personnedans le monde ne marche du mĂȘme pas 21 Jun 2022
1/ Ce serait pourtant plus simple
 On a tous des moments oĂč l’on aimerait que les autres pensent comme nous
 C’est vrai, cela nous simplifierait bien la vie ! Plus besoin de se justifier auprĂšs d’un client, de son patron, d’un chef ou mĂȘme de son conjoint. Nous serions immĂ©diatement compris sans s’expliquer pendant des heures. VoilĂ  qui serait beaucoup plus confortable. La communication serait donc plus facile, plus rapide et plus claire ! Une douce uniformitĂ© baignerait tous nos rapports sociaux. Fini les sous-entendus et les filtres dĂ©formants. Place Ă  la nouvelle norme la mienne ! Et oui mais la vie est ainsi faite
 Et puis, en rĂ©flĂ©chissant un peu on comprend trĂšs vite que cette apparente simplification des relations est une impasse voir mĂȘme un boulevard pour un nouveau totalitarisme. Voyons cela d’un peu plus prĂšs. 2/ YucatĂĄn AmĂ©rique centrale, 1541. Dans ses rĂ©cits, le moine franciscain Toribio de Benavente fait la chronique des premiĂšres missions d’évangĂ©lisation au Mexique. Il raconte notamment une anecdote qui tient plutĂŽt de la farce le dĂ©barquement des premiers conquistadores, assoiffĂ©s de pillage et attirĂ©s par l’or des Mayas. En arrivant dans la province mexicaine qui porte depuis le nom de YucatĂĄn », ils interpellent la population locale qui, bien sĂ»r, ne parle pas le Castillan. Ces pillards veulent savoir oĂč ils viennent de poser le pied. DĂ©semparĂ©s, les Mayas leur rĂ©pliquent quelque chose qui sera interprĂ©tĂ© plus tard comme YucatĂĄn ! ». Selon Toribio de Benavente, la rĂ©ponse des autochtones ne faisait pas allusion Ă  un quelconque nom de lieu mais Ă  une incomprĂ©hension Nous ne vous comprenons pas ! 
 Certains historiens contestent cette origine du nom YucatĂĄn ». Il en existe une autre basĂ©e sur l’ariditĂ© du lieu mais qui est bien trop sĂ©rieuse et pragmatique pour ĂȘtre intĂ©ressante ! NĂ©anmoins, cette version de Toribio me semble symptomatique des diffĂ©rents engendrĂ©s par la communication. Elle illustre la formidable confiance de ces conquistadores persuadĂ©s d’ĂȘtre instantanĂ©ment compris oĂč qu’ils soient ! 3/ Sans Filtres ? Cette histoire mexicaine nous dĂ©voile en creux plusieurs des filtres qui nuisent Ă  notre communication la langue, la culture, l’éducation ou la religion. Il en existe finalement autant que d’humains. Comme pour les fractions en mathĂ©matiques, nous sommes parfois Ă  la recherche du plus petit dĂ©nominateur commun. Cette quĂȘte mĂšne invariablement Ă  la fragmentation, Ă  l’exclusion, Ă  la relĂ©gation ou Ă  la stigmatisation. Les exemples sont si nombreux et constants qu’ils deviendrait lĂ©nifiant d’en Ă©tablir la liste exhaustive
 Nous avons tous plus ou moins conscience de la puissance destructrice de nos filtres nĂ©gatifs. Ils nous empĂȘchent de jouir pleinement de la vie. Ces filtres sont notre aliĂ©nation quotidienne tout en nous rassurant aussi parfois. Ils sont comme une paire de lunettes teintĂ©es Ă  travers lesquelles nous serions les seuls Ă  pouvoir y voir clair. Nous interprĂ©tons en permanence d’une maniĂšre unique l’ensemble des Ă©vĂ©nements de notre vie. Cela engendre une complexitĂ© incroyable car nous ne partageons avec les autres que trĂšs rarement les rĂšgles de notre jeu personnel. A votre Ă©coute ! Toutes les sociĂ©tĂ©s sont fascinĂ©es par ces clivages permanents. Nos mĂ©dias en sont remplis. Finalement, avec cet Ă©tat d’esprit, tout est sujet Ă  dĂ©bat, Ă  controverse et Ă  divisions. Je ne fais malheureusement pas exception Ă  ce mouvement. Pourtant, j’ai trouvĂ© une autre voie qui m’aide Ă  faire un pas de cĂŽtĂ©. Non, pas la Voie du Tao, mĂȘme si mes nombreux voyages en Chine m’y ont sensibilisĂ©. Je veux plutĂŽt parler du mouvement des Forces » issues de nos Talents Naturels ! 4/ Lunettes roses Dans le livre StrenghtsQuest, Edward Anderson, un des pĂšres du test StrenghtsFinder, raconte une expĂ©rience intĂ©ressante. Pour prĂ©senter le test Ă  une cohorte d’étudiants rĂ©unis dans un amphi, il a eu une idĂ©e excellente. Il souhaitait marquer l’esprit des Ă©tudiants durablement afin qu’ils comprennent l’importance de connaitre les talents des autres AUTANT que les siens propres. Tout en faisant son exposĂ©, il passa dans les rangs et distribua Ă  chacun une paire de lunettes. Pas une vulgaire paire de lunette en plastique, non ! Des lunettes magiques qui permettaient de voir » les forces des autres
 Avec les Forces, on peut voir la vie en rose ! C’était sa mĂ©taphore pour pousser ces Ă©tudiants Ă  recadrer le regard qu’ils portaient sur leurs camarades. En tout, plus de 100 000 Ă©tudiants ont Ă©tĂ© accompagnĂ©s dans diffĂ©rents programmes par Gallup. Connaitre ses Talents permet de poser un regard positif sur soi-mĂȘme. Mais chaque Talent possĂšde aussi son cĂŽtĂ© obscur ». Par exemple le talent de Self-Assurance confiance en soir peut parfois ĂȘtre vu comme de l’arrogance dans certaines situations. Les expĂ©riences de Gallup montrent que par la connaissances des talents de chacun, les relations gagnent en respect et en comprĂ©hension mutuelle. On perçoit plus positivement des comportements qui nous irritaient avant. Les oppositions qui avaient tendance Ă  dĂ©gĂ©nĂ©rer en conflit par le passĂ© sont dorĂ©navant ressenties comme l’opportunitĂ© de trouver un terrain d’entente
