIES abbé, XI, 39. — boulanger d'Auch, XVI, 92. DARIO, praticien d'Auradé, XVIII, 136. DARLAS, consul d'Auradé, XVI, 29. DARMAIGNAC, consul d'Empeaux, XVI. 35. DARMANDES, de l'Isle-Jourdain, XX, 26. DARMENTIER, curé de Simorre, XIV, 74. DARNAUD, bourgeois d'Auch, XIV, 224. DARNAUDE, off. num. d'Eauze, XII, 175, 181, 339-341. DARNÉ, vicaire d'Auradé, XVI, 34. DARNO, jurat de Condom, XXV, 316, 322, DAROLLES, curé Auradé, XVI, 34. — juge Auradé, XVIII, 135. — de Monferran, Monferran, 138. DARPARENS, avocat à Auch, XX, 48, 50; DARQUÉ, de Condom, XXI. 233. — XXV, 320. DARQUIER, de Saint-Clar, XIV, 261. — XVIII, 222. — XX, 118. — chanoine de Vic, XIV, 242. — XXI, 121. XI, 26. DARQUIZAN, notaire à Montréal, XX, 69. DARRAC, chirurgien à Montréal, XVIII, 259. — XXII, 174. DARRAS, XXIV, 155. DARRÉ abbé, vicaire-général d'Auch, XXIV, 351. DARRÉ, boulanger d'Auch, XVI, 92, — guillotiné en 1801, XXIV, 140. . DARRÉ DE LADEVÈZE, XXIV, 109. DARRIEUX, notaire à Bordeaux, XIII, 286. DARRIGADON, de Vic-Bigorre, XVI, 99. DARROS OU DE ROS, seigneur d'Endoufielle, d'Endoufielle, 280-288. — XVI, 225. DARROS Madame, Ursuline d'Auch, XIX, 88, 89. DARROUX, chapelain de Bezolles, XXIV, 128. DARROUY, agent national do L'IsleJourdain, XXV, 309, 314. DARTES, notaire de l'Isle-Jourdain, XVI, 223. DARTET abbé, d'Auch, XXIV, 309. DARTIGALAS, XII, 174, 280, 281, 284, 285. DARTIGOEYTE . notes biographiques, XIII, 68, 74-77. — XXIV, 284, — ses amours, XXII, 30-43, 176. — attentat à Auch, contre sa vie, XXII, 73-75. — XXIII. 44. — XXIV, 78-79. — son action révolutionnaire dans le Gers, XII, 253, 255, 261, 319. — XIII, 143. — XIV, 285. — XV, 49. — XVIII, 249. — XIX, 22, 24, 64, 164, 167. — XX, 118. — XXI, 49. 174, 178, 286. — XXII, 104, 278, 279, 290. — XXIII, 35, 40, 146, 166, 172. — XXIV, 166, 285, 289, 320-323, 378. — XXV, 167, 181, 182, 183. 208, 220, 269. DARTIGUE, XIV, 74. 58 — DARTISAS, de Vic-Fezensac, XV, 57. DARTOIS, XXIV, 108. DASPE, XII, 149. — commissaire-royal à Montauban, XX, 65. — juge-mage d'Auch, XXV, 90. DASSIER DE TANUS, XXIII, 189. DASSIS, évêque de Lombez, XXIII, 303. DASTARAC, XXIII, 72. DASTE, XI, 38. — agent municipal de Mirannes, XIII, 274, 276, 278, 279. — XVII, 43. — XXIII, 288. — consul de Simone, XIV, 73, 74. — chanoine, propr. de Lavacant, XVIII, 104, 119. DASTÉ, notaire d'Eauze, XI, 41. — XII, 59, 174, 178, 181. — Brutus, juge de paix à Eauze, XXI, 50. — XXV, 182, DASTON, de Condom, XXV, 320. DASTROS, poète, XIV, 207. DASTUGE, XIV, 348. DASTUGUE, montagnard d'Auch, XXII, 49, 51-52. DAT, XI, 273. — XII, 143, 144, — commissaire d'Auch, an III, XXI, 46. DAUBADÈRE de, XIV, 184. DAUBAS, député de Jégun, XIII, 188. — prêtre d'Eauze, XIV, 70. — curé de! Ste-Gemme, XV, 196. — de Condom. XXI, 233. — de Valence-sur-Baïse, XXL 50. — XXIV. 171. — chirurgien, maire de Beaucaire en 1792, XXII, 164. DAUBERCOURT Charles, artiste-peintre, XI, 201. DAUBERT, notaire de Toulouse, XXIII, 190. DAUBÈZE. XXIII, 301. Danbèze, XII. 363. — XIII, 228. DAUBIAN, de St-Christau, XVIII, 265. — religieux de Berdoues, XVIII, 266. DAUBIBANT, d'Auradé, XVIII, 134. DAUBONS, de Nogaro, XVIII, 178. DAUDÉ, XIV, 74. Dauga seigneurie de, XX, 57. DAUGUIN, jurat de Condom. XXV, 316. DAULASANTE, avocat, XVIII, 132. DAULON, de Toulouse, XXIV, 261. DAUMARG Dodon de, abbé de Pessan, XVII, 182. Daumazan, XI, 205. DAUMONT, chanoine de Nogaro, XVIII, 176. Daumont, XX, 101. DAUNA général, XX, 43. DAUNASSANS, de Condom, XXV, 318. — curé de Vicnau, XXII, 298. DAUNÉ, de Monfort, XVI, 141. — XVIII, 222, Daunian seigneurie de, XVII, 312, 313. — XVIII, 50. DAURE, de Vic-Fezensac, XV, 57, 58. — de Pavie, XVIII, 119. DAURENSAN, XI, 41. DAURIAC, consul d'Empeaux, XVI, 35, — de Marciac, guillotiné 1801, XXIV, 140. DAURIGNAC, administrateur du départ. du Gers en 1792, XI, 37, 278. — XX, 114, 116. — XXV, 182, DAURIOL, terroriste d'Auch, 1793, XIII, 76. — XXIII, 111. Dansone château de, près l'Isle-Jourdain, XXII, 100. DAUSSONNE, professeur de droit, XXII, 92. DAUTREY, notaire de Pavie, XVIII, 109. DAUVET, président du Parlement de Toulouse, XVI, 74. DAUX, de Jegun, XXI, 165. Daux, XXII, 262. DAUNION, notaire d'Ordan, XXI, 160. — XXIV, 134, — XXV, 143. DAUZIECH, général de la Garde nationale à Toulouse, XII, 263. DAU ZONNE, chef protestant, XIV, 339. DAVAN, de la Soc, pop. de Lupiac, XXI, 277. — XXIII, 166. DAVEJAN. XI. 37. — XXII, 34. DAVESNES François, pamphlétaire gascon et quiétiste, XV, 98, 108-116, 231-249. 59 DAVÉSSENS-MONCAL, XIV, 23. DAVET, d'Auch, XXIV, 311. DAVID, magistrat d'Auch, conventionnel, XII, 318. — XIV, 284. — XXI, 46. — XXIII, 95, 111. — secrétaire de Cavaignac, XXII, 42. — colonel à Auch, 1790, XVII, 121. — procureur au sénéchal d'Auch, XX, 107, 110. — président du Tribunal d'Auch, XXIV, 328, 329. — citoyenne d'Auch, 1793, XVIII, 252, — XIX, 166. — consul de Nogaro, XVI, 182. — curé do Bezolles, XXIV, 24, DAVISON, consul de Monfort, XVI, 133. DAVOUST maréchal, XVI, 70. — XXIV, 251. Dax, XII. 28. — XIII, 110. — XV, 124, 152, 202, 213, 214, 218, 222, 225, 228. — XVI, 171, 189, 190, 241. — XVII, 127, 129. 130. — XVIII, 17, 197, 208, 212. — XIX, 46, 53. — XXI, 114, 286. — XXII. 73, 74, — XXV, 130, 225. DAXACO, notaire de Toulouse, XXIV, 39. DAYDIE, montagnard, maire d'Eauze, XXI, 50. — XXV, 182. DAYMERIC, de Vic-Fezensac. XV, 57, 58. DAYMIER D'ARQUES, seigneurs de Lias, XX, 64, — XXII, 99. DAYOT, de Touget, XXV, 295. DAYREM. juge de paix à Monfort, XVII, 223, — XXI, 184, DAYRENX, avocat d'Auch, XI, 41. — XIII, 126. — chanoine de Vic, XIV, 104, DAYSSE, d'Eauze. notaire et député, XII, 59. 174, 342, 343, 344, 347. — XIII, 151. DAZIÈRE. notaire royal à Aubiet, XVT, 94, 98. DEBANS, prêtre, XXIV, 136. DEBAS, de St-Sauvy, XXII, 109. DEBAT, XIV, 303. — XV, 77. DEBRY Jean., XIII, 259. Décadis célébration des, XVIII, 250258. 250258. XIX, 165-160. — XXI, 175. — XXIV, 249-251, 287. DECALQUENS Etienne., XIII, 46. — XVI, 23, 225. DECAMPS, cordonnier de Pavie, XVIII, 117. DECAZENOVE, notaire de L'Isle-Jourdain, XXII, 86-101. DÉCÈS de, XXIII, 64. Décimes, revenus ecclésiastiques, XIV, 50. Voir dîmes. DECLER, XXIII, 109. DECOMPS, vicaire d'Espeyries, XXIV, 128. DECOQ, de Perricot, eu Condom, XXIII, 298. Décoration d'appartements au XVIIIe siècle. XI, 225-230. Découvertes monuments galloromains, à Antres, XI. 83. — a Auch, XI. 335. — XIII. 159-162. — XVI, 300. — à Courrensan, XIX, 0772, 109, 176. — à Montréal, XII, 195. — à Nougaroulet, XXII, 295. — à Puymirol Lot-et-Garonne, XXIII, 206. — à St-Bertrand-de-Comminges, XV, 283. — à la Salle de Nux, XXIII, 286. — à Séridos Montesquieu, XVII, 239. — en Tunisie, XII, 194, — XIII, 198. — d'un chapiteau en grès, du XIIIe siècle, à Mauciet, XVIII, 239. — de chapiteaux romans, à St-Créac et d'un bénitier à Auch, XIV, 196. — des colonnes de l'église Si-Pierre d'Auch, XIII, 129. — d'un autel gaulois à Auch, XXI, 114. — d'une, cuve en fonte à. Agen, XI, 235. — de coquilles marines, silex et outils préhistoriques à Manciet, XVIII. 237. — de haches en silex et travaux gallo-romains à St-Lary,. XIX, 18. — de silex et do haches, à. Jaulin, XIX, 26. — d'instruments préhistoriques, en divers lieux du Gers, XIX, 172, 173, 174, 177, 180, 182, 183, 184. — d'une inscription gallo-romaine à Lasseran, XIV, 71-72. — de grattoirs paléolithiques à 60 Brassempouy Landes, XIII, 289. — d'une grotte préhistorique à Ganties-les-Bains Ganties-les-Bains Hte-Garonne, XXIII, 206, 217. — de pierres sculptées à Seissan, XXI. 113-116. — XIX. 197. — d'une tête d'empereur romain près le Hallé. XIX, 100. — de l'oppidum d'Esberous, XVI, 207-213. — de médailles romaines à Mazères Barran , XVII. 93. — de monnaies romaines à Castéra-Lectourois, XVI, 289. — XVII, 157. — de monnaies gauloises à Laujuzan, XVII, 315316. — à, la Salle de St-Martin, XVII, 34, 43. — de monnaies et débris romaines à Bezolles, XXIV, 18-19. — à Cieutat, XVI, 211. — d'un trésor à Taybose, XIV, 352, — des ruines de Séviac, XIV, 146149. — de l'oppidum des Sotiates, XII, 367-373. — d'un camp, mosaïque et de vestiges gallo-romains à Vic-Fezensac, XIII, 165. — Pavie, XVII, 178. — du Théâtre et des Thermes de l'ancienne Césarée, en Algérie, XVII, 106. — d'un poids ? à Maravat, XII, 382. de vervelles, à Gondrin, XX, 130-131. Divers XX, 35. Découvertes funéraires amphores cinéraires à Blauquefort, XVI, 57. — cippe funéraire à Castet-Arrouy. XIII. 62-64. — epitaphes à Auch et à Lectoure, XVI. 199-200. — à. Landon, près Auch, XIX, 113. — squelettes à Gimbrède, XIV, 188. — squelettes et tombeaux en briques, à Montégut, XVII, 93. — pierres tumulaires à Goujon, XII, 193. — XIV, 367. — XVI. 49. — squelettes à. Barcugnan, 144-145. — tombes avec inscriptions à Cieutat, XVI, 211. — sarcophage à Mazères Barran, 196. DEFFIEUX, de Lannepax, XX, 52. DÉGAGES, orfèvres, XXII, 204. — XXIII, 221-224. DEGAN, curé Auradé, XVI, 34. DEGANS, notaire de Vic-Fezensac, XIV, 47, 240, 241. — consul d'Aubiet, XVIII, 156. DEGARDES, pro-euré de St-Mézard. XXII, 159. DEGAY. jurat à Vic, XIV, 221. DEGER abbé, de Riguepeu, XVII, 30. 37. DEGERS, notaire de Riguepeu, XVII, 40. DEGOUT, seigneur d'Endoufielle, XVII, 96. Deguem, XI, 45, 46. DEGUILHEM, administrateur du dép. du Gers, XX, 114, 116. — XXIII, 291. — XXV, 182. — de la Soc. pop. de Vic-Fezensac, XXIV, 54, 67. DÉJEAN, procureur au Parlement de Toulouse, XXII, 139. DELACAU, notaire en Bas-Armagnac, XIV, 216. DELACROIX, XVIII, 109. DELAIR, XI, 30. Délaissée » La , roman par M. Edouard Dulac, XXV, 327. DELALAIN général, XIII, 253. DELAMARE, XV, 235. DELART, voir LART de. DELAUR, XV, 208. DELBECQ général., XIII, 144. DELBET, XXIII, 71. DELCROS, d'Auch, XIX, 105. DELER, de Vic-Fezensac, XXIII, 156-157. DELEROS, institutrice à Auch, an VI, XV, 50, 51. DELESSART, ministre, XXII, 153. — XXIV, 228. — XXV, 159. DELHERM. DE LARCENNE, XVI, 130. DELIBES, XXIV, 147. — XXV, 296-298. DELILLE, jacobin d'Auch, XIX, 165. — littérateur, XI, 29. DELISLE Barcarin, conventionnel, — 61 XIX, 167. — XXI, 176. - XXII, 38, 40, 41, 49-51. — XXIII, 40, 111, 164. DELLAMARE, XXIV, 108. DELLAS, de Pavie, XVII, 299. DELLISLE, XI, 37. DELLON, de Montauban, XXII, 258. DELOM, de Barran, XXIII, 288. DELON, d'Auradé, XVIII, 138.. DELONG, juge-mage en Armagnac, XI, 68. — XIV, 174, 176, 178, 224. — XXII, 129. DELORD. de Lamazère-Mirande, XVI. 131, DELORME, XV, 57. DELORT, d'Auch, XI, 30. — consul de Meilhan, XIV, 218. — chanoine de Vic, XIV, 104. — XXIII, 158. — avocat-syndic, de Vic, en 89, XXIII. 316. 321. — XXIV, 288, 290. — général, XXII. 50. DELOUME Jeanne, de Malause, XIV. 117-120. DELOUYT, institutrice Auch. an VI, XV, 50. DELPECH DE LISSAC, vicaire de St-Clar. XIV, 68. DELPIELS, de L'Isle-Jourdain, XXIV, 52, DELUC, d'Auch, XI, 28. — de Garbic, XVIII, 136. — de Touget, XXIV, 246-250. — de Monfort, XVII, 223. — rie Boulaur, guillotiné 1821, XXIV, 152, 160. DEMAULRIN, notaire de Barcelonne, XVIII, 174. DEMAY, montagnard d'Auch, XV, 49. — XXI, 192, — XXII, 223, 281. — XXV, 182. — de Condom, XXV, 320. DEMENCES DE DEBAN, de Fleurance, XIX, 124. Democrate constitutionnel » Le, XXIII, 114-118. DEMONT, chanoine de Simorre, XI, 39, 279. — curé de Ste-Christe-d'Armagnac, XVIII, 59, 60. DEMORE, de Réans, XXI, 53. Dému, XIV, 45. — XV, 159. — XXI, 117, 153, 261. - XXIV, 152. - XXV, 262. DENAU, d'Auch, XII, 255. DENEIS, boulanger d'Auch, XVI, 92. — XXIV, 69. DENEITS général, XII, 269. — procureur fiscal de Pavie, XVII, 292, 295, 296. — XVIII. 109, 111, 112 — XXIV, 18. DENGAYE, de L'Isle-Jourdain, XXII, 310. DENIS, boulanger d'Auch, XXIV, 67. DENJOY, de Monfort, XVII, 223. DEPETIT ou DUPETIT, de Solomiac, XXV, 89. DEPETON, du Tribunal révolutionnaire d'Auch, XXIV, 79. DEPEYROT, off. num. de Condom, en 1790, XXI, 231. DÉPIS, de Lannepax. XX, 69. — du Saint-Puy. XI. 37. — de Terraube, XXV, 272-289. Dépopulation en Gascogne. XIII. 262, 271. DEPOUY, d'Aurignac, XIV, 355. DERISON, off. num. de Condom, en 1790, XXI, 231. DERRUS, institutrice Auch, an VI, XV, 50. DÉSANGLES, prêtre d'Auch, XXII, 162. — consul de Villefranche d'Astarac, XXV, 92. DESBARATS, de Condom, XXV, 320. — de Justian, XXI, 119, 121. — de Lagraulet, XX, 00. — de Mourède, XXV, 133. — de Vic-Fezensac, XXIII, 152, 155. DESBLAN, de Vic-Fezensac, XXIII, 155. DESCAMPS, conventionnel, XIV, 288. — XXIV, 324. — XXV, 104. — d'Eauze, XII, 342. DESCARS, seigneur de Merville, XXII, 101, DESCHAMPS-DESTOURNELLE, XXII, 31. — XXIII, 35. DESCHIENS, XXIV, 301. DESCLAUX, d'Auradé, XVI, 53, 55. — 62 — DESCLERMONDE, vicaire de ClermontSavès, XXIV, 49. DESCOMBETTES, XIV, 285-286. DESCOMPS, chirurgien de Vic, XIV, 242, 318. — procureur du Roi en Fezensac, XXI, 263. DESCOULLOMS, de Labarthe, XVIII, 220. DESCUILHE ou DESCULHER, maire d'Auch, XII, 145. — conseiller au Présidial d'Auch, XX, 45. DESCURRET, cordelier de Vic. XXV, 259. DESGRÉS d'Auch. XXIV, 312. DESGREZ. XV, 235. DÉSIRAT général Mathieu, XII. 205. — XXII. 50. DESMARETS, archevêque d'Auch, XVI. 200. DESMONGES, chanoine de Condom, XXII, 59. DESMOULIN, OU DESMOLINS, administrateur du départ, du Gers, député au Conseil des Cinq-Cents, biographie, XII, 318-322. — son Eloge de JeanJacques Rousseau », XII, 322-326. — Divers XXIII, 111. — XXV, 234, 275. DESMOULINS Camille, XI, 29. DESOMBES, de Clermont-Savès, XXIII, 82. DESORMEAUX. XII, 210. DESONDES, notaire Riguepeu, XVII, 28. DESPAIGNE, de Lagraulet, XX, 60. DESPAN, d'Aubiet, XVIII, 155. — jurat de Condom, XXV, 316, 317. — de Pavie, XVII, 298. — XVIII, 109. — XXI. 105, 106. DESPAUX Madame. Ursuline d'Auch, XIX, 88, 89. DESPIAU, d'Auch, XX, 42, 44-49, 110. — off. mun, et perruquier d'Auch en 1792, XXII, 37, 129. — chanoine de Sainte-Marie d'Auch, XV, 277. — XVIII, 71. — XXIII, 32. — marchand de Condom, XXI, 232. — maire de Mauvezin, XIX, 65. — XXIII, 23, 25, 28. — archiprètre de Vic-Fezensac, XIV, 112, 241. — vicaire de SaintJean-Poutge, SaintJean-Poutge, 62. DESPIET, XIV, 175, 220. — notaire à Jegun, XXII, 352. — de Nogaro. capitaine capitaine Amérique, XVIII, 44. DESPLANQUES, de Betplan, XXII, 145. DESPLATS, curé constitutionnel de Lalanne-Arqué, Lalanne-Arqué, 72. DESPONTS, agent municipal de Monfort, Monfort, 185, 180. DESSAINT, XIV, 19. DESSOLES général, XI, 264, 265. — XIII, 261. — XIV, 260. — XXII, 50. DESSUM, religieux de Touget, XXIII, 143, 178. — XXV, 294, 308. DESSUS, seigneurs do St-Germain, XXII. 324. — XXIII, 74, 80. DESTADENS. imprimeur à Auch, XIV, 250. DESTALENX, consul du Houga, XIV, 172, 175, 215. DESTARAC, juge en Fezensac, XIV, 174. — curé d'Auradé, XVI, 34. — XVIII, 135. — bourgeois d'Auradé, XVIII, 139. DESTERAC, prêtre de Condom, 1790, XXII, 155-156. DESTÈVE, conseiller du Roi, XIV, 74. DESTIEUX, d'Auch, XIII, 33. — XXIV. 318. — avocat, XX, 108, 109. DESTOUET, administrateur du départ, du Gers, XI, 37. 279. — XX, 114. — de Maubourguet, XVI, 105. — notaire à Gimont, XVI, 47. — procureur du roi à Nogaro, XIV, 172, 224. — XVIII, 48, 49. — professeur à l'Université do Toulouse, XVIII, 49. — seigneur de Bouit-Juzan, XX, 62. DESTREM, député aux Cinq-Cents, XXV, 161. DESTREMEAU, de Nogaro, XVIII, 49-51. — XXII, 66. DEUPÈS, receveur à Mirannes, XIII, 273-277, 279-281. DEUPEZ, consul d'Aubiet, XVIII, 156, — 68 — DEVAUX, sergent à Auch, XI, 39. — prêtre a Lectoure, XXIII, 85. DEVÈZE, seigneur d'Arné, XXI, 168. Devèze, XX, 26. DEVIENNE, maire d'Auch, XXIII, 265. DEVILLE docteur, XIV, 175. DEVILLEMUR, notaire à Monferran, XVIII, 135. — XXII, 86. — XXIII, 81, 82. DEZPECH Don Luis, XV, 206, 207. DIANE D,ANDOUINS, maîtresse d,Henri IV XIV, 152. DIANE DE BÉARN, XIX, 157. DIANE DE POITIERS, maîtresse de François 1er, XIV, 157. DIANE souvenirs de la déesse dans le Gers. XX, 123. DICHÉ, sergent-royal au sénéchal d'Agen, XXII, 67, 68. Dictionnaire de l'émigration gasconne », par M. Lacave-LaplagneBarris, XX, 84, DIDEROT. XXV, 44, 203. de, consul de Gimbrède, XXI, 143. DIEULOUHEC, administrateur du dép. du Gers, XI, 37, 41, 259, 278. DIEUZAIDE, juge de paix d'Auch, XXIII, 115-116. DIEUZÈDE, châtelain de Herrebouc, XII, 143. — notaire à Vic-Fezensac, XVII, 44. DIEUZEYDE-BAQUERION, notaire à VicFezensac, XX, 53. Digne un abbé de Simorre, évêque de, XXI, 105. Dijon, XXII, 131. — XXIII, 290, DlLLON Comte, XV, 300. — XVII. 178. — XXIII, 237. Dimes, de l'abbaye de Gimont, XVI, 46-48. — de l'archevêque d'Auch, XII, 121, 124, — XIV, 234. — du chapitre d'Auch, XX, 54, 56, 143-147. Voir Auch. — du chap. d'Agen, XXV, 16. — du chap. de Toulouse, dans L'Isle-Jourdain, XXIV, 37, 38. 44. — du chap. de Nogaro, XVIII, 170-171. — du chap. de St-Justin, XXIII, 55, 56, 59-61. — du chap. de Vic-Fezensac, XIV, 104-110. — de l'évêque de Tombez, XVII, 237. — paroisse d'Auradé, XVII, 237. — par. de Bezolles, XXIV, 25, 27, 33. — paroisse de Gimbrède, XXI, 136, 144, 217-219. — paroisse de Riguepeu, XVII, 45. — paroisse de SaintSauvy, XXII, 169-171. — Doléances concernant les dîmes en 1789, XVI, 252. — XVII, 51-52. — XXIII, 26. — — leur suppression, XXIII, 140. — proces, à leur sujet, entre seigneur et curé, XXI, 144-152. — convention entre évêque et seigneur, XXI, 213215, 225-227. — Divers XII, 21, 176178. — XIV, 50. — XVIII, 35, 107. — XXII, 113, 250. — XXV, 193, 260. DINAN Françoise de, XIX, 51. Dinan, XIX, 152. DIOCLÉTIEN, XVI, 187. Diou-lou-Sap, en Castillon, XIV, 50. DIRAT, de Cologne, XI, 42. — de Cox, XXIII, 311. — XXIV, 249. — XXV, 294,295. — de Monfort, XV, 277. — XVII, 223. — de Montbardier, XXIII, 81. Disette à Eauze, en 1791, XII, 348-349. DISPANS, de Touget, XXV, 291, 294, 296, 299, 300. Dissar, XXII, 74. DISSE de, XVII, 132. Diziers, XV, 233. Dizos de, XIX, 139. DOAT, d'Aire, guillotiné à Auch, XXIV, 149. — d'Auch, XIX, 165, — XXIV, 310. — administrateur du département du Gers, XX, 110. — de Barcelonne-du-Gers, guillotiné 1797, XXIV, 135. — de Nogaro, XII, 84, 85. — XVIII, 177-184. — XIX, 65. — de Pavie, XI, 276. — XVII, 294, 297, 299. — XVIII, 105, 106, 109. — de Taybosc, XIV, 351, 355. — juge en Eauzan, XII, 179, 180. — Divers XXII, 356, 357. DOAZAN, maire de Lamothe-Gondrin, XIX, 23. Documents de la raison » Les, XXII, 285-294. — XXV, 200-213. DODES Jean, de Caliors, XI, 331. Doléances Rédaction des Cahiers de, en 89, XXIII, 22. DOLSCAT, médecin de Condom, XXIII, 278. DOMBERNARD Etienne, XIX, 64. DOMEC, notaire d'Auch, XIX, 91. — XXI, 197. — de Taybosc, XIV, 355. DOMER, notaire d'Auch, XXIII, 204. DOMERC de, XVI, 100. DOMERC, de Ladevèze-Ville, XXIII, 98. — de Plaisance, XI, 42. — curé de Touget, XXIII, 17, 23, 124-129, 311. — XXIV, 83-85, 94, 175. Domfront, XVII, 129. Dominicains d'Auch, XVII, 119. — XXIV, 28. — de Marciac, XXI, 150. DONADIEU, de Lectoure, XXIII, 204. Donal seigneurie de XX, 67. DONAT, curé de Saint-Arailles, XVII, 27. DONAT DE CARAMAN, procureur de l'Isle, XXII, 89. DONAUSSANS, off. mun. de Condom, XXI, 231. DONEC, prêtre à Villefranche d'Astarac, d'Astarac, 92. DONEYS, chirurgien de l'Isle-Jourdain, XVIII, 188. DONZAC Raymond de, évêque de Rayonne, XV, 218. DORBE, de Clermont, XXII, 101. — de Monfort, XVII, 223. — de Puycasquier, XXV, 293, 294, 300, 313. DORBES, de Masseube, XXIV, 135. DORDIS, consul de St-Clar, XIV, 68. DORGAN, d'Auradé, XVI, 30, 34. — notaire de Lannepax, XX, 67. DORGUEIL, lieutt. du maire d'Auch, XVI, 92. — chanoine de St-Orens d'Auch, XXIII, 52, — prêtre insoumis, arrêté en 89, XVIII, 60. DORIANT DE TARSAC, XIX, 129, 134. DORLAN Raphaël, XVI, 152. DORTEILHAN, de Condom, XXV, 320. DOSLENS, d'Ayguetinte, XIII, 238. DOSSAT-MAJESTÉ, de Barcugnan, XIV, 348. DOSTE. juge à Miradoux, XXI, 220. Dot d'une fille d'ouvriers au XVIIIe siècle, XVIII, 171. DOUAT, de Monfort, XVII, 223. DOUCE, off. mun. d'Arreau. XIX, 65. DOUET, XXIII, 16. DOUET DE LA BOULLAYE, intendant d'Auch, XVI, 68. DOUILHAC, consul de Monfort, XVI, 132. DOUILLE Jean, sculpteur, XIII, 301. — XIV, 250-258, 323. — XVI, 297. — XXIII, 221. — Bernard, vicaire, XIV, 256. DOUILLÉ-LACHAUX, XIV, 256. DOUJAT, conseiller au Parlement de Toulouse, XXII, 100. — XXIV, 37. DOULADÈRE, consul de Monfort, XV, 208. — XVI, 141. DOULCET, XXIV, 215. — Hispan de, de Lectoure, XXI, 140. DOULCET-MASSAGUET de, XXI, 215-210. DOULHAC de, XXII, 314. DOULX-DOULCE, seigneurs de Pibrac, XV, 134, DOUMY de. XVI, 236. — XVII, 130. DOUSSET, consul de Pavie, XVIII, 100. — sculpteur, XXV, 192. DRALET, conservateur des forêts, XIII, 129. — député en 89, XIII, 188. Drapeaux bénis et offerts à SainteMarie d'Auch, XII, 146, 147, 152. — du Régiment de Bourgogne, au Musée de la Société archéologique du Gers, XII. 152. — des Républicaines d'Auch, en 1793, XIX, 161-171, 196. — XX, 80. Dreux bataille de, en 1562, XIII, 209. — XVIII, 227. 65 Droits seigneuriaux sous l'A. R., XII, 130-132. — XXII, 96-98, 339-345. — XXIII, 190, 191, 235, 240-243. — abandon des XXII, 241. — dénombrement des, XXII, 146, 225226, 228-230, 344, DROUILLARD, receveur municipal de Condom, XXI, 231. DROUILLET, administrateur municipal d'Auch, an VI, XVII, 219. — XXIII, 111, 166. Drudas, XII, 125. — XXII, 269. DRUILHET, avocat de Jegun, XIII, 188. — juge de paix d'Auch, XIX, 66. — jacobin, XX, 108, 114. — XXV, 182. — de Monfort, XV, 276. — curé de Margouët, XXIII, 52. — XXIV, 312, 328. DUALLE Antoine, serviteur à Latour, XIII, 223. DUBARRAN, XXIII, 113. DUBARRY ou DU BARRY, XIV, 13-37. — de Monfort, XVII, 223. — du SaintPuy, XXV, 183, 276. DUBARRY comtesse, favorite de Louis XV, XIV, 28, 36. — Un épisode de sa présentation à la Cour, XXI, 121. DUBARRY-CÉRÈS comte, guillotiné en 1793, XIV, 19-24. DUBARRY-HARGICOURT, XIV, 29-33. DUBARRY-LAPRADE, XIII, 189. DUBÉDAT, de Marciac, XXIV, 328. — procureur de Fourcès, XX, 40. — famille de Nogaro, sa généalogie, XVIII, 48-49. DUBÉROS, d'Arblade, XIV, 369. DUBIGNAUX, consul de Vic, XIII, 177. DUBOIS DE CRANCÉ, XIX, 95. DUBOIS-DUBAIS, sénateur, XXIV, 107. DUBON, d'Aubiet, XVIII, 155. DUBOR, XI, 29. — off. mun. de La Romieu, XXI, 51, 52. DUBORD, XI, 38. DUBORT, de Pavie, XVII, 295, 296. — XVIII, 102, 111, 112. DUBOS, de Nogaro, XVIII, 183. — de St-Pierre d'Aubézies, XXIV, 313. DUBOSC, notaire en Bas-Armagnac, XIV, 172, 175. — boulanger de Gondrin, XVIII, 03. — de Pavie, XVII, 248. — XVIII, 117. — chanoine de L'Isle-Jourdain, XXIV, 47. — guillotiné, 1802, XXIV, 140. — vicaire de Clermont-Savès, XXIV, 49. — de Sos, XXIV, 195. — de Touget, XXV, 295-296, 301. DUBOSQUET, XIV, 111. DUBOUCH, percepteur du Saint-Puy, XXV, 274, 275, 276, 279. DUBOURDIEU, de Condom, XXIII, 277. — de Valence-sur-Baïse, XX, 71. DUBOURG, vicaire de Bezolles, XXIV, 125, 127. DUBOURG ou DU BOURG, seigneur de Clermont et gouverneur de l'IsleJourdain, XI, 71. — XII, 295. — XIV, 334-345. — XX, 29. — XXII, 86,87, 93, 94-103, 257-274, 305-326. — XXIII, 66-70, 198. — XXIV, 41-43, 46-47. DUBRANA, off. mun. de Condom, XXI, 231. — de Fourcès, XX, 40. DUBRENA, de la Soc. montagnarde d'Eauze, XXI, 50. DUBROCA, de Condom, XXIIII, 275, 276, 278. — XXV, 320. DUBUC, du St-Puy, XI, 41. DUBUST, XXI, 147. DUBUYS, magistrat à Condom, XXIII, 279, 280. Duc, vicaire de Bezolles, XXIV, 125. DUCAMP, notaire à Nogaro, XVIII, 49. DUCASSÉ, d'Artagnan, XVI, 101. — de Beaumarchès, XXIII, 97, 99. — curé d'Esclignac, XV, 267. — député du Fezensaguet, XIV, 225. — de Fleurance, XIX, 123. — prêtre à Lectoure, XXIII, 84. — de Pavie, XVIII, 117. — chirurgien de St-Justin, XXI, 247. — de Touget, XXV, 300. — vicaire-génér. de Lectoure, XXIV, 128. — Marie, guillotiné 1799, XXIV, 139. 5 DUCASTAING, curé de Lannux, député aux Etats-généraux, XII, 59. — XV, 73. DUCHAMPGRAND, jurat de Condom, XXV, 316, 320, 322, DUCHÉ DE VANCY, XVII 20, 29. DUCHEMIN Jean, évêque de Condom, XXII, 57. — archiprêtre de VicFezensac, XIV, 112, — seigneurs de Lauraët, XV, 63. — XX, 69. DUCLAUX, de Caupenne, XVIII, 50. — consul de Nogaro, XIV, 215. — XVIII, 51. DUCLAUX ou DUSCLAUX DE SENESCAU, XX, 62, 63. — ses poésies patriotiques, XVIII, 161. DUCLERC, d'Auch, XVII, 287. — guillotiné 1794, XXIV, 134. DUCLOS, administrateur du Gers en 1792, XX, 114, 116. — de Bernède, guillotiné 1796, XXIV, 135. DUCLOS DU COLOMÈS, XVI, 272. DUCLOS DU FRESNOY, XIV, 26. DUCOM, vicaire de Ste-Christie d'Armagnac, XVIII, 60, 184. — Jeanne, de Toujouze, XXIV, 149. DUCOR, de Simorre, XIV, 74. DUCOS, secrétaire de Dartigoeyte, XXII, 36. — sous-préfet de Mirande, XXII, 127, 128. — XXIII, 54. — gendarme à Mauvezin, XXV, 296. — de Castelnau-Rivière-Basse, XIV, 224. — de Masseube, XIX, 65. — de Mirande, XIV, 348. — de Monfort, XVII, 223. — curé d'Urgosse, XVIII, 183, 184. — Divers, XI, 37, 38, 42. — XII, 318. DUCOURNET, de Lialores, XXV. 318. DUCOUSSO, de Bouit, XVIII, 183. — de Ménas, XX, 35. DUCOUSSO-LAUBADÈRE ou DUCOUSSO, capitaine du Bat. patriot. du Gers, XXII, 66. DUCROS, apothicaire d'Auch, XXIII, 262. — bourgeois d'Auch, XIV, 224. — chanoine de Saint-Orens d'Auch, XXIII, 57. — de Clermont-Savès, XXIII, 195. — de Pavie, XVIII, 108. DUCURON, de Sombrun, XVI, 105. DUDROT, conseiller à la Cour de Condom, XXIII, 276, 278, 279. Duel, sous Louis XIV » Un, par M. le Comte de Broqua, XXI, 202204, 286. DUFAU, d'Auch, terroriste, XXIII, 111, 113. DUFAUR, off. mun. d'Arreau, XIX, 65. — procureur du Roi en Eauzan, XIV, 179. — consul de Monfort, XVI, 134. — consul de Mouchan, XXII, 302. — consul de Nogaro, XVI, 182. — de Lagraulet, XX, 66. — seigneur de Saint-Christau, XVIII, 100. — seigneur du Tuco, XXI, 164. — sorcière de Bourrouilhan, XXII, 299. — Vital, granger de Vic, XV, 64. Du FAUR, seigneurs de. Riguepeu, XVII, 27, 28, 29, 35, 44. DUFAUR-LARRIVIÈRE, seigneurs de StChristaud. XVI, 267, 269. DUFAUR DE LA RIVIÈRE, seigneurs rie Lasséran, XVIII. 103, 100. DUFAUR DE PUJOS, XVII, 116. DUFAUT, secrétaire de la Soc. Révolution. d'Auch, XXI, 46. DUFAUX-PlBRAC DE TARABEL, XI, 297. DUFFAC, consul de Pavie, XVIII, 100. DUFFAU, avocat à Condom, XIII, 189. — XIX, 22, — XXI, 56. — off. mun. d'Eauze, XII, 175, 321. — de Fourcès, XX, 40. — de Miradoux, XX, 139. DUFFAUR, XXII, 75. — XXIV, 82. — seigneur de Barbazan, XXV, 77. DUFFAUT, consul d'Auch, XVI, 92, — off. mun. d'Auch, XXIV, 138. — capitaine de Monfort, XVII, 223. — chirurgien et consul de Monfort, XV, 274, — XVI, 139, 141. — procureur-syndic de Condom, XXIV, 165. — guillotiné 1803, XXIV, 141. DUFFORT, secrétaire de la Préfecture 67 du Gers, XXIV, 107. Duffort, XIII, 294. — XXI, 37. DUFFOUERT, aubergiste à Viella, XX, 37. DUFFOURC de, XVI, 181. DUFFOURC, de Mirande, XXIII, 240. — de Nogaro, XVIII, 51. — de Taybosc, Taybosc, 358. DUFOUR, d'Auch, XI, 272. — XII, 223. DUFOURC, de Condom, XXV, 321. DUFOUSSÉ, chanoine de Lombez, XIV, 138. DUFRANC, avocat, consul et jurat de Condom, XXII, 298. — XXV, 316, 317. DUFRÈCHE, prêtre constitution. XXIII, 158. — de Vic-Fezensac, XXIV, 288, 290. — XXV, 103, 164. DUFRÉCHOU, de Vic-Fezensac, XXI, 266. — XXIII, 150, 151, 155. — XXIV, 288. DUGARROS, notaire à Castillon-de-Batz, XII, 213-215. DUGLAS, de St-Yors, XXI, 270. DUGOMMIER général, XXII, 50. — XXIV, 252. DUGON, de Condom, XXV, 320. DUGOY ou DHUGOY, XXI, 147. DUGUESCLIN, XV, 263. — XVI, 123. — XXV, 67. Du GUESCLIN, évêque de Cahors, XX, 46. DUHEM, conventionnel, XIV, 284. Dujac chapellenie de, XXII, 20. DUJARRI, notaire de Toulouse, XVII, 28. DULAC, prieur de Gimont, XVI, 47. DULAUR, de Saint-Clar, XIV, 67. DULAUS, de Clermont-Savès, XXII, 257. DULIN, de St-Puy, XI, 41. Du LIN, seigneurs du Lin, XVII, 309, 314. DULO, XXIV, 165. DULONG, expert, XV, 38, 45. DULUC, de Lagraulet, XX, 66. — de Saint-Orens-Pouy-Petit, XXIII, 145, 296. DUMAIL, de Condom, XXI, 233. DUMAINE DE ST-LANNE, chanoine de Vic-Fezensac, XIV, 104. — XXIV, 287. DUMARTIN, huissier à Samadet, XXI, 286. — XXII, 72-73. DUMAS Alexandre, XXI, 281. DUMAS Paule de, épouse de LuppéTaybosc, LuppéTaybosc, 299. DUMAS, du Trib. révolutionnaire de Paris, XXIII, 194. — bourreau d'Auch, XXIII, 264. — juge à Clermont-Savès, Clermont-Savès, 87. DUMAY, d'Auch, XXIV, 312. DUMESTE, guillotiné 1794, XXIV, 77. DUMONT, chapelain à St-Pierre d'Auch, XII, 223. — consul d'Auch, XXIII, 224. DUMOULIN, notaire, XX, 137, 139. DUMOURIEZ, XXIV, 169, 228, 231, 317. — XXV, 159, 161. Dunes, XXI, 142. DUNOIS comtes de, XVI, 172. — XVII, 130, 136, 138. — XVIII, 209. — — XIX, 51, 52, 57, 150, 152-155. DUPARENT, de Condom, XXV, 318. DUPATY président, XI, 29. DUPEREY, XXIV, 215. DUPETIT, avoué à Mirande, XIX, 66. DUPEYRON, XXIV, 149. DUPIN, off. du génie, XI, 39. — conventionnel, XIV, 285. — jurisconsuite et ministre, XIX, 147. — bourreau d'Auch, XXIII, 262. — de Lectoure, XXIV, 330. — vicaire de Condom, XXV, 175. — de Touget, XXV, 296. DUPLANTÉ, notaire à Haget, XXI, 247. — de St-Lary, XXII, 132, 225, 228, 338, 348. — Divers XVI, 181. DUPLEIX Scipion, conseiller du Roi, XXII, 130. — de Cadignan, XXIII, 298. DUPLESSIS-RICHELIEU Arnaud, duc d'Aiguillon, XXI, 194-196. DUPLESSIS, XXIV, 215. — 68 — DUPONT, de Condom, XXIII, 280. — chanoine de St-Justin, XXIII, 58. — receveur-général des Larmes, XXII, 250, 271. — notaire à Vic-Bi. gorre, XVI, 99. DUPONT D'ESCAIGNAN, XII, 173. DUPONT DE L'ETANG général, XXV, 273. DUPORT, XIX, 95. DUPOUILH, notaire à Monfort-duGers, Monfort-duGers, 79. DUPOUTS, procureur à Viella, XX, 38. DUPOUY, imprimeur à Condom, XIII, 189. — XXI, 233. — de l'Isle-Jourdain, XXII, 151, 306. — de Montant, près Auch, XXV, 272, 275, 280, 281, 288-289. — de Mouchan, XXIV, 166. — seigneur de Lasserre, XVI, 90. DUPRAT, imprimeur à Auch, XI, 29, 30. —XIV, 140— XXIII, 123. — lieutenant-colonel à Auch, XII, 244. — de Gachies, près Auch, XVIII, 220. — de Condom, XXI, 233. — de l'IsleJourdain, ministre protestant, XXII, 101, 311. — général, XIII, 253. — de Lagraulet, XX, 66. — de Mauvezin, XXIV, 63. — de Mourède, vicaire, XXIV, 125, 128. — de Riguepeu, consul, XVII, 26. de VicFezensac, religieux et chanoine, XIV, 108. — XV, 56, 58, 04. — XXV, 259. — de Villecomtal, XI, 41. DUPRÉ, XI, 75. — XXII, 347. DUPRED, de Lombez, XXV, 77. DUPUCH, négociant de Condom, XXI, 233. DUPUCHON, bandit bigourdan, XXII, 235. DUPUTS ou DUPUN, vicaire de Gondrin, XVIII, 62. — XXII, 70. — seigneur de Gondrin, XX, 71, 72. — de Taybosc, XIV, 353, 358. — XVI, 137. DUPUY de, XIV, 354. DUPUY d'Auch, XIX, 165. — XXIV, 80. — abbé, émigré en Espagne, XXIV, 351. — de Castillon-Debats, XI, 41. — XXIV, 149. — de Cazaubon, Cazaubon, 180. — de Condom, XXV, 316, 320. — XXI, 232, — de Callian, XXIII, 163. — de Monfort, XVII, 223. — de Montagnac, XXII, 312, 313. — XXIII, 70, 71, 74, 75. — de Pavie, XVI, 268, 269. — de Riguepeu, XVII, 41. — de Saint-Clar, XIV, 68. — de Ste-Christie d'Armagnac, XVIII, 60. — de Toulouse, XXIV, 189. — de Valence d'Agen, XVI, 131. — de Vic-Bigorre, XIV, 109, 112, 221. — XXI, 128, 247, 268. — lieutenant d'infanterie, XX, 69. — lieutenant du juge en Fezensac, XXI, 263. — Louise, guillotinée, 1794, XXIV, 134. — Divers XIII, 177. — XXII, 33. DURAN, évêque de Toulouse, XV, 152. — d'Auch, XIX, 165. Duran, XI, 311. — XIV, 26, 195. — XVII, 178. — XX, 101. — XXI, 153, 154, 155, 162-165. — XXII, 130. — XXIV, 150. — la seigneurie de, XIV, 329-332. — inventaire de l'église de, an V. XIX, 103-104, 110. Durance, XV, 122. DURAND, maître de cérémonies maçonniques, XI, 30, 265. — de Marambat, XXI, 40. — de Rozès, XXIV, 21. — Divers XVI, 215. DURAND-MAILLANE, XIII, 74. — XXII, 39. DURANTI, XIV, 335. DURANTI DE GARAULD, président du Parlement de Toulouse, XXIV, 261. Duras, XV, 84. DURAURAY, de Condom, XXV, 321. DURBAN. d'Auterrive, XVI, 272, 273. — XVII, 297. Durban, XI, 278. — XIII, 111. — XVI, 288. — XVII, 180, 191. — XVIII, 82, 93. — XXIII, 230, 231. DURBAS, de St-Lary, XXII, 348. DUREIGNE, prêtre de Condom, XXII, 61. DURFORT de, évêque de Montpellier, XIV, 137. — marquis de Castelbajac, 69 XXI, 247. — seigneurs de Gimbrède, XXI, 141. — Divers XVII, 97. — XXII, 312. DURFORT, d'Auradé, XVI, 52. — Divers XVII, 97, 98. — XIX, 32, 33. Durfort seigneurie de, XXI, 163. PURGUEIL, avocat, XVII, 294. — notaire de Pavie, XVIII, 109. DUROS, de L'Isle-Jourdain, XIII, 46. — XVI, 23, 225. DUROSOY, XXV, 156. DURRIEUX, d'Agen, XI, 29. — de Lectoure, XI, 259. DURRUTY, cordelier de Vic-Fezensac, XXV, 259. DUSAGE, consul de Condom, XXV, 316. DUSELIER, greffier à Miradoux, XXI, 220. DUSSAUX, notaire, XIV, 327. Dusseldorf, XV, 167. — XXIV, 325. DUSSER, de Vic-Fezensac, XXIII, 153, 154. DUTAU, d'Auvillars, XXIII, 96, 117. DUTAUT, off. mun. Fleurance, en 93, XIII, 69. — curé de Blaziert, XXV, 183. DUTIRON, de Bouit, XVIII, 46. DUTOYA, administrateur du Gers, eu 89, XX, 110. — de la Soc. pop. de Condom, XXIV, 169. — jurat de Condom, XXV, 316. — procureur à Viella, XX, 38. DUTREY, d'Eauze, XXI, 50. DUVAL, XIV, 326. DUVERGER, XIV, 15-17. DUVERNIER D'ESPLAVIS, maire d'Eauze, XII, 175. DUVIGNAU, juge en Fezensac, XXI, 262. — de St-Orens-Pouy-Petit, XXIII, 145. DYASSE, de Vic-Fezensac, XV, 57. E Eaux-Bonnes, XXV, 127. Eaux-Chaudes, en Béarn, XIV, 150, 155. Eaux minérales du Gers, Bassoues, XXII, 122-128. — Voir Castéra-Verduzan. Eauzan. XI. 75. — XIV, 169, 179. — XVI, 112, 176. — XVIII, 51. Eauze sous la domination romaine, XVI, 188. — XVII, 78, 84, 264, 306, 307. — fouilles près d'Eauze et découverte de l'ancien oppidum d'Esberous, XVI, 207. — la pierre bilingue d'Eauze, XIX, 101-102, 114-115, 188191. — XX, 81. — évêques et églises, XV, 152. — XXIII, 225, 229. — ravages de Montgoméry, XXI, 119. — chapelle de Ste-Catherine, XXI, 37. — convocation à Eauze des milices de la sénéchaussée d'Auch, en 1674, XVIII, 193. — Une exécution capitale à Eauze, XXIV, 150. — Période révolutionnaire XI, 38, 41. — XII, 59-69, 172-183, 247, 276-287, 339-349. — XXIII, 113. — la journée sanglante du 20 mars 1791, XII, 283-287, 339-346. — XVIII, 176. — le clergé d'Eauze pendant, la Révolution, XXV, 178182. — Divers XI, 76. — XIII, 166. — XIV, 179, 215. — XV, 67, 219. — XVI, 112, 176, 178. — XVIII, 23, 34, 38, 41, 51, 239, 241. — XX, 60, 101, 106. — XXI, 117, 199. — XXII, 65, 104, 246, 298, 304, — XXV, 64, 196. EBONS châsse de St, XV, 286. EBRARD, administrateur du Gers, en 1793, XX, 116. Echo de St-Christau, près Auch, XVIII, 267-270. Ecole de Charité, à Auch, XXIII, 2934, 2934, sous la Révolution, XXIV, 251. — Voir Instituteurs. Instruction. EDOUARD Ier, roi d'Angleterre et duc d'Angoulème, XIV, 297. — XVI, 110. —XX, 134. — XXV, 115-117. EDOUARD II, XIV, 298, 300. — XXII, 111. EDOUARD III, XIV, 304, 305. — XVI, 114, 115. 70 EDOUARD IV, XVIII, 14, 30, 199, 202. — Lutte du roi d'Angleterre contre Gaston de Béarn, XIII, 100-110. EFFIAT d', seigneurs de Riguepeu, XVII, 30. Eglise situation et rôle de l', au XV, 224, EICIUS, de Nogaro, XV, 143, 150. ELAUS d', XVI, 182. Electeur consciencieux Un, XXIV, 235. Elections consulaires au XVe siècle, XIII, 57-59. — élections aux Etatsgénéraux de 1789, XV, 69-74. ELÉONORE DE COMMINGES, mère de Gaston Phébus, XIV, 303, 306. — XVI, 230. ELÉONORE DE NAVARRE. XVI, 175. ELIE, évêque d'Agen du XIe siècle, XXV, 119. Elne, XV, 209. Eloge funèbre de M. le Comte de Miran, par le président-marquis d'Orbessan, XII, 129-137. Eloge do Rousseau », par Desmolins, Desmolins, 322-326. Eloquence révolutionnaire dans le Gers, XX, 107-122. — XXI, 60-69, 170179, 271-284, — XXII, 44-56. Elsingen combat d', en 1796, XIII, 257. Elusa, XVIII, 147. — Voir Eauze. EMBLADÉ d', XX, 27. Emblème funéraire ou talisman du pays basque, XV, 283. Emigration gasconne » Dictionnaire de l', par M. P. Lacave-LaplagneBarris, XXI, 208-209. Emigrés contributions à l'histoire des, XI, 35. — XIV, 21, 164, — XVI, 153. — XXII, 338. — XXIII, 05, 136139, 192, 289, 290. — XXIV, 86, 103106, 164, 325. — XXV, 286. — Les émigrés eu Catalogne Espagne, XVIII, 184. — XXIV, 230-231, 332-356. — Les tribulations d'un émigré, XXII, 163-168. EMMERY, du Tiers-Etat, en 89, XIX 95. Empeaux Haute-Garonne, XVI, 35 51. Empelle fief d', XII, 363. Empouruche lieu dit, près St-Clar, XIV, 68. Encabas, XXII, 325. En carrère salle d', en Saint-Lary, XXII, 348-355. Encaussan seigneurie d', XVIII, 68, 72. Encausse, XII, 125, 126. — XXII, 99. — XXIV, 176. — XXV, 90. Encausse, en Comminges, XIV, 150Encoudrille, XXIV, 109. En Dardé seigneurie d', XV, 270280. Endoufielle, XI, 280. — XIII, 45. — XVI, 17, 225, 227, 228. — XVII, 94, 100, 233, 235, 294, — XVIII, 126, 134, 136. — XXII, 99, 262, 264, 270, 310. Enfants trouvés entretien d., XVIII, 108. — Noël des, à l'hôpit. d'Auch, XVIII, 153. Enfeus, XII, 197, 207. — XIV, 237. — XXII, 16 ENGERRAN, avocat, XXIII, 164. Englézies, XI, 38. En Piroy seigneurie d', XV, 263-270. EN RAYMONET, seigneur d'Andouins, XV, 14, ENRIQUEZ Jeanne, reine d'Aragon, XV, 204, Enseignement privé ci, enseignement officiel à Auch, sous le Directoire, XV, 48-54, Ensoulès château d'. près Condom, XXIII, 298. En Teulère lieu dit, XIV, 27 Entrevaux, eu Provence, XXIII. 17. Envoûtement au XVe siècle, XII, 380. — XIII, 13-22. Epernay, XVIII, 225, 233. EPERNON Jean-Louis de La Valette, 1er duc d', XII, 293-297. — Bertrand, 2e duc d', XII, 297-300. — — 71 XXIII. 235, 310. — XXIV, 199. — Voir LA VALETTE. — Divers XIV, 152, 172, 174, 175, 177. — XVI, 73. — XVII, 104, — XVIII, 70, 103. — XXII, 131, 360, 362. EPERNON-ROUILLAC d'; XXI, 161, 246, 249-250. épices », XXI, 260. Epizootie de 1774-1775, XX, 133. — XXII, 240. — XXIII, 15-16. EPRÉMÊNIL d', XII, 210. Erce abbaye d', XVII, 293. ERLINCOURT ou ESLINCOURT d', XI, 20, 32 Erreurs à corriger, dans le P. Anselme, XVI, 86. — XVIII, 22. — L'A -t de vérifier les dates », XV, 103-105. — XX, 148-150. — Dom Brugèles, XII, 220-221. — XV, 24, — XVII, 198. — XVIII, 42-43. — XX, 106, 148-150. — XXII, 182; 304. — abbé Cazauran, XVIII, 174, 175. — Daignan du Sendat, XVI, 45. — Duclos, Histoire de Louis XI », XVIII, 23. — La Chesnaye-Desbois, XVI, 231, 235. — XVIII, 22. — XXI, 249250. — abbé Légé, XVI, 234. — XVIII, 17. — Michaud et Poujoulat, XVII, l-'7 — Monlezun, XIII, 112-113, 179. — XIV, 104, 239. — XV, 23, 24 105. — XVIII, 22. — XXII, 172, — Moreri, XVIII, 22. — Oïhénart, XVII, 131. — Dom Vaissette, XV, 123, 201, 203. — XVIII, 21, 23. — Gallia Christiana », XIII,. 181. — XXII, 57. — Révue, de Gascogne », XVII, 120. — XVIII, 22. — XIV, 45. — Diverses erreurs XIII, 196. — XVIII, 197. — XXII, 191. — XXIII, 29, 94. — XXIV, 115-117. 123. — XXV, 93, 189. I Esbats, XIV, 16. Esberous oppidum d', XVI, 207-213. — XVII, 154-155., — Notre-Dame des Neiges d', XX, 100. ESGALAS, de Touget, XXV, 296-300. Escale-Dieu, église de l', près Bagnères de Bigorre, XVIII, 243. — XXII, 182. ESCALQUENX d', XV, 134, ESCALUP, de Condom, XXV, 174. ESCARS d', XVI, 108. ESCLASSAN d', marchand de Mirande, XXIII, 300. Esclassan château d', XVI, 154. ESCLIGNAC d', XII, 140. — XVI, 15, 16. — XVIII, 128. Esclignac vente frauduleuse du château d', an IV, XVIII, 163, 165-169. — Divers XV, 267. — XVII, 106, 111-113. ESCOBLÉAU d', seigneurs de Riguepeu, XVII, 30, 31. ESCOFFET de l', XXIV, 333, 334, 338. Escole Castou-Phébus », à Capvern et à Mauvezin 1911, XII, 359-360. ESCORNEBOEUF Arnaud-Guillaume d', XVII, 189-190. — XVIII, 265. ESCOUBLEAU d', marquis de Sourdis, XVIII, 40, 47, 48, 53. — XXI, 148. ESCOUSSE d', juge en Fezensac, XXI, 263. — XXIII, 152-154. — XXIV, 285. Escurès, XVI, 230. Esgoarrebaque seigneurie d', XIV, 295, 306. — XVI, 237. ESMANGARDE, intendant, XI, 141. ESMONIN, XVIII, 65. ESPAGNE Marie d', épouse de Castelbajac, Castelbajac, 31. — Divers XVII, 125. ESPAGNE général, sa statue, XI, 13. — XIII, 201 — XIV, 212. ESPAGNE-DURFORT d', XVII, 98. ESPAGNE-RAMEFORT d', XVI, 160. Espagne L'. avant, et pendant la Révolution française, XXIV, 217218, 217218, — XXV, 29-58, 144-149. — sa littérature, XXV, 144-147. ESPAGNET Guillaume d', abbé de Gi1 Gi1 à la fin de ce fascicule, une liste d'errata à corriger dans les 15 volumes du Bulletin de la Société Archéologique du Gers qui font l'objet de ces tables. — 72 — mont, XV, 225. — Tursan d', guillotiné 1794, XXIV, 142. Espagnol, XVI, 113. — XVII, 61, 310. — XVIII, 52, 176. — XXI, 40. Espalais Tarn-et-Garonne, XII, 90. Espalion, XVII, 132. ESPARBÈS DE LUSSAN Jean-Paul d', un gascon au XVIe siècle, XI, 190-203. — François d', maréchal d'Aubeterre, XI, 202. — général d', gouverneur de la Guyenne et du Béarn, XIV, 259. — Louise d', comtesse de Polastron, XXV, 29, 34. — abesse de Prouillan, XXII, 147150, 151. — Divers XII, 363. — XXII, 119, 120, 159-162, ESPARBÈS- DE BELLOC d', XII, 121. ESPARBÈS d', seigneurs du Feuga, en Saint-Mézard, XXII, 319. — lieutenant-général des armées, XII, 159161, 242, 245, 248. — XV, 264, — Divers XI, 72, 74, 297. — XII, 295, 362. — XIX, 29, 30. ESPARBÈS, de L'Isle-Jourdain, XXII, 310. Esparbès château d', par Monfortdu-Gers, XV, 262. — XVI, 130, 131, 140. Esparrag, nom primitif de Pavie, XIV, 189. Esparros seigneurie d', XVI, 237. — XVII, 34, — XIX, 157. ESPARSAC d', XVII, 184, — XVIII, 90. Esparsac,, XVI, 181. — la grange d', en Pavie, XVII, 185-192. — XVIII, 96, 97. Espas, XV, 219. — XX, 101. — XXI, 41. — XXII, 297. ESPAU d' ou DES ESPAUX, XIV, 156. ESPERRON Raymond d', abbé de Berdoues, XVII, 183. Espeyries, ancienne paroisse, XXIV, 128. ESPIAU, chanoine d'Auch, XIII, 228. — de Lavardens, XXI. 200. — juge de Pavie, XVIII, 103. — guillotiné en 1820, XXIV, 152. ESPIET, de Jegun, XIV, 173-175, 218. — XXI, 240. ESPLAVIS d', d'Eauze, XII, 173, 175. ESPUJOS d', conseiller du roi, XXII, 133. Esqueron, XIV, 15. ESQUERRÉ, d'Aubiet, XVIII, 155. ESQUIROL, consul de Monfort, XV, 274, Esquiule seigneurie d', XXV, 74, ESQUIVAT, comte de Bigorre, XIII, 108. ESSARTS Philippe des, XVIII, 18, 31, 82, 198, 200. Estaing seigneurie d', XXI, 156. Estalens, XVI, 181. ESTAMPES Félix d', guillotiné 1798, XXIV, 137. Estampes crime d', près Miélan, en 1643, XXI, 252. — XXII, 129. Estampures, en Pardiac, XXI, 237. Estang, XI, 38, 42. — XII, 67. — XVII, 311, 313. — XVIII, 181. — XXII, 297. — XXIV, 139. ESTE d', archevêque d'Auch, XIV, 110. — XVII, 256. — XXII, 170. ESTEBENET, boulanger d'Auch, XVI, 92. ESTERNAY d', XVII, 130. ESTIBAL, off. mun. de Mirannes, XIII, 274-276. ESTIENNOT Dom, XXIII, 239. — XXIV, 191. — XXV, 15. ESTIER d', XXII, 116, 117. Estillac, XV, 84, — XX, 92. — XXIII, 219. ESTISSAC Gauthier d', abbé de FontGuillaume, XV, 222, — seigneur d', XV, 125, ESTOUNAC, XX, 124. ESTRÉES Gabrielle d', XXIV, 256. ESTUER d', XV, 203. Esvivès seigneurie d', XVI. 160. — XVII, 191. — XXII, 356, 358. Etampes, XVII, 136. Etat militaire de la France contribution a I', XII, 145-164, 242-271. Etats d'Armagnac, XIV, 168. Etats du Béarn, XIV, 300. — 73 Etats-généraux de 1789 A propos des, XIII, 187-191. — XIV, 159-167. — XV, 69-74. États provinciaux, réclamés dans les Cahiers de 89, XVI, 253. ETCHEVERRY, de Touget, XXIV, 179. — XXV, 142, 296-298. ETIENNE, évêque d'Oloron, XV, 152. ETIGNY DE SERILLY Armand Mégret d', intendant d'Auch, XI, 30, 32. — XII, 132, 139, 149. — XIII, 180. — XIV, 38, 139, 241, 316, 320. — XV, 66. — XVII, 14. — XVIII, 77. — XXI, 267. — XXII, 334, — XXIII, 221-223, 312313. — ses démêlés avec Mgr de Montillet, XX, 42-51, 80. — Lettres et rapports sur son administration, XXII, 233-236. — son bureau à la Préfecture du Gers, XVI, 59-69. Etingen combat d' en 1796, XIII, 257. Etival Vosges, XXIV, 326. Etymologie, règles, XI, 203-204. — de certains noms de lieux, XII, 70-76. — XVI, 27. Eu comte d', XVII, 136. EUGÈNE IV, pape, XV, 20. — XVI, 264, EUGÉNIE L'Impératrice, à SainteGemme, XXI, 103. EUTROPE, XVII, 76, 78. Evasions de prisonniers, XXIV, 104105. 104105. Eveil des Républicains » L', XXIII, 109-114, évocation », ancien droit royal, XVI, 254. Evreux, XVII, 138. — XXV, 225. Excommunication au formule d', XV, 223. exemptions et privilèges accordés aux artisans, XXII, 201-205. Ex-libris artistiques des chanoines d'Auch, XVI, 300. Exmes, XVII, 138. EXUPERIUS, XVI, 190. EYMIER d', XXII, 93, 94, 90. Eyres Landes, XV, 121. Eysses abbaye d', XXIII, 94, EZAINVILLE d', XVI, 84, F FABARS de, XXII, 324, FABAS, de Pavie, XVIII, 116. Fabas seigneurie de, XXIII, 70. FABÈRES, notaire à, Courrensan, XX, 65. — guillotiné à Auch en 1805, XXIV, 148, 149. FABIE, de Toulouse, XXIV, 189. FABRE de, XVI, 182. FABRI ou FAUR, notaire à Vic-Fezensac, XV, 56. — XX, 53, 55. — XXI, 43, 260. — juge en Fezensac, XXI, 202. FABRICA de, d'Auch, XVIII, 88. FACIEU, notaire' à Rabastens, XXII, 94. FACIUS Jean, prieur du Carmel, XVI, 264, FAGES, administrateur du Gers en 1795, XXIII, 40. — curé-constitutionnel de Vic-sur-l'Osse, XVII, 41. — XXII, 369. — XXIII, 146-166, 321. — XXIV, 55, 285, 289, 290, 322. — XXV, 164, 166, 270. — notaire à St-Thomas, XVI, 17. FAGES de, XXII, 115. FAGET de, de Vic, XV, 57. — XXII, 306. — Odon de, XX, 144, — abbé de, seigneur de Seissau, XXI, 115. FAGET, chapelain de St-Pierre d'Auch, XII, 223. — de Gondrin, XI, 41. — de la Soc. popul. de Saramon, XI, 38. — XXI, 54. — Divers XXIII, 154, 296-300. Faget grange de, près Nogaro, XV, 157. Eaget-Abbatial, XV, 222, 225. — XVI, 88, 288. — XXIII, 227. Faget-Poëy seigneurie de. XV, 17. FAILLET du, XVIII, 188. FALAGA de, XVII, 117-119. FALAGA docteur d'Auch, XIV, 224, — abbé, prieur de des Neiges à Auch, XIX, 90. Falaise, XVII, 129, 138. FALGAR Arnaud de, abbé, XV, 222, 226. Falguessat seigneurie de, XX, 66. Famine de 1311, XVI, 113. de 16301631, 16301631, XVI, 21. — XXI, 187-188. Fanjeaux Aude, XXV, 161. FARAMOND, curé de Blanquefort, XVI, 38 Faravolles, XV, 150. FARGEAUD, profes. au Collège d'Auch, XIV, 139. FARGIA Michel de, de l'Isle-Jourdain, XIV, 198, 333, 337. — XX, 29, 30. — XXII, 87, 318, 320, 324. FARGUES de, XVI, 182. FAUBEAU, notaire de Montesquiou, XXIII, 241. FAUCHET abbé, XIX, 95. Faucons réglementation de la chasse aux, XX, 126-128. FAUDOAS Alexandre de, gouverneur de Monfort, XVI, 132. — PierrePaul rie, chanoine de Pessan et évêque de Meaux, XVI, 298. — Michel rie, seigneur rie. Sérempuy, XXII, 90. — seigneurs d'Avensac, XVI, 229. — seigneurs de Cabanac, XVIII, 50. — seigneurs rie Daunian, XVIII, 50. — seigneurs de La Reule, XX, 66. — seigneurs de Sérillac, XIII, 225, 228. — Divers XI, 74, — XIII, 210, — XVI, 135, 139. — XVII, 244. — XXI, 139. — XXII, 151, 261. — XXIII, 308. — XXV, 90. Fadoas baronie de, XVI, 205. FAUGA, de l'Isle-Jourdain, XX, 26. FAUCHER DE PORCELLET, XX. 75. PAULIN, de Barran, XXIII, 287. — de Saint-Lary, XXII, 132, FAUQUÉ, de Barcugnan, XIV. 143. FAUR du, seigneurs de Barbazan, XII, 361. — de Riguepeu. Voie DUFAUR. FAUR Guy du, oratorien, XVIII, 74, 75. — Jacques du, abbé de la CaseDieu, XXIV, 38. FAUR du, seigneur de Pujos et Roquebrune, XX, 58. — Divers XXII, 191, 248, 272, 313. FAUR, de Clermont-Savès, XXIV, 47, 49. FAUR DE PIBRAC comtes du, XV, 131. — XVII, 243. — XXI, 98. — Bernard du, prieur de Saint-Orens d'Auch, sa pierre tombale, XVI, 241-244. — XVII, 155. — Guy du, poète, XII, 91. — XV, 140. — Guy du Faur de Pibrac, un magistrat-poète du XVIe siècle », par M. l'abbé A. Cabos, XXIV, 210, 293, 298. FAURE, gendarme à Mirande, XI, 39. — de L'Isle-Jourdain, XXII, 311. FAIRE DE ROUFFILLAC du, XIX, 128. FAURIE, d'Auch, XI, 273. — vicaire de Simone, XXIII, 225. Fausse accusai ion en 1610 Une, XXI, 253-254. Faussens Tarn, XXIII, 329, FAUSSET, de Sos, XVII, 248. — XXIV, 195. Farars seigneurie de, XIV, 306. — XVI, 229. — XVII, 95. FAVAS, huguenot, conseiller au sénéchal de Lectoure, XVIII, 56. FAVEROY, XX, 46. FAVARO Thomas de Malvy, marquis de, XXV, 33. FAYSAN Pierre de, abbé de Berdoues, XVII, 191. FÉART, préfet du Gers, XV, 68. FEIRATIER. de Blanquefort, XVI, 227. — XVIII, 133. Felletin Creuse, XXIV, 262. FELTRE maréchal, duc de, XVI, 108. FENASSE abbé, XV, 278. FÉNELON, XV, 231-234, — XXIII, 297. — de, évêque de Lombez, XXIII, 18, 75 — Féodalité bienfaits et abus, XVII, 193-194. — contribution à son histoire en Gascogne, XX, 95-96. — appréciation sur le régime féodal, XXIII, 243. FÉRAUT, bourreau d'Auch, XXIII, 264. FERDINAND LE CATHOLIQUE, XVIII, 204, 206. — XIX, 149. FÉRIÈRE Pierre de, évêque de Lectoure, XII, 329. FERMA Général, XX, 43. Fermage d'un moulin au XVIIe siècle acte de, XII, 128. FERMAT, mathématicien, XXIV, 261. — sacristain de Vic-Fezensac, XXI, 263. — vicaire de Clermont-Savès, XXIV, 49. FERRABOUC de, XX, 62. FERRABOUC, off. mun. de Vic-Fezensac, XXIV, 51, 57, 288. Ferrabouc, ou Ferraboc, ou Ferrebouc, ou Herrebouc, XII, 20-26. — XVII, 244, 245. — Voir Herrebouc. FERRAGUT de, XI, 73, 296, 299. — XII, 83, 363. — XVI, 159, 183. .— XVII, 33. — XX, 52. — XXI. 155. — XXII, 141. FERRAGUT, chanoine de Saint-Orens d'Auch, XX, 45. — veuve, de VicFezensac, XXV, 166. Ferrailles château de, XX, 154. FERRAN abbé, d'Auch, XXIV, 309. FERRAND Pierre de, commandeur de Gimbrède, XXI, 142. FERRARE Hippolyte d'Este, cardinal de, archevêque d'Auch, XVII, 254, 256. FERRATS, notaire du XVe siècle, à Fleurance, XIX, 119. FERREL, consul de Condom, XXV, 316, 317, 319. FERRET, curé de St-Orens-Pouy-Petit, XXIII, 296, 297. — marchand de Condom, XXV, 319. — de, XVI, 140. FERMIER du, XXIV, 294, FERRIÈRE de la, intendant de Montauban, XXII, 129. FERRIÈRES, vicaire de Gondrin, XVIII, 61. — XXI, 230. FERRIOL, d'Arreau, XIX, 65. FERS de, XVI, 181. Fesande au XVIe siècle instrument rie, XIII, 92-93. Fêtes civiques sous la Révolution, XIII, 72, 280-281. — XX, 84, — fête de l'auto-da-fé des titres féodaux, à Auch, en 1792. — XXIV, 308. — autoda-fe des objets du culte catholique, à Vic-Fezensac, XXV, 165, 270. — fête rie la Fédération, Auch, XXI, 171-174. — à Condom, XXV, 174. — fêtes décadaires, XVIII, 249-258, 273274 Voir décadis. — fêtes de l'Etre suprême, XXI, 75-76, 189-193, 277. — fête de la Raison, XIX, 171. — fête de la Vieillesse, XVII, 216-220 — fête de la Souveraineté du peuple, XXI, 184-186. — Une fête civique à St-Jean-Poutge, en 1793, XXII, 104110. — Hymnes pour la fête du genre humain, XXII, 44. — pour la fête du 14 juillet, XXII, 47-48. — Fête funèbre en l'honneur de Marat, XXIV, 320-321. Fêtes félibréennes d'Auch 1913, XIV, 264, Feuga château du, en Saint-Mézard, XI, 198. — XXII, 159-162. Feuille villageoise » La, XXII, 222. — XXV, 199. FEUILLIDE, de Barbotan, XXIV, 77. Fezensac comté de, XI, 205. — coutumes, XII, 22, — XX, 97-106. — liste des seigneurs, avec privilèges et exemptions, XI, 290-300. — comtes, XV, 72, 146. — XVII, 240. — XVIII, 155, 165. — XIX, 29. — collecte, XIV. 220. — justice, XXI, 258-263. — Divers XIII, 167. — XIV, 359. — XVI, 121, 168, 186. — XX, 140. — XXIII, 308. — XXIV, 108. — XXV, 119. FEZENSAC ducs de MONTESQUIOU-, XIV, 288-289, — Voir MONTESQUIOU. — 76 — Fezensaguet vicomté de, liste ries seigneurs, avec privilèges et exemptions. XL 271. — XIV, 169, 215. — guerres rie religion, XIV, 353. — XVI, 112, 122, 124. — investigations on, XIV, 351-359. — Divers XVI, 132, 172, 178. — XXII, 112. — XXV, 75. FEZAS, de Bezolles, XXIV, 129. FIASSE, de Roquefort, XV, 42. fidentia. », XIII, 167. FlESQUE comte de, XII, 228. FIEUBET Gaspard rie, 1er président du Part, de Toulouse, XII, 302. FIEUX de, XX, 60. Fieux, XII, 87, 329. FIEUZAC, d'Auvillars, XXIII, 90, 117. FIEUZAL, procureur, XXI, 220. 