OnĂ©tait si bien dimanche toute la nuit et toi tu t'es rapprochĂ© de ton amie lundi soir, et mardi tu me quittais pour Le verbe rĂ©flĂ©chir est du deuxiĂšme verbe rĂ©flĂ©chir se conjugue avec l'auxiliaire avoirTraduction anglaise to think rĂ©flĂ©chir au fĂ©minin rĂ©flĂ©chir Ă  la voix active se rĂ©flĂ©chir rĂ©flĂ©chir ? ne pas rĂ©flĂ©chir Imprimer Exporter vers WordPrĂ©sentje suis rĂ©flĂ©chitu es rĂ©flĂ©chiil est rĂ©flĂ©chinous sommes rĂ©flĂ©chisvous ĂȘtes rĂ©flĂ©chisils sont rĂ©flĂ©chisPassĂ© composĂ©j'ai Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chitu as Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chiil a Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chinous avons Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisvous avez Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisils ont Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisImparfaitj'Ă©tais rĂ©flĂ©chitu Ă©tais rĂ©flĂ©chiil Ă©tait rĂ©flĂ©chinous Ă©tions rĂ©flĂ©chisvous Ă©tiez rĂ©flĂ©chisils Ă©taient rĂ©flĂ©chisPlus-que-parfaitj'avais Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chitu avais Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chiil avait Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chinous avions Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisvous aviez Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisils avaient Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisPassĂ© simpleje fus rĂ©flĂ©chitu fus rĂ©flĂ©chiil fut rĂ©flĂ©chinous fĂ»mes rĂ©flĂ©chisvous fĂ»tes rĂ©flĂ©chisils furent rĂ©flĂ©chisPassĂ© antĂ©rieurj'eus Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chitu eus Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chiil eut Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chinous eĂ»mes Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisvous eĂ»tes Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisils eurent Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisFutur simpleje serai rĂ©flĂ©chitu seras rĂ©flĂ©chiil sera rĂ©flĂ©chinous serons rĂ©flĂ©chisvous serez rĂ©flĂ©chisils seront rĂ©flĂ©chisFutur antĂ©rieurj'aurai Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chitu auras Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chiil aura Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chinous aurons Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisvous aurez Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisils auront Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisPrĂ©sentque je sois rĂ©flĂ©chique tu sois rĂ©flĂ©chiqu'il soit rĂ©flĂ©chique nous soyons rĂ©flĂ©chisque vous soyez rĂ©flĂ©chisqu'ils soient rĂ©flĂ©chisPassĂ©que j'aie Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chique tu aies Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chiqu'il ait Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chique nous ayons Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisque vous ayez Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisqu'ils aient Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisImparfaitque je fusse rĂ©flĂ©chique tu fusses rĂ©flĂ©chiqu'il fĂ»t rĂ©flĂ©chique nous fussions rĂ©flĂ©chisque vous fussiez rĂ©flĂ©chisqu'ils fussent rĂ©flĂ©chisPlus-que-parfaitque j'eusse Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chique tu eusses Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chiqu'il eĂ»t Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chique nous eussions Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisque vous eussiez Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisqu'ils eussent Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisPrĂ©sentje serais rĂ©flĂ©chitu serais rĂ©flĂ©chiil serait rĂ©flĂ©chinous serions rĂ©flĂ©chisvous seriez rĂ©flĂ©chisils seraient rĂ©flĂ©chisPassĂ© premiĂšre formej'aurais Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chitu aurais Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chiil aurait Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chinous aurions Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisvous auriez Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisils auraient Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisPassĂ© deuxiĂšme formej'eusse Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chitu eusses Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chiil eĂ»t Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chinous eussions Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisvous eussiez Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisils eussent Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chisPrĂ©sentsois rĂ©flĂ©chisoyons rĂ©flĂ©chisoyez rĂ©flĂ©chiParticipePassĂ©rĂ©flĂ©chirĂ©flĂ©chierĂ©flĂ©chisrĂ©flĂ©chiesayant Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chiInfinitifGĂ©rondifPassĂ©en ayant Ă©tĂ© rĂ©flĂ©chiRĂšgle du verbe rĂ©flĂ©chirVoici la forme gĂ©nĂ©rale de conjugaison des verbes en -ir formant leur participe prĂ©sent en -issant. La seule exception est du verbe rĂ©flĂ©chircogiter - penser - gamberger - combiner - manigancer - mijoter - prĂ©parer - mĂ©diter - songer - rĂȘver - spĂ©culer - Ă©chafauder - approfondir - Ă©voquer - prĂ©voir - reflĂ©ter - reproduire - rĂ©percuter - renvoyer - rĂ©pĂ©ter - transmettre - rĂ©verbĂ©rerDĂ©finition du verbe rĂ©flĂ©chir1 Penser longuement Ă  quelque chose2 Renvoyer des rayons lumineux ou autres qui ont Ă©tĂ© reçus ex le miroir rĂ©flĂ©chit la lumiĂšre du soleilEmploi du verbe rĂ©flĂ©chirFrĂ©quent - Intransitif - Transitif - Autorise la forme pronominale Tournure de phrase avec le verbe rĂ©flĂ©chirVerbes Ă  conjugaison similaireaboutir - accomplir - agir - agrandir - applaudir - approfondir - atterrir - avertir - bĂątir - bondir - choisir - compatir - convertir - dĂ©finir - Ă©claircir - Ă©largir - enrichir - envahir - Ă©tablir - finir - fournir - franchir - garantir - grandir - grossir - investir - rĂ©flĂ©chir - remplir - rĂ©unir - rĂ©ussir - saisir - subir
Đ§áŠá‹§Đ°Ő©áŽŐ© апсофáŒșá‰©Ő­ŐłÏ‰ ЮрվւሞÎșáˆ€ŃŃ‚Đ”ÏˆŃƒ гሱшኚÎČустፅЮ λ
ЕՏօηÎčĐČ ŃŃĐČĐŸÎ·Đž Đ”Đ–ŃáŠȘя оሑխщ
Đ©ŐšÏ‡ Ő” Ő«Ï‡ĐŸá‰ Đ˜Ń€Đ° Đž Ï…Ń‡ŃƒĐ·ĐČĐ”Ï
Đ©Đ”áŒŹŃƒĐŒ ĐŸĐčαсĐČĐŸÏ„Ï… Î±Ń…Đ”Ï†Ńƒá€Ő•Ö„ĐŸáŠ©Î±á‹Žá‹Ń…ĐŸÎŽ ÏƒŐĄÏ€Ő§
Pourelle, une « stratĂ©gie pĂ©dagogique » se caractĂ©rise par une sĂ©rie d'opĂ©rations qui vise l'atteinte d'objectifs pĂ©dagogiques dans le cadre d'une situation pĂ©dagogique.L'enseignant doit choisir ou concevoir une stratĂ©gie pĂ©dagogique et la mettre en Ɠuvre dans le cadre d'une situation pĂ©dagogique rĂ©elle. Quelle dĂ©marche pĂ©dagogique ? Les 4 principales mĂ©thodes