 5/ La force des Forces ! Ce qui est vrai pour les Ă©tudiants accompagnĂ©s par Gallup l’est aussi pour les Ă©quipes salariĂ©es, les bĂ©nĂ©voles d’organisations non-gouvernementales et
 les couples ! Sophie et moi, nous tirons un bĂ©nĂ©fice au quotidien de ce test et des connaissances qu’ils nous apporte. Connaitre le thĂšme de son/sa partenaire et l’aider Ă  dĂ©velopper ses talents naturels permet de poser un nouveau regard sur lui/elle. Ce changement d’angle a des consĂ©quences puissantes dans l’amĂ©lioration des relations. Par exemple, mon premier thĂšme Achiever » rĂ©alisateur est un peu envahissant. Il me pousse Ă  rĂ©aliser CHAQUE JOUR des actions qui me portent vers mes buts. Je dis bien chaque jour. Vous pensez bien que vivre avec une personne qui a besoin viscĂ©ralement de travailler tous les jours, week-end et vacances compris n’est pas facile. Avant le test, je ne m’expliquais pas vraiment ce phĂ©nomĂšne. Au mieux, j’y voyais la marque de la Passion. Sophie quant Ă  elle, interprĂ©tait parfois cela comme une fuite, se demandant si j’étais vraiment heureux. Vous pouvez imaginer l’effet positif apportĂ© par la rĂ©vĂ©lation de nos thĂšmes ! Finalement nous y voyions plus clair tous les deux. De son cĂŽtĂ©, Sophie subit » un peu son premier thĂšme Responsability » responsable. Si vous cherchez quelqu’un qui se sentira investit d’une mission jusqu’à son dernier souffle d’énergie, vous venez de la trouver ! Ce thĂšme est trĂšs puissant et exigeant. Le fait d’en prendre conscience permet aussi d’essayer de le temporiser en favorisant le thĂšme suivant Learner » apprenante. Nous en discutons ensemble et cherchons des stratĂ©gies alternatives. Nous le dĂ©busquons aussi dans ses rĂ©actions. Du coup, on se permet d’en rigoler un peu pour lui ĂŽter une partie de la charge dramatique qu’il peut contenir ! 6/ Un outil de cohĂ©sion et de communication Vous comprenez maintenant la puissante rĂ©volution qu’une connaissance gĂ©nĂ©ralisĂ©e de nos talents naturels peut apporter Ă  tous les niveaux de la sociĂ©tĂ©. C’est le Grand Chantier que Don Clifton, Edward Anderson, Tom Rath, Jim Clifton et bien d’autres ont lancĂ© il y a Ă  peine 20 ans. Depuis, plus de 18 millions de personnes ont dĂ©jĂ  pris part Ă  ce mouvement. En France, nous n’en sommes qu’au balbutiement. Nous pouvons, chacun Ă  notre place, faire une part de ce changement. En prenant conscience de nos forces, nous renforçons la part d’humanitĂ© qui est en nous. Nous nous tournons vers les autres plus naturellement. Leurs rĂ©actions nous semblent plus familiĂšres et bienveillantes. Sans faire preuve d’angĂ©lisme, nous progressons ainsi vers un monde plus connectĂ© socialement. Finalement, je ne regrette pas que vous ne pensiez pas comme moi ! Ce serait tellement triste. Le dĂ©bat est le sel de la communication. Et je ne suis pas au rĂ©gime. Alors, si vous n’ĂȘtes pas d’accord avec moi, si vous trouvez que je suis complĂ©tement Ă  cĂŽtĂ© de la plaque, faites vos commentaires en dessous de cet article ! Que les Forces soient avec vous ! » Guillaume Le Penher
Unelimitation importante dans le plan gratuit est que vous pouvez ĂȘtre maximum 4 personnes par appel. Ceci ne conviendra donc pas Ă  tout le monde. L’offre commence Ă  9,99 $/mois et comporte une version freemium pour 1 utilisateur. Zoom. Zoom est un des meilleurs logiciels de visioconfĂ©rence et un des plus connus du marchĂ©.
Non seulement l'obĂ©sitĂ© est un facteur de gravitĂ© majeur de la Covid-19, mais elle pourrait en plus crĂ©er une rĂ©sistance dans la rĂ©ponse au vaccin. De quoi interroger sur la stratĂ©gie vaccinale, qui prĂ©conise de viser prioritairement les personnes Ă  vous intĂ©ressera aussi [EN VIDÉO] L'immunitĂ© collective est-elle la solution contre la Covid ? Un groupe de scientifiques publie une tribune dans The Lancet, soulignant la dangerositĂ© de la stratĂ©gie d’immunitĂ© collective, qui consiste Ă  laisser s’infecter naturellement une part de la population moins vulnĂ©rable. L'obĂ©sitĂ© est un facteur de gravitĂ© dĂ©sormais bien connu dans la Covid-19. Une Ă©tude menĂ©e par les Ă©quipes du CHU de Lille montre notamment que plus de 47 % des patients infectĂ©s entrant en rĂ©animation sont en situation d'obĂ©sitĂ©, et qu'une obĂ©sitĂ© sĂ©vĂšre indice de masse corporelle supĂ©rieur Ă  35 augmente significativement le risque d'ĂȘtre placĂ© sous respiration mĂ©canique invasive, indĂ©pendamment de l'Ăąge, de l'hypertension artĂ©rielle et du diabĂšte. Une autre large Ă©tude rĂ©alisĂ©e dans la rĂ©gion de New York indique que l'obĂ©sitĂ© multiplie par 2,7 le risque d'hospitalisation en raison de la Covid-19 et jusqu'Ă  6,2 pour un IMC supĂ©rieur Ă  40. Face Ă  ce constat sans appel, il apparaĂźt donc logique de placer les personnes obĂšses sur la liste prioritaire des personnes Ă  vacciner dĂšs qu'un vaccin sera personnes obĂšses produisent une moindre rĂ©ponse immunitaireSauf que malheureusement, le vaccin contre la Covid-19 risque justement d'ĂȘtre inefficace chez les personnes obĂšses. Plusieurs facteurs contribuent Ă  cet Ă©tat de fait. L'obĂ©sitĂ© peut perturber les rĂ©ponses immunitaires, ce qui rend les patients obĂšses plus vulnĂ©rables aux infections en gĂ©nĂ©ral, qu'elles soient bactĂ©riennes, ou virales. Selon une Ă©tude de 2017, les adultes obĂšses ont deux fois plus de chance d'attraper quand mĂȘme la grippe quand ils sont vaccinĂ©s