TrĂšspeu d’informations sont disponibles sur Elisabeth Levy et son compagnon. La jeune femme de 58 ans s’est rarement confiĂ©e par rapport Ă  celui qui partage sa vie. Pourtant, elle pourrait faire craquer n’importe quel homme avec sa beautĂ©. Il est bien possible qu’Elisabeth Levy et son mari aient choisi de vivre une histoire d’amour secrĂšte. FIGAROVOX/GRAND ENTRETIEN - Si les actes anti-chrĂ©tiens reprĂ©sentent l’écrasante majoritĂ© des atteintes aux lieux de culte commises en France, on en parle trop peu au goĂ»t d’Élisabeth LĂ©vy. La journaliste a dĂ©cidĂ© de remĂ©dier Ă  ce silence mĂ©diatique et traite le sujet en Une du dernier numĂ©ro de LĂ©vy est journaliste et directrice de la rĂ©daction de La Une de Causeur est consacrĂ©e ce mois-ci aux actes antichrĂ©tiens avec ce titre Ces victimes dont on ne parle pas». Ne craignez-vous pas de nourrir et l’idĂ©ologie, et la concurrence victimaire?Élisabeth C’est un risque, voilĂ  pourquoi il faut lire Causeur, au-delĂ  de notre Une
 Car nous appelons au contraire les catholiques Ă  ne pas tomber dans le piĂšge victimaire . Pour autant, on peut comprendre que certains cathos en aient marre d’ĂȘtre les seuls exclus de la distribution de compassion publique offerte, non seulement Ă  chaque groupe la rĂ©clamant au nom des avanies passĂ©es et prĂ©sentes qu’il a subies, mais aussi Ă  un boxeur de flics. Alors disons que cette Une est notre cagnotte pour les cathos. Les mĂ©dias ont abondamment traitĂ© les turpitudes de certains prĂȘtres et le silence de l’Église Ă  leur sujet - non, parfois, sans une pointe de joie mauvaise peut-ĂȘtre inconsciente. On a exprimĂ© pour la tristesse des catholiques trahis par leurs guides une sollicitude bruyante. Tout cela est lĂ©gitime. Reste que, si nombre de ceux qui s’indignaient hier que l’on parle des racines chrĂ©tiennes de la France cĂąlinent aujourd’hui le catho malheureux, c’est peut-ĂȘtre parce que son malheur a Ă©tĂ© causĂ© par d’autres catholiques - et non des moindres. On s’entre-accuse souvent, dans le dĂ©bat public, de prĂ©fĂ©rer certaines victimes Ă  d’autres, mais peut-ĂȘtre choisit-on moins ses victimes que ses coupables. Il nous a donc semblĂ© juste d’attirer l’attention sur un plus petit malheur, un malheur Ă  bas bruit qui fait peu de victimes, mais dont l’ampleur nouvelle, et plus encore l’indiffĂ©rence qu’il suscite, disent peut-ĂȘtre quelque chose de nous. Les mĂ©dias ont abondamment traitĂ© les turpitudes de certains prĂȘtres et le silence de l’Église Ă  leur sujet – non, parfois, sans une pointe de joie mauvaise peut-ĂȘtre inconsciente. Sur les quelque mille atteintes aux lieux de culte de gravitĂ© variable recensĂ©es par le ministĂšre de l’IntĂ©rieur, les Ă©glises et cimetiĂšres chrĂ©tiens reprĂ©sentent 75 Ă  90 % de l’ensemble. Or, quand le prĂ©sident se rend promptement sur des tombes juives profanĂ©es, et, dans un autre registre, quand tous les JT rendent compte de l’attaque d’un temple franc-maçon par des gilets jaunes», seule la presse de droite» Ă©voque les profanations autrement que par des brĂšves, comme s’il Ă©tait acquis que les cathos ne sont plus qu’une sous-tribu de la famille rĂ©ac, dont on chante en mĂȘme temps la disparition prochaine sous les coups bienveillants du progressisme et la force menaçante et montante sous les traits du lire aussiÀ quoi bon dĂ©fendre les chrĂ©tiens? Ça ne rapporte rien!»Les catholiques restent souvent discrets, pour se montrer dignes face Ă  ces attaques. Cela change un peu des plaintifs... CauseurCertes, le chƓur victimaire est dĂ©jĂ  fort bien pourvu - du reste, les cathos peuvent individuellement y participer Ă  d’autres titres. Et l’initiative de dĂ©putĂ©s qui veulent crĂ©er un dĂ©lit de cathophobie» Ă©tait pour le moins dĂ©solante. Nous n’avons