222. — — Jeanne, épouse Lamothe-Vedel. XXIII, 100. Eigueras Espagne. XXIV, 333, 335, 338. Figuières, XVII, 108. FILHÈTE, de Saint-Sauvy. XXII, 109. FILHOL Docteur, médecin et annaliste d'Auch, XIII, 31-44, 123-133. — XIV, 262. — Jean-Louis, XIII. 32. — inspecteur des haras et seigneur de Gaudoux. XIV, 20, 325-320. — XIX, 133. — XX, 63. — son portrait, XVII, 13-15. 157. FILHOLIS. prêtre de Riguepeu. XVII, 30, 40. FILHOS, d'Ayzieu, guillotiné 1812, XXIV, 150. — de Riguepeu, XVII, 27, 37. FILLAU, député de Riscle, XIV, 172. FILOUZE ou FILHOUZE de XIV, 29, 33 Fimarcon et ses suzerains, XII. 87, 90, 128, 301. 303. 364. — XIII. 49. — XVI, 30, 269, 273, 284. — XVII. 100-113, 235. — XVIII, 126. — XIX, 32, 58, 145. — XXI, 140. — XXII, 19. — XXIII. 238. — XXV, 121. — archives de, XX, 100. Finances sous l'A. R. réformes demandées demandées 89, XV, 254. — XVT, 256257. — XVII, 54, Fiscalité royale avant la Révolution, XXII, 246-256. FISSE, consul de Lavardens, XIV, 218. FITA ou FITE Vital de, de Vic-Fezensac, XV, 57. — XVIII, 172. FITAN du, XVI, 182. FITTE, d'Auch, XII, 257. — curé de Pouy-Petit, XXIII, 297. — procureur rie Fleurance, XIII, 68, 09, 75. — Divers XIV, 354, FITTE de, de Vic-Fezensac, XV, 57. FITTE DE GARIÉS de XIX, 125, 126, 139-143. FIYNDÉOT, curé d'Auradé, XVI, 34. FLAGEAC de. XXIII, 62. Flagellation sous la Terreur la, XXIII, 151-155. Flamarens, XII, 329. — XXI, 139, 145. 149. — XXII. 116, 147. Flarambel château de, XI, 105, 111112. 111112. XV, 81. — XXI, 88. Flaran, abbaye et église, XI, 61, 104, 125, 293. — XII, 381. — XIV, 308-313, 370, 381. — XV, 228. — XVII, 181, 183. 209. — chrisme de l'abbaye, XVII, 68. — XX, 32. — porte de l'abbaye, XX, 31-32. — Etudes de Ph. Lauzuu sur l'abbaye, XXI, 9490. — tumulus, XI. 77-79. FLAVACOURT Guillaume de, archevêque d'Auch, XIV, 45, 46, 99. — XVI. 113, 114, 118. — XXI, 260. FLEIX de, XII, 300. FLEUR Renée de, veuve rie Monluc, XIII, 285. Fleurance. loge maçonnique, XI, 35. — XIII, 82. — XXIV, 204. — siège par les Huguenots, XIV, 350. — un document gascon du XVe siècle, XIX, 117-124, — consuls en 1400, XIX, 100. — couvent des Ursulines, XIII, 67. — XIV, 321. — église, façade et enfeus, XII, 197-208. — hôpital St-Jacques, XIX, 118-124, — période révo- 77 — lutionnaire, XXIII, 113. — chiffre de la population d'après le recensement rie 1790, XIII, 74. — Société ries Amis rie la Constitution, XX, 113-114. — Société montagnarde, XIII, 65-85. — Divers XII, 149, 150. — XIII, 214, 229, 231. — XIV, 360. — XV, 69, 112, 300. — XVI, 128, 141. — XVIII, 50. — XIX, 130. — XX, 45, 96. — XXII, 16, 151. — XXIII, 53. — XXIV, 136, 301-302. FLEURIAN de, seigneur d'Esvivès, XVI, 160, 267-269. — seigneur de Marseillais XVIII, 100. — de Pavie, XVII, 298. — XVIII, 113, 117, 119. — XXIII, 234, 237, 238. FLEURY Cardinal, XI, 20. — XIV, 113. — de, XIII, 268. FLORIAN, XI, 29. FLORIDA-BLANCA, 1er ministre espagnol, XXIV, 347. — XXV, 30, 42, 44, 54. FLORIMON DE RAYMOND, XVII, 112. FLURAN, maire de Cazaux-Savès, XI, 38. FOIGNAT Pierre, seigneur de Moissy, XVI, 175. Foires et marchés établissement de, XVIII, 207. — XXI, 141. Foix, cathédrale, XVI. 123. — château, XVI, 122. — traité rie, en 1580, XIV, 211. — comté, XIII, 105100. — guerre avec comté d'Armagnac, XIII, 109. — paix rie, XVI, 123. Foix comtes de, Roger, seigneur de Fornex, XIV, 296, 298. — Roger-Bernard, soigneur de Castelbon, XV, 17. — Jean, évêque de Comminges, XIV, 157. — curé Riguepeu, XVII, 35, 36. — Cardinaux de, XV, 22, 04. — XVIII, 211. — XIX, 45, 46. — Bernard, duc d'Epernon, XX, 65. — Jeanne, comtesse d'Armagnac, XVI, 175. — XVIII, 40. — Marguerite, Infante de Navarre, XVIII, 19, 206. — alliance et procès Foix-Navarre, XIX, 43-44, — Divers XV, 23, 118, 124, 219, 223, 262, — XVI, 93, 111, 122, 173, 176, 230-232, 235. 237. — XVII, 27, 33, 35-37, 44, 45, 131, 198. — XIX, 157160, 186, 187. — XX, 91. — XXIII, 308310. FOIX-BÉARN de, XVIII, 206. FOIX-CANDALE de, XII, 87, 293. — XIV, 32. — XVIII, 98, 204. — XIX, 158, 159. FOIX-CANDALE-DOAZIT Sophie de, XXII, 42. FOIX-GRAILLY de, XVI. 175, 178, 237, 238. FOIX-LAVALETTE de, XVII, 199. — XVIII, 98, 100, 101. — XXIII, 235. FOIX-NARBONNE-LAUTREC de, XVI, 79, 183, 184, — XVIII, 21, 205, 210, 211. — XIX, 43, 44, 50, 156-160. Folembray édit de, en 1596, XIV, 339. FOLGARS Guillaume de, évêque de Dax, XV,213. FOMAIGE, curé de Cacarens, XXI, 38. FONBLANC, d'Auch, XI, 272. — d'Eauze, XL 38. — XII, 280, 281. — vicaire rie Magnan, XII, 282, 283, 347. Fondelin, près Condom, XVII, 249. — XIX. 128. — XX, 123. — XXIV, 196. FONDEVILLE de, comte de Labatut, XV, 78. FONLLADOSA docteur, XXIII, 195. FONREROY, XI, 29. Fonsorbes, XVI, 39, 217. FONTAINE Mlle, d'Auch, XXIII, 33. Fontaine, XIV, 311. Fontaine de Ste-Radegonde, dans Roquefort, XVII, 77. FONTAN, juge de paix a Bassoues, XI, 39. — curé d'Auradé, XVI, 34. — marchand de Nogaro, XVI, 244, —, vicaire de Sainte-Christie d'Armagnac, XVIII, 59. Fontanas seigneurie de, XVI, 229. FONTANE, marchand d'Auch, XXIII, 262. FONTANES, grand-maître de l'Université, XXII, 221. - XXIII, 123. — XXIV, 308. — Jean de, syndic du — 78 Clergé d'Auch. en 1563, XXII, 169, 171. FONTANIER de, XXII, 316. FONTANILLES de, XIV, 200. Fontarabic, XV, 206, 208. — XVII, 104. — XVIII, 23. — XXIV, 306. FONTARAILLES, capit, huguenot, XXIII, 310. FONTENAC de, XXII, 94. FONTENAILLES, gouverneur de Lectoure, XI, 198. Fontenay, XXIV, 163. Fontenay-le-Comte, XVIII, 204. FONTENILLES seigneurie et seigneurs rie, XII, 87. — XIV, 335. — XVI, 39, 45. — XXII, 94, 257, 261, 265. Fontevrault monastère de, XIII, 273. — XV, 268. — couvent du Brouilh, XXI, 39, 241. — ordre de, XXV, 189-192. Fontfroide monastère de, XIII, 273. — XIV, 311-312. — XXI, 194. Font-Guillaume abbaye de, XV, 222, 226. FONTRAILLES Baron de, sénéchal d'Armagnac, gouverneur de l'IsleJourdain, XIV, 203, 333, 335, 336. — XV, 270, 271. — XVI, 138. — XVIII, 195. — XXI, 168. — XXII, 258, 266, 272, 311, 317, 318. — d'Astarac de, XII, 301. Fontrailles baronnie de, XX, 26. — XXV, 78. FONVIELLE, secrétaire de la Préfecture du Gers, XI, 259. foraine », ancien droit féodal, XVI, 261. FORCADE, de Clermont-Savès, XXIV, 45, 47. FORGE marquis do la, lieutenant d'Henri IV, en Béarn, XIII, 232. Forcès, XIX, 35. FORCET de, notaire du XVe siècle, à Fleurance, XIX, 123-124. FOREST, consul de Riguepeu, XVII, 37. FORGES de, XVI, 42. FORGET, capitaine d'Auch, XII, 248 FORGUES, curé d'Auradé, XII, 305. — XVI, 34, 55. — médecin du Gers, XIII, 33. — Odet de, seigneur d'Espagnet, d'Espagnet, 41. Formigny, XVII, 128. FORNAYRON, greffier du Parlement de Toulouse,XVIII, 123. Fornoue Italie, XVI, 239. FORRAIGNAN Jean de, de Bouit, XVIII, 39. Fors et coutumes dans les pyrénéennes Etude sur les, XV, 288. FORT du, XVI, 182. FORTANER, évêque de Bayonne, XV, 214. FORTANER D'ESGOARREBAQUE, XIV, 295. FORTANER DE GERDEREST, XIV, 302. FORTANER DE LESCUN, XIV, 294-296, 300, 303-306. — XV, 17, 18. — XVII, 131. FORTASSIN, vicaire d'Eauze, XII, 281, 282, — de Mirande, XXIV, 72, FORTIN de, XXIII, 75. FORTINES, marchand d'Auradé, XVI, 47. FORTISSON de, XXII, 335. FORTON, prêtre de Vic-Fezensac, XV, 55. — XXI, 267. FORTON DE SPARSAG, XVII, 182. FORTON DEL TlL, XIV, 308. FORTUNAT, XVI, 197. — XVII, 265-268. publique et privée au XVe siècle, XI, 246-250. Fossano, XIV, 123. FOSSARIES de, XXIV, 236. FOSSATO Galterius de, XXV, 119. FOSSE Martin de, évêque d'Aire, XV, 225. FOSSÉ du, XXIII, 188. FOSSEUSE, XIV, 150, 156. — XVIII, 229. Fou Yvon du, sénéchal du Poitou, XVI, 75. louage » impôt de, XV, 253. —XVI, 125. — XVII, 232. — XXII, 248. FOUCAUD de, seigneur de St-Martin, XIV, 34. — 79 — FOUCHÉ, XI, 263. — XXII, 281. — XXIII, 121. FOUDRAS de, XVI, 237. Fougères, XVII, 128. — XIX, 151, 152. Fouillet. XI, 145. FOULQUES, évêque de Toulouse, XXI, 219. — de Tours, XIII, 250. FOUMAIGNE, de Fourcès, XX, 40. Fountains, XIV, 311. FOUR DE LALANNE du, XIX, 125, 134. FOURAIGNAN, guillotiné 1821, XXIV, 153. — jurat de Condom, XXV, 316. FOURCADE, de Betplan, XXII, 135. — de Condom, XXV, 189. — de Monfort, XVTI, 223. — de Touget, XXV, 301. FOURCÈS, jurat de Vic, XIV, 221. Fourcès, XI, 37, 41, 46, 103, 104, 247. — XX, 40, 41. — XXII. 69. — XXIV, 128. — inondation de 1770, XI, 143. FOURCROY; du Conseil des Anciens, XV, 48. — XXIV, 220. FOUREZ Pierre de, notaire de L'IsleJourdain, XIII, 57. — XVII, 44, 231. — ehirurg. de Vic-Fezensae. XXIV, 285. FOURGET de, capitaine, XII, 344, FOURNETS, maire de Tarbes, XXII. 234, 235. FOURNIE, de Samatan, XI, 37. FOURNIER, de Condom, XI, 37. — XIX, 22. — XXI, 233. FOURNIER DE LA CHAPELLE, intendant d'Auch, XIII, 269. — XXIV, 303. FOURQUET, vicaire, de Sainte-Marie d'Auch, XIV, 115. FOURTEAU, de Condom, XXV, 318. FOURTET, procureur à Eauze, XII, 280, 281, 342, 349. — XIII, 151. — XVI, 148. FOUSSERET le, XVI, 222, 224. Fousseries, XI, 104. FRAISSE de, XV, 278. — DU COLOMÉ, XVI, 130. FRAISSE, de Fourcès, XX, 40. Fraisse seigneurie de, XXV, 79. FRAISSON, de Condom, XXV, 318. FRANC de, en Lomagne, XXII, 319. FRANCAIN, maire d'Auch, XI, 37, 278. — XXIII, 28. — XXIV, 323. franc-alleu », XVI, 249. franc-archer, XXI, 131. Francescas, XI, 200. — XXII, 119. — XXIII, 229. — XXIV, 325. franc-fief, XIV, 18. — XV, 253. — XVI, 249. Francfort, XXIV, 334. — traité de, en 1489, XIX, 154. Francheville Gimont, XVII, 197. FRANCLIEU de, XVI, 102. Franc-maçonnerie auscitaine, avant, pendant et après la Révolution, XI, 24-42, 253-279. — période révolutionnaire, XI, 34-42. — sous l'Empire, XI, 263-276. — liste des maçons du -Gers, en 1790-1791, XI, 36-42. — en 1811-1812, XI, 262-275. — Réception à. la Loge d'Auch, en 1779, XII, 153. — XIX, 135. — Voir Loges maçonniques. FRANÇOIS Ier, XI, 115. — XIV, 157. — XVIII, 96. — XXI, 143, 150. — XXIII, 309. — XXIV, 278. — XXV, 218. FRANÇOIS, duc de Bretagne, XVI, 74, 76, 77, 80. — XVII, 127, 129, 133, 134. — XVIII, 13-15, 17, 18, 20, 23, 25, 28, 30, 31, 197, 198, 200, 201, 202, 206, 211. —XIX, 47-56, 150-153. — XXI, 150, 151. FRANÇOIS-MARIE Père, capucin, curé à St-Domingue, XVI, 104, FRANÇOIS-PHÉBUS. roi de Navarre, XVIII, 206. FRANKLIN Benjamin, XI, 29. FRANQUENBERK, XVII, 108. Fraudes alimentaires, en 1789, XVIII, 154-156, 273. FRAXINET de, capitaine, XXII, 320. FRAYSSAN Arnaud de, abbé de Berdoues, XVIII, 95. FRÉCHÈDE, syndic de Betplan, XXII, 238. FRÉCHINGLES, off. mun. de Vic-Fezensac, XXIV, 50, 51, 290. — 80 — FRÉCHOU du, rie Vic-Fezensac, XIX, 66. FRÉDET Arnaud, évêque de Couserans, Couserans, 228. FRÉGEVILLE général, XIII, 252, 253, 255. — XXIII, 99. Frégouville, XVII, 100. — XXII, 87. FRÈRE de, XI, 76. — XVII, 244, — seigneur de Campet, XVII, 248. — XXIV, 195. — seigneur de St-Germier, St-Germier, 71. — seigneur de SALLUSTE SALLUSTE BARTAS, XIV, 100. — XXII, 191, 192, FRÈRE DE PEYRECAVE de, descendants de DU BARTAS, XI, 156. Frères-mineurs couvent des, à Blaye, XI, 201. — à L'Isle-Jourdain, XIV, 345. — à Miramont-Fleurance, XV, 193. FRÉRET, XXV, 212. FRÉRON, XXV, 42, 157. FRESPALHER Arnaud, notaire en Astarac, Astarac, 197. Freudenstadt bataille rie, en 1796, XIII, 257. FRÉZALS de, XXII, 273. FRIS de, XVII, 241. FRIX, grenadier du Gers. XXV, 315. FRIX DE MAIGNAUT, seigneur de Montégui, XIV, 224. FROIDOUR de, XXV, 125. FROISSART. XVI, 126, 169. FROMENT, XV, 77, 79. Fronde Contribution à l'histoire de la, en Gascogne, XV, 108-110. — XXI, 246. — XXV, 191. Fronsac, XI. 205. — XVIII, 204. — XIX, 53, 155, 156. Fronsart seigneurie de, en Guyenne, XVIII, 198. FRONTO, orateur romain, XXV, 190. Fronton, XIII, 239. FUMEL, surveillant rie loge maçonnique, à Toulouse, XI, 26. — Elisabeth de, guillotinée 1794, XIV, 31. Fumel, XV, 84. — XVI, 88, FUMOZE, procureur au Présidial de Condom, XXIII, 273-281. FURCADE, prêtre, rie Riguepeu, XVII, 36, 37. FURGOLLE, seigneur de Fraisse, XXV, 79. Fustérouau, XV, 150. — XVI, 181. — XXIII, 228. G Gabardan vicomté de, XV, 158. — XVIII, 206. GABARRET Jeanne, d'Estieux, près Aignan, XVI, 109. GABARROT, guillot, Auch, 1807, XXIV. 149. GABASTON de, XIV, 294, 295, 298, 299, 303. — XV, 15. gabelle » la, impôt d'A. R. XVI, 201. — XXI, 128. GARENT, curé de Goujon, XVI, 48, 52 — secrétaire-greffier de Touget, XXIII, 24, 28, 126-130, 134, 136, 141, 144, 301, 305. — XXIV, 83-85, 87-93, 180, 184, 245, 248, 249, 251, 252, 255. — XXV, 138, 140, 141, 294, 313. CABIN, archidiacre de Sainte-Marie d'Auch, XXIII, 143. GABRIEL Père, capucin de Vic-Fezensac, XIV, 319. GABRIELLE DE FRANCE, fille naturelle d'Henri IV, XII, 297. GACH de, rapporteur au Parlement de Toulouse, XVIII, 123. GACHAT, protestant de l'Isle-Jourdain, XVIII, 121. — XX, 30. GAGES, prêtre de St-Sauvy, XXII, 169. Gagnol gisements tertiaires découverts à, XIV, 80. GAICHAT, notaire de l'Isle-Jourdain, XXII, 309, 320. — XXIII, 71, 78. — XXV, 80-89, 90. — 81 — GAICHIES, de Condom, XIII, 189. — XXII, 149. — XXV, 316. GAILHAC, de Saint-Clar, XIV, 68. GAILHON du, trésorier-général à Toulouse, XXIV, 261. GAILLAC, de Duran, XIV, 331. Gaillac, XVII, 294. GAILLARD DE ROUILLAC, vicomte de Lomagno, XXII, 89-90. GAILLARD, doreur à Auch, XXII, 203. GAILLATI, prêtre de Toulouse, XXIV, 39. GAILON, architecte à Auch, XXIII, 262. GAIN-MONTAGNAC de, évêque de Tarbes, XXIV, 350. GAISSAT, consul de l'Isle-Jourdain, XIV, 333. Gajan, en Lannepax, seigneurie et seigneurs, XIV, 50, 107. — XIX, 3642. — XX, 52-73. — château, XIX, 3638. — église, XX, 141. Galabert, XVI, 181. Galan, XV, 221. GALARD de, Esclarmonde, XXII, 89. — Jean, abbé de La Case-Dieu, XVI, 243. — Jeanne, XII, 124, — Marguerite, épouse de Luppé-Maravat, XIV, 353. — XV, 297. — Viguier, gouverneur, XI, 112. — XVII, 312. — lieutenant-colonel du Bat. patriot. du Gers, XXII, 65. — erreurs de Nouions dans la généalogie des de, XII, 123. — Divers XII, 295. — XIX, 126, 129. GALARD-BRASSAC de, XII, 123. — XIII, 213. — Antoine, abbé de Simorre, XIV, 73. GALARD-MAGNAS de, XIV, 38. — Joseph, guillotiné Auch, XXII, 74. — XXIV, 80. GALARD-TERRAUBE de, XXV, 191, 271290. — évêque du Puy, XIX, 140. — XXV, 282. GALARDE DE MARAMBAT. XIV, 44. GALAU. sculpteur à Agen, XXV, 192. GALÉAS, XVI, 168. GALÉTIAN Pierre de, chanoine d'Agen, d'Agen, 113. — XXI, 227. GALI-ROQUEFORT, d'Eauze, XXI, 50. Galiax, XVI, 105. GALIOT Jacques, XIX, 151. GALLES, de l'Isle-Jourdain, XXIII, 08. GALOIS DE LA BAUME, XIV, 302. GALOS, de Saint-Lary, XXII, 140, 141, 220, 347. GAUTIER, médecin, XVII, 291. — XVIII, 102. Gamarde, XV, 122. GAMBOA, capitaine du Guipuzcoa, XVIII, 203. Gandalou, en Quercy, XXIII, 193. GANDUQUE, curé de St-Mézard, XXII, 159. GANENT, de Cologne, XI, 41. GANS, de Touget, XXII, 265, 320. GANTEAUME amiral, XI, 263. Ganties-les-Bains Hte-Gar., XXIII, 206, 217. GAR le dieu — et pic du, XIV, 155. GARAC agent national de Fleurance, XIII, 70, 71, 73, 75. — de, XXIV, 260, 279, 280. Garac, XXII, 270. Garaison, XXV, 218. GARAN, de Vic-Fezensac, XXIII, 153. GARAI, secrétaire de la municipalité de Condom, XXI, 231. GARAT DE LA CHAMBRE, XXII, 71. GARAUD, bourgeois de Toulouse, XIV, 305. GARAUT DE MONTESQUIEU de, XVII, 107. GARBA de, juge de Cologne, XXII, 322. GARBAY, off. mun. de Bouit, XVIII, 178. Garbic, XVIII, 130. — XXII, 308. — XXV, 77, 89, 92. GARCIAS, seigneur de Mazères, XIV, 44, 99. — capitaine de Charles VII, XXII, 250. GARCIE-ARNAUD DE NAVAILLES, XIV, 294296. 294296. — 82 GARDE, chanoine d'Agen, XXI, 227. GARDELLE, rie Castelnau-Barbarens, XI, 41. GARDELOS, notaire à Vic-Fezensac, XVII, 309. GARDÈRE Joseph, notice nécrologique, XIX, 191-194, 196. GARDÈRE, maire d'Aujan-Mournède, XIII, 287. — de Gondrin, XI, 278. — syndic de Pavie, XVI, 268. — chanoine de Vic, XIV, 102. — de Gondrin, XI, 40. — de Lavardens, XV, 38. — XXI, 244, — guillotiné on 1805, XXIV, 149. Gardès château de, XXV, 69. GARDET, de Toulouse, XVII, 257. GARDEY, curé de Betplan, XXI, 247. GARDIA Pierre de, notaire à Mauvezin, XVI, 41. GARELLA, de Mirande, XXIII, 300. GARGAS, conseiller à la Cour, XXII, 332, GARGUESALLE de, XV, 203. GARIÈS Mme de FITTE de, XIX, 125, 126, 139-143. Gariès, en Quercy, XVII, 248. — XXII, 270. — XXIV, 196. GARIPUY, précureur du Roi en Fezensaguet, XIV, 220. — curé d'Esclignac, XIV, 355. — consul de Monfort, XV, 79, 80, 267. — huissier de l'Isle-Jourdain, XXII, 309, 310. — huissier du Parlement de Toulouse, XIV, 344. Garlenx, XIV, 105, 231. Garlin, XVI, 230. Garonne Voyage de Marguerite de Valois sur la, XIV, 158. Garrané le, XXIII, 230-233. GARRAU, représentant du peuple, XII, 201, 208. Garravet, XIV, 335. CARREAU, chanoine de Condom, XXIV, 241. GARRIGUE, vicaire de Monfort, XXI. 184. GARROS de, XII, 81. — XV, 128. — XVIII, 51. — Dominique, moine de Berdoues, XVII, 197. — François, curé rie Sainte-Christie d'Armagnac, XVIII, 50. — Pierre ou Pey, XX, 138. — XXV. 128. GARROS DU SERQUET de, XIX, 62. GARROS, XIII, 276. — de Barran, XVII, 44. — de Monfort, XVII, 223. — commissaire rie l'an III à Auch, XXI, 40. — XXII, 106-108. — de StJean-Poutge, XIX, 164. — XXII, 106109. — de Touget, XXV, 141, 294, 301. — de Vic-Fezensac, XXV, 263. GARSIE, abbé de Condom, XXV, 119. — archevêque d'Auch, XVII, 282. GARSIE DE GARGET, chanoine de VicFezensac, XIV, 102. GARSIE-SANCHE D'ASTARAC, XVII, 180. GARSIE-SANCHE-LE COURBÉ, due rie Gascogne, XV, 145. — XX, 140. Gascogne De viris illustribus Vasconiae », par A. Bibal, XVII, 139141, 317. — raccourci de son histoire et esquisse' du caractère gascon. XVI, 124-126. Gascon un document du XVe siècle, XIX 117-124, — XX, 80. — proverbes gascons, XXIV, 357-373. — XXV, 230-257. — oeuvres gasconnes de l'abbé Dambielle, XII, 193. — langue gasconne, XIII, 127. — littérature et société gasconnes période romaine, XVI, 187-206. — période barbare, XVII, 73-93; 259-282. — anciennes coutumes gasconnes, XXV, 124-135. — protestation rie la Société Arch. du Gers contre usurpalion du titre de gascon, XXV, 195. — Eloge des Gascons, XIV, 266. Gascons de Jeanne d'Arc Les Capitaines., XVI, 293-296. —XVII, 156. GASPARD, piémontré de Vic-Fezensac, XXV, 164. Gaspard, seigneurie de, on Grisolles, XXII, 266. 83 — GASQUET Jean de, XVI, 294, GASSAUD, ingénieur, XI, 259. GASSIOLES, XXIV, 153. GASSION de, XIV, 116. — XVII, 111. — XXII, 138, 142. GASTON D'ARMAGNAC, XIV, 299. — XVI, 112. GASTON D'ASTARAC, XVIII, 98. GASTON DE BÉARN, comte de Fezensac, XIV, 44. — XVII, 241. — ses démêlés avec le Roi d'Angleterre, XIII, 106-112. GASTON VII DE BÉARN ou de MONCADE, XV, 219. — XVIII, 243. GASTON DE CANDALE, XV, 201. GASTON DE FOIX, XII, 234. — XIV, 299301, 304, — XV, 118, 120, 201-209. — XVI, 78, 111, 112, 230, 239. — XVII, 129-130. — XVIII, 18, 21, 23, 26, 94, 98, 101. — XIX, 31. — XXI, 160. GASTON DE FOIX-GRAILLY, XVI, 175. GASTON-PHÉBUS, XI, 114. — XIV, 303. — XV, 13-19. — XVI, 119, 120, 122, 123, 167, 175, 230-232. — XIX, 34. — XX, 124. — Escole Gaston-Phébus », à Auch, XIV, 264-283. GASTON DE SAINT-LÉONARD, XIV, 352. GATY, du Comité de Salut public d'Auch, XXV, 182. Gau, terre de, en Flamarens, XXI, 139. GAUBAT d'Auch, XXIII, 262. GAUBERT, abbé d'Aurillac, XVII, 182. GAUBIL, de l'Isle-Jourdain, XXIII, 73. GAUCERANDE, de l'Isle-Jourdain, XXIV, 198, 199. GAUCHER DE LA BASTIDE-ROLLAND, commandeur de Gimbrède, XXI, 133. GAUDENTIUS, évêque de Brescia, XVII, 86. GAUDIONA, prieure de Goujon, XVI, 41. Gaudoas seigneurie de, XXI 238. GAUDON, juge en Fezensac, XXI, 262. Gaudonville, XII, 86, 125. — XXIV, 114, 120. GAUDOS Guillaume de, archidiacre d'Auch, XX, 143. Gaudoux, XIV, 26. — XVII, 14, 15. — XXI, 200, 201. Gaudun, XI, 45. — grange de, XVII, 209. Gaujan, XIV, 367. — XVI, 287, 288. — XXIII, 227. GAURAN, administrateur du départ, du Gers, XII, 318. — XIII, 77. — XX, 110. — XXIII, 111. — de Condom, XXV, 318. — de Lectoure, XXIII, 252, — de Saint-Clar, XIV, 69. — Divers, XXII, 139. GAURAN de, seigneur de Labarthe, XX, 71-72. — Jean de, conventionnel, XIX, 66. GAURE Raymond de, XV, 218. Gaure comté de, XI, 104, 109, 309. — XII, 132, 133. — XV, 69. — XVI, 127, — XVII, 178. — XVIII, 16. — XX, 91. — XXI, 143. — XXV, 110. Gausac seigneurie de, XXV, 76. GAUSERIC, roi ries Huns, XVII, 260. GAUSTIRAN, de Mirande, XXIV, 72. GAUTHIER, de Ronas, XXI, 209. GAUTIER, vicaire d'Auradé, XVI, 29, 34. — apothicaire à Toulouse, XXI, 255. — de Vic-Fezensac, XIII, 2330. — XIV, 231. — XX, 52, 58, 59, 63. — XXI, 268. — XXIII, 320. — XXIV, 50, 132, 285. — Divers XI, 30. GAUZIE, de l'Isle-Jourdain, XX, 27. GAVARET, off. mun. de Pavie, XVIII, 111, 112. Gavarnie » Le méridien de, par B. Sarrieu, XXI, 207-208, 287. GAVARRET Pierre de, XIII, 238. — XXI, 135. Gavarret, XIII, 228. — XVIII, 68. — XIX, 38, 41. Gavaudun château de, XXIII, 213. GAVEAUX Pierre, musicien, XIV, 288. Gavray, XVIII, 14. GAY, d'Auch, XXIV, 324, 328. — de Touget, XXIV, 248-251. — XXV, 291, 294, 299, 300. — 84 — GAZAIGNE Jean, soldat de 93, XII, 184185. 184185. gazailles » contrats de, XIV, 95. Gazaupouy, XII, 329. — XIX, 65. — XXII, 16. — XXIV, 172. — XXV, 174. — chrisme rie, XVII, 01. Gazax, XIV, 52. — chrisme de, XVII, 72. Gazette rie Paris » La, XXV, 156157. 156157. du Conseil du départ, du Gers, XXV, 182. Geaune, XV, 17. — XXII, 298. GÈDES, curé de Gelotte, XXIV, 25, 125. GELAS de, seigneurs rie Léberon, XI, 111, 117. — seigneurs de Rozès, XXIV, 19. — comtes de, XIV, 359. GELAS, abbé de Sère, XVI, 262. — XVII, 294. — XVIII, 119. — notaire de Roques, XXIV, 24. Gélas seigneurie de, XVI, 237. GELBES de, XXII, 99, 314, GELBIÈS Antoine, XIV, 202. GÉLÉDE, d'Azimont, XVI, 35. Gellenave, XVI, 181. — XVII, 310. — XX, 75. CELLES de, XII, 361. GELOS de, XX, 57, 73. Gelotte lieu dit, la, près Rozès, XIV, 109. — ancienne paroisse, près VicFezensac, XXIV, 25, 125. GELPY, XXIII, 109. Genappe; XV, 200. GÈNEBRIÈRES de, XXII, 324. Génebrières, XXIII, 80. Genens, en Montréal, XVIII, 200. — XIX, 25. — XXII, 09, 175. Genenx. XI. 45, 46. — chrisme de. XVII, 64, GENÈS, martyr on Bigorre, XVII, 201. Gènes Italie, prêtres du Gers déportés, XXIV, 172. Genève, XXV, 102, GENEZ Guillaume de, prieur de Galan, Galan, 221. Génissac Gironde, XXIV, 314. GENLY de, XVIII, 209. GENSAC de, gouverneur de Mauvezin, XXII, 205. — Divers XIV, 20. — XV, 30, 38. — XVII, 299. GENSAC, chasseur rie loups, XVI, 148. — parricide guillotiné 1817, XXIV, 147, 151. Gensac, XI, 205. — XIV, 215. — XV, 122. — château de, près Montauban, XV, 30. GENTETS, de Bezolles ou DE BEZOLLESGENTETS, BEZOLLESGENTETS, 22. Géologique le Gers au point rie vue, XIII, 289-293. — XIV, 77-81. — XVIII, 230-238. — XX, 84, GÉRARD, de Bassoues, XXII, 128. GÉRARD-CLÉMENT, baron de Sanssot. — voir SANSOT. GÉRAUD D'ARMAGNAC Géraud II, XV, 160, 210. — Géraud III, XV, 212. — Géraud IV, XV, 219. — Géraud V, comte de Pardiac, XI, 52, 108. — XII, 170, 380. — XIII, 10-22. — XV, 27. — XVIII, 85, 86. — XIX, 76. — son attaque du château du Sempuy, XX, 91. — Géraud V de Fezensac, XX, 146. — Géraud VI, contre Odon de Lomagne, XX, 97. GÉRAUD DE FEZENSAGUET, XIV, 304, GÉRAUD DE JAULIN, XIX, 29 . GÉRAUD DE LABARTHE, archev. d'Auch, XIV, 45, 234. GÉRAUD DE LA PAILLÈRE, XXI, 35. DE LOMAGNE, XXII, 19. GÉRAUD, de Vic-Fezensac , XV, 57. GÉRAUD, notaire, XIV,326. Gerbe d'Or » La, par Ludovic Loubon, Loubon, 191-193. GERBOUS, d'Eauze, XIV, 179. — curé de Ricau, XVI, 94. GERDERESTE Gabriel de Béarn de, XI, 116. — XIV, 300, 302. GÈRE ou GÈRES de, seigneurs de SteGemme, SteGemme, 73. — XIV, 354. — XV, 195, 196, 266. — XVI, 137. — XXII, 90, 95. — 85 — Gère chapellenie de, diocèse de Lectoure, Lectoure, 33-35. Géronville seigneurie de, XII, 209. Gers poème de Fortunat sur la rivière, le, XVII, 266-267. µGERVAIS, de Touget, XXIII, 130. GESTA de, XVII, 188. Gex, en Manciet, XXI, 199. GÈZE, terroriste d'Auch, XXIII, 111, 112, 116, 121. — consul de Pavie, XVII, 292, GHINUCCI Pierre, XVII, 256. GHYSEGEN Le Candile de, noble famille belge, XVI, 131. GIBERT. d'Auch, XII, 256. Gié seigneurie de, XVIII, 204, 209. GIÉRA Bernard de, abbé de Gimont, XV; 228. GIGNAN de, XIV, 178. — XXII, 141. Gignan, en Lupiac, XIV, 50. GILBERT, abbé de Flaran, XII, 170. — Dominique, XIII, 33. GILIBERT, curé de Ste-Aurence, XXI, 37. GILLES DE BRETAGNE, amiral de France, XIX, 48. GILVÈS Jean, archiprètre de VicFezensac, XIV, 111. GIMAT, off. mun. d'Eauze, XII, 175, 181, 339. — juge en Fezensac, XXI, 262, 268. — consul de Monfort, XV, 273. — XVI, 139, 141. — consul, jurat, archiprêtre ou off. mun. de VicFezensac, XIV, 112, 217, 221, 322. — XXIII, 316. — XXIV, 288, 290. — de, XI, 73. — XII, 87, 88, 90. GIMBAL, de Monfort, XVII, 223. Gimbrède découverte de squelettes à, XIV, 188. — commanderie de, XX, 135. — XXI, 135-152, 213-230. — liste des commandeurs, XXI, 229230. — La Commanderie de Gimbrède », par l'abbé Bénaben, XX, 84, — XXI, 209-212. — siège de, XXI, 144-140, 237-229. Gimoès ou Gimois vicomte de, XII, 362, — XXII. 272, 317. Gimont réunion ries Etats en 1575, XIV, 204, — la grande peur de 1789, XIV, 260. — abbaye, XV, 25, 222, 225, 228. — XVI, 45, 46, 142. — XVII, 96, 181, 183. — XVIII, 137, 138. — procès entre abbaye et seigneurs de Blanquefort, XVI, 215-221, 224, — Divers XI, 38. — XII, 149, 269, 329. — XIII, 270. — XIV, 204, 353. — XV, 67. — XVII, 113. — XIX, 66. — XX, 96. — XXII. 74, 99, 104, 265, 269, 308. — XXIII, 78, 306. — XXIV, 81, 103, 108, 176, 181, 283. — XXV, 73, 77, 92. GINESTE, XXIV, 324, GINESTON de, avocat à Auch, XVII. 287. GINYÈS, jurat de Condom, XXV, 320 GIRAULT, notaire. XIV, 327. GIRONDE Auger de, XVI, 218. — Guillaume de, XVI, 294, — de Monclar-en-Quercy, XVIII, 235. Gironde inondation de 1770 à, XI, 146. — Divers, XV, 122. Girondins incarcérés à Lectoure, voir Lectoure. — exécutés à Paris en 93, XXV, 159. Girosse Espagne, XV, 204. — XXIV, 337-339. — XXV, 147. Giscaro, XVI, 160. Gisors, XVII, 138. GISSAC de, XXIII, 192. GISSOT, de L'Isle-Jourdain, XXII, 322. — consul de Monfort, XVI, 137. — guillotiné 1802, XXIV, 141. GITHET, de Touget, XXV, 300. Giversac. seigneurie de, XIX, 128. GLADY, d'Auch, XXIV, 311. GLANDERI, consul de l'Isle-Jourdain, XIV, 201. Glandève, XXIII, 17. GLANDIER. notaire de L'Isle-Jourdain, XXII, 94, Glatenx, XII, 88. Glésia, près Montréal le, XI, 44. — XXIV. 19. — Découverte de mosaïques au, XII, 275. Gleysasse la, près Pavie, XVII, 179. Glisenove seigneurie de, XVIII, 26. GNIPHON, XVI, 190. Goalard le, près Condom, XXV, 187, 189, 321. GOALLARD de, seigneurs de Pellehaut, XX, 69. GOANÈRE, député de Marguestau, XIV, 180. GOAS de, XVII, 107, 110. GODAR, off. mun. d'Eauze, XII, 175, 181. GODARD, libraire, XXII, 242. Godarville seigneurie de, XIX, 38. GODEFIN, XXIV, 326. GODELIN, de Gajan, XX, 61. GODIN Pierre, de, religieux de VicFezensac, XXIV, 21. GOLARD Géraud de, seigneur de Gimbrède, XXI, 147-148. GOLARD ou GOULARD de, XXV, 74. Golfech Tarn-et-Garonne, XXI, 137, 216, 220. GOMARD DE VAUBERNIER, XIV, 20, 25. Gondrin, XI, 41, 104, 251, 278. — XII, 67. — XIII, 65, 213, 292. — XIV, 321. — XVI, 94, 153. — XVII, 210. — XVIII. 41, 60, 61-63, 260. — XIX, 85. — XX, 61, 70, 96, 98, 130. — XXI, 37, 43, 230, 253. — XXII, 63, 70, 175, 224, 296, 300-303. Gontaud, XVIII, 229. GONTAUD-BIRON-ST-BLANCARD de. XII. 304, — XVI, 269. — XVII, 97. — Charles de. XXII, 328. — Maréchal rie, XVI, 94, — XVIII, 223-235. — Viane rie, fondatrice de Prouillan, XXII, 148. Gordens, XIV, 107. GORGOLIS, notaire de Vic-Fezensac, XV, 55. GORGUE de, de Riguepeu, XVII, 40, 245. GORSAS, journaliste, XXV, 153, 159. GORSE-LAFAYE, de Condom, XXI, 232. GORSOLES, religieux de Condom, XXII, 115. GOSON-MELAC Pierre de, commandeur de Gimbrède, XXI, 144, GOTH Anne de, XIII, 213, 214, 223, 224, 228. — Bernard de, seigneur de Lamothe-Bardigues, XIII, 225. — Bertrand de, XXI, 139, 150. — XXV, 190. Voir CLÉMENT V. — Garsie de, vicomte de Lomagne, XXI, 214, 225. — XXIV, 114, — Mabille de, XXII, 89. — Régine de, comtesse d'Armagnac, XIX, 30. — marquis de Rouillac, XXI, 250. GOUAUX, prêtre d'Arreau, XXI, 107. GOUDIN, juge-royal de Fleurance, XVIII, 50. — président de l'élection de Lomagne, XXIII, 80. Goudon de, XVII, 249. GOUDOU de, XXIV, 196. Goudourvielle, XVI, 37, 38. GOUJEON Roland, XIX, 151. GOUJON de, XXI, 253. Goujon abbaye de, XVI, 13-15, 26, 38-58. — XVII, 96, 237-238. — XVIII, 136-138. GOULARD, XVI, 130. — capitaine à Monfort, XVII, 221, 223. Goulard, XI, 104, GOULART, écrivain protestant, XI, 167. GOURCELLE, curé de Bezolles, XXIV, 24-26. 125. — XXV. 95. Gourdan Haute-Garonne, XIII, 289. Gourdon en Quercy, XV, 126. — XVI, 88. — XXIV, 306. GOURG, off. mun. d'Auch, XXII, 41, 72. Gourgues » Dominique de, par Ch. Samaran, XIII, 100. Gournay, XVII, 138. GOUT du, XII, 87, 88, 89. — XIII, 213, 228. — XX, 60. — seigneur de Lieux, XXI, 144, 146, 147, 149-152, — seigneur de Saint-Germier, XVII, 94, — XXIII, 142, 309. — XXIV, 192. — XXV, 74-75. GOÛTS ou GOÛT du. — Voir le précédent, GOUTE, bourreau d'Auch, XXIV, 66-67. 87 Goutte traitement de la, au XVIIIe siècle, XIV, 128-132, — étrange recette contre la, d'après Ausone, XVII, 76-78. Goutz, XII, 138. — XIV, 351. — XXIV, 133, 150. GOUXÈNE, consul de Puységur, XIV, 218. GOUZÈNE, vicaire de Lavardens, XXI, 200. GOUZENNE, curé de St-Lary, XXII, 140. GOUZOT, archevêque d'Auch, XXV, 15. GOYON de, XVI, 142, — XX, 108. GOYON DE BRICHON de, maire de Montréal, XXI, 287-288. — XXII, 6470. — Pierre de, marquis de Verduzan, guillotiné à Auch, XXII, 74. GRABIÉ de Touget, XXIII, 24, 28, 129, 130, 305. — XXIV, 247, 248, 253, 255. GRABIUS, vicaire de Bellevue, XXIV, 22, GRACE Henri de, commandeur rie Gimbrède, XXI, 220. GRAILLY Archambaud de, XVI, 175. — Jean de, sénéchal, XX, 134. — Divers XVIII, 87. GRALLA de, majordome castillan, XIX, 149-151. Gramat, XIV, 260. GRAMON de, commissaire à l'IsleJourdain, XIV, 199. GRAMONT, consul de Verduzan, XIV, 174, GRAMONT de, gouvern. de Bayonne, XVI, 93. — XVIII, 23, 28. — XIX, 54, 157. — maire d'Auch, XIV, 95, 303. — XV, 121. — XXI, 171-172, — XXIII, 71. — XXIV, 102, 103, 109. — XXV, 73. — Divers, XIV, 152. — XVI, 88, 236. — XIX, 43, 157, 158, 160. — XX, 44, 108, 155. — XXI, 104, Granadette, diocèse d'Auch, XXIII, 81. Grande peur en Gascogne, en 1789 la, XIV, 259. — XV, 79. GRANDIN, notaire à L'Isle-Jourdain, XXII, 91. Grand-Pressigny, XIII, 290, 293. Granselve abbaye de, XVI, 222. — XXII, 190. Grangé lieu dit, près Barran, XIV, 72, Granges et grangier, XV, 55. — origine des, XVII, 194, Granville, XVII, 129. GRASSAY de, seigneur de Champeroux, Champeroux, 57. GRASSET, d'Auradé, XVIII, 138. Grassio lieu dit, près Vic-Fezensac, XIV, 314. GRATIEN, XVI, 188, 196. Graville, XIX, 54. Grazas, XI, 205. GRAZELERY de, grangier de Vic, XV, 64. Grazimis, XXV, 175, 176, 320. GRÉ de, XVI, 185. GREGNIER, XI, 30. GRÉGOIRE IX, pape, XV, 218. — XXI, 152. — Grégoire XII, XV, 18. — Grégoire XV, XVI, 265. — XVIII, 73. GRÉGOIRE, évêque de Lescar, XV, 152. GRÉGOIRE DE MONTANER, abbé de SaintSever, SaintSever, 152, GRÉGOIRE, évêque constitution., XIX, 95. — XXI, 193. — XXV, 222. GRÉGOIRE DE TOURS, historien des Francs, XVII, 259-264, — XVIII, 142153. 142153. institutrice d'Auch, XV, 50, 52. Grenade-sur-Garonne, XIV, 158, 334, 338, 345. — XVIII, 124, — XXI, 246. — XXII, 266, 270. — XXIII, 16. Grenoble, XXI, 104, — XXIV, 277. GREUZE, peintre, XI, 29. GRIFFOLET, maire de Cologne, XXIII, 131. GRIFFOUL, curé Montbardier, XXIII, 182. Grignols, en Périgord, XXIV, 126, 130, 131. GRIMAUD, d'Auch, XXIII, 86. — com- — 88 — mandeur du St-Esprit à l'Isle-Jourdain, XX, 28. Grisolles, XXI, 144. — XXII, 266. GRISON, notaire, à Vic-Fezensac, XXI, 128. GRISONIS, juge en Fezensac, XXI, 262. GRISONNY de, XX, 73. — archiprêtre rie Gondrin, XVIII, 62, 63. — XXII, 63, 70, 224. Grit seigneurie de, en Montréal, XIX, 34, GROEN, orfèvre lectourois, XXIII, 8380, 8380, GROJAN de, XVI, 273. GRONTZ Simon, XIV, 171. GROS, avocat, administrateur du Gers en 1792, XIX, 165. — XX, 107, 114-116. — XXII, 37, 38, 220. — Commandant du Bat, patriot, du Gers, XXIII, 158. — XXIV, 306. — de la Soc. popul. de Vic-Fezensac, XXIV, 54, 322. GROSLOT, seigneur de Chambaudoin, XXI, 239. GROSSHOLTS, XXIV, 146. GROSSOLES Anne de, prieure de Fontevrault, XXV, 192. — Bernard de, XIII, 170. — Hérard de, évêque de Condom, XIX, 193. — XXIII, 293. — XXV, 190. — Divers XII, 86, 138, 295. — XIII, 213. — XIX, 40. — XXI, 140, 155. — XXII, 116. — XXV, 191. — seigneurs de Flamarens, XII, 87, 88. Grottes, souterrains et excavations artificielles dans le Gers, XIX, 7385, 172-185. Grue, XI, 45, 46. — XIII, 290. GRUEL Guillaume, XVII, 128, 129. — Pierre, président au Parlement de Toulouse, XVIII, 199. — de, XXIV, 260. 280. GUA du, seigneur de Caumont, XII, 232, 235, 237. GUADET, XXIV, 223. GUALDÈS de, XVII, 185. GUALHAC de, de Toulouse, XVII, 208. Guardès tour du, XI, 105, 109, 237. — XIV, 247. — XXI, 16, 19, 89. GUARGAS de, XI, 25. GUARINI, XXIV, 279. GUARY, bénédictin de Touget, XXIII, 140, 307. — XXIV, 94, Guastalla, XVII, 110. GUEGUEN, archidiacre de Penthièvre, XIX, 55, 151, 152, GUCHENEUC, XXIV, 330. GUÉNÉGAUD de, XVIII, 192. GUÉRARD, d'Auch, XII, 257. — XIX, 165. — XXIV, 314, — Victoire, XXII, 31-42, 176. — XXIII, 35-36, 88. GUÉRIN, ministre de Philippe-Auguste XXIV, 334, Guerre de Cent-Ans Contribution à l'histoire de la, XXV, 67, 69, 70. — son origine, XVI, 110. — sa fin, XVI, 173. Guerre du Bien public, XVI, 74-78. Guerre des amoureux », XIV, 211. — XVIII, 229. Guerre folle la, XIX, 50-57. Guerre de la succession de Comminges, XVI, 172-178. Guerre entre François Ier et CharlesQuint, XIV, 123. Guerres entre maisons de Foix et d'Armagnac origine des, XVI, 111. — réconciliation entre ces deux maisons, XVI, 167. Guerre entre Louis XI et Charles le Téméraire, XVIII, 18. Guerres de religion Contributions â l'histoire des, à Auradé, XVII, 237238. — à, Justian, XXI, 119-121. — à L'Isle-Jourdain, XIV, 189, 333. — à Nogaro, XVIII, 39-40. — XXII, 182. — à Vic-Fezensac, XIII, 177-178. — Divers XXI, 166-168. — XXII, 2021. — XXIII, 144-145, 234, 310. — XXIV, 190, 191, 197. — XXV, 190-191. Guerre 1914-1918 protestation de la Soc. Arch. du Gers contre le vandalisme allemand, XV, 190. — XVIII, 271. — membres de la Soc. Arch. morts pour la patrie, XVI, 155-156. — XIX, 195. — XX, 13-18. — membres de la Société Archéolog. ayant obtenu des distinctions honorifiques, XIX, 196. — XX, 19-24, 8586. GUERRIÉ de, XII, 301. Guétarie Espagne, XXV, 168. GUICHARD DE MARCIAC, sénéchal de. Toulouse, XIII, 110. GUICHARNAUD D'ABOS, abbé de SaintGirons, XV, 17. GUICHARNAUD DE NAVAILLES, évêque d'Aire, XV, 17, 19. GUICHE comtesse de, XXV, 73. Guiche, XIV, 152. — château de, XVII, 130. GUICHENÉ de, XXIII, 64. GUI-GEOFFROI, comte de Poitiers, XV, 145, 160. GUILHEMAUDY, seigneur de la Hérouse, en Montréal, XX, 106. — XXII, 64, 304, GUILHON. vicaire du Saint-Esprit, â Lectoure, XXI, 204. GUILHOT, jurat de Condom, XXV, 316 GUILLAMÈDE, notaire à. Cologne, XXIV, 258. GUILLAUME D'ANDOZILLE, archevêque d'Auch, XVIII, 264, GUILLAUME-ASTANOVE de Fezensac, XV, 146. GUILLAUME D'ASTARAC, XVII, 181, 182, 282. GUILLAUME, abbé de Berdoues, XVII, 186, 190. — XX, 145. — abbé de Cluny, évêque d'Agen, XII, 48. — évêque rie Lectoure, XII, 21. — évêque de St-Bertrand-de-Comminges, XV, 152. GUILLAUME DE CONDOM, XIII, 238. GUILLAUME LE PIEUX, duc d'Aquitaine, XII, 40. GUILLAUME-RAYMOND DE LESCUN, XIV, 302, 303, 305. — XV, 13-16, 18. GUILLAUME DE NOGARO, XV, 144-146. GUILLAUME D'ORGON, abbé de St-Jean de Sordes, XV, 152, GUILLAUME DE VILLARET, grand-maître rie l'Ordre de Saint-Jean, XIII, 239. GUILLEMETTE, notaire et juge, XIX, 66. GUILLEMETTE DE BÉARN, XVI, 112, GUILLERMIN, conseiller au Parlement rie Toulouse, XXV, 78. GUILLON, procureur du Roi, XIV, 185, 186. — Guilhem rie, seigneur d'Auradé, XVI, 215, 220. GUILLOTlN Docteur, XXIV, 04. Guillotine dans les Landes et dans le Gers la. XXII. 73-75. — XXIV, 7382, 7382, 220-227, 313. — Voir bourreaux. — Révolution. GUINOT. de Condom, XXI, 232. — d'Eauze, XXI. 50. GUI-PAPE, juriconsulte, XXIV, 277. Guipuzcoa, XVIII. 203. — XIX, 149. GUIRAUD D'AURE, XXI, 160. GUIRAUDEZ DE ST-MÉZARD, archiprètre rie Lavardens, XV, 72, GUISCARO de, chanoine, XVI, 279. GUISE ducs de, XIII, 207-209. — XVI, 160, 162, 198. — XV, 84. — XVII, 98, 99. — XVIII, 21, 225, 232, Guiserix, XII, 125, 126. — XV, 77. GUISOLPHE, de Saint-CIar, XVIII, 222. Guisona, XV, 205. Guitinières seigneurie de, XVI, 239, 240. GUSVARRI, jésuite, XXI, 270. GUYENNE ducs de, XVI, 80, 82, 84. 176, 238. Guyenne la guerre en, en 1295-1299, XIII, 109-110. GUYON, de Clermont-Savès, XXIV, 47. GUYON Madame, XV. 231-233, 241. GUYOT DU CHESNAY. XVIII, 21. GUYTON René, d'Angoulème, XVIII, 70. 90 — PL Hâ. château-fort du, à Bordeaux, XVIII, 27. Habitations rurales au XVIIIe siècle, en Gascogne, XV, 38-47. Hachan-Debat, XIV, 254, Haget, XX, 153. — XXI, 153. 154, 158, 162, 242. — XXII, 130, 227, 232, 230. — XXIII, 64, Haget ou Lousfagets, près Nogaro, XVIII, 182. Hagetmau. Landes, XIV, 152, 294. — XVII, 130, 131. — XIX. 49, 160. — XXV, 73. HAGONET colonel d', XIII. 138-141. Haguenau, XIII, 256. HAILLET du, XVII, 109. Ham, XXIV, 326. Hambourg, XXIV, 354. Haras sous l'A. R. et voeux formulés en 89, XV, 258. — XVI, 260. HARAUCOURT Guillaume d', évêque rie Verdun, XVIII, 15. Haraut domaine du, en Pouylebon, XIX, 144-146. HARCOURT comte d', maréchal de Bretagne, XIX. 47. — XXV, 191. HARDI DE VICQUES, abbé de Saramon, général de Lombez, XIV, 138. HARDOUIN DE CHALONS, évêque de Lescar, Lescar, 113. HARDY, à. Bordeaux, XXII. 265. HARSANS, XVI, 105. Hasparrens, XVI, 199. HAUSSET, prêtre à, l'Isle-Jourdain, XXII, 299-300. Hautcoué Salle noble du, près Auch. XXI, 197-199. Hautefage Lot-et-Garonne, XXIII, 212. HAUTERIVE de, XVI, 113. Hautfaget seigneurie rie, XVIII, 22. HAUTPOUL d', XI, 296. — XXII. 339. havée » droit de, XXIII, 266-267. HAVOR Ladislas, espagnol, XXIV, 338. HAXO général, XXIV, 326. HAY, chef de hussards, XII, 268. HÉBERT, XXIV, 223, 254, — XXV, 203. 210. HÉLIE d', seigneur d'Esparbès. XVIII, 72. HÉMET, vénérable de loge maçonnique à Auch, XI, 28. Hendaye, XV, 208. HENRI D'ALBRET, roi de Navarre, XVIII, 38. — XXI, 143. — XXIII, 309. HENRI Ier D'ANGLETERRE, XXV, 119. HENRI II D'ANGLETERRE, XVIII, 37. — XXIV, 111, 112, 114-115, 117. HENRI III D'ANGLETERRE, ses revendications comme duc d'Aquitaine, XV, 219-220. HENRI VI D'ANGLETERRE, XV, 119, 120. HENRI VII D'ANGLETERRE, XIX, 150. HENRI DE BOURBON. XIV, 151. HENRI II, XI, 112, 115, 197. — XVI, 265. — XVII, 98. — XXI, 150. — XXII, 94. HENRI III. XI. 102, 103, 117. — XII. 294. — XIII, 216, 224. — XIV, 211. — XVIII, 225, 232. HENRI IV, pourparlers préliminaires à son mariage, XIII, 213. — ses rapports avec Marguerite de Valois, XIV. 150-154, — avec Diane d'Andouins, XIV, 152. — avec protestants de l'Isle-Jourdain, XIV, 204, — il séjourne dans cette ville, XIV, 204209, 334, — XXII. 102. — détails sur sa conversion et son assassinat, XVIII, 101. — XXI, 238. — Divers XI, 117, 118, 201. 202. — XII, 210, 228, 295, 297. — XIII, 232. — XIV, 30. 168, 267, 339. — XV, 66. — XVII, 203. — XVIII. 40, 225, 232. 233. — XX, 100. — XXI, 245. — XXII, 118, 119, 269. 271-274, 315. — XXIV, 296. Henri IV en Gascogne », par Ch. rie Batz-Trenquelléon, XII, 379. — 91 HENRI DE NAVARRE, XIV, 294, — XVI, 240. — XVII, 257. — XVIII, 224, 228. — XX, 59. — XXII, 308. — XXIV, 295. — XXV, 73. HENRI IV, roi de Castille, XV, 202, 206-208. HENRI Père, capucin, XIV, 42. HENRIETTE DE FRANCE, XVIII, 75. HENRY, docteur d'Auch, en 1632, XIV, 224. HÉRACLIUS, évêque de Tarbes, du XIe siècle, XV, 152. Herran domaine du, près Vic-Fezensac, XIV, 110. HERREBOUC Ricarde de, XIV, 106. Herrebouc château de, XII, 13-34, 119-144. — XIV, 218, 248. — XVI, 157. — XXI, 92-93. Herret, près Condom, XXIV, 167, 171. — XXV, 320. HERSAN ou HERSENT, illuminé, XV, 112, 116. Heures, chapellenie en Gondrin, XVIII, 61. HEURRE, sculpteur, de Nogaro, XVIII, 46. Heux, XXIV, 237, 239. HIGADÈRE, de Touget, XXIII, 130. — XXIV, 253. — XXV, 292, 294, 299, 300, 301. Higat oppidum du, XVI, 209-211. His seigneurie de, XXII, 135. HISPAN, archevêque d'Auch, XVII, 192. HITTE de la. XXIV, 101, 104, 109. HOCHE, XXIV, 103. HOLLAND, en Aquitaine, XV, 120. Hommage » droit, d', XIII, 45-46. — XIV, 48. — cérémonie de ]', XXI, 140. Homps, XII, 88. — XIV, 100. Honfleur, XVII, 139. Honoraires, de chirurgien, au XVIIe siècle, XVIII, 67. — de médecin au XVIIIe siècle, XIV, 129-132. — de prédicateur au XVIIIe siècle, XXI, 235. — de régent » avant 1789, XIV, 73-75. — XXI, 265., — Voir traitements. Hontaux, en Marsan, XIV, 295, 300, 306. HORCAT de, consul de Risçle, XVI, 181. Hordosse seigneurie de, XXII, 191. Horgues, XVI, 224, HORNOGA, d'Auch, XXIII, 111. — de la Soc. popul. de Fleurance, XIII, 75. HORTON de, seigneurs du Tauzin, XX, 66. HOSTE de l', XIX, 186. HOUDON, sculpteur, XI, 29. Houga le, XIV, 172, 215 .— XVI, 181. — XVII, 310. — XX, 101. — XXI, 117. — XXIII, 228. — Loups dans la forêt du, XVI, 148. HOUOUX d', lieut. de Montmorency, XIV, 344. HOZIER Charles d', généalogiste, XXII, 142. Huesca en Aragon, XVI, 197. HUGEL, général wurtembergeois, XIII, 257. HUGON, évêque de Toulouse du XIIIe siècle, XVII, 208. Huguenots les en Gascogne, XIV, 197-212, 333-346. 350 .— XIX, 196. — XX, 25-30. — Voir FleuranceL'isle-Jourdain. FleuranceL'isle-Jourdain. abbé de Berdoues, XVII, 190. — XX, 143. — abbé de Cluny, XII, 44, — XV, 147, 160. HUGUES DE BAR, évêque rie Lectoure, XIII, 299. — XIV, 67. HUGUES DE GASCOGNE, XXV, 58. HUGUES LE BLANC, cardinal-légat, à Auch, XV, 159. HUGUES DE SPARSAG, moine de Pessan, XVII, 181. HUMBERT général, XVIII, 156. HUMBOLDT Guillaume de. XXV, 168169. 168169. — 02 — HUNAUD Guillaume, évêque de Tarbes, XXIII, 55. HUSSON-BROUTIÈRES, XXII, 168. Husson château de, en Auvergne, XVI, 83. Hymnes, poésies et chants révolutionnaires, XXI, 278-284. — XXV, 98. I Ibos, XV, 286, 292. ICARD, concierge rie la prison d'Auch, XVIII. 60. ICHÉ, de Castres, XXII, 198. ICHON, XIII, 143. — XX, 108. — XXIV, 314. — XXV. 223. IDRAC XVIII, 220. — guillotiné Auch, 1807, XXIV, 149. — agent mun. de Sainto-Marie-Morin. XXIV, 135. — de Touget, XXV, 300. Idrac. XV, 222. — XVI, 288. Iéna Episode rie la bataille ri', XVI, 70. Ille, XVIII, 26. Illuminés secte ries, XV, 111-112. IMBERT d', ministre protestant de l'Isle-Jourdain, XXIII, 75. IMBERT, magistrat de Condom, XXIII, 277. Impôt foncier au XVe siècle. XI, 54. Impôts et leur perception sous l'A. R. XIII, 287. — XIV, 169. — XVII, 53. — XXII, 247-250. — XXIII. 315. Imprimerie Notes sur les origines et les premiers progrès de l', XXII, 23-24. INCAMPS d'. XI. 313. — Bertrand d'. écuyer du Roi de Navarre, XVI, 237. — Divers XXI. 249. — XXII, 133. 135. Incunables se trouvant dans le Gers, XXI. 290. — XXII. 23-29. Industrie disparue dans le Gers, la soie, XV, 65-08. INNOCENT IV, pape, XVII, 191. — XXI, 135. INNOCENT VI, pape, XVI, 120, 121. INNOCENT VII, pape, XV, 18. — XVIII, 96. INNOCENT X, pape, XV, 112. INNOCENT XI, pape, XVI, 265. Inondation de 1770 dans la généralité de Bordeaux, XI, 140-150. Inondation de 1584 à Riguepeu, XVII, 20-21, 29, 38. Inscriptions romaines et gallo-romaines, XII, 369-370. — XIV, 71-72, — XVI, 199-200. Inscriptions du pays basque, XV, 289. horaires sur cadrans solaires, XIII, 300. — XIV, 366. Instituteurs et manuels scolaires à Auch, an VI. XV, 48-54, 99-100. Instruction, au XVe siècle, XI, 254. — sous Henri IV, XVIII, 65-67. — sous l'A. R., XIII, 206, 207, 305. — XIV, 37. — XVIII. 138-140. — exemple de Simorre, XIV, 73. — exemple de Vic-Fezensac, XXI, 263-267. — instruction ries filles sous l'A. R., XXI, 266-267. — Doléances des Cahiers de 89. XVI, 259. — instruction primaire sous la Révolution, XIII, 7881, 280. Instrument rie fesande, XIII, 92. Insurrection royaliste de l'an VII 1799, dans le Gers, XII, 270-271. Insurrection rie bordiers, en 1793, XXIV 310. Inventaires d'un mobilier gascon, au XVIIIe siècle, XIV, 348-349. — du mobilier d'un chirurgien au XVIIe siècle, XVIII, 188-191. — du mobilier d'un artisan au XVe siècle, XIX, 115. — d'un mobilier seigneurial au XVIIe siècle, XXV, 80-89. — au XVIIIe siècle, XXI, 220-222. — du mobilier d'un conseiller au Parlement de Toulouse, en 1669, XXIV. 256-281, 299. — 93 — Inventaires des objets du culte, an II 1790, à Resmaux, XXIII, 238. — à du Cédon, XVII, 295. — à Bouit et Nogaro, XVIII, 178. — à Duran, XIX, 103-104, 110. — à Mirannes, XIII, 273. — à Pavie, XVI, 270-276. — XVIII, 111. — au Paravis, XXV, 192. — à Prouillan, XXII, 150152. — à Touget, XXIII, 141-144, 301307. — XXIV, 84-85. à Vic-Fezensac, XXV, 163-164, ISABEAU DE BAVIÈRE, XIV, 370. Isabelle d'Armagnac, dame des Quatre-Vallées », par Ch. Samaran, XI, 300. ISABELLE DE BRETAGNE, XIX, 154-156. ISABELLE DE CASTILLE, XVIII, 204, 206. — XIX, 149. ISABELLE DE FOIX, XVI, 175, ISABELLE DE NAVARRE, comtesse d'Armagnac, XVI, 172. ISALGUIER, lieut, du sénéchal de Toulouse, XIX, 54, ISALLIÉ d', XVIII, 119. ISANDON d', XI, 296. — XVII, 33, 45. Isandon seigneurie d' en Barran, XVII, 33, 178. — XXIII, 287. Isaute, ancienne annexe de Laujuzan, XVIII, 184. ISLE Pascal de l', prieur des Carmes de Pavie, XVI, 268. — Raymond rie l', abbé de Saramon, XV, 222. Isle d'Albi, XV, 119. Isle-Arbéchan ou Arbeyssan, nom primitif de l'Isle-de-Noé. Voir ce mot. Isle-en-Dodon, XVII, 237. — XXII, 260, 266. Isle-Jourdaiu. son histoire, par J. Saverne, XVI, 142-146, 150. — histoire du comté, XII, 237. — liste ries seigneurs, leurs privilèg. et exemptions, XII. 90-91, 361-362. — Cartulaire ries seigneurs, XIII, 45. — Les consuls, XIII, 56-61. — chapitre collégial de St-Martin ,XXIV, 37, 49. — démêlés du chapitre avec le gouverneur, XXII, 307e — XXIII, 68-69. — Guerres de religion, XIV ,189, 191, 197-212, 333-346. — Les protestants, XIV, 204, — XIX, 196. — XX, 25-30. — XXV, 79. — arrêts du Parlement Parlement Toulouse contre les protestants, XVII, 319. — XVIII, 120123. — églises démolies par les protestants, XX, 26-27. — pillage de la ville et massacre de 1580, XIV, 210-211. — pillages, peste et calamités diverses, rie 1585 à. 1594, XIV, 334-337. — G. Dubourg, gouverneur, XXII, 101-103, 257-274, 305-312. — — XXIII, 66-70. — XXIV, 41-43. Voir DUBOURG. — Séjour de Henri de Navarre, XIV, 204-209, 334, — XXII, 102. — Siège de 1444, XVI, 172, — siège rie 1586, XVIII, 231. — XXII, 257-258. — frais d'entretien de la garnison au XVIe sièc. XXII, 259-260. — démolition du château-fort et des fortifications, XXIII, 67. — Couvent des frères-mineurs, XXII, 90-91. — Période révolutionnaire XI, 38, 41. — XII, 247, 270. — XXIII, 53, 302, 304, — XXIV, 138, 142, 180, 249, 254, 324, — XXV, 56, 143, 292, 297, 298, 303, 309, 311-314. — Députés de la sénéchaussée aux Etats-généraux de 1789, XIII, 189. — Assemblée de la sénéchaussée, XV, 69, 73. — protestations de la sénéchaussée, XIV, 20. — Divers XI, 280. — XII, 266, 267, 295, 379. — XIII, 88. — XIV, 185, 366. — XV, 259. — XVI, 79, 122, 135, 215, 222, 224, 225, 226, 227, 228. — XVII, 228, 231, 233. — XVIII, 16, 131, 136. — XXII, 87. — XXIII, 193. — XXIV, 62, 147, 150, 152, 199. — XXV, 73, 77. Isle-de-Noé, XI, 41. — XII, 21. — XX, 98, 142, — seigneurs de l', XVI, 267, 269. — XVII, 22, — La Joconde au château de l', XIII. 182, 183. — 94 Islette de Bascous l', XIV, 50. ISOARD Cardinal d', XVII, 300. IVAN DE BÉARN, fils de Gaston Phébus, XVI, 232. Ivry bataille d', XVIII, 223, 225, 233. IZAR, de l'Isle-Jourdain, XX, 27. IZARN, curés de Blanquefort, XVI, 30, 38. — XVII, 238. IZARNY d', XVI, 15, 53. Izeste seigneurie d', XVI, 236. — XIX, 43. IZOARD, commissaire de la Convention, Convention, 64, Izotges, XI, 17. — XVI, 171 .— XVII, 310. J Jaca Espagne, XXV, 126-127. JACOB, maîtres ébénistes, XVI, 59, 63. JACOBI, capitoul de Toulouse, XII, 226. JACOUPY, évêque d'Agen, administrat. du diocèse d'Auch, XVII, 297. — XVIII, 114, — XXIV, 171, 173, 240, 244. — XXV, 174, 184. JACQUES-COEUR, XVII, 129. JACQUINET, XVI, 181. Jaget, XV, 152, Jules château et camp do, XIV, 20. Jalognes seigneurie de, XV, 125. Jau-le-Pec », d'Edouard Dulac, XXIV, 95, 99. Jarnac bataille de. XIV, 203. — XXI, 168. Jarnac-Dragons Régiment de, XIX, 129. JARRIC, curé Clermont-Savès, XXIV, 49. JARRIC de, XIX, 53. JASÉDÉ, de Duran, XIV, 331. Jasses seigneurie de, XXV, 76, 90. JAUBERT de, XX, 26. JAULIN, juge eu Fezensac,, XXI, 261. JAULIN de, curé do Cacarens, XII, 176. — Essai généalogique sur la famille de, XVII, 158. — XVIII, 50, 53. — XIX ,25-42. — XX, 52-75. — Divers XI, 294, — XII, 83. Jaulin seigneurie de, XVII, 209. — XIX, 25. Jaurès, XIV, 217. JAURGAIN Notice nécrologique sur M. rie, XXII, 76-77. JAUSSELIN, trésorier-général d'Albret, XXII, 273, 315. Jautan seigneurie de, XXIII, 69. JAYBERT, d'Auch, XI, 30. JAYET, de Monfort, XVII, 223. JAZÉDÉ, de Jegun, XXL 167. JEAN, roi d'Aragon et de Navarre, XV, 202. — XVIII, 200. — XX, 155. JEAN II, duc de Bourbon et roi de France, XIV, 305. — XV, 207. JEAN, archevêque d'Auch, XIV, 378. — XV, 55. — XIX, 144. JEAN, évêque de Beauvais, XVI, 226. JEAN D'ARMAGNAC, arch. d'Auch, XV, 23. — Voir LESCUN Jean de. JEAN, duc d'Alençon, XV, 199. _ JEAN Ier, le Bon, comte d'Armagnac, XIII, 177. — XIV, 45, 303. — XV, 33, 150. — XVI, 115, 118-128. — XVII, 312. — XXI, 260. — XXII, 249. JEAN II D'ARMAGNAC, XX, 102. JEAN III, d'Armagnac, XIV, 314, 352, JEAN IV, d'Armagnac, XII, 235. — XX, 100. — XXI, 154. — XXIII, 228. JEAN V, d'Armagnac, XI, 310. — XIII, 193. — XIV, 46, 378. — XV, 21, 55. — XVI, 74, 75, 172-177. — XVIII, 23, 27. 