🦖 Comment Expliquer La Séparation À Nos Chères Petites Têtes Blondes I can not take part now in discussion - it is very occupied. I will be free

Protégernos chères têtes blondes à travers une signalétique à faire ricaner un ado d’aujourd’hui? Bof. 2. Au tour des télécoms et de sa régulation: quelle évolution pour ce secteur 1L’âge, en venant, accroît l’espace de la nostalgie. L’impression récurrente que c’était mieux avant » saisit qui n’y prend garde, un sentiment captieux qui renvoie à des temps que la distance seule fait paraître meilleurs. La loi aujourd’hui galvaudée l’a-t-elle été autant hier ? N’était-elle pas l’objet de plus de soins alors, récompensés par la durée et l’aisance de l’application ? 2Une réponse positive est fondée – oui, jadis on légiférait mieux – mais, parce qu’incomplète, elle est fausse l’on a conservé le souvenir de bonnes lois, mais il y en eut aussi de mauvaises, tandis que si l’on s’agace de textes contemporains ineptes, il est réconfortant de constater que tous ne le sont pas. 3Dès lors, la réflexion ne peut se borner – même si elle l’intègre – à l’opposition grincheuse entre les vertus d’autrefois et les vices de l’époque. Il lui faut proposer un autre référent, moins soumis aux effets du temps et plus attentif aux conditions d’élaboration des textes, lesquelles peuvent aussi bien avoir été parfois défaillantes dans le passé qu’elles peuvent se révéler satisfaisantes aujourd’hui, du moins à l’occasion. 4L’affaire n’est pas d’abord de quantité. Certes, le bon sens suffit à établir que tout déferlement charrie tendanciellement le pire, et le discours, de Montaigne à Portalis, jusqu’au Conseil d’État, s’est toujours défié de l’inflation des textes. Mais la corrélation n’est que plausible, pas certaine les lois peuvent être nombreuses sans cesser d’être utiles ; leur pertinence n’est pas inversement proportionnelle à leur fréquence, faute de quoi la production modeste des premières années de la Ve République aurait bravé les années, et ce n’est pas le cas. Au contraire, certains gouvernements prolixes ont su donner des bases à des législations durables, dans des domaines divers, que leurs successeurs se sont bornés à pervertir, appauvrir, compliquer, sans les réformer vraiment ni réellement les enrichir. 5Tous les industriels savent bien que la fabrication en série n’est pas incompatible avec la qualité, qu’elle peut même en être le vecteur, mais à la condition que le modèle ait été soigneusement pensé, dans chacun de ses détails, avant d’être construit puis mis sur le marché. Même en se pliant à cette ascèse, le succès n’est jamais garanti, mais dans le cas contraire l’échec, lui, est certain. 6Les lois aussi gagnent à avoir été pensées. C’est tout bête. Le problème vient alors de ce que beaucoup d’entre elles ne l’ont pas été, voire le sont de moins en moins. Le phénomène est assez répandu pour que l’on s’en inquiète et s’y arrête ; toutefois, il connaît assez d’exemples inverses pour dissiper le vertige de la fatalité. 7Au moment même où ces lignes sont écrites, l’on découvre dans la presse qu’un député s’apprête à déposer une proposition de loi contre l’obésité [1], celle qui menace nos concitoyens bien sûr, non celle dont la législation est déjà affectée. L’on connaît sa source – manger n’importe quoi, n’importe quand et n’importe comment – et l’on sait son remède – se nourrir sainement, de manière réfléchie, équilibrée. L’occasion est trop belle, la métaphore trop tentante, pour ne pas la filer en opposant la boulimie législative et la diététique Américains ont inventé une expression – couch potatoe – pour décrire le comportement du téléspectateur continûment avachi devant son poste, qui se gave machinalement de tout ce qui lui tombe sous les yeux ou la main. Notre législateur lui quoi9Légiférer est devenu un réflexe, souvent conditionné par la télévision. Tout sujet d’un vingt heures » est virtuellement une loi. Un fait divers, une émotion quelconque, mais aussi un problème tangible provoquent une démangeaison législative plus ou moins rapide. La loi est une réponse, à défaut d’être une solution. On légifère d’abord puis, rarement et seulement si l’on n’a rien de plus rentable à faire, on réfléchit ensuite. 10Il ne s’agit pas là d’une caricature, hélas, mais des traits d’un genre plus ou moins normatif devenu pullulant. Des lois purement réactionnelles sont, par nature, des lois impensées. Ces impensées, souvent, se trahissent par leur titre. C’est lui qui donne l’objet, à charge ensuite pour qui de droit de tenter de lui trouver un contenu. Ce dernier devient second, au mieux, par rapport à l’intitulé, grâce auquel on peut prétendre avoir relevé un défi. 11À musarder dans la production récente, l’on est frappé du nombre et de la diversité de ces textes qui ne portent pas sur un objet juridique précis, mais plutôt sur une attente présumée de l’opinion. Prendre quelques spécimens, les regrouper par thème est éclairant, ou consternant [2]. 12D’abord, parce qu’elle figure en bonne place dans tous les sondages, la sécurité. Elle nous a valu les lois renforçant l’efficacité de la procédure pénale 1999, relative à la sécurité quotidienne 2001, d’orientation et de programmation pour la sécurité intérieure 2002, d’orientation et de programmation pour la justice 2002, pour la sécurité intérieure encore, 2003, renforçant la lutte contre la violence routière 2003, portant adaptation de la justice aux évolutions de la criminalité 2004, de modernisation de la protection civile 2004 et, pour appliquer la même inspiration à d’autre domaines, de sécurité financière 2003 ou tendant à conforter la confiance et la protection du consommateur 2005. Nul n’a plus rien à craindre. 13Viennent ensuite des stimuli économiques ou sociaux, dont seuls les benêts pourraient croire qu’ils appellent avant tout des réponses économiques ou sociales, et qui ont suscité les lois d’orientation relative à la lutte contre les exclusions 1998, de modernisation sociale 2002, portant relance de la négociation collective en matière de licenciement économique 2003, pour l’initiative économique 2003, relative à la maîtrise de l’immigration 2003, relative à la formation professionnelle tout au long de la vie et au dialogue social 2004, de programmation pour la cohésion sociale 2005. Tout sourit désormais aux partenaires sociaux comme aux acteurs économiques. 14Comme, toutefois, l’on n’est pas de bois, il fallait ménager leur place aux lois de bons sentiments – ce qui ne signifie nullement qu’elles soient toutes sans portée, certaines ayant au contraire introduit de véritables bouleversements dont il n’est pas assuré, au demeurant, que l’ampleur avait été mesurée – parmi lesquelles celles renforçant la protection de la présomption d’innocence et les droits des victimes 2000, relative à la démocratie de proximité 2002, aux droits des malades et à la qualité du système de santé 2002, renforçant [derechef] la protection de la présomption d’innocence et les droits des victimes 2003, visant à aggraver les peines punissant les infractions à caractère raciste, antisémite ou xénophobe 2003, relative à la solidarité pour l’autonomie des personnes âgées et des personnes handicapées 2004, pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées 2005, portant reconnaissance de la Nation et contribution nationale en faveur des Français rapatriés 2005, sans oublier bien sûr l’ineffable loi portant reconnaissance du génocide arménien de 1915 2001. 