AcadémieFranck Ropers. C'est avec grand plaisir que je viendrai dans la salle de Brice a Bry-sur-Marne le jeudi 16 juin prochain. ATTENTION : BLOQUEZ VOTRE JEUDI 16 JUIN, ON FINIT LA SAISON EN BEAUTE. le dernier intervenant de la saison sera le patron AFR , Franck Ropers lui-même. les élèves AFR extérieurs au club de bry/nogent sur marne
Les sourires étaient contagieux, le 14 juillet, lors de la fête de réouverture des parcs issoiriens. Il faut dire que l’événement était attendu depuis la fermeture de l’espace vert il y a sept mois. Notamment par Christian, qui, dès 10 heures, s’est installé sur un banc en bois à l’ombre dans le parc Cassin. Je suis à la retraite et je passais tous les jours devant le chantier pour constater l’évolution des travaux. J’étais à la fois impatient et inquiet de voir ce que ça allait donner. Finalement, ce n’est pas si mal. » Le brumisateur a remporté un vrai succès Quelques mètres plus loin, Magali et Jocelyne, mère et fille, aiment se retrouver pour papoter. Ce parc nous avait beaucoup manqué. On n’avait plus cet espace pour se balader et promener le chien. Le petit Nathan, lui, a pu tester les nouveaux jeux. J’aime beaucoup celui qui fait de l’eau », avoue-t-il en montrant le brumisateur qui a été pris d’assaut par petits et grands. Nouveaux jeux, espaces de concert, vue dégagée... À quoi ressemble le nouveau square Cassin d'Issoire Puy-de-Dôme ? Éliane, sa mamie, est également satisfaite du lieu, elle qui profite souvent des instants plus frais du matin pour sortir avec ses petits-enfants. On habite dans le quartier du Pré-Rond, donc on va alterner entre l’aire de jeux qui se trouve là -bas et le parc ici. Sylvain, qui pousse sa petite Emma, 5 ans, sur une grande balançoire, apprécie aussi le contact avec le vaporisateur d’eau. C’est un élément que les gens aiment bien par cette chaleur », glisse-t-il. L’Issoirien trouve le nouveau square plus moderne » avec pas mal de nouveaux jeux pour les enfants. Surtout le papa apprécie de pouvoir venir à pied s’amuser en toute sécurité avec fille. Durant la fermeture du parc, on devait prendre la voiture pour trouver de nouveaux espaces. Là , on retrouve notre parc de centre-ville et c’est très bien. » Les familles ont découvert de nouveaux espaces Au pied des nouveaux jeux du parc Roux, de l'autre côté de la passerelle, Coralie et Amélie partagent le même banc et discutent pendant que leurs enfants s'installent dans le tobogan. La fermeture du square nous a permis de découvrir de nouveaux espaces, comme au plan d’eau du Mas ou au Bout-du-Monde », confie Coralie. Amélie ajoute J’habite Chidrac et après la fermeture, nous sommes allés découvrir ceux de Perrier et de Meilhaud. Il y a vraiment des trucs sympas là -bas Si les deux mamans sont heureuses de retrouver l’espace vert au cœur d’Issoire, elles regrettent cependant le manque d’ombre, mais aussi de jeux d’eau. Ce qui est sûr, c’est que l’été on ne viendra pas à 14 heures, car il fait trop chaud », concède Coralie. Avant/après c'était comment le square René-Cassin d'Issoire, il y a un siècle ? La température élevée de ce 14 juillet n’a pourtant pas empêché les Issoiriens de découvrir le square réaménagé. Et Brigitte, qui loge dans un apparemment du centre-ville, le promet Maintenant qu’on a retrouvé notre parc, on reviendra souvent. » Jean-Baptiste Botella
Jevois que c'est pourtant une faveur accordée avec plaisir. Mon doute repose effectivement sur l'usage où il n'y aurait pas vraiment d'idée de "faveur". Ex: Tu veux me marier? Volontiers. On fera un dîner entre amis. Tu viens? Volontiers. Est-ce que "volontiers" dans ce deux cas pourrait transmettre l'idée de "oui, je peux t'accorder cela sans problème" ou on comprend