nullement besoin que les cathophobes» viennent s’ajouter aux autres malfaisants dans la cage aux phobes» cauchemardĂ©e par Philippe Muray et faite par les bons soins de la gauche terranoviste. En effet, au moment oĂč les cathos deviennent concrĂštement minoritaires, comme le montre JĂ©rĂŽme Fourquet, la tentation est grande pour eux de se penser comme une minoritĂ© et de rĂ©clamer les Ă©gards affĂ©rents Ă  ce statut. Mais s’ils sont, comme l’a dit Manuel Valls aprĂšs l’assassinat du pĂšre Hamel, l’ñme de la France», ils ne peuvent pas ĂȘtre en mĂȘme temps une minoritĂ© parmi d’autres. Le catholicisme n’est pas seulement une religion, il est notre terreau culturel - il s’agit prĂ©cisĂ©ment de savoir s’il l’est toujours. C’est d’ailleurs en raison de son statut d’anciennetĂ© et de majoritĂ© que les tribunaux l’ont longtemps priĂ© d’avoir le cuir plus Ă©pais que les autres face Ă  la caricature. Reste Ă  savoir si, faute de remplir les Ă©glises, il doit aujourd’hui ĂȘtre dĂ©pouillĂ© des derniers bĂ©nĂ©fices symboliques de ce statut. Bref, devons-nous, parce que nous avons cessĂ© d’ĂȘtre catholiques, oublier que nous l’avons Ă©tĂ©?On dirait que vous regrettez l’emprise de l’Église sur la sociĂ©tĂ©... Nous avons besoin d’une culture de rĂ©fĂ©rence, d’un rĂ©cit national qui accommode nos gĂšnes grĂ©co-latins, catholiques et rĂ©volutionnaires. Bien sĂ»r, et aussi le temps oĂč les honnĂȘtes femmes se mariaient! Non, je ne regrette nullement le temps oĂč nous vivions sous l’empire des diktats divins et je prĂ©fĂšrerais que toutes les sociĂ©tĂ©s vivent Ă  leur tour la sortie de la religion. Le rĂšgne de l’Église sur les esprits est rĂ©volu et on ne s’en plaindra pas. Comme religion, cela fait longtemps que le catholicisme est devenu une affaire privĂ©e, autrement dit qu’il s’est adaptĂ© Ă  la laĂŻcitĂ©, et que les cathos vivent-ensemble avec les bouffeurs de curĂ©. Aujourd’hui, alors que seulement une moitiĂ© des Français se dĂ©clare catholique et que 5 % de cette moitiĂ© soit 2,5 % des Français se rend Ă  la messe au moins une fois par mois, notre ennemi, ce n’est plus vraiment le clĂ©ricalisme - enfin pas celui-lĂ  -, mais l’oubli de ce que nous sommes, l’effacement des traces et parfois des pistes lĂ©guĂ©es par les siĂšcles passĂ©s. En somme, peut-ĂȘtre sommes-nous en train de cesser d’ĂȘtre des catholiques-zombies», le nom dĂ©sobligeant qu’Emmanuel Todd a donnĂ© Ă  ce que j’appellerais les cathos culturels. Je ne suis pas sĂ»re qu’il faille s’en rĂ©jouir. Nous avons besoin d’une culture de rĂ©fĂ©rence, d’un rĂ©cit national qui accommode nos gĂšnes grĂ©co-latins, judĂ©o-catholiques et rĂ©volutionnaires. Si nous y renonçons, ne doutons pas que des rĂ©cits concurrents, et fallacieux, comme celui qui nous explique que l’islam est une religion aussi française que le catholicisme, occuperont le terrain a-t-il pas des raisons objectives au fait que la profanation des Ă©glises suscite moins d’indignation que celle des cimetiĂšres juifs, des synagogues ou mĂȘme des mosquĂ©es? D’aprĂšs le ministĂšre de l’IntĂ©rieur, cela est souvent l’Ɠuvre de marginaux ou de petits dĂ©linquants il n’y a pas dans ces actes la mĂȘme charge idĂ©ologique...Évidemment, ce n’est pas la mĂȘme chose et personne ne prĂ©tend le contraire, Ă  commencer par l’Église qui fait profil bas. D’abord, dans la plupart des cas, les actes anti-chrĂ©tiens ne visent pas des personnes mais des bĂątiments, ensuite ils traduisent plus souvent l’ennui ou le dĂ©sƓuvrement que la haine. On peut profaner une Ă©glise sans Ă©prouver de sentiment nĂ©gatif pour les catholiques. On comprend aisĂ©ment qu’il en va diffĂ©remment d’attaques contre des synagogues ou des mosquĂ©es. L’église fait partie du paysage, ce n’est pas comme piĂšce rapportĂ©e» qu’elle est agressĂ©e, mais