210. — XX, 105, 126. — XXI, 158, 159, 261. — XXIII, 228, 252. JEAN, bâtard d'Armagnac, vicomte de Lomagne, XV, 119, 124. — XXI, 139, 140. JEAN D'ASTARAC, XVIII, 98. JEAN DE BÉARN, XV, 202. — XVIII, 19. JEAN, due de Bourbon et el'Auvergne, comte de l'Isle-Jourdain, XIII, 59. — XVI, 75. - 96 - JEAN DE MELUN, XVI, 84. JEAN DE MONTAUBAN, maréchal de Bretagne, Bretagne, 128, 132. — XIX, 48. JEAN DE STE-MARIE, prêtre, XIII, 250. JEAN XXII, pape, XIV, 298, 303, 304. — XVI. 264. — XVIII, 110. — XX, 28. — XXV, 08, 190. JEANNE D'ANGLETERRE, XI, 102. JEANNE D'ARC. Voir Ste Jeanne d'Arc. — Les Capitaines gascons de Jeanne d'Arc », par Paul Courteault, Courteault, 293. — XVII, 156, 314. — Une des voix de Jeanne d'Arc Ste Catherine au diocèse d'Auch, XXI, 34-43. JEANNE DE TOULOUSE, XI, 102. JEGUN, consul de Mouchan, XXII, 301. JEGUN de, praticien rie Pavie, XVIII, 90, 116. Jegun chapitre Ste Candide de, XXI, 240. — XXII, 139. — XXIV, 100, 197-198. — Collectes de au XVIIe siècle, XIV, 173, 218. — Passage des Huguenots à, XI, 311. — Période révolutionnaire XI, 41. — XXIII, 53. — Députés de Jegun aux Etatsgénéraux de 89, XIII, 188. — Divers XI, 309, 311. — XII, 78. — XIV, 109, 173, 215. — XVI, 243. — XIX, 135. — XX, 101, 151. — XXI, 153, 159, 165, 167, 238, 240, 260, 262. — XXII, 138, 139, 246, 350. — XXIV, 29. Jérusalem, XIV 7, 44, JESSÉ, curé et vicaire de ClermontSavès, XXIII, 82, — XXIV, 49. Jocoude du château de l'Isle-de-Noé La, XIII, 182-183. Jol, ancienne cité phénicienne, XVII, 163. JOLI, fondeur de cloches à Toulouse, XXIIL 294, 297. J'OLI, ele Mirande, XXII, 55. JOLIN, prêtre insoumis, arrêté, an VI. XVIII. 60. JOLLIN de. — Voir JAULIN. JOLY, de La Romieu, XXI, 51, 52. — de, XXIII, 195. JOLY DE BONNEAU DU VAL de, XXIV, 48. JONCHAN. vicaire de Goujon, XVI, 50. JONES Paul, navigateur, XI, 29. JORDAN, rie St-Christau ,XVIII, 265. JORET, seigneur rie Salles, député du Gers, eu 1849, XVIII, 52. JOSSÉ de, XXIII, 192. JOUBERT de, de l'Isle-Jourdain, XXII, 306. JOUBERT, médecin de Montpellier, au XVIe siècle, XI, 173-174. Jouéou lieu dit, près Vic-Fezensac, XIV, 109, 110. JOUFFROY Cardinal Jean, évêque d'Albi, XVIII, 14. JOUNCA, vicaire rie Clermont-Savès, XXIV, 49. JOURDAIN, seigneurs de l'Isle-Jourdain, XIII, 159. — XII, 233. — XVI, 43, 222, 224, 225. — XVII, 237. — XVIII, 130, 133. — XXII, 87. — — XXIV, 36. — Girard Jordain, dernier comte rie l'Isle, XII, 237. JOURDAIN DE MALARTIC, XIV, 105. JOURDAN, juge à Auch, XIX, 65. — officier rie milice, XVI, 104. JOURDANET, off. mun. d'Auch en 1796, XI, 37. Journal de route d'un soldat, de StGriède à Pampelune, XIV, 133-136. Journal constitutionnel du départ, du Gers », XXII, 211-220. Journal du département du Gers », XXII, 223-224, 277-284. Journal décadaire du département du Gers », XXIII, 37-54. Journal des hommes libres », XXIII, 122, Journal du Gers », XXIII, 123. Journaux et. journalistes sous la Révolution, le journalisme dans le Gers durant la période révolutionnaire, XXI, 60-69. — XXII, 179, 180, 206-224, 277-295, 306, 368, 309. — 96 XXIII, 37-54, 106-123. — XXV, 156159, 156159, JOURNÉ Jean, frère-prêcheur, XXII, 57-63, 79. JOURNET, intendant d'Auch, XVI, 66. — XIX, 141. — XXIII, 258, 312-314. JOUVENEL DES URSINS, XV, 209. JOVE Paul, écrivain, XXIV, 278. JOVIN, XVII, 85-86. JOYEUSE Cardinal de, archevêque rie Toulouse, XIV, 346. — XV, 30, 51. — XXIV, 41. Jù, XVI, 113, JUAU de, rie Vic-Fezensac, XV, 57. JUDICIS Pierre, XXII, 89. JUGE Dominique, XXI, 243. Juges. — Voir Justice. Juillac, XI, 205. — XIV, 300. — XXII, 274, 305, 320. — XXIV, 140. Juilles. XXIV, 109. Juillet 1791 à Eauze Fête du 14, XII, 276-280. JULES II, pape, XXIII, 212, 228. JULES III, pape, XIV, 102. Juliac, XIX, 30. — XXI, 42. — XXII, 121. JULIEN. XVI, 188. — de, XIX, 145. Juliensis vicus », nom primitif d'Aire, XVIII, 152-153. Jumièges abbaye de, XVII, 264, JUNCA Dominique, de Vic-Bigorre, XVI, 99. — Pierre, curé de Goujon, XVI, 44, 51. — du, XV, 242, JUNCAROT abbé, XXI, 286. — XXII, 71. Juncet seigneurie de, XVII, 294. — XXII, 357. Junquiera Espagne, XXIV, 332. — XXV. 148. Jupoy seigneurie de, en Chalosse, XXI, 103. Jurais rôles et nomination des, XXI, 122-125. Justian, XIX, 29, 38. — XX, 55, 97. — XXII. 252. — XXV. 202, — Guerres rie religion à, XXI, 119-121. Justice sous le régime féodal, XVII, 227-230. — XXV, 75. — Droits des seigneurs dans l'exercice de la justice, XXI, 217. — leur usurpation ries droits royaux, XXI, 239. — droits de haute, basse et moyenne justice, XX, 98. — XXI, 150. — XXII, 340-341. — XXV, 75. — Juges ordinaires, leur origine et leurs fonctions, XI, 316-317. — juges-mages, XIV ,169-173. — droits des consuls et des abbés dans l'exercice de la justice, XXI, 120, 143. — XXII, 306. — XXIII, 266. — Exemple d'Auradé, XVIII, 130-138. — de Vic-Fezensac, XXI, 126, 258-263. — sous l'A. R. réformes demandées par les Cahiers de 89, XV, 255-256. — XVI, 254-256. — La justice militaire, XXIII, 328. — La justice à Agen, d'après les travaux rie Ph. Lauzun, XXI, 23-24, — La justice ancienne et moderne comté de Comminges et monographie du tribunal de Lombez », par Félix Troyes, XIV, 183-186. K KAUNITZ, XXV, 35. KERLEAU Vincent de, abbé de Bégard, XVIII, 20. — évêque de Léon, XVIII. 198. Khamissa, en Afrique, XII, 166. Kilalla, en Irlande, XVIII, 156. Kirkstalt abbaye cistercienne de, XIV, 311. Knubis, montagne noire, combat de mars 1796, XIII, 256. KOPILL, gouvern. de la Narbonnaise, XXIII, 335. Kosovo, en Bulgarie, XII, 166. KYRIEL, lieutenant anglais, XVII, 128, 97 — L. LAA de, XVII, 132. Laas, XIV, 260. — XXII, 240. — XXV, 166. LABADENS de, XVI, 262, 268, 270. LABADENS, consul de Pavie, capitoul de Toulouse, XVIII, 100, 104, 119. — XXII, 357. — notaire à Pavie, XVIII, 109. — Rose, de Pavie, XVIII, 117. sergent du duc d'Epernon, XXI, 246. LABADIE de, XVI, 182. LABADIE, d'Auch, XI, 276. — d'Auradé, XVI, 34. — XVIII, 134, — de Condom, XXIV, 173. — XXV, 319. — de Mirande, XXIV, 72. — de St-Sauvy, XXII, 169. — de Vic-Fezens., XXIV, 290. — XXV, 263. LABAILHE, bourreau d'Auch, XXIII, 263. LABALLE, notaire apostolique, XX, 137. LA BALME, XXII, 199, 200 LABANLE, consul de Monfort, XV, 264, 266, 267, 270. — XVI, 137. LABANON, serviteur au château rie Latour, XIII, 223. LA BARDE de, XVI, 77. — seigneurie de, XV, 203. LABARRE, capitaine, XX, 60. LABARRÈRE de, XVI, 181. — XIX, 30. Labarrère, XIX, 41, 179. — XXI, 117, 118. LABARRIÈRE Jean de, évêque de Bayonne, XIX, 46. LABARTHE de, seigneurs d'Arné et Moncorneil, XV, 121. — seigneurs du Couloumé, XVIII, 119. — XX, 108. — seigneurs d'Aure, XVI, 122, 124, 174, 184. — XX, 155. — XXI, 154. — seigneurs rie Giscaro, XII, 243. — XVI, 93, 94, 160. — seigneurs de Lavacau, XVI, 267, 269, 273. — XVIII, 100. — Etiennette de, comtesse d'Armagnac, XV, 216. — Géraud de, archevêque d'Auch, XV, 216. — Roger de, abbé de Simorre, XXIII, 229. — capitaine à l'IsleJourdain, XXII, 101, 270, 271, 307, 322. — XXIV, 38. — Divers XI, 17, 29, 30, 32, 35, 76. — XV, 216, 218. — XVI, 160, 182, 184, 262. — XVII, 125. — XIX, 38. — XXV, 77. LABAR'HE-LAMAZÈRE de, XXIII, 241243. 241243. XXIV, 149. LABARTHE-LASSÉGAN Carbon de, XXIII, 226. LABARTHE-MONDEAU de, XXIII, 240. LABARTHE, XIV, 356. — de Touget, XXIII, 130, 138. — XXIV, 175, 245. — XXV, 140. Labarthe, XVI, 287. — XIX, 64. — XX, 71, 72. Labarthe de Lonquil, XIV, 105. Labarthe et Labarthère bois de, près Nogaro, XVI, 183. Labarthère, XX, 146. Labarthète, XVII, 310. — XXII, 297. LA BASSA, XI, 109-110. LABASTIDE de, juge en Lomagne, XIV, 119-120. Labastide-d'Armagnac, XI, 38. — XIV, 180. — XV, 127. — XVII, 311, 312. — XXI, 117. Labastide-Savès, XIV, 184, 260, 323. — XVI, 288. — XX, 66, 67. — XXII, 87. LABAT, secrétaire-adjoint de la municipalité de Condom, XXI, 231, 232, 234. — jurat de Condom, XXV, 316. — notaire à Lectoure, XXII, 139. — XXIII, 83. — prêtre de Pardeilhan, XXIV, 130. — imprimeur à Auch, XI, 272. LABAT DE CIEURAC, XXV, 104. LABAT-DONACIS, chan. d'Auch, XXIII, 55. LABATUT de, XVII, 188. — XXI, 35. — Bernard, abbé de Gimont, XV, 222. LABATUT, XVII, 248. — XX, 61. — de Sos, XXIV ,195. Labatut-de-Rivière Hautes-Pyrénées, 7 — 98 XXII, 144, 352, 353. — XXIII, 98. — XXIV, 140. LABAU, curé constitutionnel de Pavie, XVIII, 111. LABAULT de, consul de Monfort, XIV, 175. LA BAUME DE SUZE de, arch. d'Auch, XXV, 196. LABAUNE de, de Vic-Fezensac, XIV, 241. — XV, 31, 37. — XXII, 140-141. Labauvalière, XVI, 181. LABBADIE, boulanger d'Auch, XVI, 91. LABÉDAN, de Touget, XXV, 304, LABÉDOYÈRE comte de, XXIV, 301. Labéjan, XIII, 111. — XVI, 287, 288. — XXIII, 230. — XXIV, 304. Labellière vicomte de, XVIII, 26, 32. LABETS, de Bezolles, XXIV, 130. Labeyrie, XVI, 181. La Bicoque, XIV, 123. LABISSE, chapelier à Condom, XXI, 232, LABIT, off. mun. Condom, XXI, 231. LABORDE abbé Ch., député en 1789, XV, 74. — citoyenne d'Auch, XIX, 165. — médecin d'Auch, XI, 272, 274, 276. — XIII, 33. — député de Jegun en 1632, XIV, 225. — de Lombez, député du Gers, XXIV, 207, 324, — girondin, en 1793, XX, 42, 47. — XXIII, 111. LABORDE Jean-Antoine, et projet de monument en son honneur, XIII, 296. — XIV, 380. — XVII, 320. — XX, 42, 47. — XXII, 33, 39, 41. LABORDE de, receveur ries domaines, XXII, 237. — XXIV, 79. — consul de Condom, XXV, 317, 319. — de Fleurance, XXIII, 192. — de St-Sauvy, XXII, 169. LABORDE-LACROUTS, off. mun. de Bouit, XVIII, 178. LABORDE-MILLET, XI, 29, 30. — curé de Monfort en 1791, XXI, 184. Laborde seigneurie de, XVI, 181. La-Borde-le-Vicomte seigneurie de, XVI, 84. LABORDÉRE, consul de Jegun, XIV, 2l8. LABORI, sergent, XIV, 202. LABORIE, consul rie Monfort, XV, 264. — de Touget, XXIII, 130, 305. — XXIV, 245, 248, 253, 254. LA BORIE de, XXII, 120. LABOUBÉE, de Duran, XXI, 162. — de Touget, XXV, 291, 294, 299. Laboubée, en Condomois, XVIII, 49. LABOUDÈRE, gendarme de Condom, XIX, 23. Labouc, en Ordan, XVII, 178. LABOULLAYE Douet rie, intendant, XIV, 27. — XIX ,141. LABOUPILHÈRE, avocat à Condom,. XIII, 189. — XV, 267 . Labourd bailliage de, XVI, 233. LABOURDONNAYE général, XIII, 144. TABOURET de, XXIV, 260. LABOURGOGNE, d'Auradé, XVIII, 139. LABOVE de, intendant de la généralité d'Auch, XII, 150. LABRIC, XI, 40. — d'Aignan, XVI, 109. — vicaire de Ste-Christie d'Armagnac, XVIII, 59. LABRIE, XIX, 187. LABRIFFE, XVI, 94. — de Bezolles, XXIV, 29. LABRIHE de, XIV, 215. Labrihe, XXI, 255. Labrique, XIV, 220. Lubrit, XV, 122. LABROUE rie, de Moissac, XXIII, 193, 195. LABRUYÈRE de, XXIV, 280. LABURGUIÈRE, d'Auch, XIV, 224. LAC seigneurs du, XX, 59, 61, 67. — Jean du, chanoine' de Vic-Fezensac, XXI, 263. Lacapelle abbaye de, XXII, 145. LACAPÈRE, notaire à Condom, XXI, 235. LACASE, consul rie Villefranche-d'Astarac, Villefranche-d'Astarac, 92. LACASSAGNE Bernard rie, seigneur de la Caussade, XIII, 92-93. — XVII. 184. — de Fourcès, XX, 40. — 99 — LACASSAIGNE, XI, 37, 41. — XIII, 77, 217. — Pierre, de Dissac, guillotiné 1794, XXII, 74. — XXIII, 44. — XXIV, 80. — de, XX, 54, 57, 60. Lacassaigne seigneurie et château de, XIX, 129, 133. — XXII, 336. LACASSE, secrétaire du chapitre de Lombez, XIV, 138. Lacaslaignère bois de, XVI, 267. LACAU de, de Nogaro, XVIII, 39, 48. LA CAUSSADE Pierre de, bourgeois de Condom, XXII, 113. La Caussade lieu dit, XX, 151. LACAVE, de Lectoure, XXI, 204, LACAVE-LA-PLAGNE-BARRIS, XIV, 266. — XIX, 144-148. La Cavalerie conimanderie de, XI, 180. — XXI, 155. — XXII, 19. LACAZE Bernard, prêtre, XII, 124. — imprimeur à Auch, XIX, 100. — XXII, 211, 223, 277. — XXIII, 37, 119. — off. m. d'Eauze en 1789, XII, 174, — de Vie-Fezensac, XXIII, 152. — de, XIV, 18. LACÉPÈDE, XI, 29. LACÈRE Jean, orfèvre, XIV, 256. LACERTAR de, seigneur de Vic-Fezensac, XIV, 105. LACHABANE Olive de, XXII, 159. LA CHAPELLE, XVI, 105. — consul de Condom, XXV, 316. — off. du Bat. des Volontaires du Gers, XXII, 50. — de, procureur à Condom, XXI, 231. — XXV, 188. La Chapelle, en Lomagne Tarn-etGaronne, Tarn-etGaronne, 87. — XX, 107. — XXI, 146. 167. — XXII, 270. LA CHAUSSADE de, XXII, 312, 320, 322, 323. — XXIII, 66, 69, 70, 80. LACHENAYE Guillaume de, abbé de Berdoues, XVIII, 96. La Chèze, XIX, 155. LACLAVERIE DE LA CHAPELLE, député à la Constituante, XII, 59, 318. — XIII, 189. — XV, 73. — XX, 107, 114, 116. LA CLAVERIE DE SOUPETS Philippine de, marquise de Pins, XIX, 134. LA CLAVERYE de, magistrat de Condom ,XXIII, 276. Laclotte, XXII, 101. LACOMBE, XII, 59. — notaire à Eauze, XII, 174, 342, 347. — lieutenant du juge en Fezensac, XXIII, 262. LACOME, boulanger d'Auch, XVI, 92. LACOMME, d'Aurignac, XIV, 355. — de, XVII, 41. LACOSTE abbé, XI, 33. — arpenteur à St-Lys, XXII, 263. — administratour du départ, du Gers, XXIII, 304, 305. — bourreau à Auch, XXIV, 72. — notaire à Beaucaire, XX, 64, — notaire à Seysses-Savès, XVI, 17. — maréchal à Auch, XVII, 287. — vicaire de Bezolles, XXIV, 126. — vicaire de Pardeilhan, XXIV, 28, 31. — vicaire de Ste-Christie d'Armagnac, XVIII, 60. — de Fourcès, XX, 40. — de Valence-sur-Baïse, XXI, 55. — de, XVT, 267. LA COSTE de, XVT, 136, 138. — XIX, 95. LACOSTE-BARIAU, consul de Monfort, XIV, 220. — XVI, 141. La Côte St-André, en Dauphiné, XVI, 84. LACOUR, de St-Lary, XXII, 347. Lacour seigneurie de, en Guyenne, XIX, 33. LACOURT, XVI, 136. — de Monfort, XVII, 223. Lacourt-St-Pierre, XXII, 324, 325. LACOURTIADE, off. mun. de Vic-Fezensac, XXIV, 50. LACOUTURE, de Condom, XXIV, 173. — de Lectoure, XIV, 355. La Couture, XXII, 192. Lacq, XV, 15. LACROIX, administrateur du départ du Gers, XX, 114. — avocat et consul d'Auch, XXIII, 264, — lieut. du juge en Fezensac, XXI, 263. — do Nogaro, XXIV, 50. — de Touget, XXIII, 127. — de Vic-Fezensac; XIV, 221. — XXIV, 289. — XXV, 162, 260, 100 — 263-266. — Divers XVT, 273. — XXI, 253-254 LA CROIX de, arch. d'Auch, XVII. 300. LACROIX DE SALENAVE, maire d'Auch, XVT, 92. LACROIX DE SALLENEUVE de, trésorier rie France, XVIII, 105, 119. LA CROZE de, XVII, 249. — XXIV, 196. LACTANCE, XVI, 191. LACUÉE général, XII, 267. LA CUEVA de, due d'Albuquerque, XV, 208. LACY de, capitaine-général en Catalogne, XXIV, 334, 346-348, 355. — XXV, 30. LADAIX DE ROSSIO, abbesse de Goujon, XVI, 41. LADEVÈZE, XI, 30. — XVI, 130. — XXIV, 285. — de, XXIV, 109. Ladevèze, XV, 56. — XXIV, 142. Ladevèze-Bivière, XXIII, 54. — la bataille de, XXIII, 93-102, Ladignac, XXII, 120. La doue seigneurie de, XVI, 101. LADOUÈS Jeanne sage-femme de Gondrin, XVIII, 200. — XXII, 175. LADOUZE de, XXIL 116. LADRIX Alexandre, girondin d'Auch, XI, 41, 259, 261, 264, 273, 278. — XII, 318. — XIX, 64-66. — XX, 113. — XXII, 211. — XXIII, 109. — XXV, 223, 229. — son éloge funèbre do Mirabeau, Mirabeau, XIII, 124. LADUC, maréchal de Pavie. XVIII, 116. LADUX Gaillard rie, évêque d'Oloron, 222. LAFAGE de, de Mézin, XXII, 67, 68. LAFAGE de CERPÈS DE., XXIII, 137. LAFARGUE Marie de, épouse Pierre de Biran, XX, 147. LAFARGUE, aubergiste à Mirande, XXII, 35. — jurat de Vic, XIV, 221. — député rie Manciet, XIV, 180. — procureur à Condom, XXIII, 276, 279. — du Directoire du départ, du Gers. XXIV, 07. — rie Nogaro, XVTII, 54. — religieux-granger de Vie, XV, 6 4. LAFAIIRE de, XXII, 151. LAFAYE de, notaire de Ste-Gabolle, XXIV, 260. LA FAYETTE, XXV, 33. La Fère siège de, en 1580, XIV. 152. — XXI, 191, — XXV. 73. La Ferté-Gaucher, XXV, 172. LAFEUILLADE, maire rie Viella, XX, 38. LAFFARGUE, administr. du départ, du Gers, XI, 275. — XX, 110, 114. — de Courrensan, 133. — rie Fourcès, XX, 40. — île Lannepax, XIX. 42, 145. — Lectoure, prêtre-prébendier à St-Gervais, XXIII, 85. — rie Mouchan, sorcière, XXII, 302. — rie St-Mont, XX, 37, 38. — de StJean-Poutge, XXII, 108. — rie StSauvy, StSauvy, guillotiné en 93, XXIV, 76. — de Vie-Fezensac, XXIII, 155, 157. — de Lagardère, guillotiné en 1799, XXIV, 139. — de, XIV, 332. LAFFEMAS, XV, 66. LAFITTAN, commissaire du peuple, à Auch, XII, 285, -286, 342-344, LAFFITAU, prêtre, XXV, 89. LAFFITTE, curé rie Goujon, XVI, 52. — curé, de Ste-Christie d'Armagnac, XVIII, 55, 57. — de Mondebat, XXIII, 97, 99. — religieuse de Prouillan, XXII, 151. — Arnaud de, consul rie Castelnan-Rivière-Basse, XIV, 223, 224, — seigneurs du Vignarri, XVI. 160. — de Touget, XXV, 143. LAFFITTE-GARDEY, XI, 38. LAITON, d'Auch, XIV, 224. — de Clermont-Savès, XXIII, 79, 80. — rie Lectoure, XXI, 204. — notaire à VieFezensac, XXIII, 147. LAFFONT, avocat à Auch, XVIII, 101. — rie Mauvezin, XXIII, 127. — de Simone. XXV ,129. — de Vic-Fezensac, XXIII, 316-326. — XXIV, 50, 285. 101 LAFFORCADE de, XXII, 168. LAFFORGUE Bernard, d'Auradé, XVI, 29, 30, 51. — Pierre, historien de la ville d'Auch, XXV, 128-129. — de Lectoure, XXI, 204. — procureur au Parlement de Toulouse, XX, 49. LAFFURCATA de, notaire à St-Sauvy, XXII, 103. LAFITAN, notaire à Nogaro, XVTII, 48. Lafite-Toupière, en Astarac, XXI, 43. LAFITEAU. administr. du départ, du Gers, XX, 110. — XXII, 213, 214, LAFITOLE, gendarme, XVI, 139. Lafitole Hautes-Pyrénées, XXI, 237. LAFITE, do Condom, XXV, 320. — rie Monfort, XVII. 223. La Fitte. XV. 17. — XVI, 113. — XX, 145. — XXIL 99. LA FLESCHE D'ANJOU, XIII, 217. LAFONT, rie Bassoues, XXIII, 97, 99. — capitaine huguenot, XX, 135. — XXI. 210. — consul de Monfort, XV, 268. — XVII, 223. — de St-Lary, XXII, 228. — de, XX, 74, 75. — Marguerite rie, ursuline d'Auch, XXL 197. LAFONTAINE. notaire à Fort-Dauphin, XVI, 104, 106. LAFONTAN, de Réans, XXI, 53. — de, XVI, 181. LAFORCE duc rie, XXI, 250. LAFORE, maire de Bascous en 1789, XII, 182. LAFORGUE de, seigneur de Pomarède, XIII, 283. LAFOURCADE. marchand d'Auch, XX, 51. — prêtre de Sainf-Sauvy. XXII, 169. Lafox, XIV, 158. LAGARDE Vital de, abbé de la CaseDieu, XV, 228. — XXII, 340. LAGARDE, de Condom, XI, 37. - de Pavie. XVII, 298. — secrétaire du Directoire exécutif, XIII, 258. — guillotiné en 1817. XXIV, 151. Lagarde, près Tarbes, XXII, 227, 232, Lagarde seigneurie de, XVII, 209. — XX, 59-61. Lagarde-Fimarcon, XIV, 63. — XVII, 106, 114, Lagarde-Hachan ou Lagarde- Noble, XIII, 285. LAGARDÈRE, notaire à Biran, XII, 124. — XIX, 187. — XXII, 140. — off. mun. d'Eauze, XII, 174. — vicaire de Vie-Fezensac, XXIII, 156. — de Roquefort, XV. 42. — de, XX, 64. Lagardère, chrisme de l'église, XVII, 70. — le château, XI, 105, 106, 108109. — XIV, 247. — XVII, 249. — XXI, 87. — XXIV, 29, 139, 196. — XXV, 69. LAGARRIGUE, chanoine de Sainte-Marie d'Auch, XXI, 198. LAGAUZIE de, magistrat de Gimont, XXIII, 77. LAGELLE, de Castelnavet, XXIV, 77. LAGLEIZE notice nécrologique sur l'abbé Paul, XV, 170-173. LAGOANÈRE, vicaire de Sainte-Christie d'Armagnac, XVIII, 59. Lagor château de, XIV, 300. LAGORÉE de, magistrat à Toulouse, XI, 71. — XII, 364. — XXV, 75. LAGORSAN de, XXII, 116. La Gouarde ou Laouarde, XIV, 51, 105, 232. — XVT, 286. — XVII, 178. LAGOURBADÈRE, de Clermont-Savès, XXIV, 38. LA GOUTTE de, XXII, 120. LAGRANGE assassinat de Marthe, à Goute, XXIV, 150. La Grange, près Cazaux, XIV, 50. Lagraulas. XIV, 51, 230, 232, — XVII, 209. — XX, 70. 71. — XXII, 117-121. — XXIIL 62. 63. Lagraulet, XL 104. — XV, 218. — XVII, 210. — XVIII. 44, 61. 76. — XIX, 25, 30, 34, 35. — XX. 61, 64, 65, 66, 98, 126. — XXI, 38. — XXII, 69, 271, 297. — XXV, 171. LAGRAULET Géraud de, XI, 53. — 102 - LAGRAVÈRE, du Coutourné, XXII, 192. — de Monfort, XVTI, 223. — de, XXIV, 109. LAGRAVÈTE de, XXIII, 138. LAGUEILHE, consul de l'Isle-Jourdain, XIV, 333. Laguian, XXII, 227, 240. LAGUIRE, avocat, XX, 108. LAGUITERIE DE BORIA de, XVIII, 119. LAGUMIER, XXII, 133. LAGUTÈRE, de Condom, XXV, 174, 310. — de, seigneurs de Bière, XXII, 70. LAIIAGE, XXIII, 116. LAHARGUE, agent national d'Eauze, XXI, 50. — XXV, 181. La Harguéte, près Castillon, XIV, 50. LA HAYE de, seigneurs de Passavant, XIX, 55. La Haye, diocèse rie Lombez, XXIV, 25, 125. La Héronze seigneurie rie, XXII, 64, 304. La, Hillère seigneurie rie, XII, 226. — XIII. 225. — XVII, 107. La Hillero, près Pavic, XVII, 178. LA HIRE, XI, 114, — XVI, 294, 295. LAHIRE, de Valence-sur-Baïsc, XIV, 200. — XXI, 56. LAHITE, administrat. du départ, du tiers, XX, 110. - de Monfort, XVII, 223. LAHITTE de, XV, 37. — XVIII, 165.— XXI, 109 ,110. — XXII, 110, 141. Lahitte, près Auch, XVII, 178. — seigneurie de, XX, 62 .— XXII, 266. La Honce abbaye rie, XV, 222, 226, 228. LAHONT, de Moubert, XXIII, 285, 288. Lahontan, en Béarn, XXV, 125. Lahosse Landes, XIII, 74. — XXII, 43. LA HUGHERIE, XIV, 151. LAILHÈRE de, XXII, 318. LAI RLE, XXIII, 116. LA ISLE Jean, XIII, 251. LAISSAC, de Condom, XI 37, 278. LAITIÉ, statuaire, XIV, 213. LAJARDE, consul de Lamazère, XXIII, 241. LAJEUNESSE, XI, 41. LAJOYE, de Condom, XXI, 233. LA JUGIE do, XXII, 120. — XXIII, 62. LAJUS abbé, XI, 39, 278. — Guillaume, de Pavie, XVI, 269. — Marguerite,, guillotinée en 1830, XXIV, 155. LAKANAL, XXIV, 220. — XXV, 222, La lande, XI, 29. — XVI, 288. LALANE, de Clermont-Savès ,XXIV, 47. — rie Marciac, XVII, 26. — gendarme à Vic-Fezensae, XXIII, 152, 155. LA LANNE de, seigneurs de Vic-Fezensac, XIV, 105. LALANNE, d'Auch, XXIII, 257. — de Bourrouilhan, XVI, 108. — de Lagraulet, XXII, 69. — rie Maignan, XII, 177, 282, 283. — de Ste-Christie ri'Armagnac, notaire, XIV, 37. — XVIII, 48, 175. — vicaire, XVIII, 59. — de Vic-Fezensae, XIV, 221. — XXIV, 285. Lalanne, Fleurance, XVIII, 65. — seigneurie de, XIV, 353. — XXI, 159. — XXV, 76, 77. Lalanne-Arqué, XII, 376. — XVI, 286, 288. — XXIV, 73. — histoire de la fondation de cette bastide, XIII, 103122, 236-239. Latanne-Racané, XXIV, 140. LA LAUZE, consul de l'Isle-Jourdain, XXII, 306. Laleugue, XIV, 216. Laligué seigneurie de, XXV, 76. LALLIER de, XXIII, 70, 73-82, 182, 184, LA LONDE de, trésorier-royal Guyenne, XXII, 271. La Magdelaine de, à l'IsleJourdain, XIV, 211. LAMAGDELAINE, arpenteur, XIV, 144. LAMAGERIE. jurai de Condom, XXV, 316. - 103 — Lamagistère, inondation de 1770, XI, 141-142. LAMAGUÈRE, officier de gendarmerie, XI, 39, 279. — Pierre de, abbé de Berdoues, XVII, 199, 203. LAMAGUÈRE de LASSEUBE, XI, 29, 30, 32. Lamaguère, XXIII, 312. — XXIV, 304, LAMAMIC, administrateur du départ, du Gers, XX, 114. La Mans fief de, près Vic-Fezensae, XIV, 105. LAMARQUE, de St-Médard-Mirande, XI, 38, 41. — représentant du peuple, XII, 261. — de Maubec, XVIII, 221. — de Pavie, XVI, 268. — XVIII, 117. — de Sos, XVII, 248. — XXIV, 195, 196. — de Vic-Fezensae, XXIV, 51, 285. — de, XVI, 97. — XVII, 125. Lamarque seigneurie de, en Gironde, XVII, 131. — XVTII, 204. — XIX, 157, 158, 160. — près Montréal, XX, 69. — XXI, 253. LAMAURAGUE de, XIII, 135. LAMAZÈRE de, XII, 365. — XVI, 273. — XVII, 244, Lamazère, XXV, 66. — le château, XV, 185. — XXIII, 239-244, LAMAZOUADE, de Lialores, XXV, 318. LAMBERT, XIV, 256. LAMBES de, d'Auradé, XI, 76. — XVI, 31, 41, 45. — XVII, 99-101. — XX, 63, 65. — XXII, 263, 264, Lambessa Afrique, XII, 166. LAMBEX Gaillard de, évêque de Lectoure. XV, 218. LAMENESTRIE, de Condom, XXV, 172, LAMESAN de, maire de Pavie, XVI, 270. 274. — seigneur du Bézéril, XXII, 100. — seigneur de Juncet, XVTI, 294, 299. — XVIII, 104, 108, 109, 118, 119. — de Lavacan, près Pavie. XXIL 34, Lamesan seigneurie de, XXIV, 37. LAMETH de, XIX, 95. LAMEZAN-NOAILLAN de, maire de Condom. XXI, 231. LAMIC, marchand, XVI, 139, 141. LAMIGNE, de Mauvezin, XXV, 90. La Molère seigneurie de, XII, 122. LA MOLETTE de, XI, 312, 313. LAMONTJOIE, de Condom, XXV, 320. La Montjoie, XIII, 229. — XXV, 192. LAMORE, de Castelnau-d'Auzan, XXI, 50. LAMORT, off. mun. d'Eauze, XII, 174. LAMOTE, de Cologne, XXII, 194. LA MOTE de, XVI, 291. LAMOTHE, avocat, XXII, 346. — d'Ayguebère, XXV, 78. — de Jegun, XIV, 173, 218. — XXI, 244. — notaire à Maubourguet, XVI, 106. — de Monfort, XVII, 223. — de St-Lary, XXII, 353. LAMOTHE de, officier, XIV, 17, 124 .— Gaillard de, chef de bande dans l'armée anglaise, XVI, 128. Lamothe-Bardigues, XII, 87. — XIII, 216. — XXII, 89. — château, XIV, 259. Lamothe-Dursauld Lot, XXII, 92, 93. LAMOTHE-FÉNELON de, XIV, 207. Lamothe-Fleurance, XI, 74, 75. — XVIII, 65. Lamothe-Goas, XI, 72, — XV, 33. — XX, 141. Lamothe-Gondrin, XIX, 23, 25. — XXI, 117-118. LAMOTHE-HOUDANCOURT de, archevêque d'Auch, XIV, 46-49, 99, 112, 241, 320. — XV, 61, 191. — XVI, 297. — XVIII, 42. — XIX, 86, 87. — XXI, 37, 260. — XXIII, 57, 225. Lamothe-des-Portes château de, XXII, 314. LAMOTHE-VEDEL de, XXIII, 94-102, 117, 250. La Mothe seigneurie de, près Bazas, XIV, 43. — autre seigneurie, XVII, 25. LA MOTHE de, seigneurs de Piles, XIX, 33. LAMOTHE de, seigneurs de Bratz, XIV, 338. — Honorée de, abbesse de Goujon, XVI, 42. 104 LA MOTTE de, XXI, 159. LAMOUR, maître serrurier, XXIV, 282. LA MURASSE, capitaine, XXII, 265. LAMY de Toulouse, XXIV, 261. LAMY DE BOISCONTEAU, colonel, XII, 243. LANA, prêtre de Riguepeu, XVII, 36, 37. Lanave, ancienne paroisse, diocèse d'Eauze, XI, 45. LANAVIC, curé de Bezolles. XXIV, 2628, 2628, LANCASTER de, XXIV, 338. lances » impôt ries, XXII, 249-252. LANDAIS Pierre, favori rie François II rie Bretagne, XVIII, 199-200. — XIX, 47-49. LANDAL, XIX, 48. Landal seigneurie de, XVI, 236. LANDORAZE Arthur de, vie, capitul, de Tarbes, XV, 228. Luudorre baronnie de, XXI, 155-157. Landrecies, XIV, 123. LANDRESSE, de Pau, XXII, 99. Landrix, lieu dit, près Roquefort, XV 42. LANE, prêtre, XII, 305. — XV, 57. — XXII, 350. LANERIC, curé de Beaucaire, XIV, 254. LANES, à Flamarens, XXI, 145, 147, 148. — de Lasserait, XVIII, 117. — de, rie la Roche-Alais, XVIII, 235. LANESC de, XVII, 186. LANESCAT Jean de, XVI, 85. LANGALERIE de, archevêque d'Auch, XVIII, 187. Langeais, en Touraine, XIX, 156. LANSLADE, émigré, XXIV, 332. — guillotiné en 1799, XXIV, 139. LANGLE marquis de, XXIV, 229, Laugoiran seigneurie rie, XV, 201. Lan g on, XIII, 109. Languedoc situation politique du, au XIIIe siècle, XIII, 102-103. LANHES Jean, de St-Sauvy, XXII, 103. LANJUINAIS, député d'Auch ,XXIV, 323. LANNECAUBE de, XVII, 132. LANNEFRANQUE de, XV, 275. — Marie de, mère de Dartigoeyte, XXII, 39. LANNELONGUE, curé d'Aurignac, XIV, 355. — consul de Monfort, XV, 270. — de Vic-Fezensac, XXIII, 154, LANNELONGUE-BÈZIEY, de Castelnau-d'Auzan, Castelnau-d'Auzan, 49. Lannemaignan, XIV, 180. Lannepax. XI, 41, 70. — XII, 67. — XIV, 51, 111, 217. — XVII, 27, 29. — XVTII, 38, 39. — XIX, 36, 41, 42, 177, 192. — XX, 35, 52. 53, 54, 61, 64, 65, 67, 68, 73, 75. — XXI, 38, 117, 159, 260. CANNES maréchal, XI, 263. — XIV, 213, 266. — XXII, 244, 276. — XXIII, 107. — XXIV, 329-330. — Lettres inédites trouvées à Lectoure, XIV, 380. LANNES, officier du Bal, des Volontaires du Gers do l'an II, XXII, 50. — de l'Isle-Jourdain, XXIII, 307. — de. Touget, XXIV, 252, — de, XIV, 16. Latines seigneurie et sénéchaussée des, XVIII, 208. — XX, 52. LANNES-LAMOTHE, de Vic-Fezensac, XXIV, 285. — XXV, 263, 296, 300. Lanne-Soubiran, XVII, 310. — XVIII, 180. — XXI, 35. Lannux, XVII, 310. — XVIII, 55. — XIX, 30. — XXIL 297. — XXIV, 139. LA NOUE de, XIII, 217. LANS de, seigneur de Vic-Fezensac, XIV, 104, LANSSAC Tobie de, sénéchal d'Albret, d'Albret, 248. — XXIV, 195. Lanta, près Toulouse, XIV, 35. Lantabat, XVI, 232. — XXV, 74, LANTRAC, révolutionnaire; esquisse biographique, XXIV, 284, — ses amours, XXII, 30-42, — XXIII, 35-36. — son éloquence et son style, XX, 115-116. — XXI, 175-176. — son emprisonnement et son évasion, XII, 260. — XXIII, 39, 160. — XXIV, 322. — Divers XIII, 33, 35, 70, 130. — — 105 XVII, 41. — XIX, 165, 168. — XX, 80, 108, 114, — XXI, 46, 192. — XXII, 54, 72, 223. — XXIII, 111, 112, 116, 164, 165, 172. — XXIV, 54, 70, 133, 309, 310. — XXV, 182. LA NUSSA, religieux-granger de VicFezensac, XV, 64, LANUSSE, jurat, de Condom, XXV, 316. — de, seigneur rie La Chapelle, XXI, 146. LANUX Roger de, XV, 218. LAOUAT, de l'Isle-Jourdain, guillotiné 1812, XXIV, 150. La. Paillère seigneurie de, XXI, 35. La Palice seigneurie de, XVI, 97. LAPALME, do Condom ,XXI, 234. LA PALU Madame de. Ursuline d'Auch. XIX, 88, 89. — Pierre de, sénéchal de Toulouse. XIV, 303. — seigneurs de Brassac, XXII, 91. La Palu château de, près Mirande, XIX, 91. — XXII, 336. LAPANOUSE, chanoine de Condom, XXII, 155. La, Pasquelais, XIX, 154. LAPÉRIÈRE Sans, XVII, 35. LAPEYRE, abbé, XI, 39. — vicaire rie Sainte-Christie d'Armagnac, XVIII, 60. — de Saint-Sauvy, XXII, 169. — de Touget, XXV, 301. — de, XXII, 267. LAPEYRÈRE. off. mun. de Vie-Fezensac. XXIV. 50, 285, 290. — XXV, 269. — procureur du Roi en Fezensac, XXI, 263. — notaire de Roques. XXIV, 30, 32. — notaire de Saint-Paul-de-Baïse, XXIII, 64, — de Vie-Fezensac, XXIII, 154. — Moïse rie, greffier à Vie, XIV, 218, 223. — Divers XXIV, 129. LAPEYRIE. rie' l'Isle-Jourdain, XI, 41. — notaire à Endoufielle, XVI, 17, 37. — Arnaud de, XVIII, 138. — Jean rie, frère d'Ambroise rie Lombez, XVTII, 135. — de, notaire à Auradé, XVIII, 135. LAPEYRIE DU BÉDAT de, XX, 69. LAPEYRIE DE SOUSSIGNAC de, XXIII, 192. LAPEYROUSE, XXIII, 71, 75. — de, XXII, 315. LAPHORE, do Vic-Bigorre, XVI, 99. LAITERRE, notaire à Vie-Fezensac, XX, 67. — de, chanoine de l'IsleJourdain, XX, 26, 29. — consul de l'Isle-Jourdain, XIV, 207. LAPLACE aventures du bohémien, XI, 138-139. LA PLAGNE, XII, 105. Lu Plagne chapellenie de, XIV, 108. — château de, XXII, 23. — XXV, 122. LAPLAIGNE, off. mun. d'Eauze, XII, 174, 318. — député en 1793, XXII, 35. — XXIII., 111, 149. — XXIV, 323, 324. — Divers XX, 113. Laplaigne. seigneurie de, XIX, 140. — XX, 71. rie Riguepeu, XVII, 42, LAPLAISANCE, de Tarbes, XXII, 235. La Plante, de la Couture, en Condom, XXIV, 236. LA FLÈCHE de, XXIII, 278. La Plume Lot-et-Garonne, XII, 362. — XIII, 17, 134. — XXIIL 229. LAPOMARÈDE, rie l'Isle-Jourdain, XXIL 311. LAPOQUE-GAUDIEZ, XXII, 191-197. LAPORTE, avocat d'Auch, XL 271, 272. — exécuteur à Auch, XXIV, 72, 145-146. — de Lectoure. XXI, 204. — curé de Simone, XXIII, 226, 227. — de, XVI, 268. LA PORTE de, XX, 65, 66. LAPORTERIE, d'Auch, XXIII, 262, — XXIV, 140. — de, receveur royal en Armagnac, XXII, 251. La Pougade, XXII, 120. LAPUJADE, consul rie Condom, XXV, 316, 320. Lapujotte, XVII. 310. LAQUEILLE DE FLEURIAN de, XVIII. 117, 119. — XXIII, 234. 106 La Quina découvertes paléolithiques à, XIII, 290. LARBOUSSE, de Laguian, XXII, 240. LARBOUST de, XI, 25. — XXI, 108, 161. LARBOUST DE MANRIQUE de, XIII, 284. Larboust,, XVIII, 19, 22, — XXIII, 182. LARCAN, de Garbie, XXII, 308. Lurche seigneurie de, XVI, 240. LARCHER. XXV, 42. LARDIT, de Fourcès, XX, 10. LARDOS Antoine, curé de Ste-Christie d'Armagnac, XVIII, 57. — Mathieu!, chanoine de Nogaro, XVIII, 46, 57. — guillotiné en 1801, XXIV, 140. LAREE, curé de Bezolles, XXIV, 29, 30. — de la Soc. montagnarde de Fleurance, XIII, 80-81. — de VicFezensac, XXIV, 288. — de, XV, 57. - XVT, 181. La Béole, inondation de 1770, XI, 146. — siège de 1442. XV, 124. — Divers XVI, 172, — XVIII, 228. — XIX, 53. — XXV, 77, 171, 296. La Réole Haute-Garonne , XV, 133. Lu Rente de Soubestre, XIV, 295. — XX, 66. LA REYNIE de, XII, 300. — XV, 234, 241. Lurgenté, XX, 65. LARIVE de, XXV, 39. LARIVIERE de, XVIII, 200. Larivière seigneurie rie, XVII, 131. Larmont chapellenie de, XIV, 108. LARNOSAN de, XXII, 357. LAROCAN de. seigneur d'Avezan, XVIII, 119. LAROCHE, d'Audi, XVIII, 65. — administr. du départ, du Gers, XXIII, 95. — commissaire à Condom, XIII, 258. — XXI, 56. — président de la Soc. Mont, de St-Clar, XX, 117. — de, avocat au Parlement de Paris, XXIII, 236. LA ROCHE de, d'Escurrens, près Lectoure, XXV, 273, 275, 278, 280, 289. — barons de Fontenilles, XII, 30. — XXII, 257. — seign. de Scieurac, XX, 52, 54, — Henri de, officier rie Charles rie, France, XVIII, 28, 199. — abbesses de Goujon, XVI, 42, 49. — Divers XIII, 135. — XV, 118. LAROCHE-DUBOUSCAT génér. Antoine, XIII, 134-150, 251-261. LA ROCHE-FONTENILLES Guillaume-Bernard de, sénéchal de Comminges, XVI, 49. LA ROCHEFOUCAULD de, XII, 307, 308. — Cardinal rie, dernier abbé de Cluny, XII, 50. LA ROCHEFOUCAULT de, XVIII, 235. La Rochelle, siège de 1573, XII, 293. — XIII, 210. — XVIII, 224, 227. — XIX, 186. — Divers XVII, 104. — XVIII, 24, 27, 28. — XXI, 167. — XXV, 39. LAROCQUE de, de Pouy, XIV, 175. La Bomieu, collégiale et chanoines, XIX. 145. — XXIV, 24, 29, 170, 171. — 93, 174, — Société Montagnarde, XXI, 51, 52. — Etudes rie Ph. Lauzun et XXI, 98100. — Divers XII, 51. — XIV, 360. — XVII, 103. 105, 109. — XIX, 83. — XXI, 270. — XXII, 16. — XXV, 10, 117, 174, 183. LAROQUE, capitaine des chasseurs rie la légion d'Auch, XXIII, 28. LA ROQUE de, seigneurs de SaintOrens-Pouy-Petit, 120-121. LA ROQUE-BOUILLAC de, XXII, 93, 94, 90. — XXIII, 75, 182, LAROQUE-ORDAN De. XVI, 147. LA ROQUETTE de, XVI, 262. LARRAMENDI, écrivain basque, XXV, 126. LA R RAT, brigadier à Mézin, XXII, 67. LARRAZET, off. mun. d'Eauze, XII, 174. Larrazet, XIV, 376. — XXI, 253. 107 LARRÉE de, XIV, 215. Larressingle, XI, 104, 127, — XII, 337. — XIX, 192, — XX, 36. — XXIV, 98, 174, — XXV, 171. Larreute, XV, 286. LARREY, administr. du départ, du Gers, XII, 319. — XXIII, 111. — boulanger de Condom, XXI, 233. — maire de Fleurance en 1792, XIII, 69, 70, 82. — XX, 113. — notaire à Montréal, XX, 106. LARRIBEAU, de la Soc. popul. de Fleurance. XIII, 71. — de Fourcès, XX, 40. — de St-Clar, XIV, 68, 69. LARRIEU, de Barcelonne-du-Gers, XI, 39. — de Fleurance, XVI, 141. - d'Auradé, XVI, 53. — de Vic-Fezensac, XXIV, 50. LARROCAN de, XIV, 175, 220. LARROCHE, off. du Bat, des Volontaires du Gers de l'An II, XXII, 50. — girondin d'Auch, XXIII, 111. — citoyenne de Lectoure, XIX, 164. — de Barran, guillotiné en 1794, XXII, 74. — XXIV, 80, — de, XI, 30, 32, — XII, 261. — XIX, 185. LARROCHE-AYMARD de, évêque de Tarbes, XV, 288. LARROCHE-AYMON de, XII, 156. LARROCHE-FOUSSERIES de, XVII, 33. — XIX, 187. — son exécution à Auch en 1793, XXIII, 287. LARROCHE-GENSAC de, XV, 36. LARROCHE-JEGUN, de Vic-Fezensac, XXIV, 285. LARROQUAN de, guillotiné en 1794, XXIV, 142. Larroquan, XXII, 262. LARROQUE, chef de brigade en 1793, XII, 246. — capitaine du Régiment rie Foix, XVII, 246. — off. mun. de Touget, XXIII, 126, 129, 130, 136. — XXIV, 176, 255. — XXV, 305. LARROQUE de, Bernard, commandeur tl'Argenteu, XXI, 136, 137. — Jean-François, XII ,125, — abbé, vicaire-général vicaire-général XII, 152, 201, 203. — XXIII, 29-33. — XXIV, 134, 327. — Divers XVII, 27, 28, 190. — XVIII, 205. — XIX, 126. Larroque, XVI. 181 Larroque, canton de Castelnau-Magnoac, Castelnau-Magnoac, 172. Larroque-Engalin, XIX, 75. Larroque-Fourcès, XXII, 297. Larroque-Muniban, XXIV, 31. Larroque-sur-l'Osse, XXIV, 237, 239. LARROUQUETTE, de Mirande, XIV. 348. LARROUX de, seigneurs d'Aujan, XIII, 283. — seigneurs de Ruffé, XIV, 347. LARROUY, de Bouit, XVIII, 174, LARROZE, ele Monfort, XV, 268. LARRUMEAU de, XXII, 356, 358. LART de, archiprètre d'Eauze en 1789, XII, 172, 174, 282, 283. — XX, 71. Lart fief rie, XIV, 105, 107. LARIET, professeur à Auch, XXV, 167. Lartel, XVIII, 100. Lartigile seigneurie rie, XVI, 93. LARTIGUE, consul d'Auch, XII, 223. — XIV, 224, — consul d'Auradé, XVIII, 127. — citoyenne d'Auch en 1793, XIX, 165. — de, seigneurs de VicFezensac. XIV, 105. — XXV, 76, 317, 319. LARTIGUE-MÉRENVIELLE de, XIV, 20. Lartigue, XL 45. — XV, 150. — XVI, 90, 181. — XVII, 209. — XIX, 61. — XX, 52, 59, 61, 63. — XXI, 240, 242, Larnus, XXV, 127. LARY Bernard de, capitaine en 1563, XIII, 200-209. — Jeanne de, épouse de Miossens, XIII, 210. — Jeanne rie, épouse rie Monlezun-Lupiac, XIII. 227. — Henri de, seigneur d'Utaut, XVIII, 64-76. - Divers XI, 74. — XV, 193. — XVI, 159, 296. LARY DE LATOUR de, Antoine, chevalier rie Malte, XVIII, 68, 73. — Bernard, XVIII, 74, 75. — Bertrand, — 108 — XIII, 211, 214-230. — Charles-Louis, XIII, 233. — XV, 194, — Jean, XIII, 316. — XVIII. 65, 68 ,70, 71-73. — Divers XL 291. — XVT, 242. — Voir Latour. LAS de, XX, 153. — XXI, 142. Las château de, XIII, 261. LA SALLE Marquis de, XI, 29. Lasalle, XIV, 215. — XXI, 240. La Salle, XVI, 135. — moulin fortifié de, XII, 13. La Salle-Saint-Loup, XIV. 232. La Salle-de-Sallenave, XVI, 93. La Sauvelat, XI, 38. 41, 105. — XVI, 128. LASBORDES Pierre de, abbé de Berdoues, Berdoues, 91. Lushousigues château de, en Marsolan, Marsolan, 69. Lascazères seigneurie de, XVI, 102. LASCOMBES. guillotiné 1838. XXIV, 153. — de, XXI, 147. LASCOURS de, préfet du Gers, XXV, 103. — Divers XIII, 371. — XIV, 212. LASCUNIO de, XV, 57. LASDAUNES, curé rie St-Germier, XXIII, 144. — notaire à Auch, XXIII, 203. la Serre, XXII, 130. Las Ferrières, lieu dit, XIV, 105. LASMAZERES, de Duran, XXL 164, LASMEZAS, avocat, député de Jegun, XIII, 188. — curé rie Bezolles, XXIV, 28, 39. La Solitude seigneurie de, XXIII, 183. Lasplanes seigneurie de, XXIII, 77. LASSALE, administr. du départ, du Gers, XX, 110. — rie Touget, XXV, 137-138. 301, 302. général rie. XVI. 300. — XVIII. 76. Lasserade. XIV, 353. — incendie et massacre on 1308. XVI, 113. LASSERAN de, soigneurs de Massencôme; Anne, époux, de Batz, XII, 106-107. — Bertrand, abbé de Pessan, XV, 332, 335. — Jean, évêque de Valence, XI, 115. — François, père de Monluc, XI, 115. — Manaurd. XI, 112, — Divers XV, 81. — XVII. 125, 189, 201, 202. — XXII, 119. Lasseran, XV, 89. — XVI, 268. 270. — XVII. 18, 32. — XVIII. 93, 104, 100, 363. — XXIII, 230, 331, 336. — XXIV, 334, — Découvertes gallo-romaines. XIV. 71. LASSERAN DU CASSOU de, XVI, 100. LASSEUAN-MONLUC Pierre de XX, 91. LASSERRE, administr. du district rie' Condom, XIX. 33. — procureur au Parlement de Navarre, XXI, 154. — greffier à St-Nicolas-de-la-Grave, XIV. 119. — d'Aubiet, XVIII, 155. — de Clennonl-Savès, XXIII, 82. — curé de Condom. XXIV, 170. — d'Eauze, XXI, 50. — d'Endontielle, XXII. 270. — notaire rie Gondrin, XIX, 35. - XXII, 301. — de Masseube, XI, 38. — de Monfort, XVI, 141. — de La Romien. XXI, 51. — rie Saint-Sauvy XXIV, 76. — Marthe de, épouse do Batz, XII, 211. Lasserre, XI, 44. — XIV, 51, 106. — XVI, 90, 224. — XXI, 347. — XXII, 262, 271. LASSERRE-COLOME de, capitaine ries grenadiers du Gers, on 1789, XXII, 66. Lasseube, XVI, 270, 288. — XVIII, 93. Lasseube-Noble, XV, 129. LASSIS, administr. du départ. du Gers. XX, 110. — notaire à Lagranlas, XX, 71. LASSUDRIE de, seigneur rie Campanès, Campanès, 64. — XXII, 65. LASSUS, d'Auch, XX, 47. — de Fourcès. XX. 40. — curé de Goujon, XVI, 51. — notaire à Mozin. XIX, 42, — de, XI, 30, 33. — XXIII, 261. LASTIC de, XXIV, 162. — 109 — Lastic DE ST-JAL de, évêque de Rieux, XXIV, 350. LASTOURS de, seigneurs d'Endoufielle, XI, 280. — XIII, 46. — XVI, 225, 327. — XVII, 96, 103. — XVIII, 134. — XXII, 264, LATANÉ D'ARCAMONT, XIX, 129, 133. — administr. du départ, du Gers, XX, 110. LATAPIE, d'Auch, XI, 30. — géomètre, XXIV, 73. — archiprètre de Gondrin, XVIII, 63, 260. — XXII, 175, 224. — secrétaire de la mun. de Mont-d'Astarac, XI, 41. — vicaire rie Nogaro, XVIII, 176. Lu Tusque, XIV, 354, 355. LATASTE, XXII, 99, 305. LA TERRADE de , XII, 59, 318. — XV, 73. LATERRADE, curé de Ste-Christie-d'Armagnac, XVIII, 58. — juge-mage à Lectoure, XX, 107. — off. du Bat. des Volontaires du Gers de l'an II, XXII, 50. Laterrade, XVI, 181. — XXI, 255. La Teulère seigneurie de, XX, 61, 62, 73. — XXIL 99, 314. LATORNERIE de, XV, 74. LATORNERYE, jurat de Condom, XXV, 316, 317, 319. LA TOUR DU PIN abbé rie, XII, 260. — XXIII, 248, 282-292. — archevêque d'Audi, XV, 71. — XX, 108. — XXII, 147. — XXIII, 29. — XXIV, 165, 350 353. — XXV, 44, 149, 219, 225. LA TOUR comte de, XIV, 260. — Guillaume de, commandeur de Serres, XXI, 141. — seigneurs l'Aurenque, XVII, 106, 107. — XVIII, 65. LATOUR, citoyenne d'Auch, XIX, 165, 169, 170. — off. mun, d'Arreau, XIX, 65. — de Clermont-Savès, XXIII, 82. Latour maison rie, sa rivalité avec le Baratnau, XIII, 205-234, — château rie, porte Renaissance, XIII, 209-210. — comte de, érection et suppression, XVTII, 68. LATRAN de, XVI, 181. LATREILLE, notaire à Vic-Fezensac, XIV, 231. LA TREMOUILLE de, XXIII, 228. LATRILHE, de la Soc. Révolut, de Bayonne, XXI, 47. LA TRILLE de, XIX, 186. Lutuco, XVT, 287. LAU de, XIV, 215. — XV, 199, 201-209, 218. — XVI, 76, 83, 84, 180, 181, 183, 239. — XVII, 313, 314. — XVIII, 39, 40, 53, 209. — XX, 52. — XXI, 155, 255. — XXV, 73. Lau seigneurie du, XVII, 310, 312. Laubade, XI, 17. LAUBADERE, chef rie la légion d'Eauze, XII, 278. — XXII, 66. LAUBARÈDE de, XII, 260, 266. Laubiet, près Justian, XIV, 107. 230, 291. LAUDIÈRE de, évêque de Lectoure, XV, 271. Laujuzan, XVIII, 44, 170, 171. Lannac bataille de, XVI, 122, LAUNAY, de Condom, XXI, 234. LAUNET, huissier à Condom, XXI, 235. LAUR de, XV, 14. — XXII, 115. LAURA, notaire à Gondrin, XVIII, 4L — XX, 05, 67, 71. — XXII, 303. Lauraët le terrier de, essai étymologique, XII, 70-76. — Un cas de conscience à, XIX, 107. — Divers XI, 104. — XIX, 85, 183. — XX, 69, 98, 126. — XXI, 253. LAURANTIE, off. mun. de Fleurance en 93, XIII, 68-71. LAURENCE, représentant du peuple, XII, 320. — XXIII, 41, 111, 112, 164. — XXIV, 322. Laurenque Lot-et-Garonne, XXIII, 218. LAURENS, de Clermonf-Cogotois, XXIII, 68. — de Monfort, XXII, 299. Laurensan, XIII, 228. 110LUIRENT, 110LUIRENT, de Moulins, XXV, 225. LAURENTIE, curé de Nogaro, XVIII, 187. LAURET, président au Parlement de Toulouse, XVIII, 199. — de, XV, 268. Lauret seigneurie de, XVI, 130. — XXIV, 141. LAURO de, XX, 104. LAURON, chirurgien de Manciet, XIV, 37. LAUS du, capitaine huguenot, XIV, 341. Lausanne Suisse, XXV, 101. LAUTHEC de, XIV, 123, 328. — XV, 36, 124, 167. — XVI, 136, 237, 239. — XVII, 129. — XVIII, 205. — XIX, 156. Lautrec, XXIII 76. LAUVERGNAC de, XXIII, 63. LAUZERO,. notaire à Monfort, XVI, 133, 137, 140. — Séguine de, épouse de Broqueville, XVI, 134, 137. — de, XV, 275. LAUZERTE, d'Auch, XII, 257. Lauzerte, XIV, 260, 261. LAUZES, bourgeois de Fleurance, XXII, 319. LAUZIN, d'Auch, XI, 37. — procureur en Fezensac, XVTII, 155. — off. mun. de Touget, XXIII, 129, 132, 133, 134, 144, 302, 303. — XXIV, 86. — XXV, 308. LAUZUN Philippe, notice biographique et analyse de ses principaux travaux, XXI, 13-33, 85-103, 211. — ses obsèques, XXI, 70-73. Lavacun, près Pavie, XVI, 207, 269. — XVTII, 90, 100. LAVAISSIÈRE, chanoine de, Condom, XXII, 155. LAVAL, de la Soc. Mont, de Fleurance, XIII, 70. 294. — de, XV, 125, 201. — XVI, 80. — XVII, 130. — XIX, 153-155. LA VALETTE Jean-Louis rie, 1er duc d'Epernon, XII, 239, 293-297. — XVTII, 99. — XXI, 250. — Bernard de, 2e duc d'Epernon, XII, 297-300. — son testament, XII, 311-317. — Henri de Nogaret de, XII, 227. — Henriette de Montgaiilard de, XII, 229. — amiral Bernard de, XII, 238. — Jean de, XII, 238-241. — XIX, 113-114. — Louis-Félix, marquis rie, XII, 298, 399, 301. — Pauline rie, épouse James rie Mac-Mahon, XII, 306. — Divers XII, 228, 236-238, 302. — XIV, 177, 203, 204. — XVI, 98. — XX, 70. LAVALETTE de Foix de, duc de Caudale, XVII, 199. — Cardinal de, XI, 75. — XVTII, 74. — Régiment ele, XVIII, 220. LAVALETTE-DEMAGANVILLE, XIV, 330. LAVALETTE DE CORNUSSON de, sénéchal rie Toulouse, XXII, 93. LAVARDAC de, seigneurs de Lagardère, XI, 109. — seigneur de Meymes, XVI, 181. — Marguerite de, épouse de Castelbajae, XII, 30. — Thibault de, moine de Condom; XX, 55. —Divers XI, 75, 290, 295. Lavardac, XIV, 107, 108, 240 .— XIX, 25. Lavardens, château, XIII, 184. — XV, 27. — XXI, 238-239. — consuls, XIII, 185. — foires, XIII, 184-180. — peste rie 1653, XXI, 200-201, 212. — Divers XI, 309. — XII, 78, 79. — XIII, 232. — XIV, 26, 173, 218, 329. — XV, 56, 72. — XVI, 243. — XVII, 98. — XIX, 66. — XX, 101, 151. — XXI, 58, 59, 153, 154, 159, 168, 238, 244, 247. — XXII, 343, 349, 352, 353. LAVARDENS, président de la Soc. Mont, do La Romieu, XXI, 52. Lavaur, XXI, 145. — XXIV, 335. LAVEDAN de, XV, 14. — XVI, 136. — XVII, 19, 25, 35, 44. — XXII, 135, 136, 138. LAVEDAN, de Camalez, XVI, 105. Lavedan pays de, XVII ,278. LAVÉIADE, notaire, XXII, 133, LAVÉNÈRE, vicaire à Sainte-Christie 111 d'Armagnac, XVIII, 59 .— off. mun. de Vic-Fezensae, XXIV, 50. LAVENERE DE LUSSAN, XXIV, 32, 34-35. — chapelain de Bezolles, XXIV ,129. LAVERAËT, XVII, 287. Laveraët, XXIII, 55. — XXIV, 260. LAVERGEN, curé d'Auterrive, XXV, 98. LAVERGNE Adrien, notice nécrologique, XV, 173-177. — bibliographie, XV, 177-183. — XXIV, 209. — d'Auterrive, XIX, 65. — de Castillon-deBatz, XIX, 61. — off. ,mun. de VicFezensaC, XXIV, 50. — de, XVIII, 49. — Divers XXIII, 96, 99. LAVERNÈRE, de Vic-sur-1'Osse, XXI, 57. La Vernoze, XIV, 157, 158. LAVERNY, coll. mun. à Condom, XXI, 23l, 232. — jurat à Condom, XXV, 316, 317. — de, XXV, 122. LAVIGNAN de, consul de Touget, XXIII, 15, 16, 130. — XXIV, 91, 249, 253. — XXV, 138. LAVIGNE, proc, du Roi à L'Isle-Jourdain, XXII, 306. — de Condom, XXI, 232. Lavit, XIV, 337. LAVRUT, religieux bénédictin de Touget, XXIII, 127, 140, 301-303, 307. — XXIV, 94. — XXV, 142 . Lawfeld, XVII, 110. LAYAN fie, XV, 57. Layrac, XIII, 106. — XXI, 136. — XXIII, 218, 219. — XXIV, 69. LAYS, chanteur, XIV, 288. LÉAUMONT de, XII, 86, 125. — XIV, 373. — XXI, 163, 255. — XXII, 99. LÉAUMONT-PUYGAILLARD de, XIV, 354. Léaurnont, XI, 72. — XII, 362. LEBBÉ, de St-Jean-Poutge, XXII, 108. LEBBÉ-LARROQUE, chanoine de VieFezensac, XIV, 102. LÉBÉ, administr. du départ, du Gers, XX, 116. — de Condom, XXII, 66. — XXV, 316, — lieut, du juge en Fezensac, XXI, 263. — consul do Vic-Fezensac, XIV, 175, 221. - médecin médecin Fleurance, XII, 203. — de, XXIV, 131. LÉBÉ-TOUADE, médecin à Vic-Fezensac, XXI, 270. LE BEAU ,historien, XXV, 146. Le Bégour, découvertes paléolithiques, XII, 290. LEBEL DE COULOURS, fermier-général, XXI, 269. LÈBERON Pierre de, religieux-granger de Vic-Fezensac, XII, 122. — XV, 64. — Compagnon de Monluc, XV, 81. LÈBERON, de Ladevèze-Ville, XXIII, 98, 99. — curé de Saint-Lary, XXII, 136. Lèberon, château de, XXI, 88. LEBLANC, guillotiné en 1798, XXIV, 137. LE BLANC DE LABATUT, XXIII, 63. LE BLOND Denis, abbé de Berdoues, XVII, 200. — XVIII, 103. LE BOEUF, XIX, 151. LEBON, conventionnel, XIV, 284, Leboulin, XVII, 178. LE BOURG, surnom de Jean de Pins, XX, 59. LE BOURSIER, XVII, 130. Le Bouté, seigneurie, XX, 58. Le Brouilh. XI, 311. — XX ,140, 143, 144, — XXI, 39. — XXIV, 142. Le Buisson, XXII, 120. LÉCHA, XVII, 190. LE CHANTEUR, notaire, XIV, 326. LÉCHAT, XXIII, 116. LÈCHE, curé rie Nogaro, XXII, 186. Lech-Hausen combat rie, en 1796, XIII, 257. LECLERC, XVI, 143. LECLERC DE LESSEVILLE, XIV, 113. Le Croisic, XIX, 154. Lectoure, plan do la ville au XVe siècle, XXIII, 252. — siège de la sénéchaussée loyale d'Armagnac, XVI, 185. — XXI, 181, 245. — Etat de la sénéchaussée en 1639, XI, 67-76, 290-300. — XII, 81-91, 361-366. — 112 Liste nobiliaire rie la sénéchaussee, XIV, 30. — Elections pour les EtatsGénéraux rie 1789, XV, 73. — Députés de la sénéchaussée aux EtatsGénéraux rie 1789, XIII, 189. — Assemblée rie la Noblesse en 1591, XIV, 354. — Assemblée de la sénéchaussée eu 1789, pour la rédaction des Cahiers de doléances, prestation rie serment, XII, 59. — Doléances et vieux rie la Noblesse, XV, 250-301. — Doléances et vieux du Clergé. XVII. 47-57. — Doléances et voeux du Tiers-Etat, XVI, 245-261. — XXII, 306. — Loge maçonnique, XI, 35, 42. — XIII, 82-84. — Société populaire, XIX, 104, — XXIV, 169. — Fête de la Fédération du 14 juillet 1792, XXI, 185. — Citoyens incarcérés dans les prisons de Lectoure, au couvent ries Carmélites, XVI, 129. — XIX, 64-66. — XX, 118. — XXI ,63, 283. — XXII, 34, 44, 278. —XXIII, 43, 45.—XXIV, 77, 288, 323. — prêtre lectourois mort sur l'échafaud, l'échafaud, 133. — Divers, sur la période révolutionnaire, XXIII, 53. — XXIV, 323. — XXV, 226. Monuments la cathédrale, XI, 121, — statue de la Vierge à, la cathédrale, XXV, 167. — chrisme de Lectoure, XVII, 59. — fontaine de Diane, XX, 123 — la tour du bourreau, XXIV, 71. — musée des antiques, XI, 121. — prison de la Conciergerie, XX, 157. — découverte, d'un moule égyptien, XI, 15. Histoire civile et militaire gouverneurs de Lectoure, XIV, 203. — XVI, 132. — XXI, 238. — passage de Marguerite de Valois et. entrevue avec Henri IV à Lectoure, XIV, 153-154, — passage rie Louis XIII, XXII, 191. — Siège de 1450, XV, 21. — siège de 1472, XVI, 177. — XVIII, 27. — XXIL 253. — meurtre du comte d'Armagnac, d'Armagnac, 23. - XVI, 176-177. — XVIII, 210. - XX, 126. - XXI, 158. XXIII, 228, 252, 308. — XXIV, 298. — Siège rie 1562, XV, 84 .— Siège de 1567, XI, 197-198. — projet de garnison militaire, XII, 149, 150, 269. — sédition entre catholiques et protestants, XIV, 205. — peste de 16531654, XXI, 200-201. — un procès de sorcellerie au XVIe sèicle, XXI, 299—300. 299—300. un duel en 1709, XXI, 203204. — Rivalité entre Fleurance et Lectoure, XIII, 82-84, — Célébrités lectouroises, XXII, 243-245. — un orfèvre lectourois au XVIIe siècle, XXIII, 83-80. — Voir DESMOLIN, CANNES, SOULÈS, YRAGUE, etc. Histoire religieuse rareté des documents sur l'ancien diocèse de Lectoure, XXIV, 114. — Evêques et vicaires-généraux, XII, 252, 330. — XIV, 67, 355. — XV, 152, 213, 214, 218, 222, 225, 228, 271. — XVI, 167. — XIX, 128. — XX, 134-139. — XXI, 105, 213, 214, 217. — XXIV, 33-34, 113, 128. — XXV, 56. — Convention entre évêque et propriétaires au sujet des dîmes, XXI, 213-215, 225-227. — Chanoines de Saint-Gervais de Leetoure, XV, 35. — XVI, 159, 173. — XXI, 151. — XXIV, 142. — Confrérie de Saint-Antoine, XXIII, 84. — Jacobins, XXIV, 33. — Couvent ries Carmélites, XX, 118. — XXI, 25. — Soeurs de Charité de l'Hôpital, XIV, 58. Divers XI, 310. — XII, 103, 266-269, 337. — XIII, 230. — XIV, 170, 333, 337, 352. — XV, 67. — XVI, 75,. 