Cet article issu de l’édition abonnées vous est exceptionnellement offert. Découvrez nos offres d’abonnement Paula. Dans le café, tous les regards se sont tournés vers nous. Mais je me sentais presque bien. Pour la première fois, je venais de livrer mon plus lourd secret Non, Paula. J’ai 32 ans et je n’ai toujours pas eu d’orgasme. » C’était il y a neuf mois. Je me disais T’as pas eu d’orgasme, tu ne connais rien à la vie. » Toute la terre en a, des orgasmes ! Pourquoi pas moi ? Vers l’âge de 20 ans, une copine m’avait décrit le truc avec une telle intensité que ses mots ont résonné dans ma tête pendant des années C’est une sensation incroyable, tu sors de ton corps, c’est comme si tu allais mourir. » A cette époque, je ne savais pas que le sexe pouvait engendrer un tel plaisir. Dans mon esprit, l’amour », c’était ce qu’il fallait faire lorsqu’on était amoureux. Point barre. Cet orgasme m’arrivera bien un jour », j’avais songé, en sentant que ce n’était pas gagné. J’ai grandi dans un milieu bourgeois très catho qui ne m’a pas donné le goût pour la chose. A la maison, tout était écrit Tu te marieras à l’église et pour la vie, avec un homme de bonne famille, et tu feras des enfants. » Le plaisir ? Mon Dieu ! On n’en parlait pas. Avec mes amis, si le sujet était abordé, c’était pour pointer du doigt la nana qui avait couché avec tel ou tel gars. Le sexe était mal vu. Et moi, je ne voulais surtout pas être mal vue. Jusqu’à 25 ans, je n’ai éprouvé aucun plaisir » Fille de parents libanais, j’étais cataloguée, dans toutes ces écoles privées, comme l’Arabe », avec tous les a priori qui vont avec. On me disait que j’étais jolie mais je n’y croyais pas. Moi, je ne m’aimais pas. Du coup, j’essayais d’être quelqu’un d’autre. Autant dire que c’était un boulot à plein-temps et qu’il n’y avait pas de place pour penser au sexe. J’ai passé ma vie de jeune fille à mentir sur mes origines et à imiter les autres. C’est donc engoncée dans mes principes avec une image de moi déplorable que j’ai entamé ma sexualité. Cela ne m’a pas empêchée de vivre de vraies histoires, mais, jusqu’à 25 ans, je n’ai éprouvé aucun plaisir en faisant l’amour. Et mes partenaires, par pudeur ou maladresse, ne se sont jamais souciés de ce que je pouvais ressentir. Je ne les blâme pas, j’occultais moi même le sujet. J’étais consciente d’avoir un blocage avec le sexe »En fait, j’appréhendais le sexe comme une petite fille, trop complexée pour grandir. Alors il fallait être dans le noir ; ma bouche ne descendait jamais en dessous de la ceinture et, lorsque celle de mon amoureux souhaitait s’aventurer dans mon antre, il devait d’abord desserrer l’étau de fer que formaient mes jambes. Je n’avais pas de désir, mais je faisais l’amour quand même, c’était mon devoir. Au fond, je crois que c’était surtout pour que mes amants m’aiment davantage. Comme si, en leur donnant mon corps, je retrouverais un peu de ma propre estime. Oui, j’étais consciente d’avoir un blocage avec le sexe. Mais je balayais le problème par un C’est pas mon truc », convaincue d’être le pire coup du siècle. Mon désir demeurait très aléatoire » Et puis j’ai rencontré Léo, un rayon de soleil. On est resté six ans ensemble. Il était simple, patient et curieux de moi, à l’opposé de mes précédents partenaires. Il passait des heures à regarder chaque partie de mon corps, comme si c’étaient des trésors. Sous ses yeux bienveillants, je reprenais confiance. J’arrivais à me trouver belle. Léo m’a appris que le sexe n’était pas une obligation, mais un plaisir qui devait se vivre à deux. Pour moi, c’était un scoop ! De nos premières nuits, je me souviens de cette délicieuse sensation de bien-être. Plus à l’aise, c’est à Léo que j’ai prodigué ma première fellation. J’avais 26 ans. Lorsqu’il a joui, une décharge de plaisir m’a parcourue. Ça m’a surprise. J’étais excitée, j’aurais voulu qu’il me prenne sur-le-champ. Ce n’est pas pour autant que j’ai réitéré l’opération souvent ; on ne chasse pas ses vieux démons si facilement. Mon désir demeurait très aléatoire et, lorsque je ne repoussais pas Léo, je le laissais toujours engager et mener la danse. Le plaisir était difficile à apprivoiser »Un jour, alors que je cherchais des photos sur son ordi, je suis tombée sur des vidéos pornos. Le choc ! Je me suis dit Oui, je ne suis pas terrible au lit, mais aide-moi plutôt