parce qu’elle est, comme le dit le proverbe, au milieu du village. Toutefois, depuis les attentats avortĂ©s contre des Ă©glises et l’assassinat du pĂšre Hamel, nous savons que, si les chrĂ©tiens ne sont pas ici en premiĂšre ligne du choc des civilisations dont ils sont les otages au Moyen Orient, ils sont eux aussi dans la ligne de mire des djihadistes qui appellent volontiers Ă  tuer des juifs et des infidĂšles. Alors certes, aucun Merah n’est entrĂ© dans une Ă©cole catholique et c’est tant mieux. Il ne s’agit pas de savoir qui sont les chouchous du malheur», pour reprendre une expression d’Alain Finkielkraut, mais de s’interroger sur nos compassions sĂ©lectives. Pourquoi le spectacle de la cathĂ©drale de Lavaur profanĂ©e par des gamins nous Ă©meut-il infiniment moins que celui de la porte d’un ministĂšre saccagĂ©?Eh bien oui, pourquoi? Le seul sacrĂ© que connaĂźt le progressisme, c’est celui des droits individuels. Pour le philosophe Olivier Rey et le thĂ©ologien Jean-François Colosimo, l’absence de toute motivation idĂ©ologique des profanateurs d’églises et notre indiffĂ©rence collective Ă  leurs forfaits rĂ©vĂšlent surtout que le sacrĂ© a dĂ©sertĂ© nos existences, ne serait-ce que comme adversaire Ă  abattre. Rey estime que l’Église y a contribuĂ© en affadissant son discours. Il est vrai que, quand j’étais ado, l’aumĂŽnerie que frĂ©quentaient mes copains Ă©tait un endroit assez attirant oĂč on draguait et jouait de la guitare. Pour ma part, j’ai du mal Ă  adhĂ©rer Ă  la dĂ©ploration de notre vide spirituel, sans doute parce que j’ai une faiblesse coupable pour la sociĂ©tĂ© libĂ©rale. On peut en mĂȘme temps se rĂ©jouir que l’humanitĂ© soit confrontĂ©e Ă  cette vertigineuse libertĂ© et regretter que nous ayons renoncĂ© Ă  tout sacrĂ© de substitution, sans lequel nous ne savons plus vraiment comment faire peuple. On pourrait penser que la RĂ©publique est dĂ©sormais pour nous plus sacrĂ©e que l’Église, mais c’est de moins en moins vrai, comme le dĂ©montre mĂ©lancoliquement RĂ©gis Debray. Le seul sacrĂ© que connaĂźt le progressisme, c’est celui des droits reprochez aux mĂ©dias de se focaliser davantage sur les affaires de prĂȘtres pĂ©dophiles. Mais lĂ  aussi, cela touche des personnes et non des pierres. Vous ne pouvez pas tout mettre sur le mĂȘme plan!Et nous ne le faisons pas. Je me permets d’ironiser lĂ©gĂšrement sur les grandes marques d’affection qui entourent aujourd’hui les catholiques dĂ©boussolĂ©s par ces affaires. On s’inquiĂšte jusque sur le plateau de Yann BarthĂšs du malaise de l’Église et de la crise des vocations qui ne va pas s’arranger avec tout ça. Il y a six ans, quand les mĂȘmes paroissiens dĂ©filaient contre le mariage pour tous», un tombereau d’injures et de sarcasmes se dĂ©versait sur eux. Peut-ĂȘtre espĂšre-t-on secrĂštement, dans les curies mĂ©diatiques, que ces dĂ©boires vont en dĂ©ciller quelques-uns et les convertir Ă  la vraie religion - celle du partie des catholiques refuse dĂ©sormais de tendre l’autre joue et s’indigne d’un deux-poids, deux-mesures. Cela signifie-t-il qu’en dĂ©pit de vos appels, les catholiques sont en train de devenir une minoritĂ© comme les autres?C’est une tendance, mais je n’ai pas le sentiment qu’elle soit majoritaire, mĂȘme si certains dĂ©putĂ©s surfent dessus dans un esprit vaguement clientĂ©liste. C’est un piĂšge. De surcroĂźt, les flopĂ©es de dĂ©clarations, de mobilisations et de nous ne cĂ©derons pas» n’ont pas fait reculer l’antisĂ©mitisme d’un iota. En rĂ©alitĂ©, le mimĂ©tisme victimaire ne ferait qu’accĂ©lĂ©rer le dĂ©classement du catholicisme, de substrat culturel majoritaire en religion minoritaire. Les cathos auraient tort de troquer les vestiges de leur droit d’aĂźnesse contre des nounours, des bougies et des grands discours.