15Enfin, rien n’étant plus vif que le souci de nos enfants hors la dette abyssale que nous leur laisserons, le législateur paternel a adopté les lois visant à inciter au respect des droits de l’enfant, notamment lors de l’achat de fournitures scolaires [3] 1999, à renforcer le rôle de l’école dans la prévention et la détection des faits de mauvais traitements à enfants 2000, relative à la sécurité des piscines 2003 ou encore visant à restreindre la consommation de tabac chez les jeunes 2003. Nos chères petites têtes, blondes ou non, sont dûment protégées. 16Et la Terre dans tout cela ? Elle n’est pas oubliée puisque l’on a pris soin de voter la loi de 2001 tendant à conférer à la lutte contre l’effet de serre et à la prévention des risques liés au réchauffement climatique la qualité de priorité nationale et portant création d’un Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique en France métropolitaine et dans les départements et territoires d’outre-mer ouf !. 17Rien d’étonnant alors qu’il ait fallu, au passage, imaginer en 2003 et 2004 deux lois [4] de… simplification du droit ! 18Entendons-nous bien il ne s’agit pas de soutenir que tous les textes de cet inventaire partiel sont sans intérêt, de prétendre qu’ils n’ont rien apporté. Ils peuvent contenir, çà et là, des dispositions bienvenues. Mais ce ne sera que fortuit car, dans tous ces cas, le titre a épuisé l’intention. Comme l’écrit Nicolas Molfessis Transformé en technique d’affichage, le titre vise alors davantage à mettre en avant la finalité du texte que son objet. C’est l’action de la loi qui est alors exprimée, ce qui ne permet plus de savoir sur quoi porte le texte [5]. » Beaucoup plus grave encore à travers ces intitulés, gouvernement et Parlement ont, en vérité, formulé un simple vœu, auquel ils ont tenté ensuite, avec plus ou moins de bonheur, de trouver un contenu normatif pouvant justifier la démarche. S’il y a une pensée – ce sur quoi le pari serait souvent aventureux –, elle est médiatique, politique, électorale, compassionnelle mais pas législative et à peine juridique. 19Faute de réponse plus appropriée, plus difficile aussi, la loi offre ses commodités et l’on postule sa pertinence sans y réfléchir plus avant. Elle devient alors à elle-même sa propre fin que la loi existe suffit, sans considération de son quand et n’importe comment20Quelques grands textes anciens sont toujours en vigueur. Ils naquirent fréquemment d’un processus patient qui leur avait permis de mûrir, de sorte que les évolutions ultérieures les ont complétés sans les remettre en cause. Peut-être ceci n’est-il pas étranger à cela. La loi du 29 juin 1881 sur la liberté de réunion est née d’une proposition déposée en 1878, rapportée en 1879, discutée en 1880. Celle, postérieure d’un mois, sur la liberté de la presse est issue de plusieurs propositions formulées à partir de 1875 et d’un rapport datant de 1880. Une autre proposition de loi, déposée en 1881, dont la discussion n’a débuté que deux ans plus tard, en février 1883, allait finalement donner la loi communale du 5 mars 1884. Si la liberté d’association a été plus rapide, près de vingt mois ont quand même séparé le projet Waldeck Rousseau, en novembre 1899, du vote définitif le 28 juin 1901. Quant à la séparation des Églises et de l’État, le Parlement y avait travaillé pendant plusieurs années avant d’y consacrer 45 jours de séance à la Chambre entre le 21 mars et le 3 juillet 1905 et encore 21 de plus au Sénat, pour l’adoption conforme d’où est sortie la loi du 11 décembre 1905. 21L’on imagine les objections tout allait moins vite, les gouvernements ne disposaient pas de majorités prêtes à agir promptement, d’autres textes de la même époque connurent plus de précipitation… Soit ! Il n’empêche que, si le sujet en valait la peine, les parlementaires acceptaient de le traiter sérieusement, d’échanger, parfois aussi de s’invectiver, mais ils minimisaient le risque d’un travail bâclé ou de malfaçons découvertes a posteriori. 22Aujourd’hui, la conjugaison entre l’impact médiatique, l’impatience gouvernementale et la concordance majoritaire ne laisse plus à quiconque le temps de réfléchir, à supposer que quelqu’un souhaite le faire. 23À tout moment, de partout, peut se déclencher le détonateur qui va faire exploser l’ordre du jour prévisionnel, faire passer au second plan des textes qui avaient paru importants. Qu’un homosexuel soit la victime de criminels imbéciles et un projet de loi contre l’homophobie, quoique parfaitement superflu [6], est aussitôt rédigé et programmé. Qu’un rapport confirme la persistance des inégalités entre les femmes et les hommes et une loi nouvelle, qui n’apportera rien de substantiel, est instantanément annoncée. Le mouvement, comme on sait, n’épargne pas la Constitution elle-même si le principe et le contenu de la Charte de l’environnement n’ont rien qui doivent choquer, sa rédaction maladroite est la marque des textes insuffisamment réfléchis, et son adoption définitive doit moins à ses vertus propres, qui n’avaient que tièdement convaincu les élus, qu’à l’activisme de Nicolas Hulot qui, symboliquement, a consacré ainsi l’assujettissement du Parlement aux médias. 24Dans le même contexte, il n’y a pas lieu de s’étonner que les gouvernements, obsédés de leur précarité, abusent de l’urgence, qui est la leur bien plus que celle des textes auxquels il l’appliquent [7]. Craignant de n’être plus ministres avant que la loi soit, le temps parlementaire a cessé d’être pour eux celui du dialogue, mais une perte sèche qui, différant désagréablement le moment de la promulgation, doit être réduite au minimum. L’on ne prouve pas son efficacité par de bonnes lois, mais par des lois rapides. Ailleurs, cela s’appellerait précipitation. Ici, l’on parle de réactivité. 25Et lorsque, de surcroît, les deux assemblées ont la même majorité, aux sentiments de laquelle on ne fait jamais appel en vain, les adoptions conformes dès la première lecture naissent de la discipline plus que de la conviction, quand le jeu des navettes, si on l’avait laissé se dérouler, aurait au moins introduit dans le texte plus de réflexion que celle, souvent des plus sommaires si elle n’est pas totalement absente, que le projet porte en lui. 26Paradoxalement, c’est du côté de certaines propositions de loi que l’on retrouve un véritable… projet, si l’on entend par là une entreprise raisonnée pour traiter un problème effectivement législatif et lui apporter une solution concertée, adaptée, opérante. Plusieurs de celles d’entre elles qui ont eu les honneurs de l’ordre du jour et de l’adoption répondaient à cette définition, dans un champ délimité le plus souvent [8], comme si le gouvernement abandonnait aux parlementaires des initiatives utiles afin de se réserver celles à plus forte résonance médiatique ; le monde à l’envers en quelque temps n’est plus où le patient se résignait à une diète sévère l’espoir, séduisant, d’une pause législative serait illusoire. L’on veut aujourd’hui être plus sophistiqué, personnalisé, maigrir certes mais sans trop de privations ni d’efforts, donc un régime attractif, accompagné, si besoin est vraiment, de quelques règles d’hygiène sain28Plusieurs écoles disputent. Celle des docteurs Jean-Louis Debré et Pierre Mazeaud a d’autant plus fait parler d’elle que les positions qu’ils occupent ne peuvent laisser indifférent. Sus, donc, à ces mauvaises graisses que sont les neutrons législatifs [9] ou les dispositions réglementaires, qu’il faut éliminer en priorité. 