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2 Auto-hypnose et EFT pour dĂ©velopper lâestime de soi. Vous savez peut-ĂȘtre maintenant que je suis friande de tous les outils que lâon peut utiliser soi-mĂȘme. Jâapprend des techniques dâauto-hypnose en sĂ©ances individuelles et dâEFT par exemple. Je pense que si beaucoup dâĂ©lĂ©ments se jouent dans lâinconscient, sentir que lâon peut sâapproprier un outil et
En français, le terme hypnose dĂ©signe Ă la fois des Ă©tats modifiĂ©s de conscience, les pratiques thĂ©rapeutiques utilisĂ©es pendant cet Ă©tat, et les techniques permettant de crĂ©er cet Ă©tat appelĂ©es techniques dâinduction. Lorsquâun individu est dans un Ă©tat dâhypnose, ses perceptions sont modifiĂ©es par rapport Ă son Ă©tat ordinaire. Les caractĂ©ristiques de ces Ă©tats sont variĂ©es, notamment perte des repĂšres spatio-temporels, hallucinations, analgĂ©sies, anesthĂ©sies, etc. LâexpĂ©rience hypnotique dâune personne dĂ©pend de sa personnalitĂ©, du contexte, de la mĂ©thode employĂ©e, des suggestions qui lui sont faites, de la profondeur de lâinduction hypnotique, et dâautres paramĂštres. Une personne peut Ă©galement dĂ©velopper une hypnose spontanĂ©e ou provoquer soi-mĂȘme sa propre hypnose. On parle alors dâautohypnose. Il existe un dĂ©bat ancien entre ceux qui considĂšrent lâhypnose comme un Ă©tat mental spĂ©cifique et ceux qui le considĂšrent comme un jeu de rĂŽle comportemental en rĂ©ponse pour se conformer Ă une attente, ainsi que des positions mĂ©dianes. Etymologie SĂ©ance dâhypnose, par Richard Bergh, 1887. Le terme hypnose » est un dĂ©rivĂ© de hypnotisme ». Le mot hypnotisme » est proposĂ© par Ătienne FĂ©lix dâHenin de Cuvillers dĂšs 1820, lui-mĂȘme dĂ©rivĂ© de lâadjectif hypnotique » signifiant qui provoque le sommeil et dĂ©jĂ en usage en mĂ©decine. AprĂšs la publication en anglais en 1843 de lâouvrage du chirurgien Ă©cossais James Braid Neurypnology ; or the rationale of nervous sleep, considered in relation with animal magnetism, le terme hypnotisme » se rĂ©pand parmi les mĂ©decins français pour dĂ©signer un sommeil ou un somnambulisme provoquĂ©s volontairement et artificiellement. On ne parle plus de sommeil magnĂ©tique provoquĂ© par la manipulation dâun fluide magnĂ©tique, mais dâun sommeil hypnotique ou dâun Ă©tat dâ hypnotisme ». Au milieu du xixe siĂšcle, le terme de sommeil magnĂ©tique » est quelquefois employĂ© en France. La forme courte hypnose » apparaĂźt en français vers 1880, dâabord pour dĂ©signer lâĂ©tat hypnotique, puis Ă©galement les diverses pratiques faisant usage de lâĂ©tat hypnotique hypnose mĂ©dicale, hypnose clinique, hypnose lĂ©gale, hypnose de scĂšne. Histoire de lâhypnose ExpĂ©riences comportementales » dâhypnose Ă la clinique de Budapest du ministĂšre de la santĂ© mentale et de pathologie. a Suggestion hypnotique de priĂšre. b Suggestion hypnotique de suicide. c Suggestion hypnotique de serment. d Lâhypnose produite par un diapason. 1899. En 1878, le professeur et mĂ©decin français Jean-Martin Charcot rĂ©habilite lâhypnose comme sujet dâĂ©tude scientifique en la prĂ©sentant comme un fait somatique pathologique propre Ă lâhystĂ©rie. Lâhistoire de lâhypnose dĂ©passe de beaucoup celle de la psychothĂ©rapie. Cette vieille pratique a toujours flirtĂ© » avec les frontiĂšres entre sciences, occultisme, spectacle, thĂ©rapie, etc. Son utilisation dans un cadre thĂ©rapeutique a ainsi toujours Ă©tĂ© source de controverses, sans doute parce que la thĂ©rapeutique elle-mĂȘme est prise dans ce mĂȘme jeu des frontiĂšres entre