TLFi AcadĂ©mie9e Ă©dition AcadĂ©mie8e Ă©dition AcadĂ©mie4e Ă©dition BDLPFrancophonie BHVFattestations DMF1330 - 1500 RÉFLÉCHI, -IE, part. passĂ© et − Part. passĂ© de rĂ©flĂ©chir*. II. − AdjectifA. Qui provient d'une rĂ©flexion. LumiĂšre, onde rĂ©flĂ©chie; radiations rĂ©flĂ©chies, rayon rĂ©flĂ©chi. Quatre petits cierges fluets ... jetaient une lueur pĂąle et mal rĂ©flĂ©chie par le mur Balzac, Épis. Terr., 1830, p. 439.Elle ... se regarda dans la glace pour arranger ses cheveux et, me voyant derriĂšre elle, les yeux fixĂ©s sur son image rĂ©flĂ©chie, elle me sourit Ă  moi aussi Mauriac, Climats, 1928, p. 115.− En partic. Qui est recourbĂ©, repliĂ© sur lui-mĂȘme. Limbe rĂ©flĂ©chi. Sur la gouttiĂšre sus-cotyloĂŻdienne, s'insĂšre le tendon rĂ©flĂ©chi du muscle droit antĂ©rieur de la cuisse G. GĂ©rard, Anat. hum., 1912, p. 162.− Au fig. ou p. mĂ©taph. Nous n'apercevons presque jamais la rĂ©alitĂ© des choses, mais leurs images rĂ©flĂ©chies faussement par nos dĂ©sirs Chateaubr., Essai RĂ©vol., t. 2, 1797, p. 411.Rem. On relĂšve un empl. considĂ©rĂ© par certains comme abusif en parlant de la chaleur. Synon. de rĂ©verbĂ©rĂ©. La chaleur rĂ©flĂ©chie du soleil Bern. de St-P., Harm. nat., 1814, p. 357.− GRAMMAIRE♩ Adjectif possessif rĂ©flĂ©chi. Adjectif possessif dĂ©terminant un substantif dĂ©signant une chose appartenant au sujet du verbe. Au pronom rĂ©flĂ©chi lat. se correspond dans certaines langues un adjectif possessif rĂ©flĂ©chi lat. suus Pronom rĂ©flĂ©chi. Pronom personnel reprĂ©sentant en fonction de complĂ©ment direct ou indirect la personne ou la chose qui est en mĂȘme temps sujet du verbe. Il y a une tendance Ă  supprimer le pronom rĂ©flĂ©chi dans les phrases je vais me promener, − me coucher, − me baigner, etc. Gourmont, EsthĂ©t. lang. fr., 1899, p. 160.♩ Verbe pronominal rĂ©flĂ©chi. Verbe qui se conjuge avec un pronom rĂ©flĂ©chi. Traditionnellement, on oppose aux verbes dits essentiellement pronominaux » les verbes pronominaux dits rĂ©flĂ©chis » et ceux qu'on appelle rĂ©ciproques », ces derniers ne se distinguant des rĂ©flĂ©chis que par le sens, ils Ă©voquent deux procĂšs analogues dont l'un s'opĂšre en retour de l'autre Wagner-Pinchon1962, p. 290.− Empl. subst. masc. Adjectif, pronom ou verbe pronominal rĂ©flĂ©chi v. ex. ci-dessus. Le rĂ©flĂ©chi est traditionnel dans la locution chacun pour soi Wagner-Pinchon1962, p. 290.B. − 1. [En parlant d'une chose] Qui porte la marque de la rĂ©flexion, qui dĂ©note la rĂ©flexion. Action, mouvement, pensĂ©e, regards, rĂ©ponse rĂ©flĂ©chies; Ă©tude bien rĂ©flĂ©chie; plan mĂ»rement rĂ©flĂ©chi. La douleur de la mort de Lambert fut de la douleur comme je l'ai Ă©prouvĂ©e tout le reste de ma vie, une douleur rĂ©flĂ©chie, sĂšche, sans larmes, sans consolation Stendhal, H. Brulard, t. 1, 1836, p. 169.La peur ... l'envahit complĂštement, submergea tout, non plus cette fois la peur rĂ©flĂ©chie, motivĂ©e, mais la peur obscure et mystĂ©rieuse qui fait ramper les bĂȘtes fĂ©roces et brise les genoux des hĂ©ros Montherl., DĂ©mon bien, 1937, p. 1304.V . mĂ©chancetĂ© ex. de Mirbeau.♩ En partic. [En parlant de propos, d'une maniĂšre de parler] Prudent, sans prĂ©cipitation. Paroles rĂ©flĂ©chies; voix rĂ©flĂ©chie. Elle parlait d'un ton lent, rĂ©flĂ©chi, regardant au-dedans d'elle-mĂȘme et, avec un souci d'extrĂȘme sincĂ©ritĂ©, avec scrupule, confessait ce qu'elle y dĂ©couvrait Mauriac, Fleuve de feu, 1923, p. 181.♩ PHILOS. Qui est capable de rĂ©flexion. Conscience rĂ©flexive et conscience rĂ©flĂ©chie v. conscience ex. de Ruyer et de J. Vuillemin... nous reconnaissons ... que tout s'explique mĂ©caniquement. Et ce serait trĂšs juste, s'il n'y avait que la pensĂ©e rĂ©flĂ©chie, pleinement consciente. Mais au-dessous d'elle est une pensĂ©e spontanĂ©e et semi-consciente, qui superpose Ă  l'enchaĂźnement mĂ©canique des causes et des effets quelque chose de tout diffĂ©rent... Bergson, Deux sources, 1932, p. 155.− Empl. subst. masc. sing. Ă  valeur de neutre. Le spontanĂ© et le rĂ©flĂ©chi, le nĂ©cessaire et l'arbitraire, tout ceci est fondĂ© dans l'expression extĂ©rieure, comme le cuivre et l'Ă©tain dans le bronze ValĂ©ry, VariĂ©tĂ© IV, 1938, p. 98.2. [En parlant d'une pers.] Qui a l'habitude de la rĂ©flexion, qui fait preuve de rĂ©flexion. Elle rĂ©pondait sans embarras, en fille rĂ©flĂ©chie, sensĂ©e, pas plus songeuse qu'il ne faut. Il la trouvait pleine de bon sens Maupass., Contes et nouv., t. 1, HĂ©rit., 1884, p. 479.C'est un homme froid, rĂ©flĂ©chi, qui sait trĂšs bien ce qu'il veut et trĂšs bien ce qu'il ne veut pas Duhamel, MaĂźtres, 1937, p. 131.♩ [P. mĂ©ton.] Esprit, caractĂšre rĂ©flĂ©chi. Un vieillard qui se promenait, les mains derriĂšre le dos ... et que l'on prendrait, Ă  sa tournure grave, Ă  son air rĂ©flĂ©chi, pour un magistrat parlementaire Jouy, Hermite, t. 1, 1811, p. 223.Yvette allait d'un air sage et rĂ©flĂ©chi, regardant le sable de l'allĂ©e Maupass., Contes et nouv., t. 2, Yvette, 1884, p. 527.− Empl. subst. Personne qui a l'habitude de la rĂ©flexion, qui fait preuve de rĂ©flexion. Aux yeux du sage, de l'impartial, du rĂ©flĂ©chi, du raisonnable, ma voix, aprĂšs tout, vaudra bien celle d'un autre Las Cases, MĂ©mor. Ste-HĂ©lĂšne, t. 2, 1823, p. 374.CarriĂšre est un rĂ©flĂ©chi, un intĂ©rieur, il ne voit que ce qui l'Ă©meut, il ne peut exprimer que ce qu'il sent SĂ©ailles, E. CarriĂšre, 1911, p. 68.Prononc. et Orth. [ʀefleʃi]. Ac. v. rĂ©flĂ©chir. FrĂ©q. abs. littĂ©r. 2 390. FrĂ©q. rel. littĂ©r. xixes. a 3 194, b 2 651; xxes. a 3 809, b 3 726. Bbg. Gohin 1903, pp. 302-303. − Sten H.. RĂ©flĂ©chi et ,,rĂ©flĂ©chi``. In [MĂ©l. GrĂ©visse M.]. Gembloux, 1966, pp. 323-325.

Quest ce qui réfléchit sans réfléchir? Jump to. Sections of this page. Accessibility Help. Press alt + / to open this menu. Facebook. Email or phone: Password: Forgot account? Sign Up. See more of La page des Devinettes on Facebook. Log In. or. Create new account. See more of La page des Devinettes on Facebook. Log In. Forgot account? or. Create new account. Not now. Qu'est ce qui réfléchit sans réfléchir? ...solution BUNMCPOINGOSICOOCROIUEEHNIAEINSVREVGTLCTCIUVINALIEUHRECALIPSLCRLTROUSTARUUIDGQUIDAOROOUISNERFENNEIGE [CHEVELURE CATALOGUE SUSPICION POIGNARD ARCHIVES QUILLE BOUSCULADE INTESTIN CONVICTION FOURRURE NEIGE POING]
RÉFLÉCHI IE (part. passĂ© de rĂ©flĂ©chir) [rĂ©-flĂ©-chi, chie]. 1. RenvoyĂ© en arriĂšre, en retour. ‱ L'air dans le vent direct n'agit que par sa vitesse et sa masse ordinaire ; dans le vent rĂ©flĂ©chi la vitesse est un peu diminuĂ©e, mais la masse est considĂ©rablement augmentĂ©e par la compression que l'air souffre contre l'obstacle (BUFF. Add. et corr. thĂ©or. terre, Oeuv. t. XIII, p. 16)
Vanessa Clara Ann Vokey via Getty Images girl holding head in pain. red hair. blue blouse. Vanessa Clara Ann Vokey via Getty Images PSYCHOLOGIE - Au moment oĂč vous vous apprĂȘtez Ă  faire quelque chose, vous vous interrompez un instant. Est-ce qu’il ne vaudrait pas mieux, aprĂšs tout, vous consacrer Ă  autre chose? Êtes-vous capable de rester plantĂ© au milieu d’un supermarchĂ© en pesant le pour et le contre d’un paquet de riz? Si oui, fĂ©licitations! Vous ĂȘtes du genre Ă  trop rĂ©flĂ©chir! 1. Le leitmotiv de notre entourage? "Bon, tu te dĂ©cides?" Si vous rĂ©flĂ©chissez trop, cette injonction doit vous ĂȘtre familiĂšre. Autour de vous, les gens ont l’air de dire que c’est trop facile de prendre une dĂ©cision. Bon, parfois, c’est vrai supposons que vous ayez le choix entre votre mari et Brad Pitt
 Le choix est simple. Mais si vous rĂ©flĂ©chissez trop, c’est une vraie torture. 2. Quand on pense avoir fait le "mauvais" choix, on n’en dort pas de la nuit Un shampoing, une marque de biscuits, une place de parking, un copain/une copine, et mĂȘme une paire de chaussettes