29Si les problèmes étaient vraiment ceux-là, il ne serait pas très difficile de les régler. Mais les neutrons législatifs, justement parce que dénués de toute charge juridique, ne font de mal à personne. Le préjudice qu’ils provoquent est purement esthétique. L’on se passerait volontiers d’eux, mais l’énergie mobilisable pour les traquer serait sans doute plus utile à des combats plus graves. 30Les dispositions réglementaires ? La belle affaire. Premièrement, il n’est pas sûr que le phénomène soit quantitativement sérieux [10]. Deuxièmement, l’élaboration normative a besoin d’unité et il est plutôt sain de la satisfaire sans s’arrêter à chaque instant à des escarmouches de frontières. Troisièmement, les élus auraient raison de ne pas se satisfaire de textes trop vagues, de sorte que, si l’on prétendait leur interdire d’apporter eux-mêmes les précisions qu’ils estiment utiles [11], ils exigeraient du gouvernement qu’il accompagne tous ses projets de loi de leurs projets de décrets d’application, lesquels alors deviendraient du même coup des espèces d’annexes législatives. Quatrièmement, qui donc concevrait et utiliserait les trébuchets et les scalpels permettant d’éviter les impairs opposés de l’incompétence négative, d’une part, et de l’empiètement réglementaire, de l’autre ? 31Ce n’est donc pas là qu’il paraît le plus urgent de faire porter l’effort, et l’on ne peut adhérer à un mot d’ordre qui reviendrait à dire Qu’importe que la loi soit stupide, pourvu que tous ses articles soient législatifs et normatifs ! » 32Mais, comme le Conseil constitutionnel avait menacé de réagir, il a commencé à le faire, dans sa décision 2005-512 DC du 21 avril 2005. Exeunt, donc, les dispositions manifestement dénuées de toute portée normative ». Et seul un esprit tordu imaginera que cette rigueur peut injurier l’avenir à lire le premier alinéa du préambule de 1946, l’on ne lui trouvait aucune portée normative, jusqu’à ce que le Conseil lui-même y découvrît la source du principe éminent de dignité de la personne humaine [12], démontrant ainsi qu’un pseudo-neutron peut contenir une charge longtemps cachée. Quant aux dispositions réglementaires, les voici désormais délégalisées aussitôt qu’adoptées, le deuxième alinéa de l’article 61 englobant ainsi, très astucieusement, celui de l’article 37. Soit ! Mais heureusement qu’il ne s’agissait pas d’un vrai problème car, sinon, ce ne serait pas une vraie solution, tant il est peu probable que la perspective de ce prompt déclassement suffise à dissuader les auteurs de la loi d’y introduire ce qu’ils souhaitent [13]. 33Ainsi, beaucoup plus substantiel serait le simple rappel à penser la loi. 34L’on ose à peine évoquer le temps heureux où un garde des Sceaux, Jean Foyer, imité en cela par plusieurs de ses successeurs, confia à un rédacteur unique – mais à la compétence également unique, il est vrai, puisqu’il s’agissait de Jean Carbonnier – le soin de préparer les projets qui réformèrent profondément le régime des incapacités [14] ainsi que des pans majeurs du droit de la famille [15]. 35Où il ne lui avait été demandé que de poncer des piliers du Code civil, Jean Carbonnier démontra qu’il fallait aller plus loin ; que, si le gouvernement ne proposait pas lui-même une modernisation réfléchie et cohérente, ne manqueraient pas de s’abattre des pluies d’amendements » [16]. Pendant une douzaine d’années, dans ce domaine, l’on procéda ainsi, et certains textes ultérieurs qui, dans les vingt dernières années, abordèrent le droit de la famille avec des manières de hussard, vivifièrent le souvenir ému d’une telle délicatesse. 36Réfléchissant lui-même, dans son dernier ouvrage sur la question, aux évolutions dont il fut le témoin, Jean Carbonnier les imputa en partie au fameux poids encore des références pondérales ! de la technocratie, à l’invasion du droit bureaucratique » Les préoccupations des bureaux deviennent par symbiose les préoccupations du ministre. De là, découle un reproche plus grave c’est que chaque compartiment légifère sur les problèmes de sa spécialité sans les intégrer dans une vision d’ensemble du système juridique. Le Premier ministre aurait ici une fonction de coordination à exercer, mais souvent, il reste en retrait. Et sur tel cas clinique qui lui corne aux oreilles, tel ministère se hâtera d’élaborer des remèdes spécifiques sans se demander s’ils ne font pas double emploi avec le droit commun ou s’ils ne risquent pas de le perturber. On comprend que le droit bureaucratique ait, dans l’inconscience, puissamment contribué à l’inflation du droit [17]. » 37Le diagnostic, vieux de près de dix ans, date un peu, car, s’il reste largement vrai, il se double désormais d’un dérèglement supplémentaire les préoccupations du ministre sont à leur tour devenues, sinon par symbiose du moins par exigence, voire caprice, les préoccupations des bureaux. Or, ce n’est pas forcément à la meilleure source que le ministre va puiser ses inspirations mais plutôt, on l’a dit, aux titres des journaux, de préférence télévisés, au besoin décryptés à son intention par des conseillers en communication tout bardés de sondages. Les initiatives propres du ministre confluent avec celles de ses services, toujours sans vision d’ensemble du système juridique » ni cohérence claire au sein des mêmes locaux. 38Certains résistent cependant, au moins parfois, et la conjonction peut encore se produire entre un ministre bénévolent, des fonctionnaires responsables, à l’écoute du monde extérieur et de ce qu’il peut éclairer, apporter, tous décidés à prendre le temps de faire du travail sérieux. Peut-être la mémoire vive d’augustes précédents et la volonté de quelques-uns contribuent-elles à expliquer la persistance de cette heureuse anomalie du côté de la Chancellerie [18], du moins hors le capharnaüm de la procédure pénale. 39Quelques textes réfléchis surnagent çà et là qui suffisent à démontrer que la chose reste possible. Les ingrédients sont simples qui font les bonnes recettes identifier précisément le problème à traiter, qu’il soit vaste ou étroit ; s’interroger honnêtement et recueillir des avis extérieurs, pour savoir si sa solution relève bien de la loi, ne fût-ce qu’en partie ; puis envisager celle qu’il faudrait faire, mais en se souciant de la place harmonieuse à lui donner dans l’ensemble plus vaste où il lui faudra s’insérer, en traquant les frottements éventuels avec d’autres textes en vigueur ou en préparation ; finalement établir une esquisse, non des articles eux-mêmes mais de ce qu’ils devront contenir. Ensuite ? Surtout ne pas rédiger, mais plutôt questionner, consulter, concerter de la manière la plus large, la plus ouverte possible ; après seulement, commencer à écrire et, de nouveau, questionner, consulter, concerter comme devant. Alors naîtra un avant-projet qui aura quelque chance d’être bon, quitte à se révéler assez éloigné de ce que le concepteur initial pouvait avoir en tête, sauf encore à ce qu’à l’inventaire le besoin de la loi se soit évanoui. 