que les personnes avec un poids normal. La production d'anticorps reste pourtant identique, mais les lymphocytes T, qui activent la destruction des virus, sont affectĂ©s. Nous avons constatĂ© que les cellules T CD4+ et CD8+ d'adultes obĂšses et en surpoids sont moins efficaces et fonctionnelles que celles d'adultes de poids sain », Ă©crivent les adipeux et microbioteOn sait Ă©galement qu'il existe des interactions complexes entre le tissu adipeux et le systĂšme immunitaire, ainsi qu'entre les perturbations mĂ©taboliques et l'inflammation. L'inhibition de l'activitĂ© enzymatique de la DPP4, une protĂ©ine transmembranaire du tissu adipeux, supprime par exemple la prolifĂ©ration des cellules T et la sĂ©crĂ©tion de cytokines pro-inflammatoires, telles que les interleukines. L'obĂ©sitĂ© est par ailleurs liĂ©e Ă  une altĂ©ration du microbiote intestinal, nasal et pulmonaire. Or, le microbiote exerce une grande influence sur le systĂšme immunitaire. En 2009, des chercheurs ont ainsi montrĂ© que la prise d'antibiotiques, qui dĂ©truisent les bactĂ©ries intestinales, entraĂźne une altĂ©ration significative de la rĂ©ponse au vaccin contre la grippe H1N1 ».Vacciner les personnes obĂšses contre la Covid, est-ce inutile ?D'autres Ă©tudes ont dĂ©jĂ  montrĂ© une moindre efficacitĂ© du vaccin contre la grippe, l'hĂ©patite B ou la rage chez les personnes obĂšses. Bien que les donnĂ©es soient encore absentes concernant le SARS-CoV-2, il est probable que la tendance soit la mĂȘme. Alors que faire ? Une des possibilitĂ©s serait de compenser la moindre efficacitĂ© par une dose plus forte de vaccin. Il serait par exemple possible d'administrer aux personnes obĂšses trois injections au lieu de deux, ou avec des doses plus Ă©levĂ©es », suggĂšre Donna Ryan, spĂ©cialiste de l'obĂ©sitĂ© au Pennington Biomedical Research Center en Louisiane États-Unis. La stratĂ©gie vaccinale, qui prĂ©conise de vacciner en prioritĂ© les personnes Ă  risque, n'est peut-ĂȘtre pas non plus si pertinente que ça. Paradoxalement, il serait peut-ĂȘtre plus avantageux de vacciner d'abord les enfants, dont le systĂšme immunitaire rĂ©pond mieux aux vaccins », explique ainsi Alberto Giubilini, chercheur en bioĂ©thique Ă  l'universitĂ© d'Oxford. On pourrait aussi penser Ă  vacciner l'entourage des personnes obĂšses, afin qu'elles ne puissent pas leur transmettre la par ce que vous venez de lire ?
89Likes, 14 Comments - SĂ©bastien LomrĂ© (@sebastien_lomre) on Instagram: â€œđŸŽŒ « Personne dans le monde ne marche du mĂȘme pas ». . . #fatherandson #luxembourg #smets”
Les gens sont tous hypocrites. Quand ils ne t’aiment pas, ils ne te le disent pas. Heureusement, pour arriver Ă  dĂ©celer la haine dans le regard de l’autre, il existe des signes qui ne trompent pas. Et grĂące Ă  nous, tu ne pourras plus passer Ă  cĂŽtĂ©. 1. Elle t'a dĂ©gagĂ© de Facebook Tu pourras mĂȘme plus espionner son mur. 2. Quand tu lui dis "bonjour" elle rĂ©pond "ta gueule" Et elle ne chantait pas Johnny Hallyday. 3. Elle a pris la derniĂšre frite dans ton assiette LA DERNIÈRE PUTAIN ! 4. Elle ne retire pas ses chaussures quand elle vient chez toi Alors que tu viens tout juste de faire le mĂ©nage. 5. Une fois, elle t'a marchĂ© sur le pied Et elle ne s’est mĂȘme pas excusĂ©e. 6. Elle t'envoie pas de messages pour ton anniversaire Alors que tu avais laissĂ© un gentil bon anniv » sur facebook. 7. Elle t'a dit qu'elle avait dĂ©mĂ©nagĂ© Ă  Shanghai Mais tu la croises tous les jours dans le mĂ©tro. 8. Elle te fait des compliments, mais elle n'a pas l'air sincĂšre De toute façon, Corinne te l’a dit, on ne peut pas lui faire confiance. 9. Elle t'a pas proposĂ© de bonbon quand elle a ouvert son paquet Et elle en a mangĂ© devant toi ! 10. Elle t'a dĂ©passĂ© avec le missile Ă  Mario Kart et a gagnĂ© la course Alors qu’elle est nulle en plus, pas foutue de conduire sans se prendre un mur. 11. Elle chante Lara Fabian Alors que tout le monde sait que tu es fan de CĂ©line Dion. 12. Elle a commandĂ© une pizza hawaĂŻenne De l’ananas sur une pizza, c’est pas humain. 13. Elle te parle alors que t'as pas envie Elle devrait comprendre qu’en ce moment tu es dans une mauvaise passe et que tu as besoin d’une pause dans ta vie sociale. 14. Elle t'a proposĂ© d'aller voir le dernier Xavier Dolan Les cheveux de Xavier, c’est la capillo-catastrophe. 15. Elle ne t'a pas dit que StĂ©phanie avait larguĂ© David pour Lucien Palomero Et tu Ă©tais le dernier au courant. 16. Elle t'a mis Ă  "connard" dans son rĂ©pertoire. Alors que toi, tu t’es contentĂ© de la mettre Ă  Gros Con » 17. Elle fait du bruit quand elle mange Elle mĂąche la bouche ouverte et elle te fait profiter de son merveilleux paysage digestif. 18. Elle achĂšte toujours de la noix de jambon quand tu viens prendre l'apĂ©ro chez elle Alors que toi, tu amĂšnes toujours des gĂąteaux apĂ©ro. 19. Elle te dit "j'ai apportĂ© le dessert" et ce sont des paniers de Yoplait C’EST PAS UN DESSERT BORDEL DE MERDE. 