thĂ©rapeutiques officielles scientifiques », thĂ©rapeutiques traditionnelles, thĂ©rapeutiques spirituelles, etc. Une des controverses qui ont traversĂ© les pratiques hypnotiques est rapportĂ©e par Bertrand MĂ©heust dans son travail sur le courant du magnĂ©tisme animal Mesmer, PuysĂ©gurâŠ. Lâhypnose comme Ă©tat de conscience Lâhypnose est un Ă©tat modifiĂ© de conscience diffĂ©rent de celui produit par la relaxation ou la mĂ©ditation. Cet Ă©tat peut ĂȘtre lĂ©ger rĂȘverie, transe hypnotique lĂ©gĂšre, hypnagogique, hypnopompique ou plus profond. Lâhypnose offre tant au patient quâau thĂ©rapeute un accĂšs aisĂ© Ă lâesprit inconscient du patient. Elle permet de sâoccuper directement de ces forces inconscientes qui sont sous-jacentes aux perturbations de la personnalitĂ©, et elle autorise lâidentification de ces Ă©lĂ©ments de lâexpĂ©rience de vie dâun individu qui ont de lâimportance pour la personnalitĂ© et auxquels on doit accorder toute lâattention requise si lâon souhaite obtenir des rĂ©sultats thĂ©rapeutiques. Seule lâhypnose peut donner un accĂšs aisĂ©, rapide et large Ă lâinconscient, inconscient que lâhistoire de la psychothĂ©rapie a montrĂ© ĂȘtre dâune telle importance dans le traitement des dĂ©sordres aigus de la personnalitĂ©. » â Milton Erickson LĂ©on Chertok considĂšre lâhypnose comme un quatriĂšme Ă©tat de lâorganisme actuellement non objectivable » dont les racines profondes vont jusquâĂ lâhypnose animale. Cet Ă©tat renverrait aux relations prĂ©-langagiĂšres dâattachement de lâenfant ». Il se manifesterait Ă©lectivement dans toutes les situations de perturbation entre le sujet et son environnement. LâaltĂ©ration consciente nâexiste que de cause Ă effet lâutilisation de suggestions verbales en remplace dâautres. Mais si lâon puise dans les items prĂ©existants Ă lâindividu pour les reformuler sans les dĂ©former ou les remplacer, les conduites futures restent en accord avec le conscient, ce qui affecte la mĂ©moire Ă long terme et confĂšre une durabilitĂ© au traitement. Lâhypnose dans ce cas dĂ©passe lâĂ©tat modifiĂ© de conscience, qui nâest plus le terme appropriĂ© pour dĂ©finir lâĂ©tat dâhypnose. Dâautres constats actuels, lâĂ©tat dit de somnambulisme » se visualise avec lâĂ©lectro-encĂ©phalogramme EEG tel un Ă©tat de sommeil lent profond comparable au sommeil paradoxal. On devrait aussi parler de surconscient » et non de subconscient pour qualifier les Ă©tats dâhypnose car ceux-ci remplacent la fonction volontaire du conscient ayant une action dominante sur la motricitĂ©. » â Martine Le Coz, Erich Lancaster, Lâhypnose et la graphologie, Ăditions Du Rocher, 1991. Le Dr Jean Godin, premier spĂ©cialiste français de lâhypnose Ă©ricksonienne propose dans lâencyclopedie mĂ©dico chirurgicale la dĂ©finition suivante qui fait le lien entre les Ă©tatistes et les non-Ă©tatistes. Lâhypnose est un mode de fonctionnement psychologique dans lequel un sujet, parvient Ă faire abstraction de la rĂ©alitĂ© environnante, tout en restant connectĂ© Ă certains stimulus ex. la voix de lâhypnotiseur. Ce dĂ©branchement de la rĂ©action dâorientation Ă la rĂ©alitĂ© extĂ©rieure », qui suppose un certain lĂącher-prise, Ă©quivaut Ă une façon originale de fonctionner Ă laquelle on se rĂ©fĂšre comme Ă un Ă©tat. Fonctionnement de lâhypnose Avoir conscience de lâinconscient Pour comprendre les mĂ©thodes dâhypnose, il est important de comprendre que nous sommes connectĂ© au monde extĂ©rieur Ă travers nos sens. Le cerveau les traite selon 2 circuits le circuit conscient et le circuit inconscient. Si