Ceque nous avons Ă©crit plus haut Ă  propos d’Yves LĂ©vy, le mari d’AgnĂšs Buzyn, a Ă©tĂ© repris sur les rĂ©seaux sociaux, mais en omettant quelques prĂ©cisions essentielles : en qualitĂ© de patron de l’INSERM (qui n’est pas un laboratoire privĂ©) il avait accompagnĂ© le Premier ministre Ă  l’inauguration du laboratoire P4 de Wuhan. Sauf qu’il s’agissait de Bernard

Sur le plateau de CNEWS, la chroniqueuse Elisabeth LĂ©vy s’est scandalisĂ©e de l’acharnement mĂ©diatique des affaires de pĂ©dophilies et d’inceste qui secouent la France. Un dĂ©bat houleux Je vois la diffĂ©rence de traitement qu’il y a entre un journaliste de gauche, Olivier Duhamel – visiblement il n’y a pas un dĂ©ferlement – et un Ă©crivain de droite, Gabriel Matzneff, qui Ă©tait accusĂ© de fait moins grave », s’offusque Elisabeth LĂ©vy. Ce qui me frappe, c’est qu’on en parle comme si c’était avĂ©rĂ© ! Un livre n’est pas une preuve ! Je n’ai pas de raison de mettre en doute la parole de Camille Kouchner, mais je n’ai pas de raison non plus de la prendre pour argent comptant » poursuit la chroniqueuse. MĂȘme si on a la certitude qu’un homme ait fautĂ©, ce qui est possible. Ca ne fait pas de lui un monstre et quelqu’un qui doit ĂȘtre retranchĂ© de l’humanitĂ© ». Laurent Jacobelli, porte-parole du Rassemblement National, intervient Excusez-moi, je ne vais pas mettre les pieds dans le plat, mais on a un homme qui fait de la politique – chroniqueur sur d’autres chaĂźnes – qui a Ă©crit qu’il Ă©tait excitĂ© quand des petites filles s’approchait de sa braguette » ! Et qui continue d’ĂȘtre invitĂ© sur les plateaux. » Elisabeth Levy prend la dĂ©fense de Daniel Cohn-Bendit On ne peut pas comparer ! » Scandale Olivier Duhamel Dans un livre publiĂ© jeudi et dont des extraits ont Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ©s lundi par Le Monde et L’Obs, la juriste Camille Kouchner accuse son beau-pĂšre d’avoir abusĂ© de son frĂšre jumeau quand ils Ă©taient adolescents. La fille de Bernard Kouchner, y accuse trĂšs explicitement celui qui fut son beau-pĂšre, Olivier Duhamel, d’avoir abusĂ© sexuellement son frĂšre jumeau, lorsque celui-ci et elle-mĂȘme Ă©taient adolescents. Le trĂšs influent universitaire, homme de gauche, professeur, politologue, conseiller politique et chroniqueur mĂ©dia s’est enfermĂ© dans le silence. AprĂšs avoir mis un terme Ă  toutes ses fonctions professionnelles, il a eu ces quelques mots auprĂšs de la rĂ©daction de L’Obs Je n’ai rien Ă  dire sur ce qui, de toute façon, sera, je ne sais pas, n’importe quoi, dĂ©formĂ© ou quoi ».
Aucontraire, la polémiste Elisabeth Levy a estimé ce matin, à propos du happening : "nous avons du subir un spectacle déplorable et dégoutant" qui n'a rien de nouveau, dit-elle. En effet, l'invitée de Pascal Praud
Animatrice de “Causeur”, l’auteur des “MaĂźtres censeurs” savoure le combat des idĂ©es sans se prendre au sĂ©rieux. Dans le Marais, facile de trouver l’immeuble d’Élisabeth LĂ©vy Ça ressemble Ă  la porte d’une entreprise. » On se re­trouve dans un joyeux bazar oĂč les livres investissent plusieurs pans de mur. Trois fauteuils fatiguĂ©s en cuir noir se dis­putent la place entre un bureau sur­chargĂ© et une penderie. On se croirait dans un fumoir. Ou chez baptisĂ© “salon de rĂ©flexion”, d’abord site Internet et dĂ©sormais Ă©galement men­suel, dont la journa­liste est rĂ©dactrice en chef depuis septembre 2007. Essayistes et chroniqueurs de tout bord y livrent leur analyse de la sociĂ©tĂ© et de la vie politique. Il y a une libertĂ© totale. Il est assez rare que je pratique la censure. Il faut que les propos dĂ©passent les bornes de l’acceptable. » Élisabeth LĂ©vy propose du Perrier, cherche vainement un sac plastique contenant de prĂ©cieux cahiers. Elle s’amuse Comme ça, ça fera de la couleur pour