que de mater ces horreurs ! » Là , il m’a tout balancé, qu’il était frustré et que ces horreurs lui donnaient des idées pour tenter de me faire jouiiiir ! Car je n’étais pas livrée avec un mode d’emploi et qu’il en avait marre de vivre avec un glaçon qui attend que l’autre fasse tout ! Cet épisode fut un déclic. J’ai troqué mes culottes de grand-mère pour de jolis dessous en dentelle Aubade. Leçon numéro 16 Oser lui faire face. » Tu vas voir ! Ma libido piquée au vif se réveillait. Léo, aux anges, prenait mon orgasme comme un défi personnel. J’osais me lâcher, je me découvrais coquine et entreprenante. Mais j’ai réalisé que le plaisir était difficile à apprivoiser, qu’il demandait patience, assiduité et écoute de son on a eu beau expérimenter le Kama-sutra dans tous les sens, je n’atteignais jamais cette sensation qui terrasse. Pas même cette nuit où nous l’avions fait dans sa Smart à deux pas des Champs-Elysées. Qu’on puisse nous surprendre m’avait pourtant rendue folle. Je m’étais même dit Ce doit être des mini-orgasmes. » Mais je voulais plus. Connaître aussi cet abandon total. Sauf que, Léo et moi, ça s’est fini. C’est là que je suis allée voir Paula, une amie à qui on peut tout dire, même qu’on est une attardée sexuelle. Rassure-moi Leila, tu t’es déjà caressée ? » Non. J’ai découvert l’emplacement de mon clitoris il y a peu, alors, me caresser... Comment veux-tu qu’un mec te donne du plaisir si toi-même tu ne sais pas ce qui te fait plaisir ? » Bonne question. C’est vrai que je n’avais jamais exploré mon sexe. Je n’y avais pas pensé, sûrement par culpabilité puritaine. Se masturber, c’est normal, la plupart des femmes le font », insista-t-elle. Mon orgasme devenait le parcours du combattant » Motivée par cette découverte, je suis donc partie en quête de moi-même et du plaisir solitaire. Paula m’avait donné quelques conseils techniques. Mais, rien,pas un frisson. Imagine-toi des scènes excitantes », m’avait-elle précisé. Alors je recommençais, les yeux fermés sur mon canapé. Un soir, j’ai pensé à ce Grec qui m’avait prise en levrette l’été dernier, un tableau qui m’obsédait. Mieux. Mais pas d’orgasme. Découragée, j’ai google-isé » Comment avoir un orgasme seule. » Je suis d’abord tombée sur un forum d’ados. J’y crois pas. A 13 ans, ils se posent déjà la question, ces morveux! Ensuite j’ai atterri sur des images olé olé de nanas en train de se faire du bien. Super, bravo les filles ! Puis j’ai cliqué sur les bonnes astuces » pommeau de douche, films lesbiens, vibrations de la machine à laver, contracter les abdos... un concombre ? J’ai vite refermé l’ordi. C’était trop. Mon orgasme devenait le parcours du combattant. Plus je chercherais à l’avoir, moins je l’aurais. C’est toujours comme ça. Alors j’ai arrêté ma puis, un beau matin, dans un demi-sommeil, j’ai ressenti un truc dingue une sensation d’extase dans tout le corps. Mmm... je voulais que ça dure toujours. Est-ce que j’aurais joui ? C’est bien ma veine, je ne prends du plaisir que dans mes rêves. Un vendredi, Léo m’a invitée à dîner, en bas de son nouveau chez-lui. On s’est raconté nos vies depuis la rupture. Puis il m’a proposé de venir visiter – en tout bien tout honneur – son appartement. On a fait l’amour toute la nuit. On transpirait, c’était fou. Je ne pensais plus à mon orgasme même si je sentais qu’il n’était pas loin. Au matin, encore excitée, je voulais recommencer. Mais Léo était parti chercher les croissants. Seule dans les draps, j’ai laissé ma main glisser entre mes jambes... et, d’un coup, ma respiration s’est accélérée, mon coeur s’est emballé, je ne contrôlais rien... waouuuh... mais oui... je l’ai eu !Vous avez envie de raconter votre histoire ? Nos journalistes peuvent recueillir votre témoignage. Écrivez-nous à cmh
Cest beau, mais qu'est-ce que c'est sombre ! On est en plein dans le Romantisme avec un grand R, sanglant et passionné, avec les troubles politiques de la France du 19ème en toile de fond, et ça donne une fresque magistrale. J'en attends la conclusion avec impatience!