le premier est bien connu de tous puisque lâon en est par dĂ©finition conscient, le circuit inconscient est trĂšs mystĂ©rieux. Il existe cependant dâinnombrables manifestations de cet inconscient dans la vie de tous les jours, notamment les Ă©motions. Dâailleurs, si on a conscience de ses Ă©motions, leur maĂźtrise est toujours ardue en raison de leur source inconsciente. Les Ă©motions sont source de comportement la peur, lâamour, etc., ce qui sera utilisĂ© par lâhypnotiseur. Une autre facette de notre inconscient est la perception. La perception est une rĂ©action inconsciente Ă un stimulus qui peut ĂȘtre une source dâinformation pour notre conscient. Par exemple si je pique le doigt dâune personne, cette derniĂšre va retirer son doigt avant mĂȘme dâavoir mal, par rĂ©flexe comportement inconscient, et elle ne pourra pas sâempĂȘcher dâavoir mal rĂ©flexe inconscient Ă©galement. Le moment le plus rĂ©vĂ©lateur de lâinconscient sâavĂšre nĂ©anmoins ĂȘtre lorsque le conscient se met en pause lorsque lâon dort. Le rĂȘve est donc un acte purement inconscient dâailleurs la mĂ©moire dâun rĂȘve au rĂ©veil sâestompe en quelques secondes en gĂ©nĂ©ral, et ces rĂȘves dont on a vaguement conscience ne correspondent quâĂ une petite partie des rĂȘves que lâon a, la plupart Ă©tant totalement inconscient, seulement visible sur un Ă©lectroencĂ©phalogramme. Il y a dâailleurs dans le rĂȘve un rĂ©flexe â par dĂ©finition inconscient, qui dĂ©connecte le cervelet de la moelle Ă©piniĂšre pour Ă©viter que lorsque lâon sâimagine courir, on se mette Ă courir rĂ©ellement dans son lit. Dans de trĂšs rares cas, la reconnexion pourtant automatique au rĂ©veil peut mettre quelques secondes et on se retrouve dans une paralysie hypnagogique. A contrario, la reconnexion peut sâopĂ©rer durant les rĂȘves et on se met alors Ă bouger dans son lit. Un autre Ă©tat dâhypnose trĂšs classique que tout le monde a vĂ©cu est de ne plus avoir conscience dâĂȘtre dans un fauteuil assis avec des gens autour, lorsque lâon regarde un film. Ce qui conduit Ă une lĂ©gĂšre transe hypnotique ou lâon nâentend plus quelquâun qui nous parle, on ne voit plus cette lumiĂšre sur le cĂŽtĂ© qui nous gĂȘnait pourtant au dĂ©but. Et si on coupe le film brusquement, on met quelques secondes Ă rĂ©aliser que câest en fait la publicitĂ© et quâon peut se reconnecter Ă la rĂ©alitĂ©. Manipuler lâinconscient Le rĂŽle de lâhypnotiseur est dans un premier temps dâ endormir » lâesprit conscient, en diminuant son importance face Ă lâesprit inconscient dont il va au contraire augmenter les effets. DĂšs que ces effets sont rĂ©els on parle dâĂ©tat dâhypnose. Cet Ă©tat peut commencer par de lâhypnose imperceptible, et extrĂȘmement lĂ©gĂšre. La personne hypnotisĂ©e ne se rend en gĂ©nĂ©ral compte de rien. Puis lâhypnotiseur, va essayer dâaugmenter cet Ă©tat dâhypnose, jusquâau niveau quâil dĂ©sire. Un bon hypnotiseur peut ainsi amener lâhypnotisĂ© jusquâĂ une transe trĂšs profonde. Cette phase de crĂ©ation de lâĂ©tat hypnotique se fait au travers de suggestions, câest-Ă -dire dâinjonctions directes ou indirectes faites Ă lâinconscient. Lâinconscient va alors rĂ©agir Ă ces suggestions. Cette rĂ©action Ă©tant induite par les suggestions, on parle de phase dâinduction. DĂ©roulement dâune sĂ©ance dâhypnose En gĂ©nĂ©ral, une sĂ©ance dâhypnose se dĂ©roule en trois phases potentiellement facultatives la mise en situation ;lâinduction lâinduction transparente,lâinduction hypnotique initiale contenant les fameux tests,lâapprofondissement ;le travail le moment oĂč