votre papier. » Elle les connaĂźt, les ficelles du mĂ©tier, depuis le temps qu’elle le pratique. Une baroudeuse en quelque sorte. Parce que, en plus de Causeur – oĂč nous sommes tous mal payĂ©s pour le moment » –, Élisabeth LĂ©vy travaille pour le Point, intervient sur Direct 8 et sur RTL, dans l’émission On refait le monde, oĂč l’on peut entendre sa voix gouailleuse dissĂ©quer l’actualitĂ© avec d’autres polé­mistes. Pour presque rien. Mais plutĂŽt que de se formaliser, elle sourit J’aime bien dire que je suis payĂ©e 150 euros la passe. » Ne pas se prendre au sĂ©rieux et dĂ©battre, elle sait faire. Et dĂ©fendre des idĂ©es, quitte Ă  essuyer le feu des polĂ©miques. Elle avait quittĂ© RTL et l’émission On refait le monde oĂč elle Ă©tait chroniqueuse, renvoyĂ©e par Pascale Clark, et elle est revenue y jouer les langues de vipĂšre – titre de gloire des polĂ©mistes – quand Christophe Hondelatte a repris l’émission. RĂ©cemment, il y a eu ce duel avec Edwy Plenel, le rĂ©dacteur en chef de Mediapart, lors du dĂ©bat sur l’identitĂ© nationale. Il faut ĂȘtre honnĂȘte, la bagarre m’amuse. Les gens qui vous cognent dessus vous font exister. » Et pourtant, cette femme menue, aux yeux bleus encadrĂ©s par une chevelure brune, refuse depuis longtemps qu’on hurle avec les loups ». NĂ©e Ă  Marseille il y a quarante-six ans, elle commence sa carriĂšre Ă  l’AFP, puis au Nouveau Quotidien Ă  Lausanne, de 1994 Ă  1996. Elle accompagne son complice, le journaliste et essayiste Philippe Cohen, Ă  la crĂ©ation de Ma­rianne, en 1997. LicenciĂ©e par Jean-François Kahn pour incompatibilitĂ© d’humeur, elle Ă©crit pour le Fi­garo et le Figaro Magazine et couvre la guerre du Ko­sovo Ă  Belgrade. En 2000, elle acquiert une petite no­toriĂ©tĂ© grĂące Ă  son ar­ticle Kosovo, l’insoutenable lĂ©gĂšretĂ© de l’information », qui crĂ©e des remous dans la profession. Elle revient sur la maniĂšre dont les mĂ©dias français ont couvert le conflit et pris parti. Je voulais dire que les Serbes n’ont pas commis plus d’horreurs ou de crimes parce qu’ils sont les plus salauds ontologiquement, mais parce qu’ils sont les plus forts. » Autre article remarquĂ©, L’antifas­cisme ne passera pas », au plus fort de la “quinzaine anti-Le Pen” de l’entre-deux-tours de 2002, moque l’aveuglement des “rĂ©sistants” Ă  un fascisme inexistant. Mais elle s’impose vĂ©ritablement dans le paysage avec son livre les MaĂźtres censeurs LattĂšs, 2002 dans lequel elle dĂ©nonce la nouvelle cen­sure insidieuse de la pensĂ©e unique, qui se rĂ©fugie derriĂšre la tolĂ©rance et la bien-pensance, et un droit-de-l’hommisme devenu aujourd’hui si abstrait [
] qu’il sert moins Ă  lutter contre les tyrannies qu’à lĂ©gitimer l’ordre du monde tel qu’il est ». Elle dĂ©cortique ainsi une dĂ©cennie d’information, privĂ©e selon elle de vrais dĂ©bats d’idĂ©es. Le journalisme d’idĂ©es, elle y tient. Le journalisme est un mĂ©tier intellectuel. Quand j’attaque, j’attaque sur les idĂ©es, pas sur les personnes. Cela dit, je n’ai pas peur des ĂȘtres humains. » Mais elle ne renie pas le journalisme de terrain, la sĂ©paration est impossible ». Et dans la façon dont certains le pra­tiquent, il y a des choses qui l’agacent, dont l’étalage des sentiments du journaliste. Votre Ă©motion, on s’en fout. La communion universelle des mĂ©dias m’emmerde. Notre boulot, c’est de donner de l’intelligibilitĂ©. » Le clivage droite-gauche, elle n’y croit pas J’ai compris un jour que je n’étais pas de gauche, mais je ne me sens pas particuliĂšrement de droite. » De sa voix au timbre particulier, Élisabeth LĂ©vy poursuit La gauche a un problĂšme avec la rĂ©alitĂ© car elle fait d’une opinion une vĂ©ritĂ©, comme si on ne pouvait pas ĂȘtre autre chose que favo­rable Ă  l’homoparentalitĂ© et qu’hostile Ă  Nicolas Sar­kozy. Ce qui la