Bonjour à tous, J'ai déjà parlé de cela dans un autre forum mais suite à la pluie d'insulte, je viens ici en espérant surtout pouvoir échanger avec des hommes ayant le même problème et d'après mes recherches sur internet, cela existe. C'est un sujet qui porte à sourire, mais malheureusement de mon point de vue, cela ne me fait pas rire. Beaucoup disent que c'est un problème de jalousie ; mais je pense que c'est un problème de principe. Ma femme, ma moitié, jeune et belle, est tombée enceinte juste après notre mariage. En clair, cela signifie que je suis amoureux d'elle comme au premier jour, que je me sens comme un ado transit à côté de ma bien aimée. Il faut savoir également que ma femme est très pudique, même avec moi, et que j'ai toujours respecté, avec amour et patience, cette pudeur. Elle fréquentais alors une gynécologue femme. Nous habitons dans une petite ville à l'étranger. Mais cette gynécologue a semble-t-il cessé d'exercer et il n'y a pas eu d'autre choix que d'aller voir un gynécologue obstétricien homme pour suivre la grossesse. Quand j'ai appris cette nouvelle, j'ai senti un malaise, mais je n'ai rien fait pour empêcher quoique ce soit je ne suis pas bête non plus !. Le jour de la première consultation, je l'ai accompagnée jusqu'à la salle d'attente, mais j'ai dû la laisser partir toute seule dans la salle de consultation, sans même voir le gynécologue en question !... Il paraît qu'ici, ça se fait comme ça ! Les mois ont passés sans que je puisse voir ce gynécologue... Je l'ai finalement vu pour la première fois lors de la première échographie, mais loin de se présenter à moi, c'est à peine s'il m'a considéré. Il m'a juste dit que je pouvais prendre une chaise... Aussi, au lieu d'avoir affaire à une personne sérieuse et distante, j'ai vu un jeune homme souriant, parlant à ma femme comme s'il était son ami intime, n'ayant pas vraiment l'air de mettre beaucoup de distance entre eux, bien au contraire. Je n'ai pu depuis ce jour là m'empêcher de me sentir, quelque part, mis à l'écart concernant la grossesse de ma femme. Comme si je n'étais que le géniteur, celui qui "met la graine", alors qu'ensuite un autre homme profiterait de partager les joies de la grossesse avec elle, et d'en tirer toute la gloire, me laissant les restes. Ce que j'aurai voulu, c'est être là à chaque seconde, depuis le premier jour, et pas mis à l'écart. Aussi, le fait que ce soit un homme qui touche, sans avoir jamais rien fait pour la "mériter", ma femme si pudique que moi-même je n'ose toucher sans mettre toutes les barrières qui la mettent à l'aise exemple lumière éteinte, cela me pose aussi un problème. Concernant ces deux points, je me sens rabaissé. Rabaissé à l'état de géniteur. Devant jouer le rôle d'un mari "parfait" qui doit mettre ses sentiments au placard quand on lui demande. Or, des sentiments, j'en ai. Et la raison est bien peu maîtresse du cœur... Voilà . Pas question pour l'instant de changer de gynécologue. Je dois donc vivre avec ça. C'est pourquoi j'en parle ici pour crever l'abcès. Qu'en pensez-vous ?