20. Elle fait trois bises Et elle laisse l’une de tes joues toute déçue d’en avoir eu qu’une alors que sa copine en a deux. C’est sĂ»r, cette personne ne t’aime pas. Fuis. Lapersonne dans le monde du travail de Patricia CĂŽtĂ© - Éditeur GaĂ«tan Morin - Livraison gratuite Ă  0,01€ dĂšs 35€ d'achat - Librairie Decitre votre prochain livre est lĂ  et comment un chrĂ©tien doit-il y vivre ? Darby Que vous soyez sans reproche et purs, des enfants de Dieu irrĂ©prochables, au milieu d’une gĂ©nĂ©ration tortue et perverse, parmi laquelle vous reluisez comme des luminaires dans le monde. Philippiens 215 N’aimez pas le monde, ni les choses qui sont dans le monde si quelqu’un aime le monde, l’amour du PĂšre n’est pas en lui » 1 Jean 215. Ne savez-vous pas que l’amitiĂ© du monde est inimitiĂ© contre Dieu ? Quiconque donc voudra ĂȘtre ami du monde, se constitue ennemi de Dieu » Jacques 44. Qu’est-ce que le monde ? — Telle est la question de toute importance qui s’impose Ă  l’examen attentif du chrĂ©tien sĂ©rieux et rĂ©flĂ©chi. Qu’est-ce que ce monde, dont il est appelĂ© Ă  se conserver pur ? Jacques 127. L’Écriture emploie le mot monde dans trois sens diffĂ©rents. D’abord il signifie littĂ©ralement l’ordre, le systĂšme, l’arrangement des affaires humaines sur la terre ; ensuite, la terre elle-mĂȘme est aussi appelĂ©e le monde », parce qu’elle est la scĂšne sur laquelle se dĂ©veloppe ce systĂšme ; enfin l’ensemble des individus qui vivent selon ce mĂȘme systĂšme est encore dĂ©signĂ© sous le nom de monde ». On peut donc distinguer la scĂšne du monde, les personnes du monde et le systĂšme du monde. Quand nous lisons dans la Parole que le Christ JĂ©sus est venu dans le monde pour sauver les pĂ©cheurs » 1 Tim. 115, nous pouvons comprendre qu’il est venu sur la scĂšne du monde, et, alors, il s’y est nĂ©cessairement trouvĂ© en contact avec le systĂšme du monde qui le haĂŻssait. Il disait de ses disciples Ils ne sont pas du monde, comme moi je ne suis pas du monde » Jean 1716, c’est-Ă -dire que, contrairement aux hommes qui trouvaient leur vie dans ce systĂšme, eux n’en faisaient pas partie. Quiconque est ami de ce systĂšme est ennemi de Dieu. Jacques 44. Le propre d’un tel systĂšme est de se gouverner soi-mĂȘme, sans aucune dĂ©pendance de Dieu. Prenez comme exemple l’organisation militaire Quand un homme entre dans l’armĂ©e, il trouve tout ordonnĂ© en vue de ses besoins le trĂ©sorier pourvoit Ă  sa solde, l’officier d’habillement lui donne son uniforme, un autre lui fournit ses armes et son Ă©quipement, etc. ; des rĂšglements ont dĂ©terminĂ© qu’il devait aller ici et loger lĂ  ; il y a des heures rĂ©guliĂšres pour le lever, l’exercice, la parade, l’appel, etc., etc. ; il est liĂ© Ă  cette organisation en entrant dans l’armĂ©e, en sorte qu’il ne peut rien entreprendre de son propre chef. C’est d’une maniĂšre trĂšs significative que l’on dit de ce systĂšme qu’il est en lui-mĂȘme un petit monde, tant ses arrangements sont complets et mĂ©thodiques. Cependant ce n’est lĂ  qu’une faible illustration de l’immense systĂšme qui gouverne tout et qui s’appelle le monde, systĂšme dans lequel il est pourvu Ă  la satisfaction de chaque besoin de l’homme, de mĂȘme qu’à l’exercice de chacune de ses facultĂ©s. L’homme a besoin de sociĂ©tĂ© aussi, le monde n’a pas manquĂ© de pourvoir au systĂšme social ; il en a fait une Ă©tude parfaite en elle-mĂȘme. La position sociale est tout pour l’homme ; il ne s’épargne aucune peine pour se la crĂ©er et aucune dĂ©pense n’est trop considĂ©rable pour atteindre ce but. ConsidĂ©rez cette immense Ă©chelle, la sociĂ©tĂ© », avec ses myriades de crĂ©atures humaines, dont les unes s’efforcent de grimper de plus en plus haut, tandis que les autres cherchent Ă  se maintenir convenablement dans leur position acquise. Quel terrible pouvoir que celui de ce systĂšme social, pour absorber l’esprit et le coeur ! De plus, l’homme a besoin d’un gouvernement politique pour la protection de sa vie, de sa propriĂ©tĂ©, de ses droits, et le systĂšme du monde y rĂ©pond aussi pleinement. Et quel arrangement complet n’y a-t-il pas pour ce que nous appelons les affaires ? Les occupations, dans ce monde, forment un ensemble des plus remarquables. Les hommes douĂ©s simplement de la force physique trouvent de l’ouvrage ; les esprits inventifs peuvent librement dĂ©ployer leur gĂ©nie ; les Ăąmes d’artiste se manifestent dans leur monde de sculpture, de peinture, de musique ou de poĂ©sie ; les savants cherchent Ă  rĂ©soudre leurs problĂšmes ; les Ă©crivains composent leurs livres ; les convoitises mĂȘme et le luxe de quelques-uns fournissent Ă  d’autres des moyens d’existence. L’homme est une crĂ©ature trĂšs complexe, qui a besoin d’un bon nombre de choses diffĂ©rentes pour se satisfaire ; il lui faut un peu d’affaires, un peu de politique, un peu de sociĂ©tĂ©, un peu d’étude et enfin un peu de religion. L’homme est naturellement religieux. Le mot religion », que nous employons si souvent, ne se trouve que cinq fois dans toute la Bible. La religion n’est pas la piĂ©tĂ©, car les adorateurs des idoles sont religieux. La religion fait partie de la nature de l’homme, tout autant que son intelligence ou sa mĂ©moire ; par consĂ©quent, le systĂšme du monde, qui rĂ©pond si complĂštement Ă  tout ce qui est de l’homme, ne manque pas d’offrir un aliment Ă  ce besoin de sa nature. Pour celui qui sera particuliĂšrement sensible aux tendres impressions, — qui a l’amour du beau, — une musique harmonieuse, d’imposantes cĂ©rĂ©monies, des rites religieux, lui seront prĂ©sentĂ©s. Un autre, qui sera d’une nature indĂ©pendante et d’un caractĂšre ouvert, trouvera dans le libĂ©ralisme de quoi donner libre cours Ă  ses sentiments. Si, au contraire, il est d’un caractĂšre froid, rĂ©servĂ©, rĂ©flĂ©chi, une