40Rien de tout cela n’est bien sorcier. Vouloir suffit à pouvoir. Mais il y faut un tempo apaisé, que seuls peuvent soutenir ceux assurés d’un minimum de longévité ou, à défaut, assez attentifs aux autres, c’est-à-dire les Français, et oublieux d’eux-mêmes pour risquer d’œuvrer au bénéfice de leurs successeurs. 41La quantité des lois pourrait n’y pas décroître, mais l’amélioration de la qualité de chacune finirait bien par avoir raison de leur nombre global. 42Ne resterait alors à compléter ce régime sain que par l’observance de règles parlementaires alimentaire43L’expérience parlementaire avait conçu un entonnoir. Il était destiné non à faciliter une absorption plus grande mais, au contraire, à diminuer progressivement le volume de celle-ci jusqu’en 1981, surcharger à tout moment les textes était jugé par tous aussi néfaste que grignoter entre les repas. 44Pourtant, parce que le premier alinéa de l’article 44 de la Constitution fait du droit d’amendement la règle, et que l’article 45 n’y apporte pas de limite ici, l’habitude s’est progressivement installée, funeste, d’admettre libéralement les articles additionnels. Le Conseil constitutionnel, après avoir un moment béni l’excès [19], a remis un peu d’ordre [20], mais pas assez. 45De ce fait, c’est tantôt la discussion qui se dilate, tantôt le texte qui enfle, au détriment du sérieux dans les deux cas. Le débat aboutit à une confrontation dont l’amendement est devenu le principal support, plutôt qu’à une construction dans laquelle il devrait jouer un rôle essentiel [21] ». 46Que des parlementaires puissent présenter des articles additionnels en première lecture est naturel, même nombreux s’ils le veulent, pourvu qu’ils soient en lien direct avec le texte en débat. Mais qu’ils le puissent encore dans les lectures ultérieures est une invitation au bavardage, au temps gâché quand on en manque. Après un examen dans chaque assemblée, le périmètre du texte est circonscrit ; l’on doit pouvoir continuer à l’amender sur ce qui n’est pas encore conforme, mais non à l’alourdir de dispositions nouvelles qui, comme la première lecture l’a décidé, n’ont pas lieu d’y figurer. 47Lorsque les amendements portant articles additionnels à un projet émanent du gouvernement, la logique voudrait qu’ils soient purement et simplement interdits, à deux exceptions près. Le Conseil constitutionnel a eu raison de rappeler la distinction entre les articles 39 et 44, distinction que respectent les amendements gouvernementaux destinés à modifier le texte, mais distinction qu’effacent abusivement ceux qui visent à l’étendre et qui n’ont pas lieu d’être. 48Les deux seules exceptions, parce qu’elles résultent elles-mêmes d’exigences constitutionnelles, sont, d’une part, celle déjà admise pour répondre, à tout moment, à des exigences techniques de coordination, d’autre part, celle qui impliquerait une initiative dépensière que les parlementaires ne peuvent proposer à raison de l’article 40. 49Hors ces deux hypothèses, jamais aucun article additionnel d’initiative gouvernementale [22], non plus que d’initiative parlementaire au-delà de la première lecture, voilà qui serait plus drastique, mais aussi plus objectif, que la prise en considération du volume, voire la simple exigence actuelle d’un lien avec l’objet en discussion [23]. 50Ceci produirait deux conséquences. La première, immédiate, serait d’épargner à bien des lois les bubons qui, en cours de débat, viennent les boursoufler, parfois les défigurer, ces dispositions multiples adoptées à la va-vite, à la va-comme-je-te-vote. Assujettis à une contrainte d’espace, comme ils l’étaient naguère, les groupes auraient à faire un tri pour sélectionner seulement les ajouts les plus pertinents. Eux aussi, donc, devraient alors réfléchir avant d’agir. La seconde conséquence, immédiate, serait que le gouvernement, se sachant privé pour une fois d’une facilité abusive, devrait apporter plus de soin préalable, donc à nouveau de réflexion, à l’élaboration de projets qui ne pourraient plus être surchargés ensuite [24]. 51Dans l’un et l’autre cas, une discipline spontanée pourrait suffire que, dans les deux cas, nul n’aura la candeur d’escompter. Faudrait-il alors réviser la Constitution pour l’imposer ? Il n’est pas certain que ce soit nécessaire. Les règlements des assemblées pourraient y pourvoir, à la seule condition que le Conseil constitutionnel accepte d’aller au bout du bon sens dont il a déjà pris le chemin, celui qui consiste à admettre que, ne serait-ce qu’à raison de l’article 39, les amendements portant articles additionnels sont différents, par nature, de ceux visant à modifier le texte en discussion. Il ne s’agirait donc pas de modifier la loi fondamentale, mais d’en respecter la lettre et l’esprit comme on l’avait fait, sur ce point, entre 1959 et 1981. 52Au-delà, peut-on rêver d’un Premier ministre, dans l’avenir, assez déterminé pour proposer au président de la République que l’actuelle fonction de ministre de l’ordre du jour, à laquelle se résume en réalité la tâche de celui auquel sont confiées les relations avec le Parlement, devienne un véritable ministre de la législation et des relations avec le Parlement » ? D’une part, l’habitude s’est déjà prise que le chef du gouvernement se dépouille au profit de l’un de ses collègues, ministre ou secrétaire d’État délégué dans un premier temps, de missions qui, constitutionnellement, sont les siennes [25]. D’autre part, plus disponible que le Premier ministre et pouvant s’appuyer sur la compétence indiscutée du Secrétariat général du gouvernement qu’il renforcerait de son autorité politique, cette figure nouvelle pourrait se voir chargée d’une vue d’ensemble et d’un contrôle de qualité sur toute la production législative [26]. Certes, il lui faudrait, en plus, des talents diplomatiques signalés pour faire accepter son intervention par ses pairs, mais eux-mêmes pourraient finir par y comprendre leur intérêt propre. 