Étudianten BTS communication et ressortissant d'un baccalauréat littéraire et étant bonne élève c'est avec plaisir que je viendrais en soutien pour les devoirs de vos enfants. Menton; chez lui chez vous; À propos du cours. Mon maître mot : l'adaptation ! Je m'adapte aux élèves face à moi, je prends en compte leur façon d'avancer, de faire et d'apprendre. Chacun sa manière d
Hello les kheys Voilà l'histoire qui, je précise avant que ça crie au fake, s'est déroulée il y a plusieurs mois Je suis papa d'une fille de 7 ans scolarisée dans une école primaire de la ville enfin brefDonc le lundi soir, je viens systématiquement la chercher aux alentours de 5h après fin des classes, hors ce soir là mon abruti de Patron m'a retenu plus que d'habitude à cause d'un travail qui a pris du retard enfin bref J'ai donc appelé l'école pour leur dire que que je viendrai la chercher plus tard pour ceux qui demandent pour la mère, elle était à ce moment en congés et en avait donc profité pour aller voir sa famille qu'elle voit peuDonc la je termine le travail, je me rends à l'école où ils m'apprenent qu'elle a été confiée à un autre parent d'élève, qui n'est pas un inconnu, car ils le connaissent, ma fille et mon fils s'invitent régulièrement, il participe à tous les projets scolaires, et moi même je lui fais confiance et il est souvent arrivé que je lui confie ma fille au moments où je pouvais pas il figure parmi les personnes que j'ai autorisé à venir la chercher sur le fichier de l'écoleIl n'empêche que ça me mets hors de moi quand même car je ne lui ai rien demandé Donc je me rends chez lui et la ça part en couilles Je lui dis qu'il ferait mieux de s'occuper de son cul, qu'il n'a pas à la prendre sans mon autorisation, ce à quoi il rétorque qu'il faut que je me détende, qu'au moins elle a pu s'amuser un peu et que c'est pas la mort Il s'en est fallu moins une pour que je lui foute une gifle, résultat je l'ai barré des personnes autorisées à venir chercher ma fille et il m'a taillé dans mon dos à tous les autres parents Vous trouvez que j'ai été trop sévère ?
Lacteur-humoriste, qui est en direct du Grand Rex sur C8, file le parfait amour avec une jolie danseuse, qui lui a donné un fils : Oscar. Arnaud Ducret n'est
Rester ami avec un ex Selon des psychologues, rester ami avec un ex est la pire des idées Une psychologue pense ce que vous saviez peut-être déjà , que rester ami avec votre ex peut être une très mauvaise idée. Bien sûr, il est difficile de mettre fin à une relation et vous voulez toujours garder les gens importants dans votre vie. Est-ce vraiment une si mauvaise idée ? Eh bien, selon Nina Atwood, thérapeute et auteure de Temptations of the Single Girl, ce n’est pas mauvais, mais ça peut être difficile et peut vous laisser dans une situation difficile émotionnellement. Vouloir être ami avec votre ex vous empêche de ressentir toute la profondeur de la perte, d’amortir le choc de la rupture », déclare Atwood. Vous pensez peut-être que cette personne vous connaît mieux que personne. Même si vous n’êtes pas attiré sexuellement, vous pouvez toujours avoir envie de l’intimité émotionnelle que vous avez partagée. » Mais il est peut être plus difficile de tourner la page et d’aller au-delà des sentiments ressentis. Crédits images Pixabay La dépendance n’est pas rompue et vous vous retrouvez avec le même préjudice moral, encore et encore. Selon Julia Breines, psychologue, rester ami avec un ancien partenaire amoureux entraîne souvent plus de préjudice moral, de jalousie et d’anxiété au quotidien. Bien sûr, il n’y a pas de mode d’emploi pour les émotions humaines, mais selon Lindsay Kriger, experte en relations, il est presque impossible de rester amis. Elle estime qu’il est préférable de supprimer leur numéro, de les bloquer sur Facebook, et d’avancer. Qu’en pensez-vous ? Est-il bon de rester ami avec un ancien partenaire amoureux ? Sources rester ami avec un ex en vert dans l’article
Cest avec plaisir que je viendrai vous aider ! Montigny-lès-Cormeilles; chez lui chez vous; Par webcam; A propos du cours. Réussir en mathématiques à l'école est très simple. Pendant le cours nous feront des exercices que nous corrigeront ensemble, autant qu'il faudra. Peu importe votre niveau avec un travail régulier vous pouvez atteindre une excellente moyenne. C'est une