140, 143, 175, 212. — XVII, 109. —XVIII, 24, 56, 75, 81. — XXI, 140, 345, 261. — XXII, 129, 204, 265, 299, 346. — XXIII, 264. — XXIV, 304, 330. — XXV, 64, 65, 272, 282. Lectures sur l'histoire de Guyenne et Gascogne », par Auge, XIV, 382. 113 — LÉCUSSAN, chanoine de Barrau, XXIII, 52. Ledeuir seigneurie de, XXV, 74. LE Doux DE MONTIGNY, XV, 300. — XX, 137. LEFEBVRE maréchal, XI, 263. LEFEBVRE D'ORMESSON, XIV, 26, 325. LEFRANC, recteur de Clermont, XXIV, 38, 49. LEFRANC DE POMPIGNAN, XXV ,43. Légendes hagiographiques, XXIV, 115116. 115116. Voir de Bouit, Cédon, Tudet, etc. Légendes révolutionnaires, XXIV, 143-144. LEGENDRE, intendant de Montauban, XIV, 369. — député d'Auch, XXIV, 323. LÉGLISE, inspecteur aux réquisitions, XIII, 66. — XXI, 48. — de Barran, XIV, 224, — de Cadignan, XX, 54. — de Riguepeu, XVII, 40. LEGRAND, XIV, 326. LEGRAS, capitaine, XIII, 257. Léguevin, XXII, 261, 262, 270. Le Houga, XV, 219. — XVIII, 38. LEHUBY, rie Rayonne, XXI, 47. Leipzig bataille de, XIX, 147. Le Jaulin, XXI, 119. Le Lherrn, XXIV, 40. Le Lin, XVII, 310. — XVIII, 46, 55. — XXII, 297. LÉMAN, XII, 261, 267. Le Mas, XXV, 166. Lembeye Basses-Pyrénées, XVI, 230. LEMIERRE, XI, 29. Lemprègue. ancienne église de, XI, 45. LENONCOURT Thierry rie gouverneur de La Rochelle, XVIII, 24, 28, 198. LE NOTRE, architecte, XIV, 157 LENTILHAN de, XVI, 291. Le Pin, XXII, 92, Lèpre et léproserie ,XV, 211-212, 223. XVI, 119. — XVII,. 18. - léproserie de Condom, XXV, 69, — signe imposé imposé lépreux, XV, 289. — Voir cagots, capots. Le Puy, XXV, 282. LÉRAN capitaine de, XIV, 208. LÉRIN cointe de, XIX, 151. LÉRINS Hugues de, abbé de Fontguillaume, Fontguillaume, 226. LE ROUX, XVIII, 24. LE ROY, médecin de Montpellier, XIV, 128. LESAGE, de Lombez, XIX ,66. LESAGE DE SALLE, XXII, 151. LESBAY de, bourgeois de Rayonne, XV, 121. Lesberous. — Voir Esberous. Lescar diocèse et évêques de, XIV, 295, 298. — XV, 14, 213, 214, 218, 222, 225. LESCARRE, XXI, 147. LESCOT D'ARPAJON de, XXIV, 46, 49. LESCOUT Pons de, curé de Bezolles, XXIV, 23. — XXV, 93. — Divers XVI, 294. Lescaut, près de Saint-Paul de Baïse, XIV, 51. — XXIV, 24. LESCUN Arnaud de, évêque d'Aire, XIII, 181. — XV, 19. — Jean de, évêq. nommé de Tarbes, XV, 22. — Jean de, archevêque d'Auch, XV, 21, 22, 24, 25. — XVI, 85. — XXIII, 228. — Jean de, dit le Bâtard d'Armagnac, comte de Comminges, XIV, 293-307, 381. — XV, 13-26, 117127, 198-209. — XVI, 74-89. — XVIII, 197. — Odet d'Ayelie, seigneur de, XVI, 230-240. — XVII, 127-139. — XVIII, 13-33 ,197-211. — XIX, 43-57, 149-160. — Guicharnaud de, gouverneur rie Bayonne, XVII, 131. — Guillaume-Raymond de, XV, 1316. — Mathieu de, XVII, 130. — Divers XVII, 130, 131. — XIX, 157-160. Lescun et son château, XIV, 293, 294, LESCURE Marie, XXIV, 314. — Toan de, commandeur de Gimbrède, 8 — 114 — XXI, 220. — seigneurs rie Fontanas, XVI, 229. LESCURRY de, XXI, 241, 246. — XXII, 134, 143. LESPARRE de, XVI, 128. Lesparre, XXIV, 306. LESPIAU, de Lavardens, XXI, 247. LESPINASSE de, vicaire-général de Condom, XXII, 57. — colonel en 1793, XIII, 252. — curé de Réans, XII, 176, 282, 283 .— négociants de Toulouse, XVIII, 68-69. — Pierre, XVIII, 100. LESPINAY Eustache rie;, XVIII, 18. LESPINE Gaillard de, off. de l'élection d'Armagnac, XIV, 172, 216. — Marguerite de , prieure des l'rsulines d'Auch XIX, 88, 89 — XXI. 197-198. LESSART de, ministre de l'Intérieur, XII, 341. LESTÉ de, XVIII, 94. LESTRADE, de Condom, XXI, 235. — de Gazaupouy, XIX, 65. — de Vic-Bigorre, XVI, 99. LESTREMAU de, XVI, 186. LE TELLIER Maurice, arch. do Reims, XV, 221. LETHEUILLE, de Laas, XXII, 240. LETREUX, de Clermont-Savès, XXIII, 79, 80. Lettres d'abolition et rie pardon, XVII, 209-213. Lettres de cachet, XXIII, 16-18. Lettre-circulaire pour prévenir d'un vol, XXIII, 28. Leucate, en Languedoc défense héroïque du fort de, XIV, 30-31. leude » ancien droit féodal, XV, 258. — XVI, 2-49, 261. — XX, 99. LEVASSEUR DE NEUILLY Colonel, XII, 246. Léviac, XIV, 107, 233. — XV, 56, 59. — XXIV, 286. — XXV, 164. Lévignac, XIV, 13, 14, 16, 33, 35, 260. — XVI, 96. Le lignerai, XXII, 120. LÉVIGNIES de, XIV, 16. LEVIS Philippe de, év. de Bayoune, arch. d'Audi, XIV, 50. — XV, 21, 23. — XIX, 40. — XXIII, 58. LEYDON. avocat d'Auch, XI, 373, 379. LEZAC, instituteur à Auch, au VI, XV, 50, 51. Lézat. abbaye de, XIX, 46. LÉZAY-MARNÉSIA Colonel de, XII, 154. Lézian, XIV, 51, 107. Lézignan, XI, 205. — XIII, 195. LIABOEUF, notaire, XVI, 48. Liatores. XIII. 135. — XXII. 298. — XXV, 316, 318, 322. — Etude historique et archéologique sur l'église de, XXV, 15-28, 97. LIAN Bernant de, XIX, 29. Lian château de, on Gondrin, XX, 71. LIARD, off. mun. de Vic-Fezonsac, XXIV, 50, 51, 285, 290. LIARI de., XX, 43. Lias, XVI, 127. — XVII, 96. — XVIII, 84. — XX, 64. — XXII, 271. LIBAROS, off. mun. de Vie-Fezensac, XXIV, 51. Libéras, marchand, XV, 266. — XVI, 132, 139. — de, de Pavie, XVIII, 116. Liberté individuelle et liberté do la presse sous l'A. R. Réformes riemandées par les Cahiers de 89, XV, 353. — XVI, 246-248. — XVII, 48. Libertés provinciales et municipales de l'A. R., XV, 254-255. Libos, XIV, 260. Libourne, XVIII, 205, 231. LIBRARIO, notaire de Vic-Fezensac, XIX, 41, 42. — XX, 52. — XXI, 124, LICARRE de, XX, 26, 27. LICIER, comte de Pardiac, XX, 142, 149. LIE de, consul d'Aubiet, XIV, 224. Liège, XVIII, 14, 15. LIERVILLE, de Goujon, XVIII, 139. - 115 - Lieu-Dieu abbaye de, diocèse d'Amiens, XVII, 95. — XIX, 91. Lieux, ancienne paroisse et commanderie, diocèse d'Agen, XII, 89. — XVI, 229. — XXI, 137, 144, 146-152. LIGARDES, off. mun. de Condom, XXI, 231. — de, XX, 104, — XXI, 138, 139. Ligardes, XIX, 66. — XXII, 119. — XXV, 193. LIGIER-RICHIER, sculpteur, XXIII, 177. LIGNAC, consul de Mouchan, XXII, 301. — off. mun. de Vic-Fezensac, XXIV, 285. — Jean de, abbé de StOrens de la Rulle, XV, 222. LIGONIER, général, XII, 261, 264. Ligue en Gascogne Contribution à l'histoire des guerres civiles au temps do la, XXI, 238-239. LILLE, de L'Isle-Jourdain, XXIV, 147. — prêtre assermenté, curé de StJustin, XXIII, 53. Lille siège de, en 1667, XXII, 199. limande », meuble ancien, XXV, 81. LIMER, de Toulouse, XXIV, 189. LIMOGES, consul de Monfort, XVI, 139. — de, XV, 267, 270, 272. Limoges, XVII, 99. — XXIV, 146. — XXV, 159. LIMOZIN, maire de Fleurance, en 1790, XIII, 77. LIMOUZIN Jean, XV, 35. LIN du, XV, 103, 105, 106. LINDET, évêque d'Evreux, XXV, 225. LINHAC, administrateur du départ, du Gers, XX, 114. — de Samatan, XI, 42. LION du, XIII, 213. — XV, 199, 203, 204, 206. — XVI, 238. — Gaston du sénéchal de Toulouse, XIX, 57. LION DU CAMPET de, XX, 63. Lioux de, XI 115. Lisbonne, XXIV, 330. LISIEUX Cardinal de, XXV, 191. LISLE, capitaine, XIV, 202. — de Monferran, Monferran, 82. — de, de Duran, XVIII, 209. — XXI, 164. — Guillaume Guillaume de, XVI, 28. — Indie de, épouse de Caumont, XII, 233. LISLE-ST-AIGINAN Marguerite de, ép. Nogaret de la Valette, XII, 237. Liste-de-Bascous, XVIII, 38, 39. Lislette-Surimonde, nom primitif de L'Isle-Arné, XII, 237. LISSAGARAY, off. mun, de Vic-Fezensac, XXIV, 50, 51, 285. LISSE, de Gondrin, XI, 279. Littérature et moeurs de la Novempopulanic romaine, XVI, 187-206. Littérature et société gasconnes durant la période barbare, XVII, 7393, 259-282. — XVIII, 142-153. LIVRET, avocat, XVIII, 119. LIXANDRE, notaire de St-Arailles, XVII, 28. LLORENTE, XIV, 140. LOAT, hôtelier à St-Georges, XXIV, 39. Lobaner, XV, 219. Loches château de, XVI, 84. — XXIII, 194. Loedieu abbaye du, XXI, 223. LOCKE, XIII, 264, Lodet seigneurie de, XVI, 96. Lodoys, près Mirannes, XIV, 51. lods » ancien droit féodal, XVI, 248, 250. — XVII, 236. — XXII, 151, 343344, 343344, Jean de, XIX, 154. Logement gratuit des artisans, XXII, 201-205. Loges maçonniques Les Neuf Soeurs », XI, 29. — La Victoire », à Fleurance, XIII, 82. — XXIV, 204, — St-Jean des Arts » d'Auch, XI, 25, 258. — liste de maçons de cette, loge, en 1802, XI, 262. — en 18111812, XI, 272-275. — XIX, 135. — noms de maçons du Gers de la période révolutionnaire, XI, 36-42. — Loge du mystère » à Auch, XI, 275. — Voir Franc-Maçonnerie. LOHEAC de, XV, 21, 201. — XVI, 78, — 116 — 80. — XVTI, 127, 128, 130, 133, 136, 138. — XVTII, 13. LOÏER Père, Recteur du Collège d'Auch, XXII, 328. LOISEU, tailleur de Toulouse, XVTII, 69. Laissait, XVTI, 310. — XVIII, 46, 180. Lomagne vicomte et vicomtes de, liste des seigneurs, avec privilèges et exemptions, XII, 86, 89. — coutumes de, au sujet des dîmes, XXE 151-152. — transactions entre seigneurs locaux et vicomtes rie, XXI, 223-225. — Divers XIII, 213, 214. — XV, 124, 125, 126, 215, 219, 220. — XVT, 75, 122, 172, 253. — XVII, 100, 105, 235. — XIX, 30. — XX, 97. — XXI, 137-140, 151-152, 165. — XXII, 19, 90. — XXIV, 111, 114, 258. LOMAGNE-FIMARCON de, XXI, 289. — XXII, 19. LOMAGNE-TERRIDE de, XXI, 166, 168, 169. — XXII, 20. LOMBER de, XVII, 190. Lombez, coutumes, XIV, — évoques, et revenus de l'évêché, XIV, 137-138. — XVI, 35, 229. — XVTI, 237. — XVTII, 126, 199. — XXIII, 17, 18, 144, 228. — un vol à, l'évêché, en 1789, XXIII, 22. — Episcopat de Jacques Colonna et séjour de Pétrarque, XXIV, 198-203. — une mission au XIIIe siècle dans le diocèse do Lombez, XII, 288289. — monographie du tribunal civil, XIV, 183-186. — période révolutionnaire, XIV, 260. — XIX, 65, 66. — XXI, 276. — XXIII, 116, 117. — XXIV, 106, 142, 324. — Divers XIV, 35, 334, 360. — XVIII, 49. — XX, 33. — XXII, 119, 266, 307. — XXIII 229. Lomiès, près Nérac, XXI, 137. LOMPEY de, XXIII, 94, Londres, XXV, 130. — les émigrés à. XXIV, 164. LONG Alexandre de, guillotiné à Auch en 1794, XXII, 33, 74, — XXIII, 40. — XXIV, 81-82, 259. — Bertrand rie, conseiller au Parlement de Toulouse, et divers, XXIV, 257-261. Longard seigneurie du, XIV, 26. — XIX, 125. — XXI, 238. LONGCHAMP, commissaire d'Auch, an III, XXI, 46. Longjumeau, XVT, 77. LONGRUA DE LA ROCHE, abbesse de Goujon, XVT, 42. Longuebrune seigneurie de, XVIII, 210. Longuetille seigneurie de, XXII, 313. LONGUEVILLE de, XVII, 130. Longueville inondation de, 1770 à, XI, 145. LONQUIL de, seigneurs de Vic-Fezensac, XIV, 105. Lonquil église de, XIV, 106, 232. LORAN ou LORANE de, consul de l'IsleJourdain, XIV, 201. — XXII, 306, 307, 326. — XXIII, 66. LORANGE, off. mun d'Eauze, XII, 175. LORD de, XXI, 244. LORDAT du, XVII, 98. — Ignace de, abbé rie Berdoues, XVIII, 107. LORMAND, notaire à Toulouse, XXIII, 76. LORMANDE, curé de Blanquefort, XVT. 38. LORRAINE Cardinal rie, XXII, 57. — Henri de, duc de Mayenne, XXIII, 67. — Charles de, XVI, 94, — XVIII, 192. — Jean de, XVII, 137. — Dues de, XVI, 89. Lortet seigneurie de, XXI, 108. Lortiguel moulin de, dans Endoufielle, Endoufielle, 94, Los Gui de, évêque de Lescar. XV, 213 Lusse seigneurie rie, XX, 66. Loubagnac salle de, en Riguepeu, XVII, 33. LOUBAT DE BÉARN. XIV, 302. Loubédat, XVIII, 184. — 117 — LOUBENS, d'Auch, XII, 318. — XVI, 91. — XVIII, 109. LOUBÈRE, de Pavie, XVIII, 117, Loubersan, XXII, 230. — XXIII, 230. Louberville seigneurie de, XVII, 95. — XXII, 88-90, 271, 274, Loubie seigneurie de, XXII, 133, 323. Loudun, XIV, 344, LOUIS VIII, XI, 102, LOUIS IX, XI, 102, 103. — XVI, 40. — XX, 98. LOUIS XI, XI 251. — XIV, 46. — XV, 23, 25, 200-209. — XVI, 74-86, 93, 171, 175, 170-178. 238. — XVII, 131-134, — XVIII, 13-33, 197-209. — XIX, 45. — XX, — XXI, 158, 159, 180. — XXII, 248, 250, 251. — XXIII, 228, 245, 308. Louis XII, XI, 115. — XVI, 185. — XVII, 95. — XVIII, 96. — XIX, 150, 159. — XXII, 251. — XXIII, 228. Louis XIII, XI, 117. — XII, 121, 302. — XIV, 343, 304. — XV, 271. — XVI, 163, 265. — XVIII, 103. — XX, 106. — XXII, 273. — XXIII, 266 , 310. — son passage à Lectoure, XXII, 191. Louis XIV, XI, 117, 118, 119. — XII, 114. — XV, 113. — XVII, 108. — XX, 98, 106. — XXII, 198. — XXIV, 277. — XXV, 41. — son passage, à Nogaro, XVIII, 50. — XX, 62. Louis XV, XIII, 180. — XIV, 19, 22, 324-328. — XV, 168. - XIX, 20. — XX, 106. - XXIV, 334. — XXV, 198. Louis XVI, XV, 102. — XX, 109-110. — XXII, 338. — XXIV ,64, 143-144, — XXV, 32, 35, 48, 141, 152, 179. — impression produite par son arrestation à Varennes, XXIII, 133-134. — émotion causée dans nos campagnes par sa mort, XIX, 61. Louis XVIII, XIII, 131. — XIV, 212. — — XVI, 107, 129. — XXIV, 108, 231, 331. Louis D'ANJOU, XXIV, 256, Louis DE BOURBON, amiral de France, XVIII, 13. LOUIS-PHILIPPE, XIX, 147. LOUIS-PHILIPPE D'ORLÉANS grand-maître de la F.. M.., en tournée d'inspection dans le Sud-Ouest, XI, 28. Louis, de l'Académie de Chirurgie, XXIV, 64. LOUIT, d'Auch, XI, 276. LOUP Arnaud, évêque de Bayonne, XV, 213. LOUPIAC de, XXII, 268. Loupouy, XVI, 288. Loups dans le Gers les, XVI, 147. LOURAYNE Pierre de, XVII, 44, LOURDE, XXIII, 72, Lourdes, XVI, 43, 168, 232. — XX, 155. — XXV, 130. LOURTIES de, XVI, 267. Lourties, XVT, 288. — XXIV, 304, Lousfagets, près Nogaro Haget, XVIII, 182. Louslitges, XIV, 45. 107. — XVIII, 55. LOUVET DE BEAUVAIS, XVIII, 224. Louvic de, de Riguepeu, XVII, 26. Louviers, XXIII, 35. LOUVIGNY de, XXV, 73. Louvigny château de, XIV, 394. — — XVII, 129, 130. — XIX, 160. LOUVOIS, XV, 266. LOUYS, de Jegun, XXIII, 263. LOYSEAU, avocat à Paris, XXIV, 278. LOZE DE GAJO de, XX, 69. LOZES, de Durban, XI, 278. — agent mun. de Saramon, XI, 38, 278. LOZIÈRES de, XI, 312. — XXI, 164, 167, 24-0-241, 243, 249. LUART Joachim, secrétaire du Parlement de Bordeaux, XVIII, 203. LUBES, agent national de CastéraVerduzan, XIX, 23. LUBESPÈRE, consul de Verduzan, XI, 239. — XIV, 218. LUBET, XXIV, 235. LUBIS, agent mun. de Duran, XIX. 104. 118 Luc abbaye de, XV, 328. Lacaniacum, villa d'Ausone XVI, 194, 205. Lucante, XVII, 110 LUCAS, notaire à Vic-Fezensac, XX, 59. — sculpteur toulousain, XIV, 38. — de, XXV, 87. LUCAT, notaire à, Lannepax, XX, 60. — de, de Vic-Fezensac, XV, 57. Luchou, XV, 294. Luciennes château de, XIV, 28. Luc-Vielle ou Lupvielle, XX, 43. — XXI, 104-105. LUDE Guillaume de, syndic de Pavie, XVIII, 88. Lude château de, XX, 137. Lugagnan, XI, 205. — XV, 50. — église de, XII, 20. — XIV, 15, 51. LUGAIS, XXII, 151. Luglobourt, près Lanne-Soubiran, XVII, 310. LUNEL de, XVII, 118, 119. LUNET, archiviste-greffier à l'Archevêché l'Archevêché XXII, 359, 361, 362. LUPÉ DE GARIÈS, XVII, 249. — XXIV, 196. Lupé, près Nogaro, XVII, 310, 312. — XVIII, 182. LUPER de, XXII, 300. LUPÉRIA Vital de, provincial des Carmes de Pavie, XVI, 268. LUPIAC Jean de, seigneur de Moncassin, Moncassin, 228. Lupiac, ses fortifications, XIII, 9092. — XVI, 113. — fondation rie l'Hôpital St-Jacques, XII, 107, 112113. — fête rie l'Etre suprême, XXI, 277. — Divers XIV, 51, 230. — XVII. 27. 39. — XVIII, 184. — XX, 130. — XXI, 159. — XXIII, 99, 160, 380. LUPPÉ de, origine de cette famille, XIV, 353. — Jean, baron d'Arblade, XII, 125. — Jean, gouverneur de Mauvezin, XIV, 353. — XV, 298. — Jean-Phinée, député de la Noblesse en 1789, XI, 32, 35. — XIV, 164. — XXII, 208. — Etienne, abbé de la Cace-Dieu, XV, 222. — Fleurette, XVI, 89. — Marianne d'Arblade de Luppé, épouse de Polastron, XII, 129. — Hector, seigneur de Gensac, XIV, 225. — Divers XI, 73, 76. — XII, 81, 87. — XVI, 183, 262, 269, 273, 294. — XVII, 314, 315. — XVIII, 49, 104, 118. — XIX, 29, 129, 133. — XX, 66, 142. LUPPÉ-ARECH de, XVI, 181. LUPPÉ-BESMAUX de XIV, 358. — XV, 72, 297-300. — XVIII, 105. — XXII, 33, 34, — XXIII, 36, 230, 237-238. LUPPÉ-CASTILHON de, XI, 76. LUPPÉ-CREMENS de, XIV. 215. — XV, 297. LUPPÉ-GARRANÉ de, XII, 117. — XIV. 358. — XVI, 267. — XVIII, 105. — XXIII. 230-233, 236. LUPPÉ-LASSÉRAN de, XVI, 268. LUPPÉ, soigneurs rie LUPPÉ de, XVI, 171, 180. — XVII, 309. LUPPÉ-MARAVAT de, XI, 73. — XIV, 353. — XV, 297-300. LUPPÉ-MONTIGNY de, XXIII, 36. LUPPE-POYSENTUT de; XXV, 80. LUPPÉ-TAYBOSC. de, XIV,351-359. — XV, 72, 261, 297-300. LUPPÉ-TILLAC de, XII, 88. — XIV, 354, 357. — XV, 298-299. — XXV, 80. LUR de. seigneur de Calen, XIX, 55. LURGORR. divinité gauloise, XI, 327329. 327329. de Villecomtal, XI, 41. Lus Sanche de, abbé de St-Savin, XV. 228. LUSACE comte de, XVIII, 165. LUSCAN, XIV, 328. — XV, 75, 76. LUSINAC de, XXII, 133. LUSOL, greffier de la Collecte de Fezensaguet, Fezensaguet, 221. Lussan, XI, 205. — XX, 42. LUSSAN de, XIV, 205. — 119 LUSSY, avocat, XIII, 228. LUSTRAC de, seigneur de Losse, XX, 66. Lux Jean de, curé de St-Germier, XXV, 79. LUXE de, XV, 121, — XVI, 232, 233. — XXIII, 74, — XXV, 74, 76. LUXEMBOURG Louis de, comte de StPol, StPol, 77. LUXEMBOURG-MONTMORENCY de, XXII, 337. LUXEMBOURG-ST-PAUL de, XVII, 128, 132. — XVIII, 20, 25. LUYNES duc de, XXI, 59. Luz, XV, 287. Luzan, XI, 45, 104, — XVII, 210. Luzanet église de, près Montréal, XXIII, 332. — salle de, XVII, 209. LUZAREY, de Nogaro, XII, 81. — XVIII, 49, 51, 58. — juge en Bas-Armagnac, XIV, 172 — de, XIX, 186. — XX, 62. Lazenac, pile gallo-romaine, XI, 94, 230-231. LUZIGNAN marquis de, député aux Etats-généraux de 1789, XV, 74, Lyet seigneurie et château de, XXII, 20. — XXV, 327. LYON Gaston du, XVI, 177. — XVII, 25. — XVIII, 26, 27. — XIX, 57. — Voir LION du. Lyon, XII, 248, 249, 251. — XIV, 370371. — XVII, 191. — XVIII, 209. — XXIV, 295. M. MABILLE DE BIRAN, dame de St-Lary, XX, 140, 147, 150. MACAIRE, évêque de Dax, XV, 152. MACARY, de Sirac, XXIII, 302. — XXIV, 92. — off. mun. de Vic-Fezensac, XXIV. 50, 56, 290. MACÉ de, XXI, 267. Machecoul, XVTII, 31. — XXIV, 326. MACDONALD général, XXIV, 231. MAC-MAHON de, seigneurs de Caumont, XIII, 302-303, 306-307. MACON, curé d'Auradé, XVI, 34. — de, de Gaujan, XX, 61. MADAILLAN de, XV, 298. MADEILLAN, XXIV, 176. MADELEINE DE FRANCE, comtesse de Foix, XVI, 183 Madeleine église de la, à l'IsleJourdain, XX, 28. Madiran, XV, 286. — XXIV, 150. — prieuré de, XXII, 182. MADRANO de, XI, 69. Madrid, XXIV, 228. — XXV, 51. MADRON Mme de, Ursuline d'Auch, XIX, 86, 88, 89. MAGISTRONS de, XV, 57. MAGNAN, d'Eauze, XIV, 179. — juge de paix à Beaumarchès, XXIII, 96. Magnan, XVII, 310. — XVIII, 171. Magnas. XIV, 38. — XXII, 74. — XXIV, 80. MAGNAULT-MONTAGUT de, XX, 59. MAGNIÉ, vic. de Ste-Christie-d'Armagnac, XVIII, 60. MAGNIEZ, conventionnel, XIV, 285. MAGNOAC, de Cologne, XXII, 193. Magnoac le, XVII, 180. — Dans un coin du, en 1525, XI, 316. MAGUERIE OU MARGUERIE Pierre de, abbé de Berdoues, XV, 225. — XVII, 204, Maguit Haut et bas, XIV, 232. MAHOME, de Vic-Fezensac, XIV, 318. — XIX, 65. — XXI, 270. — XXIII, 321, 322, 324. — XXIV, 50, 52, 54, 56, 57, 288-290. — XXV, 266-267. maiade » droit de, XXI, 141. Moignon, XI, 76. MAIGNAUT, bailli de Gondrin, XIX, 29, 30. — de Jegun, XIV, 175, 218, 225. — maire de Saint-Clar, en 1793, XX, 117. — de, XVI, 160. MAIGNAUT DE MONTEGUT de, XXII, 258. — XXV, 75. 120 Maignaut, XI, 105. — XIV, 218. — XIX, 174, — XX, 98. MAIGNÉ DE SALLENAVE de, généalogie de la famille, XVI, 93- 108. — Jean, gouverneur. d'Auch, XVI, 94, — Louis, chevalier de St-Jean de Jérusalem, XVI, 97. — Philippe, capitaine de vaisseau, XVI, 90-97. MAIGNELAIS de, XVII, 129. MAILHOS, XXIV, 148. MAILLÉ de, XVIII. 24, 204. MAILLOS, religieux d'Eauze, XII, 178. MAILLY de, XVI, 84, MAINE du, XVII, 133, 136. — XXIV, 288. MAINE DE ST-LANNE abbé du, chanoine de Vic-Fezensae, XX, 137-138. MAINFERME P. de, XXV, 189. MAINTENON Mme rie, XV, 232-234, — XXII, 316. — son séjour dans les Pyrénées, XV, 288. MAISSENS, capitaine, XXI, 240. MAJAU, cordelier de Vic-Fezensac, XIV, 317. — XXV, 164, 166, 258, 259. MAKANAM Etienne maire de Bayonne, XIX, 54, Malabat carrières rie, XXII, 227, 230, 338. MALAC de, XV, 266, 267. MALACAZE, gendarme à. Vic-Fezensac, XXIII, 160. Malarode Grotte de, près d'Arudy, XV, 291. MALARTIC Othon de, XII, 23. — Divers XIV, 106. — XIX, 33, 40, 41. Malartic, XIV, 63. — XVII, 178. Malassis seigneurie de, XVIII, 227. MALAUBERT Marie de, épouse de Batz, XII, 104, MALAUBERT, du St-Puy, XXV, 272, 274, 275, 276, 279, 284, 285, 289. MALAURENS, de Castelnau d'Auzan, XXI, 50. Malaurey, ancienne église, près Manciet, XVII, 63. Malause XIV, 117-119. Mulaussanne, en Chalosse, XV, 13. MALCOT, médecin do Condom, XXIII, 279. MALEMORT de, XIV, 105. MALEPEYRE de, conseiller au sénéchal rie Toulouse, XXIII, 76. MALET Louis de, amiral de France, XIX, 54. MALEVILLE de, notaire à La Romieu, XXII, 20. — XXV, 16. Mal-Gouvert abbaye de, XI, 331. 332. MALHOS, rie l'Isle-Jourdain, XX, 27. MALIAC, marchands, XXIII, 83. Malicorne seigneurie de, XVIII, 23. Malirart, XVII, 25. MALLARMÉ, représentant du peuple, XVII, 296. —XXIII, 41. — XXIV, 118, 171, 254, — XXV, 143. MALLET, XIX, 66. MALLET DU PAN, XXIV, 333. — XXV, 156, 158. MALLIAC de, XVI, 152, 153. — seigneurs de Lartigue, XVII, 209-213. — rivalité entre maison de Malliac et do Bezolles, XVII, 210-213. Malliac château-fort rie, XVII, 209. MALSAMONT de, XVI, 220, 223, 227, 228. — XVII. 233. — XVIII, 133. Malte Chevaliers rie ou ordre de StJean de Jérusalem, XVI, 97. — XVIII, 48, 68. MALVIN DE MONTAZET, XIII, 228. — XVII, 122, 125. MALVY Thomas de, XXV, 33. Mamouliés, XIV, 51. MANAGAN, vicaire d'Eauze, XII, 281, 282. MANAS de, seigneur de ClermontSavès, XXII, 89-94. — XXIII, 195197. — seigneurs rie Durfort, XII, 33. — de Monbardon, XX, 153, 154. — George de, recteur do Gimbrède, XXI, 144-152, 215, 227-229. — Divers XIV, 100. — XVI, 140. — XXI, 163, 165. — XXIII, 231. MANAS, d'Auch, XXIV, 310-311. 121 — Manas. XVI, 288. MANAU Amans de, XIV, 345. MANAUD-DANÉ, de Vic-Fezensac, XV, 57. MANAUTON, bailli en Lomagne, XIV, 117. Manciel. avant l'histoire, XVIII, 236243, 272-273. — château, XVI, 167. — un chirurgien du XVIIe siècle, XIV, 37. — chrisme, XVII, 62. — XVIII, 49. — Divers XI, 37, 42, 278. — XIII, 65. — XIV, 4-5, 180. — XV, 159. — XVI. 112, 178. — XVII, 307, 312. — XVIII, 172, 179, 181. — XXI, 117, 199. — XXII, 297. MANCIPE. de Miélan, XIII, 250. MANHAUT de, seigneur de Cézan, XX, 57. Manheim Emigrés du Gers à, XXII, 69. MANIBAN de, XI, 109, 293. — XII, 103. — XVII. 248. — XXIV, 190. Maniban château de, XI, 76, 110. Manlèche château de, XII, 363. — XIII, 313, 214, 219, 228. — XVIII, 65. MANRIQUE de, XI, 25. Mans la, ou Roquebrune, XIV, 51. MANSARD DE SAGONNE, inspecteur ries monuments historiques, XVI, 62-65. MANSEAU. de Toulouse, XVIII, 67. MANSENCAL de, XXII, 95, 316. MANSENCÔME de, XII, 366. Mansencôme, XV, 81. — XXII, 113, 119. — XXIV, 172. Mansempuy, XIII, 227. — XVIII, 65, 73. — XIX, 66. MANSI Dominique, évêque de Rayonne, XV, 222. mansio ». XIII, 165. — XXV, 60. Mansombat seigneurie de, XVI, 140. Mansonville XII, 87, 88. — XIV, 256. — XXIV, 135, 139, 148. Manville. XXII, 268, 270. MAQUARY, de Vic-Fezensac, XX, 67. MARABAT, gouverneur de Mauvezin, XXII, 267. MARAIS, XI, 142. MARAMBAT Guillaume de, granger rie Vic-Fezensac, XV, 64. — Divers XIII, 216. Marambat, XIV, 43, 44, 51, 63, 107, 108. — XV, 56, 215. — XIX, 38. — XX, 54, 57, 98. — XXI, 40. - MARAT, XXII, 222. — XXIV, 286, 320. — Hymne des Auscitains en son honneur, XXII, 45-4-6. MARAVAT Adhémar de, XV, 297. — gouverneur du Fezensaguet, XII, 295. — XV, 265. — XVT, 132, MARAVAT, greffier de la municipalité et maire rie Vie-Fezensac, XI, 38. — XX. 72. — XXIII, 147, 155. 316-318. — XXIV , 289-290. Maravat, XIV, 353. MARCA Raymond de, XX, 104. MARCADIER, pro-curé de Bezolles, XXIV, 35. MARCASSUS de, consul de Monfort, XVI, 151. — XVII, 223. MARCEILLAN de, XVII, 42. MARCELLIER, de Tombez, XIX, 05. MARCELLUS. autour du De medicamentis, XVII, 76. MARCHANT, dessinateur-graveur, XXIII, 176, 178. MARCHE Mme de la, sage-femme, XIII, 265. — Comte de la, XVI, 173. MARCHÉS Capitaine de, XX, 36. Marchiennes abbaye de, XVII, 268. Marciac, couvent des Augustins, XIV, XIV, 360-362, — XXII, 79. — couvent des Dominicains, XXI, 156. — XXII, 135. — le chapitre, XXIII, 58. — conciles rie 1326 et 1329, XVI, 113114, — passage rie Gaston rie Foix, pillage rie la ville, XVI, 112. — Divers XI, 38. — XV, 228. — XVII, 26. 180. — XVTII, 38. —XXII, 74, 133. — XXIII, 54, 55, 60, 97, 98. — XXIV, 81, 134, 259-200. 279-280, 328. MARCILLY de, XII, 81. MARCOUS de. XIX, 129. MARÉCHAL, de St-Créac, XIV, 133. — 122 — MARES Charles des, XVI, 77. MARESTAING Louis de, baron de Fontrailles, sénéchal d'Armagnac, XVIII, 195. — Michel de, XIV, 203. — Divers XIII, 45. — XVI, 152, 323, 221, — XVII, 44, 95, 111, 209-212. — XX, 26. — XXII, 87, 88, 318. Marestaing moulin de, XVII, 90, 106. MARESTANG Géraud de, XXI, 181. MARET, XI. 263. MARGAR, de Castelsarrasin, XVII, 249. — XXIV, 190. MARGOËT, juge rie paix à Fleurance, XIII, 73, 82. MARGOIT, administrateur du départ, du Gers, XX, 110. Marguuet, XIV, 52. — XVII, 310. — XIX, 62. — XXIII, 52, 248. — XXIV, 312, 328. MARGUERITE D'ANGOULÈME, soeur rie François Ier, XVI, 180. — XVIII, 38, 220. MARGUERITE D'AUTRICHE, XIX, 156. MARGUERITE DE BÉARN, XIV, 296. 300. — XV, 223. MARGUERITE DE FOIX, XV, 201, 203, 319. MARGUERITE DE NAVARRE, XXIV, 356. — XXV, 191. MARGUERITE DE VALOIS, XIV, 40. — XVIII. 132. — XX, 59. — XXI, 143. — XXIII, 309. — XXV, 191, 336. — son voyage dans le Midi, XVIII, 237. — à Encausse, en Comminges, XIV. 150-158, 194-195. — à l'Isle-Jourdain, XIV, 300-309. — à Nérac, XVIII, 228. — à Pibrac, XV, 140. — Etudes rie Ph. Lauzun sur, XXI, 28-33. Marguestau, XIV, 180. — XV, 127. — XVI, 89. — XVII, 312. — XVIII, 84, Marguilliers ou bassiniers anciens droits et obligations des. XVI, 3132. 3132. curé de Sainte-Christie-d'Armagnac, Sainte-Christie-d'Armagnac, XVIII, 38. Mariage une promesse au XVIIIe siècle, XIV, 363. — par procureur, XXI, 166. — de prêtres pendant la Révolution, XXIV, 313-317. — XXV, 172, 183, 209. MARIBON-MONTAUT marquis Louis de, député du Gers à la Convention, XI, 30, 278. — XX, 126. — XXI, 176, 278. — XXIII, 40. — XXV, 223. — son retour d'exil, XXV, 101-106. MARIE-THÉRÈSE D'AUTRICHE, XII, 114. Marignac, XI, 205. MARIGNAN Seissan de, juge-mage rie la sénéchaussée d'Auch, XIV, 358, — XXII, 141, 334. — XXIII, 22, 116. — XXIV, 143. — Divers XX, 108. MARIGNAN, prieur de Dému, XXV, 262. Marignan, XX, 47. — bataille de. en 1515, XVI, 87. MARIN de, XIX, 126, 134, 136, 137. — XX, 67. Marin, XIII, 229. MARIOL, bourgeois de Pavie, XVIII. 101. MARLE de. XVIII, 24. MARLHAN de, seigneurs on Aveyron, XIX, 38. Marmande, inondation de 1770, XI, 146. — Divers XVI, 172. — XVIII, 228, 239. MARMIGNAC de, XXIII, 76. MARMONTEL, XXV, 44. MARON DE MARTIN, XI, 29. MARPOY, XII, 59. MARPOY DE SABAZAN, maire d'Eauze. on 89. XII, 181, 286. MARQUÉ, de Monfort, XVII. 223. — XXII, 299. MARQUET, de Condom, XXV, 319. MARRACON. de Condom, XXV, 318. Marrast, XVII, 185. — XX, 69, 126. — XXI. 253. — XXIII. 273. MARRAULD. de Gondrin, XX, 6, 61. MARRE Jean, évêque de Condom, XIV, 70. — XVI, 181. — XIX, 193. — XXI, 37. — XXIII, 227-229. — XXV, 123 — 68. — administrateur du départ, du Gers, XX, 110. — orfèvre d'Auch, XXII, 40, 204, MARRENX de, seigneurs d'Yors, XI, 294. 295. — XVII 24, 26, 27, 31, 33. — XVIII, 101. MARS Juge en Fezensac, XXI. 201. Marsac, XX, 26. MARSAN de, seigneurs de Danyatte, XVTII, 48. — Colonel de, XII, 147. — de Séridos, XVII, 243, 245. — Divers XII, 139. MARSAN, prêtre d'Eauze. en 89, XII, 177. — de Vic-Fezensac, XXIII, 154, Marsan. XI, 205. — XIV, 289. — XV, 146. — XX, 98. Marsan, en Couserans, XI, 94. — X-VIII, 192, 243. MARSAY de, XXIII, 194, Marseillan, XI, 205. — XVI, 287. — XVII. 32. — XVIII, 100. Marseille. XVI, 160, 162. — XXV. 157. Mursolan grottes et excavations artificielles, en, XIX, 73-75. — chrisme de, XVII, 69, — Divers XX, 136. — XXII, 297. — XXV, 174, 183, 257. Martéret Grange du, XV. 56. — XVII. 178. MARTIGNAC, ministre, XXV, 58. Martimbat, en Caillavet, XIV, 51. MARTIN Mlle, d'Auch, XXIII, 33. — juge oxtraord. à Auch. en 1794. XXII. 73 — XXIV, 79. — d'Auradé, XVI, 29. — XVIII, 134. — curé d'Azimont, XVI, 35. — ex-curé de Cologne. XXII, 45, 47, 48. — Voir STMARTIN. — de, fermier ries eaux et forêts, XXII. 273. — de, de StGennier, XXV 7, 74. — Divers XV, 243. — XVI. 222. — XVII. 237. MARTIN V. pape, XV, 19. MARTINET, carme do Pavie, XVI, 270. MARTINI OU MARTINY de, juge-mage rie l'Isle-Jourdain. XVIII, 130. — XXIII, 76. MARTIMÈRE de la, vénérable de la Loge d'Auch. XI, 268. Martissans, XXI, 137. Martissens, XVII, 178. Murtisserre, XXII, 261. Martorel Espagne, XXIV, 350. — XXV, 55. MARTRES, notaire à Toulouse, XXII, 93. MARTRES, curé d'Auradé, XVI, 34. Martres las, XII, 87. MAS. XIV. 18. — Mathon du, commandeur rie Gimbrède, XXI, 140. Mas, XXV, 66. Mas-d'Agenais le, XVIII, 229. Mas d'Aire, le, XVII, 280. Mus d'Auvignon. le, XIX, 85. Mas-Grenier le, XIV, 345. Mas-Stes-Puelles le, XXIV, 241 Masbieilh église du, XIV, 100. — XXIV, 287. — XXV, 263. MASCARAS de, XVII, 26. MASCAROSE, vicomtesse rie Lomagne, XV, 219-220. MASNAU Amans rie, conseiller au Parlement rie Toulouse, XXIII, 67. MASSAC François de, XXI, 146. MASSARTIC Pey de, XX, 35. MASSAS Jean de, vicaire-général de Jean IV, Cardinal d'Armagnac, XIX, 144, — Bertrand de, XVI, 180. — Catherine de, épouse du Bartas, XI, 157. — de, seigneurs de Castillon-Massas, XIII, 225. — XVIII, 38. 39. — XIX, 33, 40, 41. — XXIII, 279. — XXIV, 23. MASSAS, de Saint-Lary, XXII, 139, 258. MASSÉES. XIV. 334. MASSEIL, de Monfort, XVII, 223. MASSELIN, député aux Etats de Tours, XXIII, 246. MASSÉNA général, XI, 263. — XIII, 259. — XIV, 257. Massencôme, XI, 105, 106-111. — XX, 91, 92. — XXI, 87 147, 150. — XXV, 69. — 124 — Massengues, XXIII, 86. MASSES de, XXIII, 277. Massés lieu dit, le près Gaujan, XIV, 367. MASSEUBE, fondation de cette bastide, XIII, 103. — XX, 96. — émigrés du canton. XVI, 153. — passage de Marguerite de Valois, XIV, 154, — Divers XI, 38. — XV, 75. — XVI, 288. — XVIII, 60, 93. — XXII, 133. — XXIV, 135, 140. MASSEY de, XII, 155. MASSIAS, off. du Bat. ries Volontaires du Gers, an II, XXII, 50. MASSONIÉ, curé de Blanquefort, XVI, 38. Massons, XV, 287. MASTRON, de Vic-Fezensac, XXIII, 153. Mas-Vieux église du, en Vic-Fezensac, voir Masbieilh. Mataro Espagne, XXIV, 350. — XXV, 147. MATET, de Monfort, XVII, 223. MATHE, comtesse d'Armagnac. XIII, 109. — de Bigorre, princesse de Béarn, XVIII, 243. MATHEU Catherine, d'Arcous, XXIV 152. MATHEY, curé de Clermont-Savès, XXIV, 38, 49. MATIGNON Jacques de, évêque rie Condom. XXI, — XXIV, 237338. 237338. Maréchal de, XIV, 151, 156, 335, 338, 354, — XX, 60. — gouverneur gouverneur Guyenne, XVIII, 40, Mau, XVI, 181. — XVII, 310. Maubee, XVI, 100. — XVIII, 101-162, 221. — XXII, 270. — XXIV, 151. Maubourguet, XV, 294, — XVI, 105, 106. — XXIII, 98. — siège de, en 1484, XIX. 43-44. MAUCO, boulanger d'Aubiet, XVIII, 154. — instituteur d'Audi, an VI, XV, 50, 51. MAUDUIT Jean, dit DE LARIVE. acteur, XXV, 39. MAUGRE de, proc. gén. des Prémontrés, XV, 62, MAUHIC de, de Nogaro, guillotiné en 1794, XXII, 74. Mauhic, XVI, 105. MAULÉON Biaise de, capitaine, XIV, 200, 203.— Denis de, seigneur de Savaillan, XIII, 225. — Géraude de, épouse de Caumont, XII, 234. — Jean de, évêque de SaintBertrand de Comminges, XVII, 257. — Jean-Jacques de, seigneur d'Endoufielle, XVI, 24. — Renaud rie. XIII, 209. — Divers XVI, 95. — XVIII, 08. — XXIV, 105. Mauléon-d'Armagnac, XIV, 180. — XV, 127, 219. — XVI, 85. — XVII. 312. — XX, 101. Mauléon, près Leetoure, XX, 138. Mauléon-Soule Basses-Pyrénées, XI, 131. — XIV, 295. — XXV, 74, Maulichères, XVI, 171. — XVII. 310. MAUMUS, praticien de l'Isle-Jourdain, XXII. 324, — XXV, 80. — greffier à l'Isle-Jourdain, XX, 27, 66. — Père, do Mirande, notice bio-bibliographique, XIV, 82-93, 191. — rectification, XIV, 289-290. — de, XVI, 235. Maumus seigneurie de, XXII, 336. Maumussou-Luguian, XI, 69. — découvertes paléolithiques, XIII, 291. — le château, XVI, MAUPAS, curé de Goujon, XVI, 52. — de Touget, XXV, 300. — Othon de, XVI, 171. Maupas, XVI, 180. — XX, 71. MAUPEAU de, évêque de Lombez, XXIII, 144. MAUPEOU de, archevêque. d'Auch, XIV. 115. 137. — XVI, 266. — XXI, 110 — XXV, 92, — chancelier, XIX, 133. MAUPRIN, de l'Isle-Jourdain, XXII, 310. MAURAN, consul de l'Isle-Jourdain. XIV, 207-208. MAUREL, prieur de Saint-Lizier, XV, 214. 126 MAURENS, chirurgien de Launepax, XX 68. — de, seigneurs de Viviers, Viviers, 95. Maurens, XIII, 227. — XIV, 51, 200. — XVIII, 74. Maures invasion des, dans le Midi, XVII, 179-181. MAURICEAU, XIII, 265. Mauriet, XVIII, 182, 183. MAURIN, de Duran, XXI, 162. — colonel, XXIV, 301. MAURON, de Touget, XXV, 301, MAUROSI, boulangers d'Auch, XVI, 92 MAUROUX, d'Auch, XVII, 294. — off. mun, de Fleurance, en. 93, XIII, 69, 70, 75, 82. — de Pavie, XVII, 297. Mauroux, XI, 71. — XII, 86, 87, 125, 127, 138. MAURY, juge extraord. à Auch, en 1794, XXII, 73. — XXIV, 79. MAUSSAC de, conseiller au Parlem. de Toulouse, XXIV, 261. MAUTREYT, de Jegun, XIII, 188. MAUVEZIN Auger de, vic. capit. de S. Bertrand de Comminges, XV, 228. — Manaud de, XV, 291. Mauvezin guerres de religion et protestants de, XII, 293, 295. — XIV, 65, 333, 353. — XXII, 265, 267. — XXIII, 226, 310. — Les Jacobins de, XXIII, 302. — Exécutions en effigie et exécutions capitales à, XXIV, 63, 151. — Période révolutionnaire XI, 38, 41, 42, — XIX, 65, 66. — XXIII, 117. — XXV, 296. — Divers XVI, 130, 132, 138. — XX, 97, 126. — XXIII, 22, 23, 26. Mauvezin château et musée de, XVII, 139-140. — XXV, 130. Mauvezin Landes, XVIII, 174. — XXIV, 125. Mauvezin, en Neibouzan. XXV, 73, 74. MAXIMILIEN D'AUTRICHE, XIX, 51, 52, 55, 151, 153, 155. MAXIMILIEN, roi des Romains, XXIII, 246. Maximum Loi du, XX, 36. MAYENNE, architecte, XXIII, 243. — ducs de, XIV, 345. — XVI, 94, 135, 138, 139. — XXIII, 67. Maymouliès, en Lannepax, XX, 53. — Voir Mamouliès. MAYNE du, seigneurs de Pléhaut, XX, 67, 69. MAYRES Pierre, prêtre, de Riguepeu, XVII, 36, 37. MAYSONADE Isaac de, XXIV, 42. MAZARIN Cardinal, XXI, 249. — XXIII, 235. — son passage à Nogaro, XI, 289. — les mazarinades », XV, 110-111. MAZARS, de Monfort, XV, 267. — XVI, 133, 141. MAZAUCOURT Colonel de, XX, 74. MAZÈRES de, XVII, 185. — XXIII, 233. Mazères, XIII. — XIV, 231. — XXIII, 64. — château de, XIV, 44, — XIX, 51. — XX, 43, 44, 46, 47. — XXIII, 285. — XXV, 196. MAZÉRET, rie Castelnau-sur-Auvignon, XXI, 52, MAZÉRETTES de, XVII, 188. Mazérettes prieuré de, XV, 222, 225, 220. — XXIII, 228. MAZÉRIS-LALANE, prémontré de VicFezensac, XV, 62. MAZEROLLES de, XVII, 189. XXI, 160, 165. Mazin château de, XVIII, 226. Meraux, XVI, 84. — XVIII, 198. — XXIV. 215. Médecine et chirurgie au XVIIIe siècle, XIII, 39-44. — XIV, 99-100, 128132. — XXII, 276. — étrange recette contre la goutte, d'après Ausone, père, XVTI, 76-78. — singulière ordonnance du XVIIIe siècle, XXIV, 292. MÉDIA Pierre de, vic-gén. d'Aire, XV, 228. MÉDICIS Catherine de, XXIV, 294. — - 126 Marie de, XVTII, 70. — duc de, XIV, 123. MÉDINA de, archidiacre d'Almazan, XVIII, 303. MEDO de. XVI, 113. MEDRANO, curé rie Betplan, XXII, 347. MEDRANO-BAULAT Marquis de, seigneur de Mauhic, XII, 82, 83. — XIV, 359. — XVT, 105. — XVII, 41. — XXII, 74. MEFFOC, de Monfort, XVII, 223. MEGRE, administrateur rie Nérac, XIX, 23. MEILHAN, juge à Auch, XI, 204, 273. — représentant du peuple aux armées, XIII, 256. — consul de Jegun, XIV, 218. — de Mirannes, XIII, 276, 279. — notaire à Samazan, XXI, 242. — notaire à Vic-Fezensac, XXIV, 285, 290. — Joseph, de Vic-Fezensac, le 1er Cent-gardes, XVIII, 169. Meilhan, près Ordan, XI, 38. — XIII, 104. — XIV, 51, 218 — XXI, 161, 162, — XXII, 31, 41. — XXIII, 227. MELERGUES, de St-Thomas Hte-Gar., XXII, 271. MELET de, conseiller au Parlem. de Toulouse, XXII, 273. — XXIV, 196, 261. — seigneur rie Fondelin, près Condom, XVII, 249. MELET DE BONAS marquis de, XIX, 125, 129, 137. MIÉLIGNAN de, XI, 53. — XX, 70. MELLET de, XI, 297. — XVI, 133. — XXIII, 297. MELLIS de, curé de Fleurance, XII, 201. — proc. du Roi à Fleurance, XX, 45, 51. MELUN Charles de, gouverneur do Paris, XVI, 76, 77. Melun, XVI, 93. MENA Alonso de, peintre espagnol, XXV, 43. Mena, lieu dit, près Lasseran, XIV, 71. Mende, XIII, 15. MENDOUSSE, archip. de Gondrin, XXII, 300. Meneaux Lot-et-Gar., XXV, 193. MENGAUD de, XXIII, MENIER, granger rie Vic, XV, 64. MENJOT-RIVIÈRE, consul d'Auch, XIV, 324, Menjoulet, près Pavie, XVII, 178. MENOU baron de, XIX, 95. MENOU DE MÉE Colonel de, XII, 240, 249. mensa ponderaria » découverte à Valence-sur-Baïse, XII, 165. MENVIELLE ou MINVIELLE de. XIX, 43, 45, MENVILLE, de Touget, XXV, 299. MERCADÉ, huissier à Lectoure, XXIII, 83. MERCADIER, praticien à Toulouse, XXIV, 202. — vicaire de Bezolles, XXIV, 127. MERCIER, journaliste girondin, XXV, 159, 222. — syndic d'Eauze, XII, 174. — notaire à Jegun, XIII, 93. — XXI, 167. MERCIER Jean de, seigneur de Balarin, Balarin, 111, 246-247. — XVII, 27, 209 — XIX, 41. MÉRENS de. XIII, 213, 215. Mérens, XI, 309. — XVII, 244. MÉRIC, XXIV, 329. MÉRICAN, consul de Monfort, XV, 264. MÉRICOURT Théroïgne de, XXIII, 151. MÉRIGNON, de Condom, XXIII, 291. — chapelain à Vic-Fezonsac, Vic-Fezonsac, 260. — XXV, 260. MÉRIGON, de Castillon, XV, 117, 118, 121, 203. Mérinvielle, XXII, 271. MÉRITEIN de, XVI, 237. MÉRITENS de, XVII, 125. — XXI, 167. MERLE, médecin de Cologne, XXII, 193. — de Clermont-Savès, XXIII, 82. — XXIV, 4-5, 47. MERLE, charpentier de Vic-Fezensac, XIV, 242. — 127 — MERLIEU , de Vic-Fezensac, XXIII, 153. Merlieu, XIV, 105. MERLIN, XI, 263. Merville seigneurie de, XXII, 101, 140, 363, MÉRY DE COUÉ, XVIII, 25. MESCHINEAU, chapelain de Charles de Franco, XVTII, 28. MESME de, seigneur rie Malassis, XVIII, 227. MESMES DE CHANTELOUP de, XXIII, 190, 192. MESPLÈS. de Biran, XIV, 174, — de Blaziert, XXV, 183. — de Mirannes, XIII, 276. Messe rie St-Grégoire » la, motif iconographique, XIX, 59-00. MESSÉGUÉ, de Brugnens, guillotiné en 1798, XXIV. 136. MESTÉ, de St-Lary, XXII, 353. Mesures anciennes mesures agraires, arpent, concarde, escat, journal ou cazal, las peyrolos, la place, le padouen, la canne, le bouchot, la lieue gauloise, etc.. XI, 318-319. — XIII, 165, 177, 186, 288. — XIV, 108, 359. — XV, 43. — XVI, 110. — XVTII, 141. — XX, 105. — mesures linéaires, la ligne, le pouce, le pan ou empan, le pied, la toise, etc.. XVIII, 77, 141 — XXIII, 18, 242. — XXIV, 263, — mesures de capacité, le boisseau, la barrique, le coquar, le cestier ou setier ancien, le quarteau. le pipot, pinte ou pipe ou barrau, l'uchau, etc.. XVII, 40, 202203. 339. — XVIII, 35, 141. — XXIII, 60, 114, 342, 270. — XXIV, 18, 84. — Réclamation des Cahiers rie 89, pour l'uniformité du système métrique, XVI, 260. Métayage acte de, au XVIIe siècle, XIV. 52-55. METGÉ abbé ou P. PAULIN, de Nogaro, capucin, curé de Ste-Christie d'Armagnac, XVIII, 177, 185. MÉTITA de, XVIII, 211. Metz, XVII, 98. — XIX, 146. - XXV, 292. Meulan. XVIII, 225. Meules de moulin, découvertes à Courrensan, XIX, 08. Meymes, XIV, 51, 230. — XVI, 112, 181. — XIX, 62. MEYNIEL, avocat de Condom, député aux Etats de 89, XV, 74, Meyrals, XXI, 110. Mézin, XI, 113. — XVI, 127. — XVIII, 231. — XIX, 33, 34, 35. — XX, 70, — XXII, 67, 69, 298. — XXIII, 236, 277. MlAU, de Cologne, XXII, 193. MIBIELLE de, XIX, 186. MICAS, capitaine de gendarmerie, XI, 39. MICHEL L'HOSPITAL, XIV, 198. — XXIV, 294. MICHELET, XV, 232. MICHONIS, chef rie la police de Paris, en 1793, XXII, 167. MIEAU-CROUZILHAC de, XXIII, 192. MIÈGEVILLE de, sous-préfet de Lectoure, XXV, 282, Miélan, étymologie, grottes et excavations artificielles, XIX, 80. — période révolutionnaire, XI, 41, 42. — XXIII, 106. — Divers XI, 278. — XIII, 250. — XIV, 349. — XXII, 267. MIEUSSENS Navarre de, évêque de Dax, XV, 218. MIEUSSENS. administ, du départ, du Gers, XXIII, 40, 157. — XXIV, 51, 54-56. — vicaire à Cieutat, XII, 282. — de Vic-Fezensac, XI, 41. — XXIV, 289. — XXV, 182. MIGNONAC de, XXIII, 76. MILA, voltigeur à. la. bataille d'Iéna, XVI, 71-73. Milhade, en Préneron, XIV, 51. MILHAS, de Miélan, XXII, 267. Milhau seigneurie de, XIII, 213. MILLANGES. imprimeur bordelais, XI, 161-162, 172-173. Millau, XIV, 260. 128 MILLIERE Taurin de, vic. gén. de Lombez, XIV, 137. MILLOT, historien, XXV, 140. MILLY comte de, XI, 29. MILON, évêque rie Condom, XII, 128. — XXIII, 297. — Benoît, trésorier de guerre, XVII, 99. Mimort, XVII, 310. — XX, 58. Minden combat de, XV, 167, 168. — XVII, 112. — XX, 72. MINERVIUS, XVI, 193. Minturnes, XII, 166. MIOSSENS Bertrand de, XIII, 210. — Gailhard de, XV, 14, — Divers XVIII, 19. — XIX, 158. — XXI, 160. MIRABEAU Marquis de, seigneur de Roquelaure, XXII, 241-242. — procès avec le Marquis de Monlezun-SaintLary, XII, 77, 80. — Divers XII, 132. — XIV, 26, 263, 325, 326, 329. — XVI, 73. — XVII, 14. — XIX, 95. — XXI, 184, — XXIV, 223. — XXV, 157. Miradoux A propos d'un sanctuaire, près de, XX, 132-139. — siège de, en 1651, XXIII, 94. — Divers XII, 87, 329. — XXV, 65. MIRAMONT Pierre de, XV, 14. Mirantont-Latour, près Fleurance Couvent de ries Anges à, XVI, 396-298. - XVII, 156. — XXI, 97. — sépulture des de Lary, dans l'église de, XVIII, 71-72. — Divers XV, 193. — XXI, 159, 200, 201. Miramont-Mirande, XIII, 111. — XVI, 287. — XVIII, 93. — XXIII, 243. Miramont-en-Tursan, XIV, 302, 303. — XV, 18. MIRAN Marquis de, XI, 238. — XII, 139. — XVII, 105, 110. — XXIII, 312. Mirande, fondation de cette bastide, XIII, 104, — XX, 96. — chef-lieu du Comté d'Astarac, XVII, 180. — XVIII, 82. — séjour du duc d'Anjou en 1372, XVIII, 91-92. — élevage du ver à soie, XV, 66, 67. — foires, XVII, 202. — une curiosité du Musée, Musée, 38. — religieuses de SteClaire, XIV, 347. — loge maçonnique, XI, 35, 41. — établissement d'un bataillon en 1795, XII, 269. — fêle de la Vieillesse, XVII, 160, 218219. — exécutions capitales, XXIV, 72, 133, 134, 152, — Période révolutionnaire XI, 37. — XIX, 66. — XXII, 34, 35, 36, 55. — XXIII, 166. — XXIV, 133-135, 322. — Divers XI, 278. — XII, 266, 267, 269. — XIII, 287. — XIV, 15. — XVI, 287, 288. — XVII, 197, 200, 246. — XVIII, 38, 91, 92, 99, 103, 107, 110. — XIX, 130. — XXIII, 236, 300. — XXV, 66. mirande », XIV, 170. Mirannes, XIII, 272-281. — XIV, 106. — XXIII, 285. MIRAUMONT, XVIII, 14. Mirepoix, XI, 37. — XIV, 26. — XXI, 238, 255. MIRO, lieut. espagnol, XXV, 54. MIROMESNIL de, XIII, 268. — XXIII, 265. Mission au XVIIIe siècle, dans le diocèse de Lombez, XII, 288. MISSON, officier à Auch, XII, 251. Mobilier d'église au XVIIe siècle, d'après inventaire, XVI, 30-31. — Pour mobiliers divers, voir Inventaires. Mode contribution à l'histoire de la. XIX, 128, 131, 141. MOGÈS abbé de, rie Vic-Fezensac, XIV, 323. MOHIC de, maire de Touget, XXIII, 128, 129, 130, 133. 136, 302, 303, 305, 311. — XXIV, 80, 88, 89, 92, 93, 175, 183, 189, 249-252, 254, 300. — XXV, 297, 301, 302, 305-313. Moiran, XXIV, 329. Moirax, Lot-et-Garonne, XXIII, 219. Moissac, XI, 61. — XIV, 310. — XVI, 98. — XVII, 249. — XXIII, 193. — XXIV, 196. — XXV, 19-20. — abbaye, XII, 45. — Etats de 1576, XIV, 204. MOLAR de, XVII, 249. — XXIV, 196. MOLAS, off. mun. d'Auch, en 92, XI, — 129 — 37. - XII, 246. — XVI, 273. — de Cologne, XXII, 193-195. MOLAS de, évêque de Lescar, XV, 222. Molas, près l'Isle-en-Dodon, XVI, 291. — ancienne église en Condomois, XXV, 119. MOLÈRE, vicaire à Auch, XIV, 115. — off. mun. de Fleurance, eu 93, XIII, 69, 70, 75. — de Vic-Fezensac, XV, 57. — XVII, 22. — XX, 97. MOLES Arnaud de, XVII, 254. MOLETE de la, XXII, 130-130. — Voir LA MOLETTE. MOLIÉ, de Bezolles, XXIV, 23. — de Fleurance, consul en 1400, XIX, 119, 122. — de Monbert, XXIII, 292. MOLIÈRE, XV, 230, 239, 240. MOLINÉ, de Touget, XXIV, 84, 178, 180, 245, 253. — XXV, 137, 300. MOLINIER de, XVI. 181. — ministre protestant rie l'Isle-Jourdain, XX, 29, 30. MOLINS de, XVI, 267. MOLLARD, off. mun. d'Auch, en 91, XI, 37. — XXII, 39 MOLLÈRE, d'Auch, XXIII, 86. MOLLIÈRES, consul d'Auch, XVI, 92. — greffier du Tribunal civil d'Auch, XI, 39. — XX, 42, 44, 47, 50. — marchand d'Auch, XXIII, 262. MOLLIES, notaire à Gondrin, XX, 63. — XXI, 254, MOLRIC, XX, 110. MOMBRIN, président de la Soc. Mont, de Lectoure, XI, 40. — de Bajonette, guillotiné en 1798, XXIV, 136. — Mme de, Ursuline d'Auch, XIX, 88, 89. — de, XIV, 203. — XXII, 269. Mombert. XVI, 181. — XX, 140. — XXI, 154, 238. — XXIII, 285, 292. MONAMI, vicaire d'Azimont, XVI, 35. MONASTÈRE Michel de, consul de Nogaro, XVI, 181. Monbardon, XI, 111. Monbazon, XVI, 172. MONBETON de, gouverneur de l'île de Capbreton, XVIII, 44, Monblanc seigneurie de, XXII, 133. MONCADE de, XVT, 114, — sous-préfet de Condom, XXV, 104, 279. MONCASSIN, de Mirande, XXIV, 72. Moncassin, XIII, 227, 228. — XVI, 288. — XVII, 180. — XX, 56. MONCAU, XIV, 175, 179, 225. MONCAUP de, XI, 75-70. Moncaup seigneurie de, XVI, 237. MONCET, XIV, 119. MONCEY général, XIII, 254, 255. — XXIII, 158. Monda, XVII, 25, 31. MONCLAR de, XVII, 125. — XX, 52, 56. — Jean de, chanoine de VicFezensac, XX, 55. Monclar-d' Armagnac, XIV, 180. — XV, 127. — XVI, 89. Monclar-Mirande, XVIII, 84. Monclar, on Querey, XVIII, 235. Moncontour bataille de, XVIII, 225, 227. Moncrabeau, XXII, 298. MONDA de, XVI, 99-101. MONDAN, XVI, 273. MONDANELLY, praticien à Condom, XXIII, 277. Mondebat, XXIII, 97, 98. MONDENARD de, XVI, 237. — XX, 92, 94. MONDIN, de Condom, XXV, 319. — consul de Mouchan, XXII, 301, 302. MONDON, notaire, XIX, 65. Mondonville, XXII, 262. MONDOT DE LANSAC, XVI, 294, MONÉDÉ, euro de Saint-Lary, XXII, 348. Monein, XIV, 295. MONEINS de, XVII, 111. MONESTIER, conventionnel, XII, 261. — XIII, 76, 145-146. — XXII, 73, 278. — XXIV, 320-321. MONET de, XVI, 102, 105-107. Monferran-Savès, XVI, 224, 287, 288. — XVII, 100. — XVIII, 135, 130, 108. 9 130 — — XX, 110. — XXII, 87, 89. — XXIII, 73, 81, 117. — XXIV, 46, 138, 140. — XXV, 78. MONFERRAT de, XVI, 78. Monflanquin Lot-et-Garonne, XXIII, 217. Monfort-du-Gers, origine, XIX, 76. — notice générale, XI, 152, — siège de 1581, XV, 264. — affaires de sorcellerie, XXII, 399. — XXIV, 63. — consuls, XIV, 175, 220. — XV, 264. — XVT, 132-141. — Période révolutionnaire la grande peur de 1789, XV, 79-81. — assemblée primaire de 1792, XI, 41. — délibération rie la garde nationale, XVII, 160, 330-225. — fête de. la souveraineté du peuple, XV, 185. — XXI, 184-186. — Divers XIV, 333. — XV, 202-264. — XVI, 131-140. — XVIII, 222, — XX, 126. — XXII, 297. — XXIII, 117. — XXIV, 136. Monfort seigneurie de, en Béarn, XVII. 131. Mongardin, XVI, 288. Mangausi, XVI, 288. MONGE de, XX, 69. MONGES, prêtre de Vic, XIV, 255. MONGIES de, avocat au Parlement de Toulouse, XXIII, 72. MONGOMMÉRY, XI, 116, 198-199. — XIII, 178. — XIV, 103, 199, 302, 203, 239, 315, 360. — XV, 64, 282. — XVI, 284. — XIX, 27. — XXI, 119, 168, 169, 237, 238. — XXII, 57, 182. — XXIV, 100, 197. — XXV, 16, 121. Monguilhem, XVI, 127. — XVIII, 27. — XXII, 297. — XXIV, 140. Monheurt, XVIII, 339. MONICHART, de Risele, XXI, 130. MONIÉ, chanoine de Tarbes, chapelain d'Eauze, XII, 176. MONIER, de Terraube, XIX, 66. MONJAU-LAVERGNE, prêtre, de Saintes, XVI, 107. MONLAUR ele, XIV, .350. — maire d'Auch, XII, 257. — XVI. 06. Montaur, XVI, 288. — XXIII, 234, — château de, XVII, 179. MONLÉON de, XVIII, 54. Monléon, XX, 101. MONLEZUN Antoine rie, gouverneur d'Annagnac, XVI, 181, 183. — Charles de, seigneur d'Empelle, XII, 363, 365. — Géraud de, évêque de Lecloure. XII, 338, 339. — XV, 332. Guilllaume de, notaire rie Trie, XXI, 165. — Jean de, chanoine d'Auch, XII, 32. — Jean de, sénéchal l'Armagnac, seigneur du Baramau, sa lutte avec La Tour, XIII, 210-230. — Divers XI, 53. — XII, 87. — XIII. 210, 211, 214, 228, 233. — XVI 159. — XVIII. 105, 118. — XX. 59. — XXII, 94. — XXIII, 273. MONLEZUN, historien de la Gascogne, XIII, 112. — XIV, 104, 239. — XV, 23. — Voir Erreurs. MONLEZUN-BARATNAU de, XI, 291. — origine rie cette maison, XX, 149. MONLEZUN-BESMAUX de, XXI, 249. — XXIII, 232-238. — Charles de, abbé de Saramon, XVI, 269. MONLEZUN-CAMPAGNE de, XX, 149. — XXI, 156, 158, 242. — XXII, 136, 141. MONLEZUN DE LAS de, XVII, 23-24. MONLEZUN-LUPIAC de, XIII, 227. MONLEZUN-MAGENSAN de, XIII, 230. MONLEZUN-MEILHAN de, XI, 310. MONLEZIN-PARDIAC de, XVII, 241, 244, 245. — XX, 145. — XXII, 340. MONLEZUN-ST-GO de, XVI, 181. MONLEZUN-ST-LARY de, leur blason, XX, 152-155. — procès avec Mirabeau, XII, 77-80. — abbé Henry de, XXII, 144-140, 225-220 — Divers XI, 309-310. — XIV, 332, — XX, 147, 148-155. — XXI, 153-169, 237-252. — XXII, 129-146, 334-335. Monlezun, XVII, 310. — XXI, 247. — XXIII, 60. — château, près Marciac. XIII, 19, 294. — XIV. 250. — comté, XVIII, 10. — 131 — MONLIBOS, XIV, 74. MONLONG, notaire de Bezolles, XXIV, 24, MONLUC Blaise de, XI, 115-116. — date et lieu de sa naissance et de sa mort, XX, 87-94. — XXI, 74-75. — devant Lectoure, XI, 197-198. — à. l'Isle-Jourdain, XIV, 189, 199, 201203. — ses capitaines, XXIV, 25. — Edition critique des Commentaires par Paul Courteault, XV, 81-85. — Biaise de Monluc devant l'histoire et devant la légende », par Paul Courteault, XXIII, 211-212. — Biaise de Monluc », par M. le comte rie Broqua, XXV, 326. — François de, père de Blaise, XX, 92. — Jean de, évêque de Condom, XXI, 96-97. — XXII, 57. — — Jean de, évêque de Valence, XXIV, 295. — Joachim de, XXI, 144-149, 150. 