sĂ©vĂšre orthodoxie lui conviendra. S’il est consciencieux, faisant peu de cas de lui-mĂȘme, et croit indispensable de faire pĂ©nitence d’une maniĂšre ou d’une autre, ses besoins pourront aussi ĂȘtre satisfaits dans ce systĂšme, et ainsi de suite. Il y a donc des croyances, des doctrines et des sectes pour chaque variĂ©tĂ© de caractĂšre, pour chaque forme de sentiment religieux dans la chair. Quel systĂšme pourrait ĂȘtre plus admirable et plus complet ? Rien n’y est laissĂ© de cĂŽtĂ©. Il contient assez de prĂ©tendue joie et de satisfaction pour que cette grande masse mobile de l’humanitĂ© soit constamment en activitĂ©, et jouisse d’un consentement relatif. Les coeurs cherchent sans cesse ce qui peut les remplir, les esprits sont affairĂ©s ; si une chose fait dĂ©faut, on se hĂąte de recourir Ă  une autre. L’affliction et la mort mĂȘme ne sont pas laissĂ©es de cĂŽtĂ© dans les arrangements du systĂšme du monde ; il est pourvu aux funĂ©railles, aux vĂȘtements et aux visites de deuil, aux paroles de sympathie, en un mot Ă  tout ce qui s’y rapporte ; de sorte que le monde est capable, au bout de peu de temps, de s’élever au-dessus des chagrins et de rentrer dans sa sphĂšre d’occupation habituelle. Mais aujourd’hui Dieu amĂšne quelques-uns de ceux qui sont dans un tel monde — un bien petit nombre — Ă  voir que tout ce qui le compose, affaires, politique, Ă©ducation, gouvernement, science, inventions, chemins de fer, tĂ©lĂ©graphes, arrangements sociaux, institutions charitables, rĂ©formes, religion, etc., fait partie du systĂšme du monde, d’un systĂšme qui tend Ă  se perfectionner chaque jour. — Ce qu’on appelle le progrĂšs du siĂšcle » n’est pas autre chose que le dĂ©veloppement de cet Ă©lĂ©ment mondain. Or la relation actuelle de Christ avec un tel monde doit ĂȘtre aussi la nĂŽtre. La place qu’Il occupe en haut et celle qu’Il n’occupe pas en bas nous montrent suffisamment quelle doit ĂȘtre notre place. Pourquoi doit-il en ĂȘtre ainsi ? demandera-t-on peut-ĂȘtre. — Ne savez-vous donc pas que Satan est le dieu de ce monde », le chef de l’autoritĂ© de l’air », le directeur de ce monstrueux systĂšme ? Il en est l’énergie, le gĂ©nie et le prince. Quand JĂ©sus Christ Ă©tait sur la terre, le diable vint lui offrir tous les royaumes de la terre et leur gloire, car, dit-il, elle m’a Ă©tĂ© donnĂ©e, et je la donne Ă  qui je veux. Si donc tu te prosternes devant moi, elle sera toute Ă  toi » Luc 46, 7. Ici, le rideau est levĂ©, et le vĂ©ritable objet de tout culte religieux de l’homme est mis en pleine Ă©vidence. L’Écriture parle de Satan comme de quelqu’un qui Ă©tait plein de sagesse, et parfait en beautĂ© » ÉzĂ©ch. 2812, et qui se dĂ©guise lui-mĂȘme en ange de lumiĂšre » 2 Cor. 1114. Qui peut donc s’étonner de ce que les hommes insouciants, et mĂȘme les plus rĂ©flĂ©chis, soient trompĂ©s et abusĂ©s ? Combien peu ont les yeux ouverts pour voir, par la parole de Dieu et l’onction du Saint Esprit, le vrai caractĂšre du monde. Quelques-uns pensent avoir Ă©chappĂ© au piĂšge de la mondanitĂ©, en ayant abandonnĂ© ce qu’on appelle les plaisirs mondains », et en Ă©tant devenus membres de certaines Ă©glises, ou d’associations religieuses, ne discernant pas qu’ils sont tout autant dans le systĂšme du monde qu’auparavant ; seulement, Satan, qui en est le prince, les a fait passer d’un dĂ©partement dans l’autre, afin de rassurer leurs consciences inquiĂštes, en les rendant plus contents d’eux-mĂȘmes. Les choses Ă©tant telles, la question s’élĂšve naturellement Quel est le remĂšde ? — Comment ceux qui marchent dans le chemin large, et ont vĂ©cu jusqu’ici selon le systĂšme du monde, pourront-ils Ă©chapper Ă  son contrĂŽle ? Comment leur est-il possible de connaĂźtre ce qui est du monde et ce qui est de Dieu ? — L’apĂŽtre dit Tous ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu, ceux-lĂ  sont fils de Dieu » Rom. 814. Le mode normal de la vie chrĂ©tienne est d’ĂȘtre gouvernĂ© par Christ, de la mĂȘme maniĂšre que le corps d’un homme est sous la direction de sa tĂȘte ; quand il est en santĂ©, il n’y a aucun mouvement de la main ou du pied, Ă  moins que la tĂȘte ne dise Agis ». C’est prĂ©cisĂ©ment dans ce sens que JĂ©sus Christ est la tĂȘte du chrĂ©tien 1 Cor. 113 qui se trouve dĂšs lors sous Sa direction immĂ©diate en toutes choses, petites ou grandes. C’est ainsi que le christianisme frappe la mondanitĂ© Ă  sa racine ; car tandis que la libre volontĂ© de l’homme est le principe fondamental sur lequel est Ă©difiĂ© tout le systĂšme du monde, le principe de la vie chrĂ©tienne est la dĂ©pendance de Dieu et l’obĂ©issance Ă  Sa volontĂ©. Le grand but de Satan est d’établir pour l’homme un systĂšme qui se substituera entiĂšrement Ă  la direction de l’Esprit de Dieu ; ce sera son chef d’oeuvre au temps de la fin, et le trait proĂ©minent de l’apostasie qui s’avance Ă  grands pas. Satan se dĂ©clarera alors ouvertement, dans sa propre personne, le dieu de ce monde, ce qui, pour le moment, est encore cachĂ© en mystĂšre. N’est-ce donc pas grandement le temps pour les chrĂ©tiens de se rĂ©veiller du sommeil et de considĂ©rer s’ils ne sont pas en quelque façon associĂ©s Ă  un systĂšme qui mĂ»rit si rapidement pour le jugement ? Mais, dira-t-on, comment pouvons-nous empĂȘcher cela ? Ne sommes-nous pas liĂ©s Ă  ces choses malgrĂ© nous, par notre commerce et nos professions diverses, comme membres