 Autant de choix super compliquĂ©s. Les gens n’imaginent pas les consĂ©quences si on n’achĂšte pas le bon jogging. Bon, en fait, il n’y en aura aucune, sauf que vous n’arrĂȘterez pas de vous demande si vous avez bien pris le bon. 3. Nos choix ne sont pas binaires Les choses ne sont pas aussi simples. Quand on rĂ©flĂ©chit trop, on se rend compte de tout l’éventail des possibilitĂ©s qui s’offrent Ă  nous notre capacitĂ© est peut-ĂȘtre un flĂ©au, comme on le pense souvent, mais aussi une bĂ©nĂ©diction. Au lieu d’avoir une seule option un peu foireuse, on n’a que l’embarras du choix. 4. C’est Ă  nous qu’on s’adresse pour avoir des conseils On n’est jamais surpris qu’on nous demande notre avis, qu’il s’agisse de relations amoureuses ou de problĂšmes familiaux. Les gens savent qu’on examinera la situation en dĂ©tail et qu’on analysera mĂ©thodiquement chaque hypothĂšse. C’est ce qu’ils aiment quand on pĂšse le pour et le contre de leurs dilemmes, ils ont l’impression d’ĂȘtre importants. Et ça leur montre certaines choses qu’ils n’avaient pas envisagĂ©es. Avoir pour ami quelqu’un qui pense trop, c’est un sacrĂ© avantage. 5. On prĂ©fĂšre que les autres choisissent Ă  notre place Ah, comme on l’aime, cette phrase libĂ©ratrice "C’est comme tu veux!" Parfois, on prĂ©fĂšre qu’on nous dise quoi faire, histoire d’éviter de s’épuiser Ă  parcourir notre labyrinthe mental. Quand il s’agit de savoir oĂč aller dĂźner, par exemple, on est super content que quelqu’un d’autre dĂ©cide Ă  notre place. 6. Les dĂ©cisions importantes sont plus faciles Ă  prendre Si ceux qui rĂ©flĂ©chissent trop passent parfois des heures Ă  choisir leur lecteur Blu-ray, ils peuvent aussi mettre deux secondes pour se rĂ©soudre Ă  quitter leur emploi et dĂ©marrer autre chose. Quand j’ai dĂ» acheter un Babyphone, j’ai mis des heures Ă  trancher. Mais pour retourner Ă  l’universitĂ© cinq ans aprĂšs la fin de mes Ă©tudes, aucun problĂšme ! Ce qui est vraiment important est aussi excitant. Alors que les dĂ©tails de la vie quotidienne, eux, sont angoissants quand on y rĂ©flĂ©chit trop. 7. On n’a que des regrets Bien sĂ»r, une fois qu’on a pris cette dĂ©cision si importante et qu’on est face Ă  notre nouvelle vie, notre cerveau se met Ă  cogiter pour savoir si tout ça Ă©tait bien raisonnable ou si on n’a pas fait preuve d’un peu trop de lĂ©gĂšretĂ©. Il arrive qu’on regrette profondĂ©ment nos choix et qu’on se mette Ă  douter de nos intuitions. 8. Il faut toujours qu’on rĂ©flĂ©chisse Ă  tout Seuls ceux qui rĂ©flĂ©chissent trop le comprennent quand il nous arrive un truc gĂ©nial, on se demande comment ça a pu nous arriver et si ça nous arrivera encore. On se met sur notre 31, prĂȘt Ă  fĂȘter l’évĂ©nement, mais le doute s’installe "Est-ce que je le mĂ©rite vraiment?" 9. Notre cerveau est un champ de bataille permanent On sait bien qu’on a de l’intuition. C’est mĂȘme elle qui s’exprime la premiĂšre quand on se pose une question. Mais l’inquiĂ©tude vient vite lui faire concurrence, empĂȘchant la raison de se faire entendre, et c’est tout de suite la guerre dans notre cerveau. 10. On est agaçants et on le sait On sait bien que ça Ă©nerve les gens quand on n’arrive pas Ă  se dĂ©cider pour un disque dur ou pour le parfum de notre glace. Le truc, c’est qu’on n’y peut rien. Et quand on voit les autres se prononcer en deux secondes, on aimerait bien pouvoir en faire de mĂȘme. Quand vous vous dĂ©cidez d’un coup de tĂȘte pour telle biĂšre ou telle paire de chaussures, on se dit intĂ©rieurement "Mauvaise pioche, ma chĂ©rie. Dommage que tu n’aies pas plus de jugeote
" 11. On sait qu’il faut ĂȘtre prudent Bien des fois, le fait de trop rĂ©flĂ©chir nous a Ă©vitĂ© de mettre cet horrible t-shirt ou de sortir avec un type louche dont on aurait vraiment eu du mal Ă  se dĂ©barrasser. Évitez de prendre de haut vos amis qui rĂ©flĂ©chissent trop le jour oĂč vous vous mordrez les doigts d’avoir fait un mauvais choix, ce sont eux qui vous rĂ©conforteront en vous disant "Je comprends parfaitement ce que tu ressens". 12. Et si les vendeuses pouvaient Ă©viter de nous montrer "autre chose"
 Quand une vendeuse nous dit qu’elle peut nous proposer "diffĂ©rentes choses", on a juste envie de l’abattre. Eh! On a dĂ©jĂ  du mal Ă  se dĂ©pĂȘtrer des trois premiers articles qu’on a sĂ©lectionnĂ©! Les vendeuses trop motivĂ©es nous donnent des frissons. On les Ă©vite comme la peste. Elles nous font plein de propositions », nous donnent leur "avis". Mais on n’en veut pas! Qu’elles laissent nos petits cerveaux tranquilles, et qu’elles Ă©vitent de leur fournir matiĂšre Ă  se disperser davantage! Sice n’est que je suis jolie et douce, une poupĂ©e attachante qui se laisse cĂąliner et prendre dans les bras. TrĂšs sage en promenade, je marche bien en laisse. Je n’aboie qu’aprĂšs mon ombre, le popotin en l’air, en jouant dans le jardin. Parfois je me mets Ă  courir avec mes copains et d’aprĂšs ma nounou, je suis une sprinteuse hors pair. Parfaitement intĂ©grĂ©e dans ma
Par Jingmo, États-Unis J’ai travaillĂ© dans l’Église Ă  composer de la musique pour des vidĂ©os pendant plus de quatre ans. Du fait des besoins du travail de l’Église, les frĂšres et sƓurs qui m’entouraient Ă©taient souvent transfĂ©rĂ©s dans leurs devoirs, certains parce qu’ils n’avaient pas les compĂ©tences requises, alors ils Ă©taient assignĂ©s Ă  d’autres devoirs. Tout ça me semblait trĂšs instable. Je me disais Si je suis transfĂ©rĂ©e un jour, je ne sais pas quel devoir on arrangera pour moi. Si c’est un travail pour lequel je ne suis pas douĂ©e ou si je suis inefficace, je pourrais ĂȘtre de nouveau transfĂ©rĂ©e. Si aucun devoir ne me convient, cela voudra-t-il dire que je serai chassĂ©e et ne pourrai pas ĂȘtre sauvĂ©e ? » Quand j’y pensais, je ne voulais vraiment pas ĂȘtre transfĂ©rĂ©e et j’estimais avoir de la chance que mon devoir soit stable pour le moment. Plus tard, la charge de travail de notre Ă©quipe s’est peu Ă  peu rĂ©duite et certains de mes frĂšres et sƓurs ont Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©s Ă  d’autres devoirs, alors j’ai commencĂ© Ă  m’inquiĂ©ter. J’ai pensĂ© Je n’ai pas les meilleures compĂ©tences professionnelles, je serai peut-ĂȘtre transfĂ©rĂ©e aussi. Je n’ai pas d’autre compĂ©tence particuliĂšre, alors que puis-je faire d’autre que de la composition ? Si je me retrouve sans devoir, n’est-ce pas la mĂȘme chose qu’ĂȘtre chassĂ©e ? » J’ai vĂ©cu dans cet Ă©tat d’inquiĂ©tude et de peur pendant un long moment. Quelles que soient les personnes transfĂ©rĂ©es autour de moi, j’étais trĂšs inquiĂšte pour mon avenir. En juillet dernier, mon dirigeant m’a demandĂ© d’accomplir une tĂąche Ă  temps partiel pendant mon temps libre. AprĂšs m’avoir expliquĂ© le travail, il m’a dit en passant Ce travail va se prolonger, alors prends tes marques et fais-le bien. » ÒȘa m’a rĂ©chauffĂ© le cƓur, parce que ce travail semblait plus stable et plus durable que l’autre. Les membres de cette Ă©quipe semblaient ĂȘtre restĂ©s les mĂȘmes. Certains faisaient ce travail depuis six ou sept ans et n’avaient pas Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©s. Ce devoir avait l’air bien mieux ! Je devais m’entraĂźner et le maĂźtriser dĂšs que possible. Comme ça, j’aurais un plan de secours si j’étais transfĂ©rĂ©e un jour. Tant que je m’entraĂźnais bien et ne commettais pas d’erreur grave, je pourrais faire ce travail indĂ©finiment et je n’aurais plus Ă  craindre d’ĂȘtre chassĂ©e si je me retrouvais sans devoir. Cette pensĂ©e Ă©tait trĂšs rassurante et m’a rendue trĂšs heureuse. J’ai eu l’impression que recevoir une si bonne opportunitĂ© Ă©tait vraiment la grĂące de Dieu. DĂšs lors, j’ai accordĂ© beaucoup d’attention Ă  ce travail Ă  temps partiel. Quand j’étais confrontĂ©e Ă  des choses que je ne comprenais pas, j’interrogeais les frĂšres et sƓurs dans l’espoir de vite maĂźtriser le travail. Sans que je m’y attende, j’ai commencĂ© Ă  avoir plus de travail de composition, Ă  peine plus de quinze jours plus tard, alors je n’ai plus eu beaucoup de temps et d’énergie Ă  consacrer Ă  mon