151, 215. — Divers XI, 67, 295. — XIII, 208, 224, 225, 226, 230, 284-287. — XIV, 266, 268. — XVII, 29, 30, 243 — XVIII, 39. — XIX, 185-186. — XX, 70. — XXI, 148, 149, 168-109, 237. — XXII, 118. — XXV, 75, 191. MONMART de. XXII, 119. MONMÉJEAN. curé de Clermort-Savès, XXIV, 49. Monnaies anciennes et leur valeur l'ardit, XVII, 37. — baque ou baquette, XVII, 38. — le denier, XV. 216. — le ducat, XVII, 37. — l'écu, XVIII, 35. — le Jacques, XVII, 26. — XIX, 123. — la livre, XVIII, 88. — XXI, 128. — la pite, XVII, 38. — le sol morlas, sol parisis ou tournois, sol feston, XV, 148. — XVII, 37, 203. — l'obole, XVII, 38. — le sou d'argent, XV, 216. — le soleil ou soureilhé, XVII, 37. — le tournois et double tournois, XVII, 38. — la velte, XX, 39. — Divers XIX, 123. — XXIII, 190. — Découvertes de monnaies romaines à Castéra-Lectourois, Castéra-Lectourois, 289. — XVII, 157. — au vieux-Castéra, XIX, 184, — monnaies gallo-romaines, XI, 335. MONS Pierre de, abbé de la CaseDieu, CaseDieu, 378. XV, — XVI, 175. — Raymond de, consul de VicFezensac, XX, 103. — Divers XIII, 206, 209, 238, 284, — XVIII, 55. Mons, en Condomois, XVII, 110. — XX, 66. — XXIII, 298. — XXV, 321. Mons, en Flandre, XXIII, 221, 224, Monsannès, XVI, 288. MONSÉGUR, de Mirande, XIX, 66. — Bernard de, prieur de Berdoues, XVIII, 101. Monségur, XV, 84, — XVI, 270. Monsempron, XXIII, 208, 212, 213. — XXV, 26. MONSEREAU de, comte d'Astarac, XVIII, 98. Monserrat abbaye de, en Espagne, XXIV, 335, 350-354. — XXV, 56. MONT de, XVI, 181. — XVII, 208. — XVIII, 53. — XX, 52-54. Mont Basses-Pyrénées, XVII, 67. Mont-d'Astarac, XI, 41. Mantagnac, XVIII, 229. — XXII, 265, 312, 313. — XXIV, 250. Montagnan, XIV, 95. — XV, 75, 77. MONTAGU de, XVI, 113. — prêtre, de Riguepeu, XVII, 30, 37. MONTAGU D'O de, noble famille do Normandie, XIX, 125, 129. MONTAGUT Jean de, abbé de la CaseDieu, XVI, 243. — Joachim de, grand prieur de l'Ordre de Malte, à. Toulouse, XVIII, 73, — Divers XI, 199. — XX, 140. — XXII, 99, 120. MONTAIGNAC, XXII, 147. — de, ou MONTANACQ, XXV, 75. Montaignac, XIII, 213. — XXIII, 70, 71. MONTAIGNE, de Nogaro, XVI, 244, MONTAIGNE Michel de, XI, 162. MONTAIGU Bernard de, abbé de Fage, XV, 222 , 225. — évêque de Cou- — 132 serans, XV, 225. — Divers XXI, 139. — XXII, 88, 89. MONTAL de, XVII, 98. MONTALÈRE, de Condom, XXI, 236. MONTALERE, de Condom, XVI, 236. MONTALIVET Comte de, XIX, 147. MONTALS de, XXV, 90. MONTANT, procureur à Lectoure, XXIII, 85. MONTANÈRE Vital de, prêtre rie VicFezensac, VicFezensac, 112, MONTANGIER, XVI, 132, Montargis, XVIII, 198. — XIX, 44. Montas château de, XXIII, 327. Montastruc, XIII, 2-13. — XVI, 229. — XVII, 25, 26, 35. — XXII, 116. MONTAUBAN Philippe de, chancelier, XIX, 153, 154. Montauban, siège de 1621, XVII, 104. — XVTII, 71. — XXI, 59. — siège de 1628, XIV, 171. — Divers XII, 121, 135. — XIV, 139, 184, 260. — XV, 198. — XVI, 236 — XVII, 101. — XX, 65, 66, 67, 72, — XXI, 108, 183, 216. — XXII, 99, 231, 266, 316. — XXIII, 73, 102, 182, 220. — XXIV, 142, 259. — XXV, 52. MONTAUBRIC, de Nogaro, XVIII, 49, 50. MONTAUDRI Guillaume de, XV, 218. MONTAULT ele, XII, 179, 222, — XVII, 232. — XIX, 39. MONTAUT Auger de, prieur, XV, 222, 225, 228. — Guillaume Ier de, arch. d'Auch, XXV, 119. — Raymond de, chanoine, XVIII, 133. — Divers XII, 23, 24, 365. — XIII, 212. — XVI, 216, 227. — XVII, 23. — XVIII, 53, 55, 58, 130, 131, 133, 185, 186. — XX, 144, 146. — XXII, 312, 313. MONTAUT, institutrice d'Auch, an VI, XV, 50, 51. — de l'Isle-de-Noé, XI, 41. — XVI, 239. — de Valence-surBaïse, XXIV, 134, 327. — chasseur de loups, XVI, 148. — Divers XXIV, 108. Montant, près Auch, XII, 377. — XVII, 180. — XX, 98. — XXI, 163, 181. — XXIV, 325. — XXV, 272, 275. Montant, prè Mirande, XIV, 347. — XV, 07. — XVI, 287. Montaut, comté d'Ast, XV, 263. Montaut Lot-et-Garonne, XXI. 136, 141. Montaut, fief rie Bouit, XVIII, 53. Montaut château de, près Montréal, XXV, 106. MONTAUT-BÈNAC de, XXV, 73. MONTAZET de Malvin de, XVI, 159. MONTBARDON de, seigneur de Durfort, XXI, 163. Montbartier seigneurie de. XXII, 192, — XXIII, 75, 182, 183, 184. MONTBERAULT de, XVIII, 68. Montbernard bois de, XVI, 207. Montbernat, XVII. 187. Montblanc, XIV, 184. MONTBRISON de, XII. 90. Montbrison château de, XV, 299. Montbrun seigneurie de, diocèse de Lombez, XX, 53-55. — XXIV, 151. MONTCHAL de, archev. de Toulouse, XXIV, 40, 44. MONTCLAR Bertrand de, consul de Vic-Fezensac, XXII, 250. Montdidier, XVI, 81. Montech, XVI, 135. — XXIII, 182. MONTECUCULLI, XIX, 135. MONTÉGUT de, XIV, 215. — XVI, 39. — XX, 29. — XXI, 155. — XXII, 324. — XXV, 76. Montégut, XII, 125, 126. — XIV, 260. — XVI, 160. — XVII, 93, 178. — XXI, 247, 271. — XXII, 258, 262. — XXIV, 196. Montégut-Savès baronnie de, XIV, 184, MONTEILS de, XVI, 114. — XXIII, 76. Monteils seigneurie de, près Caus sade, XXII, 92 MONTELO de, XII, 309. MONTENDRE de, XIV, 320. Montendre, XI, 114. 133 MONTÉSA de, XXII, 93. MONTESPAN de, conseiller d'Etat, XXII, 310. — Marquis de, XII, 226. MONTESQUIEU, XIV, 166-167, 261. MONTESQUIOU Bernard de, évêque de Tarbes, XV, 213, 214, — Imbert de, seigneur de Gélas, XVI, 237. — Pierre de, granger de Vic-Fezensac, XV, 64. — abbé de, XI, 39. — officier du bataillon des Volontaires du Gers, an II, XXII, 50. — Divers XII, 85, 107, 365. — XIV, 215. — XV, 167. — XVII, 16, 22, 23, 24, 25, 29, 30, 34, 35, 44, 45, 95, — XVIII, 39, 49. — XX, 126, 144, 146. — XXI, 162, 163, 165. MONTESQUIOU-FEZENSAC de, XI, 327328. 327328. XIV, 289. — XV, 188. MONTESQUIOU-POUYLEBON de, XXI, 241, 242. — XXII, 134, MONTESQUIOU-PREYSSAC de, XI, 69. Montesquiou, XIII, 273. — XIV, 14, 15, 250. — XVII, 239-247. — XIX, 145. — XX, 98. — XXI, 141. — XXIII, 97, 241. Montestruc, consul XIV, 218. — sermon d'un curé de l'an VII, XVIII, 253-254, — Divers XI, 77, 210, 227, 230, 232. — XVI, 181, 183. — XX, 145. — XXIII, 53, 238. MONTFAUCON Auger de, évêque rie Couserans, XV, 221. — Guillaume de, XVIII. 210. MONTFERRAND de, XV, 124. — XVI, 85, 88. — XIX, 54. Montferrand, XV, 16. MONTFERRANT Henriette de, prieure du Paravis, XXV, 192. MONTFORT Claude de, XIX, 151. — Bernard de, XVI, 291. Montfort, en Bretagne, XIX, 154. MONTGAILLARD de, marquis de la Valette, XII, 241, 302-306. — Madame de, Ursuline d'Auch, XIX, 88, 89. Montgaillard, XIII, 228. — XIV, 294, 295. — XVI. 232. — XVII, 25, 33, — XXIII, 78. Montglat, XV, 203. Montigny, près Dieppe, XXV, 276. MONTIJO comtesse de, XXI, 103. MONTILLET de, archevêque d'Auch, XII, 202. — XVII, 292. — XX, 42-51, 80. — XXII, 162. — XXIII, 29, 33, 5861, 226. Montilo-lès-Tours, XVI, 83. — XVIII, 24, 31, 201. — XIX, 156. Montiron, XXIV, 135. MONTJOSIEU de, XXII, 95. MOJNTJOYE, XIX, 107. Montlhéry, XVI, 77. — XVII, 136. MONT-LOUIS Auger de, abbé de Berdoues XVII, 186, 188. Montlouis, XVII, 109, 111. Montluçon, XVI, 75. Mont-de Marsan, sa fondation, XV, 213. — Charles VII à, XVI, 171. — prise de par Monluc, XX, 70. — XXI, 237. — siège de 1569, XXII, 118. déportation de l'évêque constitutionnel Barthe, à, XXIV, 320. — XXV, 167, 226. —, Divers XV, 203. — XVI, 93, 230. — XVIII, 21. — XXI, 237. Montmirail, XVI, 185. MONTMORENCY Connétable de, XV, 270. — XVII, 97. — XVIII, 99. - XIX, 147. — XXII, 310. — XXIV, 278. Montoussé, XVI, 26, 214, 226, 227. — XVII, 95, 235. — XVIII, 124, 125, 131, 134, Montpay, XII, 23. Montpellier, XII, 249. — XIV, 137, 342, — XVI, 162. — XVII, 104, — XVIII, 72. —XXI, 137. — XXII, 248, 267, 268, 270, 272. — XXIII, 189. — XXIV, 148, 294, Montpellier bois de, en Riguepeu, XVII, 16, 20, 25. MONTPENSIER Cardinal de, XIV, 206. — duc de, XIV, 152. — Divers XVI, 81. MONTPEYROUX de, XXI, 155. MONTPEZAT de, XVII, 97, — Ama- — 134 — nieu rie, seigneur de Lagraulet, XIX, 34, Montravel seigneurie de, XX, 127. Montréal, fondation, XI, 46-50. — époque gallo-romaine, XI, 43-45. — histoire rie, jusqu'au XVe siècle, par l'abbé Breuils, XI, 43-55, 243257. — consuls et jurats, XI, 52. — XVII, 209. — érection d'un chapitre collégial, XXIII, 229. — chanoines, XXV, 185. — liste des premiers établissements religieux et rie leurs desservants, XI, 54-55. — confrérie de St-Nicolas, XV, 154, — Période révolutionnaire assemblée primaire de 1792, XI, 41. — un épisode révolutionnaire à, XXI, 287-288 — XXII, 64-70. — Société Républicaine de, XXI, 52-53. — une exécution capitale à, XXIV, .155. — Divers XI, 104. — XII, 66, 67, 207. — XVI. 127. — XVII. 307. — XVIII, 70, 231, 259. — XIX, 25, 34, 35, 41. — XX, 35, 30, 09, 106, 125, 120. — XXI, 118. — XXII, 174, 175, 297, 304. — XXV, 65, 104, 106. Montredon, près Narbonne, XXIV, 168. — XXV, 224. Montréjeau, XV, 288. - XXIII, 117. Montteuil-sur-Mer, XIV, 353. MONTROUANT de, capitaine, XII. 344. Montsaunès. XI, 317. MONTSOLIER de, XII, 298. MONTSOREAU Colette de Chambes rie, XVIII, 23, 25, 29. MONTVALERE de, XXII, 327. MORABET, maître-maçon à Lauraët, XIX, 27. MORAN de. XVI, 101. MOREAU général, XIII, 250, 258, 260. MOREAU, bibliographe, XV, 109. MORET, consul à, Fleurance, en 1400, XIX, 119, 122. — Guillaume, notaire à Mirande, XVII, 197. Moret, près Condom, XXI, 137. Morimond abbaye de, XVII, 183, 208. MORIN Simon, XV, 111, 112, 116, MÛRISSE Guilhem de, consul d'Auradé, XVI, 29. MORLANE, commissaire au sénéchal d'Armagnac, XX, 01. — de Vic-Fezensac, XIX, 40. Marinas, XVI, 231, 232, 234, MORLAN, d'Auch, XXIV, 313. — de Condom, XXV, 318. Marlanne seigneurie de, XVIII, 18, 19. Marias, XV, 100, 214, — XVI, 114, 122. MORLHON Antoine de, proc. au Parl, de Toulouse, XVI, 78. — Marguerite de, épouse rie Luppé, XV, 298 Marmès, XI, 76. — XV, 150. — XVI, 181. — XXIV, 101. Mort opinions diverses sur la peeine de, XIII, 37. Martagne, XIX, 55. MORTIER maréchal, XI, 263. Mosaïques découvertes dans le Gers, voir découvertes. MOSNIER Anne de, son mariage avec le due d'Epernon, XII, 230, 298-299. Mossu Aude, XXII, 103. MOTE Guillaume de, évêque de Bazas, Bazas, 225. MOTHE, architecte, XIV, 241. MOTHES, de Beaueaire, XXIV, 32. — de Condom, XXI, 231. — de Valencesur-Baïse, XXIV, 170. MOTIER, prédicateur à Condom, XXI, 235. MOUCH, rie Marciac, guillotiné à Auch en 1794. XXII, 74. — XXIV, 82. Mouchan souterrains dans, XIX, 172. — Etude historique et architecturale de l'église de, XI, 56-66, 126. — XIV, 310. — prieuré de, XV, 152. — curé, constitutionnel de, XXIV, 166-167. — affaire de sorcellerie à, XXII, 296, 301-304, — Divers XVI, 229. — XIX, 85. — XXII, 117, 121. — XXIII, 62, 63. — XXV, 260. MOUCHET, guillotiné en 1810. XXIV, 151, 115 MOUDENX, magistrat royal eu Fezensac, XIV, 217. — XX, 67. MOULAIR, de Cologne, XI, 38. MOULAS Mancipe de, abbé de Saramou, XV, 225, 228. MOULIN du, XIX, 57. — XX, 64, 68. MOULINIER, de Toulouse, XXIV, 189. MOULINS François de, XV, 117, 118. Moulins, XVI, 75. — XXV, 225. Moulins Ille-et-Vilaine, traité rie. 1491, XIX, 155. Moulins droits seigneuriaux sur les, XXII, 343. MOULUS, curé d'Auradé, XVI, 34. MOUNESTIÈS, XXII, 146. Mourède. XIV, 51, 107. — XV, 56. — XIX, 38. — XX, 58, 65, 68, 69, 70. — XXI, 159, 270. — XXIV, 29, 125, 132, — XXV, 133, 261. MOURRÉJEAU, d'Auch, XII, 257. MOUSQUÈRES, d'Auch, XI, 273. MOUSSARON, de Saint-Clar, XIV, 09. MOUSSY de, XX, 106. Moussu seigneurie de, XVI, 74. MOUTET, de Touget, XXV, 300. Moutet lieu dit, en Lomagne, XIV, 117-118. MOUTRET de, XXII, 274, MOYSSET, avocat révolutionnaire, XX, 108, 110, 114. — XXIII, 111. — XXIV, 323, 324. — XXV, 223. — de Riguepeu, XVII, 34, 43. — curé de SaintLary, XXII, 230, 354, MUA de, seigneurs de Barbazan, XVI, 101. Mugron Landes, XIII, 74, — XXII, 39. — XXIV, 284, MUGUET, rie Toulouse, XXV, 313. MULLER général, XIII, 146-147, 252, 253, 259. MULTON de, maire de Bordeaux, XI, 220. MUN de, 313. — XII, 125. — XXI 248. — XXII, 131-133, 139, 347. MUN-SARLABOUS de, XII, 304. — XIV, 184, — XVII, 126. MURAIRE, XI, 263. MURAI Joachim, XI, 263. — XII, 154. — de Boulaur, XVI, 272, — Pierre de, XV, 117, 118. Murat, XXIV, 162. Muret, XIV, 184, 202, 260, 334. — XV, 208, 263. — XVII, 197. — XVIII, 49, 210. — XIX, 44, 45. — XXII, 266. — XXIII, 117. — XXIV, 231. Mûriers et magnanerie de l'Asile d'aliénés d'Auch, XV, 65-68. Mus de, seigneur de Mus ,XX, 61. Muscadins et muscadines auscitains, XII, 291. — XXIII, 171-172. Muse chrétienne » de Saluste du Bartas Notice bibliographique sur la, XI. 150-176. Musée de la Société Archéologique du Gers, XII, 99, 191-192. — quelques objets faisant partie du, XIV, 116. — XIX, 161, 171, 190. — XXI, 211. Musée de Cherchell ancienne Césarée, Césarée, Algérie, XVII, 172-173. Musique dans le Sud-Ouest anciens instruments de, XXV, 124-135. mutatio », XIII, 164, — XXV, 66. N NABA, notaire à Riguepeu, XVII, 40. NABAT, membre de la Loge d'Auch, XI, 30. NABONNET, du Régimt de Foix, XVII, 246. NAGUERIE Pierre de, abbé de Berdoues, Berdoues, 223. NAJAC DE LUNEL de, XVII, 118. Najera bataille de, XV, 263. Nalies chapellenie de, XIV, 108. Namur, XI, 118. — XVII, 110. Nancy, XI, 114. — XVI, 89, 101. - XIX, 39. — XXIV, 282, Nantes. XVI, 184, — XVII, 133, 135. — XVIII, 16, 199, 208. — XIX, 52, 54, 55, 56, 149, 152-156. — XXII, 316. — — 136 — XXV, 48. — siège de, eu 1487, XIX, 54-55. — exécution, en Languedoc, de l'édit de, XXII, 271-273. NAPOLÉON Ier, à Auch, XVII, 142. — entrée à Berlin, en 1800, XVI, 70. — Divers XI, 263. — XIII, 128-131. — XIV, 50. 57-01. — XXIV, 107, 231. NARBONES Saus, XVI, 222. — XVII, 237. Narbonnaise gouverneurs de la, XXIII, 334-335. NARBONNE Jean de, seigneur de Castelnau-sur-l'Auvignon, Castelnau-sur-l'Auvignon, 284. Narbonne, XV. 203. — XVIII, 310. — XXIV, 108. — XXV, 107, 234. NARBONNE-FIMARCON de, XVII, 101-103, 105-107. — XVIII, 120. — XIX, 58, 59. — XVII, 118, 119. NARBONNE-LARA de, XIV, 33. NARGASSIE Mathieu de, XIX 40. NARON Guillaume, XIV, 114. NARRIEN, consul de Cologne, XXII, 193. NASSANS, de Massoube, député en 89, XI, 279. — XIII, 188. NASSAU prince de, XIII, 135-137. NASSE de, XX, 58. NAUDE, bibliothécaire, XV, 109. NAUDON. de Montréal, XXI, 53. NAUDONET, seigneur de Lustrac, XV, 121. NAUPASIE. comtesse d'Armagnac, XV, 210, 211. Nausenque la, en Lannepax, XIV, 51, 107. NAUTEROT de, XI, 76. NAVAILLES de, XIV, 295. — XVII, 139, 132. — XVIII, 18. — XXV, 90. — Garcie-Arnaud de, abbé de SaintGirons SaintGirons Hagetmau, évêq. d'Aire, XV, 17. — Régiment de, XXV, 77. NAVAR, jurat de Condom. XXV, 310, 317, 320. NAVARRE Catherine de, épouse Jean d'Albrot, XIX, 43. Navarre affaires de la succession de, au XIIIe siècle, XIII, 108. — contribution à l'histoire de la, XXIII, 308-309. Navarrenx, XII, 112, 243, 345. — XV, 17. Navarret, XVI, 123. NAVARRIS, vicomte de Dax, XVII, 241. NAVERON, XXI, 247. NEBLE, ex-bénédictin d'Auch, XVII, 219. Nébouzan, XI, 205. — XV, 219. — XVIII, 206. NÉBRIDIUS, XVII, 85. NECKER, XIII, 142, 187. NEGRE-LABARRÈRE, XXIII, 90, 97, 117. Negrepelisse, XIV, 189, 200, 201. — XXIII, 264. Néguebouc, XXII, 115. NEMOURS princes de, XIII, 194. — XVI, 185. — XVII, 130. — ducs de, XVI, 74. 75. — XXI, 182, NENOS de, XVII, 185, 190. — XVIII, 265. NEPOTIS Bertrand, de Vic-Fezensac, XV, 57. Sérac incident à propos d'une prédication, à, XIV, 42. — château rie, XVI, 115. — Marguerite de Valois, à, XIV, 151-155, 158. — Divers XVIII, 229, 231. — XIX, 23. — XX. 59. — XXII, 57. 100, 300. — XXIV, 103, 296. NÉRÉE, du Conseil du départ. du Gers, XXV, 182. Nérignac, en Limousin, XXII, 57. NEROT, XVI, 182. Servéja ou Servera le mont, près d'Auch, XVI, 197. — XVII, 91. Nerveinde, XVII, 108. NESMOND de, évêque de. Montauban, XII, 135. NEUFCHATEAU François de, ministre de l'Intérieur en 1803, XI, 263. — XXII, 280. — sa fille. XXIV, 315. Neurest XI, 208. Neuried, XXIV, 335. 137 NEVERS comte de, XVII, 136. NEVILLE Jean de, XI, 217. NEY maréchal, XXII, 245. NICÉRON Père, XV, 112, 115. NICOLAS II, pape, XV, 151. NICOLAS V, pape, XV, 21, 22, — XVI, 46. NIEL Georges, notice nécrologique, XVIII, 157-160, 271-272, NIEUWERKERKE de, surintendant ries Beaux-Arts, XXI, 103. Nimes, XVIII, 26. — XXIII, 228. NINOUS, off. mun. d'Auch, en 1791, XI, 37, 41. — XII. 246. — marchand d'Auch, XIX, 65. — receveur-syndic d'Auch, XIII, 267. Niort Etats généraux de, XXII, 249. NIOU, commissaire du gouvernement, an VI, XVIII, 157. NIQUET de, XIV, 27. — XV, 37. — XVII. 15. — XIX, 133. NIRAN ou NYRAN, notaire de Lavardens, XIII, 23-24, 186. — XXI, 58-59, 200-201, 241, 244. — XXII, 230, 347. Nitidja plaine de la, en Algérie, XVII, 163. NIUSÈTE, de Cologne, XXII, 194, Nizors abbaye de, XV, 222, 226. NOAILHAN de, XVII, 248. — XVIII, 71, 72. — XIX, 31-33, 42. — XXIV. 195. Noaithan XIX, 38, 40. — XX. 59. NOAILHAN-DARMUN de, XVI, 130. NOAILHAN-LAMEZAN de, XV, 74, NOAILLES de, de Roquefort-en-Marsau, XIV, 369. — pair et maréchal de France XVI, 101. — abbé de, XVI, 112. — archevêque de Paris, XV, 233. 241, 242. — Divers XI, 26. — XIV, 153. Noblesse de la sénéchaussée d'Auch, en 1674 convocation de la, XVIII, 192-196. Noblesse gasconne Doléances et voeux de la, en 1789, XV, 250-261. — Contribution à l'étude des moeurs rie la, au XVIIIe siècle, XIX, 125-143. Noblesse épidémie de fausse, et usurpation de. titres, au XVIIe et XVIIIe siècles, XVIII, 54, — XXII, 134. — XXIII, 321. Socera Italie, XXIV, 278. NOË Marc-Antoine de, évêque de Lescar, XII, 153. — Divers XI, 296. — XII, 146, 247. — XIV, 359. — XVI, 269, 273. — XVII, 96. — XX, 70. — XXII, 90. — XXIII, 195. NOËL, chef du Bureau ries finances d'Auch, en 1792, XXIV, 309, 310. Noël chant de, des enfants trouvés, à l'Hôpital d'Auch, XVIII, 153. NOGARET Louis de, Cardinal de La Valette, abbé de Berdoues, XVIII, 101. — Voir LA VALETTE. Nogaro Histoire de, par l'abbé Breuils, des origines à la fin du XVe siècle, XV, 142-160, 210-230. — XVI, 110-128. 167-186. — étymologie du nom, XV, 143. — fondation de la ville, XV, 148-150. — fondation et consécration de l'église, XV, 151153. — fondation du chapitre collégial, XV, 156-157. — état des dîmes revenant au chapitre, XVIII, 170-171. — chanoines, XX, 72. — divers conciles. XV, 156, 212, 213, 218, 221-230. — fondation d'un hôpital-léproserie, XV, 211-212. — XVIII, 48. — fondation d'un couvent de Cordeliers, XV, 219. — coutumes de la ville, XV, 218. — XVI, 115-118. — les industries et les beaux-arts, la peinture sur verre, XVI, 178-179. — réunion de la. Collecte du Bas-Armagnac, XIV, 173, 215. — assemblée des Etats de 1479, XVI, 180-181. — passage de Louis XIV, XIII, 88. — XVIII, 50. — XX, 62. — passage de Mazarin, XI, 289. — invasion du Prince Noir en Armagnac et siège de Nogaro, XVII, 311. — Etude archéologique sur l'église de Nogaro par Ph. Lauzun, XXII, 179, 181-189. — Nogaro pendant la période révolu- — 138 — liminaire, XI. 38. 42. — XVIII, 170, 178-185, — XIX, 65. — XXIII, 53. — Divers XI, 379. — XII, 213, 200, 207. — XIV. 317. 309. — XVI, 108. — XVII, 302, 303, 310-312. — XVIII, 37, 38, 41, 44, 46, 48, 49, 50, 51, 52, 53, 170, 171, 173, 180, 187. — XX, 101. — XXI, 41, 117, 330. — XXII, 74, 240, 354. — XXIII, 228. — XXIV, 104, NOGEROLLES de, XXII, 274. NOGUÈS, chirurgien d'Auch, XVII, 387. — de Fleurance, XIII, 09, 70. — de Manciet, XI, 37. — de Monfort, XV, 79. — XVII, 333. — général, XV, 89. — rapport du général à Bonaparte, XXIII, 327-331. — de, XVI, 182. — de Touget, XXIV, 353. — XXV. 301, 303. NOILHAN, prètre-prébendier à SainteMarie d'Auch. XXI, 199. — de, XIX. 138. Sailhan, XIV, 184, 360. — XVII. Noirmoutiers, XXV, 336. — abbaye de, XVII, 365. NOLHAC DE SAINT-ANDRÉ, XI, 38. NOLENX de, consul de Montréal, XIX, 36. NOLIER DE CARRÈRE, XIX. 187. NOLIVER, abbé de la Honce, près Bayonne, XV, 332. NONOTTE. XXV, 42, 44. Normandie ducs de, XVII, 139. NORMANDS dans le Midi invasion des. XVII. 179. — XVIII, 81. Normanville, XVII, 138. Nos de, conseiller au Parlement de Toulouse, XXIII, 70, 77. 82. NOSTRADAMUS, XVII, 97. Notaire au XVIIIe siècle réclame rie, XIII, 33-34. Notre-Dame, au Moyen-Age dévotion à XXIV, 118-119. Notre-Dame des Anges à MiramontLatour » Le Couvent de, par l'abbé J. Bénac, XVI, 390-398. N-D. de Baurens, près CastillonMassas, XXII, 140. de Beauclaire, près Miradoux, XX, 83, 133-139. — XXI, 316. de Bon-Encontre, près Agen, XIV, 153. — XVT, 296. — XVIII, 37. de Bordères, ancienne église en Condomois, XXV, 120. rie Bouit, près Nogaro; légendes sur l'origine de ce sanctuaire, XVII, 302-306. — au Moyen-Age, XVII. 300-315, 317-318. — A la Renaissance, XVIII, 34-41. — aux temps modernes, XVIII. 41-60, 170175. — période révolutionnaire, XVIII, — restauration du culte, XVIII, 184-187. — à propos de la monographie do ce sanctuaire, par l'abbé Breuils, XXIV, 112. de Brétons, en Saint-Arailles, XX, 141. de Cahuzac. XVIII. 37, 41 du Camp, diocèse de Parniers XXI, 145. de. Cavaignan, ancienne église dans Courronsan, XIX, 176. de Cazalets, en Montréal, XI, 45. — XIX, 178. du Cédon, près Pavie, XVI. 206. — XVII, 161. — origine de ce sanctuaire, XVII, 288-292. — fondation et donations, XVII, 292-294. - période révolutionnaire, XVII, 294-297. — restauration du culte. XVII, 297300. de Cieutat, près Eauze., XIV, 70. de Conques abbaye de, diocèse de Bayeux, XIX, 128. de la Croix, à Marciac, XVIII, 42. de Garnison, XVIII, 41. de Grué- XI, 45. hors les murs, XIV, 230. de Lasserre-Damos, XI, 45. en Léviac grange de. XIV 107. de Luzanet, XI, 45. — 139 — des Neiges, à Auch prieuré de, XIX, 90. des Neiges, à Cahuzac, XXI, 98. des Neiges d'Esberous, près Eauze, XX, 106. — XXII, 304, de Piétat culte de, dans le diocèse d'Auch, XXIV, 118. de Pitié, de Sainte-Gemme, XV, 195. de Requoussin, XI, 45. des Roses, à Jegun, XXII, 131. des Tables, à Montpellier, XXII, 272. de Tudet, XVTII, 37. — XXIV, 100. — essai critique sur l'origine de ce sanctuaire, XXIV, 111-124, — ancienne église, clocher et statue miraculeuse, XXIV, 119-124, NOUEILHAN, marchand de Vic-Fezensac, Vic-Fezensac, 120. NOUGARÈDES de las, XXII, 196, 197. Noagaroulet, XI, 276. — XII, 247. — découverte d'amphores à, XXII, 295. NOULENS J., XXV, 129. Noulens, XVII, 313. — XVIII, 38. — XIX, 30. — XXIV, 132, — XXV, 187. novale », espèce de dîmes, XVII, 52. NOVELLI, curé de Clermont-Savès, XXIV, 38-40, 49. Novempopulanie romaine littérature et moeurs de la, XVI, 187-200. NOVENOT, XXIV, 153. Sagan, XXIV, 200. NOYRIT, de Fleurance, XIX, 124. NUBLE Raymond, XIV. 117. NUFER Jacques, XIII, 264, NUJUSTITA Pierre de la, granger de Vic-Fezensac, XV, 64. NUNES, grand d'Espagne, XV, 36. NUPCES de, XXII, 273. NUR Roger de, évêque de Comminges, XV, 213. Nux de, XXII, 351. Nux salle noble de, XXIII, 285, 286. O O de Montagu d', famille noble de Normandie, XIX, 125. Obasine, XIV, 311. Obits », XIV, 107. — XXIV, 46-47. Ocana Espagne, XXIV, 217. OCEANUS Découverte d'une mosaïque du dieu, près Montréal, XIX, 67. Octroi droits d', sous l'Ancien Régime, XXI, 128. ODET DE FOIX, vicomte de Lautrec, XII, 238. ODET DE MASSAS, XV, 35. ODET, bâtard de Viella, XV, 117. ODILON, abbé de Cluny, XII, 43. ODON. abbé de Cluny, XII, 40-42, ODON D'ARBÉCHAN, XIII, 272, ODON, diacre d'Auch, XVII, 282. ODON DE BIRAN, XXII, 113. ODON DE CAZAUBON, XV, 218. ODON DE LOMAGNE, XV, 102, 104. ODON DE MENDOUSSE, évêque de Lescar, XV, 15. ODON DE MONTAUT, XV, 218. ODON DE PARDAILHAN, XV, 218. ODON DE RIGUEPEU, XVII, 22. Oftersheim, XV, 168. Ognoas, en Marsan, et ses seigneurs, XVI, 231-234. — XVIII, 18. — XIX, 43. OIEHENART, XV, 102. — XXII, 76. O' KELLY-FAWELL, XIX. 133. Oléron île d', XXV, 161. OLHABERRIAGUE, le Rayonne, XXI, 47. OLIVE d', avocat, XXIV, 278. OLIVER Vital d', chapelain du Brouilh, XX, 54, OLIVET Jean. XVII, 27. OLIVIER, administ. du dép. du Gers, en 1791, XI, 37. 279. OLIVIER, consul rie Cézan, XIV. 218. OLIVIER, lieut. en l'élection de Lomagne, XXII, 319. OLIVIER, de Vic-Fezensac, XV, 57. 140 OLIVIER D'ABADIE d', XVI. 130. Oloron, XV, 213, 214, 318, 323, 325, 228. — XXIV, 241. OLYMPIAS, XVII, 85. O' MAHONY comte, XXIV, 143-114. Omex seigneurie d', XXII, 135. OMION, archiprètre de Nogaro, XV, 314. OMPS d', XXII, 321. ONDES d' XXII, 315, 317, 321, 333. — — XXIII, 70. Or » l', par Edouard Dulac et Jean d'Astorg, XV, 103. ORADER Vital d', seigneur d'Auradé, XVI, 215. Oraison-Dieu monastère de I', diocèse de Toulouse, XVI, 39. ORANGE princes d', XVI, 172, — XIX, 150, 151, 155. Orange » Le théâtre romain d', par M. Yrondelle, XXV, 323. Oratorions du Collège de Condom, XXIV, 240-241, 314. — XXV, 172, 188. ORBASSON d', soigneurs de Pibrac, XV, 134, ORBESSAN Guillaume d', XII, 28. — Odon d', évêque d'Aire, XV, 214. — Marquis d', XI, 33. — président d', XIV, 359. — XVT, 273. — XVIII, 119. — XXV, 129. — Divers XVI, 207. 209, 373, 291, 293. — XIX, 90. Orbessan château d', XIX, 130. ORGIVAL. d', XXII, 197. ORCIVAL DE PEYRELONGUE d', XXIII, 33, 34, 38, 113, 130, 131, 134, 136-139, 301, 303, 333. — XXIV. 85-93, 175, 348. — XXV, 138, 294. — Un cadet de Gascogne Louis d' », XXIV, 101110. Ordan, XIV, 51. — XX, 140, 143, 147, 151. — XXI. 154, 166, 260. Ordéac. château d', XXII, 113. Ordonnance consulaire, au XVIIe siècle, XXV, 321-322. Ordres militaires de la paix, XIII, 112. — de Saint-Jean-de-Jénisalem, XIII, 113-116. — Ordre de la fleur de lys Lot-et-Garonnaise, XXIII, 216. ORENS, évêque d'Auch, auteur dû Commnitorium », XVII, 90-93. 149, 151. ORENS DE DUFOURC, XIV, 129. ORFEUIL d', XXV, 152. ORIENTIUS, XVI, 197. ORIOLE d', XVII. 132. — XVIII, 198, 300. Orions-Iderne Basses-Pyrén., XVII, 07. ORLAN d', seigneurs de Lagarde et Jaulin, XVII, 309-313. — XIX, 27. — seigneurs rie Pouy-Polit, XX, 58-60 ORLÉANS Charles d', comte d'Angouleme, XIX, 51, 53, 55. — Louis d', XVIII, 209, 311. — Louis-Philippe d'. grand'maître de la F.. M.., XL 38. — ducs d', XIX, 50, 51, 53, 55. 57, 151. Orléans, XVIII, 20. — XXI, 35. — Etats généraux d', XIV, 163. — XVIII. 208. — XXII, 130. — XXIV, 294, ORNANO Alphonse d', maréchal de France, XIV, 124, — Sampiero d', XIV, 122-127. — Vannina d', XIV, 124, — gouverneur de Bayonne, XII, 344-345. — Divers XII, 82. — XIV, 343 Ornano, XXV, 146. ORNEZAN Arnauld-Guilhem d', seigneur rie Saint-Blancard, XIII, 48. — XVII, 231, 235. — XVIII, 131, 133. — légende de sa mort, XVII 95-97. — Bernard d', évêque de Lombez, XVI. 39. — XVIII. 136. — Bertrand, et divers, seigneurs de St-Blancard, XVI. 339 — XVIII. 337. — XXI, 167. — Catherine d', épouse du duc de Boquelaure, XXI, 238. — Jean, et divers, seigneurs d'Auradé,. XIII, 48. — XVI, 30. — XVII. 94-102, — XVIII. 124. 125, 131, 133, 134. — Marguerite d', marquise de Fimarcon, XI, 281. Ornezan. XI, 270. Oroignen moulin et seigneurie d'. XV, 17. — XVI, 237. — 141 — Oroix, pres Tarbes, XXII, 235. Ortet seigneurie d', XXIII, 76. ORTETY, bourg, de Toulouse, XXIII, 68. ORTHE vicomte d', gouverneur de Rayonne, XV, 290. Orthez siège d', en 1567, XXI, 108, 169. — Divers XI, 114, 116. — XIII, 106-107. — XIV, 300. — XVI, 168, 230, 235, 238. — XIX, 43. ORVAL d, XV, 203, 204, 294. OSMOND d', évêque de Comminges, XII, 304. — XXIV, 350. OSPITAL de l', XIV, 302. OSSAT Cardinal d', à propos de la date rie sa naissance, XXI, 290. — XXII, 172-173. Ossnt seigneurie d', XXI, 102. Ossavilla, nom primitif de St-Arailles, St-Arailles, 106. Osseville, XI, 179. Ossuaires, XII, 199. — Voir en feus. ost » l', XX 153. Ostabat seigneurie d', XVI, 232. — XXV, 74. OTHON DE CASTILLON, XI, 53. OTHON DE RIGUEPEU, XIV, 106. OUDINÉ, sculpteur, XIV, 212-213. OULÉ, de Touget, XXIV, 85. — XXV, 139, 140, 142, 300. OUNOUS d', XXII, 310. Oursbetille, près Tarbes, XXII. 227, 232. ouvreries », anciennes fabriques paroissiales, XIV, 234. OUVRIER Jean, de l'Isle-Jourdain, chirurgien protestant, XVIII, 121. — XX, 30. P PABA Raymond, astronome limousin, XIII, 168. — XIV, 43, 44, 99. PACHECO, marquis castillan, XV, 207. PADER, chanoine de St-Justin, XXIII, 58. — maréchal-férrant, à Roquelaure, XXII, 201. PADERN, de Goujon, XVI, 50. PADIRAC Bertrand de, moine bénédictin, XX, 56. padouens », XXI, 127. PAGANI, seigneurs du Val ou de Ville, XIX, 38, 40. pages du Roi », XXII, 137. PAGES Bertrand, d'Auradé, XVTII, 139. — Jean, chanoine, XIV, 340. — prêtre, XXII, 91. — Pierre, apprenti-chirurgien, XIV, 37. — d'Ausonne, XXII, 99. — de Bassoues, XXII, 122. — de Callian, XXIII, 163. — de Clermont-Savès, XXIII, 82. — — XXIV, 45, 47. — de Touget, XXIV, 246, 255. — XXV, 139, 294. PAGUE, chanoine de Pessan et soldat de la République, XVII, 152-153. PAGUT, ouvrier à Auch, XXI, 193. — procureur du Roi à Auch, XX, 42. 47, 49, 50. PAILHÈRES de ou de la, Géraud, compagnon rie Jeanne d'Arc, XII, 28. — XVII, 314. — Manaud, compagnon de Bernanrd VII d'Armagnac, XVTI, 314. Pailhère seigneurie de la, XVII, 309, 313,-315. PALAGOZ, soigneur de Bonrepos, XVI, 39. Palais seigneurie du, XXII, 89. PALANQUE Charles, notice bio-bibliographique, XI, 13-16. PALANQUE, consul de St-Sauvy, XXII, 169. — ouvrier, XI, 30. — de VicFozensac, XXI, 57. — XXV, 263. PALANQUE-BÉRAUT, procureur du Roi à Condom. député en 89, XIII, 189. — XV, 74. Polos, XX, 146. PALASO, bourreau d'Auch, XXIII, 262. PALATZ Arnaud-Raymond de, évêque de Tarbes, XVIII, 19. PALAYA Bertrand de, abbé, XV, 229. 142 — PALAZOT, de Mansonville, XXIV, 148 paléolithique dans le Gers vesages et monuments rie l'âge, XIII, 289293. 289293. de la, XVI, 294. PALLADIUM, XVII, 85. PALLARS Comte de, XV, 204. Pamiers, XIV, 153. — XVII, 102. — XIX, 51. — siège de, en 1505, XIII, 330. Pampelune, XIII, 108. — stalles rie la cathédrale, XVII, 257. PANASSAC Bernard de, un des fondateurs des Jeux-Floraux », par Ant. Thomas, XVI, 290-292. — XVII, 155-156. — Odette de, XIX, 144. Panassac, XII, 27. PANAT Marquis de, XIV, 33, 374. — XX, 28. l'uncaran, XIV, 51. PANDELLÉ, de Nogaro, émigré en Amérique, XVIII, 44. — meunier à. Viella, XX, 37. PANGE Françoise de, femme rie l'Intendant d'Etigny, XIV, 38. PANISSAUD, XIV, 334. PANISSAULD de, XXII, 102. PANJAS comte de, chef huguenot, XXII, 119. l'anius, XVI, 180, 181. — XVII, 311, 314. — XXI. 42. — XXII, 327. — XXIV, 28. PANNEBEUF ne, avocat au Parlement de Toulouse, XVIII, 134. — rie l'Isle-Jourdain, XX, 20. — XXII, 322. — XXV, 77. PARABAS, notaire à Boaumont, XV, 367. PARABÈRE, XIV, 239, 334, — de, XI, 76, 223. — XXII, 102. — comtesse de, XI, 118. PARADE de conseiler au Parl, de Toulouse, XXIII, 73, 80. PARADIN, historien, XIV, 124. PARUGE, de Condom, XXIII, 277. — XXV, .310, 320. PARATGE, notaire royal à Lannepax, XIX, 41. — XX 52, 54, 57, 59. PARAVIS prieure du, XII, 87. — XV. 208. — XX, 130. — XXII, 101, — son histoire, par M. l'abbé Marboutin, XXV, 99, 189-194. PARDAILHAN ou PARDEILHAN de, Bertrand, de Panjas, XVI, 180. — Hugues, évêque de Tarbes, XV, 218. — seigneurs rie Juillac, XIV, 109. — soigneurs rie Lascomas, XIV, 178. — seigneurs de Caumont, XX, 72. — soigneurs de La Serre, XXI, 2-41. — XXII, 134. — seigneurs de La Rivière, XXII, 134, — XXIV, 193. — soigneurs de St-Jean-Poutge, XIV, 109, 171, 178, 224. — Divers XI, 53, 113, 115. — XII, 125, 132, — XXI, 42. — XXII, 114, PARDAILHAN-GONDUIN de, Antoine-Arnaud, XVTII, 57. — XXII, 302. — Jean-Bertrand, chanoine de Montauban et de Nogaro, XX, 72. ,— Louis, duc d'Autin, grand-maître rie la. F.'. M.'., XI, 20, 214-215. — XIV, 184. — chanoine de Vic-Fezensae, XXV, 164. — Divers XI, 116, 117, 118. — XIII, 213. — XIX, 29, 30, 35, 41. — XX, 55, 97. — XXI, 37. PARDAILHAN, d'Auch, avocat, XIX, 90. Pardailhan château de, XI, 109. — XXI, 89. — archidiaciné de, XXIV, 20, 21, 27, 28, 31. — Divers XXII, 113. — XXIV, 130, 132, 327. Pardeilhan, XIV, 240. PARDIAC comtes de, XII, 380. — XIII, 13-22. — XVI, 171, 294, — XVIII, 16. — XX, 142, 145-147, 148-155. — XXI, 153, 155, 156. Pardiac pays de, XVII, 180. — sa délimitation, XX, 150. — liste dos seigneurs, avec leurs privilèges et exemptions, XII, 364-300. PARDIAC, consul d'Auch, XVI, 92. — médecin d'Auch, XI, 33. Pardies, château, XIV, 300. — ancienne église, on Gondrin, XVII, 66. — XXII, 70. — 143 — PARDlNlS de, notaire à Toulouse, au XIIIe siècle, XIII, 238. PARÉ Ambroise, XIII, 265. paréage » ou partage », XIII, 112114, 112114, XXV, 58. PARIS, bourgeois d'Auch, XXIII, 243. — XXIV, 67. — de la Soc. Montagnarde d'Auch, XXII, 281. — XXIII, 40, 149. — capitaine du Bat. patriot. du Gers, XII, 355. — Sans, d'Auradé, XVI, 31. — Pierre, évêque de Lombez, XIV, 184. — Guillaume, curé rie Riguepeu, XVII, 30. — Raymond, granger de Vie-Fezensac, XV, 62, 64. — Jean, rie Larroque-Maniban, XXIV, 32, — négociant à Vic-Fezensac, XIX, 65. — XXIII, 149. — XXIV, 388, 290. PARIS LASPLAIGNES, administrateur du départ, du Gers, XX, 110, 114. — XXIII, 111. — XXIV, 318. Paris, XI, 30, 103. — XVI, 76, 127, 171. XVII, 136. — XVIII, 68, 70, 232, 233. — XXI, 181. — XXII, 94, 99, 104, — XXIII, 73, 113, 117, 124, 151, 171, 230, 274, 275, 312-314, — XXIV, 108, 815, 220, 221, 241, 242, 278, 318, 323, 324. — XXV, 52, 104, 105, 146, 156-100, 212, 222, 225, 227, 228, 276. Parme, XVTI, 109. PARRE, marchand auvergnat, XXIII, 85. Parthenay, XIX, 52, 54, PASCAL, capucin de Vie-Fezensac, XIV, 319. PASCAU. maire rie Viella, XX, 36. Pascau seigneurie ele, XX, 64. PASCHAL, de Bayonne, XXI, 47. Pas-de-Suze, XVII, 104. Passavant. XIX, 55. PASSERIEU, administr. du départ, du Gers, en 1792, XX, 114-116. — XXV, 182. — de Tournecoupe, XL 41. PASSERIEU-BLANQUET, de la Soc. Mont. d'Auch, XXIII, 163. PASTORET, XI, 29. PATAU de, XX, 58. paternité au XVIIe siècle; recherche rio la, XIV, 117. PATRAS Pierre de, XIII, 228. PATUREE, d'Auch, XI, 30. Pau, XII, 250, 265. — XIII, 144, — XIV, 113, 153. —XVI, 102, 123. — XVIII. 19, 306. — XIX, 45, — XXII, 99, 336, 229, 230, 231. — XXIV, 308, 325. — XXV, 40, 108. PAUCY DE VILLAUDRY de, XII, 303-304. PAUILLAC, maître de postes, à Auch, XXIII, 117. Pauilhac, XI, 206. — XV, 69. — XIX, 182. — XXIV, 150. PAUL III, pape, XVI, 204, — XXI, 145. — XXIV, 38. PAUL V, pape, XVI, 265. paillette » droit de, XXII, 273. Paulhan, XI, 205. PAULIN, capucin de Nogaro à la Réveilution, XVIII, 177, 180, 183. PAULIN DE NÔLE. XVII, 87. PAULME, XIV. 179, 182, 183. PAUMÉ MARPOY DE SABAZAN, XII, 175, 178, 181. — XXIV, 166. PAUMÉ, curé rie St-Amanil. près Eauze, XII, 175. PAUSADÉ de, XV, 204. Pavie Italie, XIV, 123. — XVI, 240. Pavie, près Auch une bastide du XIIIe siècle monographie de, XVII, 175-208. — XVIII, 77-119. — fondation de cette bastiele, XIII, 104, 111. — églises, XVIII, 110-115. — hôpital. XVIII, 115. — foires, XVII, 202. — Rivalité entre Auch et, Pavie, XVIII, 83-89. — du Cédon, près rie Pavie. XVII, 288-301. Voir du Cédon. — procès au sujet, du moulin de, XXII, 356-363. — Les Carmes â, XVI, 262-276. — XVIII. 104, — XXIII, 237, 238. — Divers XI, 276. — XIV, 189. — XVI, 287. — XXIII, 233, 234, 237. — XXIV, 328. PAVILLET, XII, 210. — 144 — Paysans sous l'A. R. condition ries, XIV, 52-55. péage », ancien droit féodal. XVI, 249. — XVII, 201. — XX, 101. — XXII, 240. PÉBERNAT abbé, XXII, 19. PÉBRAYE de la, XVIII, 87. PECCAVEL, XV, 167. l'échaudie seigneurie rie, XXIII, 75. Pechseq, en Querey, XII, 123, 126, 127. PÉDELAU, de Condom, XXV, 318. PÉES DE GABASTON, XV, 16. PÉES DE MARSAN, XIV, 306. — XVI, 232 PÉES DE SAUBANÈRE, XV, 121. Péfau chapelle de, XXIV, 165. PEGUILHAN de, XX, 70. — XXII. 269. — XXIII, 184, PEIRAMOD de, XVII, 187, 188. PEIRAMOLLE de, XVII, 189. PEIRONNA, abbesse de Goujon, XVI, 41. PELALO, d'Auch, XI, 30. " Pele-towers », tours fortifiées, XIV, 246, 377. — XXI, 92. Pèlerins de St-Jacques de Compostelle Compostelle 61. — Voir St-Jacques de Compostelle. PÉLICOT de, XXI, 240. PÉLISSON, XXII, 101. PELLAROQUE, notaire à Biran, XX, 65. — XXII, 134, PELLERÈNE de, XIII, 179. PELLEFIGUE, d'Auch, XI, 30. — abbé, XXIV. 309. — de, XXIII, 117. Pellefigue, XXIII, 227. PELLEGRINE de XXI, 166. PELLEGRUE de, XIV, 16, 17. — XVI, 233. — évêque de Bazas, XV, 213. Pellehaut seigneurie de, XX. 69. — découvertes paléolithiques, XIII, 290-292. PELLETIER DE LA HOUSSAYE le, intendant à Montauban, XXI, 108. PELLEVÉ Cardinal rie, XXII, 57. PELLISSERA, ele Clermont. XXIL 91. PELLISSIER, XXIII, 82, PELLISSON de, XXII, 320. PELLISSON-FONTANIER de, historiogra pho du Roi, XXII, 315-317. RELUIT de, intendant, XVI, 97-99, 106. — XX, 63-05. — XXII, 196, 197, 198. — XXV, 76, 87. PENENT, curé à Auradé, XVT, 34. — vie. à Ste-Chitstie-d'Armagnac, XVIII,, 59. PENHOËT de, XVIII, 204. Pénitents-blancs confrérie des, à Auch, historiette à son sujet, XIX, 140-141. — à Vie-Fezensac, XIV, 233. 323. — XXIII, 322. — XXIV, 50, 52, 287. — XXV, 263. — église des; à Eauze, XIII, 155, 159. Penne Lot-et-Garonne, XV, 84. — XX, 153. Penneville seigneurie do, XVII, 311. PENTAIAN de. XVII, 184. Penthièvre, XIX, 55, 151. PÉPET, cordonnier à Monfort, en 1789, XV, 79. — XVII, 223. Pépieux, XVII, 190. — XXIII, 231, 232. PÉRALDI, de Condom, XXI, 236. — XXIV, 173. PÉRALES, de l'Isle-Jourdain, XXV, 143. PÉRALO, de Montfort, XV, 267. PÉRALTA de, connétable de Navarre, XV, 207. PÉRARO, de Touget, XXV, 295. Perehède, XVI, 181. PERCIN, curé de Fleurance, XIII, 69. — maire rie Fleurance, en 1793, XIII, 69, 70, 75. — XIX, 130. — de, XI 73. — XIII, 228. — XVI, 136. PERCIN-PRAT Louis, rie Fleurance, XIII, 67, 82, PERCY-NORTHUMBERLAND, XII, 302. PERDIGON, de Sainte-Christie, XV, 215, PÈRE de, XIII, 189. — de Duran, XXIV, 150. PÉRÉ, voiturier de Vie-Fezensac, XXV, 166. Père-Duchesne » Le, XIX, 107. Peregrinatio Silviae Aquitana 1 », XVII, 87-90. — 145 — PÉRÈS Adrien, avocat, XX, 108. — abbé, professeur à l'Ecole, centrale du Gers, XXV, 223, — maire d'Auch, XXII, 35, 39-40. — Madame, Ursuline à Auch, XIX, 89. — marguillier à Barcugnan, XIV, 143, 347-350. — XV, 77. — de Condom, XXV, 319. — d'Endoufielle, XXII, 99. — de l'IsleJourdain, XX, 27. — de Mirannes, XIII, 273, 279. — curé de Séailles, XXIV, 313-318. — off. mun. de VicFezensac, XXV, 163. PÉREZ Joachim, dit PÉREZ DU GERS, député aux Cinq-Cents, XI, 36, 278. — XII, 318. — XXIII, 282-284. — XXIV, 323, 324. — Bertrand, de l'abbaye de Simorre, XIV, 76. — capitaine huguenot, de ClermontSavès, XIV, 341. — XXII, 257, 265. — de Mirande, avocat, député du Tiers-Etat, XV, 72. — XXIII, 111. — guillotiné en 1794, XXIV, 142, 235. — Divers XVII, 116. Pergain, XII, 363. PÉRIGNON lieutenant-colonel, XII, 262. — Maréchal de, XI, 263. PÉRIGORD de, comtesse d'Armagnac, XVI, 168. PÉRIGORT, de Bezolles, XXIV, 23, 129, 130. PÉRIGUÉ de, XVI, 216, 217. Périgué lieu dit, le, en Lasséran, XVI, 268. Périgueux, XXIV, 196. Pernillet, XVI, 181. Péronne, XVIII, 15, 86, 87. Perpignan, XII, 265. — XIV, 123. — XV, 204, 209. — XVI, 83. — XVII, 104, 197. — XXIV, 104, 143, 232-234, 251, 329, 332, 355. — XXV, 149. PERSIL, off. mun. de Condom, en 1790, XXI, 231. — d'Auch, XII, 255. PERSIN de, XXIII, 192. Perterville seigneurie de, XX, 66. PÉRUSSA, vie. de Sainto-Christie d'Armagnac, XVIII, 59. PESQUEZ, de Goutz, XXIV, 133, 150. Pessan, abbaye, XIV, 189. — XV, 152, 222, 225, 228. — XVII, 180-183, 201202. 201202. XXI, 104, — XXIII, 245. — droits et possessions de l'abbaye, XVIII, 104, 106, 110. — XXIII, 236. — un chanoine de Pessan, soldat de la République, XVII 152-153. — Période révolutionnaire, XII, 247. — Divers XIII, 32, — XVI, 93, 94 — XVII, 178, 179. — XVIII, 262. — XXI, 198-199. Pessoulens, XI, 291. — XII, 363. — XX, 57. — XXIV, 113, 119. — XXV, 295. Peste en 1311, XVI, 113. — en 1339, XVI, 119. — à la fin du XVe siècle, XXIV, 119. — en 1525, XIX, 84, — en 1589, à l'Isle-Jourdain, XIV, 335 - en 1606, XVI, 134, — en 1629-1630, XV, 270, 273. — XVI, 135, 138. — XVIII, 101-102. — en 1031, à Pavie, XVTI, 291. — en 1652-1653, XII, 124, — XVIII, 42, — à Lavardens, XXI, 200-201, 212. — à Monfort-du-Gers, XV, 268. — XVI, 139, 141. — XXII, 137. PÉTION, XI, 29. — XIX, 95. PETIT, XXII, 321, 325. PETIT-PRESSIGNY, adjud. -général, an VII, XI, 39. — XII, 271. PETRA, théologien, XIV, 340. Pétrarque et Jacques Colonna une cour épiscopale en Gascogne, au XIVe siècle », par H. Cochin, XXIV, 198-203, 210-211. PETTAVI, lieutenant du Roi en Languedoc, Languedoc, 141. Peur en Gascogne, en 1789 La Grande, XIV, 259 — 264, 377 — à Monfort-du-Gers, 79-81, 99. — à Touget, XXIII, 124-126. PEY DE LASVÈNES, seigneur de Lévignac, 183. PEYLABÈRE, rie Vie-Fezensac, XXIV, 285. 10 — 146 — Peylaure, XXIV, 315. PEYRALADE de, seigneur de Monteils, XXII, 92. PEYREBÈRE, à Auch, XIX, 65. PEYRECAVE, de Fourcès, XX, 40. — curé de St-Orens-Pouy-Petit, XXIII, 145. — de, capitaine du Bat. patr, du Gers, en 1789, XXII, 66. Peyrecave, XII, 87. — XXII, 320. — XXIII, 101. PEYRECAVE DE POMÈS de, XX, 69. PEYRELONGUE de, émigré. Voir ORCIVAL ORCIVAL PEYRET, lieut, du juge de Fezensac, XIV, 173, 218. Peyriac château de, près Condom, XIX, 81. Peyrigne seigneurie de, XXII, 133. Peyriguère XXII, 227. PEYROLLES de, XXIII, 235. PEYRON, XXIV, 229. PEYRONET, prêtre rie Valence, XXIV, 130. PEYROTAS Pierre de, XV, 20. PEYROUTIN, de Laguian, XXII, 240. PEYRUCAT, de Condom, XXV, 321. — de Vie-Fezensac, XXIII, 154. — de, XXI, 253. PEYRUCAT DE CAVAIGNAN de, soigneur du Bartha, XX, 69. PEYRUSSE, de Miramont-Latour. XVTII, 71. — de Monfort, XVII, 223. — chapelain à St-Pierre d'Auch, XII, 223. Peyrusse, XIV, 218. — XX, 101. Peyrusse-Grande prieuré de, XV, 152. Peyrusse-Massas, XI, 309. — XIII, 299. — XX, 151, 200, 201. — chrisme de, XVII, 71. Pehrusse- Vieille chrisme de, XVII, 67. PEZON de, XIV, 17. PHELIP de, XV, 121. PHILIP DE BARJAU, XXIV, 191. PHILIPPE-AUGUSTE, XXIV, 334. PHILIPPE-LE-BEL, XIV, 163. — XVI, 110 112, 215. — XVIII, 89. — XX, 91. — XXI, 137, 139. PHILIPPE LE BON, XV, 199. — XVII, 135. PHILIPPE IV, XV, 325. PHILIPPE V, XVIII, 90. — XXV, 41. PHILIPPE VI, XIV, 301. — XV, 291. — XVIII, 89. PHILIPPE LE HARDI, XI, 103. — XVII, 197, 208. — XXV, 271. PHILIPPE DE SAVOIE, XIX, 44. PHILIPPE DE VALOIS, XI, 113, 179. — XVIII, 86. PIAC de, XX, 154. Piance, XI, 197. PIBRAC abbé Mathieu, chanoine de St-Orens d'Auch, XXIII, 313. — Gilles de Bertrand, XXIII, 312. Pibrac château de, XV, 133-140. — visite de Catherine rie Médicis, au château rie, XIV, 207. — excursion de la Soc. Arch. du Gers, au château de, XV, — Divers XVI, 216. PIBRAIL de. de Mareiac, XXIV, 279280. 279280. entrepreneur rie transports, à Auch, XIV, 134. PICARD, admin. mun. d'Auch, en 1792, XI, 37. — XXIII, 28. PICOT Jeanne, épouse du général Laroche, XIII, 261. PICQUÉ, praticien de Miélan, XXII 267. PIE II, pape, XV, 22, 23. — XVI, 17 PIE V, pape, XVI, 265. PIENNE duc de, XXIV, 108. Pienza Italie, XV, 84. PIERRE, évêque d'Aire, en 1061, XV, 152. PIERRE DE BÉARN, XIV, 302. PIERRE DE BIGORRE, vicomte rie Marsan, XV, 212. PIERRE-BUFFIÈRE de, XVIII, 235. PIERRE DE CORTÈS, notaire à Boulogne-sur-Gesse, XIII, 238. — 147 PIERRE DE REIMS, évêque d'Agen, XII, 48. PIERRE LE VÉNÉRABLE, abbé de Cluny, XII, 45-46. PIERRE DE VIC, XIV, 102. PIERRE-ROGER DE GABARDAN, XV, 146. Pierre tombale de Bernard du Faur, XVI, 241-244. — au musée d'Auch, XVII, 155. PIERRIS de, notaire à Sos, XIX, 35. PIETRO di, historien, XVII, 96. Pignans, XII, 298. Pignerol, XVI, 168. — XXI, 150. Piles gallo-romaines, XI, 94, 230-232, — XIX, 18-19. PILLET, rie St-Domingue, XVI, 106. PILON Germain, sculpteur, XXIII, 177. Pimbal fief du, XIV, 105, 175, 233. Pimbo, XV, 18. PIN du, XIV, 215, 220. — XV, 118. Pin lieu dit, le, près du Parré, XIV, 51, 175. — XXIV, 250. PIN DE LALLIER du, XXII, 324, — XXIII, 73-82. — XXV, 79. Pinéda. Espagne, XXIV, 339, 350. — XXV, 147. PINEL, XXIV, 320-321. Pinel prieuré du, XVII. 95. PINET, représentant du peuple, XII, 255, 201. — XIII, 145-140, 254. — XXII, 42, 71-75. — XXIV, 78. PINS de, chanoine rie l'Isle-Jourdain et prieur rie Touget, XXIV, 89. — Colonel rie la Légion d'Auch, en 1790, XXI, 172. — Marquis de, XI, 33, 35, 73, 109, 272, 291. — XII, 226, 361, 302. — XIV, 20, 108, 250, 201. — XV, 167. — XVII, 244. — XVIII, — XIX, 126, 134. — XX, 59, 60, 61, 64, 108. — XXI, 39, 241. — XXII, 117, 273. — XXIII, 191. PINS D'AULAGNÈRES de, XI, 292, — XII, 77. PINS-MONTBRUN de, XIX, 90. — XXIII. 143. — Anne de, épouse de Luppé, XV, 298. PIPINS de, XVII, 188. PIQUET, d'Auch, XII, 255. PIRY de, de l'Isle-Jourdain, XX, 29. PIS Bernard de, XIX, 124, Pis, XIV, 351. — XVI, 288. PISAN de, XVII, 192. PISSELEU Charles de, évêque de Condom, XXII, 57. PISSEMBERT, guillotiné en 1854, XXIV, 150, 160. PITOUS Pierre, XII, 220. Pitron salle de, en Riguepeu, XVII, 33-34, — XIX, 187. PLAIGNE de la, XVI, 183. Plaisance, fondation, XX, 96. — incendie, par les troupes du Prince Noir, XVI, 120. — période révolutionnaire, XI, 42. — XII, 270. — XXIII, 98. — Divers, XIV, 172, 344. — XVI, 238. — XXII, 201, 310. — XXIV, 139. Plaisance Italie, XVI, 237. PLANCHE, orfèvre d'Auch, XXIV, 85. PLANET, religieux do Gimont, XVI, 51. PLANHAS Pierre de, consul de VicFezensac, XX, 103. PLANTÉ, de l'Isle-Jourdain, XXIV, 90, 92. PLANTEL de Vic-Fezensae, XV, 57. PLANTEVIGNE, consul du Castéra-Verduzan, XIV, 173. PLANTIÉ, commissaire do l'an IV, XVIII, 168. PLATÉA de, de Gimont, guillotiné en 1794, XXII, 74. — XXIV, 81. Pléhaut, XIV, 51. — XV, 56, 62. — XX, 54, 57, 67, 69. PLÉLO de, ambassadeur au Danemark, XXI, 194. Pléou, XXV, 180 PLESSIS-JOIGNY de, XII, 242. Plessis le, XVIII, 18. Plessis-du-Parc ou Plessis-les-Tours, XVI, 177. — XVIII, 207, 209. PLIEUX, juge, rie Lialores, XIV, 186. — XXV, 15. Plieux XII, 89, 329. — 148 PLINE, le Naturaliste, XVII, 76. PLOCIUS, XVI, 190. Ploërmel, XIX, 54. PODENAS de, XIV, 178. — XVII, 28, 116. — XX, 57, 58. — XXI, 241. — XXII, 59. PODENSAN, consul de Bonas, XIV, 218. PODIO de, consul de Vic-Fezensac, XX, 103. — vicaire de Renoufielle, XXIV, 39. Poésie sous la Révolution la, hymnes et chansons, XXI, 278-284. — XXII, 44-56. — poésies anti-jacobines, XIV, 284-288. POEY de, seigneur rie Cassaber, XV, 16. POIGNANT Pierre, seigneur rie Moussy, XVI, 74. POINSOT, de Rayonne, XI, 29. POITIERS Alphonse de, XXI, 138. — Jean et Diane de, XX, 129. Poitiers bataille do, en 1357, XVI, 121. — Divers XVII, 134, — XVIII, 30, 31. — XIX, 53. — XXI, 136, 139. POLASTRON Alexandre de. XII, 125. — Arnauel-Guilhem de, XIII, 213, 226. — Bernard de, soigneur de Maurens, XIII, 227. — XIV, 260. — Géraud de, abbé, XVI, 41. — Louis de, évêque de Lectoure, XXI, 105. — XXIV, 33. — Madame de, XXII, 339. — XXV, 29. — Divers XI, 75. — XII, 226. — XIV, 138. — XV, 146. — XVII. 107. — XVIII, 74. — XIX, 29. — XX. 42, 50, 51, 97. — XXIV, 142. Police au Moyen-Age la, exemple de, Vic-Fezensac, XXI, 258-259. — sous le Consulat. XX, 33-34, 80. POLIGNAC abbé, XI, 39. — général de, XVII, 123. — Louis Dorlan de, émigré, XXIV, 325-320. — Divers XXII, 113. Polignac, XX, 58. — XXV, 200. — église de, en Gondrin, XVIII, 61. — XXII, 03. Polignan, XI, 205. Poligny Jura, XXIV, 326. POLISSIAC, de l'Isle-Jourdain, XX, 29. POLOZIE de, XVII, 44, POMARÉDE, de Béarn, XXII, 98. 315. — de, notaire à St-Clar, XX, 57. Pomaro le, près Condom, XXV, 321. POMEREU de, intendant de la généralité d'Auch, XIV, 113-116. POAPEROLS de, commandeur de Gimbrède, XXI, 220-222. — abbé du Locdieu, XXI, 223. POMIERS Jean de, XIV, 300. — XV, 14, 15. — XVII, 131. POMIES, XXIII, 74, — XXV, 79, 80. POMMÉ, secrét. de la Mairie d'Auch, XVI, 92, POMPADOUR Antoine de évêque de Condom, XXIII, 228. — Marquise de, XIV, 319. — XV, 168. Pompéï Italie, XII, 165. Pompiac, XXV, 295. Pompignan. XXII, 90. — XXIV, 196. POMPONIUS MELA. XIV, 268. PONCE 1er. abbé de la Case-Dien. XV, 55. PONCET DE RIVIÈRE-LABATUT, XVI. 84. — XVIII, 20. PONCIN, de Fleurance, XIII, 76. PONS, abbé de Simorre, XV, 152. — off. mun . de St-Clar, en 1793, XX. 117. — conseiller du Roi, XX, 26. — consul de Monfort, XV, 270. — XVI, 141. — de, soigneur de Ribérac, XVI, 239, 240. — XIX, 45. — Pierre de, lient. d'Armagnac au siège de l'Isle-Jourdain, XXII, 259. PONS-MAYNARD, notaire, XI. 47. Pons, XIX. 50, 53. PONSAN, notaire de Vic-Fozonsac. XIV, 102, 338, 242. — XXI, 43. — de, XVII, 40. — XX, 142-143. PONSAN D'ARROUZÈS OU DE ROZÈS, XVII, 240. Ponsan, XXI, 43. PONSIN Pierre, notaire royal à Mon- 149 fort, XV, 266, 209. — curé d'Auradé, XVI, 34. PONSON, curé de Ste-Christie d'Armagnac, XVIII, 38. — not à Vic-Fezensae, XVII, 27. — XX, 54, 56. PONTAC, de Touget, XXV, 139-140. — de, XXII, 325. Puntacq, XV, 292. Pontant abbaye rie, XVI, 233. Pont-aux-Dumes abbaye de, XIV, 34, PONTCHARTRAIN de, XV, 233-235, 241, 242. PONT-L'ABBÉ du, XVIII, 205. Pont-l'Abbé, XIX, 151. Pont-de-l'Arche, en Normandie, XIX, 56. Pont-de-Bordes, XXI, 117. Pont-de-Cé, XVI, 162. — XVII, 104, — XVIII, 18. Pont-de-Veyle Ain, XXIV, 317. — XXV, 159. PONTEILS DE CASTILLON-ROZÈS Sébastien de, émigré, XXII, 163-168. PONTEVÈS-SABRAN de, XV, 290. PONTIS ee, XVII, 96. Pontonx Landes, XV, 122. Pontournoy seigneurie de, XX, 68. , POPON DE MAUCUNE, XIX, 125. PORCIEN comte de, XVIII, 204, PORDEAC de, XXII, 313. PORQUET de, XV, 268, 276. Portaglion abbaye de, XVI, 42. PORTANET, XXIII, 109. Port-au-Prince, XIX, 146. PORTES de, XXIII, 75. Portet, XIV, 202. PORTO Peregrinus de, XXV, 119. Prort-Ste-Marie, XIV, 151, 158. — XXII. 161. — XXV, 190. Portugais et espagnols, reçus, en 1808, à la Loge maçonnique d'Auch officiers, XI, 266, 270. POTANI, chanoine-sacristain à SainteMarie d'Auch, XXII, 162. POTIER DE LA TERRASSE, XII, 226. — XIV, 157. POTTIER chanoine, de Montauban, XXIII, 249. Poudenas, XI, 46, 265. — XXII, 59. — XXIII, 273. — XXIV, 155. Poueylaün santuaire de, XV, 286, 287. Pouget chapelle de, XXIV, 238. Pouillés du diocèse d'Auch, XIV 7, 50. — XVIII, 42, 43, 262, 263, 266. — de Lagutère, du XVIIe siècle, XXV, 120. POUJOL de, XIV, 301. POULIE de, de Toulouse, XXIV, 262. POULVIÈRES, bandit bigourdan, XXII, 235. POUNS, curé de Blanquefort, XVI, 37, 38, 52, Poupas, XVI, 135. — XXII, 116. POUQUIÈS-ARMAGNAC, imprimeur à Auch, XXIII, 41, 42, 43, 46, 47, 111, 114-116, 121-122. POURCET, d'Auradé, XVI, 30. POUSSON, de Mirande, XXIV, 72. — de Pavie, XVI, 272. POUY comtes de, à Avensac, XX, 42. — XXI, 198. — seigneurs de la Salle de Pouy, en Arblade-Comtal, XXI, 39. — Madame de, Ursuline d'Auch, XIX, 88, 89. — seigneurs de La Teulère, XX, 73. — de Gimat, XIV, 109. — provincial de la Cie de Jésus, XXII, 328. — Divers XIII, 233. — XIV, 105, 173. — XXV, 272. Pouy-Arcaster, XVII, 184. Pouybet, près Lagraulas, XIV, 51. Pouy-Carrègelard Pouy-Roquelaure, XXIII, 273. POUYDEBAT, avoué à Agen, XXV, 257. Pouydraguin, XI, 69. — XVI, 181. POUY-FERRIÉ de, XII, 129. POUYLEBON de XXI, 241. Pouylebon, XIX, 144. — XXII, 134, Pouypardin château de, XI, 104. — XIII, 212 Pouy-Petit, XI, 105. — XX, 58, 59. POUYSÉGU, juge de paix à Barran, XXIII, 288. POY du, de Clairac, XVIII, 231. 