conduit Ă  mettre une chape de plomb sur le rĂ©el et Ă  pratiquer l’indignation Ă  jet continu. » La conversation tourne ensuite au­tour de la Fondation du 2-Mars, un think tank de tendance rĂ©publicaine qui a notamment soutenu la candidature de ChevĂšnement Ă  la prĂ©siden­tielle. Ses buts promouvoir la culture et les valeurs rĂ©publicaines, avoir un regard critique sur la mondialisation et lutter contre la pensĂ©e unique. Un truc excitant intellectuellement et ri­golo », comme Causeur. Comme tout ce qu’elle fait. Avoir de l’humour sur soi, c’est ce qui lui permet de se ré­concilier avec ses adversaires et Ă©vite de garder des rancƓurs. C’est une perte de temps. MĂȘme dans le cas de mon ren­voi de France Culture, alors que l’émission critique des mĂ©dias, le Premier Pouvoir, marchait bien. J’ai passĂ© l’éponge, mais c’est comme ça. » Rigoler en bande, c’est son credo journalistique. Le duo qu’elle forme avec Philippe Cohen en est un exemple. Et pourtant ils ne partagent pas les mĂȘmes opinions Philippe Cohen est plus de gauche, plus anti-Sarkozy. Mais Ă  l’époque des nationaux-rĂ©publicains, nous avons menĂ© plus d’un combat en­semble. » Une sorte d’ouverture Ă  la sauce journaliste. Les copains, essentiels. MĂȘme le barman du bistrot le confirme Éli, c’est une grande sƓur, une copine. » SĂ©rieuse, mais sans som­brer dans la gravitĂ©. Cet excĂšs l’afflige J’ai l’impression que l’esprit de sĂ©rieux gagne tous les jours. » Son modĂšle en matiĂšre de pensĂ©e, qu’elle cite entre Proust, Nabokov et Balzac, Ă©tait d’ailleurs un homme dĂ©licieux et hilarant » elle parle de Phi­lippe Muray, essayiste et pamphlĂ©taire, dé­cĂ©dĂ© en 2006 – un 2 mars, comme par ironie du sort. Le romancier et satiriste dĂ©nonçait la sociĂ©tĂ© moderne qui nie le rĂ©el, dĂ©truit le passĂ© et infantilise les individus. Avec lui, elle signe Festivus, Festivus, un livre de conversations, variations autour de mĂȘmes thĂšmes la fin de l’Histoire, le nihilisme festiviste, la mĂ©diocritĂ© de la sociĂ©tĂ© postmoderne dĂ©sormais sans repĂšre. L’humour lui permet d’esquiver. À la question Qui auriez-vous aimĂ© ĂȘtre ? », elle cite Quand Harry rencontre Sally et s’esclaffe grande, blonde, avec des gros lolos, notre cauchemar Ă  toutes ». Des enfants ? Chacun son job. J’ai des frĂšres et sƓurs qui perpĂ©tuent l’espĂšce. » De sa vie privĂ©e, elle ne dira plus rien, elle ne parlera pas de sa foi ou de son absence de foi, mĂȘme si elle vient d’une famille juive pratiquante. Bien sĂ»r, je suis dĂ©positaire d’un hĂ©ritage, d’une culture. Cela oriente certains de mes centres d’intĂ©rĂȘt, sans doute aussi mes convictions. J’espĂšre que cela ne pĂšse pas sur ma ré­flexion. » Le reste de son histoire est celle de la mĂ©ritocratie rĂ©publicaine ado “em­merdante” au lycĂ©e, vexĂ©e de rater le bac Ă  force de sĂ©cher, elle s’inscrit en his­toire
 et fait Sciences Po. J’ai dĂ©couvert un monde dont je n’avais pas les codes. » On pense un peu Ă  Éric Zem­mour, en bottines-jean serrĂ©. LĂ  aussi, sans entrer dans les dĂ©tails, elle ­s’échappe d’une pirouette Pas tout Ă  fait, comme par exemple sur la question de l’avortement, je suis moins tranchĂ©e. » On aimerait en savoir plus, mais l’entretien s’arrĂȘte lĂ . Elle se rend rapidement au kiosque et allume une ciga­rette le secret de sa voix grave, qui lui permet de refaire le monde et de rire sĂ©rieusement. CĂ©cile Thomas A lire Ă©galement
 Les nouveaux insoumis, par Laurent Dandrieu Finkielkraut, l’inoxydable, par Jean-François Gautier Dans nos archives Entretien avec Élisabeth LĂ©vy "Le Bling Bling" pour tous. Partager Photo © SIPA
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TrĂšssuivie sur internet et les rĂ©seaux sociaux, elle distille ses mĂ©thodes pour soigner "sans vaccin ni mĂ©dicament". L'ancienne naturopathe IrĂšne Grosjean est au cƓur