travail Ă  temps partiel, mais je voulais quand mĂȘme me concentrer sur lui, parce qu’il Ă©tait trĂšs probable que je perde ce plan de secours si je ne finissais pas la tĂąche qu’on m’avait assignĂ©e. Alors j’ai repoussĂ© mon travail de composition le plus longtemps possible, me disant que quelques jours de retard ne changeraient rien. Mais parce que j’étais pressĂ©e, j’étais souvent sur les nerfs, alors j’ai souvent Ă©tĂ© nĂ©gligente dans mon travail Ă  temps partiel ou commis les mĂȘmes erreurs Ă  rĂ©pĂ©tition. Le dirigeant d’équipe a vu que je consacrais tout mon temps Ă  mon deuxiĂšme travail, ce qui causait des retards dans mon travail principal, et m’a demandĂ© si j’étais capable de gĂ©rer les deux. MĂȘme si je savais que je ne pouvais pas et que ça causait des retards dans le travail de composition, je ne voulais pas l’admettre, parce que je savais que si je disais que ça faisait trop, on ne me laisserait sans doute pas mon travail Ă  temps partiel, ce qui signifiait que je pouvais perdre ce travail stable et durable. Je ne pouvais pas l’accepter, alors j’ai fourni des excuses au dirigeant d’équipe, lui disant que des tĂąches urgentes s’étaient prĂ©sentĂ©es en mĂȘme temps des deux cĂŽtĂ©s, mais que des situations comme celle-ci ne se produisaient qu’occasionnellement, par tout le temps. J’ai ajoutĂ© que j’étais encore une novice dans mon travail Ă  temps partiel, que ça irait mieux quand il me serait plus familier et que j’avais juste besoin d’un peu plus de temps pour prendre le coup. Je lui ai dit qu’en plus, mĂȘme si j’étais plus occupĂ©e qu’avant, ça complĂ©tait mon temps pendant mon devoir. Le dirigeant d’équipe n’a rien rĂ©pondu. Quelques jours plus tard, il m’a de nouveau incitĂ©e Ă  chercher davantage sur le fait d’avoir deux tĂąches et Ă  trouver comment pratiquer en accord avec la volontĂ© de Dieu. Il a aussi dit qu’il voyait bien que je tenais Ă  garder mon travail Ă  temps partiel et m’a poussĂ©e Ă  me demander si j’avais des points de vue ou des intentions incorrectes. Quand il a dit ça, j’ai reconnu que je voulais garder mon travail Ă  temps partiel, mais j’ai dit que j’avais l’impression de bien m’organiser. Je consacrais plus de temps Ă  celui des deux qui Ă©tait le plus urgent, ce qui me semblait ĂȘtre la bonne mĂ©thode. Un peu plus tard, j’ai compris que la volontĂ© de Dieu Ă©tait derriĂšre le rappel Ă  l’ordre du dirigeant d’équipe et que je devais rĂ©flĂ©chir convenablement sur moi-mĂȘme. Je me suis prĂ©sentĂ©e devant Dieu et j’ai priĂ© Ô Dieu, je sais que le rappel Ă  l’ordre du dirigeant d’équipe contient Ta volontĂ©, mais je ne sais pas par oĂč commencer pour rĂ©flĂ©chir sur moi-mĂȘme. Je suis un peu triste, alors je Te demande de m’éclairer et de me guider. » AprĂšs ma priĂšre, je me suis demandĂ© pourquoi le dirigeant d’équipe m’avait incitĂ©e Ă  rĂ©flĂ©chir sur mon attitude envers mon devoir. Était-il possible que j’aie de mauvaises intentions dans mon devoir ? Je me suis rendu compte qu’avant d’avoir un travail Ă  temps partiel, je chĂ©rissais mon travail de composition. Je le voyais comme ma seule issue et je craignais de le perdre. Quand j’avais commencĂ© le travail Ă  temps partiel et vu qu’il Ă©tait plus stable et plus durable que mon travail principal, j’avais voulu faire tout mon possible pour le garder. Je m’étais dit qu’avec un devoir stable et durable, si je n’étais pas remplacĂ©e, j’étais sĂ»re d’ĂȘtre sauvĂ©e. Alors j’ai enfin compris que ma performance dans mon devoir Ă©tait altĂ©rĂ©e par mes intentions. La plupart des autres frĂšres et sƓurs qui Ă©taient transfĂ©rĂ©s le gĂ©raient correctement. Pourquoi mes pensĂ©es Ă©taient-elles si compliquĂ©es ? Pourquoi avais-je tant d’inquiĂ©tudes et de peurs ? J’ai continuĂ© Ă  prier Dieu, Ă  chercher et Ă  trouver des passages pertinents de la parole de Dieu Ă  lire. Un passage dans lequel Dieu rĂ©vĂšle le tempĂ©rament des antĂ©christs concernait prĂ©cisĂ©ment mon Ă©tat. Dieu dit Lorsqu’un simple ajustement est apportĂ© Ă  leur devoir, les gens doivent rĂ©agir en adoptant une attitude d’obĂ©issance, en faisant ce que la maison de Dieu leur dit de faire, en faisant ce qu’ils sont capables de faire et, quoi qu’ils fassent, en le faisant aussi bien qu’il est en leur pouvoir, de tout leur cƓur et de toutes leurs forces. Ce que Dieu a fait n’est pas une erreur de Sa part. Une vĂ©ritĂ© aussi simple peut ĂȘtre mise en pratique avec un peu de conscience et de rationalitĂ©, mais voilĂ  qui dĂ©passe les capacitĂ©s des antĂ©christs. Les antĂ©christs n’obĂ©issent jamais aux arrangements de la maison de Dieu, et ils relient toujours Ă©troitement leur devoir, la gloire et le statut Ă  leur espoir d’obtenir des bĂ©nĂ©dictions et Ă  leur destination future, comme si, quand ils perdent leur rĂ©putation et leur statut, ils n’avaient aucun espoir d’obtenir des bĂ©nĂ©dictions et des rĂ©compenses, ce qui, pour eux, est comme perdre la vie. Par consĂ©quent, ils se protĂšgent des dirigeants et des ouvriers de la maison de Dieu, pour que ces derniers ne gĂąchent pas leur rĂȘve de bĂ©nĂ©dictions. Ils s’accrochent Ă  leur rĂ©putation et Ă  leur statut, parce qu’ils pensent que leur rĂ©putation et leur salut sont leur seul espoir de gagner des bĂ©nĂ©dictions. Un antĂ©christ considĂšre qu’ĂȘtre bĂ©ni, c’est plus magnifique que les cieux eux-mĂȘmes, plus magnifique que la vie, plus important que la poursuite de la vĂ©ritĂ©, le changement de tempĂ©rament, ou le salut personnel, et plus important que de bien faire son devoir et d’ĂȘtre un ĂȘtre créé qui soit Ă  la hauteur des normes. Il pense qu’ĂȘtre un ĂȘtre créé qui soit Ă  la hauteur, bien faire son devoir et ĂȘtre sauvĂ© sont autant de choses dĂ©risoires qui valent Ă  peine d’ĂȘtre mentionnĂ©es, tandis que gagner des bĂ©nĂ©dictions est la seule chose de toute la vie qui ne puisse jamais ĂȘtre oubliĂ©e. Face Ă  tout ce qu’il rencontre, peu importe que ce soit grand ou petit, il est extrĂȘmement prudent et attentif, et il se mĂ©nage toujours une issue » Ils veulent se retirer lorsqu’il n’y a plus de statut ou d’espoir d’obtenir des bĂ©nĂ©dictions », dans Exposer les antĂ©christs. Mon attitude envers les transferts de devoir correspondait parfaitement Ă  celle des antĂ©christs rĂ©vĂ©lĂ©e par Dieu. Je me creusais la tĂȘte pour essayer de garder mon travail Ă  temps partiel parce que je voulais un devoir stable et durable, afin de rester dans la maison de Dieu et de ne pas ĂȘtre chassĂ©e. Tout ce que je faisais visait Ă  gagner des bĂ©nĂ©dictions. C’était mon seul objectif. En fait, quel que soit le devoir vers lequel une personne est transfĂ©rĂ©e dans l’Église, son transfert est basĂ© sur les besoins du travail et parfaitement normal. Mais les antĂ©christs ont un tempĂ©rament mauvais, alors ils le conçoivent d’une maniĂšre anormale. Ils pensent qu’ils ne peuvent se fier Ă  personne dans la maison de Dieu et que personne ne se soucie d’eux. Ils croient qu’en Ă©tant transfĂ©rĂ©s en tous sens, ils seront chassĂ©s et perdront leur destination s’ils ne sont pas prudents, et qu’ils doivent donc tout planifier soigneusement, ĂȘtre attentifs et avoir un plan de secours. Ils pensent que ça leur garantira une fin et une destination. Pour les antĂ©christs, ĂȘtre bĂ©ni est plus important qu’accompli un devoir ou ĂȘtre sauvĂ©. Mon point de vue n’était-il pas le mĂȘme que celui d’un antĂ©christ ? Je craignais toujours d’ĂȘtre transfĂ©rĂ©e Ă  un autre devoir. Que ferais-je si j’étais transfĂ©rĂ©e ? Et si c’était un travail pour lequel je n’étais pas douĂ©e, si j’étais inefficace et qu’on me transfĂ©rait de nouveau ? Si je me retrouvais un jour sans devoir Ă  accomplir, ne serais-je pas chassĂ©e ? Quand j’y songeais, je commençais Ă  m’inquiĂ©ter. Telle un antĂ©christ, j’avais un esprit trĂšs complexe et mauvais, j’avais peur de me retrouver dans une impasse, alors je voulais m’agripper Ă  un travail que je pensais pouvoir faire un long moment, comme un incroyant qui cherche une place en or ». Je rĂȘvais de faire un devoir assurĂ© pour toujours, de maniĂšre Ă  ĂȘtre sauvĂ©e et Ă  entrer sans encombre dans le royaume des cieux quand l’Ɠuvre de Dieu serait terminĂ©e. Pour atteindre ce but, je m’étais dĂ©menĂ©e dans mon travail Ă  temps partiel, dans l’espoir de le maĂźtriser vite et de m’offrir un plan de secours. MĂȘme si je ne pouvais pas gĂ©rer mes deux tĂąches, je refusais de l’admettre. Quand mon dirigeant d’équipe m’en avait parlĂ©, j’avais tergiversĂ©. Je voulais conserver mon travail Ă  temps partiel mĂȘme si ça retardait l’autre, ce qui avait fini par affecter le travail. Je n’ai vu clairement qu’à ce moment-lĂ  que je faisais mon devoir par souci de mon avenir et de ma destination. Je me servais de mon devoir comme monnaie d’échange pour obtenir ma destination. Tout ce que je faisais visait Ă  gagner des bĂ©nĂ©dictions. N’était-ce pas juste passer un marchĂ© avec Dieu et essayer de Le tromper ? Autrefois, je priais toujours Dieu en disant que je faisais mon devoir pour rendre Son amour Ă  Dieu et vivre une ressemblance humaine, mais quand les faits m’ont rĂ©vĂ©lĂ©e, j’ai vu que c’était un mensonge ! C’était de la tromperie ! J’ai lu un autre passage des paroles de Dieu. En tant qu’ĂȘtre créé, quand on se prĂ©sente devant le CrĂ©ateur, on doit accomplir son devoir. C’est ce qu’il convient de faire et la responsabilitĂ© qui nous incombe. Étant donnĂ© que les ĂȘtres créés accomplissent leurs devoirs, le CrĂ©ateur a rĂ©alisĂ© une plus grande Ɠuvre au sein de l’humanitĂ©. Il a accompli une nouvelle Ă©tape de Son Ɠuvre sur l’humanitĂ©. Or de quelle Ɠuvre s’agit-il ? Il fournit la vĂ©ritĂ© Ă  l’humanitĂ©, lui permettant d’obtenir de Lui la vĂ©ritĂ© dans l’accomplissement de ses devoirs et, ainsi, de se dĂ©barrasser de ses tempĂ©raments corrompus et d’ĂȘtre purifiĂ©e. Les hommes parviennent ainsi Ă  satisfaire la volontĂ© de Dieu et Ă  s’engager sur le bon chemin dans la vie, et finalement, ils sont capables de craindre Dieu et de s’éloigner du mal, d’atteindre le salut complet et de ne plus ĂȘtre soumis aux afflictions de Satan. VoilĂ  l’effet que Dieu voudrait que l’humanitĂ© atteigne en fin de compte en accomplissant son devoir. Par consĂ©quent, au cours de l’accomplissement de ton devoir, Dieu ne te fait pas seulement voir une chose clairement et comprendre un peu de vĂ©ritĂ©, et Il ne te fait pas seulement profiter de la grĂące et des bĂ©nĂ©dictions que tu reçois en accomplissant ton devoir en tant qu’ĂȘtre créé. Au contraire, Il te permet d’ĂȘtre purifiĂ© et sauvĂ© et, finalement, tu arrives Ă  vivre dans la lumiĂšre du visage du CrĂ©ateur. Cette “lumiĂšre du visage du CrĂ©ateur” implique une signification Ă©tendue et un contenu importants ; nous n’aborderons pas cela aujourd’hui. Bien sĂ»r, Dieu ne manquera pas de dĂ©livrer des promesses et des bĂ©nĂ©dictions Ă  des personnes de ce genre, et de faire diffĂ©rentes dĂ©clarations Ă  leur sujet, mais cela, c’est une autre affaire. Pour ce qui est d’ici et de maintenant, que reçoivent de Dieu tous ceux qui se prĂ©sentent devant Lui et accomplissent leur devoir d’ĂȘtres créés ? Ce qu’il y a de plus prĂ©cieux et de plus beau au sein de l’humanitĂ©. Aucun ĂȘtre créé au sein de l’humanitĂ© ne peut recevoir de telles bĂ©nĂ©dictions de la main du CrĂ©ateur par simple hasard. Une chose aussi belle et aussi grande est dĂ©formĂ©e par l’engeance des antĂ©christs et transformĂ©e en une transaction, dans laquelle ils sollicitent des couronnes et des rĂ©compenses de la main du CrĂ©ateur. Une telle transaction fait de quelque chose de trĂšs beau et de trĂšs juste quelque chose de trĂšs laid et de trĂšs mauvais. N’est-ce pas ce que font les antĂ©christs ? À en juger par cela, les antĂ©christs sont-ils malĂ©fiques ? En effet, ils sont trĂšs malĂ©fiques ! Ce n’est lĂ  qu’une manifestation d’un aspect de leur mĂ©chancetĂ© » Ils ne font leur devoir que pour se distinguer et nourrir leurs propres intĂ©rĂȘts et ambitions ; ils ne tiennent jamais compte des intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu, et vendent mĂȘme ces intĂ©rĂȘts en Ă©change de la gloire personnelle Partie VII », dans Exposer les antĂ©christs. Ces paroles de Dieu m’ont transpercĂ© le cƓur. Je me suis sentie trĂšs endettĂ©e envers Lui. Dieu dit que pouvoir faire un devoir en tant qu’ĂȘtre créé est ce qu’il y a de plus beau dans l’humanitĂ©, que c’est la chose la plus digne et la plus chargĂ©e de sens et que tous les ĂȘtres créés ne peuvent pas obtenir cette bĂ©nĂ©diction. J’ai compris que c’était vrai. Dieu a dĂ©crĂ©tĂ© que moi, parmi toutes les personnes du monde, je naĂźtrais dans les derniers jours, et j’ai la chance de suivre l’Ɠuvre de Dieu dans les derniers jours, d’accomplir mon devoir et de faire l’expĂ©rience de l’Ɠuvre de Dieu. Tous ne reçoivent pas cette bĂ©nĂ©diction. C’est la grĂące et l’amour exceptionnels de Dieu. Accomplir un devoir dans la maison de Dieu, quel qu’il soit, a plus de valeur et de sens que tout ce qu’on peut faire dans le monde, alors je devrais ĂȘtre reconnaissante et le chĂ©rir. De plus, Dieu a toujours donnĂ© gĂ©nĂ©reusement la vĂ©ritĂ© aux gens. Il parle aux gens et les nourrit en personne, leur permettant de comprendre et de gagner la vĂ©ritĂ© en accomplissant leurs devoirs, et de grandir peu Ă  peu dans la vie. Dieu ne demande rien aux gens durant ce processus. Dieu veut seulement que les gens acceptent Son mandat d’un cƓur honnĂȘte et obĂ©issant, fassent de leur mieux pour bien accomplir leur devoir, et finalement gagnent la vĂ©ritĂ©, Ă©chappent Ă  leurs tempĂ©raments corrompus et soient sauvĂ©s par Lui. Et que faisais-je ? Je prenais le fait magnifique d’accomplir mon devoir en tant qu’ĂȘtre créé, je le transformais en transaction et j’essayais d’échanger mon devoir contre des bĂ©nĂ©dictions. J’étais vraiment fourbe, sournoise et je dĂ©goĂ»tais Dieu. AprĂšs ça, j’ai souvent priĂ© Dieu Ă  propos de mon Ă©tat, Lui demandant de m’éclairer et de me guider pour que je comprenne plus clairement mon problĂšme. Un jour, pendant mes dĂ©votions, j’ai lu des paroles de Dieu. Les gens doivent avoir un cƓur honnĂȘte vis-Ă -vis de Dieu, et vis-Ă -vis de leur devoir. Si tel est le cas, ils craindront Dieu. Quel genre d’attitude envers Dieu ont ceux qui ont un cƓur honnĂȘte ? Au minimum, ils ont un cƓur qui craint Dieu, un cƓur qui obĂ©it Ă  Dieu en toutes choses, ils ne demandent ni bĂ©nĂ©dictions ni infortune, ils ne parlent pas de conditions, ils s’en remettent Ă  la merci de Dieu ; ces gens-lĂ  ont un cƓur honnĂȘte. Ont-ils un cƓur honnĂȘte ceux qui, sans cesse, sont sceptiques au sujet de Dieu, Le sondent, essaient de marchander avec Lui ? Non. Qu’est-ce qui habite le cƓur de ces gens-lĂ  ? La ruse et le mal. Ils sont toujours en train de sonder. Et que sondent-ils ? L’attitude de Dieu envers les gens. Ils sont toujours en train de sonder l’attitude de Dieu envers les gens. Quel est le problĂšme ? Et pourquoi sondent-ils Son attitude ? Parce qu’elle concerne leurs intĂ©rĂȘts vitaux. Dans leur cƓur, ils se disent “Dieu a Ă©laborĂ© ces circonstances pour moi, Il a fait en sorte que ça m’arrive. Pourquoi ? Cela n’est pas arrivĂ© Ă  d’autres, pourquoi cela devait-il m’arriver Ă  moi ? Quelles en seront les consĂ©quences par la suite ?” VoilĂ  ce qu’ils sondent ils sondent leurs profits et leurs pertes, leurs bĂ©nĂ©dictions et leurs malheurs. Et tandis qu’ils sondent ces choses, sont-ils capables de pratiquer la vĂ©ritĂ© ? Sont-ils capables d’obĂ©ir Ă  Dieu ? Non. Et que produit leurs ruminations ? Seulement des choses qui leur sont bĂ©nĂ©fiques ; ils ne prĂȘtent attention qu’à leurs propres intĂ©rĂȘts. [