53D’autres réponses sont concevables, peut-être meilleures. Qu’importe pourvu qu’elles mettent un terme, au plus tôt, à l’impéritie contemporaine où la confusion le dispute au désordre, pour le plus grand dommage de l’autorité de la loi. 54Prendre des initiatives réfléchies avant, limiter les initiatives irréfléchies pendant, n’est-ce pas le moyen sûr d’obtenir plus de résultats réfléchis après ? Alors, le législateur boulimique retrouvera sa ligne naturelle, plus svelte, celle du légiste. Notes [1] Jean-Marie Le Guen, Le Parisien – Aujourd’hui en France, 29 mars 2005. [2] Pour éviter la surcharge, numéros et dates de ces lois ne sont pas indiqués, mais les titres sont bien authentiques, sans qu’il y ait lieu à multiplier les sic ! [3] Dont le touchant article premier, issu il est vrai d’une initiative du Parlement des enfants, dispose L’exploitation des enfants par le travail doit être fermement combattue et dénoncée par tous les moyens légaux, y compris en refusant de coopérer avec les pays qui ne respectent pas la déclaration des droits de l’enfant. » [4] Il s’est agi d’ailleurs de lois d’habilitation. Le pouvoir exécutif a désiré simplifier par des ordonnances ce qu’il n’avait cessé de compliquer par des projets, comme le serpent qui se mord la queue. [5] Nicolas Molfessis, Le titre des lois », Mélanges Catala, Litec, 2001, p. 61. L’auteur souligne aussi p. 64 la multiplication des lois tendant à, visant à, inciter ou favoriser ou garantir, qui se présentent ainsi comme une simple tentative de réglementation, une espérance et non une réalisation ». À quand la loi croisant les doigts pour… ? [6] Le projet de loi n° 1700 du 25 juin 2004, relatif à la lutte contre les propos discriminatoires à caractère sexiste ou homophobe, ne tendait qu’à incriminer un certain type d’injures, diffamations ou discriminations que l’autorité judiciaire avait déjà tous les moyens de sanctionner. [7] Hors les lois autorisant la ratification d’engagements internationaux, plus du tiers 13 des projets adoptés en 2004 avaient fait l’objet d’une déclaration d’urgence. [8] L’on songe, par exemple, à ce qui est devenu la loi 2004-1366 du 15 décembre 2004 portant diverses dispositions relatives au sport professionnel, mais aussi à la proposition de loi relative aux droits des malades et à la fin de la vie, née des travaux d’une mission d’information et déjà adoptée, à l’unanimité, par l’Assemblée nationale. [9] C’est-à-dire, selon Jean Foyer qui fut, semble-t-il, l’inventeur de cette dénomination, les textes dont la charge juridique est nulle » 3e séance du 21 juin 1982, JO, AN, p. 3667. Ils continuent de proliférer, malgré les objurgations encore récemment reprises par la circulaire du Premier ministre du 1er juillet 2004 relative aux règles d’élaboration, de signature et de publication des textes… où l’on lit, à l’article Les projets de loi ne doivent pas comporter de dispositions sans contenu normatif, se limitant à des déclarations de principe ou à la présentation de la philosophie du texte. En effet, les lois ont pour objet d’autoriser, d’ordonner, d’interdire, de créer des droits et des obligations. Les raisons pour lesquelles elles sont soumises au Parlement, l’esprit dont elles procèdent, les objectifs qu’elles se fixent relèvent de l’exposé des motifs, des explications à fournir au Parlement et au public, voire des commentaires que les ministres responsables peuvent en donner après leur promulgation, notamment dans les circulaires. » [10] Le projet qui est devenu la loi 2005-157 du 23 février 2005 relative au développement des territoires ruraux comptait 76 articles au départ et 240 à l’arrivée. Ainsi, pas moins de 164 articles additionnels ont été introduits durant le débat parlementaire. L’on s’attendrait que nombre d’entre eux aient un caractère réglementaire. Pas du tout une dizaine, au plus, pourraient relever de l’article 37 de la Constitution, quand plus de 150 appartiennent bien à son article 34. Ce n’est donc pas d’abord dans l’empiètement réglementaire qu’il faut chercher la cause de l’inflation législative. [11] Dans une application littérale des articles 34 et 37 de la Constitution, la loi qui a institué le RMI, par exemple, aurait pu ne comporter qu’un article Toute personne, d’un âge minimum, de nationalité française ou résidant régulièrement en France, qui en a besoin reçoit, à charge d’un effort d’insertion de sa part, une aide, qui peut varier en fonction de ses charges de famille, versée par une autorité publique. Les conditions d’application du présent article sont fixées par décret en Conseil d’État. » En fait, le législateur de 1988 avait voté 52 articles. [12] Décision 94-343/344 DC, 27 juillet 1994. [13] L’on ne peut, en revanche, que compatir aux maux de tête supplémentaires qui menacent la Commission supérieure de codification. Elle devait déjà traiter le cas d’articles formellement organiques que le juge avait qualifiés substantiellement ordinaires. Désormais, il lui faudra, en plus, s’accommoder de dispositions que leur forme destine à la partie législative du code, tandis que la décision du Conseil porte à les renvoyer dans sa partie réglementaire… [14] Par les lois du 14 décembre 1964 sur la tutelle des mineurs et du 3 janvier 1968 sur les majeurs protégés. [15] Par les lois du 13 juillet 1965 sur le régime des biens entre époux, du 4 juin 1970 sur l’autorité parentale, du 3 janvier 1972 sur la filiation et du 11 juillet 1975 sur le divorce. [16] Jean Carbonnier, Droit et Passion du droit sous la Ve République, Flammarion, 1996, p. 196. [17] Ibid., p. 31. [18] L’on songe, bien sûr, au nouveau Code pénal, dont la discussion s’était étendue sur trois législatures, entrecoupées d’alternances, entre 1985 et 1992, mais aussi, plus récemment, à la loi de 2004 sur le divorce, au projet en cours de discussion sur les procédures collectives ou encore à l’avant-projet sur les successions, tous textes précédés d’une préparation ouverte, longue et soignée, bref tous textes pensés. [19] À partir de sa décision 86-221 DC du 29 décembre 1986. [20] Depuis sa décision 98-402 DC du 25 juin 1998. [21] Jean-Pierre Camby, Le droit d’amendement, une nouveauté ? », Mélanges Dmitri Georges Lavroff, Dalloz, 2005, p. 126. [22] Les règlements des assemblées peuvent le décider, et le Conseil constitutionnel l’accepter, dès lors que ceci s’inscrit dans la logique, déjà adoptée par le juge, selon laquelle le droit d’amendement de l’article 44 est le simple corollaire du droit d’initiative de l’article 39 et non son substitut, cependant que le recours à une lettre rectificative resterait toujours disponible pour remédier, de façon régulière, à un oubli gênant. [23] Pratiquement, et à l’usage des amateurs, cela signifierait que, à partir de la seconde lecture, premièrement, un amendement parlementaire portant article additionnel ne seraitrecevable que s’il remplace un article supprimé par l’autre assemblée ; deuxièmement, si plusieurs se trouvent en concurrence, ils doivent être examinés dans l’ordre de leur proximité du plus proche au plus éloigné de l’article supprimé ; troisièmement, s’il y a lieu, les amendements sans rapport avec l’article supprimé sont examinés ensuite dans l’ordre de leur dépôt. Ces règles étant strictement objectives, les acteurs n’auraient aucune difficulté à s’y plier. [24] Le plus frappant, dans le fameux amendement Mer », n’était pas l’absence de tout lien avec le texte, motif pour lequel il fut censuré par le Conseil constitutionnel décision 2004-501 DC, 5 août 2004, mais la suppression de toute limite d’âge pour la présidence des entités concernées à laquelle un centenaire eût pu être légalement nommé… qui témoignait éloquemment de la précipitation avec laquelle l’article avait été rédigé. [25] Par exemple, justement, les relations avec le Parlement, mais aussi la fonction publique, toutes deux confiées, au début de la Ve République, à des ministres délégués auprès du Premier ministre ». [26] Le garde des Sceaux semblerait qualifié pour exercer ce ministère de la Loi, mais il a déjà bien assez à faire, ne pourrait de toute façon pas veiller sur l’évolution de ces textes en cours de débat, et c’est pourquoi l’hypothèse suggérée semblerait préférable.