lâon va utiliser lâhypnose dans un but prĂ©cis. Guillaume SchumacherGuillaume SCHUMACHER a Ă©tĂ© initiĂ© au GODF Ă lâOrient dâĂpinal. Il participe Ă©galement, quand il le peut, aux Imaginales Maçonnique & ĂsotĂ©riques d'Ăpinal organisĂ©es aussi par son atelier. Avant d'ĂȘtre spĂ©culatif, il Ă©tait opĂ©ratif. Aujourd'hui, il sert la nation dans le monde civil. PassionnĂ© de sport et de lecture Ă©sotĂ©rique, il se veut humaniste avec un esprit libre et un esprit laĂŻc. ï»żRegardezHYPNOSE - Estime de soi (20 min) - Doctissimo sur Dailymotion. Recherche. BibliothĂšque. Se connecter. S'inscrire. Regarder en plein Ă©cran. lâannĂ©e derniĂšre . HYPNOSE - Estime de soi (20 min) Doctissimo. Suivre. lâannĂ©e derniĂšre. Signaler. VidĂ©os Ă dĂ©couvrir. VidĂ©os Ă dĂ©couvrir. Ă suivre. 20:41. HYPNOSE - Construire son futur (20 min) Pour beaucoup dâentre nous, lâhypnose est apparue dĂšs lâenfance dans le dessin animĂ© de Bugs Bunny, LâHypnotiseur au cerveau de liĂšvre, ou dans une autre scĂšne exagĂ©rĂ©e montrant un personnage louche balançant une montre dâavant en arriĂšre tandis que le protagoniste tombe dans une transe terrifiante. MĂȘme Ă notre Ă©poque, lâhypnotisme nous est toujours prĂ©sentĂ© comme une prĂ©sence sombre et effrayante. Dans lâun des exemples les plus rĂ©cents, Get Out de Jordan Peele, lâhypnotisme est utilisĂ© comme un outil pour endormir Daniel Kaluuya et le rendre complaisant alors quâil est progressivement kidnappĂ© par des racistes. Comme on pouvait sây attendre, pour ceux qui connaissent intimement les possibilitĂ©s rĂ©elles et positives de lâhypnotisme, ces dĂ©formations courantes sont non seulement trompeuses, mais elles dĂ©peignent une image trĂšs diffĂ©rente de la rĂ©alitĂ©. En rĂ©alitĂ©, la pratique de lâhypnotisme est beaucoup plus proche dâune mĂ©ditation guidĂ©e que dâune transe droguĂ©e bien que pour certaines personnes les deux sensations soient insĂ©parables. Certains dâentre nous ont dĂ©jĂ lu et entendu des anecdotes sur des rĂ©sultats positifs, notamment sur le fait de prendre confiance en soi et de vaincre sa timiditĂ©, mais rare sont ceux ayant expĂ©rimentĂ© lâhypnose eux-mĂȘme. Comme la plupart des thĂ©rapies brĂšves qui traitent des Ă©motions, du manque de confiance en soi, des facteurs de stress quotidiens et de lâĂ©tat mental, les sĂ©ances dâhypnotisme peuvent ĂȘtre adaptĂ©es Ă une intention ou Ă un besoin spĂ©cifique. Le tĂ©moignage dâune personne, dont lâobjectif Ă©tait de reprendre confiance en soi, vous aidera Ă vous faire une idĂ©e sur le sujet. Cette personne souhaitant rester anonyme, nous la nommerons Shella. Avant mĂȘme dâarriver au centre, Shella savait quâelle voulait axer sa sĂ©ance sur la confiance en soi extĂ©rieure et sur le fait de se sentir vraiment en paix dans son corps physique. Comme de nombreuses personnes, elle souhaitait avant tout savoir comment avoir confiance en soi et oser vivre pleinement sa vie, sans pensĂ©es nĂ©gatives. Elle souhaite avant tout lĂącher-prise sur ses angoisses dâĂ©chouer pour aller de lâavant et prendre des risques. Quand elle est arrivĂ©e, elle a immĂ©diatement senti son niveau dâanxiĂ©tĂ© sâapaiser. Il y avait des cristaux achetables partout, des livres sur la mĂ©ditation et la psychothĂ©rapie, de lâeau potable imbibĂ©e de cristaux, des perles de verre et des yeux en cĂ©ramique qui dĂ©coraient la façade. CâĂ©tait un espace manifestement conçu pour mettre les gens dans la zone pour le Reiki, les bains sonores ou lâhypnose. Sa sĂ©ance dâhypnose Ă©tait avec la thĂ©rapeute Shauna Cummins, qui