La conjugaison ► Les modes ► La concordance des temps ► vous êtes iciLa concordance des tempsEmploi du subjonctif et de l’indicatifLe véritable génie du subjonctif est d’indiquer une action ou une chose comme terme d’une volonté.BescherelleLe subjonctif est un mode personnel du verbe, considéré d’abord comme propre à exprimer une relation de dépendance, et de nos jours, comme mode de la tension psychologique volonté, sentiment et de la subjectivité doute, incertitude.L’indicatif est un système des formes verbales dont l’emploi convient pour représenter un procès comme simplement énoncé […] sans aucune interprétation » Marouzeau. Le mode indicatif permet d’indiquer une action dans sa réalité.● On emploie le subjonctif après les verbes qui expriment la volonté, l’obligation, le devoir ou la convenance, et après ceux qui expriment le doute, l’ignorance ou, la crainte. Le choix du mode à employer dans la proposition subordonnée dépend donc de l’idée exprimée par le verbe de la proposition principale. → La concordance des temps.● Le verbe de la proposition subordonnée se met au subjonctif lorsque celui dont il dépend exprime une volonté pour ou contre. Exemple Mon père veut que nous nous levions de bonne heure ; il exige que nous fassions notre lit en nous levant ; il défend que j’aille jouer sur le bord de la rivière ; il craint que je n’y périsse.💡 Infos 💡 ↪ Les principaux verbes qui expriment une volonté pour sont vouloir, exiger, commander, ordonner, prescrire, mander, demander, entendre, prétendre, désirer, aimer, approuver, permettre, souffrir, etc. Mais ces verbes expriment des degrés différents dans la volonté, les premiers exprimant une volonté plus forte que les derniers. Exemple Mon père exige que je sache mes leçons avant de jouer ; il permet que je prenne des leçons de violon.↪ Les principaux verbes qui expriment une volonté contre sont défendre, empêcher, interdire, s’opposer, désapprouver, blâmer, regretter, craindre, trembler, appréhender, etc. Ils expriment, comme les précédents,des degrés différents de volonté, les premiers exprimant une volonté plus forte, et les derniers exprimant seulement la crainte. Exemple Ma mère défend que je sorte la nuit ; elle regrette que j’aie perdu mon temps.↪ La volonté pour ou contre, au lieu d’être exprimée par un seul verbe, peut l’être quelquefois par différentes locutions, comme trouver bon, convenable, mauvais, ridicule, etc., être d’avis, d’opinion, voir avec plaisir, avec satisfaction, avec peine, avec regret, etc., avoir peur, prendre garde, etc. Exemple Mes parents trouvent bon que je lise chaque soir. — Ils voient avec peine que je commette toujours les mêmes fautes.● On met à l’indicatif le verbe de la proposition subordonnée amené par la conjonction que, lorsque le verbe dont elle dépend marque l’affirmation ou la certitude. Exemple Il dit que la chose est ainsi. — Je crois qu’il est malade. — Je sais que l’envie fait le tourment de l’homme.● De même qu’il y a des degrés dans la volonté, de même il y en a dans la certitude, comme on le voit par les verbes suivants affirmer, croire, savoir, penser, présumer, espérer, s’imaginer, soupçonner, etc., ou par ces locutions être certain, sûr, persuadé, convaincu, etc. Mais après tous ces verbes et toutes ces locutions, le verbe qui suit se met toujours à l’indicatif. Exemple Je pense que le temps se mettra au beau. — J’espère que mon frère viendra au bout de son entreprise.● On met au subjonctif le verbe de la proposition subordonnée lorsque le verbe de la proposition principale marque la négation, l’ignorance ou le doute. Exemples Je nie que la chose soit arrivée ainsi. — J’ignorais que l’envie fît le tourment de l’homme. — Je doute que vous réussissiez.💡 Info 💡 ↪ Les principaux verbes ou locutions particulières employés pour nier ou simplement pour marquer l’incertitude ou l’ignorance où l’on est, sont nier, contester, ignorer, douter, hésiter à croire, etc., qui expriment des degrés divers dans le doute. Exemples Je nie qu’on puisse mentir pour s’excuser. — J’hésite à croire qu’il obtienne cet emploi.● On emploie généralement le subjonctif lorsque le verbe dont dépend la proposition subordonnée est accompagné d’une négation. Exemples Je ne crois pas que je puisse rendre le mal pour le mal. — Je ne pense pas qu’il soit malade.