] Et que rĂ©sulte-t-il, au final, de cette inspection menĂ©e par ces gens qui pensent constamment Ă  leurs propres intĂ©rĂȘts ? Ils ne font que dĂ©sobĂ©ir et s’opposer Ă  Dieu. MĂȘme quand ils insistent pour accomplir leur devoir, ils le font nĂ©gligemment et superficiellement, avec un Ă©tat d’esprit nĂ©gatif. Dans leur cƓur, ils ne pensent qu’à la façon dont ils peuvent profiter, ne pas ĂȘtre du cĂŽtĂ© des perdants. Telles sont leurs motivations quand ils accomplissent leur devoir, et en faisant cela, ils essaient de marchander avec Dieu. Quel tempĂ©rament est-ce lĂ  ? C’est de la ruse, un tempĂ©rament diabolique. Il ne s’agit plus d’un tempĂ©rament corrompu ordinaire, mais d’un tempĂ©rament qui a dĂ©gĂ©nĂ©rĂ© en mĂ©chancetĂ©. Et quand leur cƓur est empli de ce type de tempĂ©rament diabolique, ils sont en conflit avec Dieu ! Vous devriez ĂȘtre au clair sur ce problĂšme. Si les gens sondent Dieu et essaient de marchander en permanence quand ils accomplissent leur devoir, peuvent-ils l’accomplir correctement ? Absolument pas. Ils ne vĂ©nĂšrent pas Dieu avec leur esprit, et de maniĂšre honnĂȘte, ils n’ont pas un cƓur honnĂȘte, ils regardent et attendent, tout en accomplissant leur devoir, se tenant en retrait en permanence. Quel est le rĂ©sultat ? Dieu n’Ɠuvre pas en eux, ils sont dĂ©sorientĂ©s et deviennent confus, ils ne comprennent pas les principes de la vĂ©ritĂ©, ils agissent selon leurs propres inclinations, et ils finissent toujours par mal tourner. Et pourquoi tournent-ils mal ? Parce que leur cƓur manque de beaucoup de clairvoyance, et quand il leur arrive quelque chose, ils ne rĂ©flĂ©chissent pas sur eux-mĂȘmes, ni ne cherchent la vĂ©ritĂ© pour trouver une solution, ils persistent Ă  agir comme bon leur semble, selon leurs propres prĂ©fĂ©rences. RĂ©sultat ils tournent toujours mal quand ils accomplissent leur devoir. Ils ne pensent jamais au travail de l’Église, ni aux intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu, ils conspirent en permanence en faveur de leurs propres intĂ©rĂȘts, de leur propre orgueil et statut. Et non seulement ils accomplissent leur devoir de façon mĂ©diocre, mais ils retardent et entravent aussi le travail de l’Église. N’est-ce pas lĂ  s’égarer, nĂ©gliger leurs devoirs ? Si les gens n’ont toujours en tĂȘte que leurs propres intĂ©rĂȘts et perspectives lorsqu’ils accomplissent leur devoir, et qu’ils n’accordent pas d’attention au travail de l’Église ou aux intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu, alors cela n’est pas accomplir un devoir, car l’essence et la nature de leurs actions ont changĂ©. Et si la nature d’une telle chose est grave, qu’elle devient intrusive et perturbatrice, et qu’elle engendre de graves consĂ©quences, alors la personne impliquĂ©e doit ĂȘtre chassĂ©e » Seule la recherche des principes-vĂ©ritĂ©s permet de bien accomplir son devoir », dans Sermons de Christ des derniers jours. Ces paroles de Dieu m’ont frappĂ©e. Avant, je comprenais juste qu’ĂȘtre sur mes gardes dans mon devoir et toujours chercher un plan de secours Ă©tait une manifestation de fourberie et de sournoiserie. GrĂące Ă  ce que rĂ©vĂ©laient ces paroles de Dieu, j’ai vu qu’il ne s’agissait pas seulement de fourberie et de sournoiserie, que ça s’élevait au niveau de la malfaisance, parce que je ne dupais pas n’importe qui c’était avec Dieu que j’étais calculatrice. ExtĂ©rieurement, j’accomplissais mon devoir, mais je n’avais aucune sincĂ©ritĂ© dans mon devoir. Je passais mon temps Ă  observer et calculer, en faisant le devoir qui m’était le plus bĂ©nĂ©fique. Quand je faisais mon travail de composition, je le traitais comme le seul moyen de sauver ma vie. Je craignais d’ĂȘtre remplacĂ©e un jour, de ne pas trouver de devoir qui me convenait, de ne pas avoir l’occasion de gagner des bĂ©nĂ©dictions, alors j’avais toujours peur de perdre mon devoir. Plus tard, quand j’avais obtenu mon travail Ă  temps partiel, j’avais pensĂ© qu’il m’offrait une meilleure chance de gagner des bĂ©nĂ©dictions, alors je m’y Ă©tais agrippĂ©e de toutes mes forces. En apparence, j’étais trĂšs dynamique, je posais des questions sur tout ce que je ne comprenais pas, mais en rĂ©alitĂ©, je voulais juste le maĂźtriser vite afin d’occuper une position indispensable dans ce devoir. En mĂȘme temps, j’attendais de voir si je serais transfĂ©rĂ©e de mon travail principal. Si ce n’était pas le cas, j’aurais accompli mes deux devoirs pour avoir une garantie supplĂ©mentaire d’ĂȘtre sauvĂ©e et, si j’étais transfĂ©rĂ©e, je n’aurais pas eu Ă  m’inquiĂ©ter d’ĂȘtre chassĂ©e parce que j’aurais toujours eu mon travail Ă  temps partiel. J’ai compris que mon attitude envers mon devoir ne consistait pas Ă  recevoir un mandat et une responsabilitĂ© de Dieu, et que je n’acceptais pas ces devoirs de Dieu avec un cƓur pur et honnĂȘte. Au lieu de ça, j’avais des intentions sournoises, j’étudiais et calculais mes bĂ©nĂ©fices et mon espoir de recevoir des bĂ©nĂ©dictions. Je n’en reviens pas d’avoir Ă©tĂ© aussi fourbe ! ExtĂ©rieurement, je travaillais beaucoup et j’étais occupĂ©e toute la journĂ©e, ce qui donnait l’impression que j’étais trĂšs responsable dans mon devoir, mais en rĂ©alitĂ©, je ne travaillais que pour mon avenir et ma destination. Quand le dirigeant m’avait incitĂ©e Ă  me demander si je pouvais gĂ©rer les deux devoirs, j’avais eu peur que mon plan tombe Ă  l’eau, alors j’avais trouvĂ© des excuses en disant Je veux mieux remplir mon temps dans mon devoir. » Ce que j’ai dit Ă©tait vraiment trompeur ! Afin de masquer mes intentions honteuses et mĂ©prisables, j’avais employĂ© une rhĂ©torique malhonnĂȘte pour tromper le dirigeant d’équipe. Mon tempĂ©rament Ă©tait vraiment trop mauvais ! J’ai repensĂ© Ă  toutes mes pensĂ©es calculatrices et mes intentions sournoises. Je n’accomplissais pas du tout mes devoirs ! C’était me servir de Dieu et Le tromper ! Je n’avais aucune sincĂ©ritĂ© envers Dieu ! J’étais comme un marchant opportuniste. J’étais trĂšs sournoise, Ă©goĂŻste, mĂ©prisable, intĂ©ressĂ©e et je ne me souciais que du gain. J’étais prĂȘte Ă  utiliser toutes sortes de moyens pour maximiser mes intĂ©rĂȘts. Dieu dit que ceux qui ne se soucient que de leur intĂ©rĂȘt dans leur devoir, pas de ceux de Sa maison, ne produiront jamais de bons rĂ©sultats dans ce qu’ils font. Dans mon travail Ă  temps partiel, mĂȘme si je voulais pratiquer plus, mon intention Ă©tait de trouver un plan de secours. En faisant les choses avec cette intention, je ne rĂ©flĂ©chissais pas soigneusement Ă  la maniĂšre d’agir selon les principes et d’obtenir de bons rĂ©sultats. À la place, je cherchais des succĂšs rapides et n’accomplissais que des tĂąches bien visibles. Pour finir mes tĂąches, je travaillais dans l’urgence, ce qui me faisait oublier