150 POYANNE de, XVIII, 75. Poyanne, XIV, 116. — XV, 54. POYGATÉ, consul de Monfort, XV, 265. — XVI, 139. Poysentut seigneurie de, XXV, 80. PRACOMTAL de, XV, 127. PRADEL, orateur révolution. d'Auch, XI, 279. — XXI, 192. Pradère, XVI, 224, PRADÈRES, de Montégut, XXI, 247. PRASLIN de, XIV, 25. PRAT Bernard de, XX, 104. PRAT-FERRÉ de, député de RivièreBasse, XIV, 225. — consul de Bouit, XVIII, 173. Prats seigneurie de, XXII, 120. PRAVIEL, notaire à l'Isle-Jourdain, XVI, 17. Prébende, XIV, 110. Prêchac Fleurance, XI, 205. — XV, 89. — XVI, 181. — XX, 143, 146. — XXIV, 130. Préchac Plaisance, XVIII, 48, 49. Préhistoriques protestation de la Soc. Arch. du Gers, au sujet rie nos stations, XII, 92-93. PREISSAC de, seigneurs de Gavarret, XIII, 227, 228. — XIX, 38. — Divers XI, 69, 72, 75. — XII, 363. — XIII, 329. — XIV, 220, 354, 355, 373. — XVI, 160. — XVIII, 65, 68, 72. — XIX, 38, 40. PREISSAC D'ESCLIGNAC de, ducs de Fimarcon, XII, 229, 303, 304. — XIII, 49. — XIV, 175, 354, — XVII. 106, 111. — XVIII, 163, 165, 168. — XX, 161. PREISSAC DE MARESTANG de, XII, 138. Préjastruc, XIV, 129. prélation droit de, XXII, 344, 346. Prémontrés Couvent de, à Vic-Fezensac, XIV, 111, 231, 233, 378. — XV, 55. — XVI, 39. — XXV, 259, 263. PRÉNERON, de Vic-Fezensac, XXIV, 286, 287. — XXV, 259. Préneron, XIV, 51, 232. — XIX, 39. — XX, 98, 101. — XXII, 141. — XXIV, 26. — XXV, 264, — chrisme de, XVII, 69. Prensan métairie de, aux Carmes de Pavie, XVI, 268, 274. Préséance questions de, au chapitre d'Auch, XX, 43, 45, 80. — entre évêque et seigneur de Condom, XXI, 194-190. Presse liberté de la, en 1789, XXII, 206. Presse politique dans le Gers la, avant 1789, XIV, 159-167. — de 1792 à 1800, XXI, 60-69. Presse périodique dans le Gers, pendant la. Révolution la, XXII, 206224, 277-295. — XXIII, 37-54, 106-123. Prêtres du Gers, pendant la Révolution, voir Clergé du Gers. PRÉVOST Jean, XVI, 87. PRIELLÉ de, XVII, 244, PRIEUR, à Auch, XI, 39. — XV, 53. — du Comité de Salut publie, XXV, 305. — curé de Lourties, XXIV, 304, 305. Primevères » par Alberte Lalanne, XV, 85. PRINCE NOIR invasion du, dans le Midi, XVI, 120-121, 124, 127. — XVII, 311. PRINCE, rie Condom, XXI, 232. PRINHAM Bertrand de, XII, 23. Prisonnier pour dettes, XX, 84, 156158. Prix du travail et ries denrées, au XVIe siècle, XI, 318-319. Procuration droit de, XV, 221. — mariage par, XXI, 166. Projan, XVIII, 53. — XX, 153. — XXII, 297, 310. PROJEAN, vénérable de la Loge maçonnique d'Auch, XI, 28. PROSSET, bourreau d'Auch, XXIV, 145-148, 155. Protestants dans le Gers les, à l'Isle-Jourdain, XIV, 197-212. Voir L'Isle-Jourdain. — à Gimbrède, — 151 — XXI. 216. — à Simorre, XXIII, 226. Prouillan monastère de, XXI, 96. — XXII, 59, 114, 135, 144, — XXIV, 243. — XXV, 68. — La dernière abbesse du monastère de, à la Révolution, XXII, 147-158. PROUS, religieux de l'abbaye de StSever, XV, 202. Proverbes gascons proverbes météorologiques, XXIV, 357-373. — proverbes sur l'homme et la femme, XXV, 236-257, 324. Providence, à Auch Etablissement des Dames de la, XXIII, 32-34, — XXIV, 303. PRUADÈRE, XXIII, 152-153. PRUD'HON, XII, 37. PRUÈDE, instituteur à Pavie, XVII, 294, PRUÉRIIS, notaire à Lasseran, XVI. 268. PRUET, consul de Cézan, XIV, 174. PRUGNES de, XV, 264, — XVI, 132. PRUNIÈRES abbé, curé de Lasséran, XXIV, 324, Puch de Gontaud, XX, 56, 91. Puente-Réal Espagne, XXV, 147, 148. PUGENS, administ. du départ, du Gers, en 1792, XX, 114. — maire de La Romieu, XXI, 51. — de Manciet, XVIII, 79. — prêtre, XXV, 175. — de, XXI, 203. PUGET, d'Auch, XX, 49. — de, évêque de Digne, XXI, 105. Puget-Théniers, XXIV, 240. pugnère » droit de, XIV, 207. PUISOT, XIV, 326. Pujaudran, XXII, 262, 270. PUJO de, juge-mage en Bigorre, XXI, 197. PUJO DE LA FITOLE, XXII, 143, 226. PUJO-LÉRO de, XVI, 99, 105. PUJOLÉ Anne de, épouse de BatzCastelmore, XII, 111. — de, XXII, 121. Pujols, près Condom, XXV. 321. PUJOS, d'Auch, XI, 275. — de Riscle, XI, 39. — de Touget, XXV, 294. — notaire de Vic-Bigorre, XXII, 123. — archipr. de Villefranche-d'Astarac XXV, 92, — de, XV, 266. Pujos seigneurie de, en Lupiac, XIV, 51. — en Roquebrune, XIV, 51. — XVI, 242. — XVII, 27, 28, 243. — XX, 58. PULON de, consul de Riguepeu, XVII, 26. PUNTIS, curé d'Auradé, XVI, 34. PUNTOUS Dominique, régent à Simorre, XIII, 305. — XIV, 73. — Jean, granger rie Vic-Fezensac, XV, 59, 61, 64. — curé d'Auradé, XVI, 34, — curé de Lambes, XVI, 35. — vicaire de Goujon, XVI, 51. Putz, en Béarn, XVIII, 18. PUY dû, XXI, 149. — Marie du, épouse de Luppé-Taybosc, XV, 298. PUYBÉRAIL de, seigneur de Troncens, Troncens, 143, 337. — XXIV, 279280. 279280. XIV, 220, 351, 354, — XVI, 132. — XXV, 293, 294, Puycerda, Espagne, XXIV, 338. Puy-Courny, près d'Aurillac découverte de silex, à, XIV, 79. Puy d'Arnac, XXII, 147. PUYDORPHILLE de, seigneur de Gaspard, XXII, 266. Puy-en-Velay, XXI, 136. Puygaillard, XII, 125. — XXII, 99. Puy-la-Montagne, nom du Saint-Puy, sous la Révolution, XIX, 24. Puylaurens, XXII, 99, 315. — XXIII, 75. Puylausic, XVII, 96. Puymaurin, XIV, 335. — XXII, 258, 261. PUYMIROL, de Touget, XXV, 137-143. — Charles de, vicaire de Solomiac, XXIV, 250, 254. Puymirol, XXI, 216. — XXIII, 206. — 152 PUYO de, XXII, 135. Puyon château de, XV, 54, PUYSÉGUR seigneurs de, XI, 312. — sénéchal d'Armagnac, XIII, 178. — Voir CHASTENET DE PUYSÉGUR. Puységur, XI, 309. — XIV, 218. — XV, 33, 36. — XVI, 157, 159, 160. — XX, 141. — XXIII, 277. Puységur-la-Couture, XVI, 162. Puyssentul, XV, 275. PUYSTIENNE, notaire à Lannepax, XX, 53, 61, 62, 64, PY, fondeur de cloches, XXI, 288. — XXII, 200. Pyrénées A propos de la carte des, XV, 289. — Légende de tous les cols, ports et passages ries Pyrénées », par de La Blottière et Roussel, XXI, 206-207, 286. Q QUANTIGNY, XIV, 25. QUATERPUY Gaillard de, XVI, 222. QUESTEL, secrétaire rie la loge maçonnique d'Auch, XI, 28. Question supplice de la, XXIII, 209271. 209271. XXIV, 103. QUICHOTTE Une édition auseitaiue de Don, par X. de Cardaillac et Jean Labarthe, XXIV, 373-375. — XXV, 98. Quiétisme Contribution à l'histoire du, à propos du fleurantin Davesne, Davesne, 231-236. Quilles jeu de, en Gascogne, XIV, 140. Quimper, XXIV, 170. — XXV, 158. Quinçay monastère de, XVII, 265. QUINSAC, d'Auch, XI, 315. — XII, 257. — XV, 66, 67. — XXII, 41, 348. QUINTIEN, évêque de Rodez, XVII, 281. Quintin Côtes-du-Nord, XX, 75. QUOQUINS de, notaire de Samatan, XVII, 197. R Rabastens, XIII, 306. — XX, 153. — Cordeliers de, XXII, 94, — siège de, en 1570, XXI, 168-169. — XXII, 118. — XXIV, 25. Rabat baronnie de, XVII, 131. RABAUT-ST-ETIENNE, XI, 29. RABIN, prêtre do Lectoure, guillotiné en 1794, XXIV, 133. RABIT, de St-Arailles, XVII, 122. RABODANGES, XVIII, 14. RABON, secrétaire de la mun. de StClar, en 1793, XI, 37. — XX, 118. RACAULT, XVIII, 208. Radicaux celtiberriens dans quelques noms de lieux de Gascogne, XI, 203-211. RADULPHE, chanoine d'Agen, XXI, 227. RAFFY, assesseur des consuls, d'Auch, XVI, 92, RAFIN de, XXI, 141. — XXII, 119, 271. Ramau seigneurie de, XIX, 38. Rambos, en Riguepeu, XVII, 25. RAMEL, officier légionnaire, en 1792, XII, 262. RAMON, de Mirannes, XIII, 276. Ramouzens, XIV, 254. — XXI, 117. — XXIV, 170. RAMPSTON, sénéchal do Guyenne, XV, 120, 124, Rançon par contrat une, XVIII, 221 RANE de, XIX, 128. RANSAN, de Pavie, XVI, 272. — XVIII 109. — de Terraube, XXV, 285, 290 RAOUILH , boulanger d'Auch, XVI, 92 RAOUL DE NESLE, XIII, 109-110. RAPIN de, XXII, 321. RASCAT, bourreau d'Auch, XXIII, 264, — XXIV, 61, 71-72, 79-80, 327. RASSE, avocat, XIII, 228. Rastadt bataille de, en 1796, XIII, 257. — trêve de, en 1797, XIII, 259. — assassinat rie plénipotentiaires français à, XIII, 259. 163 — RATAN, XXIII, 109. RATIER Arnaud, notaire à Muret, XVII, 197. — franc-maçon de Toulouse, XI, 29. Ratisbonne Espagne, XXV, 282. RAUCOURT, de Condom, XXV, 176. Raucoux, XVII, 110. RAULIN, médecin gascon de Louis XV, XIII, 33, 268. — XIX, 20. — XXV, 198. Raveneau, XXIV, 104, Ravitaillement civil et loi du maximum, XX, 35-41. RAYMOND Florimond de, XI, 158-159. RAYMOND, en 1783, XIII, 138-139. RAYMOND, abbé de St-Luper d'Eauze, XV, 152, RAYMOND, abbé de Saint-Orens, XV, 152. RAYMOND, évêque de Bayonne et Bazas, Bazas, 152. RAYMOND-ARNAUD, DE BÉARN, XIV, 302. RAYMOND-BERNARD, de Castelnau-de, Tursan, XV, 15, 16, 17. RAYMOND-EBBON, évêque de Lectoure, XV, 152. RAYMOND-PABA, XIV, 43, 99. RAYMOND II DE PARDIAC, arch. d'Auch, XV, 211. RAYMOND-ROGER DE COMMINGES, XV, 121, 124, RAYMOND DE ST-MONT, fondateur de l'abbaye de ce nom, XV, 145-146, 152. — XXII, 181. RAYMOND, Jean, de Toulouse, XVII, 208. RAYMOND VI, comte de Toulouse, XVIII, 94, RAYMOND VII, comte de Toulouse, XI, 102. — XVI, 40. — XXII, 88. RAYNAL, procureur du Roi, à Toulouse, XXIV, 260. RAYNAUT-CORNE, curé d'Aurens, XXIV, 168. Bazengues, XXII, 90, 312. — XXIII, 194. — XXIV, 38. Réans, sous la Révolution, XII, 176177. — XXI, 53. — XXV, 180. RÉARTHUS, XX, 124. Réaut découvertes d'objets paléolithiques à, XIII, 290-291. REBOURGUIL Colonel de, XII, 243. Recherche rie la paternité au XVIIe siècle, XIII, 295. — XIV, 117-121. RÉCHOU, rie Vic-Fezensac, XIV, 242. — XXV, 166. — de, lieutenant du juge en Fezensac, XXI, 263. Réclame de notaire au XVIIe siècle liste de notaires et d'actes notariés concernant les anciennes familles du Gers, XIII, 23-30. Récoltes, voir Agriculture dans le Gers. Recommandation » au Moyen-Age, XV, 144. Reconnaissance droit de, XV, 75-78, 185. Recrutements militaires, sous la Révolution, XII, 257-265. — Loi sur le recrutement, en 1793, XXIV, 309, 312, RECURT de, XVI, 267. Rédacteur impartial » Le ou la feuille patriotique du département du Gers, XXIII, 46-54, 106-109. Redevances seigneuriales, sous le régime féodal, XVII, 232-236. REDON de, XII 363, 364, — XVI, 148 Bedon abbaye de, XVII, 133. — assemblées des Etats de Bretagne à, XVIII, 202. — Divers XIX, 154, 155. REFFEINE, de Gimont, XI, 38. Réfugiés espagnols en France, en 1813, XI, 269-270. — XIV, 139. REGOFRE Gérauld, XVI 22. — XVII, 237. Régiments recrutés dans le Gers ou casernés à Auch, XII, 145-164, 242271. — XIII, 147-148. — XXIV, 303. — Voir Volontaires de 92. — Excès commis par des régiments de pas- — 154 — sage en Languedoc et en Bigorre, XV, 292. Règlement scolaire, de 1795, XXV, 229-233. REGNAT, vicaire de Clermont-Savès, XXIV, 49. RÉGNIER, ministre, XI, 203. Reims, XII, 115. REISET Comte de, XXIV, 143. Béjaumont, XVI, 243. — XVII, 178. Religieuses parodies oraisons et sermons révolutionnaires, XXI, 271275. Reliure André Boule » sur un livre du XVIe siècle, XXIII, 103-105. RELONGUE, juge en Fezensac, XXI, 262, 268. — de, XX, 67. — XXIV, 279. — chanoine de Vic-Fezensac et archiprêtre, XIV, 109,112. — XV, 64, RÉMAURIN, consul de Monfort, XVI, 141. RÈME, administ. du départ, du Gers, XX, 110, 116. RÉMEIGNON, de Lannepax, du Directoire du départ, du Gers, XI, 37, 41. — XXIII, 95. RÉMIGNON, curé de Ramouzens, XIV, 254. Rémission Etudes de Ch. Samaran, sur les lettres de, XI, 330. Renaissance religieuse, au XVIIe siècle, XVIII, 41, 45-46. RENÉ II, due de Lorraine. XIX, 51, 52. RENELLI, notaire de Marciac, XVII, 20. RÉNERY domaine de, XIV, 23. Bennes. XIX, 151. Renoufielle, paroisse disparue près l'Isle-Jourdain, XIV. 346. — XX, 25. 28. — XXIII, 335. — monographie, XXIV, 36-49. Rentéria. XVIII, 203. Réparation d'honneur procès en, XIV, 117-121. — cérémonie de réparation publique, XIII, 298, 299. — XIV, 66-70. Repas prix des, eu 1809, XIV, 134136. RÉPÉRIA, notaire de Vic-Fezensac, XX, 105. Repos dominical, au Moyen-Age, d'après diverses coutumes, XXIII, 233. Républicain démocrate » Le, journal d'Auch, XXIII, 121-123. Requête ries Etats d'Armagnac au Roi, en 1591, XXI, 180-183. Réquisitions militaires, XII, 145, 146, 147. — XIV, 171, 200-203. — de soldats. pour l'armée révolutionnaire, XXIV, 249. — XXV, 99, 291-297. — rie fourrages, pendant la Révolution, XXI, 48. — des cendres, XXIV, 251. — réquisitions diverses XIII, 73, 278. 279, 287. — XXIV, 253. Requoussin, XI, 45. RESSÈGUIER de, XIV, 372, — XXII. 273. Retables origine commune des, autels, tabernacles sculptés, XVIII, 46. — rétables gascons, XV, 191. — XVI. 149. — XXI, 97. — de la chapelle du Collège d'Auch. XXV, 221. — de la Renaissance, à Guchen Hautes-Pyrénées, XV, 283. Rethel, XVII, 105. RETZ Cardinal de, XV, 108. Reus Espagne. XXIV, 350. — XXV, 53-55 REVEL, de Cuq, XXI, 218, 219. Revenus agricoles, voir Agriculture dans le Gers. REVERDIDE Jeanne, dernière religieuse de l'abbaye de Goujon, XVI, 46. REVERSAT DE CÉLÈS DE MARSAC de, XIV, 28, 328. RÉVIGNAN de, XIII, 228. RÉVILLIAC-LOT Alexandre de, abbé commendataire de Berdoues, XVIII, 107. Révolution dans le Gers Contribution à l'histoire de la, XIII, 272-281. La vie à la campagne pendant la — 155 — Révolution, XIX, 61-63. — Ravitaillement civil et coût de la vie, XX, 35-41. — Curiosités révolutionnaires, XIX, 64-66, 105. — Etat religieux du Gers, en 1789, XXIII, 252. — la persécution religieuse, voir clergé. — Vente des biens d'église, XXIII. 301-307. — inventaire des biens d'église, XIX, 103-104, Voir Inventaires. — La presse politique, dans la généralité d'Auch, à la veille de 89, XIV, 159-167. — La presse périodique, dans le Gers, pendant Révolution, XXII, 206224, 277-295. — XXIII, 37-54, 106-123. — Littérature révolutionnaire, XIX, 111. — Eloquence révolutionnaire dans le Gers, XIX, 115. — XX, 107122. — XXI, 60-69, 170-179, 271-284, — XXII, 44-56. — Doctrine et morale révolutionnaires, XXV, 200-213. — La guillotine dans le Gers, pendant la Révolution, XXIV, 64-82, 133-144, — Propagande contre-révolutionnaire. Synonymes nouveaux », pamphlet, XIX, 93-97, 107. — Voir fêtes civiques, Sociétés, etc... — Etudes de Ch. Palanque sur la. XI, 13-14, REY, chanoine de Ste-Marie d'Auch, XXI, 199. — juge de paix à Auch, XXIV, 306. — de Pavie, XVI, 273. — XVII, 299. — de, consul d'Auch, XVI 92. REYNÉ, d'Auch, XXIV, 310-311. RHIDES, médecin de Pavie, XVII, 291. — XVIII. 102. RIBADIEU, de Vic-Fezensac, XXI, 56. — XXIV, 285. RIBÉRAC de, XII, 300. Ribérac, XVI, 239, 240. RIBES, de l'Isle-Jourdain, XVIII, 122. RUBIS, vic. de Ste-Christie-ri'Armagnac, XVIII, 59. RICALI, notaire d'Eauze, XIV, 61, 70. — XVIII, 39, — XXI, 37. RICARD, avocat, XXIII, 192, — P. JeanPierre, cordelier de Nogaro, XVIII, 180. RICAU, de Vic-Fezcnsac, XXIII, 154, Ricau, en Gondrin, XVI, 94, RICAUD, d'Auch, XI, 204, 265, 272, Ricaud, XII, 307. RICAUT, consul rie Villefranche-d'Astarac, XXV, 92. RICHARD II, roi d'Angleterre, duc d'Aquitaine, XV, 17. RICHARD de, conseiller du Roi, XXIV, 260. RICHELIEU Cardinal de, XII, 300, 302. — XIV, 113, 345. — XVIII, 235. — XXII, 317. RICHELIEU Colonel de, due d'Aiguillon, XII, 240. RICHELIEU maréchal de, gouverneur de Guyenne et Gascogne, XV, 162, 291. — XX. 42, 44, 46-51. RICHEMONT Artus de, connétable de France, XVII, 128, 129. RICHEMONT, consuls rie Lectoure, XXL 203, 204, RICHET Géraud du, XIV, 323. RICHIER DE CERISY évêque de Lombez. XIV, 137. RIEUMAJOU. de XXI, 55. Rieumes, XXII, 266. Bieupeyroux, XIX, 178. Rieutort le, XIII. 272, 273. — XIV, 26, 215. — vente du château à Louis XV. XIV, 324-328. — établissement des haras. XVII, 14. — leur suppression, XIV, 27. RIEUX maréchal de XIX. 47, 51, 52, 55, 56. 151-155. — XXIII, 62. Rieux. XI, 212. — XVII, 197. — XVIII, 132. — XIX, 153. — XXI, 145. — XXII, 98, 120. — XXIV, 330, 350. RIGAIL DE MAIGNAN, conservateur des domaines, on Armagnac, XIV, 47. RIGAUD Pierre, abbé de la Case Dieu,XIX, 38. 156 — RIGNOI. Pierre de, poète, XIV, 155. RIGUEPEU Enard et Gauthier de, XVII, 23-24. — Carbonel de, XX, 143. Riguepeu, XIV, 111. — XVII, 158. — monographie, XVII, 16-46. RIMAILHO, notaire de Nogaro, XVIII, 49. Rimbès seigneurie de, XIX, 31, 33. RIOLS de, XVIII, 39. Riom, XVI, 76. RIONEAU, doreur à Auch. XIV, 251. 255. Rions, XV, 122. — XVI, 240. RIQUET de, XVII, 284. RlQUETTI de, marquis de Mirabeau, XIV, 325. — Voir MIRABEAU. RISCLE, Vic. d'Auradé, XVI. 34. — vie. de Ste-Christie-d'Armagnac, XVIII, 59 Riscle, XI, 39. — XIV, 172. — XV. 150, 219. — XVI, 120, 177, 178, 181, 184, 230. — XVIII, 40. — XX, 101. — XXI. 117, 126. XXII, 247. — Découvertes d'objels paléolithiques, XIII, 291. RISON, de Saint-Orens-Pouy-Petit. XXIII, 296. Rieumajou en Béarn, XVIII. 18. Rivalité entre Comte d'Armagnac et seigneur de Gaure, XIII, 105. Rivalité entre roi d'Angleterre et Gaston de Béarn, XIII, 106. Rivalité entre maisons de Foix et d'Armagnac, XVI, 111. Rivalité entre deux maisons de Gascogne, Latour et le Baratnau, XIII, 205-234. RIVIÈRE de la, gouverneur d'Auch, au XVIe siècle, XI. 199. RIVIÈRE de, sénéchal d'Armagnac. XIX, 38. — XXI, 140, 154. RIVIÈRE, secrétaire des consuls d'Aubiet, d'Aubiet, 156. RIVIÈRE, off. num, de Condom, XXI, 231. — notaire à Courrensan, XX, 60. — juge en Fezensac, XXI, 262, 263. — consul de Mouchan, XXII, 302. — curé de Saint-Lary, XXII, 141, 355. — procureur à Vic-Fezensac, XIV, 316. — XXI, 57. — XXIII, 140, 147, 316. — XXIV, 50, 52, 285, 289. — Divers XI. 276. — XIV, 363. — XVI, 181. Rivière-Basse, liste des seigneurs avec privilèges et exemptions, XI, 09. — collecte de, XIV, 169, 170, 215, 223, 225. — comté et jugerie de, XIII, 236. — XVI, 102, 238. RIVIÈRE-LABATUT Odet de, compagnon de Jeanne d'Arc, XXI, 35. — Divers XI, 70. — XV, 206. — XVI. 89. — XVIII, 20. — XXII, 144, RlVIÈRE-LA-PAILHÉRE de, XX. 58. Rivière-Verdun, XIV, 65, 75. — XV, 69. — XVI, 184, 253. — XVIII, 10 124, 132. — XXIII, 21. RIVIÈRES Baron de, XIV. 366. RIVIS, XIV, 347. Rixes entre soldats et habitants, officiers et étudiants, à Auch, au siècle, XII. 145, 140, 151, 155-157. — entre le Royal Navarre » et la garde nationale d'Auch, XII, 158, 164. RIZON, de Condom, XXIV, 172. — de Larressingle, XIII, 189. — curé de. St-Mézard, XXI, 187. ROBEC de, XVI, 101. ROBERGEOT, plénipotentiaire français, XIII, 259. ROBERT, comte d'Artois, XVI, 111. ROBERT, chanoine de St-Orens d'Auch, XIV. 254, ROBERT de XVI, 41. ROBESPIERRE, XIII, 125. — XIX, 95. — XXI, 63. 64. 189, 192. — XXII, 55, 280-282, 291. — XXIII, 40. — XXIV, 222. 223. 255. 354. — XXV, 157, 203. 210-211. 305. ROBINEAU, consul de l'Isle-Jourdain. XXII, 274, 306. 157 ROBINET D'AMFREVILLE XV, 117. ROBINET DE CLÉRY, XIV, 212. ROCA de, XVII, 208. ROCHAS Colonel de, XIII, 15. ROCHE, ouvrier d'Auch, XII, 257. ROCHE-AYMON Ch. Ant. de la, arch. de Toulouse, XXIV, 45. ROCHECHOUART Athénaïs de,. XI, 26. — Antoine de, sénéchal de Toulouse, XVI, 265. — Divers XII, 302. ROCHEFORT Godefroy de, vic-général d'Auch, XVII, 40. ROCHEFORT Guillaume de, chancelier, XIX, 152. ROCHEFORT-ENVARAGNES de, XVII, 99. Rochefort-sur-Mer, XXIV, 327. ROCOLLE, consul de Touget, XXIII, 23, 25, 130. ROCOSVLLLE de, XVI, 142. ROCQUES, buraliste à Condom, XXI, 234. Rodelle château de, en Rouergue, XIII, 19. — XV, 27. Rodez, XV, 125. — XVI, 115, 121. — XXI, 156, XXIII, 309. RODRIGO DE BAVADILLA, XV, 205. ROÈDE Jean de, de Vic-Fezensac, XIV, 109, 239. — XXI, 268. ROEDERER, XIX, 95. ROGER de, XV, 266. ROGERY, off. mun. de Condom, XXI, 231, 232. ROGET DE BELLOGUET, XIX, 101. ROHAN et ROHAN-CHABOT dues de, Ferdinand, arch. de Bordeaux, XX, 127. — Pierre, comte de Porcien, maréchal de France, XVIII, 204, — François, sire de Léon, XIX, 151. — Divers XIII, 294. — XIV, 26, 325328, 332. — XV, 36, 38. — XVI, 73, 132, 185. — XVII, 30. — XVIII, 104, — XIX, 52, — XXII, 308, 357, 359, 363. — XXIII, 66. ROJAS de, noble castillan, XVIII, 206207. 206207. DE LA PLATIÈRE, conventionnel, XIV, 285. — XXV, 159. ROLLAND Elisabeth, sage-femme de Gondrin, XVIII, 260. — XXII, 175. — Guidon, juge de Villelongue, XIII, 46. — XVI, 24, 226, 228. — Hugues, notaire de Nogaro, XVI, 178, 181., 182. — Divers XII, 115. ROLLEAU, XIX, 139. ROLLET, notaire de Toulouse, XXI, 165. ROLLIN Bertrand, XV, 117. — historien, XXV, 145. Romagnano, XIV, 123. Home, XV, 84. — XVIII, 64, 68, 74, 75. ROMEGOUS, off. de santé, à Auch, XI, 275. ROMGE Bernard de, XVIII, 89. Roncevaux, XIII, 108. ROQUADE de, XVI, 140. Roque-Ordan La, XIV, 51. Roquebrune, XIV, 51. — XVII, 28. — XX, 58, 101. — XXI, 38, 159. — XXV, 166, 262. Raquebrou seigneurie de, XVII, 98. ROQUEFEUIL, Guillaume de, XXI, 220. — Cardinal Raymond de, grandmaître de l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem, XXI, 222. ROQUEFORT Hugues de, évêque de Bazas, XV, 222. — Raymond de, de Cuq, XXI, 218, 219. Roquefort-sur-Gers, monographie du château, XV,. 26-47, 99, 187. — chrisme de l'église, XVII, 64-66. — Divers XI, 309. — XIII, 299. — XVI, 159. — XX, 141. Roquefort-de-Marsan, XIV, 294, 295, 300. — XVI, 232. — XXII, 298. ROQUELAURE Antoine de, maréchal de France, gouverneur de Lectoure, XXI, 238. — XXII, 258. — Aymeri de. XII, 125. — Gaston, Jean-Baptiste, duc et. pair, XXI, 250, 251. — XXII, 136. — Marie-Angélique, épouse de Verduzan, XII, 127. — Maréchal-duc de, baron de SaintAvit et du Paravis, XX, 136. — XXII, 120. — seigneurs de Biran et Lavar- 158 — riens, XI, 291. — XIII, 291, - XVII, 98, 99, 105. — seigneurs de Riguepeu, XVII, 30. — seigneurs de Roquefort, XV, 36. — Ducs de, XI, 71, 73. — XIV, 324-329, 332, 347. — XVI, 73, 138, 160. — XVII, 95, 191, 192, 200, 248. — XVIII, 74, 75, 101. — XIX, 125. — XXII, 78, 94, 116, 305, 306, 314. — maison des ducs de;, à Auch, XIX, 86, 89. — Régiment de, XI, 299. — XXI, 250. — XXIV, 195. Roquelaure village et duché de, XII, 77, 80. — XIII, 65, 113, 294, — XIV, 13, 25, 26, 116, 174, 218. — XIX, 77. — XX, 101. — XXI, 200, 201, 238. — XXII, 201, 241. — XXIV, 250. ROQUELAURE-ST-AUBIN de, XI, 74. — XXV, 70, 295. ROQUEPINE de, XIII, 216, 225. — XXV, 191. Roquepine, XI, 105. — XIV, 354. — XIX, 84, 85. — XXII, 313. — XXIII, 273. ROQUES, d'Audi, XVII, 287. .— administr. administr. départ, du Gers, XX, 110. — Bernard, chirurgien, XIII, 33. — de Condom, XXIV, 237. — de Mournède, XIII, 284, 286. ROQUES DE RÉCHOU Dues, insulines de Vie-Fezensac, XIV, 318. — XXI, 270. — XXV, 267. Roques, XIV, 63, 291. — XIX, 172-173. — XX, 60. — XXI, 160. — XXIV, 125. Roquescrière seigneurie de, XXIII, 183. Roquetaillade château de, près Auch, XI, 276. — XXIV, 284. ROQUETTE de, évêque d'Autun, XXII, 190. ROQUETTE-BUISSON de, XXIII, 334. Ros de, seigneurs d'Endoufiello, XI, 280. — XIII, 45, 46, 48. — XVI, 225, 227, 229. — abbesses de Goujon, XI, 280. — XVI, 42. ROSSEL, de Clermont-Savès, XXIII, 81, 82 — de l'Isle-Jourdain, XXlI, 311. — accusé de sorcellerie et pendu, XXII, 299-300. Rossignol terre de, eu Flamarens, XXI, 139. ROUAULT maréchal Joachim, XVI, 70. — XVII, 127, 128. ROUDET, de Plieux, XIV, 09. ROUDYE, XIV, 118,120. ROUÊDE Jean de, marchand de VicFezensac, VicFezensac, XXI, 41. Ruuède seigneurie de, XII, 27. — XXI, 163. ROUELLE, de Toulouse, XXIV, 41, 42. Rouen entrée du duc de Normandie à, XVII, 137-139. — siège de 1562, XIII, 208. — XIX, 160. — Divers XXV, 276. Rouergue sénéchal de, XVI, 173. — châteaux de, XVI, 175. ROUFFILLAC de, XIX, 128. ROUGET DE L'ISLE, XXI, 281. ROUHÈDE, vicaire de Pavie, XVIII, 102. ROUILHAC de, XIII, 214, Rouilhac, XII, 329. — XXI, 137, 138, 148, 217-218, 220. — XXII, 89. ROUILHAN de, XVII, 116, 118, 119. — XXIV, 142. Rouilhan, XI, 45. — XXV, 171. ROUMAIGNAC de, XX, 29. ROUMÉGUÈRE, curé de Blanquefort, XVI, 38. — curé de Sainte-Christied'Armagnac, Sainte-Christied'Armagnac, XVIII, 58, 59. Roumiguès lieu dit, près Miradoux, XX, 135. ROUQUETTE de, XIV, 17. ROUQUETTE, de la Soc. pop, de Fleurance, 75. ROUQUETTE D'AMADES de, capitoul de Toulouse, XXIV, 261. ROUSSEAU Jean-Jacques, XIII. 142. 264-265. — XIV, 166. — XXV, 44, 201, 203, 212. — Son éloge, Desmolin, XII, 318-326. ROUSSEL, de St-Avit, XXIII, 189. ROUSSILLE, d'Auch, XII, 256. — 159 — ROUSTAN, de Gimbrède, XXI, 111. Routgès, XI, 45. Routes insécurité des, dans le Gers, pendant la Révolution, XXIII, 284. — en Bigorre, au XVIIIe siècle, XXII, 234-235. Routiers dans le Gers exploits commis par les, XVIII, 92-95. — enrégimentatiou des, XXII, 249. ROUVILLE de, XVII, 134, 138. — XVIII, 14, 15. Roux de, XVI, 93. — d'Auch, XI, 30, 37. — Divers XVI, 138. — XVII, 188. — XX, 75. ROVÈRE Antoine et Léonard de la, évèques d'Agen, XXV, 118. — Cardinal de la, XXIII, 212, ROY de, XXIII, 278. Royan, XVII, 104, ROYE chroniques de Jean de, XVI, 82, 83, 87. Roye, XVI, 81. ROYER, de Mirande, XXIV, 72, ROYÈRE, XXII, 147. ROYON abbé, XIX, 107. — historien et auteur dramatique, XXV, 158. Roze-lès-Castillon-de-Batz, XIX, 61. Rozics de, aumônier, XXIV, 21. ROZÈS, de Vic-Fezensac, XXI, 269. — XXIV, 50, 51, 285, 290. — XXV, 163. — chirurgien de Saint-Lary, XXII, 226. Rozès, XIV, 109. — XIX, 174. — XX, 98. — XXIV, 29. ROZIÈRES, XXIV, 326. ROZONET Pierre de, XIV, 111. RUBE de, notaire de Pavie, XVII, 197. RUDELE de, vicaire-général. XXIV, 40. RUDELLE de, XXIII, 183. RUDELLE Etienne, imprimeur à Nogaro, XVIII, 179. RUDET, auteur du mausolée de d'Etigny, à la Cathédrale d'Auch, XIV, 39, RUEIL de, XVI, 86. RUFFAT Antoine, d'Auradé, XVIII, 139. RUFIN, d'Eauze, XVII, 78-84, RUFIN, prêtre d'Aquilée, XVII, 87. Ruines gallo-romaines, à Séviac, XII, 272-275. Voir Découvertes. RULLECOURT de, XIII, 136. RUPPÉ de, XI, 179. — XVI, 49. — Voir de LA ROCHE. RUTHIE ou RUYTIER de, XVII, 132133. 132133. S Sabaillan, XIII, 239. — XXIII, 227. — XXIV, 150. — XXV, 92. Sabalero, XXII, 235. Sabanès archidiaconé de, XVI, 241. SABARDAN de, XVIII, 88. SABATHÉ, de Barcugnan, XIV, 347. — de Mirannes, XIII, 270, 279. SABATHIER, procureur royal, XV, 266. SABATIER, instituteur à Auch, an VI, XV, 50, 51. — commissaire de guerre en 1792, XII, 261. — de Cologne, XXII, 194. — Divers XXV, 43. Sabazan, XIV, 215. — XVI, 180. — XVIII, 49, 183. SABEAU, XIV, 18. Sablé, XIX, 152. SABONNÈRES de, XVI, 219. — XVII, 104, SABONNIÈRES de, XI, 76. —XXII, 101, 274, 305. Saboulies seigneurie de, XXV, 77. Sadellhan, XIV, 363. Sages-femmes en Gascogne, XVII, 318. — XVIII, 259-260. — XXII, 174175. 174175. vicaire de Clermont-Savès, XXIV, 46. Sahuguède, XIV, 335, 339. — XXII, 263. — 160 — SAHUQUE, cure d'Aurade, XVI, 34. SAIGUÈDE, notaire d'Auradé, XVIII, 136. Saillans baronnie de, XXII, 100. Saillères seigneurie de, XXI, 242. — XXII, 227. Saintes, tirés Simorre, XXIII, 220-227. Saintes, en Charente, XVI, 194, Saintours seigneurie de, XXII, 312, 313. SAINTRAILLES, XVI, 294, 295. Saintrailles seigneurie de, XXII, 320. Saints guérisseurs, dans le Gers Contribution à l'étude des, XVIII, 262263, 267. SAINTURIN Vital, architecte auscitain, auscitain, 240. Saisie-mobilière, au XVIIIe siècle, XIV, 348-350. SALABERT, secrétaire de l'évêché de Lombez, XII, 289. — de, XVII, 245. SALANOBA de, XV, 57. SALAVERT, maire de Mirannes, en 1793, XIII, 273-277. SALAZAR Tristan de, archevêque de Sens, XV, 119. — seigneurs de. XV, 118, 125. Salces, en Roussillon, XI, 08, 72. Saléchan, XI, 205. SALENEUVE, XVI, 273. SALERN de, XIV, 17. SALES de, XVI, 171. — XVII, 25. 26. SALES, syndic municipal de rouget, XXIII, 21, 23, 24, 28, 129, 134, 301. — XXIV, 83, 178, 248, 251, 255. — XXV, 301, 302. SALETTE, de l'Isle-Jourdain, XXV, 143. SALÈVAS de, XX, 26. SALINE, XVI, 141. SALIS OU SALINIS Bernard de, XV, 221. — Fort de], sénéchal d'Armagnac, XIX, 29. Sallèle seigneurie de, XVI, 284, SALLENAVE DE MAIGNÉ DE, généalogie, XVI, 93-108. SALLENEUVE LACROIX DE, trésorier de France, XVIII. 105, 106. — XXII, 356, 357. SALLES de, XVI, 181. — XVII, 95. — XVIII, 52. SALLES Pierre, vicaire de Ste-Christie-d'Armagnac, Ste-Christie-d'Armagnac, 59. SALLES DE LAMAURAGUE, XIII, 135. Salles, XVIII, 170, 175, 182. " Salles » Origine des, XVII, 194, SALLET, off. mun. d'Eauze, XII, 175. SALLUSTE de, seigneurs de Canet, XV, 266. SALNEUVE de, XIX, 140. Salo Espagne, XXV, 54. SALOMON de, ingénieur royal, en tournée à Auch, XII, 148. Salpêtrerie, dans le Gers, en 1794, Une, XXV, 305-315. Salpinson, en Mauvezin, XVI, 130. Stalses, XVII, 104. Salace Italie, XVI, 168. SALUCES Marguerite de, comtesse de Comminges, XV, 24. — XXIII, 228. — Divers XVI, 78, 85. Saluces marquisat de, XXII, 266. SALVANDY de, XIV, 266. SALVANDY, jurât de Condom, XXV, 310, 320. SALVAT, bénédictin de Touget, XXIII, 140, 301, 307. — XXIV, 94. SALVED DE CASTETS, XIV, 102. Samadet, XXI, 286. — XXII, 71. SAMALENS, notaire à Auch, XXIV, 314. — off. mun. de Pavie, en 1790, XVI, 270, 274, — notaire à Pavie, XVIII, — consul de Lamazère, XXIII, 241. — praticien à Auch, XI, 275. SAMANS Jean de, vicaire-général de Lombez, XVI, 19. — XVIII, 126. SAMARAN de, XVII, 208. Samaran, XVI, 288. Samatan, coutumes judiciaires, XIV, 183, 184. — la grande peur, XIV, 260. — Période révolutionnaire, XI, 37, 42. — XXIII, 116, 117. — XXIV, 106, 161 — 259. — Divers XIV, 334, 330, 353. — XV, 128. 129. — XVII, 197, 232. — XXI, 104. — XXII, 201, 200, 271. — XXIV, 199. — XXV, 73. SAMZAN, maire de Cologne, XXIV, 249. — XXV, 295. Samazan, près Marciac, XXI, 242, 245, 247. — XXII, 136. SAMPIERO D'ORNANO, XIII, 301. — XIV, 122-127. SANGE de XVII, 208. SANCERRE maréchal de, XX, 155. SANCET, chapelain, de Saint-Pierre d'Aueh, XII, 223. — procureur royal en Fezensac, XIV, 175, 225. SANCHE Guilaume, archidiacre de Pardeilhan, XXII, 113. — Raymond, abbé de St-Sever, XV, 213. SANCHE DE Vic, prieur de Sarrancolin, XV, 222. SANCHELY , marchand de Toulouse, XXIV, 202. SANCHO-NAVARRO, XIX, 56. SANDRAS Catien de Courtilz de, XII, 101. — XIII, 86-90. SANGUÈDE, curé d'Auradé, XVI, 34. SANGUINÈDE de, XVI, 113. SANMARTIN Jean de, vice-sénéchal d'Armagnac, XVI, 152, — son testament, testament, 277-283. SANS DU COUSSOL, XV, 218. SANS DE LIGARDES, commandeur de Gimbrède, XXI, 138, 139. SANS DE LA RIVE, XIII, 238. SANSAC, bourgeois de Vic-Fezensac, XIV. 108. Sansac seigneurie de, XVII, 131. — XVIII, 204. — XIX, 157, 158, 100. Sansan, XI, 205. — XVI, 287, 288. — XXIV, 304. Sansons seigneurie de, XXI, 160. SANSOT Alfred, notice biographique, XII. 374-375. — citoyen d'Auch, en 1793, XI, 275. — XVII, 220. — XIX, 165. — de Montréal, XXI, 53. — curé de Rignepeu, XVII, 41. — curé de Sainte-Christ ie-d'Armagnac, XVIII, 58. SANSSOT de, XVII, 41. SANTERRE, procureur au Parlement de Toulouse, XXII, 92. Saragosse, XIV, 133. — XV, 205. Surarnon, abbaye, XVII, 181 — abbés, XIV, 138. — XV, 152, 222, 225, 228. — XVI, 209. — XXIII, 236, 238. — curés, XXIV, 127. — Période révolutionnaire, XXIV, 284. — Société républicaine, XXI, 53. — Divers XI, 278, 279. — XVI, 288. — XXIII, 265, 200. Sarcophages de l'époque mérovingienne, découverts près Manciet, XVIII, 242-243. SARIAC Arnaud de, abbé de Berdoues, XVII, 180, 187. — Bernard de, XI, 327. — XIII, 19. — évêque d'Aire, XIV, 320. — Paul de, seigneur de Tilhac, XV, 298. — seigneur de la Hitte, XX, 02. — Divers XI, 290. — XV, 275. — XXI, 255. Sariac le dieu Lugorr, XI, 327. SARLABOUS abbé de, archidiacre de Comminges, XII, 305. — notaire royal, XVI, 99. Sarlat, XVI, 240. — XXI, 104, SARRABEYROUSE, XIV, 331. SARRABOUBÉE, XIV, 27. SARRACAVE de, XV, 206. SARRADE, de Barcelonne-du-Gers, XI, 41. — de Condom, XXV, 319. Sarragachies, XV, 150. — XVII, 314. — XXI, 35, 39. Sarragassies seigneurie de, XII, 27. SARRAMÉA, du Conseil du départ, du Gers, XXV, 182. SARRAMIERA, XXI, 147. SARRAN de, conseiller au Présidial de Condom, XXIII, 278, 281. — Pierre de, seigneur de Solens, XXIII, 337. SARRAN, de Monfort, XVII, 223. — de Pauilhac, guillotiné en 1809, XXIV, 11 162 150. — chanoine de Vic-Fezensac, XIV, 102. — docteur, XXV, 281, 313. Sarran, près d'Aire, XVII, 310. Sarrancolin prleuré de, XV, 222. Sarrani, près Mauvezin, XI, 38. — XXIV, 151. Surrusan, ancienne église, près Condoni, XXV, 175. SARRAU, d'Aueh, en 1793, XIX, 165. SARRAUTE Isabeau de, épouse de Cours, XII, 142. — Divers XIX, 186. Sarraziet, XV, 16, 18. — XVII, 131. SARRAZIN, adjudant-général, an VI, XVIII, 156. Sarrazins, dans le Midi invasion des, XVII, 179. — XVIII, 81, 93. Sarreméjean, XVIII, 22, Sarriac seigneurie de, XXII, 312, 313. SARROUY, franc-maçon d'Auch, XI, 29, 30, 279. SART de, XXII, 90, 92, 93. Sartène Corse, siège de 1566, XIV, 125. Sarzan ?, XV, 128. Sassanp, XI, 45. SATURNE, dans les anciennes traditions gasconnes légende de, XVIII, 238239. SAUBIAC de, seigneurs d'Aujan, XIII, 283. SAUBOLE de, XX, 30. SAUCEDE abbé, d'Aueh, XXIV, 309. SAULIÈRE, de Taybosc, XIV, 355. SAULON, secrétaire de la mun. de Condom, en 1790. XXI, 231. SAULT de, XIV, 294. Sault-de-Navailles, XIII. 107. — XV, 17. SAULX de, XVI, 101. Saumont seigneurie de, XVI, 238. SAURÉ, d'Auch, en 1793, XIX, 165. Sauriuc, ou Séviac, XI. 14, 15. SAURINE, évêque de Dax, XXV, 225. SAUSSÊDE, de Vic-Fezensac, XXIII, 153. SAUTIRAN, du Directoire du départ, du Gers, XXIV, 67. — administr. des hôpitaux, de Condom, XXV, 174, 181, 182. Sauvanhas XXI, 220. Sauvelade abbaye de, XV, 222. Sauve-Majeure abbaye de la, XV, 218. Sauveté », lieu de refuge, XIV, 44. Sauveterre château de, XIV, 299. Sauveterre, près Lombez, XVI, 85, 86. — XXIII, 188. Sauveterre-d'Armagnac, XV, 23, 201. Sauveterre-de-Béarn, XIII, 108. SAUX, prêtre, XX, 108. — secrétaire de la Soc. Révolution. d'Auch, XXI, 46. Saux la Salle du, XXI, 121. SAUZET abbé, XI, 39. — XXIII, 304. — XXIV, 94, 176. — de Mirepoix, XI, 37. — de Montant, XI, 276. SAVAILLAN de, gouverneur de l'IsleJourdain, l'IsleJourdain, 216, 225 — XIV, 334. Savaillan seigneurie de, XVIII, 68. Savanès archidiaconé de, XX, 147. Savardan, XXIII, 143. SAVARY, duc de Rovigo, XVI, 298. SAVÉAC de, XXII, 133. Savenag, XXIV, 103. Saverdun, XXIV, 42. Savès le, XVI, 288. SAVET, de Castelnau-Rivière-Basse, XIV, 224, SAVIGNAC Bernard de, syndic de Berdoues, Berdoues, 204. Savignac seigneurie de, XVI, 45. — XVII, 99. — XXII, 322. SAVIGNI, institutrice à Auch, an VI, XV, 50, 51, 53. SAVOIE Philippe de, XVI, 79, 84. — maison de, XV, 198. SAVOISY de, XVI, 84. Savone, XI, 103. SAVOYE, curé de Biran, XV, 191. SAXE de, XVII, 112, SAYGUÈDE de, XVI, 216. Sayguède château de, XVI, 42. SAYLA Pierre de, XVI, 40. SAYSSAN de, bourgeois de VicFezensac, XIV, 108. 163 SCALES de, XIX, 151. SCALIGER, XXII, 95. Sceaux gascons loge maçonnique d'Auch, XI, 33. — curé de Simorre, XVII, 319. — Divers XIX, 116 SCHILT général, XIII, 235. Schisme dans l'Ordre des Filles de la Charité, en 1812, XIV, 56-61. SCHMIDT, mécanicien-constructeur des premières guillotines, XXIV, 65-66. SCHOMBERG maréchal de, XIV. 31. Scieurac, XXV, 185, 320. Sciezon. XVII, 25. SCORBIAC de, XI, 73. — XVIII. 49. SCOTTI Mgr, XIII, 265. SCRIBE, XIX, 147. SCRIBONIUS, XVII, 76. SCUDÉRY Mlle de, XXII, 316. SÉAILLES de, XIX, 39, — XXII, 161. SÉAILLES, le Mouchan, XI, 57. — XXII, 301. Séaillcs, XX, 57, 72, — XXI, 153, 154, 156, 160. — XXIV 313-316. SÉCHAS, off. mun, de Vic-Fezensac, XXIV, 50, 51. - XXV, 163, 164. SECONDAT de, XII, 363. — seigneur de Roques, XX, 60. SECUNDAT de, XXI, 166. Séduil château de, XXIV, 151. SEDATUS, XVI, 190. Sedian, XVI, 235. SÉDILHAC de, XIV, 234. — XVI, 95. SÉDOS de, XVI, 229. — XVII, 96. Ségalas, XXI, 160, 242. — XXII, 137, 227, 232, SEGOUIFFIN, d'Auradé, XVIII, 139. Segoufielle, XIV, 208. — XVI, 17. — XXII, 209, 271. Segovie Espagne, XXIV, 217. SEGRESTAN abbé, d'Auradé, XVI, 34. — XXIV, 325. — de Pavie, curé et notaire, XVI, 272. — XVII, 289, 290, 293, 296, 300. — XVIII, 108, 109, 111, Séguenrille seigneurie de, XXII, 90. Ségueville seigneurie de, XX, 66. SÉGUIER de, seigneur de Fabas, XXIII, 70. SÉGUINE, comtesse d'Astarac, XVII, 183. Segunhac terre de, près l'Isle-Jourdain, l'Isle-Jourdain, 215. SÉGUR de, XXII, 324. SEIGNAN, de Simorre, XI, 38. Seignan seigneurie du, XX, 04, 6972. 6972. professeur à Auch, XIX, 65. Seilhan le, tirés Auch, XV, 66. SEISSAN de, XX, 108. — commissaire du district de l'Isle-Jourdain, XXV, 292-295, 305. Seissan, origine étymologique du nom, XI, 205. — découvertes, XXI, 113-110. — église primitive, XXI, 115. — période révolutionnaire administration mun. en 1791-1792, XI, 38. — société populaire, XXI, 54, — Divers XI, 279. — XVI, 288. — XVIII, 93. SEISSAN-MARIGNAN de, en la sénéchaussée de Guyenne, XX ,42, 47. SELLE Marie de, marquise de Miran, XI, 238. — XII, 139. Sémézies, XXIII, 227. Sempesserre, XII, 87. — XX, 133. — XXI, 218. Sempuy, XI, 105, 109, 115-110. — XIII, 105-106. — XV, 81. — XX, 126. — siège de 1272, XX, 91. — Voir StPuy. SÉNAC, d'Auch, XVIII, 107. — XXIV, 323. — d'Auradé, XVIII, 134, — vicaire à Azimont, XVI, 35. — de l'Isle-Jourdain, XXII, 320. — maire de Mirande, en 91, XI, 37, 278. — médecin de Louis XV, XIII, 33. SÉNAGLIÉ de, XVII, 249. — XXIV, 196 Senarens, XIII, 250. Senbouès, XIII, 107. Sentis, XVIII, 202. — XXIV, 315, 334, — XXV, 282. — 164 SENSAC Arnaud-Guillaume de, d'Aire, XIX, 46. SENSAMAT, coiffeur à Auch, XXIV, 79. — imprimeur à Auch, XXIII, 111. — vicaire à Sainte-Christie-d'Armagnac, XVIII, 59. Sensus seigneurie de, en Monferran-Savès, XXII, 92, 94, 96. — XXIII. 72, 182, 184, 191, 193. — XXV, 89. Sent seigneurie de, XXII, 133. SENTETS abbé, d'Auch, XI, 33. — avocat à Gondrin, XXII, 302, — Pierre, vicaire à Sainte-Christied'Armagnac, XVIII, 59. SENTETZ Blaise, député de la sénéchaussée d'Auch, en 1789, XII, 318. — XIV, 95, 332. — XV, 72. — XVII, 41. — XX, 108, 120. — XXIII, 111. — Dialogua intéressant entre Cazaux et, XVII, 214-215. — Gratien, de. Castin, XVI, 278. — Guillaume, avocat, de Lavardens, XXI, 244. — Jean-Dominique, XIV, 26, 329, 330, 332, — Pierre, bibliothécaire, auteur de Sainte-Marie d'Auch », XIII, 35, 120. — XIV, 332. — membre du trib. judiciaire d'Auch, en 1790, XXIV, 328. — de Vic-Fezensac, XXI, 270. SENTEX abbé Jean-Baptiste, de Caslin, professeur à Auch, XXIV, 308309. — de la Soc. Mont. d'Auch, XXIII, 103. — de St-Orens d'Auch, XXII, 351. — de Saint-Lary, XXII, 348, 350. — de Pavie, XVIII, 119. — de Saramon, XXIII, 200. — de VicFezensac, off. mun. en 1791, XXIV, 285, 288, 290. SENTIS abbé, aumônier des prisons à Auch, XXIV, 155. — de Monfort, XVI, 136. SENTOUS, vicaire à Auch, XIII, 31, 32. SEPET, consul d'Auch, XIV, 224, — de Touget, XXV, 138, 139, 140, 142. SEPETON, de la Commission extraordinaire d'Audi, en 1794, XXII, 73. SEPTE, de Monfort, XVII, 223. Sept-Joies » Les, XIV, 70. Sépulture dans les églises droit, frais et montions de, XII, 202. — XIII, 302. — XIV, 18, 19, 74, 114-115, 137-138, 143, 356, 357. — XVI, 32, 33, 130, 207. — XVII, 27 28, 97, 101, 112, 119, 187, 191, 293. — XVIII, 28, 39, 54, 61-63, 71, 72, 266. — XIX, 25, 157. — XX, 53, 61, 87. — XXI, 39, 41, 137, 203, 230 247. — XXII, 90-91. 143, 350, 351, 353. — XXIII, 81, 192, 229. 230. — XXIV, 21 29, 30,129, 132, 258. — XXV, 55, 174. SERAIN, de Gimont, XIX, 66. SERAN de, seigneurs de Riguepeu, XVII, 22, 31. SERBELLONI, XIV, 30. SÈRE, de Mauvezin, XI, 38. Sère abbés de. XVI. 262. — XVII. 294, — XVIII, 119. — XXIII, 32. — XXV. 106. 260. — seigneurie de. XIX, 91. — XXIII, 62. Sère Hautes-Pyrénées, église romane, XV, 288, 294. SÉRÉ Père, capucin, XXV, 189. Serembat, XXII, 340. Serempuu, XI, 71, 72, 73. — XII, 87, 90. — XXII, 90. SERENG, d'Auch, XXII, 33, 40. SÈRES de, XVII, 293. Serfs et servage en Gascogne, XX, 9596. SERGUY, baile à Mirande, XIV, 348. Sériciculture dans le Gers La, XV, 65-68. SÉRIDO, prémontré, grangier de Vie. XV, 64. SÉRIDOS capitaine, XIII, 216. — XX, 59. Séridos, en Montesquiou la salle de, XVI, 151. — XVII, 25. — XIX, 185-187. — XX, 59, 64, 94. — monographie de la salle de, XVII, 239247. SÉRIÉ, d'Auch, XI 276. — 165 SERIGNAC, lieutenant de Montgoméry, XI, 198, 311. — XXI, 238. — XXIV, 197. — de, seigneurs de Belmont, XIV, 52, 323. — XV, 63. — Boson de, évèque de Coinminges, XV, 225. — Divers XVI, 113. — XX, 57, 62, 64, SERILLAC Bernard de, moine de Cluny, arch. de Tolède, XII, 51. — de, de Castelnau-d'Arbieu, XVIII, 70. — Divers XI, 74, 76. Sérillac, XIII, 225, 228. SÉRILLY de, intendant, XIV, 348. — XV, 66. SÉRIS de XV, 276. Serments civiques du clergé et certificats de civisme, XII, 282-284, — XIII, 276-277. — XXIV, 93-95, 167, 170, 171-171, 175-177, 238-239, 240, 241, 242, 314, 324, 327. — XXV, 98, 171, 172, 173. 175, 179, 185-189, 219. — protestations contre les, XXIV, 163. — serment des Sociétés populaires. XXIV, 189. Sermet château de, en Quercy, XIX, 128. SERPES DE LAFFAGE de, XXIV, 89, 92. SERPES DE PEYRELONGUE de, XXV, 142. — Voir CERPÈS. SERRE, d'Auch, XII, 256. SERREBOUBÉE, adm. mun. d'Auch, en 1793, XI, 37, 276. — curé de Baurens, XXII, 140. Serregrand, XX. 146. SERRES Fortaner de, gouverneur du Nébouzan, XII, 31. — Olivier de , XV, 66. — Pierre de, lient, de Jean de Foix, XIX, 44. — de, de Barran, XVII, 34. SERRES, citoyen d'Auch, en 1793, XIX, 165. — consul d'Auch, XII, 153. — peintre auscitain établi à Londres, XXIII, 123, 250. — curé de Baurens, XXIL 141, 355. — tisserand de M au bec, XVIII, 221. — le Mouchan, XXII, 302. — prêtre, de St-Sauvy, XXII, 169. Serres chapellenie de, en Castilion de-Batz, XIV, 51, 107, 230. - XV, 152, — Divers XXI, 141. — XXII, 72. Serrières vicomte de, XV, 201. — XVI, 85. SERRIN, boulanger de Condom, XXI, 232, SERURIER Maréchal, XI, 263. servidore », sens spécial de ce mot, XVI, 87. serviettes » dans les boiseries de la Cathédrale d'Aueh les, XVII, 250258. 250258. consul de Monfort, XVI, 133. SETZES, huissier à Miélan, XIV, 348. SEULABÈRE, de Gavarret, XIX, 41 Séverac château et seigneurie de, en Aveyron, XV, 126. — XVI, 75. — XXI 156. Séviac, près Montréal; ruines galloromaines, XII, 272-275. — XIV, 146149, 192, Sévillan, XIV, 210. Séville Espagne, XIV, 305. SEVIN de, seigneurs de Lagarde, près Vic-Fezensac, XX, 61. SEVIN-SEGOGNAC de, capitaine de dragons, à Agen, XVIII, 118, 119. Sexciacensis viens » discussion sur, XVIII, 145. Seyssel. XVII 108. SEYSSES de, XVI, 221. — XVII, 99, 100, 101, 103, 105, 109. — XVIII, 133. Seysses-Savès, XIV, 158, 184. — XVI, 17. SEYSSES-TOLOSANE de, XVI, 223. Seyx, XIV, 74. Sézanne Marne,, XXV, 33. SÉZE Romain de; avocat, XI, 29. SHOMBERG Maréchal de, XV, 270. SHOTER Marie, maîtresse de Jean de Lescun, XV, 200. — XVI, 88. STBOIITIE Docteur Poumiès de la, XXV, 105. SIBURIUS, médecin, XVII, 76. 166 — SIDOINE APOLLINAIRE, XVII, 306. Sienne siège de, XI, 197, 202. — XV, 84, Sieurac seigneurie de, XX, 52. SIEYÈS abbé, XI, 29. — XIX, 95. — XXIV, 220. Sigean, XV, 203. SIGEBERT DE GEMBLOUX, chroniqueur du XIe siècle, XVI, 197. SIGNAC, de Condom, XXI, 233. Signalement d'un voyageur, au XVIe siècle, XXII, 103, 179. Silex taillés découverts dans le Gers, XIV, 80-81. Silhac prieuré de, diocèse de Lombez, XXIII, 17. Sillas, en Bazadais, XXIV, 131. SILLIÈRES, consul de Monfort, XVI, 141. — XVII, 223. — avocat d'Estramiac, XV, 278. — de Mirepoix, XI, 37 Silos, dans le Gers, XII, 74-75. Silvanès, XIV, 312. SILVIA RUFINA, XVII, 81-90. SlMÉON DE LA PORTE de, XX, 65-66 SIMONNET Pierre, écuyer, XV, 205. Simorre, abbaye et abbés, XIII, 104, 111. — XIV, 73, 308. — XV, 152, 222, 228. — XVII, 181-183. — XXI, 105, 106. — école abbatiale, XIV, 76. — instruction publique, avant 89, XIV, 73-76. — célébrités, XXIII, 225229. — confrérie du St-Sacrement, XIV, 250. — administ. mun. et assemblée primaire, en 1791, XI. 38, 41. — Société paléontologique, XIV, 193, 292. — lettre du sous-préfet de Lombez au maire, sur divers points de police, XX, 33-34. — Divers XVII, 198. — XXIII, 77. — XXV, 129130. SION, prêtre de Riguepeu, XVII, 36. Sion seigneurie de, XVI, 180. — XVII. 22, 32, 42, 312. — XVIII. 48. 182-184, — XXIII, 231. Sirac, XI, 72. — XIX. 39. — XXIII, 302, — XXIV, 249. SIRAUTE, du Conseil du départ, du Gers, XXV, 182. Sire, XV, 222. SIREGRAND Roger de, abbé, chapelain du Cédon, XVII, 293, 294, Sitges de Villanora Espagne, XXIV, 350. SIXTE IV, pape, XV, 23, 25. — XVI 87. — XVIII, 95. — XIX, 157. — XXIV, 119. — XXV, 190. SMARDI, notaire, XVIII, 87. SMETS peintre auseitain, X. 328. — XXIII. 285. — XXIV, 32. SMOLETT, écrivain anglais, XXV, 43. SOBAGNAN Pierre de. XVII, 186. SOBOLE, de Monfort, XVII, 223. Sobriquets, en Bigorre, XV, 294. Société paléontologique de Simorre, XIV, 193, 292. — Résultats des premières fouilles, XIV, 382-384, — XV, 88. Société Royale d'Agriculture d'Auch, XVIII, 102, 212-220. Sociétés des Amis de la Constitution, à Auch, XX, 111-113. — XXIV, 168. - à Fleurance, XX, 113-114. — a Toulouse, XXV, 224, Sociétés des Amis de la Liberté et de l'Egalité, à Auch, XX, 119-120. — XXI. 45-47. — à Rayonne, XXI, 47. Sociétés populaires et sociétés montagnardes à Auch, XIII, 70, 72. — XVII, 211, — XX, 120-122. — XXI. 171-177. — XXII, 35-41. — XXIII, 163. XXV, 229. — de Condom, XXIV, 10. — d'Eauze, XXI, 50. — de Fleurance, XIII, 65-85. — de La Romieu, XXI, 51. — de Lectoure, XIII, 8283. — de Réans, XXI, 53. — de SiClar, XX, 117-118. — de Seissan, XXI. 54. — de Valence, XXI, 55-56. —- XXIV. 171. — de Vic-Fezensac, XXI, 56-57. — XXIII, 159, 160, 163165. — XXIV. 52-58, 286-288. — XXV. 165, 166. — de Touget, XXIV, 183- — 167 — 189, 210, 245-255. — de diverses communes du Gers, XXI, 45-57, 84, — XXV, 181, 182. — Statuts de Soc. montagnarde, en 93, XXIV, 184-189. Soie dans le Gers, aux XVIIIe et XIXe siècles industrie de la, XV, 65-68. SOL, général, XII, 271. — citoyenne d'Auch, XVIII, 252. — XIX, 166. SOLAGES de, seigneurs de Sirac. XIX, 39. — XXI, 155. SOLANE, prêtre, de Clermont-Savès, XXII, 91. Soldes militaires au XIVe siècle, XII, 24, — au XVe siècle, XXII, 253. — au XVIe siècle, XXII, 102-103. — en 1790, XXI, 232. SOLEILHAVOLP, capitoul de Toulouse, XXIV, 261. SOLENG ou SOLEMNET, vicaire de Clermont, XXIV, 36, 49. Solens seigneurie de, XXIII, 337. SOLIRÈNE, seigneur d'Esvivès, près Monfort, XIV, 359. — XV, 79. — consul de Puycasquier, XIV, 220. SOLIRÈNE-LASSALLE Balthazar, docteur-médecin à Monfort, XV, 278. SOLLAVILLE de, XV, 276. SOLLAS Arnaud de, notaire d'Auch, XXI, 156. SOLLE de, famille bourg. d'Auch, XII, 221. — XIV, 224. — XX, 45. SOLLIER, adm. mun. d'Auch. en 1793, XI, 37. — XIV, 17. — XXI, 178. SOLMIAC, de la Soc. Mont. d'Eauze, XXL 50. Solomiac, XI, 278. — XIV, 366. — XXIV, 151, 250. — XXV, 73, 89. SOLON de, XVI, 182. Solutré, découverte de l'époque solutréenne, XIII, 289. SOMABÈRE, notaire au Sempuy, XII, 133. — de Saint-Orens-Pouy-Petit, XXIII, 296. — de Tournecoupe, XIX, 66. SOMABÈRE, notaire au Sempuy, XII, 133. — de Saint-Orens-Pouy-Petit, XXIII, 296. — de Tournecoupe, XIX, 66 SOMBRUN Pierre de, XIII, 236, 238. Sombruh seigneurie de, XVI, 102107. 102107. de Blaziert, XXV, 183. Sommières, on Languedoc, XVII, 104. — XVIII, 99. SONIÈS, notaire de Pavie, XVIII, 109. SOPÈRE, XVI, 54, SORBADÈRE, prêtre de Bazian, XVII, 35, 44. SORBET, notaire à Vic-Bigorre, XVI, 101. SORBETS, greffier de la justice de paix de Barran, XXIII, 288. SORBETS Aymeric de, procureur du Roi eu Fezensac, XXI, 263. Sorbets, XIV, 254, — XVIII, 182, SORBIER de, XVI, 181. SORBUS, XXII, 71. Sorcellerie et, sorciers, au en' Gascogne, XV, 223. — XXII, 296-304, 367. — XXIV, 63. — au bays basque, XXV, 127, 128. SORDES abbé, prof, à l'Ecole Centrale du Gers, XXV, 223. — citoyen d'Auch, en 1793, XIX, 168. Sordes, XIII, 110. Sore, XV, 122. SOREL Agnès, XVII, 129. SORGUE de, XIV, 179. SORT de, évêque de Dax, XV, 214, Sos Gailhard de, consul de Montréal, XIX. 27. Sos, decouvertes archéologiques, XII, 367-373. — XIII, 100. — une émeute en 1634, XVII, 161, 248-249 — XXIV, 195-196. — église collégiale Saint-Sernin, XX, 106, 112. — centre commercial, XXI, 117-118. — Divers XII, 67. — XVIII, 81. — XIX, 32, 35. — XX, 60. — XXI, 84, 105. — XXII, 304. — XXIII, 227, 290. Sotiates problème de l'oppidum des, XII, 372, — 168 SOTOM, d'Audi, XXIV, 67, 68. SOTON Dominique, prêtre, de Pavie, XVIII, 116. SOUARD de, XXI, 199. Soubagnac, XVI, 100. SOUBAGNAN Pierre de, habitant de Fleurance, en 1400, XIX, 124, Soubaignan, XXI, 159. SOUBDÈS, admintstr. du départ, du Gers, en 1789, XII, 257. — XX, 110. — président du Tribunal et, du district de Condom, terrosriste, XXI, 275-276. — XXIII, 41, 111, 113. — XXIV, 166. — XXV, 181, 182. SOUBIETTE de, XVI, 96. SOUBIRAN, député de. Fezensaguet, XIV, 225. — XXIV, 280. — XXV, 320. SOUBIRAN-LAMAGUÈRE, XVI, 91. — XVIII, 107. — XIX, 65. — XXIH, 111. SOUBIRAS, sage-femme de Montréal, XVIII, 259. — XXII, 174. SOUBRANI, représentant du peuple, XXIV, 252. SOUCARET, parricide guillotiné en 1830, XXIV, 155. SOUFFARES de, XVI, 138. SOUFFRON, maître-architecte de la Ville d'Auch, XI, 13. SOUILLAVAU, aide-bourreau d'Auch, XXIV. 146. SOULAGES Vésian de, XVII, 25. SOULAN, adm. mun. de l'Isle-Jourdain. XI, 38. — XXV, 143. SOULAS de, XVII, 120. 121, 125-120. Soule pays de, XVII, 131. SOULÉ, d'Auradé, condamné à mort, en 1614, XVIII, 134. SOULENC, de Clermont-Savès, XXIII, 82. SOULÉRY, vicaire à Auradé. XVI, 34, SOULES général, XXII. 244-245. — notaire à Bretagne-d'Armagnac, XVIII, 49. — off. mun. de Condom. en 1790, XXI, 231, 234. — de Terraube, XXV, 278, 279. 281. 290. SOULIE, médecin d'Auch, XVII, 287. SOULOM, de Bezolles, XXIV, 35. SOULT maréchal, XI, 263. SOUPETS de, XX, 108. — XXIII, 116. Guillaume de, maire de Rayonne, XVIII, 31, 32, 197, 201, 202, 203, 204, 208. — XIX, 54, 55. SOUQUÈRE, de Vic-Fezensac, XVII, 38 souquet » droit de, XX, 102. — XXI, 128, 130. SOURBADÈRE de, XXI, 270. SOURBÈ, d'Estang, XI, 42. SOURBÈS, secrétaire de la mun. de Condom, en 1790, XXI, 231. SOURBETZ de, proc. du Roi à VicFezensac, XIV, 217, 221. — XX, 64, SOURCHES de, XVIII, 23. SOURDIS Cardinal de, archevêque de Bordeaux, XI, 202. - XVIII, 70. — de, XI, 296. — XVIII, 40, 47. 