Le comitĂ© des fĂȘtes Festi-Montat a organisĂ© un week-end des 20 et 21 aoĂ»t aux animations variĂ©es pour cette Ă©dition 2022 de la fĂȘte votive. DĂšs 13 heures, samedi, un concours de pĂ©tanque a rassemblĂ© 22 Ă©quipes concurrentes. Il y avait de la bonne humeur mais aussi de la concentration pour savoir s’il fallait tirer ou pointer ! En fin d’aprĂšs – midi, le maire Jean-Paul Mougeot a remis aux Ă©quipes de vainqueurs les coupes et trophĂ©es. Damien Cance, cheville ouvriĂšre de ce concours, a fait preuve de beaucoup de pragmatisme et de sang – froid pour tout rĂ©guler. Ensuite, Ă  partir de 18 heures, un marchĂ© gourmand Ă©tait organisĂ© place du Temps Libre. 400 convives ont ainsi pu se restaurer sur place avec de bons produits dĂšs 6 h 30, les exposants au vide-greniers envahissaient la commune. Ce sont 70 emplacements qui ont Ă©tĂ© occupĂ©s et, toute la journĂ©e, une multitude de visiteurs ont arpentĂ© la place de la salle des parallĂšle de ces animations, la municipalitĂ© a comme Ă  l’accoutumĂ©e organisĂ© les cĂ©rĂ©monies officielles. AprĂšs l’office religieux cĂ©lĂ©brĂ© Ă  9 h 30 en l’église paroissiale Saint-BarthĂ©lemy, une cĂ©rĂ©monie du souvenir a ainsi eu lieu devant le monument aux morts. Ensuite, tous se sont retrouvĂ©s Ă  la salle des fĂȘtes Roger-Peyralade pour la traditionnelle prise de parole du maire et le vin d’honneur offert par la de mettre Ă  l’honneur Jean-Claude Crouxinous, mĂ©daillĂ© de la Jeunesse et sport nous y reviendrons, le maire a prĂ©sentĂ© StĂ©phanie Peixe, secrĂ©taire de mairie, qui a pris rĂ©cemment ses fonctions et a adressĂ© ses fĂ©licitations au comitĂ© des fĂȘtes pour cette belle et rĂ©ussite. AccueilDĂ©sinformation Pour Nadia Daam, Elisabeth Levy dĂ©fend le droit de coller des mains au cul et est alcoolique Pour Nadia Daam, Elisabeth Levy dĂ©fend le droit de coller des mains au cul et est alcoolique 11 janvier 2018 Christine Tasin DĂ©sinformation, Dhimmitude, LibertĂ© d'expression, Manipulations mĂ©diatiques 21. La donzelle sent sans doute qu’elle est Reprise par l'animateur lorsqu'elle parlait, l'Ă©ditorialiste a menacĂ© ce matin de quitter le plateau de "L'heure des pros". Elle menace de quitter le plateau. Ce matin, dans "L'heure des pros" sur CNews, Pascal Praud a orchestrĂ© un dĂ©bat autour de l'interview donnĂ©e par le prince Harry et sa compagne Meghan Markle, Ă  Oprah Winfrey, dans laquelle la Duchesse de Sussex critique vivement la famille royale, pointant du doigt des faits de racisme au sein du palais de Buckingham. Lors du dĂ©bat sur ce sujet, Elisabeth LĂ©vy, Ă©ditorialiste pilier de l'Ă©mission, a poussĂ© un coup de gueule aprĂšs avoir Ă©tĂ© subitement interrompue par l'animateur. À lire aussi TV "C Ă  vous", "TPMP", "Quotidien" Les talks se mettent en scĂšne avant leur rentrĂ©e... TV "Tellement heureux de vivre !" Louis Laforge, le journaliste de Franceinfo... TV "Des chiffres et des lettres" RĂ©cit d'une folle semaine avant une rentrĂ©e... TV Audiences samedi Reichmann deux fois plus fort que Boccolini, les jeux de France... "Meghan Markle profite de la fascination qu'exerce la famille royale. Mais c'est plus profond que ce que l'on dit. Je suis frappĂ©e par les commentaires goguenards d'un grand nombre de nos mĂ©dias sur le conservatisme. Je suis trĂšs frappĂ©e Ă  chaque fois par la dĂ©monstration d'unitĂ© autour d'une chose qui peut nous paraĂźtre effectivement...", a dĂ©veloppĂ© Elisabeth LĂ©vy. Et d'ĂȘtre coupĂ©e par Pascal Praud "Bon, d'accord, merci. Ce n'est pas trĂšs intĂ©ressant ce que vous dites". Des propos qui ont fortement agacĂ© la directrice de la rĂ©daction de "Causeur" "Je suis dĂ©solĂ©e ! Si ce que je dis n'est pas intĂ©ressant, je vais partir ! Je vais dire ce que je dis et vous allez faire