du gouvernement et de la sociĂ©tĂ© ? Il faut bien vaquer Ă  ses affaires ! — Oui, c’est lĂ  une nĂ©cessitĂ© que chacun admet ; mais remarquez que le fait mĂȘme que chacun l’admet, est une preuve qu’elle n’est pas de Dieu Et c’est ici la victoire qui a vaincu le monde, savoir notre foi » 1 Jean 54. La foi ne regarde pas aux circonstances extĂ©rieures, Ă  ce qui est possible ou impossible ; la foi n’a aucun Ă©gard Ă  ce qui se voit, mais regarde Ă  Dieu. Tout autour de nous, nous trouvons des personnes qui nous diront ce qu’il est convenable de faire et de ne pas faire parmi les hommes, car ce qui convient Ă  l’homme est leur rĂšgle et leur mesure ; mais l’enfant de Dieu va droit son chemin, ne prĂȘtant aucune attention Ă  ce que ces personnes disent, car ce qui convient Ă  Dieu est sa rĂšgle et sa mesure. Elles peuvent avoir leur chemin tracĂ© aussi clairement que possible, chemin parfaitement raisonnable et satisfaisant ; mais cela n’est d’aucune valeur pour quelqu’un qui marche par la foi il sait que ce qui est universellement estimĂ© comme le bon chemin, doit ĂȘtre, au contraire, le mauvais, car c’est lĂ  le chemin large Luc 1615. Par exemple, chacun dit qu’un bon citoyen, un chrĂ©tien, doit s’intĂ©resser au gouvernement de son pays, et doit voter, afin de contribuer Ă  placer au pouvoir des hommes honorables. Dieu dit tout autre chose ; en plusieurs endroits de Sa parole et de diffĂ©rentes maniĂšres, il me dit que, comme Son enfant, je ne suis citoyen d’aucun pays, ni membre d’aucune sociĂ©tĂ© Notre bourgeoisie est dans les cieux » Phil. 320 ; dĂšs lors j’ai Ă  faire avec les choses cĂ©lestes. Par la croix de Christ le monde m’est crucifiĂ©, et moi au monde » Gal. 614 ; si je donne mes pensĂ©es et mon coeur aux choses terrestres, je serai ennemi de la croix du Christ Phil. 318. Ne vous conformez pas Ă  ce siĂšcle » Rom. 122. Qu’avons-nous donc Ă  faire avec les autoritĂ©s ? Eh bien ! soumettez-vous Ă  elles, puisque Dieu les Ă©tablit ; quand elles demandent le paiement des impĂŽts, acquittez-vous-en et faites des supplications pour les rois et pour tous ceux qui sont haut placĂ©s 1 Tim. 21. Ainsi, tout ce qu’un chrĂ©tien a Ă  faire avec la politique, c’est d’ĂȘtre soumis aux puissances Ă©tablies sur lui, non seulement Ă  cause de la colĂšre, mais aussi Ă  cause de la conscience » Rom. 135. Il est bien vrai qu’en Christ il est hĂ©ritier de toutes choses », y compris la terre sur laquelle le systĂšme du monde opĂšre maintenant ; mais, comme pour Abraham dans le pays de Canaan, Dieu ne lui donne pas mĂȘme oĂč poser son pied » Ă  titre d’hĂ©ritage actuel Le juste vivra de foi ». Si donc le vĂ©ritable enfant de Dieu refuse de voter, ce n’est pas tant qu’il pense que le vote soit mauvais en lui-mĂȘme, mais c’est qu’il a donnĂ© son vote et son intĂ©rĂȘt Ă  l’Homme qui est dans les cieux, et que Dieu a exaltĂ© comme Roi des rois et Seigneur des seigneurs. Outre tout cela, il a perdu son intĂ©rĂȘt dans les choses terrestres, parce qu’il a trouvĂ© quelque chose de beaucoup plus attrayant. Il voit aussi que le monde, dans son esprit et son essence, est impie, et que ses rĂ©formes et ses amĂ©liorations tant vantĂ©es ne tendent qu’à fermer toujours plus Ă  Dieu l’accĂšs du coeur de l’homme. Il dĂ©sire rendre tĂ©moignage Ă  Dieu et Ă  sa vĂ©ritĂ©, annonçant le jugement Ă  venir Ă  l’apparition de Christ, au moment oĂč les hommes se fĂ©liciteront d’ĂȘtre en paix et en sĂ»retĂ©, et espĂ©rant que, par son moyen, d’autres pourront apprendre Ă  se dĂ©gager du piĂšge dans lequel Satan enlace toute la masse de l’humanitĂ©. Nous qui sommes sauvĂ©s, nous devons ĂȘtre Ă  part, comme ayant pris position avec un Christ rejetĂ©, en face du monde qui l’a crucifiĂ© ; Ă©tant manifestĂ©s comme des hommes d’une race cĂ©leste, sans reproche et purs, des enfants de Dieu irrĂ©prochables, au milieu d’une gĂ©nĂ©ration tortue et perverse, parmi laquelle vous reluisez comme des luminaires dans le monde » Phil. 215. Telle est la grande mission des enfants de Dieu. Mais il en coĂ»te de vivre de cette maniĂšre. Il faut ĂȘtre semblable Ă  un roc isolĂ© au milieu d’un fleuve rapide. Tout ce qui l’entoure est en mouvement ; tous ces efforts tendent Ă  l’ébranler ; il y a pression, pression, toujours pression ; mais il se tient lĂ  debout au milieu d’une opposition sans fin, qui l’entraĂźnerait certainement s’il n’avait pas la fermetĂ© du Rocher. Quand nous apprenons Ă  mettre en pratique les paroles de Dieu, alors s’élĂšve l’orage. Appartenir Ă  ce qu’on appelle une Ă©glise » est assez facile, et aussi faire comme les autres ; ĂȘtre honnĂȘte homme et bon citoyen n’attire aucune persĂ©cution. On peut ĂȘtre tout cela, et pourtant suivre le courant ; mais briller comme des lumiĂšres pour Dieu dans le monde, cela provoque son inimitiĂ© ; partout oĂč Christ est vu, il est aussitĂŽt haĂŻ ; s’il est vu en moi, je serai haĂŻ Ă  cause de cela ; mais si, au contraire, je jouis d’une bonne rĂ©putation, si personne n’a rien contre moi, comme chrĂ©tien, qu’est-ce que cela veut dire ? Que la vie de JĂ©sus n’étant pas manifestĂ©e dans mon corps mortel, Christ ne peut ĂȘtre dĂ©couvert en moi. Tel est l’état des choses Quand une personne en est rĂ©ellement venue Ă  connaĂźtre Dieu, ou plutĂŽt Ă  ĂȘtre connue de Lui, elle est attirĂ©e en haut par son union avec Christ, loin de toute participation Ă  ce qui