48, 53. Sourdis seigneurie de, XXI, 148. SOURIGUÉ, vicaire de Bezolles, XXIV. 125, 130. Sourigué lieu dit près Séailles, XIV, 51. SOURIGUÈRE. notaire à Mirande, XXI. 183. — consul de Touget, XIV, 175. SOURIGUIÈRES DE ST-MARC, XIV, 287. Souscriptions publiques, pour les volontaires de 1792, XXV, 297. SOUSSIGNAC de, XXIII, 192. SOUSTRA. XIII. 70, 71, 75. Souterrains et excavations artificielles dans le Gers. XIX, 73-85, 113, 172-185. SOYE, de Toulouse, XI. 29. SPARSAC. Hugues de, XVIII, 110. Sparsay ou Esparsac, nom primitif de Pavie, XVII, 180-183, 290. — XVIII, 261, 265. Spéculation sur les blés, aux XVIe et XVIIe siècles. XXII, 94, 98. SPENS président de XXV, 51. Staffarde, XVII, 106, 108. STANISLAS LECZINSKI. XXIV. 282. STAPHYLIUS, XVI, 188, 192, 169 Statistiques comparées, du XVIIIe siècle et de nos jours, sur la production agricole d'une commune du Gers, XXIII, 20-21. STATIUS URSULUS, XVI, 190, Statues de l'intendant d'Etigny à Auch, XIV, 39, 55, 139. — de la Liberté, a Auch, XVIII, 250-251, 258. — de de Bouit, XVII. 36, 46, 47. —de du Cédon, à Pavie, XVII, 288. Statuettes anciennes, XXV, 98, 99. Statuts de Société montagnarde, en 1793, XXIV, 184-189. Steinkerque, XVII, 106, 108. STONE Guill., prévôt de Bayonne, XV, 121. STOTE Jeanne-Françoise, abbesse de Goujon. XVI, 42. Strasbourg Le général Laroche à, XIII, 259. STUART Marie, XXIV, 256. XVI, 138. SUDRIA de, XXV, 77, 79. SUDRIA, vie. de Clermont-Savès, XXIV, 49. — notaire de l'Isle-Jourdain, XXII, 90, 93, 99. — XXV, 142. SUE, chirurgien d'Auch, XI, 33. SUFFREN, XIX, 100. SUGIE de, XIV, 119. Sullg-sur-Loire château de. XVI, 83. SULPICE SEVERE XVII 87. SUPERYEUX, juge-royal à Mézin, XXIII, 277. Survivances des époques gauloises et gallo-romaines dans le Gers, XVIII, 210-211. — XIX, 75-85, 173184, Sus Antoine-Gabriel de, capitaine huguenot, XXIII, 310. — sa descendance. XXIV, 299. — XXV, 73-92, 196 Sus seigneurie de, XVI, 237. SUZE DE LA BAUME DE, archevêque d'Auch. XXL 104, SYCARD. capitaine, de l'Isle-Jourdain. XXII. 258. SYLVA, ouvrier du XVe siècle, XII, 203 SYMÉON Pierre de, chanoine de l'Isle-Jourdain, XXIV, 44, SYMPHORIEN, capucin de Vic-Fezensac, XIV, 320. Syndical d'initiative d'Auch et de la Gascogne, XX, 82, SYRUEILH journal de, XIV, 333. Saints. Saint-Afrique, XIV. 260. — XXV, 189. SAINT-AIGNAN ducs de, XI, 29, 30, 32, — XVII, 179. — XVIII, 118. — XXIII, 235, 236. Saint-Aignan. en La Romieu, XVII, 242. — XXIII, 65. Suinte-Aigne, XI 45. SAINT-ALBIN de, évêque de Cambrai, XXIV, 162. SAINT-AMADOUR. XXIV, 130. Saint-Aman, en Armagnac, XIV, 180. Saint-Amand château, en Bourbonnais XVI 75. — prieuré, en Rouergue, XV, 20. — seigneurie, près Eauze, XVI, 265. — XVIII, 51. — XXIV, 106. — XXV, 187. SAINT-AMANS Assalit de, XVI, 218, 224, SAINT-AMBROISE, XVII, 79-80. Saint-Audré de Ladevèze abbaye de, XI, 69. Saint-André de Lalanne XIV, 51. Saint-André de Ramensan, XX, 114. Saint-André de Riguerpeu, XVII, 22, Saint-André de Soulès, XIV, 51. Saint-André, près Gimont, XIV, 260. Saint-André, près Gondrin,. XVI, 153. — XVIII, 61 — XXI, 230. — XXV, 200. Saint-André, près Samatan. XX, 50. San-Andres-de-Palomar XV, 205. Sainte-Anne, en Lupiac. XIV, 230. Sainte-Anne, près Mauvezin, XXIV, 151. Sainte-Anne de Renoufielle, XX, 28. Saint-Antoine de Lézat, XIV, 211. Saint-Antoine de Lialores XXV, 15, 16. 26 — 170 — Saint-Antoine de Pont d' d' Arrats, XIV, 379. — XVII, 104, Saint-Antonin, XVI, 119, 162. SAINT-ARAILLE, franc-maçon d'Auch, XL 30. Saint-Arailles, le château, XII, 120. — familles seigneuriales, XVII, 23, 25, 27. 28, 116-126. — Divers XIII, 273. 275. — XIV, loti, 318. — XV, 75. — XVII, 215. — XX, 111. SAINT-ARROMAN Françoise de l'épouse de Broqueville, XV, 273. — Marthe de, épouse de Castelbajac. XII, 30. SAINT-ARROMAN, engage volontaire en 1793, XXI, 55. — maire d'Ornézan. XI, 276. Saint-Arroman, XIII, 250. SAINT-AUBAN marquis de, XXIII, 62. SAINT-AUBIN, instituteur à Auch, an VI, XV, 50, 51, 52. SAINT-AUBIN de . XV. 270. — XVI, 138, 182, 183, 242. Saint-Aubin. en Armagnac. XVI. 181. — XVII, 310. Saint-Aubin du Cormier, XVII, 128. — XVIII, 205. — XIX. 151, 152. — XXII. 116. — XXV, 76. Saint-Aunès, XIV, 30. Saint-Aunir. XVIII, 58. Sainte-Aurence ou Sainte Venance, XVI, 288. — XVII. 282. — XXI, 37. SAINT-AUSTINDE. XV, 116-160. — XVII, 182. . SAINT-AUSTRÈCÉCILE. XV. 152. Saint-Arant, XXIV, 250. SAINT-AVIT. de St-Orens-Pouy-Petit. XXIII, 290. — XXV, 318. Saint-Aril d' Ardenère XIV. 100. 231. Saint-Arit-Frandat. XII. 87. — XIV. 03. — XIX, 129. - XX, 135, 137, 138. — XXIII. 189. SAINT-BARCIE. seigneurs de Pibrac. XV, 134. SAINT-BARTHÉLÉMY nuit de la, XVIII. 227. — massacre de la, XXIV, 295. Suint-llarthélciny-de-lliotiquens, XIV, 231. Saint-Barthélémy-du-Pradau église, en Condom, XXV. 184, SAINTE-BAZEILLE, XX, 94. sainte-Bazeille, XV, 122. — XIX, 34, Saint-Béat. XV, 78, 209. — XVI, 239. — XIX. 54. Saint-Bertrand-de-Comminges, XIV, 337. — XV, 152, 228. — XVII, 257. — XXV. 73, 190. — évèques de, XV, 152, 228. — XVII, 257. — XXI, 107, 150. — historique des fouilles entreprises à, XV, 283. Saint-Blaise chapellenie de, à Riguepeu, XVII, 42. — à Vic-lezensac. XXV, 259-260. SAINT-BLANC Gaillard du. XXII. 169171. Saint-Blancard, XVI, 229. — XVII, 97. SAINT-BONNET de, libraire d'Auch. XXII, 203. Saint-Brès, XIV, 351 Sainte-Candide, de Jegun église collégiale, XXI, 240. Saint-Canne, XXII, 297. Saint-Cassian. XXII, 318. SAINTE-CATHERINE la dévotion à, dans le diocèse d'Auch, XXI, 34-43. Sainte-Catherine église, du Brouilh. XIV, 51. Sainte-Catherine-des-Capots église, de Vic-Fezensac, XXI, 39-40. Ste-Catherine-de-la-Gouarde, ancienne église près Vic, XXI, 40. SAINT-CÉRATS, de Simorre, évêque d'Eauze. XXIII 225-220. Saint-Céré, XIV, 260. Saint-Cézert. XXII, 271., SAINT-CHRISTAUD de, XVII, 185, 192, 319-320. — XVIII, 265. — XXIV, 260. Saint-Christand, près Auch, XV, 127. — XVI. 207. — XVII, 189, 190, 202. — monographie ,du château de, XVIII, 201-270. SAINTE-CHRISTIE de, XIX, 187. — 171 SAINTE-CHRISTIE, XX, 94. Sainte-Christie d'Armagnac, XIV, 37, 353. — XVI, 180. — XVII, 302, 303, 309, 312. — XVIII, 38, 42, 50, 57-59, 170, 171, 177, 180-184, — XX, 101. — XXII, 297. — XXIV, 149. Sainte-Christie-sur-Gers, XI, 14. — XIV, 20. — XV, 28, 146, 219. — XX, 101. — XXI, 200. 201, 238, Sainte-Christie-en-Bazian salle de, XVII, 25, 33, 45. Sainte-Christie-en,-Biran, XIV, 51. SAINT-CHRISTOPHE, XVII, 290. — Légende et reliques de, XVIII, 263264. Saint-Cirice, XXV, 170. SAINT-CLAIR, XV, 152. Saint-Clair seigneurie de. XV, 267. SAINTE-CLAIRE Religieuses de, à Mirande, XIV, 347. SAINTE-CLAIRE-DU-SALIN couvent de, à Toulouse,, XVIII, 65. Saint-Clar, cérémonies de réparation, XIV, 60. — loge maçonnique, XI, 35, 37, 41 — société montagnarde, XX. 117-118. — Divers XI, 71. — XII, 87, 207. — XIV, 261. — XVI, 281, 282. — XVIII, 161, 221, 222. — XIX, 39 — XX, 57. — XXIV, 112, 324. Saint-Clément, XV, 125. — XVIII, 32. SAINTE-COLOMBE capitaine de, XIV, 1891 201. — XVI, 93. — XX, 60. Sainte-Colombe Landes, XII, 363. — XV, 121. Sainte-Colomme, XVI. 236, 237. — XVII, 130. — XVIII, 19, 205. — XIX, 43. Saint-Côme, prieuré au diocèse de Rodez. XV, 22. Saint-Créuc, XII, 127, 133. — XIV, 133136. SAINT-CRIC-DE-VERDUZAN, chanoine théologal, XIV, 114, SAINT-CRICQ de, XIV, 300. Saint-Cricq, XI, 71. — XX, 101. — XXI, 159. Saint-Cristoly Régiment de, XXII. 05. SAINTE-CROIX de, à Auch, XII, 100. — marquis de, XII, 82, 83. Saint-Cybar de Rieur, église collégiale, XXI, 145. SAINT-CYR général, XIII, 257. SAINT-DENIS de, XXIII, 230. Saint-Denis, XI, 114, — XVII, 105. — XVIII, 227. Saint-Dizier, XIV, 123. SAINTE-DODE, XX, 94. Sainte-Dode, XV, 222, 225. — XVI, 288. — XVIII, 202. — XXIII, 229. Saint-Domingue, XVI, 102. — massacre de, XIX, 116. SAINT-DONAT légende espagnole sur, XXIV, 337. SAINT-EBONS châsse de, XV, 286. Saint-Elix; XII, 226. — XIV, 157. — XV, 133. — XVI, 286, 287, 288. — XXIII, 227. SAINT-ELOI anciennes confréries de, XII, 291-292. Saint-Emilion, XIX, 50. SAINT-ESPRIT Eglise collégiale et chapitre chapitre à. Bayonne, XVIII, 207. — XIX, 47. — Eglise et commanderie du, à L'Isle-Jourdain, XIV, 211. — XX, 28. — Chevaliers du, XI, 201. — XVTI, 101. 105. 107, 109. — XVIII, 234. SAINT-ESTIENNE, XXI, 253. SAINT-ESTIER Bernard de, abbé de Simorre, XV, 222. SAINT-ETIENNE de, XVII, 125. — XXI, 149, 150. Saint-Etienne d'Arrian ou de Rian, XIV, 105, 232, Saint-Etienne de Fontarède, XXV, 185. Saint-Etienne du Mas-d'Azil abbaye XXII, 144, Sainte-Eulalie église et cimetière de, en Condom, XXV, 175, 185, — 172 — Saint-Eutrope de XI 45. SAINT-FABIUS légende de. XVII, 170 SAINT-FAUSTE, ingénieur à Mauvezin, XXIII 26. SAINTE-FAUSTE, martyre. XIV, 213. Sainte-Fauste, en Gondrin, XV. 127. — XVI. 153. — XXII, 63. 70. Sainte-Fauste, en Lagraulet, XVIII, 01. — XXI, 230. Saint-Félix d'Astaffort église, XXI, 130. SAINT-FÉLIX de. XXII. 93. 272. Saint-Ferme, XV, 222. 220. SAINT-FILIBERT, XVII, 261, SAINT-FLORENT Antoine de . XIV, 121, SAINT-FLORENTIN comte de, ministre de Louis XV, XX, 43, 41. — XXII, 233, 231. Saint-Flour Cantal. XXIV, 102. Sainte-Foi de Marias prieuré de, XV, 214. Sainte-Fog. XIV. 204. — XVII, 235. — XVIII, 124, 130. 133, 131, 136, 137. — XXII. 262, 260. SAINT-FRITZ légende de. XIX. 144. — XXI, 39-40. XIV. 231, 239. 243. Sainte-Gabelle, XXIV. 200. Saint-Gaudens, XV. 219. — XVIII. 212. XXIII. 117. 329. SAINT-GELAIS de , XXIV, 291. - XXV, 71. - Urbainde. évèque de Comminges, XIV. 157. Sainte-Gemme manoir de . près le Sempuy; à propos de Moulue, XX, 87-94, — XXI 71-75. . Sainte-Gemmc, canton de Miradoux visite de l'impératrice Eugénie à. XXI. 103. — Divers XIV, 354. — XV. 195, 266. 279. — XXII. 95. Saint-Geniez, XV. 212. SAINT-GÉNY ou GlNY Légende de, XVII. 271-277. Saint-Georges-de-Murstolun, ancienne église romane. XVII. 09. — près l'Isle-Jourdain, XXIV, 39. Saint-Georges, voir Saint-Yors. ST-GERMAIN de, gouverneur d'Auch. XI 198. Saint-Germain seigneurie de, XI, 15. — XIII. 213. — XXIII, 74, 80. Saint-Germain-du-Mas, XIV, 308. Saint-Germain l'Aurerrois paix de. XVIII, 227. — trésor de l'église de, XVII, 252. SAINTE-GERMAINE, du Baradieu, XIX. 100. — XXV, 320. SAINTE-GERMAINE, de Pibrac. XV, 132. Saint-Germé, XVI, 171. — XXI, 117. SAINT-GERMIER de, gouverneur du comté de l'Isle-Jourdain, XIV, 200, 201. Saint-Germier, XVII, 94, — XXIII 71, 112, 114, 309. — XXIV, 250. — XXV. 74-75. 77, 79, 80-92. Saint-Gerrasi seigneurie de, XIX. 180. SAINT-GÉRY de , noble famille de Lectoure. XV, 73. — de Lectoure, XV. 275. — Divers XIX, 126, 133, 136. — XXV, 191. Saint-Géry. près Rabastens. XXII, 92, .11, 96. Saint-Gildas. XIX. 151, SAINT-GILLES Raymond de, comte de Toulouse. XVII 240. Saint-Girons Ariège, pile gallo-ro maine XI, 230. si. ni-',;; i ns-de-Hiigehiiaii, XVI, 239. - alha\e. XV. 17. 18. Saint-cô, XVI, 181. SIINT-GIIL; si !! aie! de, seitmem 'h 1 Séridos, XVI. 151. —' XIX. 185. — XX. ;< ~ .Gasnard de. XI. 264 — -•i -H n- de ''< i au, XX. 64. levers XI, 238. - XVII 240-247 SAINT-GRESSE-CALLIAN de. XVII 126. SAINT-GRIÈDE de, XIV. 215. Saint- Criède. XVI. 181. — XVIII. 170. 171, 180. Saint-Guilhem de Desert, XIV, 313 SAINT-GUIRAULT de, XIX, 140, 173 — SAINT-HENRI DE COLOMÉ, marchand de Vie, XVI, 99. Saint-Hilaire de Brouquens. XII, 21. — XIV, 105, 231. St-Hilaire de Careassonne, XV, 229. St-Hilaire de Muzéres, XIV, 105, 231. SAINT IGNACE, de Loyola, XXIV, 354. Sailli-Jacques de. l'Aubiet, église, en Justian, XXI, 121. Saint-Jacques, de la Bouquerie, église, en Condom, XXV, 184, 185, 187, Saint-Jacques de Caraignet, ancienne paroisse, près Montréal, XI, 15. Saint-Jacques de Compostelle Asiles et hôpitaux pour les pèlerins de. XV. 55. — XVI, 54, — XVIII, 111. 242. — XXI, 207, 289. — XXV, 69. — chemin de. XXV, 65. — tracé du chemin de, de Lectoure à Condom, XXII. 21. — église de, XXV, 23. Saint-Jacques de l'Hôpital, ancienne église, en Vic-Fezensac, XIV. 233. Saint-Jacques de l'Epée-muge commanderie de, XVIII, 242. Saint-Jacques de Pujos. eu Roquebrune. XXI, 38. Saint-Jacque-sur-l'Osse, chapellenie, en Vic-Fezensac, XIV, 10!. Saint-James en Heuvron, XVII, 128. Saint-Jaymès, ancienne paroisse, près Vic-Fezensac, XIV, 51. Saint-Jean d.'Angély, XV, 201. — XVII, 101, — XVIII, 24, 25, 234. Saint-Jean d'Angles, en Riguepeu, XIII, 275. — XIV, 15, 100. — XVII, 23, 25, 30. Saint-Jean d'Auriabat, XL 45. Saint-Jean de Ayga, XIV, 108. 231, 232 SAINT JEAN-BAPTISTE, à Bazas reliques de, XVII 259. Saint-Jean-Baptiste de la Plaine, temple romain et église, à Cadignan, XIX, 72, 175. Saint-Jean-de-Bazillac, XI, 38. Saint-Jean de Brenens, XI, 45. Saint-Jean de Bretons, XX, 146. Saint-Jean de Capbal eu Roquebrune, XXI, 38. Saint-Jean de Cararedus, ancienne église en Condomois, XXV, 119. Saint-Jean de Curget, XIV, 100, 232. Saint-Jean de la Castelle abbaye de. XV, 152, 160, 222, 226. Saint-Jean de Caslets, oppidum, près Vic-Fezensac, XIII, 163. — XIV, 102, 231, 314. — XVI, 211. Saint Jean de Cayran, XI, 45. Saint- Jean le Comtal, XIII, 111. — XVI, 270, 287, 288. — XVII, 178. SAINT-JEAN DE DIEU frères de, à Condom, XXV. 172. Saint-Jean de Fabas, en Lagraulas, XIV, 51. Saint-Jean de Gaudun, XI, 45, — XVII, 209. Saint-Jean de Jérusalem Chevaliers de, XI, 310. - XVII, 103. —- XIX, 129. — XX, 73, 135. — XXIII, 231. — XXV, 271. Saint-Jean de Lamans, en Roquebrune, XXI, 38. Saint-Jean de Lemprègne, XI 45. Saint-Jean de Lézian, XVIII, 96. Saint-Jean de Los Martres, près Caillavet, XIV, 106. Saint-Jean de Luz, XIII, 118, 149, 253. — XV, 206, 208. — XVIII, 203, 204. Saint-Jean de Malaurey, XVIII. 243. Saint-Jean de Mézin, prieuré, XXIII, 236, 238. St-Jean de Parie, église, XVIII, 114, Saint-Jean-Pied-de-Port, XIII, 108, 148. Saint-Jean-Poutge, affaires curiales, au XVIIe siècle, XV, 56, 59-63. — XIX, 38. — confrérie de Ste-Catherine, XXI, 38. — Période révolutionnaire femmes républicaines, XIX, 164. — une fête civique, eu 1793, XX, 84, — XXII, 104-110. — Divers XII, 126. — XIV. 51, 169, 178, 179. — XX,. 57. — XXI 151, 155, 156, 160. — XXV, 262. — 174 — Saint-Jean de Repassac, chapellenie. en Lectoure, XII, 177. Saint-Jean de St-Mont, prieuré, XV, 215 Saint-Jean de St-Surrin ,XI, 45. Saint- Jean de Semmonville Commanderie Commanderie XXIII, 337. de Sordes, abbaye. XV, 152, 222, 220, 228. SAINTE-JEANNE D'ARC, contribution à son histoire, XI, 251. — Lue des voix de. Sainte Catherine dans le diocèse d'Auch, XXI, 31-43. — Les capitaines gascons de .J. d'Are », par Paul Courteault, XVI. 293. — XVII, 150. SAINT-JEANNET, peintre toulousain, XIV, 250. Saint-Joseph. de lu Grave, à Toulouse Hôpital, XXIII, 192. SAINT-JULIEN Arnaud de, abbé de Berdoues, XVII, 185. 180. — Etienne de, seigneur de Saint-Lane, XIV. 223. — seigneur de. Bouvées et de Saint-Brès, XIV, 351, — XVI, 91. St-Julien, en Clermont-Savès, XXII, 91. 90, 323. — XXIII, 72. Saint-Julien d'Ayguebelle, XVI, 217. révolutionnaire. XXIV, 254. SAINT-JUSTE, de Rigorre légende de, XVII, 279. SAINT-JUSTIN Guillaume de, ouvrier fleurantin du XVe siècle, XII, 203, — XIX, 123, Saint-Justin . canton de Marciac, XIV, 105. — XXIII, 54. — XXIV. 134. — Le chapitre de, XXIII, 55 01, 88. Saint-Justin de Marsan, XVII, 311. — XXI, 217. — XXIII. 63. SAINT-LANNE de, XIV, 215. — XVI, 184. SAINT-LARY-MONLEZUN, XI, 309-315. SAINT-LARY-BELLEGARDE, XII, 238-241. — 'Roger de, maréchal de France. XIV, 157. Saint-Lary, près Jegun; le château, étude archeologique et historique. XI, — XIV, 284, — XV, 37. — XXII, 131, 134-135, 137. — coutumes, XXII, 228-230. — pile gallo-romaine XIX, 18-19, no. — la. seigneurie et les seigneurs, XVII, 117-120. — XIX, 13-19, 110. — XX. 140-155. — XXI, 153169, 237-252. - XXII, 129-146, 225-242, 331-355. Saint-Lary-sur-Gesse Haute-Garonne, XVII 119-126. curé d'Azimont, XVI, 30. — de l'Isle-Jourdain, XXV, 113. St-Laurens-des-Religieuses, XIV, 144. SAINT-LAURENT, d'Auch, XI, 276. — vicaire à Auradé, XVT, 34. — prieur de St-Sever, XX, 137. Saint-Laurent seigneurie de, XIX, 160. Saint-Laurent. de Betplan, XXI, 247. Saint-Laurent de la Lanne, près Lagranlas XIV, 105. — XXI. 38. Saint-Laurent de Sassaup, XVII, 209. Saint-Léger Gironde, XV, 122. Suint-Léon. XIII, 239. Saint-léonard, près Nogaro, XV, 157. — près St-Clar, XI, 74. — XIV, 352. Saint-Lézer prieuré de, XV, 23. SAlNTE-LIVRADE de, XXIII 298. SAINTE-LIVRADE, XX, 94. Sainte-Lirrade. château, eu l'IsleJourdain, XX, 65, 66. Sainte-Lirrade Lot-et-Garonne, XVI, 225. — XIX, 32. 33. — XXII, 202, 270. — XXIV, 241. — XXV, 74, Saint-Lizier. XV, 153, 214. SAINT-LIZIER légende de, XVII, 281282. 281282. serment sur la croix de, XVIII. 32, 33, 202. Saint-Lô, XVTI, 128. — XVIII, 14. Saint-Loubouer. en Marsan, XIV, 294, 295. — XVI, 232, 238. — XVII, 131. SAINT-LOUIS chevaliers de l'Ordre de, XII, 139. — XIII, 138-141. — XV, 270, 278, 299. — XVI. 130. — XVII, 14, — 175 41, 112. XIX, 129. XX, 73, 74. - XXL 137. 141. 147. 218. 220. 222, 289. — XXII, 19, 74, — XXIII 100, 102. — XXIV, 80, 81, 105, 108, 109, 304, 331. — XXV, 104, 271. Saint-Loup de Gracia, XIV, 232. SAINT-LUC, négociant à Viella, XX, 37, 38. Saint-Luper d'Eauze, prieuré, XV, 152, — XVI, 181. — XXI 37. — XXIII, 228. Saint-Luper de Broilh, en Courrensan, Courrensan, 54. Saint-Luper de la Taste, en Montréal, XI, 45. — XX, 106. — XXII, 304, Saint-Lupert d'Arrimbers, ancienne église, en Condomois, XXV, 119. Saint-Lys, XVI, 217. — XVIII, 127. — XXII, 262, 263. — XXIII, 117. Sainte-Madeleine, chapellenie en Riguepeu, Riguepeu, 42. Sainte-Madeleine de Routgès, XI, 45. Sainte-Madeleine de Saint-Germain, XI, 45. Saint-Magrin, XXII, 116. St-Maixent-en-Verdelais inondation de 1770 à. XI, 148. Saint-Malo. XIII, 136. — XIX, 55, 152. SAINT-MAMER, évêque d'Eauze. XV, 152. Suint-Marcel, XVTI, 126. SAINTE-MARCIENNE Au pays de, XVII, 159, 163-174, — Légende du martyre de, XVII, 166-170. Ste-Margnerite-de-Fontélie, prieuré de l'ancien diocèse de XVI, 41. — XVIII, 58. SAINTE-MARIE, consul de Lamazère, XXIII 241. — de, juge en Fezensaguet, Fezensaguet, 220. Sainte-Marie d'Abrin, XXII, 21 Sainte-Marie d'Auch. cathédrale. voir Auch. Sainte-Marie, près Giniont. XXIV. 108, 109, 176. Sainte-Marie de la Clignote, XV, 222, 226, 228. Sainte-Marie de Labadie, près Dému, XIV, 106. Sainte-Marie de Laouarde, XIII, 167, 232. Sainte-Marie de Lescar, XV, 153. Sainte-Marie de Maymouliès, en Lannepax, XX, 53. Sainte-Mu rie de Najera, en Espagne origine du monastère de, XVII, 309. Sainte-Marie de XX, 146. SAINT-MARS de, gouverneur de la Bastille, XV, 242, Saint-Martial, en Benauge, XXIV, 130, 131. St-Martial de Courrensan, église détruite, XIX, 70-71. SAINT-MARTIN, curé de Genens, en Montréal, XVIII, 260. — XXII, 175. — ex-curé de Cologne, en 1793, XXI, 283-284, — XXII, 45, 47-49, 52. — XXIII, 13-40. — XXIV, 74. — de Fourcès, XX, 40. — de Ladevèze, XXIII, 98. 99. — consul de Monfort,. XV, 206. — XVI 134, 139. — XVTI. 223. — de Mouchan, XXIV, 166. — consul de Verduzan, XIV, 174, SAINT-MARTIN de, avocat en Armagnac, XIV, 179. — de Mirande, XXIII, 300. — Menaud de, XVI. 180. — Divers XVII, 245, 247. — XXII, 143. Saint-Martin seigneurie de, XIII, 213. Saint-Martin monastère de, à Auch, XVIII, 81, 82, 85, 86. Saint-Martin d'Albrel église, à. Sos. XII, 368, 370. Saint-Martin-du-Casse, voir Cassemartin. Cassemartin. de la Crante, XI, 45. Saint-Martin de Daumont, XIV, 100, 233. Saint-Martin d'Exideuil Dordogne, XIII. 292, 293. 176 Saint-Martin de l'Isle-Jourdain église collégiale de, XIV, 205, 211, 340, 310. — XX, 20-30. Saint-Martin de Lanare, XI, 15. Saint-Martin de Lannepax, XX, 53, 54. Saint-Martin de Lieur, XXI, 144, 149, 152, 210. S-Martin de Pardeilhan, XXII, 113. Saint-Martin de Riguepeu salle de, XVII, 34, — église de, XVII, 19, Saint-Martin, à Roquebrune château de, XIV, 51, 360. Saint-Martin de Scéviac, XI, 45. Saint-Martin-Saint-Pé, XXIV, 109. Saint-Mar tin de Talaséian, en Relmont, Relmont, 105. Saint-Martin-Viugue, XXI, 159. Saint-Martin-en-Viella, XVI, 100. 102. Saint- Martory. XIV, 157. SAINT-MAUR, XVII, 180. St-Maur-les-Fossés traité de. XVI. 78. — XVII, 136. Sainte-Maure, XI 40. SAINT-MAURICE de, religieux prémontré, prémontré, de Vic, XV, 64. Saint-Maurice, XII, 126. — XVII, 131. Saint-Maurice de Blamont, XV, 153, 222, 220. SAINT-MAYEUL, abbé de Chiny, XII, 43. Saint-Médard, XI, 38. — XVII. 182. 183. Sainte-Menne. XVIII, 202. Sainte-Mère, château de, XII, 327338. 327338. XIV. 247. — XXI 91-92. — Divers XII, 87. — XX, 133. — XXI, 218. SAINT-MÉZARD Guiraudez de, archiprètre archiprètre Lavardens, XV, 72. — XIX. 187. — de Casfelnau-d'Auzan, XXI, 49. Saint-Mézard, XV, 84. — XX, 00. — XXI, 187-188. — XXII. 159, 102. — XXIV, 153. SAINT-MICHEL chevaliers de l'Ordre de, XVT, 80, 84, 86. — XVII, 105. — XVIII, 198, 204, 224, — XIX, 186. SAINT-MICHEL Pierre de, abbé de StFerme, StFerme, 222. saint-Michel de Saint-Aigne, XI, 45. Saint-Michel de Coudant, XXV, 185. Saint-Michel de Lunes seigneurie de, XXV, 77. Saint-Michel de Parie, chapellenie, XVIII, 113. Saint-Micltel de Ricau, XIX, 41. SAINT-MISSELIN OU MISLIN, XV, 284. — XVTII, 145, 116. Saint-Mont Carlulaire de, XVII, 309. — château cl prieuré de, XV, 22, 115. 116. — XVI, 87, 178. — XXII, 181, 182. SAINT-NAIROI. Raffin de, commandeur de la Cavalerie, XXI, 155. Saint-Nazaire XII, 126. SAINT-NICOLAS popularité de la dévolion à, an XV, 154. — Voir confréries. Saint- nicolas de Beautian XIV, 108, 232. Saint-Xicolus de la Grave, XIV, 118, 119. Saint-Orens d'Auch église et prieuré de;, voir Auch., d vie religieuse. Saint-Orens du Clause!, XIV, 106. saint-Orens de Deguem, XI, 45. — XIX. 178. Saint-Orens d'Engolin seigneurie de. XXII, 191. Saint-Orens de Labarrère moulin de, XIX, 179. Saint-Orens de La Ilitte, XIV, 51. St-Orens-Pouy-Petit, près Condom ; liste fies seigneurs et des notables, aju XIIIe siècle, XXV, 118-119; — au XVIIe siècle, XXIII, 297-298. — château féodal, XXV, 121-122, — l'église et sa porté, notice archéologique et historique, XXV, 107-123. — chrisme, XVII, 72. — ravages de Montgoméry, XXV, 121. —Divers XI, 105. — XIX, 85. — XXI 235. — XXIII, 115, 293-300, 335. — XXIV, 378. — XXV, 310, 318. 322... 177 — Saint-Orens de la Rulle, XV, 222, 228. Saint-Orist Landes, XV, 54, SAINTE-OROSIE, XXV, 127. Saint-Ost, XVI, 154, 288. — XIX, 39. Saint-Ost, église à L'Isle-Jourdain, XIV, 211 — XX, 28. Saint-Palais Les Bohémiens à, XI, 130-140. SAINT-PASTOU de, XI, 25. — XXII, 297. SAINT-PASTOUR Rernard de, seigneur de Bonrepos, XII, 30. — Pierre de, XXI, 220. SAI3NT-PAUL Anthyme, XIV, 245. SAINT-PAUL de, abbé de Bonnefont, XV, 220. XII, 139. — XIV, 105. - XXI, 120, 153, 154, 159. Saint-Paul, près l'Isle-Jourdain. XXII. 270. Saint-Paul de Verdun abbaye. XXV, 282. de Mauvezin, XIX, 05. — de XX, 64, 69. Saint-Pé abbaye de, XV, 222, 286. Saint-Pé d'Arquizan, XI, 15. Saint Pé d'Aubezies, XXIV, 313. Saint-Pé d'Auradé, en Roquebrune, XXI. 38. Saint-Pé de Batz chrisme de l'église de', XVII, 70. Saint-Pé de Boulogne, XIX, 40, 41 Saint-Pé de Cuslillon, XIV, 51. Saint-Pé de Geneux XI, 45. Saint-Pé de Generest, XV, 153. Saint-Pé de Luzan, XI, .45. Saint-Pé de Rouillan., XI, 45. SAINT-PIERRE, consul d'Audi, XVI. 92. — adm. du départ, du Gers, maire d'Audi, en 1793, XI, 36, 37, 278. — XXIV. 67. 318, 323. — député de Plaisance, en 1631, XIV, 172, — Jean de, consul de. Nogaro, XVI, 182. — Loys de, XXI, 139. — Divers XXII, 206, 321. — XXIII, 77. SAINT-PIERRE-LESPÉRET, député aux Cinq-Cents, XX, 110, 114, — XXII, 213, 214, 220. ST-PIERRE, avocat à Lectoure, XXII, 346, 351. — XXIII, 111. Saint-Pierre d'Auch, voir Auch, a antiquités. Saint-Pierre. d'Auradé, XIV, 106, 232. — XVI, 31-34, Saint-Pierre de Boulin, ancienne église en Condomois, XXIII, 297. — XXV,. 120. Saint-Pierre de Cazalibus, monastère, XX, 56. Saint-Pierre de. Juilhac, en l'IsleJourdain, l'IsleJourdain, 215. Saint-Pierre de. Marseilhau, XVII, 22, 32. . Saint-Pierre de Modenx, XIV, 51. Saint-Pierre de lu Règle, XV, 153. Saint-Pierre de la Réole abbaye, XV, 152, 222, Saint-Pierre de la Rulle. abbaye, XV, 226, 228. Saint-Pierre de Sarrancolin, XV, 286. Saint-Pierre de lutin XVII, 33. Saint-Pierre de Tachoires, XIX, 27. Saint-Pierre de Tasque abbaye, XV, 221, 226. Saint-Pierre de Valence collégiale, XVI. 85. Saint-Pierre, ancienne paroisse, près Nogaro, XV, 212-213. SAINT-POL de, XVI, ,80, 82. Saint-Priest. XVII, 130. Saint-Pug, XI 37, 41. — XIX, 24. — XXII, 151. — XXIII, 293. — XXIV, 170, 172, 325. — XXV, 180, 183, 272, 274. — à propos de Moulue, XX, 8893. — Voir Sempuy. Saint-Quentin, XVI, 81, 82, — XVIII, 14, — XIX, 91. SAINTE-QUITTERIE, sa. légende, XVII, 279-281. — XX, 94, Sainte-Quitterie. XIII, 107. — XV, 152 Sainte-Quitterie des Capots, à, VicFezensac, XIV, 231. 12 178 — Sainte-Quitterie de Carlcur, XI 15. Sainte-Radegonde chapelle de, en Riguepeu, XVII, 43. SAINT-RAYMOND de, notaire à Endoutielle, Endoutielle, 17. — XVII, 100. SAINTE-RICTRUDE, abbesse de Marchiennes Marchiennes de, XVII, 208-274. SAINT-ROBERT de, XXIV, 164, Suint-Roch de Lartigue, XI, 45. Saint-Rome, à Toulouse église, XIV, 211. Saint-Saturnin, XVII, 192. — chapitre de Sos, XIX, 34. SAINT-SAUBY, consul de Monfort, XVI, 133, 134. Saint-Sauveur Htes-Pyrénées, XIX~ 140. — XXV, 127. Saint-Sauveur-le-Vicomte, XVT, 236. — XVII, 128, 129, 132. SAINT-SAUVY, de Monferran, XVI, 35, 41 45, 46, 3 ... Saint-Sauvy, XIX, 78. — XXI, 159, 200. — XXII, 103. — XXIV, 76. — Les refusans de, XXII. 169-171, 177. SAINT-SAVIN Légende, de, XVII, 277278. 277278. abbaye de, XV, 23, 153, 222, 226, 228. 286, 287. — XVTI, 278. — XXII, 144, SAINT SÉBASTIEN, XV, 154, Saint-Sébastien Espagne, XXIV, 306. — XXV, 130. Saint-Ségismond, XXIII, 229. SAINT-SERNIN de, de Gondrin. XXII, 302-303. Saint-Sernin de Toulouse église, XXV, 23. Saint-Sever, XII, 233. — XIII. 74, 100. 107, 110. — XIV, 15, 295-, — XV, 17, 121, 124, 202, 213. — XVI, 171. — XVII, 131. — XVIII, 17, 197. 208. — XXII, 72, 73. — XXIV, 313. — XXV, 19, 20. St-Sever- Cap-de-Gascogne, XVI, 233. 238. Saint-Sever de Ruslan abbaye, XV, 153, 222, 220, 228, 229, 280, 291. — XVIII, 151. — XIX, 53. — XXII, 142. SAINT-SÉVÈRE, XVIII, 150-151. SAINT-SIMON Gilles de, bailli de Sentis, XVI, 77. — duc de, XIII, 294, — XVI, 98. — XXIII, 209. Saint-Simon salle de, en Riguepeu, XVII, 34. Saint-Sirte inondation de 1770 à, XI, 142. Saint-Sober prieuré de, XXV, 327. SAINT-SULPICE de, XIV, 203, 207, 208. Saint-Sulpice de Cadelhan, près Préneron, Préneron, 105. Saint-Sulpice de Camisats, ancienne église en Condomois XXV, 119. Saint-Surrin ou Séverin, XI, 45. SAINTE-THÈCLE, XXV, 49. Saint-Thomas, XIV, 335. — XVI, 17. — XXII, 262, 203, 271. Saint-Tron bataille de, XVIII, 14. Saint-Urbain abbaye de, XXI, 194. Saint-Urbary, près Fleurance, XIII, 74. Saint-Urin, XVII, 192. SAINT-VINCENT D'AGEN Légende de, XVII 262-263. Saint-Vincent de Corneillan, XI, 45. Suint-Vincent, du Luc, XV, 153. SAINT-VINCENT DE PAUL 'Religieuses fie, XIII, 305 — XIV, 56-61. Saint incent, de la. Renie, diocèse de Lescar, XV, 20. Saint-V incent de Talaséian, XIV, 105. Saini-Yors, XIV, 15, 105. — XVII, 18, 25, 30, 31. — XXI, 270. SAINTE-ZITE Confrérie de, à Audi, XVII, 301, Saints aux portes des vides Statues de. XXIII, 300. T Tabac introduction du,, en France, XXI, 84. — son usage sous l'A. R., XVI, 201. — 179 Tabaux, en Caillavet, XIV, 51, 233. — XV, 50, 59. — XVII, 245. — XIX, 38. Tachoires, XIX, 27. — XXI, 119. Tailhac, XII, 303. TAILHADE, de la Soc. pop. de Vic-Fezensac, XXIV, 57. TAILLANDIER Dum, historien de la Bretagne, XVII, 133, 135. — XVIII, 29. TAILLARD, notable de Saint-Clar, en 1793, XX, 118. TAILLASSON de, régent de l'Université de Toulouse, XXIV, 202. taille la, impôt sous l'A. R., XV, 229. — XVIII, 74, — XXII, 86, 247, 248, 255. Taillebourg inondation de 1770 à, XI, 145. TAILLEFER, abbé de Nizors, XV, 222. TALAURESSE Esteven de, XV, 121, 203. — XVI, 238. TALAYRAN, comte de Périgord, XXI, 138. TALAZAC, prêtre, XXIII, 144. TALBOT. comte de Shrewsbury, XIX 151. TALHASO, de Toulouse, XXIV, 39. TALLEYRAND Jean de, maire de Bordeaux, Bordeaux, 158. TALLEYRAND-PÉRIGORD de, XVII, 112. Talnwnt, XIX, 149. tulva ou tarva viens » Discussion sur, XVIII, 145-148. TANAZAC, vicaire de Bezolles, XXIV, 127. TANNÉGUY DU CHATEL, XVII, 133, 134, 137, 138. — XVIII, 26, 32, TANUS de, XXIII, 189, 192. TANY de, XIV, 295. TAP du, consul de Monfort, XVI, 132. , Taparin église de,' en Lannepax, XX, 54. TAPIE, bourgeois d'Auch, XVIII, 104, 108. 109. — XX, 51. — prêtre d'Eauze. XII, 178. — de Pavie, XXII, 357. Tapie, près Bazian, XIV, 106. Tapie chapelle de, XII, 177. TAPPIE, d'Aueh, XI, 273. TAPITE DE MONTEILS de, XXIII, 76. Tarabel Haute-Garonne, XI, 297. — XIX, 145. J'arbes, Congrès de l'Union historique et archéologique du eu 1914, XV, 281-296. — Divers XII, 176, 266, 365. — XIII, 144. — XIV, 129, 131. — XV, 213, 214, 218, 222, 225, 228. — XVI 94, — XVIII, 19, 177. — XIX, 31, 39. — XX, 144, — XXI, 153. — XXII, 144, 182, 234, 235, 335. — XXIII, 55, 329. — XXIV, 236, 327, 328, 350. — XXV, 64, TARBOURIECH abbé Alexandre, curé de la Cathédrale d'Aueh, XVIII, 251. — d'Aueh, XII, 257. — XXIV, 146. Tardets seigneurie de, XVI, 232. — XXV, 74, TARDOS, XV, 77. TAREYRE, de la Soc. montagnarde de La Romieu, XXI, 51. TARGET, XII, 277. — XIX, 95. Taigon, XV, 84, TARISSAN, off. mun. d'Auch, en 1793, XI, 37. — de Fleurance, XIII, 70, 71. Tarragone Emigrés français réfugiés à, XXIV, 350. — XXV, 45-53. TARRANERE de, XIV, 334. TARRIBLE, administ, du départ, du Gers, XII, 318, 343. — XX, 108, 110. — XXII, 155. TARRIDE, de Plaisance, guillotiné en 1799, XXIV, 139. — de, seigneur de Larée, XVI, 181, Taisac, XI, -, 40. — XIX. 134, — XXIV, 149. Tarsacq Landes, XV, 17. TARTALON de, évêque de Bazas, XV, 214. . TARTANAC, de Sarrant, XI, 38. — de Simorre, XI, 41. Tartas Landes, XIV, 302. — XV, 119, — 180 — 120-122. — XVI, 171. l'asque, XI 69. — XV, 228. — XXII, 182. — XXV, 326. TASTE, curé de Goujon, XVI, 52. TAUPIAC, guillotiné en 1816, XXIV, 151, TAURIAC, avocat, de Touget, XXIII, 27. TAURIN II, évoque d'Auch, XVIII, 81. TAUZIA Marestaing fin, XII, 75. Tauzin le, château, XI, 100, 105, 106, 107, 109-110, 125. — XIV, 245, 247. — XVII, 209, 210, 211. — XXI, 87. — XXV, 09, 116. TAUZIN, de Condom, XXIII, 277. Tauzin seigneurie de, XX, 66. taverne » droit de, ancien droit seigneurial, XXI, 215. — XXII, 80, 140, 225, 319, 343. — adjudication de tavernes » aux environs de Condom, XXV, 320. taxation de marchandises au XVIe siècle, XXII, 80. — des denrées et des journées d'ouvriers, en 1793, XX, 36-41, 80-81. — du pain, sous la Révolution, XXIV, 209, 247-248. taxes », revenus ecclésiastiques, XIV, 50. Tugbosc, XIV. 164, 351-359. — XV, 298300. — XXII, 208, 312, 313. — XXIII, 230. TÉAULX DE Sos, XIV, 61. TEILLEUX Docteur, Direct, de l'Asile d'aliénés d'Auch, XV, 07. 08. TEISSERON, notaié' royal de l'Isle Jourdain, XX, 27. Temple de la Raison, à Mirannes, XIII, 274. — Voir l'êtes civiques. Templiers ordre des son rôle dans la fondation des bastides en Astarac, XIII, 112-114, 236. — Commanderie d'Abrin, XXII, 15-22. — Commanderie d'Argenteins, près Nérac, XXV, 190. — Commanderie de Gimbrède, XX, 135. — XXI, 135-152. — Commanderie de Manciet, XVIII, 242. Ténarèze roule de la, XXI, 81, 117118. — XXV, 05. Tendu Combat du col de, XIV, 121, 120. Ténès, XII, 166. — XVII, 170! TENET, XXII, 123. TENTOS, prêtre de Riguepeu. XVII, 36. Téoulère la, lieu-dit, près Vic-Fezensac, XIV, 109. Tercin seigneurie de, XVIII, 05. TERISSAN de, curé de Bezolles, XXIV, 20-23, 127. Terme, près Pavie, XVII, 178. TERMES de, XIV, 199. — de Pavie. XVI, 273. Termes barounie de, XI, 17. — X\ , 20. — XVI, 239. TERRADE, de Lagraulas, député de '.!. XIII, 188. — curé de Vic-Fezensac XXIH 148, 310. — XXV, 162-103. - docteur à, Vic-Fezensac, XIV, 242 — XXIV, 50, 51. Terissan seigneurie de, XVI, 229, 240. TERRAIE prêtre d'Auch, XXII, 162. Terraube XII, 329. — XIV, 353. — XV. 85. — XIX, 39. '0. XXIV, 98. — XXV, 257. — Le rachat du château de, en 1816, XXV, 271-290, 327. TERRAY, conseiller d'Etal, en 1772, XI 141. — XIV, 26. Terreur flans le Gers la à Auch, XXII, 73-75. — à Touget, XXV, 136143. — à Vie, XXII, 369. — La seconde, XXIII, 282, TER RIDE, XIV, 199. — de, gouverneur de Nogaro, XVII, 311. — comté et comtes de, XXI, 106. 289. — XXII. 20. TERRIER, ministre de l'Intérieur, en 1792, XXII, 213. Testament du duc d'Epernon, Bernard de Nogaret de la. Valette, XII, 311-317. — Testament d'un curé du XV siècle, XXIV, 21-23. — Testament du XVIe siècle. XVII, 90-91. 181 TESTEMALE de, XVII, 184, TEULÉ de, XX, 153. Teulé seigneurie de, XXI, 153, 160. — XXII, 227, 232, TEULÉRE, vicaire de Clermont, XXIV, 46, 49. Teulère fief de la, près Daunian, XVIII, 50. TEULIÈRE capitaine, XIV, 204, 333 Tenx, XVI, 288. TEYSSIER DE CHAUNAC, XXII, 147. TEYSSINÉ, avocat à Mauvezin, XXIV, 63. — curé de Solomiac, XI, 41, 278. THALAZAC, XIV, 74. Tharun, lieu dit, en Castin, XVII, 178. THÉAS de, XIX, 145. Théâtre pendant les jours du siège et de la Commune » le, par Gustave Labarthe, XI, 332, THÉAUX, apothicaire à, Eauze, en 1789, XII, 174, THÉMINES Maréchal de, XV, 273. — XVI, 139. — XXI, 167. Thenay silex de, XIV 78-79. THÉODELIN, notaire à Auch, XVII, 117. THÉODOSE, empereur, XVII, 79-80. THÉON, XVI, 200. THÉRAC de. XIX, 38. THERME général, chef des royalistes en Haute-Garonne. XVI, 129. THERMES de, d'Auvillar, XXIII, 9496, 9496, 117. — maréchal de France, XIV, 123. Thermes d'Armagnac, XIV, 215. — XVI, 180. — XVII 312, 314, — XXI. 35. — XXIII, 240. THÉVENIN, secrétaire de la Soc. mont. de St-Clar. XX, 117. THÉZAN, curé de Bezolles et chanoine de Barran, XXIV, 35, 126, 129, 328, THÈZE de, XVI. 181. — XXV, 270. THIBAULT D'ARMAGNAC, compagnon de Jeanne d'Arc, XXI, 35. THIBAULT DE NEUKCHATEL, chevalier de la Toison d'or, XV, 209. THIERRY, de l'Isle-Jourdain, XIV, 342. • — seigneur de Lenoncourt, XVIII, 24, 28. — de, XXII, 306. Thieste, XXIII, 98. THIEUX-LAGARDÈRE, XXV, 102, 104, THIEUX-LASSÈRE, XXV, 104, Thil, XVI, 224, — Voir Tilh. Thionville siège de, en 1558, XV, 84, THOGES de, XVI, 228, 229. — XVII, 100. — XVIII, 131, 133. THOIRAS de, XII, 126. THOMAS de, seigneur de La Bartho, XVI, 140. THORE, d'Auch, XI, 278. — XXIII, 73. — d'Eauze. XII, 174, 342, — de Jegun, XI, 41. — de Pavie, XVIII, 109. de St-Jean de Bazillac, XI, 38. — Divers XII, 14Thoronet, 14Thoronet, 311. THORY, XII, 261THOU 261THOU XIV, 123. — XXII, 95. — XXIV, 278. Thouars-sur-Garonne, XII, 371. — XIX, 149. THOUILOUSE, notaire d'Auradé, XVIII, * 136. THOULOUZE, de l'Isle-Jourdain, XXIII, 304. THOURON, de Vic-Fezensac, XXV, 164. Thubet seigneurie de, XII, 133. THUMÉRY de, XXII, 305. THURTOT DE LA BOZTÈRE, conventionnel, XIV, 285. Tibiran, XI, 205. TICHENÉ, d'Auvillar, XXIII, 96, 117, Tiers-Etat, en 1789 le, XIV, 161-167. TIGNONVILLE Jeanne de, XI, 116. Tilh, près l'Isle-Jourdain, XVIII, 188. — XXII, 270. Tilhac ou Tillac, château, XVI, 142. — église, XXI, 155. — seigneurie, XV, 298-300. — XXV, 80. Tilhet, lieu-dit, en Clermont-Savès, XXII, 90. 182 — Tilladet seigneurie de, XVII, 103. — XVIII, 08, 74, Timgad Afrique, XII, 100. TINARRAGE, notaire, XIV, 173. — seigneur do Bouit-Soubiran, XVIII, 48, 53-58, 173, 185. — consul de Nogaro, XVIII, 53, — curé de Projan, XVIII, 53. fine! », XIV, 170. Tipaza, XVII, 170. Tirent, XVI, 288. TISSANÉ, de Mouchan, XXII, 302. TISSANO, prêtre de Riguepeu, XVII, 36. TISSEUR, d'Encausse, XXII, 194, TISSIER, du château de Roquefort, XV, 37. Toison d'or chevaliers de la, XV, 209. TOLLET DU PONT, XVII, 133. Tolosette, XVII, 25. Tolosa Espagne, XXIV, 306. Michel de, peintre sur verre, XVI, 179. Tombeau de l'intendant d'Etigny, XIV, 38-43. Tomversac moulin de, XVI, 207. TONILLÉ, notable de St-Clar, en 1793, XX, 118. Tonneins, XI, 143. — XVI, 94, 172. — XVIII, 229. — XXII, 110. — XXIII, 273. Toponymie De la méthode en. XV, 284, TORCY de, XVIII, 209. TORNATES les, peuple d'Aquitaine, XI, 210. Torrebren chrisme de l'église de. dans Labarrère, XVII, 06. — Divers XI, 104, Torroclla, XV, 204, Tastat château du, XXI 217. — XXII, 335. TOUCHET Marie, maîtresse de Charles IX, XII, 228. TOUERT de, seigneurs de Sion, XVIII, 48. TOUGES de, seigneurs de Noilhan, XX, 59. Tougel, le château-fort, XXIII, 307311. — l'église, XXIV, 251-252. — le prieuré, XXIII, 125, 127, 140-145, 301307. — XXIV, 249. — les archives du prieuré, XXIV, 189-194, — transformation du prieuré en Salpètrerie, eu 1794, XXV, 306-310. — A la. veille de la Révolution, XXIII, 15-28, 88. — La. grande peur, XIV, 260. — composition de la première municipalité, XXIII, 129. — La Révolution à Touget, XXIII, 124-115, 248, 250, 252. 301-311. 333, 336. — XXIV. 83-95. 98, 175-189, 210, 212, 245-255, 300, 377. — XXV, 99, 136-143, 291-315. — Divers XI, 72. — XIV, 175, 354, — XVII, 180. — XXII, 265. — XXIII, 185. TOUHÉ, de Fourcès, XX, 40. TOUJA-BAZIN, XXIV, 170. — Voir BAZIN. TOUJOUSE Anecanze de, évèque d'Aire, XVI, 113. Toujouse, XVIII, 35. — XXI, 35. — XXII, 114, Toujouze, XXIV, 149, Toulon, XVII, 104, 153. — XXIV, 112, 182-183, 219. — XXV, 157. TOULOUSE, de Saint-Orens-Pouy-Petit, XXIII, 296. Toulouse comté de, XIII, 105. — députés de la sénéchaussée de, aux Etats-Généraux de 1789, XIII, 190. — entrée de Charles VII à, XVIII, 93-94, — entrée solennelle de Louis XI à, XV, 209. — Philippe le Bel à, XVI, 112. — Charles VII à. XV, 124, — Assemblée, des Etats fin Midi, en 1357, XVI, 121. — Concile de 1050, XV, 158. — Clarisses du Salin, XVIII, 65. — chapitre Saint-Etienne de, ses droits et ses possessions dans le Gers, XXII, 87. — XXIII 66. — XXIV. 36-38, 40. — Chapitre Saint-Sernin de, XV, 2S9. — 183 — — Franc-maçonnerie toulousaine, XI, 25-26, 28-30, 35. — Parlement de, diverses mentions de membres et d'arrêts XI, 156, 157, 297. — XII, 91, 103, 302, 361, 362. — XIII, 179. — XIV, 48. — XV, 265, 266. — XVII, 96, 100, 102. — XVIII, 35, 99, 194, — XIX, 46, 54, 90, 159-160. — XX. 59, 66, 67, 68, 107, 135. — XXI. 105, 120. 121; 125. 128, 144-149. 152, 158. 162 197, 215, 216, 220, 262, 268, 269. XXII, 00, 61, 74, 92, 93, 94, 100 101, 139, 169, ,220, 225, 238, 267, 272 273, 301, 303, 304, 305, 308, 309. 310, 318. 332, — XXIII, 17, 31, 40, 66. 08. 09, 70, 71, 75, 76, 78, 142, 182, 183, 188-190, 193, 237, 264. — XXIV, 25, 36, 37-40, 46, 62, 81, 100, 142, 196, 255, 256-261. 278, 306, 335. — XXV, 75, 78, 87, 218. — Une famille gersoise fie Conseillers au Parlera, de, XXIV, 259-260. — Annales de la ville de », par Durosoy, XXV, 156. — Divers XI, 67, 71. — XII, 137, 226, 234, 256, 266, 305. — XIV, 13, 20, 21, 22, 23, 24, 27, 28, 32, 33, 34, 35, 197. 199, 207, 208, 211, 260. — XV, 84, 117, 118, 162, 203 ,262. — XVI, 129, 130, 171. 187, 194, 296. — XVII, 17, 101, 103, 107, 197, 199, 200, 203, 204, 208, 240, 257. — XVIII, 26, 91, 130, 211. — XX, 28, 29, 49. — XXI, 139, 142, 164, 183, 216, 219. — XXII, 93, 269, 271, 316. — XXIII, 33, 101, 124, 151, 192, 194, 195, 221, 228, 254, 294, 330. — XXIV, 143, 168, 189, 196, 232, 293294, 324, 328, 354, — XXV, 46, 149, 106. 167, 224, 282, 312. TOULOUSE-LAUTREC Comte de, XXIV, 354-355. — XXV, 30-31, 49. professeur à l'Ecole centrale du Gers, XIX, 165. — XX. 108, 120. — XXI. 190, 192. 193. — XXIII. 40, 111. — XXV, 223, 229. TOUPIER, notaire de Pavie, XVIII, 96, 109, 116. Tour d'Artagnan, à Lupiac, XIII, 91. Tour de guet, XXIII, 208. Tour-Carbonières la, XVII, 95. Tourdun, XI, 210. Tonrnan, XXIII, 227. TOURNAY, d'Aueh, XII, 222. Tournecoupe, XI, 41. — XIX, 66, 77. — XXIV, 119, 120, 123. Tournefeuille Hte-Garonne, XIX, 146. TOURNEL Pierre de, XIII, 238. TOURNEMINE de, XIX, 48. TOURNEMIRE de, XI, 25. TOURNERIE, guillotiné à Auch, en 1807, XXIV, 149. TOURNIE, d'Audi, XXV , 264, — de l'Isle-Jourdain, XXIII, 72. TOURNIER abbé, de Pavie, notice nécrologique. XVII, 315-316. — curé de Blanquefort, XVI, 38. — de Toulouse, XXIV, 39. TOURNON Cardinal François de, archevêque d'Auch, XIV, 102. — XVII, 142, 254. — XVIII, 35. — XXV, 217. — Divers XIV, 20. Tournon, en Agenais, XV, 126. — XVI, 88. Tournas abbaye de, XVII, 265. TOURNY intendant de, son portrait, XL 189-196. Touron Croix du, XIV, 291. Tourrenquets, XXII, 115. TOURS des, voir LASTOURS. Tours, états-généraux de 1483, XIV, 163. — XIX, 43. — états généraux de 1484, XXIII, 245. — Divers XIV, 113. — XVI. 74, 183. — XVII, 135. — — XVIII, 14, 199, 202, 209. — XIX, 51, 52, 149. TOUSSAINT, juge de la Commission extraordinaire d'Audi, en 1794, XXII, 73. — XXIV, 79. Tout-Pyrénéen. 1914 », XV, 87. TOUZET, de. Toulouse, XXIII, 254. Traditions religieuses populaires, XV, 40. — 184 — Trafic commercial au XVIIIe siècle, XXI, 117-118. TRAGONET, notaire de Nogaro, XVIII, 50, 53 — curé du Lin, XVIII, 55. Traité des Etudes de l'abbé ClaudeFleury », par M. l'abbé G. Dartigues, XXII, 304, 308. Traitements des curés et vicaires, en 1072, XVIII, 50. Traitements des hommes de justice au XXI, 260. Traitements des bourreaux sous l'A. R. XXIII, 265-268. — XXIV, 08. 7273, 144-145. Traitements des instituteurs au XVIIe siècle, XXIV, 126. Traitements des professeurs du Collège d'Audi, en 1795, XXV, 231, Traitements de divers fonctionnaires. XXIV, 307. TRANCHELION Géraud, XV, 115. Transcription des mots tires du grec dans notre vocabulaire scienliiique » la, par M. B. Sarrieii, XXI, 204-206. Transport des correspondances au xviil" siècle, XXI, 234, 'TRAPES Léonard de, archevêque d'Audi. XIV, 241. — XVIII, 40. — XIX, 86. — XXIV, 26, 28. T'RAUD. de l'Isle-Jourdain. XX. 28. Travaux publics, sous l'A. R. — Réformes demandées en 89, XV, 259. — XVI, 260. travers » droit de, XV. 258. TRAVERSE, consul de Touget, XXIII, 23, 121-125, 130. — XXV, 308. Truversères, XXIV, 301. TRAVOT général, XXIV, 320. TRÉBES Bernard de, commandeur des Templiers, XXI, 130. Treignac en Limousin, XXII, 57. TREILLARD, conventionnel. XXII, 160. TREILLE, médecin de Bassoues, XXII, 122. — jurât de Monfort. XVI, 132. 133. TREINQUE Françoise, empoisonneuse, guillotinée en 1829, XXIV/ 154, — XXV, 97. Tremblement de terre, en 1518, XV, 293. — en 1625. XXI, 59. — en 1093, XXI, 43-41, TRÉMOILLE de la, XV, 119, 198. — XVI, 80. — Jean, archevêque d'Audi, XVI, 88. — Louis, XIX, 119, 151, 150. TRÉMOLÈDE Raymond de, XVII, 18. notaire de Vie, XXI, 128. TREMOLET, XV, 273. TRÉMONT. d'Aueh, XXIV, 110. — de XX II, 347. — de Touget, XXIII, 305. — XXIV, 91, 240. — XXV, 295. de, seigneurs de Rouit. XVII, 304. — XVIII, 49-52. — Marc-Antoine, consul de Nogaro, XVIII. 50. — Jean, chanoine et curé, de St-Nicolas de Nogaro, XVIII, 51, 52. TRENQUE. de Condoni, XXL 234. TRENQUELÉON de, seigneurs de Lima reon. XXV, 121. Trente Concile de, XXIV, 291. TRÉPORET. île Monfort, XVII, 223. TUÉSARIEUX, consul d'Auradé, XVI, 29. Tressais, ancienne paroisse, XXII, 270. 297. Trères, XVI, 187, 188. Trêves pour labourages, XXII, 261265. 261265. de. XVII. 132. TRIBEL, avocat, XL 253. Tribunal révolutionnaire de Paris victimes du, XXIII, 194. Trie. XVI. 120, 123. — XXII, 109. — XXV. 60. Triqnun seigneurie de, près Mézin. XX, 70. TRILHE. maître ès-arts, à Vic-Fezensac, XXI, 266. TRIMOND de, émigré, XXV, 52, TRINCART. premier abbé de St-Mont, XV, 146. — 185 — Trinitaires Ordre des, XXIV, 98.. TRINQUALIE, institutrice à Auch, an VI, XV, 50. Trinquemalr, XIX, 100. TRION de, notaire, XII, 71. TRISTAN abbé, de Pau, XIV, 114, TRISTAN L'HERMITE, XV, 209. — XVI, 83. TRIVIOL Jeanne, de St-Clar, XIV, 68. TROIL de, XVII, 191. Troisvilles, d'Artagiiau et les trois Mousquetaires », par .1. de Jaurgain, XII, 190. TROIX de, XX, 92, TRONCENS DE BLOUSSON, chanoine de St-Justin. XXIII, 58. Troncens, XXI. 247. — XXII. 143, 337. — incendie du château de, XXII, 236. TROUETTE, de Barran, XXIII, 288. TROUILHÉ. de Condom, XXV, 319. TROYES, XXIV, 69, 70. TRUAU, prêtre de Bezolles, XXIV, 130. — de Gondrin. XXI, 38. THUBERT, émigré, XXIV, 335. TUCO DE LARROCHE, prêtre, XVII, 247. TUCON, consul d'Herrebouc, XIV, 218. rudelle, XIV, 107. — XXIV, 113. — XXV, 160. Tudet, XII. 80. — Voir Notre-Dame de Tudet. tudet » ou tudel » signification fie la forme, XXIV, 113. TUIAGUE, de Miélan, XI, 4L TUJAGUET. de Miélan. XI 42, 278. Tulle. XXIV. 113. Tumulus à Blanquefort. XVI. 56. — à Castelnau-Barbarens, XI 337. — XIII, 183. — à Flaran, XI, 77. — 5 Fregouville, Lias et. Marestaing, XVI, 57. TUNIAC comte de, XI tuntun » ou inuntotin », XIV. 141. — XXV, 124-135. Turc forêt du, près Mirande, XVI, 288. — XVIII, 90. — loups dans cette forêt, XVI, 147. TURENNE vicomte de, XIV, 207. — XVI, 239. — XXII, 20. TURLE, de Touget, XXIII, 23, 311. — XXV, 138, 300. TURLI, frère prémontré de. Vie, XV, 59, 64, - TUROMBAT, consul de Lagraulet, XX, 66. TURPIN-CRISSÉ Comte de, XI, 29. Tui-san, XIV, 300. Turulcl, ou Tiirulel, ou Turlet XII, 379. — Coutumes, XIII, 15-55. — XVI, 25. — XVII, 230-232. — Divers XVI, 214, 225, 226, 228. — XVII 94, 95. — XVIII, 121, 125, 131. TUSAGUET de, XIV, 352. — XVI, 111, T'UTE de la, de Vic-Fezensac, XXIV, 288. TUTÈLE, déesse romaine, XII, 369. — XV, 286. u Uhart seigneurie d', XVI, 87. ULME Jean, prieur de Touget, XXIII. 142, 113, 141. — XXIV. 192. UNALD d'Esparsac, XVTI, 184, UNAULT DE MALSAMONT, XVI, 220, 223. Unzens seigneurie d', XVII 98. — XXII, 71. URBAlN II pape, XXIII, 219. URBAIN IV. pape, XXIII, 114. URBAIN V. pape, XV, 15. — XVI. 264, URDINOLA Pedro de, banquier de StSébastien, StSébastien, 150. URFÉ seigneurs d'. XVI. 81, — XVIII, 202. Urgel siège d'. en 1711. XVII 108. Urgosse. XVIIe 309, 310. — XVIII. 182. 183. — 186 — Urrugne, entrevue de 1163, XV, 208. — comtat de juillet 1793, XII, 355. URSA, abbosse de Goujon, XVI, 35. Ursulines couvent des, à Auch, XIV, 250. — XXI, 197-199. — partage du patrimoine entre les Dames de l'ancien, et du nouveau couvent. d'Auch, XIX, 86-91. — à Fleurance, XIII, 67. — XIV, 321. — à Gondrin, XIV, 321. — XX. 70. — à Vic-Fezensac, XIV, 320-321. — à, Quintin Côtes-du-Nord, XX, 75. Urtubie château d', XV, 208. Ustoit seigneurie d, comté de Foix. XXII, 131. l'taul seigneurie d', XVIII, 65. Clique Afrique, XII, 100. V vacans », XXI, 127. VACQUIER Garsias de, XIV, 108, 111. VACQUIER, XVIII, 76. VADIER, coiiventionnel, XIV, 285. vadium », XIII, 113. VAILLAC de, du Tribunal de Lombez. mort sur l'échafaud, XIV, 184. VAILUNT maréchal, XVIII. 109. XVI. 199. VALENCE Marie-Louise de, abbosse de Fontevrault, XXV. 192. VALENCE, menuisier d'Audi, XXIV, 303. Valence Espagne, XIX, 149. — XXV. 109. Valence, en Daupliiné, XXII, 95. Valence-d'Agen, XIV. 158. — XVI, 131. Valence-sur-Baïse,, bastide, XI 104, — sa fondation. XII. 170-171. - XX, 90. — siège et sac de, eu 1580. XVTII, 231. — La Société populaire fie, XXL 55-56. — XXIV, 170-172, — Etudes de Ph. Lauzun sur, XXI, 90-91. — Divers XI, 125. — XIV, 218. — XV, 81. — XVII, 211, — XIX, 30, 174. — XXI, 147, 159. — XXII, 115. — XXIV, 20, 134, — XXV, 66, 154, VALENT, vicaire d'Auradé, XVI, 34, VALENTIMEN, empereur, XVI, 188. VALERIUS, XVII, 263. VALETTE de Nogaret de la, seigneurs de Caumont, XII, 236-241. — Voir NOGARET et LA VALETTE. VALIER Jean de, secrétaire de l'évêclié l'évêclié XXV, 118-119. Vulledoaze, en XIV, 51. VALLET-LORANGE, off. mun. d'Eauze. XII. 278. Vulmg bataille de , XXIV. 103. Valognes, XVII, 129. VALOIS Madeleine fie, soeur de Louis XI, XVI, 175. de. XII, 309-311. Vandales invasion des, XVII, 179. — XVIII, 81. VAN DE GRAFF, hollandais, XIII, 138. VAMHKUVRE de, XV, 37. Vannes, XIX, 54, 50. 150. VANS, serviteur à Latour, XIII, 212, 213, 221, 223. VAQUIER, notaire à Vic-Fezensac, XX, 52. — de, XII, 361. VARAGNES DE GARDOUES île. XVII, 111. VARAUTIC, maître éperonier, XXII, 203. VARENNES affaire de, en 1796, XXIII, 108-109. VARÈS de. XXIII. 183. VARNEY, XXI, 281. VASSAN de, XIV, 325. Vassy massacre de, en 1362, XIV, 198. VAUBERNIER de. XIV. 25. 36. Vaucluse, XXIV, 202. . église, XI, 127. — XXI, 39, 119. — XXII, 121- — XXIV, 166. XIV, 311. VAIIZE Madame fie, Ursuline d'Aueh, XIX, 88, 89. VEDEL de, XXIII, 94, VEDELLI, d'Auch, XXII, 328, 362. 187 VEDILLE, capitaine gascon, compagnon de Jeanne d'Arc, XVI, 291. VEULLONNAY de, XXIII, 235. voltage », XIII, 288. VENDIÈRES, receveur des tailles, en Astarac, XXIII, 236. VENDÔME Comtes de, XVII, 108, 136. ' VENDOMOIS de, XIX, 130. VENDRYÈS, de Nogaro, XI, 42. VENIER de, XXII, 314, — XXIII, 69. VENNAC Guillaume de, XVI, 74, VENTADOUR duc de, XIV, 342. Vente de sépulture dans église, XIV, 143. — Voir sépulture. Ver combat de, en 1502, XIII, 230. Verd., en Gascogne,. XXIV, 281. VERDEAU, contrôleur des haras, à Auch, XI, 279. VERDIER, procureur royal, eu la sénéchaussée de Ledoure, XXII, 162, — de Mirande, XI, 41. — vicaire de Touget, XXIV, 94, VERDON, d'Aueh, XII, 223. VERDUN Jean de, consul d'Aueh, en 1631, XIV, 174, 176, 224, VERDUN Dominique, XXIV, 258. Verdun château et pays de, XX, 154, — XXI, 143. — XXIV, 259. Verdun-sur-Garonne, XXII, 271. Verdun, évêché XVTII, 15. VERDUZAN de, Roger, marquis de Mirait, XI, 238, 292, — XII, 127. — Alexandre et ses cinq enfants, XII, 128-129. — François et ses onze enfants, XII, 125-128. — Jacques, XII, 33,34, 119-123. — Jean-Jacques, vicomte d'Aumensan, XII, 129-138. — XXII, 320. — Louis-Alain, XII 126127. — Odet, compagnon de Jeanne d'Arc, XXI, 35, 42. — XXII, 116. — Pierre, guillotiné à. Auch, XXII, 74. — XXIV, 80. — capitaine fin Bataillon patriotique du Gers, en 1789, XXII, 06. — Anne-Roger, dernier marquis de Miran, XII, 138-142. — Divers XIV, 65, 110, 175, 224, — XV, 297. — XVT, 294. — XVII, 110. — XIX, 35, 30, 39. — XX, 55. Verduzan, château, XII, 119. — église, XIII, 304, — XIV, 62-65. — croix de pierre au cimetière, XX, 161. — pays, XIV, 174, 218. - XXI, 42, VERGÉ, de Saint-Sauvy, XXII, 169. VERGENNES de, XIII, 138, 269. VERGÉS, syndic du Tiers-Etat de Bigorre, XIV, 129. — de Marciac, XXIII, 60. — guillotiné en 1793, XXIV. 77. — de, XVIII, 55. VERGES DE LASSALLE de, XIX, 187. Vergés, en Catalogne, XV, 204, VERGICI, de Saint-Sauvy, XXII, 169. VERGNIAUD, XXIV, 223. VERGOIGNAN Arnaud et Pons de, compagnons do Jeanne d'Arc, XXI, 35. Vergoignan, XI, 205. — XV, 124, — XVTI, 310, 314. — XXI, 35. VERIGNY DE BROCHET DE, préfet du Gers, XIII, 35. — XXV, 103, 271-290. VERLE D'ENCONTRE, gouverneur de Castel sarrasin, XV, 263. Verlhac seigneurie de, XXII, 324, — XXIH, 74. — XXV, 79. VERLIAC, XI, 26. VERLY baron de, colonel des Centgardes, Centgardes, 109. VERNÈBE-CORNEILLAN de, XV, 20. VERNET, peintre, XI, 29. VERNEUIL marquise de, XH, 297. VERNHES do, XV, 277, 278. — XXII, 151. VERNIES, curé de Clermont-Savès, XXIV, 49. VERNIOL, d'Eauze, XXI, 50. Vernon-sur-Seine, XVII, 138. Verreries agenaises, XXIH, 208. Vers la paix », par le Commandant Marinier, XIX. 198. Versailles, XIII, 142. — XIV, 213. VERSES, de Touget, XXIV, 92. VERSOIS Jean-Faure de, abbé de StJean StJean XVTII, 24, 25', 27, 28, 29, 199-200. — 188 VERTAMON de. XIV, 172, 175. verteilh », XIII, 215. vervelles ». plaques ou anneaux armoriés, XX, 127-131, 161-162. \errius paix le. XI, 201. \escorulo combat île. XIV. 125. VESPASIEN, XVI, 187. VÉZIAN, vicomte de Lomagne, XXI, 138. VÉZINS de, XXI, 155, VÉZINS DE de, XXIII, 231. VTALARD, \-icaire de Clerinont-Savès. XXIV, 19. Viuna. XVIII. 