lâa accueilli trĂšs chaleureusement et lâa conduit dans lâarriĂšre-salle pour expliquer le processus. Avant de commencer, Cummins a notĂ© quâil sâagissait de sa premiĂšre fois, sâest assurĂ©e quâelle nâavait pas dâanxiĂ©tĂ© particuliĂšre concernant le processus, et lui a demandĂ© quelle Ă©tait son intention pour la sĂ©ance. Lorsque Shella a dit Ă Cummins quâelle voulait ressentir une concentration calme dans son corps, une capacitĂ© Ă exercer une confiance qui corresponde Ă la fois Ă©motionnellement et physiquement, elle avait 10 pas dâavance. Shella lui a Ă©galement confiĂ© sa volontĂ© de retrouver confiance en soi pour pouvoir sâĂ©panouir pleinement. Elle a qualifiĂ© ce quâelle dĂ©crivait dâintĂ©gration, et lui a dit quâelle aimait particuliĂšrement aider ses clients Ă entrer dans cet espace de collaboration avec eux-mĂȘmes ». En effet, comme un psychothĂ©rapeute ou un spĂ©cialiste de le sophrologie, Cummins souhaite avant tout que son patient tende vers une pensĂ©e positive, en ce concentrant principalement sur les points forts de leur existence. Cummins a expliquĂ© que lâune des croyances fondamentales de lâhypnotisme est que notre corps contient dĂ©jĂ toutes les connaissances et lâĂ©nergie dont nous avons besoin. La pratique est conçue comme un exercice pour nous aider Ă accĂ©der Ă nâimporte quel trait de caractĂšre dont nous avons estimĂ© Ă tort quâil nous manquait, et donc pour Shella, cela signifiait la capacitĂ© de se sentir en paix dans son corps et ainsi affronter le regard des autres sans aucune crainte. La sĂ©ance a officiellement commencĂ© par le fait que Shella a lentement levĂ© son bras droit, tandis que Cummins la guidait. Shella a rapidement fermĂ© les yeux, et on lui a demandĂ© de se visualiser en train de localiser son stress. Une fois que Shella a localisĂ© une zone de stress dans son corps que ce soit par une douleur physique Ă©vidente ou par son imagination, on lui a demandĂ© dâimaginer ses respirations Ă©vacuant ce stress et faisant de la place pour ce dont elle a besoin. Au dĂ©but, Cummins a surtout racontĂ© et instruit la sĂ©ance. Shella prenait une respiration, elle visualisait son stress et ses doutes sur soi-mĂȘme comme un objet solide pour elle, câĂ©tait un rocher, puis elle sâimaginait en train de le retirer de son corps. AprĂšs les 10 premiĂšres minutes, Cummins lui a fait passer au lit oĂč elles sont passĂ©es Ă la partie interactive de la sĂ©ance. Câest lĂ que la collaboration avec soi-mĂȘme a vraiment commencĂ©. Cummins lâa incitĂ© Ă partager les traits de caractĂšre quâelle souhaite afficher dans les prochains mois, avant de visualiser des scĂšnes de sa vie dans plusieurs mois, avec ces qualitĂ©s en tĂȘte. Elle lui a ensuite demandĂ© de nommer un moment de sa vie oĂč elle a eu besoin de soutien, oĂč son estime de soi Ă©tait au plus bas, et lui a demandĂ© de visualiser son soi futur rendant visite Ă son soi passĂ© pour lui donner une affirmation. Tout au long de ce processus dâaffirmation, elle lâa invitĂ© Ă Ă©changer des mots entre son futur soi Ă©voluĂ© et son passĂ© douloureux. Ses soi voyageant dans le temps devaient nommer les façons dont lâautre soi faisait du bon travail. Ce processus, dit Cummins, est une forme dâintĂ©gration entre ce quâelle souhaite ĂȘtre et ce quâelle a Ă©tĂ©. La conversation continue et les visualisations incitĂ©es de soi-mĂȘme voyageant Ă travers ses Ă©motions exigeaient plus de parole et de rĂ©flexion rapide quâelle ne lâavait prĂ©vu, et en ce sens, cela ressemblait beaucoup plus Ă une thĂ©rapie