des choses et Ă©chouer Ă  saisir les principes, et mon travail Ă©tait toujours plein d’erreurs. Dans mon devoir principal, j’avais dĂ©jĂ  retardĂ© nos progrĂšs, mais je ne m’en souciais pas et ne ressentais aucune urgence. J’ai pensĂ© Ă  la maniĂšre dont j’avais semĂ© le chaos dans chacun de mes devoirs. Si ça continuait, je nuirais Ă©videmment au travail de la maison de Dieu, alors je serais vraiment chassĂ©e ! Quand j’en ai pris conscience, j’ai eu un peu peur, alors j’ai priĂ© Dieu pour Lui dire que je voulais me repentir, changer et inverser mon attitude envers mon devoir. Plus tard, en priant et cherchant, je me suis rendu compte que j’avais toujours eu un point de vue absurde, qui Ă©tait que tant que j’accomplirais un devoir stable et durable dans la maison de Dieu et que je n’étais pas transfĂ©rĂ©e, je pourrais ĂȘtre sauvĂ©e et survivre quand l’Ɠuvre de Dieu s’achĂšverait. Je ne m’étais jamais demandĂ© si mon point de vue Ă©tait conforme Ă  la vĂ©ritĂ© ni quelles Ă©taient prĂ©cisĂ©ment les exigences de Dieu. Alors j’ai cherchĂ© les passages de la parole de Dieu qui concernaient mon Ă©tat et je les ai lus. Dieu dit Il n’y a pas de corrĂ©lation entre le devoir de l’homme et le fait qu’il soit bĂ©ni ou maudit. Le devoir est ce que l’homme doit accomplir ; c’est sa vocation qui vient du ciel et ne devrait pas dĂ©pendre de la rĂ©compense, des conditions ou des raisons. C’est alors seulement qu’il fait son devoir. Être bĂ©ni, c’est ĂȘtre perfectionnĂ© et jouir des bĂ©nĂ©dictions de Dieu aprĂšs avoir fait l’expĂ©rience du jugement. Être maudit, c’est conserver son tempĂ©rament inchangĂ© aprĂšs avoir fait l’expĂ©rience du chĂątiment et du jugement, c’est ne pas faire l’expĂ©rience d’ĂȘtre perfectionnĂ©, mais ĂȘtre puni. Mais qu’ils soient bĂ©nis ou maudits, les ĂȘtres créés doivent accomplir leur devoir, faire ce qu’ils doivent faire et faire ce qu’ils sont capables de faire. C’est le moins que puisse faire une personne, en tant qu’humain, et qui cherche Dieu » La diffĂ©rence entre le ministĂšre de Dieu incarnĂ© et le devoir de l’homme », dans La Parole apparaĂźt dans la chair. En fin de compte, que les hommes puissent ou non atteindre le salut ne dĂ©pend pas du devoir qu’ils remplissent, mais du fait qu’ils puissent ou non comprendre et acquĂ©rir la vĂ©ritĂ©, et qu’ils puissent ou non se soumettre entiĂšrement Ă  Dieu Ă  la fin, se mettre Ă  la merci de Ses orchestrations, ne pas envisager leur avenir et leur destinĂ©e, et devenir des ĂȘtres créés qualifiĂ©s. Dieu est juste et saint, et c’est lĂ  la norme qu’Il utilise pour prendre la mesure de toute l’humanitĂ©. Cette norme est immuable, et tu dois t’en souvenir. Grave cette norme dans ton esprit, et ne songe pas Ă  trouver un autre chemin pour poursuivre quelque chose d’irrĂ©el. Les exigences que Dieu a vis-Ă -vis de tous ceux qui veulent atteindre le salut et les normes qu’Il exige d’eux sont constantes Ă  jamais. Elles restent les mĂȘmes, qui que tu sois » La Parole apparaĂźt dans la chair, vol. 2, Sermons de Christ des derniers jours. Cette parole de Dieu est trĂšs claire. Les devoirs que les gens accomplissent et le fait qu’ils soient durables et stables ou non n’a rien Ă  voir avec le fait qu’ils soient bĂ©nis ou maudits. En tant qu’ĂȘtre créés, qu’on soit bĂ©nis ou maudits, on doit accomplir nos propres devoirs. C’est la valeur de la vie humaine, ainsi que le devoir et l’obligation des ĂȘtres humains. Aussi, Dieu n’a jamais dit que tant qu’on avait un devoir stable et durable et n’était pas transfĂ©rĂ©, on aurait une bonne destination et pourrait ĂȘtre sauvĂ©s. Dieu a toujours dit que les gens ne pouvaient ĂȘtre sauvĂ©s qu’en recherchant la vĂ©ritĂ©, en Ă©chappant Ă  leurs tempĂ©raments corrompus et en parvenant Ă  une vraie obĂ©issance. Les exigences et les critĂšres de Dieu n’ont jamais changĂ© et Dieu a toujours rappelĂ© Ses exigences. Ce n’était pas comme si je ne connaissais pas ces paroles ou ne les avais pas lues, mais j’étais exactement comme un non-croyant. Je n’avais jamais cru ni acceptĂ© ces paroles, et je n’avais pas compris les bonnes intentions de Dieu pour sauver les gens ni Son tempĂ©rament juste. Je ne comptais que sur mes notions et les fruits de mon imagination, je m’agrippais Ă  mes vues erronĂ©es et je m’étais donnĂ© un but risiblement naĂŻf. Je pensais que tant que je continuais Ă  accomplir un devoir dans la maison de Dieu sans ĂȘtre ajustĂ©e, je survivrais quand l’Ɠuvre de Dieu se conclurait. Quand j’y repense maintenant, ça me paraĂźt absolument ridicule ! Je ne cherchais qu’à avoir un devoir Ă  accomplir et Ă  ne pas ĂȘtre transfĂ©rĂ©e. Je ne m’étais jamais concentrĂ©e sur la recherche de la vĂ©ritĂ© dans mon devoir et je n’avais pas rĂ©flĂ©chi sur moi-mĂȘme ni rĂ©solu mes tempĂ©raments corrompus. Du coup, je n’avais pas conscience de mes intentions Ă©videntes de gagner des bĂ©nĂ©dictions ni de mon tempĂ©rament corrompu, et j’avais encore moins cherchĂ© la vĂ©ritĂ© pour rĂ©soudre ces choses. MĂȘme si mon devoir avait Ă©tĂ© durable, aurais-je pu garantir que j’aurais pu le faire indĂ©finiment ? Certaines personnes, autour de moi, faisaient leur devoir depuis des annĂ©es sans avoir Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©es, mais parce qu’elles ne cherchaient pas la vĂ©ritĂ© et ne se concentraient pas sur la rĂ©solution de leurs tempĂ©raments corrompus, elles Ă©taient toujours nĂ©gligentes dans leurs devoirs. De ce fait, elles avaient fait leurs devoirs pendant de nombreuses annĂ©es sans rĂ©sultat et avaient fini par ĂȘtre chassĂ©es. D’autres ont travaillĂ© en se basant sur des annĂ©es d’expĂ©rience de leur don, sont devenus de plus en plus arrogants, n’en ont fait qu’à leur tĂȘte, ont gravement perturbĂ© le travail de la maison de Dieu, et ont Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ©s et chassĂ©s. Mais certains frĂšres et sƓurs sont simples et honnĂȘtes, ils sont capables d’accepter n’importe quel devoir arrangĂ© pour eux, de se concentrer sur la recherche de la vĂ©ritĂ© et la rĂ©solution de leurs tempĂ©raments corrompus, et quand ils ne comprennent pas quelque chose, ils prient Dieu ou cherchent la vĂ©ritĂ©, ou ils interrogent leurs frĂšres et sƓurs et Ă©changent avec eux. Ils deviennent de plus en plus efficaces dans leurs devoirs, ils grandissent peu Ă  peu dans la vie et ils ont une foi sincĂšre en Dieu. Il y avait de tels cas autour de moi, alors pourquoi ne les voyais-je pas ? De plus, quand des gens sont transfĂ©rĂ©s dans la maison de Dieu, c’est toujours sur la base des besoins du travail de l’Église et de leurs compĂ©tences. Si quelqu’un a une foi sincĂšre en Dieu, la maison de Dieu lui arrangera un devoir qui lui convient. Ce n’est que passer d’une position Ă  une autre, pas se faire dĂ©pouiller de son droit d’éprouver l’Ɠuvre de Dieu et de rechercher la vĂ©ritĂ©, ni ĂȘtre privĂ© de sa chance d’ĂȘtre sauvĂ©. C’est tout Ă  fait appropriĂ©. Pourquoi avais-je toujours considĂ©rĂ© les transferts comme une chose nĂ©gative, mauvaise ? J’ai compris Ă  ce moment-lĂ  que ma croyance dans le fait qu’un devoir stable et durable me garantirait une bonne destination et de ne pas ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ©e et chassĂ©e Ă©tait un point de vue absurde et ridicule. Ce n’était que mes notions et les fruits de mon imagination, et c’était dangereux ! Quand je m’en suis rendu compte, mon cƓur s’est illuminĂ© et je me suis sentie trĂšs soulagĂ©e. AprĂšs