votre commentaire Ă  chaque fois. J'en ai assez d'entendre que ce que je dis n'est pas intĂ©ressant". "Mais vous voulez tous parler sur un truc...", a glissĂ© le prĂ©sentateur. "Mais c'est un incroyable ! DĂšs que j'ouvre la bouche, vous dites que ce n'est pas intĂ©ressant ! LĂ , j'en ai marre ! J'en ai ras-le-bol", a-t-elle lĂąchĂ©, Ă©nervĂ©e, alors que Pascal Praud assurait qu'il s'agissait d'une "blague". "C'est le jour de la femme. On te respecte" "Je ne vais pas me plaindre comme toutes ces saintes-nitouches. Je vais vous dire. Si vous ne voulez pas m'entendre, je me barre ! Ca suffit !", a lancĂ© Elisabeth LĂ©vy. Et d'ajouter "Si je suis trop bĂȘte pour vous, je peux partir". "C'est le jour de la femme. On te respecte", a ironisĂ© Jacques SĂ©guĂ©la. "Non, je ne trouve pas. Ce n'est pas une marque de respect de dire que ce que je dis n'est pas intĂ©ressant Ă  chaque fois que je l'ouvre", a-t-elle ripostĂ©. "Excusez-moi, ce que vous disiez Ă©tait vraiment intĂ©ressant. D'ailleurs, si vous pouviez le redire, je voudrais le noter prĂ©cisĂ©ment", a enchaĂźnĂ© Pascal Praud. Et de conclure Ă  ce sujet "Un peu d'humour et de lĂ©gĂšretĂ©". vous propose de revoir cette sĂ©quence. LĂ©opoldle prĂ©posĂ© de Huffolz en 1784 . L a famille LĂ©vy dont je suis descendant m'est connue depuis le recensement de 1784, oĂč le bon roi Louis XVI a dĂ©nombrĂ© les juifs autorisĂ©s Ă  sĂ©journer en la province d'Alsace. LĂ©opold mon ancĂȘtre, Ă©tait prĂ©posĂ© des juifs de Uffholtz, dans le Haut Rhin (prĂšs de Cernay au pied du "Veil Armand", ou Hartmannwillerkopff oĂč une grande
Le dĂ©bat sur le consentement » des victimes de pĂ©dophilie a enflammĂ© le plateau de CNews, hier. Face Ă  Pascal Praud abasourdi, Elisabeth LĂ©vy a tentĂ© de trouver des justifications aux propos d’Alain Finkielkraut, limogĂ© de LCI suite Ă  sa position dans l’affaire d’inceste visant Olivier Duhamel. Finkielkraut et le consentement » Lundi 11 janvier, Alain Finkielkraut Ă©tait invitĂ© du 24h Pujadas pour Ă©voquer l’affaire Olivier Duhamel, accusĂ© d’inceste. Et David Pujadas s’est montrĂ© dĂ©semparĂ© face au polĂ©miste qui s’est hasardĂ© sur la notion de consentement. Quand on essaye de savoir s’il y a eu consentement ou une forme de rĂ©ciprocitĂ©, on vous tombe immĂ©diatement dessus », a ainsi lancĂ© le philosophe, avant que David Pujadas rappelle un fait Ă©vident Parce qu’on parle d’un enfant de 14 ans ». Un argument visiblement non recevable pour Alain Finkielkraut, qui a rĂ©torquĂ© sans dĂ©tour un et alors ? », avant de prĂ©cise que l’on parle d’un adolescent » et que ce n’est pas la mĂȘme chose ». Une façon de relativiser » l’inceste pour le philosophe qui n’en est pas Ă  sa premiĂšre banalisation du viol », puisque selon lui, avant de prendre position, il est utile de savoir si un enfant de 14 ans Ă©tait consentant », prĂ©cise TĂ©lĂ© Star. Scandale Olivier Duhamel Dans un livre publiĂ© jeudi et dont des extraits ont Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ©s lundi par Le Monde et L’Obs, la juriste Camille Kouchner accuse son beau-pĂšre d’avoir abusĂ© de son frĂšre jumeau quand ils Ă©taient adolescents. La fille de Bernard Kouchner, y accuse trĂšs explicitement celui qui fut son beau-pĂšre, Olivier Duhamel, d’avoir abusĂ© sexuellement son frĂšre jumeau, lorsque celui-ci et elle-mĂȘme Ă©taient adolescents. Le trĂšs influent universitaire, homme de gauche, professeur, politologue, conseiller politique et chroniqueur mĂ©dia s’est enfermĂ© dans le silence. AprĂšs avoir mis un terme Ă  toutes ses fonctions professionnelles, il a eu ces quelques mots auprĂšs de la rĂ©daction de L’Obs Je n’ai rien Ă  dire sur ce qui, de toute façon, sera, je ne sais pas, n’importe quoi, dĂ©formĂ© ou quoi ».
HwZH.
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