active quâĂ une transe. Lorsquâelles ont terminĂ© la sĂ©ance, elle sâest sentie plus consciente de la façon dont son corps interagissait avec lâespace physique. Elle pense que câĂ©tait en partie parce quâelle sâĂ©tait visualisĂ©e dans le calme quâelle souhaitait. Elle sâest sentie plus consciente de la façon dont sa frange tombait, de la façon dont elle remuait ses jambes et de la sensation de sa peau, mais pas dâune façon gĂȘnante. CâĂ©tait plutĂŽt un sentiment de redĂ©couverte, comme lorsque vous sortez dâune salle de cinĂ©ma et que vous vous ajustez Ă la luminositĂ© de lâextĂ©rieur. Lorsque Shella a demandĂ© Ă Mme Cummins si les gens pratiquent lâhypnose par eux-mĂȘmes, câest-Ă -dire lâauto-hypnose, comme beaucoup le font avec la mĂ©ditation, elle a rĂ©pondu Ă la fois oui et non. Câest diffĂ©rent de la mĂ©ditation, car lâhypnothĂ©rapie est un processus interactif ; il est difficile de se conduire soi-mĂȘme dans lâinconscient, aussi profondĂ©ment quâavec un hypnothĂ©rapeute ou un spĂ©cialiste en coaching de confiance en soi. Cependant, Mme Cummins encourage ses clients Ă crĂ©er une pratique quotidienne avant de se coucher pour que leurs visualisations sâimprĂšgnent dans leur cerveau. Pour Shella, elle lui a recommandĂ© de prendre trois Ă©tats dâesprit quâelle veut ressentir par exemple clair, prĂ©sent, libre. Avant de se coucher, elle est censĂ©e Ă©crire ces trois Ă©tats dâesprit pour les ancrer dans son subconscient. Le matin, elle est censĂ©e lire et rĂ©pĂ©ter ces Ă©tats dans son miroir. Et, Ă la fin de la journĂ©e, elle est censĂ©e reconnaĂźtre et nommer trois choses quâelle a faite pour soi pendant la journĂ©e. Ces pratiques, dit M. Cummins, sont destinĂ©es Ă crĂ©er des habitudes de compassion envers soi-mĂȘme, ce qui lâaide Ă se sentir plus facilement calme et Ă lâaise dans son corps. Comme Shella nâa assistĂ© quâĂ une seule sĂ©ance, il lui semble prĂ©maturĂ© dâĂ©mettre un verdict dĂ©finitif sur la façon dont lâhypnose a affectĂ© son confort dans son corps. Elle peut cependant affirmer que le processus a Ă©tĂ© Ă©tonnamment relaxant. Câest un travail qui demande de la vulnĂ©rabilitĂ©, et lâexploration de ses besoins Ă travers son imagination lâa forcĂ©e Ă se sentir dans sa peau. Elle sâest sentie moins nerveuse pendant plusieurs jours, et les exercices Ă domicile lâont forcĂ©e Ă respirer plus profondĂ©ment et Ă se ralentir, ce qui lui donne moins envie de sortir de sa peau par insĂ©curitĂ© et par anxiĂ©tĂ©. CâĂ©tait la premiĂšre fois quâelle essayait lâhypnose, mais ce ne sera pas la derniĂšre pour essayer de reprendre confiance en elle et travailler sur son dĂ©veloppement personnel. Elle a hĂąte dâexplorer comment ces exercices peuvent lui permettre de se sentir plus Ă lâaise dans sa propre peau, moins timide, en sortant de sa zone de confort, que ce soit par soi-mĂȘme ou avec quelquâun pour la guider. Elle souhaite plus que tout renforcer sa confiance en soi. Le manque dâestime de soi lui a trop souvent empĂȘcher de prendre la parole, de sâexprimer ou bien dâaller vers les autres. Avoir plus confiance en elle lui permettra donc de parler en public, de se sentir mieux et pourquoi pas, prendre confiance dans ses capacitĂ©s. ProgrammeConfiance en soi par HYPNOSE. Comment augmenter la confiance en soi par hypnose. Ce programme vous permettra de reprogrammer votre cerveau vers une plus grande confiance en soi. -Souhaitez-vous possĂ©der une plus grande confiance en vous et une meilleure estime de vous-mĂȘme? -Vous arrive-t-il dâadmirer les gens qui dĂ©montrent une