200. 207, 210. 211. — XIX. 14, 51, 11!. Vinne seigneurie de, XVI. 175, 238. — XXII, 311. — XXIV, 165. VIAU, consul de Nogaro, XVI, 182, VIC Dominique de . archev. d'Auch. NL 68. — XIV. 112, 253. — XVI, 297. — XXIII 57. — Pierre de, XIV. 14. — seigneurs de Clermont, XXIII. 182-195. - Divers XIX. 120. 130, 137. 138. — XX. 108. Vie-Rigorre un vitrail du XV siècle, à l'église de. XVI. 179-180. — L'Hôpital St-Jacques de »\ par N. Rosapelly, XV, Kit. 105 Lis •oulllllies et la justice de paix du canton de »' par N. Ro-apolly XV. 100. 166. — Divers XVI. 98, 99, 100-107. - XVIII, 10 — XXI. 237. 247. - XXII, 335. Vicbilh, XVI, 230. Vic-Fezensac, coutumes et privilèges, XX. 95-106. — XXII. 113. — origine el développement. XIII. 163-181. - époque gallo-romaine, XIII, 104-160. - invasions barbares. XIII. 166. - divers aspects successifs de la ville, du IV siècle à nos jours, XIII. — Anciennes institutions municipales. XX, 83. — XXI. 122-131, 258270. — élection, fondions et liste de consuls, XXI, 121, 128, 264, 260. - protestation des consuls, en 1032, XIV. 221. — Collecte du Fezensac, XIV, 169, 174, 216. — Réunion des Etats du Fezensac, en 1651, XX, 66. - Entrée de Louis XIV et de MarieThérèse, à Vie, en 1659, XIII, 88. — Convocation de la noblesse de la sénéchaussée à. Auch en 1674, XVIII, 198. — guerres de religion, XIII, 177179. — XIV. 239. — XXI. 119. — l'instruction publique avant 89, XXI, 263267. — la justice, XXI, 258-263. — l'assistance publique. XXI, 267-270. — la liscalité royale avant la. Révolution. XXII, 246-256. — réunion îi Vie, des Etats d'Armagnac, XXII, 253-255. — Vie religieuse la paroisse, diverses églises et chapelles, XIV, 230-243. — XXI, 39-40. - XXII. 112. — cimetière. XIV, 243. — couvents et confréries, XIV, 314-323. — XV, 89. — XXIV, 131. — hôpitaux el confréries charitables, XXI, 267270. — Frères-mineurs, XXIV, 21, 35. — monastère de Notre-Dame. XV, 55-64. — chapitre et chanoines de l'église collégiale. XIII. 306. — XI,". 101-112. — XVI, 214. — XX, 55, 56, 137. — XXI, 121, 203-260, 208. — XXIV. 132. 327. — dilues et possessions du chapitre. XXIV, 25. — XXV. 261, 208. — L'archevêque d'Aueh, coseigneur -le Vie. XIV, 43-51, 99. — le cloître, XIV, 102. — la halle, XHI. 170-177. — les fortifications, XIII. 168-180. — la tour, XIX, 10. — Période révolutionnaire Comité populaire, en 1789. XXIII, 321. — Assemblée municipale, de 1790 à. 1793. XXIV. 50-56 ; — de 1793 à 1795, XXIV. 281-290. — société populaire. XXL 50-57. - La Terreur, XXII, 309. — XXIII. 110-100. — Sans-culottes et thermidoriens. XXIV. 284-291. — le Clergé de Vie sous la Révolution. XXIV. 370. - XXV, 162-168. — l'église de Vie, temple de la Raison, 189 — XXIV, 287. — XXV, 164-107. — biens du clergé convertis eu biens nationaux, XXV, 258-270. — Divers XI, 38. — XII, 67. — XIV, 255. — XV, 219. — XVI, 41, 128, 172, 183. — XVII, 17, 18, 22, 29, 309. — XVIII, 82, 169. 172, 181. — XIX, 65, 66. — XX, 52, 53-01, 63, 64, 67, 72. — XXI, il, 117, 153, 159. — XXII, 74, 115. — XXIII, 65, 315-326, 333, 336. — XXIV, 50-58, 80, 134, 149, 209. — XXV, 58-59, 61, 64, 129. VICMONT D'ORNEZAN Anne de, épouse de Luppé, XV, 297. Vicnau, près Lialores, XXII, 298. VICOSE de, XXII, 324, 367. 369. — XXIII, 69-80, 182, 183. — XXV, 79 VlCQUES de, abbé de Saranion, XIV, 138. — vicaire général de Lombez, XXIH, 17. VICTOR II, XV, 158. Victoria Espagne, XXIV, 322. vieus », XIII, 108. viens fidentiacus ». la ville épiseopale dans Vic-Fezensac, XIV, 43. VIDAILHAN, d'Antras, receveur des tailles, XIX, 187. Vidailhan forêt fie, en Loubersan, XVIII, 90. Vidailhan, XVI, 288. VIDAL, bourreau, de Bayonne, XXIII 204. — marchand de Condom, XXI, 232. — secrétaire du district de Condoni, XIX, 23, 24. — de Saint-Sauvy, XXII, 109. — de, présidial de Toulouse, XXIV, 261. VIDALOQUE, instituteur à Auch, an VI, XV, 50, 51, — ex-dominicain, terroriste, XX, 108. — XXIII, 118-120. VIDALOT, XIV, 74, VIDAIT, seigneur de Poudenx, XIV, 306. VIDELLI, XVIII, 97. VIDIAN, abbé de Bonnel'ont, XVI, 42. VIDON de, d'Auradé, condamné à mort,, en 1614, XVIII, 134. VIDOS Aymeric de, abbé de Gimont, XVII, 90. Vie rurale, en Gascogne, au XVIIIE cle, XIV, 347-350. — la vie à la campagne, sous l'A. R., XVIII, 171-173. — sous la Révolution, XIX, 01-63. Vie humaine » La, par Pierre Mendousse, XXIII, 246-247, 251. VIELLA de, XII, 153. Vieilla, chrisine, XVII, 07. — découverte de silex, XIV, 80-81. — Divers XVI, 100, 288. — XX, 35, 30, 38. — XXII, 297. VIELLE de, XX, 00. Vielle-Aure, XIX, 64. Viellesègure seigneurie de, XVI, 238 Vienne, en Dauphiné, XXI, 137. Vièques Antilles, XXV, 74, Vieux mots dans quelques hautes vallées pyrénéennes De la persistance de quelques. XI 177-182. .Vieitzos, XI 310. — XIII, 113, 236, 238. VIGAN Pierre, auteur du monument. d'Etigny, à Auch, XIV, 39, 55. VICIER de;, seigneur d'Esparbès, près Mon fort. XVI, 140. — XXII, 151. VICIER DE MOMBRUN Madame, religieuse .ursuline, à Audi, XIX, 86. VIGILANCE, hérésiarque tiu iv siècle, XVTI, 306. VICINAL du , député de Labastided'Arniagnac, XIV, 180. VTGNALS, XII, 296, 300. VIGNAU Sans du, de Lagraulet, XXI, 38. seigneurie du, XII. 142, 143. VICINAUX, de Masseube, XI, 38. — administrateur du départ. du Gers, XXIII. 301. 305. — de Condoni, XXV, 319. — Père Ange, cordelier de Nogaro, XVIII, 180. Vigne fléaux dévastateurs de la, XIII, 296. VIGNEROT de, XXI, VIGNES, de Durban, XVI, 272. — de Miélan, XXII, 207. — de Vic-Fezensac, XXIV, 285. — 190 — VIGNOLES, notaire de Gondrin, XXI, 43. VIGNOLLES de, XVI, 294. — XXII. 305. VlGOUROUX abbé,, ciné de Sto-Meie, XX, 133. VIGUERIE de, XV, 278. VIGUIÉ, consul d'Auradé, XVI, 29. VIGUIER, XV, 10, 19. VILATE de, procureur de la sénéchaussée de Lectoure, XXI, 199. — Madame de, religieuse ursuline d'Audi, XIX, 88, 89. VILHÈRES Jean de;. Cardinal, évoque de Lombez, XVI, 229. — Voir BUHÈRES. BUHÈRES. VILLA Arnaud de, évèquc de Dax, XV, 222. VILLACERE de, XXIII, 235. del Panades, XV, 205. VILLANDRANDO Rodrigue de, chef de routiers, XVTII, 92. VILLARET Guillaume de, XIII, 117. VILLARET-JOYEUSE A propos de l'amiral, XIV, 266. — XIX, 99-100. VILLARS Marquis de, XIV, 336, 338, 345. — XVII, 108. — XXII, 205. - XXIII, 67. d'Hélie de. XXIII, 71. — XXV, 79. VILLE Bernard de, évèque de Rayonne, XV, 228. VILLE de la, XXIII, 03. Villebruinier seigneurie de, XXIII, 74, 78. — XXV, 79. Villecapet, XI, 17. Villecomltil, XI, 41, 42, — XXII, 130, • 142, 227, 233-234, 236, 239-210. VILLEDIEU, XXIII, 164, Villefaye prieuré de, XX, 66. . Villefranche d'Aslarac, fondation fie cette bastille, XIII, 104, 112. — XVI. 286. — XVII 109, 180, 198. — XX. 56. — XXII, 87. — XXIII, 227. —, XXV, 92. Villefritucbe-de-Lauragais, XVIII. 211. Villefranche-de-Roueigue, XIV. 200. — XX, 155. - XXIII, 94, VILLEGLY de;, Président au Parlem. de Toulouse, XXIV, 201. VILLÈLE de, XVIII, 123. Villelongiie, XVT, 220. — XXII, 0!, 315. VILLEMERZOLLE de, XXIII, 62, Villemonble, XV, 203. I illemontrec seigneurie de, XXIII, 76. VILLEMUR Armand, de, abbé de StSernin, StSernin, 159. Villemur. XVIII, 205. VILLENEUVE, instituteur à Auch, an VI, XV, 50 51. — maire de Monferran, an IV, XVIII, 168. — de, de VicFezensac, XV, 57. — Colonel marquis de, XII, 146. Villeneuve seigneurie de, en Laplume, Laplume, 56. Villeneuve Landes, XXI, 199. Villeneuve d'Agenais, XVIII, 224, 228. Villeneuve-sur-Lot ou Villeneuve de. Mézin, XIV, 261. — XIX, 31, 33, 34, 35, 42. — XXIV, 172, Villeneuve de Marsan, XVIII, 55. André de, XVII, 129. VILLEROY de. XIII, 293. VILLIERS de, XVI, 84, VILLONTREIX DE FAYE, évoque d'Oloron, XXIV, 241. VINCENT, notaire d'Aueh, XXI, 243. VINET Elie, professeur, XI, 162. * VINEY, d'Auch, XI, 272. Violes, XVII, 310. Viozan, XXI, 255. Vire, XVIII, 11, VITAL, abbé de Berdoues, XX, 145. VITAL DE ST-ROMAIN, XIII, 238. VISCONTI Charles, XVI, 168. Vitelle seigneurie de, XX, 66. VTTRAC, maire de Gimont, XXIII 306. — de, XXI, 142. VTTRAC DE MICHAELIS de, XV, 279. Vitré, XIX, 152. Vitry-en-Pertois, XVIII, 24. VIVENT, administr. mun. d'Auch, en 1792, XI, 37. — de Monfort. XV, 79, 80. — XVII, 223. — 191 — ivent seigneurie de, XX, 07, 68. VIVES, administr. du départ, du Gers, en 1792, XX, 114, — XXIII, 95, 111, 121-122. — de, chef des protestants de Mauvezin, XXIII, 226. — de, conseiller, XVIII, 119. VIVIAN, comte de Lomagne, XXIV, 111, 115. . , VIVIEN, évèque de Lectoure, XV, 213, 214, Viviers seigneurie de, XVII, 95. Viviers évèché de, XVI, 113. Vivies seigneurie de, XXII, 314. Voeux de nouvel an de la Société Archéologique du Tarn-et-Garonne à la Société Archéologique du Gers, XIX, 109. Voeux de nouvel an de VEscolo deras Pyrenéos, XXI, 80-82. Voies romaines Contributions à l'é tude des, la Ténarèse, de Bordeaux à Jérusalem, XII, 371. — XIII, 164. — XIX, 75, 79, 81, 83. — XXV, 65-66. VOISIN de, seigneur de Blagnac, .XIV, 345. — Ogier de, curé de Marciac, XXIV, 260. VOISINS Philippe de, XVI, 239. — seigneur de Montaut, XI, 74. — XXI, 181. — Divers XII, 87. Vol d'un vase sacré, XXIII, 86. Volontaires du Gers Bataillons de, XXIV, 304, 321. — XXV, 291-305. VOLTAIRE, lettre inédite, XVI, 300. — lettre au général de LassalleCézeau. XVIII, 76. — Divers XI, 29. — XXIV, 222-223, 229. — XXV, 44, 157, 203, 212, Vopilhon. XVIII. 242. VORBADÈRE, vicaire de Bezolles. XXIV, 31, 126. Voyages d'Auch à Paris, en 1799, XXIII, 117. — de Paris à Toulouse, et à Barcelonne, XXIV, 341. — prix des, en 1809, XIV, 133-136. VOYER de, inspecteur-général des haras, XVTI, 14, w W'ERQUINEULE de, XIV, 30. VVOLFART DE POLEM, XIX, 155. WURTEMBERG prince de, XIII, 256, 257. . X XI, 114, — XIV, 266. — XVI, 294, 295. — XXV, 191. Xaintrailles château de, XXI, 15. Y Ygrande Allier, découverte de silex, XIV, 80. YRAGUE, caporal légionnaire, de Lectoure, XXII, 245. YSABEAU, représentant du peuple, XII, 261. — XIII, 254. — XXII, 278. YSALGUIER Antoinette d', femme de Biaise de Moulue, XI, 115. — XX, 92. — Gabrielle, femme de Goût, seigneur de St-Germier, XXV, 75. — Jean, seigneur du Pin, XXII, 96. — Divers XII, 89, 90. YVERNAT, marchand auvergnat, XXIII, 85. z ZAMACOLA, réfugié espagnol, XIV, 95, 139-142. — XXV, 124, 132, 135. '/.auiora Espagne, XVI, 112, ZAMET Jean de, conseiller d'Etat, XI, .297. — XII. 300. ZANGIACOMI, conseiller à la Cour de Cassation, XIX, 148. ZAQUOT frère Guillaume, de l'église St-Pierre de Vic-Fezensac, XXII, 112. Zugarramurdi. XXV, 127. FIN DE LA 1ere TABLE IT TABLE ALPHABÉTIQUE des Auteurs d'Articles. A. ANONYMES Notes et articles. — Charles Palanque, notice nécrologique, XI, 13-16. — Passage de Mazarin à Nogaro, XI, 289. — Isabelle d'Armagnac, Dame des Quatre-Vallées », par Charles Samaran, XI, 800. — Une mission au XIIIe siècle dans l'évêché de Lombez, XII, 288. — Instrument de fesande de noble Bernard de Lacassusne, X11I, 92-93.— Addition au Gallia Christiana, XIII, 181. — Les tumuli de Castelnau-Barbarens, XIII, 183. — Notes sur le veltage, XIII, 288. — Inscription de la cloche de Barcugnan, XIII, 294. — Un apprenti chirurgien à Manciet, XIV, 37. — Prédicateur troublé par un Capucin, XIV, 13. — La statue de d'Etigny, XIV, 55. — Pèlerins de Saint-Jacques, XIV, 61. — Cazalès dans le Gers, XIV, 65. — Les à l'église de Cieutat, XIV, 70. — Episode du siège de Fleurance, XIV, 350. — Milicien déserteur, XIV, 369. — Un château des Poyanne dans les Landes, XV, 54. — Philosophie de la femme d'un bigame, XVI, 108. — Les loups dans le Gers, XVI, 147. — Sellier voyageur, XVI, 244. — Découvertes archéologiques, XVII, 93. — Chanson sur Barthe, évêque constitutionnel d'Auch. XVII, 258. — Arrestations de prêtres du Gers insoumis, XVIII, 60. — Lettre de Voltaire à François de Lassalle-Cézeau, XVIII, 76. — Noël des enfants trouvés de l'Hôpital d'Auch, XVIII, 153. — Lettre d'un citoyen d'Aueh, de la frégate La Médée », XVIII, 156. — Le premier Cent-Gardes, XVIII, 169. — Billet de logement d'un cavalier du régiment de La Valette, XVIII, 220. — La succession de l'abbé de Béon, XIX, 91-92. — La propagande contre-révolutionnaire, XIX, 93-97. — Une erreur de Dotn Brugèles, XX, 106. — Un écho de la présentation de Madame Dubarry à la. C'odr, XXI, 161. — Echos contrerévolutionnaires, XXI, 183. — Origine de Courrensan, XXI, 257. — Signalement d'un voyageur au XVIe siècle, XXII, 103. — Service paroissial de la Cathédrale au XVIe siècle, XXII, 162. — Jourtil de Sandras, XXII, 242. — Poterie gallo-romaine, XXII, 295. — Comme on arrêtait les objets volés, XXIII, 28. — Sur le charivari, XXIII, 54. — Le peintre français Serres, XXIII, 123. — Baptême de trois soeurs jumelles, XXIII, 145. — Visite de la Société Archéologique du Gers au château de Caumont, XXIII, 200-202. — Sur deux vers du Gentilome gascoun » de G. Ader, XXIII, 272. — Statues de saints aux portes des villes, XXIII 300. — Un électeur consciencieux, XXIV, 235. — Verd, en Gascogne ? XXIV, 281. — Visite de Mgr de Maupeou, archevêque d'Aueh, à l'église de Villofranche d'Astarac, XXV, 92. — Lettre à Monsieur Pouydebat, avoué à Agen, XXV, 257. — Un héroïque soldat, du Gers, XXV, 315. ARRIVETS abbé. — Conséquences imprévues d'une proposition théologique, XXII, 57-63. — Les refusans de Saint-Saubi, XXII, 169-171. — Le procès des Abécédaires, XXII, 327333. — Le chapitre de Saint-Justin, XXIII, 55-61. AYRENX abbé d'. — Fondation d'une chapelle dans l'église de de Bezolles, XXV, 93-96. B. BAQUÉ. — Origine et développement de Vic-Fezensac, XIII, 163-181. — L'Archevêque d'Auch, co-seigneur de VicFezensac, XIV. 43-51. — Le chapitre 193 — de Saint-Pierre de Vic-Fezensac. XIV, 101-113. — La paroisse de Vic-Fezensac, XIV, 230-244. — Couvents et confréries de Vic-Fezensac, XIV, 314-323. — Le monastère de Notre-Dame de Vic-Fezensac, XV, 55-64. — Coutumes et privilèges de Vic-Fezensac, XX, 95-106. — Institutions municipales de Vic-Fezensac, XXI, 122-134. — Institutions anciennes de Vic-Fezensac. XXI, 258-270. — Fiscalité royale avant la Révolution, XXII, 246-256. — Les débuts de la Révolution à Vic-Fezensac. XXIII. Les premières luttes municipales, à Vie pendant la Révolution, XXIV, 50-58. — Sans-culottes et Thermidoriens à Vie pendant la Révolution, XXIV, 284-291 — Condom. ville double essai topographique, XXV, 58-72.— L'Eglise de Vic-Fezensac pendant la Révolution, XXV, 162-168. — Les biens nationaux, XXV, 258-270. BARADA. — Comment l'on vivait à la campagne pendant la Révolution, XIX, 61-63. — Sociétés populaires de diverses communes du département du Gers, XXI, 45-57. — L'impératrice Eugénie à Sainte-Gemme, XXI, 103. — Notes sur la vie communale à Condom, en 1790, XXI, 231-236. — Amours révolutionnaires Dartigoeyte et Lantrac, XXII, 30-43. — Les tribuations d'un émigré, XXII, 163-168. — Citations et armes d'honneur de trois Lectourois, an VlII-an X, XXII, 243245. — A propos de' Victoire Guérard, XXIII, 35-36. — Vic-sur-1'Osse pendant la Terreur, XXIII, 146-166. — Une victime de la seconde Terreur l'abbé de la Tour du Pin, XXII, 282292. — Auch pendant' la période révolutionnaire correspondance des frères Cazes, XXIV, 301-331. — Le retour d'exil de L. de Maribon-Montaut, en 1822, XXV, 101-106. — Le rachat du château de Terraube, en 1816, XXV, 271-290. BARADA et BRÉGAIL. — Le général Laroche. XIII, 134-150; 251-260. BARDII';. — Notes sur les Boiseries du XVIIIe siècle à Bordeaux, XI, 224-230. — Ce que doit être l'archéologie populaire, XI, 233. BARDIES Baron de. — Contribution à l'étude des piles gallo-romaines, XI, 230. BARRIERE-FLAVY. — La Seigneurie et les Seigneurs de Clermont-Cogotois, XXII, 85-103; 257-274; 305-326; XXI 66-82; 182-199. — Une paroisse disparue près de l'Isle-Jourdain, XXIV, 36-49. — La descendance d'Antoine-Gabriel Dessus, XXV, 73-92. BENABEN abbé. — La Commanderie de Gimbrède, XXI, 135-152; 213-230. BKNFJTRiX. — Sur la date de la naissance du Cardinal d'Ossat, XXII, 17217 3. — Artisans auscitains aux XVIIe et XVIIIe siècles, XXII, 201-205. — Jean de llithères-Lagraulas, cardinal de Saint-Denis » par Charles Samaran, XXIII. 245-246. BLADE. — Littérature et. moeurs de la Novempopulanic romaine, XVI, 187206. - La littérature et la société gasconnes durant la période barbare, XVII, 73-93; 259-282; XVIII, 142-153. — Conte populaire Inédit La Passion de K. S. .J. C. », XIX, 97. BOMPEIX. — Etude sur le Docteur Auguste-Prosper Filhol, médecin, et annaliste d'Auch, XIII, 31-44; 123-133.— Mission de Mme du Coudray, sagefemme royale en 1770 une école d'accouchement à Auch, XIII, 262-271. — Révolte des soeurs de Charité d'Aueh, Condom et Lectoure, en 1812, ' XIV, 56-61. — Deux consultations sur la goutte au XVIII'- siècle, XIV, 128132. — Une industrie disparue dans le Gers la soierie, XV, 65-68. BOURGEAT abbé. — Une école de charité au XVIIIe siècle, XXIII, 29-34. BRANET. — Documents sur Termes, XI, 17-23. — Le ban et l'arrière-ban de la sénéchaussée de Lectoure en 1639, XI, 67-76; 290-300; XII, 81-91; 361-366. — Inscription gallo-romaine découverte à Lasséran, XIV, 71. — Un livre espagnol publié à Auch, XIV, 139-142. — Les Etats d'Armagnac en 1631-1632, XIV, 168-183; 214-229. — La statue du général Espagne à Auch, XIV, 212. — Du lieu de naissance de Belleforest, XV, 128-130. — Le Comté d'Astarac en 1749, XVI, 73; 286-288.— Auch privé de gâteaux de rois, XVI, 90-92. — Testament de Jean de Sanmartin, vice-sénéchal d'Armagnac, XVI, 277-283; — Un chanoine de Pessan, soldat de la République, XVII, 152. ,— Convocation de la noblesse et des milices de la sénéchaussée d'Auch, en 1674, XVIII, 192-196. — Partage du patrimoine des Dames du couvent de Sainte-Ursule d'Auch, XIX, 86-91. — M. de Jaurgain, notice nécrologique, XXII, 76-77. — Les Dégage, orfèvres à Auch, XXIII, 221-224. — Jean le Pec » d'Edouard Dulac, XXIV, 95-96. — Une édition auscitaine de Don Quichotte, XXIV, 373375. — Le lountoun, XXV, 124-125. — Guillaume de Humbôldt et le choeur d'Auch, XXV, 168-169. BRÉGAIL. — Franc-maconnerie ausc-i13 ausc-i13 — 194 — taine, XI, 2 1-12; 258-279. — La garnison d'Auch au cours du XVIIIe siècle, XII, 115-164; 2-12-271. — Desmolin et son Eloge, de . Rousseau », XII, 318-326. — Les chasseurs volontaires du Gers à l'armée des PyrénéesOrientales, XII, 354-358. — La presse politique dans la généralité d'Auch, à la veille des Etats Généraux de 1789, XIV, 159-167. —r La grande peur en Gascogne, XIV, 259-263. — Deux poésies anti-jacobines, XIV, 284-288. — Les assemblées des sénéchaussées d'Auch, Lectoure et Condom, en 1789, XV, 69-74. — Les Cahiers de 1789, dans les sénéchaussées d'Aueh, Condom et Lectoure, ; Doléances et voeux de la noblesse, XV, 250-261. — Doléances et voeux du Tiers-I- -, XVI, 245-261. - Doléances et vi~-ux du Clergé, XVII, 45-57. — Les fléaux des récoltes autrefois en Gascogne » par J. Dandrey, XV, 296. — Inventaire du mobilier d'un chirurgien, 1628, XVIII, 188-191. — Une enquête de la S'ociété royale d'Agriculture d'Auch, XVIII, 212-220. — Les Jeux de hasard aux eaux du Castéra-Verduzan, sous la Révolution, XIX, 20-24. — A propos de l'Amiral VillaretJoyeuse, XIX, 99. — Babillages de dames de la noblesse gasconne au XVIIIe siècle, XIX, 125-143. — La Société des Républicaines d'Auch et leur bannière, XIX, 161-171. — L'éloquence révolutionnaire dans le Gers, XX, 107-122; XXI, 60-69; 170-179; 271-284; XXII, 44-56. — La fête de l'Etre suprême à Auch, XXI, 189-193. — Un complot pour favoriser l'entrée en France d'une armée espagnole, 1794, XXII, 71-75. — Une fête civique à Saint-Jean-Poutge en 1793. . XXII, 103-110. — La dernière Abbesse du couvent de Prouillan, près Condom, pendant la Révolution, XXII, 147-158. — La presse périodique dans le Gers pendant la Révolution, XXII, 206-224. 277-295; XXIII, 37-54; 106123. — Les muscadins à Auch, XXIII, 171-172. — Les bourreaux à Auch, XXIII, 253-272; XXIV, 59-82; 133-161. — Un apôtre jacobin Pierre-Nicolas Chantreau, XXIV, 213-234; 332-356; XXV, 29-57; 114-161; 197-235. — Allocution, XXIII, 202. BREUILS abbé. — Montréal, XI, 4355; 243-257. — Histoire de Nogaro, XV, 142-160; 210-230; XVI, 110-128; 167-186. — Notre-Dame de Bouit, XVII, 302-315; XVIII, 31-60; 170-187. — Une des voix de Jeanne d'Are sainte Catherine, dans le diocèse d'Auch, XXI, 34-13. BROCONAT abbé. — La Seigneurie et. les Seigneurs de Bezolles, XXII, 111-121; XXIII 62-65. — Monographie de la paroisse de Bezolles, XXIV, 15-35; 125-132. BROQUA Commandeur de. — Le millénaire de Cluny, XII, 35-58. c. CADEOT. — La Société montagnarde de Fleurance pendant la période révolutionnaire, XIII, 65-86. CAILLET. — Lettre de Bernard VII d'Armagnac aux Lyonnais 1418 ?, XIV, 370. CARAMAN. — L'inondation d'avril 1770 dans la généralité de Bordeaux, XI, CARRERE. — Les exploits d'un du Bartas, XXII, 190-200. — La bataille de Ladevèze, XXIII, 93-102. — Le mobilier d'un conseiller au Parlement de Toulouse, en 1669, XXIV, 256-281. CARSALADE Mgr de. — Jean Douilhé, sculpteur, XIV, 250-258. — Le château de Carbon de Casteljaloux, XVI, 157-166. CASTELBAJAC abbé de. — Le testament de Jean de Baulis, médecin d'Auch 1616, XVII, 283-287. — Les protestants de l'Isle-en-Jourdain, XX, 25-30. CASTELBAJAC marquis de. — Lo château de Caumont, XII, 224-241 ; 293-317. CASTEX. — La période révolutionnaire à Eauze, XII, 59-69; 172-183; 276287; XIII, 151-159. — Trois actes de réparation'' à Saint-Clar, XIV, 66-70. — Recherche de la paternité en 1665, XIV, 117-121. CAZAC. — Le proviseur Georges Croise!, XVII, 141-147. — Le professeur Louis Bellanger, XVII, 147-152. — Les croix de guerre de Jules César » par Gaétan Baron, XX, 76-78. — Allocution aux obsèques de Philippe Lauzun, XXI, 70-73. CAZAUBON. — La famine à SaintMézard au XVIIe siècle, XXI, 187-188. CHANCHUS. — Lettre d'un soldat de 1793, XII, 184-185. CHAUVELET. — Les serviettes » dans les boiseries de la cathédrale d'Auch, XVII, 250-258. CLARAC. — La transcription des mots tirés du grec dans notre vocabulaire, scientifique » par Bernard Sarrieu, XXI, 203-206. — Le traité des Etudes de. l'abbé Claude Fleury » par — 195 — M. l'abbé Gaston Dartigues, XXII, 364-365. COURTEAULT. — Les châteaux gascons à travers l'histoire, XI, 99-119. D. DAMBIELLE abbé. — Nos proverbes gascons les proverbes météorologiques, XXIV, 357-373; l'homme et la femme. XXV, 236-257. DAUGE abbé. — Le château de SaintLary, XI. 301-315. — Différend et accord entre le Marquis de Mirabeau et le Marquis de Monlezun, XII, 7780. - Roquefort, XV, 26-47. — Création et prospérité des foires de Lavardens, XIII. 184-187. — Vieille cloche à Castelnau sur l'Auvignon, XVI, 284286. — Un portrait de Jean-FrançoisJoseph de Filhol, seigneur de Gaudoux, XVII, 13-15. — Inventaire des chrismes du département du Gers, XVII, 58-72. — La Seigneurie et les Seigneurs de Saint-Lary, XIX, 13-19; XX, 140-155; XXI, 153-169; 237-252; XX II, 129-146; 225-242; 334-355. — La vieille cloche de Castelnau sur l'Auvignon. XIX, 58-60. — La commanderie d' 15-22. — Le fondeur de la vieille cloche de Castelnausur-l'Auvignon, XXII, 200. — Refonte des cloches de Saint-Orens-les-Condom 1698, XXIII, 293-300. — Nomination d'un syndic par les chanoines de Jegun avril 1570, XXIV, 197198. — A l'occasion de la visite pastorale de Mgr Jacoupy à Condom, XXIV, 214, — L'église paroissiale de St-Orens-Pouy-Petit et sa porte, XXV, 107-123, DESPAUX. — Sceau d'Armand de Villemur, abbé de Saint-Sernin, XIII, 159. — De Saint-Créac à Pampelune, journal de route d'un soldat en 1809, XIV, 133-136. — Une promesse de mariage au XVIIIe siècle, XIV, 363366. — Episode de la bataille d'Iéna, XVI, 70-73. — Le trésor romain de Castéra-Lectourois, XVI, 289. — Curiosités révolutionnaires, XVII, 214225; XVIII, 249-258. — L'abbé Tournier. XVII, 315. — Les protestants de l'Isle-Jourdain, XVIII, 120123. — Notice sur le château d'Esclignac, XVIII, 165. — Accord passé entre un prisonnier pour dettes et son créancier, XX, 156-158. — Pierres sculptées trouvées à Seissan, XXT, 113-116. — Un complot imaginaire sous Louis XIV, Marie d'Esparbès de Lussan, XXII, 159-162. — A propos d'un livre du XVIe siècle, XXIII, 103105. 103105. Artistes et artisans Jean Courbin, maître serrurier à Auch, XXIV, 282-283. — Singulière ordonnance d'un médecin auscitain. au xvn i" siècle, XXIV, 292. DIENNE comte de. — Le maître Guillaume de Carlat dans la tentative d'envoûtement rît. Bernard VII d'Armagnac, XIII, 13-22. DILHAN Mary. — -La Seigneurie de Duran, XIV, 329-332. — Inventaire de l'église de Duran an V, XIX, 103104. DUBIE. — Le château de Lamazèrc, XXIII 239-244. DUBOIS abbé. — Une charte en langue française donnée à Bordeaux, en 1381 il, 216-224. DUFFAU. — Trafic commercial par la Ténarèze, au XVIIIe siècle, XXI, 117118. DUFFOURC abbé. — Les archives de l'ancien prieuré de Touget, XXIV, 189194. DULAC. — Corses et Gascons au XVIe siècle, XIV, 122-127. DUPONT. — Conditions d'un métayer d'Armagnac au XVIIe siècle, XIV, 5255. DURENQUE de. — Lettres du baron de Castelnau, officier de carabiniers, XV, 167-169. E. ESPAGNAT. — Aperçu historique sur Cazères Haute-Garonne, XI, 211-215. F. FORESTIÉ. — Un gascon du xvic siècle Bertrand d'Esparbès de Lussan, XI, 196-203. G. GARDÈRE. — Notices des prêtres et religieux de Condom pendant la Révolution, XXIV, 162-174; 236-244; XXV, 170-189. H. HA BASQUE. — Lettre à M. Philippe Lauzun, XI, 128-129. J. JAURGAIN de. — Deux comtes de Comminges béarnais au xv° siècle, 196 XIV, 293-307; XV, 13-25; 117-127; 198209; XVI. 71-89; 230-210; XVII, 127139; XVIII, 13-33; 197-211; XIX, 4357; 149-160. L. LABADIE. — Notice, bibliographique sur La Muse chrestienne » du poète gascon Saluste du Bartas, XI, 150-176 LACAVE LA PLAGNE. — Généalogie de la famille Lacave La l'Iagne Bar Bar XIX, 144-148. — Catalogue des livres incunables conservés dans la bibliothèque du château de La l'Iagne, XXII, 23-29. LAGISQUET abbé. — Vente d'une sépulture dans une église, au XVIIIe siècle, XIV, 143-145. — La vie; rurale en Gascogne à propos d'un presbytère 1728-1759, XIV, 347-350. — Autour du droit de reconnaissance, XV, 75-78. LAGLEIZE abbé. — La façade et les enfeus de l'église de Fleurance, XII, 197-208. — Un pamphlétaire gascon au temps de la Fronde et du quiétisme F. Davesne, XV, 108-116; 231249. — Un tremblement de terre en 1693, XXI, 43-44. LAM ARQUE. — Notes sur Touget, à la veille de la Révolution, XXIII, 15-28. — La Révolution à Touget, XXIII, 124-145; 301-311; XXIV, 83-95; 175194; 245-255; XXV, 136-143; 291-315. - Notes militaires, XXIII, 327-331. — Un cadet de Gascogne Louis d'Orcival de Peyrelongue 1769-1853, XX IV, 101-110. LAMAZOUADE abbé. — Aujan-Mournède. Documents inédits, XIII, 282288. — Vente du château du Rieutort à Louis XV, XIV, 324-328. LAPORTE. — Aliénation des droits seigneuriaux, XI, 183-188. — Coutumes d'Endoufielle, XI, 280-289. — Coutumes de Turutel, commune d'Auradé, XIII. 45-55. — Monographie de la commune d'Auradé, XVI, 13-58; 214229; XVII, 94-115; 226-238; XVIII, 124-1 11. LARY DE LATOUR Vicomte de. — La tour et le Baratnau. Rivalité de deux maisons de Gascogne, aux XVIe et XVIIe siècles, XIII, 205-235. — Autour d'une pierre tombale, XVIII, 6476. LAUZUN. — Les boiseries du Marquis de Miran, XI, 237-242. — Le château de Herrebouc. XII, 13-34; 119-144. — Une nouvelle inensa poitderaria », XII, 165-171. •— Au Pays des Rois catholiques » par M. de Broqua, XII, 185-188. — Ruines gallo-romaines de Scéviac, près Montréal, XII, 272-275. — Le château de Sainte-Mère, XII, 327-338. — IV" Congrès de l'Union'historique et archéologique du Sud-Ouest XII, 350-353. — L'EscoIe Gaston Phébus à Capvern et à Mauvezin 2728 août 1911, XII, 359-360. — Les découvertes de Sos, XII, 367-373. — Le tombeau de l'intendant d'6tigny, XIV, 38-42. Objets mobiliers de l'église de Verduzan. XIV, 62-65. — Un voyage de Marguerite de Valois aux eaux d'Encausse, en Coinminges, en 1584, XIV, 150-158. — De la ressemblance de certains châteaux anglais avec nos châteaux gascons, XIV, 245-2 19. — Les fêtes félibréennes d'Aueh 1913, XIV, 264-283. — Les Commentaires de Monluc » édités par Paul Courteault. XV, 81-85. — Excursion au château de l'ibrac, XV, 131-111. — Claude Bernard, dit le pauvre prêtre » par M. de Broqua, XV, 160-162. — L'abbé P. Lagleize, Notice nécrologique, XV, 170-173. — Adrien Lavergne, Notice nécrologique et bio-bibliographique. XV, 173-183.— Trois rétables gascons, XV, 191-197. — L'Isle- sir-Jourdain, son histoire » par .J. Saverne, XVI, 142-146. — Léonce C'ocliaraux, notice nécrologique, XVI, 146-147. — A propos de l'oppidum d'Esberous, XVI, 207-213. — La pierre tombale de Bernard du Faur 1532. XVI, 241-244. — Bernard de Panassac, un des fondateurs des Jeux-Floraux » par Ant. Thomas, XVI, 290-292. — Les capitaines gascons de Jeanne d'Arc » par Paul Courteault, XVI, 293-296. — Le couvent de Notre-Dame des Anges de Miramont-Latour », par l'abbé Bénac XVI, 296-298. — De vins Ulustribus Vasconioe », par A. Bibal, XVII, 139141. — Georges Niel, notice nécrologique, XVIII, 157-160. — Armand de Gontaut, baron de Biron, maréchal de France, XVIII, 223-235. — Objets gallo-romains trouvés en Courrensan, XIX, 67-72. — La pierre d'Eauze, XIX, 101-102; 188-191. — Joseph Gardère, notice nécrologique, XIX, 19119 1. - Une porte de l'abbaye de Flaran, XX, 31-32. — Du lieu de SainteGemme, où naquit, croit-on, Monluc, XX. 87-94. - L'église de Nogaro, XXII, 181-189. — Discours et allocutions, XII, 94 XIII, 96; XIV, 96; XV, 91; 171; 175 XXI, 77. LAUZUN et CHAUVELET. — Le bureau de l'intendant d'Etigny. XVI. 5969. LAVERGNE. - Le dieu Lurgorr dans — 197 — l'église de Sariac, XI, 327-329. — Etudes de M. Ch. Samaran sur les lettres de rémission, XI, 330. — BatzCastclmore, XII, 101-118. — Noblesse de Jean-Pierre de Batz-Armanthieu, XII, 209-219. — Alfred Sansot, notice nécrologique, XII, 374-375. — D'Artaguan » par Ch. Samaran, XIII, 8692. — La gerbe d'or » par Ludovic Loubon, .XIII, 191-193. — La Légende dorée eu Cahidez .IM B. Bonne d'Armagnac » par le comte de Dienne, XIII, 193-197. — Le R. I'. Maumus, notice nécrologique et bio-bibliographique, XIV, 82-93. — La justice ancienne et moderne », par Félix Troyes, XIV, 183-186. — Le duc de Fezensac, notice nécrologique, XIV, 288-289. — A propos du P. Maumus. Rectificacation, XIV, 289-290. — Inscriptions horaires dans le Gers, XIV, 366. — Croire, espérer, aimer », par le Marquis de Pérignon, XIV, 372-374. — Origine et fin de la maison de Batzlez-Castillon, XV, 101-107. — L'Or », par Edouard Dulac- et Jean d'Astorg, XV, 163-165. M. MARBOUTTN abbé. — L'église de Mouchan. XI, 56-66.— Une cuve en fonte, XI, 235-236. — L'église de Flaran et l'architecture cistercienne, XIV, 308-313. MARSAN abbé d'Aueh. — Curiosités révolutionnaires, XIX, 64-66. — Une correspondance auscitaine du milieu du XVIIIe siècle, XX, 42-51. — Vente de la salle noble du Hautcoué aux Dames de Sainte-Ursule d'Aueh, XXI, 197-199. MARSAN abbé de Guchen L'ne correspondance épiscopale inédite du commencement du xviii'' siècle, XXI, 104-112. MASTRON de. — La Révolution dans le Gers, Mirannes, XIII, 272-281. — Les Dubarry ou du Barry, Lévignacsur-Save, Haute-Garonne, XIV, 1337. — Investigations sur le Fezensaguet les Luppé-Taybosc, XIV, 351359; XV, 297-300. — Les Carmes à Pavie, XVI, 262-276. — Une bastide duXIIIe siècle Riguepeu, XVII, 1646. — Seigneurie de Saint-Arailles, XVII. 116-126; Une bastide du XIIIe siècle Pavie, XVII, 175-208; XVIII, 77-119.— Salle de Séridos Montesquiou, XVII, 239-247; XIX, 185-187.— Notre-Dame du Cédon, à Pavie, XVII 288-301. — Château de Saint-Christau. près Auch, XVIII, 261-270. — Moulin de Belloc, à Pavie, XXII, 356-363. — Investigations en Astarac, XXIII 230-238. MAZÉRET. — Le terrier de Lauraët essai étymologique, XII, 70-76. — Les âges de la pierre dans le Gers, XIII, 289-293; XIV, 77-81. — La grande peur » à Monfort-du-Gers, XV, 79-81.— Essai généalogique sur la famille de Broqueville, branche de Monfort, XV, 262-280; XVI, 129-142. — Généalogie de la famille de Maigné de Sallenave branche de Vic-Bigorre, XVI, 93-108. — Lettres d'abolition et de pardon, XVII, 209-213; XXIII, 167-170. —Une émeute à Sos, 1636, XVII, 2 18-24 9. — Centenaires gascons, XVIII, 61-63. — Manciet avant l'histoire, XVIII, 236-243. — Installation des sages-femmes XVIIIe siècle, XVIII, 259-260; XXII, 174-175. — Généalogie de la famille de Jaulin, XIX, 25-42; XX, 52-75. — Grottes, souterrains et excavations artificielles du Gers, XIX, 73-85; 172-185. — Le ravitaillement civil et la loi du maximum, XX, 35-41. — La chasse au MoyenAge les vervelles, XX, 123-131. — Une page d'histoire des guerres de religion Justian, XXI, 119-121. — La Fête de la souveraineté du peuple à Monfort-du-Gers, le 30 ventôse an VI, XXI, 184-186. — Lettre de Voltaire à noble François de LassalleCézeau, XXI, 188. — Tradition Gex, commune de Manciet, XXI, 199. — Centenaires gascons, XXI, 230; XXII, 63, 70, 224. — Un cas de conscience une fausse accusation Lauraët, 1610, XXI, 253-254. — Un épisode révolutionnaire, XXII, 64-70. — La sorcellerie en Gascogne, XXII, 296-304. — Dom Brugèles condamné aux galères perpétuelles comme faussaire », XXII, 304. — Les tribulations d'un procureur au l'résidial de Condom, 1583, XXIII, 273-281. — Une émeute à Sos Février 1634, XXIV, 195-196. — L'administration consulaire à Condom. sous l'Ancien Régime, d'après les textes du XVIIe siècle, XXV, 316322. METIVIER. — Mosaïque découverte à Auch, XIII, 160-163. — Fouilles des ruines gallo-romaines de Séviac, par Montréal, XIV. 146-149. — Eglise et couvent des Augustins de Marciac, XIV, 360-362. MliiGEVILLE. — Les eaux minérales de Bassoues, XXII, 122-128. MON DON colonel. —- Dans un coin du Magnoac en 1521-1525, XI, 316-326. — Fondation ignorée de deux bastides en Astarac, au XIIIe siècle, XIII, 101-122; 236-250. — 198 — M0NLAUR. — Pétrarque et. Jacques Colonna » par Henry Cochin, XXIV, 198-203. — Lettres du Chevalier du Chic d'Arcumoul » publiées par Jean Parada, XXIV, 203-208. P. PAGEL. — Une cloche de l'église SaintPierre d'Auch, XII, 220-223. — Une réclame de notaire au XVIIIe siècle, XIII, 23-30. — La Joconde du château le l'Isle-de-Noé, XIII, 182-183. — Frais occasionnés par les Assemblées convoquées pour la nomination des députés aux Etats Généraux de 1789, XIII, 187-191. — Funérailles de Mgr Richier de Cérisy, évêque do Lombez, XIV, 137-138. — Le climat d'Auch. Auch, station climatérique d'hiver, par le Docteur Edouard Dupouy, XIV, 186-187. — Instituteurs d'Auch et manuels scolaires en l'an VI, XV, 18-51. Une rançon par contrat, XVIII, 221-222. - Quelques notes tirées des minutes de notaire à bavardons, XXI, 58-59. — Requête des Etats d'Armagnac au Roi de France 1591, XXI. 180.. — Place du duc d'Aiguillon, comte d'Agenais, dans la cathédrale de Condom, XXI. 194-196. — La peste à Lavardens en 1653-1654, XXI, 200-201. — Légende de tous les cols, ports et passages des Pyrénées », par de la Blottièrc et Roussel, XXI, 206-207. — Le méridien de Gararnie ». par Bernard Sarrieu, XXI, 207-208. — Dictionnaire de l'émigration gasconne », par LacaveLaplagne-Barris, XXI, 208-209. — Un compte d'apothicaire au commencement du XVIIe siècle, XXI. 255-257. — La vie humaine » de Pierre Mendousse, XXIII, 246-247. — Essai sur la candidature officielle eu France depuis 1851 » par Louis Puech, XXIV, 96-97. PALANQUE. — Les funérailles de M. de Pomereu, XIV, 113-116. PLANTE. - Une race maudite ; les Bohémiens du pays basque, XI. 13014 13014 PROU. Un document gascon de Fleurance Fleurance 1400. XIX. 117-124. PUECH. Remarques sur quelques motifs des boiseries de Sainte-Marie d'Auch. XXIII. 173-181. PUJOS. Les fraudes alimentaires au XVIIIe siècle, XVIII, 151-156.— Cahier des doléances des boulangers d'Aueh, XVIII, 211-248. R. ROQUETTE-BUISSON comte de. — De la persistance de quelques vieux mots dans quelques hautes vallées pyrénéennes, XI, 177-182. ROULEAU. — Essai critique sur l'origine du sanctuaire de Notre-Dame de Tudet, XXIV, 111-124. — L'église de Lialores, XXV, 15-28. S. SAINT-MARTIN. — Quelques mots sur l'instruction publique à Simorre avant 89, XIV, 73-76. — Découverte de tombeaux à Gaujan, XIV, 367-369. — La. police sous le Consulat, XX, 33-34. — Notes sur Simorre, XXIII, 225-229. SARDAC docteur de. — Le théâtre pendant les jours du siège et de la commune ». par Gustave Labarthe, XI, 338-339. — Le Congrès de Tarbes, XV, 281-296. — Une cippe funéraire trouvée à Castet-Arrouy, XIII, 62-65. — L'hôpital Saint-Jacques de VicBigorre Les usages locaux et la justice de paix de Vie-Bigorre » par Norbert Rosapelly, XV, 165-166. — Simple note sur Notre-Dame de Beauclaire, XX, 132-139. — Philippe Lauzun, notice nécrologique, XXI, 13-33 ; 85-103. — Un duel sous Louis XIV » par le comte de Bloqua, XXI, 20220 1. — La Commanderie de Gimbrède » par J. Benaben. XXI, 209-210. — Un orfèvre lectourois au XVIIe siècle Georges Groën, XXIII, 83-86. — Le 7e Congrès de l'Union historique et archéologique du Sud-Ouest tenu à Agen, XXIII, 203-221. — Guy du Faur de Pibrac, un magistrat-poète au XVIe siècle », par l'abbé A. Cabos, XXIV, 293-298. — Discours et allocutions, XV, 170 ; XXII, 80 XXIII, 89. — Le prieuré du Paravis, ordre de Fonterrault », par M. l'abbé Marboutin. XXV, 189-194. SARRAN abbé. — Primevères » de Mlle Alberte Lalanne. XV, 85-87. SARRIEU. — Persistance de radicaux celtiberriens dans quelques noms de lieux de Gascogne, XI, 203-211. — Ara Souciétat arqucoulougico det tiers », XV, 95 ; XXI, 80. SAVERNE. — Guerre de religion dans le comté de l'Isle-Jourdain, XIV, 197211 333-346. SOCIÉTE A RCHÉOLOGIQUE DU GERS. — Membres morts pour la patrie 1914-1918. XX, 13-18. — Membres qui ont obtenu des distinctions 199 — honorifiques, XX, 19-24 ; 85-86.— Voeux divers pour la restauration de l'église de La Romieu, XI, 336; — pour la conservation des objets présentant, un intérêt archéologique, XII, 92 ; — au sujet de travaux exécutés à Auch, et de la conservation des églises, XII, 189; — pour que la cathédrale de Lectoure soit classée comme monument historique, XIII, 99 ; — au sujet des noms de rues d'Auch, XIII, 298 ; — concernant la préfecture et les fouilles préhistoriques, XIV, 188 ; — concernant le Musée, d'Auch, XIV, 194 ; — contre le vandalisme allemand, XV, 189; XVIII, 271; — au sujet de l'ouverture du Musée d'Auch, XXI, 76. — contre l'abus du nom de Gascogne et l'usurpation du titre de gascon, XXV, 195; — pour l'érection, à Auch, d'une statue à d'Artagnan, XXV, 323. SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU TARN-ET-GARONNE. — Voeux de nouvel an, XV, 90; XIX, 109. T. TALLEZ abbé. — Comment mourut M. Journet, intendant de la généralité d'Auch, XXIII, 312-314. THOMAS. — Note sur un portrait de l'intendant de Tourny, XI, 189-196. TOURNIER abbé. — Au pays de Sainte Marcienne Cherchell, ancienne Césarée Algérie, XVII, 163-174. III TABLE ALPHABÉTIQUE des Gravures, dessins et portraits. A. Armand de Gontaut, maréchal de France, 228. Auch Bannière des Républicaines, XIX, 165 ; Boiseries de la chapelle du SaintCoeur SaintCoeur Marie à la Cathédrale, XVII, 250; Boiseries de la Chapelle de N. D. de Pitié, XVII, 254; Boiseries des stalles de la Cathédrale, XXIII, 175, 179 ; Bureau de l'Intendant d'Etigny, XVI, 61 ; Mosaïque, XIII, 161 ; Rétable de Jean Douilhô à Sainte-Marie, XIV. 250; Tombeau de l'Intendant d'Etigny à la Cathédrale, état actuel, XIV, 38; au prieuré de Saint-Orens, état ancien, XIV, 41 ; Le quartier de la Treille, XXIII, 256, 257, 258 ; La véritable guillotine, gravure de l'époque révolutionnaire, XXIV, 61. B. Bernard du Faur, pierre tombale, XVI. 242. Biran, rétable, XV, 192. Boiseries de la collection de M. Ricin, XVII, 253. C. Castel jaloux, le manoir, XVI, 158. Castelmore, le château, XII, 111. Caumont, Vue d'ensemble du château XII, 225; plan du château, XII, 233; un coin du côté Nord du château, XII, 301. Chantreau, journaliste gascon, XXII, 285. Chrismes du Gers, XVII, 60. Cippe funéraire de Castet-Arrouy, XIII, 62. Condom, agrandissements successifs, XXV, 62-63 ; au XIXe siècle, XXV, 71. Courrensan, Découvertes gallo-romaines, XIX, 68. E. Esclignac, le château, XVIII, 168. F. Flaran, cloître de l'abbaye, XIV, 310; porte de l'abbaye, XX, 30; salle capitulaire, capitulaire, 308. Fleurance, l'église, XII, 199. M. Fourteau, le joueur de tountoun, XXV, 124. G. Guérard Victoire, XXIII, 37. H. Herreboue, le château, XII, 13, 16. L. La Joconde du château de l'Ls!e-de-Noé, XIII, 183. La Plagne, le château, XII, 105. Le général Laroche, XIII, 135, 256. Lary Henri de pierre tombale à Rome, XVIII, 68. Lauzun Philippe, XXI, 13. Lialores, l'église, XXV, 17, 20. Livre du XVIe siècle, XXIII, 103-104. Luzenac. pile, XI, 231. M. Marciac, tabernacle de l'église, XXII, 37. Miramont, canton de Fleurance, rétable, XV. 154. Mouchan, l'église, XI, 57, 59, 62. — 201 — N. Nogaro, l'église, XXII, 183, 185, 187; arcades de la maison canoniale, XXII, 188. P. Pavie, bastide, XVIII, 79 ; église SaintPierre, XVII, 178 ; tour du guet, XVII, 186. Pibrac, façade principale du château, XV, 134. R Roquefort, le château, XV, 29, 33. S. Sainte-Gemme le manoir, XX, 90 ; rétable, XX, 196. Saint-Justin, confessionnal, XXI, 223 ; fonts baptismaux, XXII, 21. Saint-Lary, le château, XI, 306 pile gallo romaine, XIX, 19. Sainte-Mère, le château, XII, 332. Saint-Orens-Pouy-Petit, l'église et. sa porte. XXV. 109, 112. Saluste du Bartas, fac-similé du titre de La Muse Chrestieune », XI, 151. Séviac, ruines gallo-romaines, plan d'ensemble d'ensemble fouilles, XIV, 147 ; mosaïques, XIV, 148. Signatures maçonniques, fac-similes, XI, 278-279. Soulès le général, XXII, 245. Statue de Notre-Dame de Bouit, XVIII, 36. T. Timbre de la Société montagnarde de Fleurance, XIII, 79. Tour fortifiée pele-tower de BelsayCastle, BelsayCastle, 247. Tudet, clocher du sanctuaire, plan et détails, XXIV, 116, 121. V. Valence-sur-Baïse, Découverte d'une mensa po nderaria, XII 167-168. Vic-Fezensac, plan de la ville, d'après le cadastre de 1726, XIII, 169 ; plan de la ville au XIVe siècle, XIII, 172 ; plan de la ville au XXe siècle, XIII, 173; la halle du XVe siècle, XIII, 176 et XXI, 122; église Saint-Pierre, chevet, XIV, 235; église Saint-Pierre, façade ouest, XIV, 236; église Saint-Pierre, enfeu, XIV, 237; couvent des Cordeliers, clocher, XIV, 315; couvent des Cordeliers. portail de la chapelle, XIV, 317 ; Tour du chapitre. XIV, 103. AUCH. — IMPRIMERIE P. COCHARAUX, RUE DE LORRAINE, 18. 14 ERREURS A CORRIGER Dans les Tomes XI à XXV Du Bulletin de la Société Archéologique du Gers. Il va sans dire que cette liste rectificative n'a pas pour but de signaler les simples fautes typographiques d'une correction trop facile — et d'ailleurs peu nombreuses — qui ont échappé à la perspicacité des correcteurs d'épreuves, et moins encore de froisser les auteurs dont on ne touche pas aux idées eu corrigeant les fautes qui ont pu se glisser, par inadvertance, dans leur texte. Ou a voulu simplement signaler celles qui pourraient induire en erreur un lecteur peu averti ou distrait. On se rendra, d'ailleurs, mieux compte du but de ces corrections, et sans doute aussi de leur utilité, si on veut bien prendre la peine de se référer aux passages indiqués et y pratiquer les corrections suivantes XI, 29, lignes 7-8, au lieu de LAMAGUÈRE, de Masseube, lire LAMAGUËRE de Lasseube. XI, 36, supprimer les 4 dernières lignes de la Note 1, qui répètent les lignes 6-9 de la même page. XII, 288, titre, au lieu de XIIIe siècle, lire XVIIIe siècle. XIII, 36, ligne 22, au lieu de inis cuit, lire miscuit. XIII, 82, note 2, au lieu de XIIIe siècle, lire XVIIIe siècle. XIV, 102, ligne 24, au lieu de cinq, lire sept. XIV, 114, lignes 12-13, lire ces hauts magistrats aient donné à Pau toutes leurs préférences. XV, 74, ligne 16, au lieu de PELAUQUE-BÉRAUT, lire, PALANQUE-BÉRAUT. XV, 78, ligne 15, au lieu de HautesPyrénées, lire Haute-Garonne XVI, 35, ligne 23, au lieu de bassignes, lire bassiniers. XVIII, 248, titré 2e ligne, au, lieu de 1036, lire 1634. XXI, 117, titre, au lieu de XIIIe siècle, lire XVIIIe siècle. XXI, 119, ligne 18, au lieu de 1590, li re, 1570. . XXI, 197, note 1, 3e ligue, ajouter 1918. XXII, 159, 4, et 180, ligne 12, au lieu de Fougeac, lire Feuga. XXII, 159, titre, au lieu de Louis XIV, lire Louis XV. XII, 161, ligne 19, au lieu de Paradio, lire Paravis, XXII, 172, ligne 19, supprimer cardinal. XXII, 276, ligne 10, au lieu de finalité, lire fiscalité. XXII, 174-175 est la répétition de XVIII, 259-260. XXII, 304, la note 2 est la répétition de XX, 106. XXIII, 34, ligne 81, au lieu de indéniable par, lire indéniable que. XXIII, 101, note 1, ajouter, en tête de la 2° ligne l'autre à — 204 — XXIII, 167-170 est la répétition de XVI. 209-213. XXIII, 226, ligue 20, lire 1843-1853. XXIV, 84, lignes 2 et 3 sont à centger comme suif toutefois, il découle d'informations légales effectuées pour le compte des prieurs et religieux de Touget , afin d'étayer leur réplique contre M. Domere, etc.. » Correction , de l'auteur. XXIV, 152, entre les lignes 2 et 3, in tercaler ; 1819. XXIV, 195-196 est la répétition de XVII, 248-249. XXIV, 349, rapporter la note 12 à la page 350. XXV, 15, ligne 8, au lieu de IVe siècle, lire V° siècle. XXV, 15, note 3, ligne 2, au lieu de Antonu, lire Antonii. XXV, 20, note 6, ligne 7, au lieu de ces vagues se trouvent sur le chapiteau de Lialores », lire Bien que ces vagues ne se retrouvent pas sur le chapiteau de Lialores, le procédé employé ici est analogue eu ce qu'il rappelle les simplifications conventionnelles des miniaturistes. Correction de l'au leur. XXV, 23, ligne 29, au. lieu de entradossée, lire, extradossée. XXV, 64, note 8 à rapporter à la page 65. XXV, 67, note 10, ligne 1 au lieu de les Français, lire les Anglais. XXV, 161, note 68 à rapporter à la page 160. XXV, 166, ligne 18, au lieu de Le Mans, lire le Mas. XXV, 170, ligne 14, et note 140, ligne 2, au lieu de Lot-et-Garonne, lire Tarn-et-Garonne. XXV, 174, ligne 9, au. lieu de chapeltenoinie, lire, chapellenie. XXV, 221, ligne 19, au lieu, de Hic, fides manibus spes gentis, lire Hic, fidis manibus, spes gentis. BULLETIN DE LA SOCIETE ARCHEOLOGIQUE DU GERS XXVme ANNEE. — 2me Trimestre 1824 AUCH IMPRIMERIE BREVETÉE P. COCHARAUX 18, RUE DE LORRAINE, 18 1924 SOCIÉTÉ ARCHEOLOGIQUE DU GERS La SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DU GERS, fondée en 1891, reconnue par arrêté du 29 mai 1894, a pour but l'étude des monuments, de l'art et de l'histoire dans l'ancienne province de Gascogne et plus particulièrement dans les pays qui ont formé le département du Gers. Elle se propose de publier des ouvrages ou documents originaux relatifs à cette histoireLes histoireLes d'admission sont adressées au PRÉSIDENT, et, après l'avis conforme du Bureau, elles sont présentées par lui à la séance ordinaire suivante. Le montant de la cotisation est fixé à la somme de Dix francs. Adresser tout ce qui regarde la rédaction du Bulletin à M. le SECRÉTAIRE de la Société Archéologique, rue de Belfort, 4, à Auch. Tout ce qui regarde l' administration paiements, réclamations relatives à l'omission ou retard pour les livraisons, demandes d'anciennes livraisons, etc., doit être adressé à M. CHAUVELET, trésorier, avenue de Toulouse, Auch. Pour les tirages à part des communications, s'adresser à M. COCHARAUX, imprimeur, rue de Lorraine, Auch. Il sera rendu compte, sauf les convenances, de tout ouvrage dont il aura été envoyé un exemplaire. Chèques postaux C/C 4975 Les membres de la Société Archéologique ont tout intérêt et sont priés d'adresser le montant de leur cotisation au trésorier en se servant du chèque postal. Modèle d'adresse TOULOUSE C/C 4975. M. CHAUVELET, Trésorier de la Société Archéologique du Gers, Avenue de Toulouse, à Auch. Le coût du mandat est de 0 fr. 15, quelle que soit la somme envoyée. Les bureaux de poste et facteurs-receveurs leur délivreront gratuitement les formules de mandats-cartes spéciales au service des chèques postaux. Il suffira d'y inscrire le montant de la somme envoyée avec le numéro et l'adresse ci-dessus. AUCH. — IMPRIMERIE COCHARAUX, RUE DE LORRAINE. SiLe Men a beaucoup publié dans le Bulletin de la Société archéologique du Finistère comme dans diverses revues, s’occupant également d’éditions ou de rééditions (Histoire de l’abbaye de Sainte-Croix de Quimperlé de dom Placide Le Duc en 1863, le Catholicon de Jehan Lagadeuc en 1867), son œuvre maîtresse à ses yeux, comme à ceux de ses contemporains, paraît bien être This PaperA short summary of this paper12 Full PDFs related to this paper LaSociété archéologique du Finistère (SAF) s'attache depuis la fin du XIXe siècle à étudier et à faire connaître l'histoire et le patrimoine du département du Finistère. Elle publie un bulletin v1Mh7E.bulletin de la société archéologique du finistère