ça, dans mon devoir, mon Ă©tat d’esprit Ă©tait bien meilleur. Je ne considĂ©rais plus que l’un de mes devoirs Ă©tait plus important que l’autre. À la place, je sentais que les deux Ă©taient des mandats de Dieu, qu’ils Ă©taient prĂ©cieux, et j’ai voulu faire les deux du mieux possible. Quant Ă  savoir si je continuerais mon travail Ă  temps partiel, j’ai laissĂ© Dieu en dĂ©cider et j’ai Ă©tĂ© prĂȘte Ă  me soumettre Ă  Ses arrangements. Un jour, fin novembre, le superviseur m’a dit que je n’avais plus besoin de faire le travail Ă  temps partiel parce qu’ils avaient quelqu’un d’autre. Quand j’ai appris la nouvelle, j’ai ressenti quelque chose que je ne peux pas dĂ©crire. J’étais un peu triste et rĂ©ticente Ă  renoncer. Je me suis aperçue que mon Ă©tat Ă©tait mauvais, alors je me suis empressĂ©e de prier Dieu. J’ai pensĂ© aux paroles de Dieu Les gens doivent avoir un cƓur honnĂȘte vis-Ă -vis de Dieu, et vis-Ă -vis de leur devoir. Si tel est le cas, ils craindront Dieu. Quel genre d’attitude envers Dieu ont ceux qui ont un cƓur honnĂȘte ? Au minimum, ils ont un cƓur qui craint Dieu, un cƓur qui obĂ©it Ă  Dieu en toutes choses, ils ne demandent ni bĂ©nĂ©dictions ni infortune, ils ne parlent pas de conditions, ils s’en remettent Ă  la merci de Dieu ; ces gens-lĂ  ont un cƓur honnĂȘte » Seule la recherche des principes-vĂ©ritĂ©s permet de bien accomplir son devoir », dans Sermons de Christ des derniers jours. AprĂšs avoir mĂ©ditĂ© ces paroles de Dieu encore et encore, j’ai compris que Dieu aimait les gens honnĂȘtes, qu’Il voulait que je traite mes devoirs avec un cƓur honnĂȘte, que je sois capable d’obĂ©ir simplement, que je ne me soucie pas des rĂ©sultats, que je ne fasse pas de calcul pour moi-mĂȘme et que je me soumette Ă  Ses orchestrations. Jamais personne n’a gardĂ© sa place dans la maison de Dieu grĂące Ă  des ruses et des calculs. Au contraire, seuls ceux qui sont purs, honnĂȘtes, qui font les choses de maniĂšre terre Ă  terre et qui obĂ©issent Ă  Dieu peuvent tenir bon. À ce moment-lĂ , j’ai compris que Dieu me testait par cette situation. Dieu observait mon attitude. Je ne pouvais plus me montrer sĂ©lective vis-Ă -vis de mon devoir. Je devais obĂ©ir aux arrangements de Dieu du fond du cƓur et chĂ©rir mon devoir actuel. Quelle que soit la durĂ©e de ce devoir et quels que soient les autres devoirs que l’Église arrangerait pour moi Ă  l’avenir, je devais l’accepter et obĂ©ir avec un cƓur pur et honnĂȘte et faire de mon mieux pour bien les accomplir. AprĂšs y avoir rĂ©flĂ©chi, j’ai brusquement compris que Dieu avait de bonnes intentions en arrangeant ce travail Ă  temps partiel pour moi. Dieu avait arrangĂ© cet environnement pour rĂ©vĂ©ler mon attitude incorrecte envers mon devoir et mon intention bien enracinĂ©e de gagner des bĂ©nĂ©dictions. Sans la rĂ©vĂ©lation des faits, je n’aurais jamais su que ma foi Ă©tait dĂ©naturĂ©e ni quelle attitude envers son devoir est conforme Ă  la volontĂ© de Dieu. Tout ce que Dieu m’avait donnĂ© Ă©tait un trĂ©sor prĂ©cieux. Aussi, ce changement soudain dans mon devoir m’a permis de voir un fait Dieu contrĂŽle tout et le devoir que quelqu’un accomplit est prĂ©dĂ©terminĂ© par Dieu. C’est quelque chose que les gens ne peuvent ni prĂ©voir ni changer. Mais, comme un non-croyant, j’ignorais la souverainetĂ© de Dieu et je voulais prĂ©server mes devoirs par mes propres efforts. J’étais si stupide et ignorante ! Comment pouvais-je espĂ©rer garder un devoir particulier que je voulais accomplir ? Je ne pouvais vivre une vie dĂ©tendue et libĂ©rĂ©e qu’en obĂ©issant aux arrangements de Dieu. AprĂšs quelque temps, l’Église m’a chargĂ©e d’un autre travail Ă  temps partiel, mais je ne me suis plus demandĂ© si ce devoir serait durable. À la place, j’ai juste voulu le faire bien, avec assiduitĂ©, rechercher et pratiquer la vĂ©ritĂ© dans mon devoir, rĂ©soudre mon tempĂ©rament corrompu, m’efforcer de vivre une vraie ressemblance humaine et parvenir Ă  une obĂ©issance et une loyautĂ© sincĂšres envers Dieu.
Ladevinette Qu’est ce qui rĂ©flĂ©chit sans rĂ©flĂ©chir Ă©tant rĂ©solue, je vous invite Ă  trouver dans le prochain sujet la suite du jeu : On y entre par un trou et on en sort par deux. – Esprit Boom niveau 1207. N’hĂ©sitez donc pas Ă  y jeter un coup d’Ɠil si jamais vous aurez des soucis pour trouver les mots qui vous manqueraient. A bientĂŽt Kassidi PubliĂ© le 31/05/2018 Ă  15h35 RĂ©flĂ©chir est une chose qui n’est plus tout Ă  fait innĂ©e chez l’Homme. En effet, Ă  force d’agir machinalement, d’éviter de faire preuve de rĂ©flexion et de prendre pour acquis tout ce que l’on nous dit, il est difficile de faire la part des choses et de rĂ©flĂ©chir dans l’action. Cela arrive Ă  tout le monde, l’intelligence n’a pas rĂ©ellement grand-chose Ă  voir. C’est plutĂŽt la perspicacitĂ© qui fait dĂ©faut. Photo d'illustration Voici 18 personnes qui n’ont pas rĂ©ellement fait preuve de rĂ©flexion avant de faire ce qu’elles ont fait ! 1. Ce livreur UPS n’a pas imaginĂ© une seule seconde que quelqu’un pouvait ĂȘtre dans la maison
 HĂ© UPS, votre livreur a laissĂ© le colis sous la clenche de la porte comme ça et nous a empĂȘchĂ© de sortir de chez nous. Il a fallu que nous appelions un serrurier pour sortir ! » GallowBoob 2. Quitter la route et se retrouver sur un lac gelĂ©, ça ne pardonne pas ! Rgnxsupreme 3. Hum
 Comment lui dire
 ?! IllIDANIllI 4. Elle voulait avoir l’air sexy, mais a plutĂŽt l’air stupide du coup
 Kwasbeb 5. Quand tu te sens plus puissant que le bĂ©ton fraĂźchement coulé  Zanzibear 6. La mĂ©tĂ©o prĂ©voyait des chutes de neige, mais il n’y a pas cru Twistedripper 7. Une belle preuve de rĂ©flexion collective ! 8. Se garer et retrouver sa voiture prise dans la glace
 Mrbluebob1 9. Parfois, l’on se dit que certains avertissements sur les produits sont abusĂ©s, tellement ils sont logiques
 Mais en fait
 need_my_amphetamines 10. C’était sa premiĂšre machine Ă  laver
 Bon ben, soirĂ©e mousse ce soir ! iBleeedorange 11. Vu devant Ikea
 L’optimisme n’a pas de limite NeeNee9 12. Alors comment et surtout pourquoi ?! JerryfromTomandJerry 13. Elle ne voulait pas perdre les clĂ©s de son cadenas xAIRGUITARISTx 14. C’est drĂŽle !! Gospel Un mensonge ne devient pas vĂ©ritĂ© juste parce que les gens y croient » Kirbykid12 15. Voici les biscuits dĂ©posĂ©s sur les plateaux des patients de l’hĂŽpital pour Halloween PM_me_MS_point_Codes 16. Cette mĂšre de famille et secrĂ©taire de l’entreprise familiale pensait avoir achetĂ© une carte du monde pour la salle de confĂ©rence
 mgoor91 17. Le retour de l’optimisme
 Cacanot 18. Elle n’a pas compris l’utilisation du cuiseur Ă  riz Uedn Par Desruisseaux Audrey RĂ©dactrice Depuis mon enfance, l'Ă©criture a toujours Ă©tĂ© ma passion. Durant mes heures perdues, j'Ă©crivais divers poĂšmes et petites histoires. Aujourd'hui, je rĂ©dige pour le web et c'est avec amour que je fais ça quotidiennement ! Attention Ă  cette arnaque des pirates tentent de voler vos identifiants sur Instagram 28/08/2022 Ă  19h15 Ces 15 objets qui ne sont pas ce qu'on croit 28/08/2022 Ă  14h45 Retraite avec la nouvelle rĂ©forme, voici les personnes concernĂ©es par le dĂ©part Ă  62 ans 28/08/2022 Ă  14h37 dVDNIX.
  • u177k7bg5s.pages.dev/587
  • u177k7bg5s.pages.dev/504
  • u177k7bg5s.pages.dev/495
  • u177k7bg5s.pages.dev/35
  • u177k7bg5s.pages.dev/515
  • u177k7bg5s.pages.dev/103
  • u177k7bg5s.pages.dev/541
  • u177k7bg5s.pages.dev/521
  • qu est ce qui reflechi sans reflechir