● Les verbes employés pour nier ou pour exprimer l’ignorance ou le doute, peuvent servir à marquer l’affirmation ou la croyance lorsqu’on les emploie avec la négation. Dans ce cas, le verbe de la proposition subordonnée doit toujours être au subjonctif. Exemples Je ne nie pas que vous ayez eu raison. — Je ne doute pas que vous n’arriviez à votre but.● De même les verbes qui expriment une volonté favorable à une chose peuvent marquer une volonté contraire, et ceux qui expriment une volonté contraire peuvent marquer une volonté favorable ou un consentement, si on les emploie avec la négation. Dans ce cas, les uns et les autres exigent le subjonctif. Exemples Mon père ne veut pas que je fasse des dettes. — Le maître ne désapprouve pas que les enfants viennent en classe avant l’heure.● On emploie cependant l’indicatif après un verbe accompagné d’une négation ou exprimant l’ignorance ou le doute, lorsque l’incertitude porte non pas sur un fait qui a eu lieu réellement ou qui aura lieu nécessairement, mais sur une circonstance de temps, de lieu ou de personne. Dans ce cas, la proposition subordonnée n’est pas amenée par la conjonction que mais par un pronom relatif ou par un adverbe. Exemples Je ne sais qui a fait cela. — J’ignore quand cela se fera. — On ne sait pas où l’accident est arrivé.● On emploie le subjonctif après les verbes qui servent habituellement à affirmer ou à marquer la certitude, lorsqu’ils sont employés à la forme interrogative. Exemples Croyez-vous qu’il vienne ? — Pensez-vous qu’il puisse venir ?● On emploie le subjonctif après les locutions impersonnelles quand elles sont employées avec négation, et après celles qui expriment le doute, l’obligation, la convenance ou l’inconvenance, telles que il faut, il importe, il convient, il suffit, il est juste, beau, bien, bon, convenable, nécessaire, urgent, etc. ; il est mal, inconvenant, honteux, déraisonnable, étonnant, factieux, ridicule, etc. ; il est douteux, incertain, possible, impossible, difficile, etc. Exemples Il n’est pas vrai que la voiture ait versé. — Il importe que l’homme apprenne de bonne heure à se conduire. — Il suffit que je vous dise quelques exemples. — Il est honteux que vous manquiez si souvent à vos devoirs. — Il est douteux que le temps se mette au beau aujourd’hui.● On met au contraire l’indicatif après les locutions impersonnelles qui marquent un degré quelconque de certitude, comme il paraît, il est vrai, certain, sûr, avéré, probable, indubitable, etc. Exemples Il paraît que vous vous êtes levé tard ce matin. — Il est probable que la récolte sera belle cette année.● La locution il semble exige après elle l’indicatif si elle est accompagnée d’un complément d’objet indirect COI de personne, et le subjonctif dans le cas contraire. Exemples Il me semble que je vois un cavalier sur ta route. — Il semble que vous preniez plaisir à contrarier vos parents.● Le verbe de la proposition subordonnée se met au subjonctif après un certain nombre de conjonctions ou de locutions conjonctives, dont les principales sont afin que, pour que, de peur que , de crainte que, quoique, bien que, pourvu que, en cas que, pour peu que, supposé que, soit que, à moins que, sans que, avant que, jusqu’à ce que, où que, loin que, etc. Exemples Je prie pour mes parents afin que Dieu répande ses bénédictions sur eux. — Dieu nous comble de ses bienfaits quoique nous loffensions souvent. — Je me tiendrai prêt au cas que vous veniez. — Personne ne me croira à moins que je ne dise toujours la vérité. — Je rentrerai avant que mon frère ne sorte.● Les locutions de manière que, de façon que, de sorte que, etc., veulent le subjonctif, lorsqu’il est question d’une chose incertaine ou douteuse, et lorsque le verbe de la proposition principale est au présent ou au futur. Exemple Je me conduirai de manière que mes parents soient contents de moi. Elles veulent au contraire l’indicatif lorsque le verbe de la proposition principale est au passé et qu’il n’y a pas d’incertitude sur la chose dont il est question. Exemple Je me suis conduit de façon que mes parents ont été contents de moi.