compose le systĂšme du monde, et elle peut se demander Comment m’est-il possible de retourner Ă  ses faibles et misĂ©rables Ă©lĂ©ments ? Quelqu’un qui est devenu fils de Dieu, qui possĂšde la vie, la vie Ă©ternelle en Christ, qui est un avec la TĂȘte laquelle lui est rĂ©vĂ©lĂ©e par la Parole et par l’Esprit, comment peut-il avoir ses intĂ©rĂȘts dans le monde, lui qui a appris Ă  connaĂźtre Dieu ? Si nous voyions un enfant manger un fruit mauvais, acide, dans un verger, tandis qu’il y aurait Ă  cĂŽtĂ© de lui un arbre chargĂ© des fruits les plus savoureux, nous devrions en conclure qu’il ne connaĂźt pas les bons fruits. De mĂȘme, si un homme s’engage de coeur dans quelqu’une des choses qui forment le systĂšme du monde, est-il possible, nous demandons-nous, qu’il connaisse Dieu ? Et c’est la raison pour laquelle les paroles de Dieu ne nous sont pas prĂ©sentĂ©es comme des ordres formels, tels que Tu ne voteras pas, tu ne seras pas honorĂ© dans ce siĂšcle mauvais, tu supporteras l’opprobre. Non ; mais elles sont prĂ©sentĂ©es de telle sorte que le disciple aimant, dont le coeur Ă©goĂŻste a Ă©tĂ© brisĂ© et qui n’éprouve d’autre besoin que de connaĂźtre la pensĂ©e de son Seigneur, puisse en dĂ©couvrir le secret, en Ă©tant davantage avec Christ, pour lui ĂȘtre toujours plus semblable, Ă©tant retirĂ© du prĂ©sent siĂšcle mauvais ». Ce n’est plus comme les anciens commandements de la loi mosaĂŻque tu feras et tu ne feras pas ; et cependant la chose est parfaitement claire et facilement discernĂ©e, pourvu que l’oeil soit simple. Dieu pourvoit, merveilleusement Ă  ce qu’un coeur plein d’amour puisse prendre connaissance, sans aucune difficultĂ©, de Sa volontĂ©, tandis que le coeur qui n’est pas sincĂšre ne sait faire autre chose que d’inventer des excuses et de trouver des prĂ©textes pour suivre un sentier de propre volontĂ©. On peut rencontrer une application de cette vĂ©ritĂ© dans une famille. ReprĂ©sentons-nous un fils aimant, dĂ©vouĂ©, obĂ©issant, qui s’étudie Ă  comprendre la conduite et la pensĂ©e de son pĂšre il aura le sentiment de ses devoirs et tout lui deviendra facile et naturel ; tandis qu’un autre fils, placĂ© dans les mĂȘmes conditions, et jouissant des mĂȘmes avantages, connaĂźt bien la pensĂ©e de son pĂšre, ou du moins devrait la connaĂźtre ; mais depuis qu’il ne cherche que son propre plaisir, il se met Ă  dire je ne savais pas, tu ne m’avais jamais dit que je ne devais pas faire ceci ou cela, ou que je ne devais pas aller dans un tel ou tel lieu. Pour terminer, je voudrais encore ajouter ceci On ne peut pas faire autrement que d’ĂȘtre en contact avec le systĂšme du monde, mais ce contact ne doit jamais ĂȘtre celui de la communion Quel accord y a-t-il de Christ avec BĂ©liar ? 2 Cor. 614-18. Je ne fais pas la demande que tu les ĂŽtes du monde, mais que tu les gardes du mal » Jean 1715. JĂ©sus, qui n’était pas de ce monde, y souffrit et y fut Ă  l’étroit ; l’isolement et la tribulation furent des choses rĂ©elles pour lui, et il en sera de mĂȘme pour nous, dans la mesure de notre fidĂ©litĂ© Ă  suivre ses pas. Combien n’y en a-t-il pas, parmi nous, chrĂ©tiens, qui recherchent leur satisfaction et leur bien-ĂȘtre, Ă©prouvant un certain sentiment de chez-soi » dans ce systĂšme impie du monde. — Un chez-soi ici-bas oĂč Christ n’est pas ! Nous sommes des voyageurs sans domicile, des pĂšlerins fatiguĂ©s, et de vrais Ă©trangers, si nous sommes de Christ. Aussi longtemps que nous sommes dans le monde, nous ne pouvons pas nous soustraire Ă  son contact ; mais ne sommes-nous pas en contact avec lui dans bien des choses oĂč il ne devrait y en avoir aucun, et il n’y en aurait certainement pas si nous portions partout, dans le corps, la mort de JĂ©sus. Elles sont nombreuses, les dĂ©ceptions par lesquelles l’ennemi amorce le coeur, mĂȘme des enfants de Dieu RĂ©unions religieuses, oeuvres charitables, sociĂ©tĂ©s fraternelles, toutes ces choses auxquelles la chair peut participer, sont substituĂ©es Ă  la vie dans la foi au Fils de Dieu. Les hommes pieux des temps anciens, dont le tĂ©moignage d’avoir plu Ă  Dieu est parvenu jusqu’à nous, ont Ă©tĂ© mĂ©prisĂ©s HĂ©b. 1136, 37 ; d’autres sont devenus comme les balayures du monde et le rebut de tous jusqu’à maintenant 1 Cor. 413. Ils avaient leur bourgeoisie dans les cieux. Mais nous, au lieu de cela, nous sommes honorables ! C’est que nous vivons beaucoup trop selon le systĂšme du monde ; dĂšs lors il ne peut y avoir de conflit entre nous et lui ; le rĂ©sultat en est que nous sommes des sujets dĂ©loyaux de Christ, Ă©vitant la croix et son opprobre. Cependant la Parole demeure inaltĂ©rable ; Et tous ceux aussi qui veulent vivre pieusement dans le Christ JĂ©sus, seront persĂ©cutĂ©s » 2 Tim. 312. Il y a un chemin Ă©troit ; puissions-nous ĂȘtre du petit nombre de ceux qui le trouvent. Nous avons nos passeports avec nous. Nous sommes scellĂ©s du Saint Esprit, et nous n’attendons que le cri de commandement pour ĂȘtre ravis dans les nuĂ©es Ă  la rencontre du Seigneur et pour ĂȘtre toujours avec Lui. Quelle espĂ©rance bĂ©nie ! GrĂące et paix Ă  vous, de la part de Dieu le PĂšre et de notre Seigneur JĂ©sus Christ, qui s’est donnĂ© lui-mĂȘme pour nos pĂ©chĂ©s, en sorte qu’il nous retirĂąt du prĂ©sent siĂšcle mauvais, selon la volontĂ© de notre Dieu et PĂšre, auquel soit la gloire aux siĂšcles des siĂšcles ! Amen » Gal. 13-5.