Grained’islamophobe ou comment instruire nos chères petites têtes blondes. Tout le monde connaît le CNED, n’est-ce pas ? Le CNED ou Centre national d’enseignement à

On le sait, dans le choix d’un prénom pour son bébé, il y a des références à votre vie, à votre famille mais aussi des phénomènes de mode et des tendances… Depuis quelques années, les prénoms de nos arrière-grands-parents refont furieusement surface. Décryptage. Vous avez très certainement déjà entendu parler du phénomène Huggy Wuggy, cette peluche colorée aux dents acérées, prête à tuer. Tiré d’un jeu vidéo pour adulte, ce personnage n’est pas aussi... Envie de faire déguster des légumes à vos enfants mais vous ne savez plus comment faire ? Rien de plus facile on les intègre dans d’appétissants gâteaux miniatures. Ici, on vous propose une... Pratiquer le yoga en compagnie de ses enfants, voilà la nouvelle tendance qui émerge un peu partout. En plus de partager un moment de détente en famille, le yoga possède de nombreux bienfaits pour... On ne sait souvent pas quoi offrir à de jeunes parents, entre la peluche qui finira sur une étagère et la paire de draps de lits trop impersonnels... Voici de quoi vous aider. Si les règles de quarantaine ont été assouplies, les autorités recommandent toutefois aux parents de faire des autotests à leurs enfants une fois par semaine. Cette méthode prônée par les psychanalystes redonnerait toute leur valeur symbolique aux cadeaux de Noël. Vous l’avez peut-être remarqué autour de vous la plupart des futurs parents que vous connaissez attendent un garçon. Loin d’être un hasard, il y aurait un explication scientifique à cela. La chambre d'un enfant, c'est à la fois un espace de jeu, détude et de repos ... Autant d'occasions d'y poser des objets qu'il peut s'approprier et qui définissent son univers. Notre shopping déco... Votre mini-vous croule sous les jouets ? Les habits ne l'intéressent pas ? Et si, pour changer, Saint-Nicolas lui apportait des cadeaux immatériels, à vivre en famille ? Voici quatre idées à faire... Nous sommes à la veille de Saint-Nicolas et vous n’avez toujours pas commencé à penser aux cadeaux de vos tout-petits ? Avec l’annonce des prix à la hausse des jouets, est-il encore possible de... La chambre d’enfant est un territoire interactif qui se transforme de cocon douillet en champ de bataille. Quelques idées pour la réinventer à chaque instant ! Parce que la couture ce n’est vraiment pas votre truc et que vous n’aviez pas anticipé l’achat de masque pour vos chérubins, on vous donne l’astuce pour réaliser un masque pour votre enfant à... Cette année, Halloween tombe le même jour que le changement d’heure. Loin d’être une plaisanterie, ce phénomène peut affecter et perturber le sommeil de chacun d’entre nous. Et quand il s’agit de... Le succès des programmes télé consacrés aux familles XXL nous donne parfois l'impression qu'avoir 6 ou 7 enfants est tout à fait gérable... Si vous aussi, vous êtes débordés avec vos deux bambins... La rentrée des classes, c’est le retour sur les bancs de l’école, mais c’est aussi le meilleur prétexte pour offrir à nos kids une nouvelle garde-robe. Pour une rentrée stylée, on a repéré les... La rentrée scolaire est toujours un moment délicat, tant pour les parents que pour les enfants. Les pleurs, les cris, et l’angoisse accompagnent souvent ce moment délicat. Alors, comment faire... Instagram a souvent l’art de nous déprimer tant les clichés qu’on y trouve sont toujours plus léchés les uns que les autres nous rappelant que nos vies à nous sont loin d’être parfaites.... Il est temps pour les enfants de reprendre le chemin de l’école ! Et dans ce secteur, nous sommes de plus en plus nombreux - les écoles égalerment - à vouloir adopter un comportement plus... Avant la PlayStation et les tablettes, d’autres jouets ont conquis le cœur de nos enfants. À commencer par le Hand Spinner, les Ztringz et désormais le Pop It, que l’on a vu partout sur les plages... 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Le premier pyjama, le bracelet de maternité… Et si vous mettiez tout ça dans une jolie boîte à souvenirs pour votre bébé, que vous pourrez continuer de remplir les premières années de sa vie?... Le temps est aux cocktails en terrasse. Mais si vous êtes enceinte, l’alcool est bien sûr fortement déconseillé. Voici trois recettes délicieuses de cocktails sans alcool, ou mocktails », pour... Si vous devez remplir tous les matins la boite à tartines de vos enfants et si, comme nous, vous trouvez que ça vire parfois au casse-tête, suivez ces conseils tout simples de Gisèle Gual,... Il est temps de faire le tri dans la garde-robe de vos kids et de redonner une seconde vie à tous ces vêtements qui ne leur servent plus et qui s'entassent au fond de vos armoires. Voici nos... En pleine recherche d’idées cadeaux pour la fête des mères? Même si votre bébé n’est pas encore en mesure de fabriquer un collier de nouilles, recevoir un petit cadeau quand on est jeune maman est... Une maman, c’est sacré. C’est elle qui vous a mis au monde et qui fait de vous la personne que vous êtes aujourd’hui. Quoi de mieux que la fête des Mères pour lui faire savoir à quel point vous l'... Que vous visitiez Bruxelles en famille ou que vous y viviez, Bruxelles regorge de musées à découvrir avec vos enfants petits et grands. Voici 12 musées kids friendly, des plus touristiques aux... À l’occasion de la Fête des Mères, & Other Stories lance une collection capsule pour filles. Ces dernières pourront alors s’habiller comme maman. En plus de pimper n’importe quelle pièce de la maison la plus neutre, même les toilettes, les plantes d’intérieur contribuent à assainir l’air ambiant d’une maison. Quelles plantes installer dans... Impossible, car elle n’existe pas ! Les mamans ne doivent pas entrer dans un carcan via un blog, un livre et un podcast, la journaliste Déborah Laurent déculpabilise toutes celles qui se sentent... A la recherche d’endroits à visiter kids friendly? La Belgique néerlandophone regorge de musées où les petits enfants sont les bienvenus et où ils peuvent s’amuser pleinement. Elke Vanhouche du... Quoi de plus pratique pour les jeunes parents que d’avoir son bébé tout contre soi en vaquant à ses activités ? izzzi, une marque belge, vient de mettre au point un porte-bébé des plus innovants.... Cela fait déjà une semaine que vos chérubins sont à temps plein à la maison ? Voici quelques activités pour les occuper et apprendre tout en s'amusant. Le géant du burger a trouvé un autre moyen de convaincre les parents d’emmener leurs enfants au McDo en l’échange d’un burger, vos enfants devront réaliser des petites tâches du quotidien. La première semaine de vacances touche à sa fin et vous avez déjà épuisé toutes les idées d’activités prévues pour occuper vos bambins ? Et si on s’évadait à deux pas de chez nous, le temps d’un... Vous ne savez plus comment occuper vos kids durant les vacances ? On a trouvé la