● Après la conjonction que employée pour éviter la répétition de certaines conjonctions, telles que si, lorsque, comme, quand, le verbe de la proposition subordonnée se met au mode demandé par la conjonction remplacée parque. Exemple Vous irez jouer lorsque vous aurez fini votre travail, et que vous saurez vos leçons. — Vous irez jouer pourvu que vous ayez fini votre travail, et que vous sachiez votre leçon. Cependant la conjonction si, après laquelle on met l’indicatif, exige toujours le subjonctif lorsqu’elle est remplacée parque. Exemple Si vous étiez sage et que vous fissiez des progrès, je vous donnerais une récompense.● On emploie toujours le subjonctif après les locutions quoi que, quelque… que, quel que. Exemple Quoi que je fasse, je ne m’acquitterai jamais envers mes parents. — Quels que soient leurs ordres, je les exécute sans murmures. — Quelque grands que soient mes maux, j’aime mieux les souffrir que de les avoir mérités.● La locution tout… que, qui a beaucoup d’analogie avec quelque… que, demande au contraire l’indicatif. Exemple Tout grands que sont mes maux, j’aime mieux les souffrir que les avoir mérités.● On emploie le subjonctif après les pronoms relatifs ou l’adverbe où, lorsqu’ils sont précédés des mots le plus, le moins, le meilleur, le moindre, le pire, le plus grand, le premier, le dernier, le seul, le principal, l’unique, etc., qui expriment tous le superlatif ou le plus haut degré d’une chose. Exemple Les nouvelles sont le plus beau présent que Maupassant nous ait pu faire.● On emploie le subjonctif après les pronoms relatifs, lorsqu’ils sont précédés d’un verbe ou d’une locution exprimant la négation ou au moins une très petite quantité, comme les mots nul, aucun, personne, rien, peu, guère. Exemples Je ne connais aucun homme vicieux de qui on fasse ouvertement l’éloge. — On trouve peu d’hommes qui tachent supporter l’adversité.● On met aussi au subjonctif le verbe de la proposition subordonnée après des pronoms relatifs qui ne sont précédés d’aucune expression marquant le superlatif, la négation ou une petite quantité, lorsqu’on veut indiquer une chose douteuse. Exemples Montrez-moi le chemin qui conduit au bonheur. — J’attends quelqu’un qui me rendra ce service. — Montrez-moi un chemin qui conduise au bonheur. — Je cherche quelqu’un qui me rende ce service. Dans les premiers exemples, on sait qu’il existe un chemin qui conduit au bonheur, c’est celui de la vertu. On connaît une personne qui rendra service, et c’est cette personne qu’on attend. Le verbe de la proposition subordonnée doit donc être à l’indicatif. Dans les derniers exemples, on ignore s’il existe un chemin qui puisse conduire au bonheur dans ce monde, et quelqu’un qui puisse rendre le service désiré. Il faut donc employer le subjonctif qui est le mode du doute.● L’usage veut que les verbes mis au subjonctif dans la proposition subordonnée soient précédés de la négation ne après les verbes craindre, avoir peur, appréhender, trembler, etc., quand ces verbes forment une proposition affirmative ; avec les verbes empêcher, prendre garde, garder, se garder ; après les conjonctions à moins que, de crainte que, de peur que .Exemples Je crains que vous ne vous égariez. — Empêchez que ce bruit ne se propage. — Il s’est permis de mentir de peur que son ami ne fût puni.✅ Testez vos connaissances ! ✅ Exercice Emploi du subjonctif ou de l’indicatif ?La conjugaison Généralités sur le verbe Les types de verbes Les verbes impersonnels Les verbes défectifs Les verbes auxiliaires Les verbes intransitifs Liste des verbes intransitifs Les verbes de parole L’infinitif L’infinitif complément d’un verbe La voix active et la voix passive Les tournures pronominale et impersonnelle Les temps et les valeurs des temps Les difficultés du présent de l’indicatif Les modes La concordance des temps Subjonctif ou indicatif ? Articles connexes Liste des leçons de conjugaison. Exercices et questionnaires Emploi du subjonctif ou de l’indicatif ? Le présent du subjonctif. L’accord du participe passé employé avec être ou avoir. Connaissez-vous la bonne conjugaison des verbes défectifs ? Participe présent ou adjectif verbal ? Testez vos connaissances en langue française. Rubriques à consulter Leçons de grammaire. – Leçons de vocabulaire. – Leçons d’orthographe. – Leçons d’expression de livresRecherche sur le site
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c est avec plaisir que je viendrai