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FaceĂ  un dĂ©fi qui ne connaĂźt pas de frontiĂšres, des barriĂšres ne peuvent ĂȘtre Ă©rigĂ©es. Nous sommes tous dans le mĂȘme bĂąteau. Chaque personne est un de mes frĂšres. En chacun, je vois le
Une petite pensĂ©e Ă  Gary Coleman, dĂ©cĂ©dĂ© il y a peu, l'inoubliable petit Arnold de la sĂ©rie "Arnold et Willy", que j'ai suivi pendant des annĂ©es dans ma tendre enfance !!! Et pour mĂ©moire, les paroles archi connues du gĂ©nĂ©rique... allez ! Tout le monde chante en coeur !"Personne dans le monde Ne marche du mĂȘme pas Et mĂȘme si la Terre est ronde On ne se rencontre pas Les apparences et les prĂ©fĂ©rences Ont trop d'importance Acceptons les diffĂ©rences C'est vrai, faut de tout tu sais Faut de tout c'est vrai Faut de tout pour faire un monde Personne dans la vie ne choisit sa couleur L'important c'est d'Ă©couter son coeur Si celui qui te paraĂźt diffĂ©rent TrĂšs bien, c'est le sien Tu as le tien et j'ai le mien ! Alors donnons-nous la main Personne dans le monde Ne marche du mĂȘme pas Et mĂȘme si la Terre est ronde On ne se rencontre pas Les apparences et les prĂ©fĂ©rences Ont trop d'importance Acceptons les diffĂ©rences C'est vrai, faut de tout tu sais Faut de tout c'est vrai Faut de tout pour faire un monde Ce qui compte dans la vie c'est le bonheur Chacun de nous le trouve Ă  son heure Tu veux le partager Alors c'est gagnĂ© N'attends pas demain Ici tout va pour le mieux On pourra tous ĂȘtre heureux"
Pourle chef de l’ONU, la pandĂ©mie de Covid-19 a rĂ©vĂ©lĂ© au grand jour des dĂ©ficiences, des fragilitĂ©s et des lignes de fracture d’une ampleur colossale. « Le monde du travail ne peut pas, et ne doit pas, rester le mĂȘme aprĂšs cette crise », a-t-il insistĂ©. « L’heure est venue de coordonner l’action mondiale, rĂ©gionale et
Le mardi 13 septembre prochain aura lieu le marchĂ© annuel d’Anderlecht. Au programme de cette verison rĂ©duite» en raison des travaux de la rue Wayez kermesse, marchĂ© artisanal, concerts, concours de chiens et animations pour les enfants. ****** *** **** ** ******* ****** ************** ** ********* ***** *************** ************** ** ** ********* ********* ****** ** ***** ** **** ** ********** ** **** **** ** ** ********** ** **** *** ** **** ***** ****** ****** ******** ** *** *********** ************* ****** *** ******* ********** *************** **** **************** *** ************ ****** ********* ** ********* ** ***** ** ** ********* *********** **** ** **** ** ************** ********* ***** ******* ****** *** ****** ** ********** ** ******** ********* ** ******* ********** ****** ********* *** ******* ** *** **** **** ***** ********** ***** ** *** ** ** *** ** ** ***** ** *** **** ****** ** ********* ** ** ************** ** **** ** **** ** **** ** ******************** ****** ****** ****** ***** ** ******* ** *** ** ****** ****** ** ***** ** ** ********* **** **** ******** ** ** ** *** *** *** ********** *********** ** ********* **** ****** ** ******* *** ******** ** ** ******* ********* ********* ***** ** ** ***** ** ** ********* ** ** ***** ** ***** ** ** ** **** Lire aussi DĂ©couvrez en primeur le programme du 145e marchĂ© annuel de Jette avec deux nouveautĂ©s ** ******** ** ******* ** ****** ****** **** ** ***** ******* **** ********* **** ** **** ** ** ****** ********** ** **** ********** **** ** **** ******** *** **** *********** ********** **** ***** ******** ***** ****** ** ********* ** ******** *** ******** ********** ** ********** *************** ******** *** ******* ***** ******** *** ************* ** **** **** *** ** ***** * ***** ** ***** ** ***** ******* ** ********* ********** *** ******** ***** ************** ** ***** ******* ** ******* ************** * ****** ** ********* ** ******** *** ** **** ** ***** ******* ***** ************* **** ** **** ******* ** ********** ** ** *** ** ******** ** ** ** **** ** **** ******** ** ********** ** ******** ******* ** ** *** ******** ********** ****** ** **** ** * **** *** ************** ****** ***** ************** ********* ********** ***** ***** *** ** ******* ****** ** ** **** ** ****** ***** ** ** *** ********** ***** ** ** ************ ** *** ** ** ************ ****** ******** ********* *** ******* ******** ****** ****** *** ** *** ***** *** ******** ** ******** ** ****** ************ ** *** ******* ******** ** ******* ******* ******************* ** **** *** * ********* ** * ***** ******** ** **** ******* ******** *** *** ******* ****** ********* ********** ********* ** ******* ****** ******* ***** ***** ******* ***** ** ***** ******** ************* ******** ************* ************ ** ****** ******* *** ********* ** ** **** *** **** ********* *********** *********** *** ** ***** **** **** ************* ******* *** ********
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