solution pour vous soulager. Un tout nouveau concept d’hôtel vient d’ouvrir ses portes à Durbuy et il a tout pour... Réussir les photos de votre bébé ou bambin, ça n’est pas toujours une mince affaire. Au moment où vous dégainez votre appareil, hop, il bouge, et votre photo est ratée. Comment immortaliser un... Beaucoup de jeunes mamans sont effrayées par l’idée d’aborder avec leur enfant l’apprentissage du gout et l’introduction des légumes. Pourtant une règle simple fera tout passer avec fluidité c’... Pour célébrer Pâques, vous allez sans doute passer par la case chasse aux oeufs pour faire plaisir à vos enfants. Mais cette année, vous voulez rendre ce moment unique. On vous livre quelques... Cette semaine, votre So Soir vous parle poterie, broderie et céramique des passions kitsch qui ont plus que jamais la cote en cette période. On vous emmènera à Mons, la ville du Doudou pour une... Les enfants grandissent à une vitesse folle, on ne le dira jamais assez. Le budget couche, lait, vêtements et accessoires pour l’aider à évoluer coûtent souvent un bras. La bonne nouvelle, c’est... Ce week-end s’annonce pluvieux. Impossible pour les enfants d’aller se dégourdir les jambes dehors. Alors comment occuper nos petites têtes blondes avec ce temps ? Depuis que vous endossez le rôle de maman, difficile de consacrer du temps à autre chose qu’à votre petit bout. Pourtant avec un peu d’imagination et d’organisation, vous pouvez facilement... Que serait le repas des enfants sans les incontournables boîtes à tartine ? Si vous êtes à court d'idées, Gisèle Gual, diéticienne nutritionniste, vous glisse quelques idées pour des recettes... Devenir maman est un bouleversement dans la vie d’une femme. Non seulement son corps change mais aussi, ses habitudes de vie. A l’heure où la femme moderne jongle entre sa vie personnelle et... Le week-end s'annonce beau, ensoleillé, avec des accents printaniers. L'occasion d'organiser des jeux en extérieur avec les enfants. Et vous fabriquiez ces activités en famille ? Voici quatre... Et si on profitait du week-end pour méditer en famille l'espace de quelques instants ? Voici quelques exercices à pratiquer tous ensemble pour se sentir plus apaisé après une semaine intense. Vinted, c’est la vie, surtout en ces temps de confinement où il peut être difficile de renouveler la garde-robe de vos bambins qui grandissent plus vite que leur ombre. Pourtant, si vous êtes... Vous avez envie de vous cultiver en famille ? C'est le moment de se rendre dans les musées du pays pour découvrir des expositions destinées aux petits comme aux grands. On vous en présente trois... Karolien Raeymaekers, psychologue clinicienne et thérapeute comportementaliste, accueille les mamans, les papas et les enfants dans sa propre pratique, et pour nous, elle aborde grandes questions... 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Les fêtes de fin d'année sont terminées et certains veulent se remettre au sport. Pourquoi pas commencer 2021 en pratiquant une activité physique en famille pour plus de motivation ? Voici quatre... Récits forts et émouvants, singuliers et universels, histoires incroyables ou, en apparence, banales… C’est EXACTEMENT ce que je ressens » se dit-on souvent, en les écoutant. Voici notre petite... Certains parents redoutent ce moment, LA fameuse question qui un jour ou l'autre finirait par arriver "Le Père Noël, il n'existe pas en fait ?". Comment réagir face à cette interrogation qui... Pas encore d'idée de cadeau pour votre enfant, votre nièce ou filleul ? Pourquoi pas acheter une bande dessinée pour lui faire plaisir? Droit des animaux, féminisme, confiance en soi, découvrez... Présenté par Peintures Levis Le confort et la durabilité ne font pas toujours bon ménage. Les beaux meubles et objets de décoration des catalogues ont souvent une forte empreinte écologique et ne sont pas toujours faits... Présenté par Proximus Pickx House of the Dragon, la très attendue série préquel » de the Game of Thrones, débarque enfin. Rendez-vous le 22 août ! Si les dragons, ce n'est pas votre truc, mais plutôt les chasses au trésor... Présenté par Nordic Loin de l’agitation quotidienne, la Laponie s’est imposée comme la nouvelle destination de rêve. Intacte et d’une grande pureté, elle est synonyme d’immenses étendues, de paix, et surtout d’un...

^{Lesouverain explique comment il s'organise pour la respecter. Ce moment, le prince Albert II de Monaco l’attendait avec impatience. Ce mardi 31 mars, après deux semaines de quarantaine et}

Professeur de français depuis 7 ans argh !, mon objectif premier a toujours été d’avoir des élèves contents de venir à mon cours et non en soufflant ou en traînant la patte. Faire entrer toute la classe dans ma salle C203 est un défi quotidien, parce que D. est à l’infirmerie, S. est aux toilettes, R. s’est fait larguer, L. s’est pris la tête avec le prof du cours précédent… Quand ils sont tous là, il faut détourner leur attention du téléphone portable fléau du manque de concentration des élèves OMG répondu à mon SMS, faut que je réponde tout de suiiiiite ». Ceci étant fait, comment faire en sorte que nos chères têtes blondes brunes, rousses, couleur violette étrange ou rasées à la Beckham soient captivées par notre cours ? Imaginez la détresse du prof qui aimerait que tous ses élèves soient des lecteurs passionnés et qui se retrouve dès la rentrée avec 27 fiches personnelles sur 29 disant J’aime aucune sorte de livre parce que j’aime pas lire. » Donc objectif n° 2 que mes élèves AIMENT lire ou, du moins, qu’ils lisent plus de la moitié d’un livre. Quel professeur de français ne s’est jamais exaspéré devant un J’prends c’ui-là, c’est le plus petit ! Ok, tu es en 5e, et tu veux prendre un livre pour les CE1… ? » Depuis toujours, j’essaie d’innover et de tester différents moyens de rendre leur lecture personnelle cursive. Après avoir testé le carnet de bord comme un journal intime de lecture, mais pour ceux qui n’aiment pas écrire, ça reste peu efficace, la chronique radio ou télé mais pour les timides, c’est compliqué de passer devant tous les camarades, le contrôle de lecture sous toutes ses formes, mais quel intérêt de mettre un 3/20 à un élève qui va être conforté dans son idée que la lecture, c’est de la m…., puisqu’il se récolte une sale note… Alors, l’année dernière, un collègue de musique m’a parlé de ses boîtes à chaussures. Mais qu’est-ce donc que cela ? Eh bien une boîte à chaussures est, pour moi, le meilleur support que j’ai trouvé jusqu’à maintenant pour leur faire rendre compte d’une lecture. En plus, comme je suis une fan d’escarpins l’idée m’a tout de suite plu… L’année dernière, il m’a parlé de ses boîtes à chaussures. Mais qu’est-ce donc que cela ? Eh bien une boîte à chaussures c’est, pour moi, le meilleur support que j’ai trouvé jusqu’à maintenant pour leur faire rendre compte d’une lecture. Donc, chers collègues de français ou de langues, ou instit’, voici l’idée principale les élèves lisent un livre et doivent représenter dans une boîte à chaussures l’histoire ou un épisode qui les a marqués. Ensuite, ils doivent présenter leur création à la classe, expliquer leur boîte à chaussures. Ils doivent donc non seulement faire preuve de créativité et mon dieu que de bonnes surprises ! mais aussi être capables de parler de l’œuvre et de justifier leurs choix en donnant des arguments. Du coup, même les “cancres” se prennent au jeu et rendent un travail qui leur apporte la fierté et la joie d’être allés au bout de quelque chose. Évidemment, certains ne jouent pas le jeu, mais bon, tant pis pour eux, ils passent à côté d’un 20/20… Honnêtement, il y en a peut-être 2-3 dans la classe qui ne présenteront pas de boîte. Même si au début certains ne sont pas très chauds, ils changent d’avis en voyant le travail de leurs camarades et espèrent présenter une boîte encore plus ingénieuse ! Évidemment, certaines boîtes sont moins belles que d’autres, moins esthétiques, moins travaillées, mais on s’en fiche, car si un élève qui n’a pas lu depuis x temps se donne la peine de faire quelque chose, on est content, non ? Et pour nous, professeurs, c’est tout bénef’ 1. On passe tous un bon moment. 2. On est stupéfait de l’inventivité de certaines boîtes qui deviennent de vraies petites œuvres d’art une boîte à chaussures transformée en pianocktail pour L’Écume des jours, une autre décorée de quatre petites saynètes synthétisant le roman Jane Eyre. 3. On n’a pas de correction à faire à la maison ! La note est mise en direct live depuis la salle de classe. 4. On aide un ado, qui manque de confiance en lui, à retrouver un peu d’estime lorsqu’il est applaudi par ses camarades et son professeur. Et ça, ça n’a pas de prix ! Quant aux meilleurs élèves, ils ne sont pas lésés, car ils veulent prouver leur excellence et font des réalisations exceptionnelles. Et comme les images en disent plus qu’une longue chronique, voici quelques créations. Vous l’aurez compris, la boîte à chaussures est à tester d’urgence ! Amélie L Mme L. Professeur de français passionnée et passionnante enfin j'espère..., maman, collectionnant les cicatrices, aimant Aragon, Proust, Nos étoiles contraires et tant d'autres, ses élèves, les Caipirinha et les escarpins élégants à haut-talon. Ma devise Carpe Diem

ets'il arrive que nous soyons en desaccord, on ne le dis pas devant elle; mais une fois qu'elle n'est plus dans la pièce.. car je ne veux pas qu'elle pense qu'elle peut nous "monter" l'un contre l'autre..

Langues Guides Catégories Évènements Utilisateurs Filtrer la langue et l'accent Prononciation de les chères petites têtes blondes en Français [fr] Prononciation de les chères petites têtes blondes Prononcé par Pat91 Homme - France Homme - France Prononcé par Pat91 Informations de l'utilisateur Suivre 0 votes Bonne Mauvaise Ajouter à mes favoris Télécharger en MP3 Créer un rapport Vous pouvez l'améliorer ? Votre accent est différent ? Prononcez les chères petites têtes blondes en Français Atlas des accents et des langues Mot aléatoire anglais, pomme de terre, elle, Je voudrais une table, écureuil ^{Ildit alors à la blonde qu'elle est folle de ne pas l'avoir changé. Et la blonde répond que sur la boîte de langes il était marqué : " JUSQU'À 17 KILOS. " Un homme en très mauvais état se présente devant Saint-Pierre, après une mort apparemment violente. Celui-ci demande : - Mais qu'est ce qui s'est passé ? L'homme explique :} Cours de maths sur Epernay et ses environs Initiation SCRATCH Bienvenue sur le site jclmaths. Selon une étude internationale, les écoliers français sont tout en bas du classement en maths et en sciences. À 10 ans, ils affichent les pires résultats de l'Union européenne et en mathématiques ils sont BONS DERNIERS ! Pourtant les professeurs des écoles disent consacrer 193 heures par an aux mathématiques, soit plus que la moyenne des autres pays européens 158. Alors nos chères petites têtes blondes seraient-elles moins intelligentes que celles des autres pays ? Certes non, et la réponse n'est-elle pas dans l'INCOMPÉTENCE de certains professeurs ? Vous trouverez sur ce site quelques exemples de COURS et de CORRECTIONS d'EXERCICES donnés aux élèves lors de mes interventions. ATTENTION En cette période de pandémie les cours à domicile seront donnés en présentiel avec port du masque et gel hydroalcoolique pour élèves ET parents ! La vaccination de tous étant fortement souhaitable. A chaque séance un résumé du cours est donné à l'élève . . . Feuilletez le cahier de cours de votre enfant. Etes-vous certain qu'il a bien recopié ou transcrit ce que son professeur a essayé d'expliquer ? Certes avant il y avait le livre fourni par le collège . . . mais c'est de moins en moins la cas, alors comment revoir une notion dispensée les années précédentes ? C'est pour cela qu'il est donné à chaque élève un petit classeur dans lequel les différents cours sont archivés. . . . ainsi qu'un corrigé type. Vous avez certainement examiné un devoir noté par le professeur, avec des commentaires plus ou moins abscons, ou pire, inexistants. - "Et la correction, vous avez corrigé le devoir ?" demandez-vous. - "Ben y'en a pas" répond immanquablement votre chère petite tête blonde ! Voici la réalité du collège et du lycée d'aujourd'hui et c'est pour cette raison qu'après chaque exercice effectué lors de mes interventions un corrigé type est toujours donné à l'élève, pour que celui-ci puisse s'y reporter, si nécessaire, lors de ses révisions en vue d'une interrogation. Pour vous faire une idée des documents fournis vous pouvez télécharger sur ce site quelques exemples d'exercices ou de cours. Ceux-ci sont classés par niveau de la seconde à la sixième dans le bandeau de gauche. Pour la classe de seconde vous trouverez en particulier une notice pratique sur l'utilisation de la calculatrice graphique "CASIO GRAPH 35+" ainsi que plusieurs fichiers tableurs "Libre Office", "Open Office et "EXCEL" concernant la mise sous FORME CANONIQUE d'un trinôme du second degré et d'une fonction HOMOGRAPHIQUE. Algorithmique et programmation Au cycle 4 5ème, 4ème et 3ème, nos collégiens devraient s'initier à la programmation. Avec, par exemple le logiciel " SCRATCH " ils mettent en évidence les notions de variables et de fonctions sous une forme différente, et s’entraînent au raisonnement . . . Mais la plupart des professeurs font l'impasse sur cette partie du programme. Remarque identique pour les TABLEURS, alors que ces deux notions d'algorithmie "tombent" inéluctablement au BREVET ! Logiciel SCRATCH et différents tutoriels Exemples à télécharger Rubrique "Les indispensables" A partir de la seconde, les élèves pourront continuer d’utiliser Scratch ou bien se tourner vers " ALGOBOX " un logiciel gratuit d'aide à l'élaboration et à l'exécution d'algorithmes, ou bien "Python" Téléchargeable ou utilisable en ligne. Bonne consultation. Contact Hnc1.

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